LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
EPOUSE EN COLERE, FESSEE D'ENFER
Finalement, Madame Duplessy décida de ne pas divorcer. La
nouvelle de la vraie fausse liaison entre Bettina et son mari s'était répandue
comme une langue ... de traînée de poudre et vite fait le tour des petites
gazettes locales bien pensantes. Lorsqu'elle avait fini par l'apprendre, sa
première réaction avait été d'envisager la séparation. Peut-être, davantage,
pour préserver sa dignité que par dépit amoureux. Après quinze ans de mariage
et quelques dérapages, même contrôlés, le ressort de la passion s'était quelque
peu détendu au sein du couple... ceux du sommier conjugal, aussi.
Il n'empêche que, sur le coup, son honneur, à défaut
de vertu, en avait tout de même pris un coup. Du coup... ça faisait deux
coups... coup sur coup ! Du coup... donc, le jour de la découverte du
drame, Régine Duplessy, partiellement anéantie par l'humiliante nouvelle, était
arrivée en larmes, au salon de coiffure. Gladys et Clarisse, en rendez-vous ce jour-là avaient su trouver les mots justes pour la
réconforter de sa disgrâce auprès du mari volage. Même si finalement il ne
s'était pas passé grand-chose entre les deux dévergondés. La solidarité
féminine dans ces cas de figure est tout autant présente que dans la situation
inverse.
Effondrée dans un fauteuil, sous un casque de séchoir, elle
s'était lamenté sur son sort avec conviction, en vidant la moitié d'une boîte
de mouchoir en papier. De temps en temps, entre deux hoquets, elle se
tamponnait les yeux, pour essuyer ses larmes en étalant son rimmel dégoulinant
sur ses joues. Défigurée la pauvre dame ! Jamais elle n'aurait imaginé
Gilbert capable d'infidélité et, le sachant pas forcément très futé, étonnée
qu'il ait pu réussir à manœuvrer sans qu'elle se doute de rien. Gladys l'avait
raisonnée.
– « Franchement, Régine, tu ne vas tout de même pas
divorcer pour ça ! Avec toutes les
complications que cela entraînerait.
– Tu ne vas pas te
lancer dans un truc pareil, avait ajouté Clarisse. Qu'est-ce que ça va
t'apporter de divorcer ? Tu peux très bien continuer à vivre comme ça et
en profiter pour faire ce que tu veux !
Il ne pourra rien te reprocher maintenant. »
Béatrice, qui
avait déjà habilement œuvré, en réussissant à dissuader Walter d'étrangler sa
femme, pour les mêmes raisons, avait trouvé le bon argument pour solutionner le
problème tout en lui remontant le moral.
La vie est simple comme une claque aux fesses... Une bonne raclée et
l'affaire était réglée. Flagrant délit de faute impardonnable, le motif était
tout trouvé pour justifier une mesure disciplinaire stricte, adaptée à la
gravité de la situation. Régine Duplessy est une femme intègre. Elle se sent
davantage affectée d'avoir été abusée par un mari volage, que du coup de canif
dans le contrat de mariage. Béatrice
finit de la convaincre en l'informant de ce qui s'était passé.
Bettina s'était pris
une monumentale correction par son mari, Maxime, qui avait fait
L’intermédiaire avec la lettre... même traitement par sa
mère... Restait Gilbert qui en méritait largement autant, sinon plus.
Revigorée par les conseils avisés de ses amies, Régine, en
femme de caractère, reprend assez vite une grosse touffe de poil de la bête.
– « Vous avez raison ! S’exclame-t-elle soudain en sautant de son
fauteuil. Une bonne raclée, c'est ça qu'il lui faut ! Ah monsieur avait des envies de sauter la
voisine... Ou l'inverse... c'est pareil... C'est ses fesses moi que je vais
faire sauter... sur mes genoux ! Il va me payer ça le petit
saligaud ! Elle jette le dernier Kleenex de la boîte, roulé en boule, à
côté de la corbeille à papier... Et il va devoir faire un emprunt parce que ça
va lui coûter cher ! »
– « Eh bien voilà ! dit Béatrice, avec un large
sourire, à chaque problème, une seule solution... la fessée ! Il n'y a rien de plus efficace qu'une bonne
fessée déculottée ! Et dans le cas présent, il me semble évident qu'une
seule ne suffira pas ... »
Ça n'avait pas traîné, après deux minutes de consultation,
le diagnostic confirmé, l’ordonnance était rédigée. La fessée matin et soir
pendant une semaine, avec soins intensifs au Dolpic. Et encore il
échappait au traitement « Journée fesses rouges » préconisé pour
faute grave par madame Sylvie, une autre voisine et amie, particulièrement
sévère avec son mari.
