LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
LA LETTRE
Bettina était devenue une fidèle cliente du salon de
coiffure de Béatrice Klakerspank. (voir saison 2 chapitre 6)
Elle y retrouvait souvent Clarisse, Gladys et Edwige, avec lesquelles elle avait fini par
entretenir des relations complices autour de centres d'intérêts communs.
Claridge, la propriétaire de la boutique de lingerie qui leur vendait ses
fameux ''slips à fessée", venait aussi régulièrement s'y faire coiffer.
Les hommes se rencontrent au comptoir des bistrots, ces
dames le plus souvent, dans les salons de thé ou de coiffure. Les endroits
favoris où l'on cause sans retenue et sans tabou. Les problèmes d'éducation et
de discipline domestique, qu’elles abordaient naturellement comme des sujets
ordinaires, alimentaient la majeure partie des conversations. L'atmosphère dominante y est plutôt enjouée. On s'y retrouve entre femmes
de caractère, partageant le même regard sur les rapports
d'autorité au sein du couple et la recherche d’un juste équilibre basé sur le respect de règles de
comportement clairement établies.
Les conversations, une fois lancées, allaient bon train. Ça
commençait toujours par les petits potins et rumeurs du moment, abondamment commentés, pour dériver, systématiquement, sur les dernières piquantes anecdotes
agrémentant les vies de couple. Les rires et les éclats de voix résonnaient alors
d'un fauteuil à l'autre, envahissant l’espace parfumé du salon. Catherine et Solange,
les deux employées, s'affairent autour de ces Dames qui discutent en
feuilletant des revues de modes dont elles tournaient machinalement les pages,
sans vraiment les regarder. Les conversations s'animaient, lorsqu'on aborde les
problèmes de comportement des maris et fils, un peu moins celui des filles qui
cependant n'y échappaient pas. Toutes s’exaspéraient à souligner les difficultés
rencontrées à corriger leur petit monde des mauvaises habitudes et trop
fréquents écarts de comportement.
Mis à part quelques
différences de points de vue sur les manières de procéder, l'emploi
systématique de la fessée faisaient naturellement
l’unanimité.
Régulièrement testée et approuvée comme la seule méthode vraiment efficace,
permettant d'obtenir respect et obéissance. Béatrice, arbitrant les débats du
haut de sa caisse, Catherine et Solange, attentives aux arguments, confirmaient
les bienfaits régulateurs de l'usage de la fessée dans la vie conjugale. Ce
joyeux aréopage de femmes de caractère, maquillées, parfumées et recoiffées,
occupait ce temps de passage au salon à se raconter, en détails et avec un
enthousiasme communicatif, les anecdotes cuisantes de leurs dernières séances
de fessées.
Maxime, le fils de la maison, passait de temps en temps au
salon voir sa mère, mais pas toujours de son plein gré. Il était à chaque fois
partagé entre deux ressentis contradictoires. Attiré par cet environnement
presque exclusivement féminin, il en appréciait l'atmosphère de sensualité
qui s'en dégageait. Il aimait sentir en entrant l’odeur sucrée caractéristique des produits de
beauté pour la coiffure. Il était impressionné par l'allure altière et
l'aisance des clientes, sûres de leur force et de leur pouvoir de séduction. Admiratif des postures démonstratives de ces belles
femmes aux formes plantureuses exhibées sans complexe, dans leurs tenues à
l'élégance provocatrice. Etourdi de leurs lourds parfums... de leurs éclats de
rires sonores qui résonnaient dans le salon. Il était attentif au claquement
des talons aiguilles sur le carrelage. Séduit par le crissement excitant des
bas nylon sur les jambes qui lui rappelaient celles de sa mère, lorsqu'elle le
corrige, la tête coincée entre ses fortes cuisses. Cette évocation suscite en
lui la montée d'une sourde appréhension. Car c'est rarement par hasard, ou
spontanément, qu'il pénètre dans cet endroit, pour lui, si troublant. La
plupart du temps, c'est sur un ordre de sa mère qui lui a envoyé un SMS dans la
matinée.
