« Les
orties ce soir et nous aurons bouclé la punition de ce week-end. Je ne pense
pas que Marguerite recommencera. »
C’était
exactement ce que pensait Marguerite dans son coin. Evidemment, maintenant que
sa cheffe de service lui donnait la fessée en public, il n’y avait plus rien à
dissimuler. Chacun savait maintenant de quelle façon elle était punie, à la
maison comme au travail.
Ce matin-là,
Maeva avait fait attention à ne pas faire de bêtise. Il n’avait donc pas été
nécessaire de lui donner une fessée.
« On
pourrait faire un tour au marché, proposa Fara.
– Excellente
idée, mais je vais devoir rester à la maison. Il faut quelqu’un pour surveiller
Marguerite.
– Ah oui, je
n’avais pas pensé à Marguerite. C’est dommage !
– Ce n’est pas
grave. Prépare les deux filles. Vous y irez tous les trois. Ça leur fera une
sortie. »
Teva était
déçue. Elle aimait bien ces moments où on pouvait flâner, prendre son temps,
rencontrer des connaissances et consacrer le temps qu’on voulait à papoter avec
elles.
« La
triste condition de parent. Elle conditionne notre vie. »
Teva ne
regrettait rien. A côté de petites choses auxquelles il fallait renoncer, il y
avait de nombreux moments qui compensaient, quand elle tenait l’une de ses
filles sur ses genoux pour un câlin, par exemple. C’est cette pensée qui
déclencha une association d’idées.
« Mais
oui, je suis certaine que cela va lui faire plaisir si elle n’est pas déjà
occupée. »
« Marguerite,
viens avec moi ! »
C’était
inattendu. Marguerite pensait qu’elle allait rester une bonne partie de la
matinée au coin et Teva lui demandait d’en sortir alors qu’elle n’y avait passé
que quelques minutes. C’était une indication pourtant claire de Teva qui lui
demandait de sortir de la pièce où elle était.
Marguerite
hésita un court instant, mais il ne lui avait été donné aucune autorisation de
remonter sa culotte, ni de laisser tomber sa jupe pour couvrir ses fesses nues.
Elle conserva donc la position qu’elle avait au coin. Peut-être son temps de
pénitence se continuerait-il dans un autre endroit ?
« Va
sonner chez Hélène. Elle est d’accord pour te garder au coin le temps que nous
allions au marché. Elle t’attend. »
Marguerite fit
quelques pas vers la porte.
« Est-ce
que je peux baisser ma jupe ?
– Il n’en est
pas question, tu es toujours punie jusqu’à la fin du temps au coin. Jusque-là,
tout le monde doit voir tes fesses afin de savoir que tu es punie. »
Marguerite fit
encore un pas.
« Mais,
les gens qui passent dans l’escalier ?
– Ne
t’inquiète pas pour eux. Cela commence à se savoir que Maeva et toi vous
recevez la fessée déculottée. Le petit périple de Maeva quand elle est allée
demander pardon à la voisine du dessus, n’est pas passé inaperçu. Personne ne sera
étonné de te voir ainsi.
– Mais, fit Marguerite…
– Ça
suffit ! N’oublie pas que tu es encore punie et qu’il n’y a aucun souci à
te donner une autre fessée, sur le palier s’il le faut ! »
C’était un
argument à prendre en compte. Il y avait urgence à obéir. Marguerite ouvrit la
porte de l’appartement. Le bruit d’une conversation l’arrêta net. Elle ne
savait s’il venait des étages supérieurs ou inférieurs, elle ne savait pas si
les personnes se déplaçaient en venant vers elle ou pas. Toutes les possibilités
étaient ouvertes, y compris celle de se trouver nez à nez avec des inconnus.
Une claque sur
les fesses la propulsa hors de l’appartement.
« Je
t’avais prévenue ! »
Teva ne lui
permettrait pas d’effectuer une retraite dans l’attente que ce bruit soit mieux
identifié. Il ne restait qu’une solution : faire vite. Elle hâta le pas
autant que faire se peut. Trois ou quatre mètres, tout au plus, mais ils furent
très longs. Se libérer une main pour appuyer sur le bouton de la sonnette, sans
laisser la jupe retomber posa problème. Marguerite trouva la solution, mais
cela prit un peu de temps.