Gladys toujours très organisée s'enquière des accessoires
indispensables.
– « Il a ce qu'il faut en slips à fessée ?... Il
faudrait aussi que tu prévoies un bon martinet.
– « Oui, mais, tu sais, je le fesse beaucoup à la
main. J'aime bien sentir les vibrations et la montée en cuisson de ses fesses
pendant que je le corrige. Mais c'est vrai, je vais devoir racheter un
martinet... Le sien commence à perdre du cinglant à force de servir. C'est un
bon complément aux fessées à la main. Je
vais l’emmener chez Coleridge, il a besoin de slips et d'un solide martinet...
Finalement, c'est une occasion en or de bien m'occuper de ses fesses ! »
Régine est une femme de caractère, elle a déjà retrouvé son
allant. La perspective de cette petite revanche lui a redonné le moral et une
nouvelle énergie. Elle a clairement l'intention d'une sérieuse reprise en main,
et compte bien retourner la situation à son avantage. Après l'humiliation... La
réparation. Pour ces femmes à poigne, la vengeance est un plat qui se déguste
plutôt brûlant sur les fesses.
Après avoir
remaquillé Béatrice au rouge à lèvre, sous les embrassades, le trio de
fesseuses sort du salon, bras dessus bras dessous, toutes guillerettes, se
régalant à l'avance du sort réservé à l'ami Gilbert en représailles de son
comportement lamentable. Clarisse et
Gladys connaissent bien Régine. Elles savent qu'elle n'a pas l'habitude de
faire des économies d'énergie sur les fessées, mais l'encouragent tout de même
à faire preuve d'extrême sévérité, en insistant sur la légitimité de la
punition. Elles passeront évidemment pour vérifier que monsieur profite bien de
son traitement et donner le coup de main sur les fesses pour contribuer à la
réussite du projet '' fessées rééducatives''.
Régine
n'a pas l'intention de faire traîner les choses et décide de commencer la
punition le soir même.
–
« Ça va lui faire tout drôle quand il va rentrer. Dit-elle en embrassant à
son tour ses deux amies avant de monter dans sa voiture, garée juste en face le
salon de coiffure. Elle descend sa vitre. Je vais adopter la méthode Béatrice
et lui envoyer un SMS pour le faire mariner un peu. » Elle remonte sa
vitre en riant et sort son portable. Le message est explicite.
''Nous
avons un compte à régler tous les deux. Prépare tes fesses, et le dîner aussi.
Je m'occuperai de la cuisson des deux.''
Elle
arriva devant chez elle en trombe. Un peu trop vite même, et déborda d'une roue
avant sur le trottoir avant de se garer correctement. Elle entra en claquant la
porte derrière elle pour signaler sa présence et annoncer en même temps
l'arrivée de la fessée. Elle balança ses clés de voiture dans la coupelle sur
la commode, se débarrassa de son sac, de sa veste de tailleur, et fit irruption
dans la cuisine. Assis à la table, Gilbert épluchait tranquillement des légumes
pour le rôti de porc, en écoutant la radio. La météo annonçait une soirée
orageuse sur l'ensemble de la région placée en état d'alerte. Il ne se doutait
pas à quel point son postérieur, lui aussi, était classé zone rouge.
Régine se plante devant lui, les bras
croisés sous une poitrine aux courbes ascendantes par-dessus son décolleté.
– « C'est comme ça que tu prépares tes
fesses ?
Gilbert, qui sait très bien ce qui
l'attend et pour quelle raison, fait l'innocent et balbutie, une pomme de terre
à la main.
– Mais chérie... Je prépare le dîner
comme tu me l'as demandé. Tu vois je suis en train d'épluch...
Il n'a pas le temps de finir sa phrase,
ni de voir venir, la beigne à assommer un bœuf que sa femme lui envoie sans
sommation.
– « Et celle-là, elle
t'épluche quoi ? Tu te fiches de moi en plus ! Et ferme moi cette radio
d'abord !... Tu sais très bien de quoi il s'agit ! Je suis au courant
pour Bettina... Ça fait combien de temps
que ça dure votre petit manège... Hein ?