« Je t'attends au salon à dix-huit heure précise... Prépare tes
fesses ! »
La convocation est non négociable. Il le sait très bien
d'ailleurs, Béatrice ayant depuis longtemps fixé les règles et les conditions
d'exécution de ses punitions. Elle ne manque jamais de les lui rappeler
lorsque, rarement mais quand même, il tente d'éviter ce qu'il déteste le plus.
Recevoir ses fessées devant témoin
« Tu sais très bien Maxime, que les fautes graves, et
plus grave encore, les récidives, doivent être sanctionnées par des corrections
exemplaire. Ce qui justifie le choix des fessées en public, beaucoup plus humiliantes
que celles à la maison, même devant témoins. Ici c'est très bien pour ça !
La mise en scène toujours choisie toujours bien
astreignante. Elle officie au milieu du salon, le pied posé sur un tabouret, le
fait grimper et se courber en deux sur sa cuisse relevée à l'horizontale, et
lui flanque sa fessée, déculotté, devant ses clientes. Quelques courtes pauses,
slip aux cuisses, au coin près de la caisse, assurent la transition lorsque la
lourdeur de la punition requiert une série de plusieurs fessées consécutives...
Ce qui arrive encore assez souvent.
Ambiance torride dans les fauteuils, copieusement
humidifiés sous les volumineux derrières rebondis de ces Dames, excitées comme
des lapines en chaleur devant le croustillant spectacle. Avec ces séances de fessées récréatives, Béatrice Klakerspank faisait d'une
pierre deux claques. Corriger efficacement son fils de ses nombreuses
désobéissances et fidéliser une clientèle de respectables épouses, friandes de
ce genre de démonstration d'autorité.
C'est en ces pénibles circonstances, en position critique,
à genoux sur un tabouret, les fesses rouges et cuisantes d'une sévère
déculottée, que Maxime avait fait la connaissance de Bettina pour la première
fois. Très vite conquise par l'attractivité du salon de coiffure en raison de
son goût immodéré pour la fessée, elle y venait, depuis, régulièrement.
Maxime, encore peu averti des cuisantes pratiques de la nouvelle
cliente, sinon
il aurait peut-être changé d'avis, appréciait, cette belle femme aux allures
provocantes et au regard insolent. Il la trouvait souvent drôle à raconter
parfois n'importe quoi, tenant des propos extravagants, s’emberlificotant
facilement dans des invraisemblances, qui se retournaient presque toujours
contre elle et provoquaient l'hilarité de son entourage...
Certes, tout le
monde savait, d'autant mieux qu'elle s'en fichait complètement, qu’elle n’avait
pas une réputation excellente. Edwige
disait gentiment d’elle qu’elle avait “du tempérament”. Clarisse qui
l'entendait régulièrement à sa fenêtre l'inciter à taper toujours plus fort
lorsqu'elle flanquait une correction à son fils ou son mari, la trouvait plutôt
un peu “garce”... Quant à Walter son époux, un peu naïf, il disait qu’elle
avait “le coeur sur la main” mais reconnaissait tout de même un peu navré. ''…
Et aussi le feu aux fesses “…Ce qui était vrai parfois au sens propre, lorsque,
lassé de ses extravagances et fivolités, il finissait par prendre une petite
revanche sur les nombreuses fessées qu'elle lui mettait à longueur de temps en
lui flanquant la bonne correction méritée. Elle la lui réclamait d'ailleurs,
par provocation, se vantant d'apprécier l'excitante sensation d'une solide
fessée déculottée. ''Tu peux taper fort... même pas mal !'' Elle se plaisait ensuite à contempler le reflet dans la glace de
sa belle paire de fesses écarlates et cuisantes.