Il n’y eut
aucune réaction à la première sonnerie. Maeva lui avait raconté sa mésaventure
quand elle avait dû attendre que Teva vienne lui ouvrir. Chez Hélène, pas plus
que dans les autres appartements le bruit de la sonnette ne s’entendait à
l’extérieur. Marguerite eut le même sentiment d’abandon. Pas question de sonner
une deuxième fois avant d’être certaine que le coup de sonnette n’avait eu
aucun effet. Teva avait refermé la porte, Marguerite était seule, les fesses à
l’air, jupe retroussée et la culotte aux genoux et le bruit d’une conversation
qui se rapprochait.
Quand il
devint évident que les personnes dont elle entendait la conversation étaient à
l’un des étages supérieurs, sans doute celui du dessus et qu’ils descendaient
l’escalier, Marguerite laissa tomber sa jupe. Un observateur attentif
remarquerait sans doute la culotte qui dépassait, mais c’était moindre mal. La
porte de l’appartement d’Hélène s’ouvrit à ce moment-là.
« Comment
se fait-il que la jupe soit baissée ? Teva m’a bien recommandé de et
laisser fesses apparentes durant tout le temps de ta punition. Tu ne le savais
pas ? »
Il aurait fallu
mentir. Marguerite en connaissait les conséquences.
« Si,
Hélène, mais il y avait les gens qui arrivent. »
D’un signe de
menton, elle désignait l’escalier, par où ne tarderaient pas à surgir les
personnes dont on entendait maintenant les paroles presque distinctement.
Hélène jeta un regard rapide dans cette direction.
« Et alors ?
Je ne vois pas le rapport.
– Je… mes
fesses… ils vont voir… je…
– Ah oui, je
comprends. Tu as préféré désobéir plutôt que de prendre le risque que des
voisins sachent que tu reçois la fessée. »
Présenté sous
cet angle, cela annonçait une suite désagréable. C’était le cas dès qu’il
s’agissait de désobéissance. Marguerite savait qu’elle allait recevoir une
fessée, mais elle préférait cela à la honte d’exposer ses fesses aux passants
inconnus. Elle baissa les yeux. Il n’y avait rien à répondre.
« Qu’est-ce
qui arrive aux grandes filles désobéissantes ?
– Elles… elles
sont punies.
– C’est cela.
Une bonne fessée ! Tu croyais sans doute que je serai plus clémente que
Teva ? Il n’en est rien ! »
Hélène attrapa
Marguerite et elle la ploya sous son bras. Elle releva la jupe.
« Non,
supplia Marguerite ! Pas ici ! »
Hélène
l’ignora. La fessée commença aussitôt. La main suffit pour raviver la cuisson
des fesses et, bien qu’elle tenta de rester silencieuse, pour arracher des cris
à Marguerite. Du coin de l’œil, elle vit arriver les quatre personnes qui
descendaient l’escalier. Un couple et deux enfants. Ils se figèrent quand ils
virent ce qui se déroulait sous leurs yeux.
« Désolé
de vous infliger cette scène de discipline domestique, mais cette demoiselle a
besoin d’être remise à sa place.
– Non, ne vous
excusez pas. Nous savons ce que c’est que d’avoir des enfants. Surtout quand
ils sont grands.
– Je vous
remercie. Je n’en ai pas pour longtemps.
– Je me trompe
ou c’est la grande fille qui habite à côté de chez vous.
– Non, vous
avez raison. C’est Marguerite. C’est moi qui la garde ce matin.
– Bonne
continuation ! »
Hélène reprit
la fessée là où elle l’avait laissée. Marguerite commençait à sentir ses fesses
chauffer sérieusement.
« Tu vas
te mettre au coin ici pendant quelques temps. Que cela te serve de
leçon ! »
Il y avait
juste la place, dans l’angle tout à côté de la porte de l’appartement d’Hélène,
pour qu’on s’y tienne au coin. Evidemment, toute personne qui monterait ou
descendrait l’escalier ne pourrait pas louper les fesses ainsi exposées.
