mardi 24 décembre 2019

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 12

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

EPOUSE EN COLERE, FESSEE D'ENFER


Finalement, Madame Duplessy décida de ne pas divorcer. La nouvelle de la vraie fausse liaison entre Bettina et son mari s'était répandue comme une langue ... de traînée de poudre et vite fait le tour des petites gazettes locales bien pensantes. Lorsqu'elle avait fini par l'apprendre, sa première réaction avait été d'envisager la séparation. Peut-être, davantage, pour préserver sa dignité que par dépit amoureux. Après quinze ans de mariage et quelques dérapages, même contrôlés, le ressort de la passion s'était quelque peu détendu au sein du couple... ceux du sommier conjugal, aussi. 

 Il n'empêche que, sur le coup, son honneur, à défaut de vertu, en avait tout de même pris un coup. Du coup... ça faisait deux coups... coup sur coup ! Du coup... donc, le jour de la découverte du drame, Régine Duplessy, partiellement anéantie par l'humiliante nouvelle, était arrivée en larmes, au salon de coiffure. Gladys et Clarisse, en rendez-vous ce jour-là   avaient su trouver les mots justes pour la réconforter de sa disgrâce auprès du mari volage. Même si finalement il ne s'était pas passé grand-chose entre les deux dévergondés. La solidarité féminine dans ces cas de figure est tout autant présente que dans la situation inverse. 

Effondrée dans un fauteuil, sous un casque de séchoir, elle s'était lamenté sur son sort avec conviction, en vidant la moitié d'une boîte de mouchoir en papier. De temps en temps, entre deux hoquets, elle se tamponnait les yeux, pour essuyer ses larmes en étalant son rimmel dégoulinant sur ses joues. Défigurée la pauvre dame ! Jamais elle n'aurait imaginé Gilbert capable d'infidélité et, le sachant pas forcément très futé, étonnée qu'il ait pu réussir à manœuvrer sans qu'elle se doute de rien. Gladys l'avait raisonnée.
– « Franchement, Régine, tu ne vas tout de même pas divorcer pour ça !  Avec toutes les complications que cela entraînerait.
 – Tu ne vas pas te lancer dans un truc pareil, avait ajouté Clarisse. Qu'est-ce que ça va t'apporter de divorcer ? Tu peux très bien continuer à vivre comme ça et en profiter pour faire ce que tu veux !  Il ne pourra rien te reprocher maintenant. »

   Béatrice, qui avait déjà habilement œuvré, en réussissant à dissuader Walter d'étrangler sa femme, pour les mêmes raisons, avait trouvé le bon argument pour solutionner le problème tout en lui remontant le moral.  La vie est simple comme une claque aux fesses... Une bonne raclée et l'affaire était réglée. Flagrant délit de faute impardonnable, le motif était tout trouvé pour justifier une mesure disciplinaire stricte, adaptée à la gravité de la situation. Régine Duplessy est une femme intègre. Elle se sent davantage affectée d'avoir été abusée par un mari volage, que du coup de canif dans le contrat de mariage.  Béatrice finit de la convaincre en l'informant de ce qui s'était passé.
 Bettina s'était pris une monumentale correction par son mari, Maxime, qui avait fait
L’intermédiaire avec la lettre... même traitement par sa mère... Restait Gilbert qui en méritait largement autant, sinon plus.
Revigorée par les conseils avisés de ses amies, Régine, en femme de caractère, reprend assez vite une grosse touffe de poil de la bête.
– « Vous avez raison !  S’exclame-t-elle soudain en sautant de son fauteuil. Une bonne raclée, c'est ça qu'il lui faut !  Ah monsieur avait des envies de sauter la voisine... Ou l'inverse... c'est pareil... C'est ses fesses moi que je vais faire sauter... sur mes genoux ! Il va me payer ça le petit saligaud ! Elle jette le dernier Kleenex de la boîte, roulé en boule, à côté de la corbeille à papier... Et il va devoir faire un emprunt parce que ça va lui coûter cher ! » 
– « Eh bien voilà ! dit Béatrice, avec un large sourire, à chaque problème, une seule solution... la fessée !  Il n'y a rien de plus efficace qu'une bonne fessée déculottée ! Et dans le cas présent, il me semble évident qu'une seule ne suffira pas ... »

Ça n'avait pas traîné, après deux minutes de consultation, le diagnostic confirmé, l’ordonnance était rédigée. La fessée matin et soir pendant une semaine, avec soins intensifs au Dolpic. Et encore il échappait au traitement « Journée fesses rouges » préconisé pour faute grave par madame Sylvie, une autre voisine et amie, particulièrement sévère avec son mari.