Ce jour-là, Maxime, convoqué au salon, venait de s'ne prendre une
sévère, courbé en deux, sur la cuisse relevée en pont à l'horizontale, de sa
mère, un pied posé sur un tabouret. Elle
lui avait flanqué sa fessée devant Clarisse et Gladys, spectatrices privilégiées d'une belle correction qui s'était
achevée sur une paire de fesses enluminée d'un rouge écarlate du meilleur
effet. Elles n'y étaient d'ailleurs pas
pour rien, ayant insisté pour une deuxième tournée plus sévère afin de faire
durer le plaisir. Le temps que
''prenne'' leur couleur de cheveux. Béatrice s'était fait un plaisir de leur
donner satisfaction.
Sous les rires et commentaires goguenards des trois femmes,
le pauvre garçon était parti cuver sa correction dans son coin habituel près de
la caisse.
Un bon quart d'heure plus tard, sa mère lui ordonna de revenir
la voir. Il obéit immédiatement et vint se planter bien droit devant elle,
mains croisées dans le dos, le slip tendu au milieu des cuisses, les fesses
encore en feu.
Elle
sortit de dessous le comptoir, un élégant sac en papier marqué du nom du salon et le lui
tendit ;
« Ecoute
moi bien Maxime... Tu sais où habite Bettina ma cliente ?
–
Oui maman, je sais ;
–
Bien ! Tu vas lui apporter ça. C'est une commande qu'elle m'a faite la
semaine dernière ; je lui ai promis qu'elle l'aurait dès que je l'aurais
reçue... C'est urgent
Maxime
pris le sac et regarda à l'intérieur.
« C'est
quoi ?
–
Ce sont des flacons de shampoing et de produits cosmétiques pour les cheveux.
Tu fais très attention...c'est fragile.... ça casse... Et tu ne traînes pas en route, sinon gare à
tes fesses ! Tu viens déjà de t'en prendre une, ça ne me gênerait pas de
t'en coller une autre à la maison. En
attendant, tu peux te reculotter. Aller, dépêche-toi ! »
Il promet, et file, en marchant et courant de temps en
temps. Il lui fallait cinq minutes, et sans se presser, une dizaine environ
pour faire le trajet jusque chez Bettina. Pour lui c'est Madame Bettina. Elle l'accueille avec le sourire, l'embrasse
même à pleines joues, lui ébouriffe les cheveux en riant comme avec un gamin, parce
qu’elle sait qu'il n’aime pas ça et pour le remercier de la livraison, lui propose un café ou
un thé. Il aurait préféré une bière mais il accepte, toujours un peu
impressionné par la belle femme et surtout son imposant décolleté. Pendant
qu'il boit elle se penche vers lui, poitrine en avant et lui demande, les yeux
dans les yeux.
« Maxime, veux-tu me rendre un petit service ?
– Bien sûr Madame...
Il est déjà à moitié liquide sur sa chaise.
-- Ecoute moi, je veux que tu donnes cette lettre à Mr Duplessy, ça te fait un petit détour mais je vais te récompenser pour ça. Mais tu lui donnes bien à lui,
personnellement… et je te donne 10 Euros... pour te récompenser, tu es toujours si
gentil... »
Mr Duplessy est un commerçant important de la ville. Il
tient le plus grand magasin de confection. Il est à l’aise, comme on dit, mais
passe pour une sorte de bon à rien. En réalité, c’est sa femme, qui a hérité du
magasin, qui le fait marcher. Le jeune homme connaît très bien Madame Duplessy, c’est une fidèle cliente du salon de coiffure
de sa mère.
Maxime trouve un peu bizarre la générosité de
'' Madame'' Bettina, mais bon, finalement il s'en fiche, autant que du contenu de
la lettre. Dix Euros ce n'est pas la fortune mais ça paiera bien une tournée de
pression à ''L'Olympic''. Lui aussi,
fait partie de la bande de Rodolphe,
Gérôme et Robin.