– Mais chérie, je te jure il ne s'est
rien pass...
– Non bien sûr... Et les lettres de
demandes de rendez-vous... C'est pour jouer aux cartes sans
doute ? »
Gilbert n'a pas vu, non plus, venir la
deuxième baffe qui lui expédie la tête de l'autre côté. Sous le choc, sa pomme
de terre lui échappe des mains et tombe dans l'eau de la casserole avec un
grand plouf, qui éclabousse partout.
–
Non Régine... Ec...Ecoute moi, je... je vais t'expliquer... Il se frotte
la joue avec sa main mouillée, pleine de terre des épluchures.
–
Il n'y a rien à expliquer ! Tout le monde est au courant dans le
quartier ! J'ai l'air de quoi moi... hein ? Tu me fais passer pour une gourde !
– Mais chérie ce n'est pas ce que tu
crois... je...
–
Ah ça suffit ! Arrête de mentir ? Tu ne fais qu'aggraver ton
cas, imbécile ! C'est l'heure de régler les comptes mon ami.
Bettina, a déjà reçu une belle correction par son mari. Comme elle avait déjà
le feu aux fesses, l'incendie n'est pas prêt de s'éteindre. Maxime, votre petit
messager complice, s'en est ramassé une bonne aussi par sa mère. Alors
maintenant devine... C'est à qui le tour de se prendre sa raclée hein ?
–
Euuuuh... Attends... je te jure que...
–
Rien du tout ! Baisse ton
pantalon et amène-moi tes fesses ! Ou plutôt non, viens ici, c'est moi qui
vais le faire. »
Régine s'est emparée d'une chaise
qu'elle place au milieu de la cuisine. Elle s'assied en retroussant sa jupe en
haut des cuisses jusqu'au renfort noir de ses bas nylon.
– « Je vais te mettre ta fessée ici. Ça
retentit beaucoup mieux sur le carrelage. Aller, approche... Laisse tes légumes tu
finiras après. On est beaucoup plus actif les fesses bien rouges ! ».
Gilbert a cause perdue depuis le début.
Il n'a plus rien à dire et vient docilement se placer debout entre les jambes
écartées de sa femme. Elle dégrafe sa ceinture, et baisse son pantalon en le
fixant droit dans les yeux.
– « Regarde-moi quand je te
déculotte ! Je veux voir la tête de minable que tu fais avant de recevoir
ta fessée. »
Une fois installé à plat ventre sur ses
genoux, elle ne le déculotte pas entièrement, décidant de lui chauffer d'abord
les fesses à travers son slip. Le nylon présente l'avantage de favoriser et d'entretenir
la chaleur et facilite ainsi la préparation du derrière à corriger. Les ''slips
à fessées'' sont justement conçus pour cette étape préliminaire. Elle le lui
ajuste, parfaitement tendu sur ses grosses fesses rebondies qui offrent alors
une surface bien ferme sous la main, très agréable à corriger.
Elle jubile l'épouse en colère, et prend
le temps de le mettre tranquillement dans la position qu'elle estime la
meilleure, pour bien lui claquer sa fessée. Elle l'oblige à creuser les reins
au maximum, et lui fait ressortir les fesses, genoux pliés, afin que son
fessier soit exposé parfaitement tendu.
La
rage et la vexation qu’elle subit depuis qu'elle a appris l'humiliante nouvelle
semblent éclater d’un coup après s’être accumulées en elle. Gilbert l'a bien
compris et, machinalement, obéissant sans qu’elle doive insister, il s'est mis
en position : fessier épanoui au maximum, bombé sous sa main, arrondi et
développé le plus qu'il le peut.
Elle commence alors par un petit
échauffement en lui allongeant une dizaine de claques sur chaque fesse, le
temps de trouver la bonne trajectoire et l'angle de frappe le plus efficace.
– « Je vais te faire claquer le derrière
comme jamais, mon ami ! Pour ça, je te conseille de garder la position
pendant toute la durée de ta fessée, si tu ne veux pas que je double la
dose ! »
L'épouse trompée, ou presque, tient sa
vengeance sur le mari trompeur. La vraie fessée démarre, immédiatement
claquante, avec un bruit d’enfer, la cuisson gagnant rapidement tout son postérieur.
Il a à peine le temps de réaliser, mais la réalité s’impose dans sa tête et
surtout sur ses fesses.