Gladys toujours très organisée s'enquière des accessoires indispensables.
– « Il a ce qu'il faut en slips à fessée ?... Il faudrait aussi que tu prévoies un bon martinet.
– « Oui, mais, tu sais, je le fesse beaucoup à la main. J'aime bien sentir les vibrations et la montée en cuisson de ses fesses pendant que je le corrige. Mais c'est vrai, je vais devoir racheter un martinet... Le sien commence à perdre du cinglant à force de servir. C'est un bon complément aux fessées à la main.  Je vais l’emmener chez Coleridge, il a besoin de slips et d'un solide martinet... Finalement, c'est une occasion en or de bien m'occuper de ses fesses ! »

Régine est une femme de caractère, elle a déjà retrouvé son allant. La perspective de cette petite revanche lui a redonné le moral et une nouvelle énergie. Elle a clairement l'intention d'une sérieuse reprise en main, et compte bien retourner la situation à son avantage. Après l'humiliation... La réparation. Pour ces femmes à poigne, la vengeance est un plat qui se déguste plutôt brûlant sur les fesses.

 Après avoir remaquillé Béatrice au rouge à lèvre, sous les embrassades, le trio de fesseuses sort du salon, bras dessus bras dessous, toutes guillerettes, se régalant à l'avance du sort réservé à l'ami Gilbert en représailles de son comportement lamentable.  Clarisse et Gladys connaissent bien Régine. Elles savent qu'elle n'a pas l'habitude de faire des économies d'énergie sur les fessées, mais l'encouragent tout de même à faire preuve d'extrême sévérité, en insistant sur la légitimité de la punition. Elles passeront évidemment pour vérifier que monsieur profite bien de son traitement et donner le coup de main sur les fesses pour contribuer à la réussite du projet '' fessées rééducatives''. 
 
Régine n'a pas l'intention de faire traîner les choses et décide de commencer la punition le soir même.
– « Ça va lui faire tout drôle quand il va rentrer. Dit-elle en embrassant à son tour ses deux amies avant de monter dans sa voiture, garée juste en face le salon de coiffure. Elle descend sa vitre. Je vais adopter la méthode Béatrice et lui envoyer un SMS pour le faire mariner un peu. » Elle remonte sa vitre en riant et sort son portable. Le message est explicite.
 ''Nous avons un compte à régler tous les deux. Prépare tes fesses, et le dîner aussi. Je m'occuperai de la cuisson des deux.''

Elle arriva devant chez elle en trombe. Un peu trop vite même, et déborda d'une roue avant sur le trottoir avant de se garer correctement. Elle entra en claquant la porte derrière elle pour signaler sa présence et annoncer en même temps l'arrivée de la fessée. Elle balança ses clés de voiture dans la coupelle sur la commode, se débarrassa de son sac, de sa veste de tailleur, et fit irruption dans la cuisine. Assis à la table, Gilbert épluchait tranquillement des légumes pour le rôti de porc, en écoutant la radio. La météo annonçait une soirée orageuse sur l'ensemble de la région placée en état d'alerte. Il ne se doutait pas à quel point son postérieur, lui aussi, était classé zone rouge.