Il fonce au magasin des Duplessy. Chantal, leur fille du
même âge que lui, est devant la porte. Il aime bien Chantal. Elle est élève à
Notre-Dame, l’équivalent de Sainte -Marie pour les filles de bonne famille. On
y distribue aussi les fessées à tour de bras, mais Chantal a la réputation
d’être sérieuse, obéissante… toutes les qualités possibles... la “petite fille modèle”.
Elle se prend aussi quelques fessées de temps en temps mais largement pas
autant que lui. Trop bien à son goût. Elle lui plairait bien, mais la
trouverait vite ennuyeuse. Lorsqu'elle le voit arriver une peu
essoufflé, elle lui
demande.
– « Qu’est-ce que tu fais ici ?
-- J’apporte une lettre à ton père...
-- Donne !”
-- Ah non ! On m’a dit, personnellement !
-- Et alors ? ...Il n'est pas là ! Laisse-la-moi, je vais lui donner quand il reviendra, je
l’attends. ».
Maxime n’ose pas refuser, il ne veut pas la vexer...avec
les filles, on ne sait jamais… et puis ce n'est pas comme lui, elle ne
fait jamais rien de travers, elle ...Tout le monde sait qu’on peut lui faire
confiance … Après quelques hésitations, il lui donne la lettre et rentre chez
lui en courant.
Il est dix-neuf heures passées, Béatrice a fermé le
salon un peu plus tôt. Elle est déjà à la maison et l'attend, prête à sévir.
– « C'est à cette heure-ci que tu rentres ! Tu as en as mis du temps ! Tu as encore
traîné avec ta bande de délurés, Rodolphe, son cousin et compagnie !
– Non maman, je te jure j’ai été porter une lettre pour
Madame Bettina.
– Une lettre ? Ah bon ? Ne me mens pas Maxime,
sinon c'est la fessée... Tout de suite ! Tu lui as bien remis sa commande
au moins ?
-- Oui, Maman, comme tu me l'avais demandé ! »
Il se garde bien de parler des dix euros, ni du détour chez
les Duplessy, laissant croire à sa mère qu'il a été retardé par une rue barrée
à cause de travaux de ravalement d'un immeuble. Il a dû faire un détour.
Béatrice, sceptique, ne le croit qu'à moitié, mais dans le doute, lui ordonne
de mettre la table. Il s'exécute immédiatement. Le souffle chaud d'une
déculottée vient de lui frôler les fesses. Il les serre en apportant les
assiettes.
Il est en train de débarrasser après le dîner lorsque le
portable de sa mère vibre sur la table du salon. Elle est surprise d'entendre
la voix du mari de Bettina, qui lui demande de bien vouloir passer tout de
suite, il insiste, avec Maxime... C’est grave ! Il a l'air très en colère, ce qui lui
arrive rarement, et dit même qu’il va tuer sa femme. Ce qui est encore beaucoup
plus rare. Béatrice inquiète et très contrariée, se tourne vers son fils.
« Qu’est-ce que tu as encore fait toi...Hein ?
Pourquoi est-ce qu'il veut te voir Walter ? J'espère que tu n’as pas été mal élevé avec Bettina, tu lui
as bien donné sa commande au moins?
-- Mais oui Maman ! Bien sûr que je lui ai
donnée...J’ai rien fait de mal ! »
Elle lève la main, furieuse. Ça sent la fessée. Celle à laquelle il
a échappé tout à l'heure. Tu vas parler oui ? Le garçon pétrifié reste
muet. Tu n'as rien à me dire ? Très bien... J'ai tout mon temps.
Elle l'empoigne par le col de sa veste et en moins de deux,
le courbe sur la table. L'ordre tant
redouté siffle entre ses dents serrées.