Ça y est, c’est la fessée ! La fessée
déculottée, comme d’habitude, mais cette fois elle s'annonce très sévère ! Il
regrette déjà sa faute impardonnable, la trahison. Il n'aurait pas dû céder à
la tentation... Mais c'est trop tard. Son gros derrière tout rouge gigote
déjà sur les genoux de sa femme, il n’y a plus que çà qui compte maintenant. Il
n'a rien d'autre à faire que présenter ses fesses bien exposées et la fessée !
Ses pieds tapent le sol et montent en l’air en pédalant.
Régine, portée par la légitimité d'une
punition amplement méritée, fesse avec un plaisir vengeur tout en le
sermonnant.
– « Alors, on la sent bien sa fessée...
Elle commence à faire de l'effet on dirait !
– Pour ça oui ! Oui chérie... ça...
ça fait mal ! Tu claques vraiment dur !
– Je vais me gêner tiens !... Après
la honte que tu m'as mise. Et tu peux crier et pleurer tant que tu veux, ce
n'est que le début !
– Noooon chérie, pitié, non ! Je...
je m’excuse ! Je suis désolé..., je...
je me suis mal conduit...
– Pour ça c'est sûr... Reconnais tu
alors avoir mérité une sévère correction ? »
Gilbert, malgré le nombre de fessées
qu'il reçoit régulièrement, est très sensible du derrière, et déjà en
souffrance. Il est prêt à avouer ou promettre n'importe quoi sous la fessée,
comme de tricoter un pullover avec des gants de boxe.
– « Oui, chérie... Oui j'ai mérité une
sévère correction... mais... mais pas... ouille, aie...aie pas si fort la
fessée ! »
Régine n'a cure de ses jérémiades et
continue à l'admonester.
– « Ah il est beau le Don Juan
d'Opérette en train de prendre sa fessée sur les genoux de sa femme ! Il
est joli le séducteur... Il fait moins le malin maintenant avec ses fesses bien
rouges !
– Ouiiii ! … Noooon !...
Pardooon !... Pitié ! »
– Ah non...Trop facile le pardon... ne
crois pas que tu vas t'en tirer comme ça ! »
La colère de l'épouse bafouée ne faiblit
pas, son bras non plus. Elle lève bien haut la main à la recherche du plus
grand élan possible et continue à lui claquer le derrière en s'appliquant à
bien ajuster les allers et retours d'une fesse à l’autre. Comme à son habitude,
elle varie sa frappe, changeant par moment la cadence des claques afin qu'il ne
puisse d’aucune manière les anticiper.
Au bout de cinq minutes ’de ce traitement, il a déjà les fesses rougies
à point. La couleur montante est nettement visible à travers la transparence de
son slip. Ça chauffe dur sous le nylon, si intensément qu'il en pleure
bruyamment, sans retenu, comme un sale gosse sévèrement fessé par sa ''Baby
Sitter'‘.
Insensible à ses supplications, tout à
son désir de vengeance Régine s'amuse même de ses larmoiements et continue à
lui faire la leçon en ironisant sur son comportement.
– « Fini les roucoulades avec Bettina
l'allumeuse. Monsieur voulait profiter de ses fesses et bien maintenant c'est
moi qui profite des tiennes ! »
Encore quelques bonnes claquées bien
cuisantes et elle décide de mettre un terme à cette première fessée. Elle le
fait se relever.
– « Et maintenant, mon petit bonhomme,
tu vas sagement aller au coin, là-bas, près du frigo, en dessous du martinet,
le nez bien collé au mur, à genoux, les mains sur la tête, les fesses bien
tendues .... Hummm elles sont bien rouges ! Elles ont l'air de bien cuire
? Mais ce n'est pas encore suffisant.... La séance de fessées n'est pas
terminée. Encore quelques dizaines de
claques tout de suite... Et comme ça, tu vas attendre bien patiemment que ton
épouse chérie décroche ce martinet et t’ordonne d’aller te remettre en position
sur la chaise pour recevoir une nouvelle fessée. Une belle grosse fessée au martinet, très
sévère, longue et bien cuisante ... ! »
Gilbert pétrifié écoute sans rien la suite
de sa punition dont sa femme, loin d'être calmée, le menace. Elle continue,
comme si elle prenait plaisir à le tourmenter.