Régine se plante devant lui, les bras croisés sous une poitrine aux courbes ascendantes par-dessus son décolleté.
– « C'est comme ça que tu prépares tes fesses ?
Gilbert, qui sait très bien ce qui l'attend et pour quelle raison, fait l'innocent et balbutie, une pomme de terre à la main.
– Mais chérie... Je prépare le dîner comme tu me l'as demandé. Tu vois je suis en train d'épluch... 
Il n'a pas le temps de finir sa phrase, ni de voir venir, la beigne à assommer un bœuf que sa femme lui envoie sans sommation.
 – « Et celle-là, elle t'épluche quoi ? Tu te fiches de moi en plus ! Et ferme moi cette radio d'abord !... Tu sais très bien de quoi il s'agit ! Je suis au courant pour Bettina...  Ça fait combien de temps que ça dure votre petit manège... Hein ?
– Mais chérie, je te jure il ne s'est rien pass...
– Non bien sûr... Et les lettres de demandes de rendez-vous... C'est pour jouer aux cartes sans doute ? » 
Gilbert n'a pas vu, non plus, venir la deuxième baffe qui lui expédie la tête de l'autre côté. Sous le choc, sa pomme de terre lui échappe des mains et tombe dans l'eau de la casserole avec un grand plouf, qui éclabousse partout.
  Non Régine... Ec...Ecoute moi, je... je vais t'expliquer... Il se frotte la joue avec sa main mouillée, pleine de terre des épluchures. 
  Il n'y a rien à expliquer ! Tout le monde est au courant dans le quartier ! J'ai l'air de quoi moi... hein ?  Tu me fais passer pour une gourde !
– Mais chérie ce n'est pas ce que tu crois... je...
  Ah ça suffit ! Arrête de mentir ? Tu ne fais qu'aggraver ton cas, imbécile !  C'est l'heure de régler les comptes mon ami. Bettina, a déjà reçu une belle correction par son mari. Comme elle avait déjà le feu aux fesses, l'incendie n'est pas prêt de s'éteindre. Maxime, votre petit messager complice, s'en est ramassé une bonne aussi par sa mère. Alors maintenant devine... C'est à qui le tour de se prendre sa raclée hein ?
  Euuuuh... Attends... je te jure que...
  Rien du tout !  Baisse ton pantalon et amène-moi tes fesses ! Ou plutôt non, viens ici, c'est moi qui vais le faire. »

Régine s'est emparée d'une chaise qu'elle place au milieu de la cuisine. Elle s'assied en retroussant sa jupe en haut des cuisses jusqu'au renfort noir de ses bas nylon.
– « Je vais te mettre ta fessée ici. Ça retentit beaucoup mieux sur le carrelage. Aller, approche... Laisse tes légumes tu finiras après. On est beaucoup plus actif les fesses bien rouges ! ».

Gilbert a cause perdue depuis le début. Il n'a plus rien à dire et vient docilement se placer debout entre les jambes écartées de sa femme. Elle dégrafe sa ceinture, et baisse son pantalon en le fixant droit dans les yeux.
– « Regarde-moi quand je te déculotte ! Je veux voir la tête de minable que tu fais avant de recevoir ta fessée. »

Une fois installé à plat ventre sur ses genoux, elle ne le déculotte pas entièrement, décidant de lui chauffer d'abord les fesses à travers son slip. Le nylon présente l'avantage de favoriser et d'entretenir la chaleur et facilite ainsi la préparation du derrière à corriger. Les ''slips à fessées'' sont justement conçus pour cette étape préliminaire. Elle le lui ajuste, parfaitement tendu sur ses grosses fesses rebondies qui offrent alors une surface bien ferme sous la main, très agréable à corriger.
Elle jubile l'épouse en colère, et prend le temps de le mettre tranquillement dans la position qu'elle estime la meilleure, pour bien lui claquer sa fessée. Elle l'oblige à creuser les reins au maximum, et lui fait ressortir les fesses, genoux pliés, afin que son fessier soit exposé parfaitement tendu.
 La rage et la vexation qu’elle subit depuis qu'elle a appris l'humiliante nouvelle semblent éclater d’un coup après s’être accumulées en elle. Gilbert l'a bien compris et, machinalement, obéissant sans qu’elle doive insister, il s'est mis en position : fessier épanoui au maximum, bombé sous sa main, arrondi et développé le plus qu'il le peut.

Elle commence alors par un petit échauffement en lui allongeant une dizaine de claques sur chaque fesse, le temps de trouver la bonne trajectoire et l'angle de frappe le plus efficace.
– « Je vais te faire claquer le derrière comme jamais, mon ami ! Pour ça, je te conseille de garder la position pendant toute la durée de ta fessée, si tu ne veux pas que je double la dose ! »
L'épouse trompée, ou presque, tient sa vengeance sur le mari trompeur. La vraie fessée démarre, immédiatement claquante, avec un bruit d’enfer, la cuisson gagnant rapidement tout son postérieur. Il a à peine le temps de réaliser, mais la réalité s’impose dans sa tête et surtout sur ses fesses.
Ça y est, c’est la fessée ! La fessée déculottée, comme d’habitude, mais cette fois elle s'annonce très sévère ! Il regrette déjà sa faute impardonnable, la trahison. Il n'aurait pas dû céder à la tentation... Mais c'est trop tard. Son gros derrière tout rouge gigote déjà sur les genoux de sa femme, il n’y a plus que çà qui compte maintenant. Il n'a rien d'autre à faire que présenter ses fesses bien exposées et la fessée ! Ses pieds tapent le sol et montent en l’air en pédalant.