« Tes fesses !! »
Habitué à présenter ses fesses à la demande, il cambre
immédiatement les reins et, mû par un réflexe conditionné, s'empresse de les
arrondir, inexorablement soumises à la fessée. La voix de sa mère ordonne à
nouveau
« Le Slip !! »
Il sait ce que cela veut dire et se déculotte aussitôt.
« Plus bas sur les cuisses !! Les fesses
bien dégagées ! »
Il s'exécute et maintient son slip à deux mains pendant
qu'il se ramasse à la volée une vingtaine de claques sonores sur les fesses,
encore un peu rouges de la fessée de l'après-midi au salon. La fessée est brève, intense,
rapide et crépitante. La malheureuse saute sur place en tortillant frénétiquement
du derrière, tout en s'évertuant à maintenir son slip baissé, bien en place,
comme sa mère l'exige. Sinon c'est une nouvelle fessée ! Il gémit.
« J’ai rien fait, Maman, j’ai rien fait, je te promets ! Tu fais
mal ! »
Béatrice ne répond rien, Elle le lâche et enfile une veste.
Maxime est resté allongé sur la table, les fesses cuisantes et n’osant pas se
reculotter. Sa mère s’en charge, sans précaution, et lui remonte son slip tendu
au maximum entre les fesses. Elles débordent si largement des élastiques,
frémissantes à portée de main, qu'elle le plaque à nouveau sur la table en lui
appuyant sur les reins pour l'obliger à bien les arrondir, et les lui fait
sauter sous une nouvelle série de claques bien senties. En moins de temps qu'il
ne faut pour l'annoncer, le fessier tout entier s'est de nouveau enluminé du
beau rouge bien enveloppant qui le rend si appétissant.
Ils sortent. Le garçon en larmes, maman toujours en colère
car inquiète, la paume de la main encore pleine des grosses fesses brûlantes de
son fils.
« Je ne sais pas ce que tu as fabriqué Maxime, mais ce que
tu viens de recevoir n'est qu'un petit échantillon de ce qui t'attends quand je
vais savoir la vérité. Je te garantis que tu vas prendre cher mon ami !
– Mais je dis la vérité maman ! C'est vrai ! C'est vr...
–Tais-toi, ça suffit !
Walter est un homme plutôt calme et gentil. Il faut que ce soit
vraiment grave pour qu'il se mette dans un état pareil ! »
– Mais maman, je te jure j'ai rien fait ! C'est pas juste, j'ai rien fait ! »
Ne cesse de pleurnicher le jeune homme qui trottine en
sautillant à côté de sa mère. Il tient à la main son pantalon qu'elle lui a
fait enlever. Elle a passé sa main droite à elle sous les élastiques de son slip qu'elle lui
maintient fermement remonté sur les hanches, tendu dans la raie des fesses.
D'un pas décidé, menton relevé, la mine sévère, elle le fait avancer ainsi
devant elle, le postérieur tout rouge et tressautant, pour bien montrer aux
passants qu'elle vient de lui flanquer une fessée. C'est dans cette humiliante
posture, avec quelques bonnes claques aux fesses supplémentaires pour le faire
avancer plus vite, qu'elle le conduit sur le trottoir vers le domicile de
Bettina et Walter.
Maxime a beaucoup de mal à marcher normalement et pour cause. Il est mortifié par la façon dont sa
mère le tient, et encore plus par les regards qui se posent sur ses fesses déjà
rougies. Difficile de passer inaperçu, d'autant que Béatrice porte haut. En
Talons aiguilles et bas nylon à couture, dans un de ces élégants petits
tailleurs bien ajusté qu'elle affectionne particulièrement. La jupe très
étroite, moule parfaitement ses fesses qui roulent par sa marche rapide et
décidée. Sa veste est trop courte pour les masquer, mais il n'est pas certain
que cela lui déplaise. Sûre de son pouvoir de séduction, elle aime quand même
bien attirer les regards masculins. Il faut bien que le corps s'épanouisse...