– « Tu vas voir comme le martinet va
être efficace sur tes grosses fesses déjà toutes rouges de mari puni... Tu
verras !... Je vais t'apprendre moi
à faire des galipettes avec ta maîtresse ! Allez ! File ! au piquet et je
ne veux plus t’entendre ! »
Sans demander son reste, il court se
mettre au coin, à l’endroit et dans la position indiquée, en pleurant à chaudes
larmes. Ses fesses lui cuisent intensément et il se retient pour ne pas les
frictionner. Elles ont déjà pris une belle allure et
offrent maintenant une rougeur nettement perceptible à travers le voile
transparent de son slip. La surface de fesses, débordant des élastiques, et
directement exposée aux claques, présente une nuance de rouge un peu plus
foncée.
Régine ne s'arrête plus.
–
« Alors... Tu l'as senti passer celle-là ! Tu vas rester là, au coin, sans
bouger en attendant la suivante. Et profites en pour réfléchir aux conséquences
de tes actes et du respect qu'on doit à son épouse ! »
. Elle savoure le spectacle 'de ses
grosses fesses rouges solidement culottées, secouées par les sanglots. Il a du
mal à retrouver sa respiration entrecoupée de hoquet nerveux. Il murmure d'une
voix caverneuse, qui résonne entre le mur et le frigo.
– « Oui Régine... oui... je... je te
promets que...
–
Oh la la ! Surtout ne promets rien ! Tu es incapable de tenir
une parole, encore moins un engagement. ! »
Le signal sonore de son portable
interrompit la conversation. Il vibra plusieurs fois sur la table basse du
salon avant qu'elle l'atteigne.
– « Oui Clarisse ?... Oui... Où
j'en suis avec Gilbert?... Pas de problème on est en pleine séance...Tout
va bien... Pour ça oui... il n'en a pris qu'une seule pour le moment... je l'ai
mis au coin dans la cuisine, en attendant la suivante... Elles ont déjà une belle couleur... Mais bien
sûr, tu passes quand tu veux... on ne bouge pas d'ici ! »
Elle repose le téléphone sur la table et
retourne voir son mari toujours en pénitence dans la cuisine, près du frigo.
Davantage préoccupé par la cuisson de ses fesses que par ce qu'il se passe
autour de lui, il a vaguement entendu la conversation
sans vraiment comprendre de qui il s'agissait. Il sent la présence de sa femme
derrière lui.
– « Attention Gilbert, je te
surveille …Tu ne bouges pas d’un millimètre, et tu gardes le nez contre le
mur... le derrière bien tendu ...sinon gare à tes fesses ! … Et ne t’en
fais pas, tu vas l'avoir ta bonne grosse fessée au martinet …sois patient
...elle va venir quand je le déciderai. »
Gilbert, sait qu'il n'a
aucune alternative. La gravité de sa faute, reconnue, lui rend impossible toute forme de discussion. Il est
entièrement livré à la colère légitime de sa femme et va devoir accepter sa
punition jusqu'au bout. Se soumettre à ses quatre volontés mues par un désir de
réparation. Il s'efforce d’obéir à la lettre pour ne donner prise à aucun
reproche supplémentaire. Mais à la longue, il commence à avoir mal aux
genoux et son fessier est toujours en train de cuire.
Régine repéra un léger
déplacement. Comme si elle n'attendait que ça.
– « Je t’avais prévenu mon ami ! C'est la
fessée ! »
C'est une ancienne sportive
au physique athlétique. Elle est beaucoup plus forte que lui. Elle le soulève sans hésiter sous son bras
pour lui positionner le derrière en l’air dans la trajectoire la plus commode
pour sa main, le déculotte cette fois ci, et, pendant quelques minutes, lui
flanque une nouvelle fessée de claques vigoureuses qui le font immédiatement
hurler de nouveau. En peu de temps, la petite accalmie de la cuisson de son
postérieur acquise pendant la mise au coin fut totalement perdue ! Il se
retrouve une fois de plus, les larmes coulant jusque dans sa bouche ouverte,
bavant jusque par terre, implorant en vain.
– « Pitié chérie Aiiiiie ! Pi... Pitié
Ouiiile ! S'il te... te
plaît !! Ouaiiiiie !! Plus...Plus la fessée, plus la fessée
!!! »
Elle le reposa brutalement sans égard pour ses
genoux douloureux.
– « Et je te préviens... recommence à bouger
et la prochaine fessée ce sera double ration au martinet !
– Oooooh
non chérie... je t'en prie... Tu m'as déjà bien puni...S'il te plaît...plus la
fessée !