Régine, portée par la légitimité d'une punition amplement méritée, fesse avec un plaisir vengeur tout en le sermonnant.
– « Alors, on la sent bien sa fessée... Elle commence à faire de l'effet on dirait !
– Pour ça oui ! Oui chérie... ça... ça fait mal ! Tu claques vraiment dur !

une fessée déculottée


– Je vais me gêner tiens !... Après la honte que tu m'as mise. Et tu peux crier et pleurer tant que tu veux, ce n'est que le début !
– Noooon chérie, pitié, non ! Je... je m’excuse ! Je suis désolé..., je...  je me suis mal conduit... 
– Pour ça c'est sûr... Reconnais tu alors avoir mérité une sévère correction ? »
Gilbert, malgré le nombre de fessées qu'il reçoit régulièrement, est très sensible du derrière, et déjà en souffrance. Il est prêt à avouer ou promettre n'importe quoi sous la fessée, comme de tricoter un pullover avec des gants de boxe.
– « Oui, chérie... Oui j'ai mérité une sévère correction... mais... mais pas... ouille, aie...aie pas si fort la fessée ! »  
Régine n'a cure de ses jérémiades et continue à l'admonester.
– « Ah il est beau le Don Juan d'Opérette en train de prendre sa fessée sur les genoux de sa femme ! Il est joli le séducteur... Il fait moins le malin maintenant avec ses fesses bien rouges ! 
– Ouiiii ! … Noooon !... Pardooon !... Pitié ! »
– Ah non...Trop facile le pardon... ne crois pas que tu vas t'en tirer comme ça ! »

La colère de l'épouse bafouée ne faiblit pas, son bras non plus. Elle lève bien haut la main à la recherche du plus grand élan possible et continue à lui claquer le derrière en s'appliquant à bien ajuster les allers et retours d'une fesse à l’autre. Comme à son habitude, elle varie sa frappe, changeant par moment la cadence des claques afin qu'il ne puisse d’aucune manière les anticiper.  Au bout de cinq minutes ’de ce traitement, il a déjà les fesses rougies à point. La couleur montante est nettement visible à travers la transparence de son slip. Ça chauffe dur sous le nylon, si intensément qu'il en pleure bruyamment, sans retenu, comme un sale gosse sévèrement fessé par sa ''Baby Sitter'‘.

Insensible à ses supplications, tout à son désir de vengeance Régine s'amuse même de ses larmoiements et continue à lui faire la leçon en ironisant sur son comportement. 
– « Fini les roucoulades avec Bettina l'allumeuse. Monsieur voulait profiter de ses fesses et bien maintenant c'est moi qui profite des tiennes ! »   
Encore quelques bonnes claquées bien cuisantes et elle décide de mettre un terme à cette première fessée. Elle le fait se relever.
– « Et maintenant, mon petit bonhomme, tu vas sagement aller au coin, là-bas, près du frigo, en dessous du martinet, le nez bien collé au mur, à genoux, les mains sur la tête, les fesses bien tendues .... Hummm elles sont bien rouges ! Elles ont l'air de bien cuire ?  Mais ce n'est pas encore suffisant.... La séance de fessées n'est pas terminée.  Encore quelques dizaines de claques tout de suite... Et comme ça, tu vas attendre bien patiemment que ton épouse chérie décroche ce martinet et t’ordonne d’aller te remettre en position sur la chaise pour recevoir une nouvelle fessée.  Une belle grosse fessée au martinet, très sévère, longue et bien cuisante ... ! » 
Gilbert pétrifié écoute sans rien la suite de sa punition dont sa femme, loin d'être calmée, le menace. Elle continue, comme si elle prenait plaisir à le tourmenter.
– « Tu vas voir comme le martinet va être efficace sur tes grosses fesses déjà toutes rouges de mari puni... Tu verras !...  Je vais t'apprendre moi à faire des galipettes avec ta maîtresse ! Allez ! File ! au piquet et je ne veux plus t’entendre ! »