Sur le chemin, elle presse Maxime de questions et il lui
raconte, innocemment, l’affaire de la lettre de Bettina remise à Chantal et non
à son père,
« Petit crétin ! lui lance-t-elle, comment peux-tu être aussi irresponsable. On ne peut
donc décidément jamais te faire confiance ! »
Lui ne comprends pas bien et se dit que Bettina, la
perfide, l'a sans doute bien roulé dans la farine et pas qu'un peu... Un sac
entier même. Il ne lui vient même pas encore à l'idée qu'il est aussi responsable
de ce qui lui arrive.
« C’est pas grave, Maman... » Dit-il sans en être lui-même trop persuadé.
Maman ne plaisante pas du tout et se contente d’assurer
plus fermement sa prise. Elle le soulève carrément en le tenant par le
derrière, suspendu aux élastiques de son slip qui lui scient la raie des
fesses. Par devant ce n'est pas beaucoup plus confortable, avec les boules qui
lui remontent jusqu'au nombril... ça
fait mal des deux côtés. A ce moment précis il lui vient comme des idées de
meurtre à l'encontre de Bettina.
Ils arrivent enfin devant son domicile, s’arrêtent sur le
trottoir pour laisser passer des voitures. Deux femmes assises à la terrasse
d’un café ont tout le temps d’observer son postérieur et s'en amusent
ouvertement, agitant une main tendue près de leur visage comme pour signifier
l'administration d'une fessée. Maxime en a les joues aussi rouges que ses fesses.
Il traverse la rue, tenu par sa mère, le derrière rebondissant, suspendu aux
élastiques de son slip, ses pieds touchant à peine le sol. Ils entrent ainsi
dans la maison.
Walter habituellement pondéré, plutôt soumis à sa femme,
paraît, cette fois, hors de lui. Le visage tout rouge, il tourne comme un
désespéré dans son salon et, ce qui lui arrive rarement, se laisse aller à la
colère. Et pour le coup, une grosse colère, comme seuls les gens de nature très
calme sont capable d'en piquer quand ils s'y mettent. Et l'ami Walter est dans ce cas-là.
« C'est pas possible, je vais la tuer, je vais la
tuer ! » hurle-t-il.
Impressionné, Maxime a reculé de trois pas vers le mur et,
d'un doigt discret, en profite pour dégager les élastiques de son
slip, restés coincés
entre ses fesses douloureuses. Il sent bien que ça va encore chauffer mais sans
vraiment savoir sur quel derrière.
Béatrice, un peu étonnée de voir le mari de sa
cliente dans cet état, tente de le calmer.
« Mais non Walter, voyons, vous n'allez tuer personne...
Qu’est ce qui se passe ? »
Il fait tomber sa chaise en voulant s'asseoir, la relève d’une main et s’effondre dessus en expliquant.
« Bettina a écrit à Duplessy avec qui elle correspond depuis plus d’une
semaine...Pour lui fixer un rendez-vous....C’est Mme Duplessy, une de vos
clientes, qui vient de me le dire parce qu’elle a lu la lettre que lui a donnée
sa fille Chantal... Et le complice de tout cela c’est votre fils, qui est de
mèche avec ma femme. C'est lui qui a apporté la lettre, ! »
Maxime se sent rétrécir en entendant les accusations qui
lui tombe dessus. Il maudit la petite pétasse qui l'a trahi. Il voudrait
rentrer dans le mur pour passer dans la pièce à côté, lorsque sa mère le
foudroie du regard. Ses fesses se serrent instinctivement tellement fort qu'on
ne passerait pas une feuille de déclaration de revenus entre les deux. Walter,
très agité, continue, manquant tomber une deuxième fois de sa chaise. Il
vocifère contre sa femme.
«Il faut qu’elle paie pour ça ! Qu'elle paie pour ça ! Et vous
vous rendez compte ? Du coup, Mme Duplessy veut demander le
divorce !