– Non
mais tu plaisantes j'espère... Après ce que tu as fait ! Ta
correction est loin d'être terminée mon ami »
Et elle retourne à ses
occupations sans cesser de le surveiller. C’est alors que retentit le carillon de
l'entrée.
– « Tu ne bouges pas d'ici. Je vais
ouvrir. »
Vu sa situation, le malheureux ne risque
pas de bouger. Il s'inquiète plutôt de qui cela pourrait être, et redoute
d'être découvert dans cette humiliante posture, au coin, les fesses déculottées
rougies par une récente fessée.
Hélas pour lui, c'était le pire qui
pouvait lui arriver. Il reconnaît immédiatement la voix et le verbe haut de
Clarisse, qui résonne dans l'entrée. Il entend nettement la conversation. Elle
n'a pas résisté à l'envie de venir prendre des nouvelles. Aussi, s'il en était
besoin, de soutenir, son amie dans la mise en œuvre du régime de punition
qu'elles ont projeté ensembles. Sa présence ne présage rien de bon pour la
suite de sa correction. Régine aurait certainement à cœur de montrer toute la
sévérité dont elle est capable dans l'administration de ses fessées. Sans
compter que, connaissant la réputation de Clarisse, elle ne se gênera pas pour
lui en flanquer une ou deux à l'occasion. Il en trépigne sur place en gémissant
d'appréhension alors qu'il perçoit le claquement des deux paires de talons
aiguille traversant le salon pour se diriger vers la cuisine.
Clarisse, à peine arrivée,
remarque que l'ami Gilbert est au coin, le derrière tout rouge, en train de
pleurer. Elle s’adresse très naturellement à son amie en posant son sac sur la
table et en soupesant d'un regard gourmand le solide fessier déculotté bien en
vue.
– « Ah oui !... C'est vrai qu'il en a une belle paire lui
aussi ! Surtout quand elle commence à être bien rouge comme ça... Ce sont
des fesses idéales pour la fessée ! On voit tout de suite que tu viens de
lui en mettre une sévère... J'ai raté ça
tiens ! Il a reçu le martinet ?
– Non, pas encore …je le
laisse bien sentir déjà sa fessée à la main … Je viens d'ailleurs lui en mettre
une deuxième pour bien lui cuire les fesses.
– Tu as raison une fessée au
martinet ça se prépare ; Il faut l'administrer sur des fesses écarlates
pour qu'elle soit efficace.
– Comme tu dis, un derrière ça se prépare. Il
vient d’ailleurs de recevoir un petit supplément ...Mais ne t’en fais pas, la
fessée au martinet, c’est pour tout à l’heure et il va la sentir, je peux te le
garantir !
– Oh pour ça, je te fais
confiance … Il le mérite...Une belle grosse paire de fesses aussi bien développée,
a besoin de fessées, de cuisantes fessées, longues et sévères. A ta place, juste
avant sa fessée au martinet, je lui en mettrais encore une autre à la main,
bien claquée, pour mieux lui sensibiliser le derrière !
Les cheveux de Gilbert qui
avaient commencé à se dresser sur sa tête font soudain demi-tour. Les deux femmes
sont en train de lui contempler le derrière, jaugeant son aptitude à encaisser
les fessées. Clarisse commente d’un ton amusé.
– « Ma parole, dans cette
position, avec les fesses toutes rouges, il a un postérieur aussi rebondi et
volumineux que le nôtre !!! »
Il craint ce qui va suivre
...Il les entend bouger…inquiet, il se risque à glisser un coup d’œil sournois,
en gardant la tête immobile, un peu dissimulée par ses coudes levés pour garder
ses mains derrière la nuque.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 11
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerCes messieurs risquent de passer la Saint-Sylvestre en faisant la danse des Canards... Et Mam'e Bellebourge qui pensait les inviter.
Ca va chauffeeeeeeer !!!! Mais...mais où est donc passé Rodolphe ??
Cotillons et martinet !!! Beau programme.
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerRodolphe "le fourbe" a occupé le devant de la scène pendant un moment... Il s'en est pris des sévères, et sa mère, Clarisse, veille au grain.
Mais les adultes sont aussi indisciplinés que les ados. Ce sont les fesses de ces messieurs pour le moment qui occupent les mains de ces Dames... Il faut dire qu'ils se distinguent particulièrement par leur niveau d'irresponsabilité.
On ne sait plus où donner de la fessée ma pôv'Dame!
Amicalement
Ramina