Sans demander son reste, il court se mettre au coin, à l’endroit et dans la position indiquée, en pleurant à chaudes larmes. Ses fesses lui cuisent intensément et il se retient pour ne pas les frictionner. Elles ont déjà pris une belle allure et offrent maintenant une rougeur nettement perceptible à travers le voile transparent de son slip. La surface de fesses, débordant des élastiques, et directement exposée aux claques, présente une nuance de rouge un peu plus foncée.
Régine ne s'arrête plus.
 – « Alors... Tu l'as senti passer celle-là ! Tu vas rester là, au coin, sans bouger en attendant la suivante. Et profites en pour réfléchir aux conséquences de tes actes et du respect qu'on doit à son épouse ! »
. Elle savoure le spectacle 'de ses grosses fesses rouges solidement culottées, secouées par les sanglots. Il a du mal à retrouver sa respiration entrecoupée de hoquet nerveux. Il murmure d'une voix caverneuse, qui résonne entre le mur et le frigo.
– « Oui Régine... oui... je... je te promets que...
  Oh la la ! Surtout ne promets rien ! Tu es incapable de tenir une parole, encore moins un engagement. ! »

Le signal sonore de son portable interrompit la conversation. Il vibra plusieurs fois sur la table basse du salon avant qu'elle l'atteigne.
– « Oui Clarisse ?... Oui... Où j'en suis avec Gilbert?... Pas de problème on est en pleine séance...Tout va bien... Pour ça oui... il n'en a pris qu'une seule pour le moment... je l'ai mis au coin dans la cuisine, en attendant la suivante...  Elles ont déjà une belle couleur... Mais bien sûr, tu passes quand tu veux... on ne bouge pas d'ici ! »
Elle repose le téléphone sur la table et retourne voir son mari toujours en pénitence dans la cuisine, près du frigo. Davantage préoccupé par la cuisson de ses fesses que par ce qu'il se passe autour de lui, il a vaguement entendu la conversation sans vraiment comprendre de qui il s'agissait. Il sent la présence de sa femme derrière lui.

– « Attention Gilbert, je te surveille …Tu ne bouges pas d’un millimètre, et tu gardes le nez contre le mur... le derrière bien tendu ...sinon gare à tes fesses ! … Et ne t’en fais pas, tu vas l'avoir ta bonne grosse fessée au martinet …sois patient ...elle va venir quand je le déciderai. »

Gilbert, sait qu'il n'a aucune alternative. La gravité de sa faute, reconnue, lui rend   impossible toute forme de discussion. Il est entièrement livré à la colère légitime de sa femme et va devoir accepter sa punition jusqu'au bout. Se soumettre à ses quatre volontés mues par un désir de réparation. Il s'efforce d’obéir à la lettre pour ne donner prise à aucun reproche supplémentaire.  Mais à la longue, il commence à avoir mal aux genoux et son fessier est toujours en train de cuire.

Régine repéra un léger déplacement. Comme si elle n'attendait que ça.
 – « Je t’avais prévenu mon ami ! C'est la fessée ! »

déculotté pour la fessée


C'est une ancienne sportive au physique athlétique. Elle est beaucoup plus forte que lui.  Elle le soulève sans hésiter sous son bras pour lui positionner le derrière en l’air dans la trajectoire la plus commode pour sa main, le déculotte cette fois ci, et, pendant quelques minutes, lui flanque une nouvelle fessée de claques vigoureuses qui le font immédiatement hurler de nouveau. En peu de temps, la petite accalmie de la cuisson de son postérieur acquise pendant la mise au coin fut totalement perdue ! Il se retrouve une fois de plus, les larmes coulant jusque dans sa bouche ouverte, bavant jusque par terre, implorant en vain.
 – « Pitié chérie Aiiiiie ! Pi... Pitié Ouiiile !  S'il te... te plaît !! Ouaiiiiie !! Plus...Plus la fessée, plus la fessée !!! »
 Elle le reposa brutalement sans égard pour ses genoux douloureux.
 – « Et je te préviens... recommence à bouger et la prochaine fessée ce sera double ration au martinet !
   Oooooh non chérie... je t'en prie... Tu m'as déjà bien puni...S'il te plaît...plus la fessée !
   Non mais tu plaisantes j'espère... Après ce que tu as fait ! Ta correction est loin d'être terminée mon ami »
Et elle retourne à ses occupations sans cesser de le surveiller. C’est alors que retentit le carillon de l'entrée.
– « Tu ne bouges pas d'ici. Je vais ouvrir. »
Vu sa situation, le malheureux ne risque pas de bouger. Il s'inquiète plutôt de qui cela pourrait être, et redoute d'être découvert dans cette humiliante posture, au coin, les fesses déculottées rougies par une récente fessée.