Ah je ne sais pas ce qui me retient de l'étrangler, votre salope de
cliente ! » S'emporte-t-il en parlant de son épouse comme s'il s'agissait d'une
autre personne.
Béatrice garde la tête froide et transige selon sa méthode
habituelle.
« Pas la peine de l’étrangler... Vous lui flanquez la bonne
correction qu’elle mérite et moi je fais pareil avec celui-là, dit-elle avec un signe de tête en direction de
son fils, qui n'a pas réussi à passer à travers la cloison. Et
l'affaire est réglée ! Vous n'allez tout de même pas ficher votre vie par terre
pour une histoire de cul Walter ! Son cul, maintenant, c'est à vous de
vous en occuper, la fessée et voilà... Depuis le temps qu'elle vous en met
des fessées, c'est l'occasion de prendre votre revanche ! La fessée
Walter... la fessée ! Déculottée, cuisante, bien sévère ! Il n'y a
rien de meilleur ! Une bonne séance de fessées pour la punir bien comme il
faut... Mais on ne gâche pas sa vie pour une histoire comme ça ! »
Maxime, mentalement disparu entre le mur et la tapisserie,
vient de réaliser, avec horreur, dans quoi Bettina l’a entraîné et la bêtise
qu'il a faite en faisant confiance à Chantal. Walter essuie des larmes qui lui
viennent aux yeux. Béatrice lui met la main sur l’épaule et lui demande ;
« Elle est où, Bettina ?
– Là-haut, dit-il. Là-haut dans notre chambre... »
Elle prend son fils par l’oreille et l’entraîne dans l’escalier suivie de Walter. Maxime est terrorisé, réalisant qu'il a déclenché une énorme
catastrophe aux répercussions incalculables. Sa mère avait encore raison. De
toute évidence la fessée qu'elle lui a mise avant de partir de la maison n'était qu'un
simple avant-goût de celle qu'elle lui prépare, maintenant qu'elle est au
courant de toute l'histoire. Le tenant fermement par l'oreille, elle lui fait
gravir les marches, qu'il monte une à une, le ventre noué, le derrière tremblant d'appréhension, tendu vers la nouvelle
fessée qui l'attend. Ça va être la grosse fessée, il le sait. Béatrice ne
ratera pas une si belle occasion de lui en mettre une bonne. Et celle-là est vraiment trop belle. Il le sent
bien qu'elle la lui prépare, à la voir onduler joyeusement du derrière pour lui
faire monter l'escalier derrière elle en le tirant sans ménagement par
l'oreille.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 9
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerWahou ! L'infidélité est au menu du jour !!!!
Ca promet des moments épiques qui piquent ! Epiques et collent et drame !!
L'intrigue franchit une nouvelle étape. Ca ne rigole plus...
Ca va chauffer ! Chantal me semble trop polie pour être honnête ! Mais bon... Attendons la suite.
Amicalement. Peter.
Très bon texte sur un sujet (la fessée déculottée devant tout le monde dans un salon de coiffure féminin) particulièrement bien choisi. On pourra quand même remarquer que Béatrice aurait pu utiliser un instrument typique des salons de coiffure : la brosse à cheveux !
RépondreSupprimerBonjour Philippe,
RépondreSupprimerMerci pour votre commentaire;
Bien sûr j'y ai pensé.. Un salon de coiffure est peuplé de toutes sortes de brosses de formes et formats différents. Chaque postérieur doit pouvoir trouver la brosse à reluire qui lui convient.
Cordialement.
Ramina
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerEh oui l'infidélité est source de bien des coups de chaleurs! Chantal, blanche colombe, va provoquer un coup de billard à trois bandes pas piqué des hannetons...Hanneton prend ta faucille... ça y est j'ai encore dérapé!
Super le jeu de mots en fusée à trois étages! Effectivement ça ne manque pas de piquant
Amicalement.
Ramina