Hélas pour lui, c'était le pire qui pouvait lui arriver. Il reconnaît immédiatement la voix et le verbe haut de Clarisse, qui résonne dans l'entrée. Il entend nettement la conversation. Elle n'a pas résisté à l'envie de venir prendre des nouvelles. Aussi, s'il en était besoin, de soutenir, son amie dans la mise en œuvre du régime de punition qu'elles ont projeté ensembles. Sa présence ne présage rien de bon pour la suite de sa correction. Régine aurait certainement à cœur de montrer toute la sévérité dont elle est capable dans l'administration de ses fessées. Sans compter que, connaissant la réputation de Clarisse, elle ne se gênera pas pour lui en flanquer une ou deux à l'occasion. Il en trépigne sur place en gémissant d'appréhension alors qu'il perçoit le claquement des deux paires de talons aiguille traversant le salon pour se diriger vers la cuisine. 

Clarisse, à peine arrivée, remarque que l'ami Gilbert est au coin, le derrière tout rouge, en train de pleurer. Elle s’adresse très naturellement à son amie en posant son sac sur la table et en soupesant d'un regard gourmand le solide fessier déculotté bien en vue.
– « Ah oui !...  C'est vrai qu'il en a une belle paire lui aussi ! Surtout quand elle commence à être bien rouge comme ça... Ce sont des fesses idéales pour la fessée ! On voit tout de suite que tu viens de lui en mettre une sévère...  J'ai raté ça tiens ! Il a reçu le martinet ?
– Non, pas encore …je le laisse bien sentir déjà sa fessée à la main … Je viens d'ailleurs lui en mettre une deuxième pour bien lui cuire les fesses.
– Tu as raison une fessée au martinet ça se prépare ; Il faut l'administrer sur des fesses écarlates pour qu'elle soit efficace.
  Comme tu dis, un derrière ça se prépare. Il vient d’ailleurs de recevoir un petit supplément ...Mais ne t’en fais pas, la fessée au martinet, c’est pour tout à l’heure et il va la sentir, je peux te le garantir !
– Oh pour ça, je te fais confiance … Il le mérite...Une belle grosse paire de fesses aussi bien développée, a besoin de fessées, de cuisantes fessées, longues et sévères. A ta place, juste avant sa fessée au martinet, je lui en mettrais encore une autre à la main, bien claquée, pour mieux lui sensibiliser le derrière ! 

Les cheveux de Gilbert qui avaient commencé à se dresser sur sa tête font soudain demi-tour. Les deux femmes sont en train de lui contempler le derrière, jaugeant son aptitude à encaisser les fessées. Clarisse commente d’un ton amusé.
– « Ma parole, dans cette position, avec les fesses toutes rouges, il a un postérieur aussi rebondi et volumineux que le nôtre !!! »
Il craint ce qui va suivre ...Il les entend bouger…inquiet, il se risque à glisser un coup d’œil sournois, en gardant la tête immobile, un peu dissimulée par ses coudes levés pour garder ses mains derrière la nuque.



Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 11
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, c'est le chapitre 13.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

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2 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Ces messieurs risquent de passer la Saint-Sylvestre en faisant la danse des Canards... Et Mam'e Bellebourge qui pensait les inviter.
    Ca va chauffeeeeeeer !!!! Mais...mais où est donc passé Rodolphe ??
    Cotillons et martinet !!! Beau programme.
    Amicalement. Peter.

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  2. Bonjour Peter,
    Rodolphe "le fourbe" a occupé le devant de la scène pendant un moment... Il s'en est pris des sévères, et sa mère, Clarisse, veille au grain.
    Mais les adultes sont aussi indisciplinés que les ados. Ce sont les fesses de ces messieurs pour le moment qui occupent les mains de ces Dames... Il faut dire qu'ils se distinguent particulièrement par leur niveau d'irresponsabilité.
    On ne sait plus où donner de la fessée ma pôv'Dame!
    Amicalement
    Ramina

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