Marguerite, le
regard affolé, supplia Hélène du regard. La certitude qu’elle y lu lui ôta tout
espoir. Le cœur battant la chamade, elle se plaça au coin et elle remonta sa
jupe. Elle étouffa un sanglot. Pendant combien de temps serait-elle obligée de
rester là ? Combien de personnes emprunteront l’escalier pendant ce
temps ?
La porte de
l’appartement d’à côté s’ouvrit.
« Oh,
c’est Marguerite ! »
Elle reconnut
la voix de Maeva qui n’avait pu s’empêcher d’exprimer sa surprise. Chacun à
leur tour y alla de son commentaire.
« Elle
est punie, demanda Moana ?
– Oui, ma
chérie. Elle a dû faire une nouvelle bêtise, répondit Fara.
– Je fais
toute confiance à Hélène. Si elle l’a mise au coin ici, c’est qu’il y a une
raison. Si c’est une désobéissance sur le palier, c’est le bon endroit pour la
mettre en pénitence.
– Laissons-la
finir sa punition. Hélène s’en occupe. Allons-y. »
Avec les pas
de toute la famille qui s’éloignaient en descendant l’escalier, le silence
revint. Encore de longues minutes d’attente. Pas un bruit. Marguerite était
tendue à l’extrême. Elle ne pouvait utiliser que son ouïe, mais elle en
scrutait continûment l’espace sonore. Y avait-il un son annonciateur de la
présence d’une autre personne ? Hélène viendrait-elle bientôt la sortir de
cet endroit ? N’était-ce pas un grattement derrière sa porte qui indiquait
qu’elle s’apprêtait à la délivrer ? Rien. Pas un son si ce n’est ceux,
très étouffés qui venaient de la rue.
Puis, il y eut
une porte qui s’ouvrit. Des voix. Une porte qui se fermait. La même ? Le
bruit des voix continuait. Dans l’escalier. C’était à deux ou trois étages
au-dessus.
Il fallut se
rendre à l’évidence. Les voix se rapprochaient. Marguerite serra les fesses.
Que faire ? Pas question de bouger, pas question de cacher ses fesses. Si
Hélène s’en apercevait ! Des larmes coulaient silencieusement sur ses
joues.
« Tout
cela pour que les voisins ne sachent pas que je reçois la fessée. C’est
raté ! »
On entendait
maintenant les quelques échanges banaux entre une mère et sa fille. L’étage
au-dessus. Pas plus loin.
« Oh
regarde Maman, la fille elle est au coin !
– Je vois ça.
Elle a pris une fessée. Ses fesses sont encore toutes rouges. »
Les deux
passantes s’étaient arrêtées.
« C’est
l’appartement d’Hélène. C’est elle qui doit l’avoir punie. Je croyais pourtant
que cette demoiselle venait chez Teva. Il faudra que je tire cela au clair. Je
leur demanderai.
– Tu crois
qu’elle sera encore là quand on reviendra ?
– Je ne sais
pas, ma chérie. C’est Hélène qui décidera. Etre au coin sur le palier, la
culotte baissée à son âge. Je pense qu’elle se souviendra de cette punition.
– Elle a dû
faire une grosse bêtise.
– Sans aucun
doute ! »
Après cette
petite pause, elles repartirent. Marguerite était au centre de leur
conversation qui se poursuivait. Qui étaient-elles ? Marguerite serait
incapable de les reconnaître la prochaine fois qu’elle les croiserait. Ce
n’était pas pareil dans l’autre sens. Nul doute qu’elle serait reconnue du
premier coup d’œil, même si elles n’avaient pas vu son visage.
Il y eut une
autre personne qui passa furtivement, sans un bruit, sans une parole excepté un
bref « oh » quand elle aperçut les fesses nues et qui disparut en
courant quand dès qu’elle le put. Marguerite avait encore moins d’indication
pour déterminer l’identité de cette personne que celle des passants précédents.
« Pourvu
qu’Hélène n’ait pas l’intention de me laisser là toute la matinée ! »
Quelques
minutes plus tard la porte de l’appartement d’Hélène s’ouvrit. Marguerite
résista difficilement à la tentation de se retourner. Ce n’était pas le moment.
Hélène prolongerait certainement le temps de pénitence. Marguerite voulait
l’éviter à tout prix.
« As-tu
décidé d’être obéissante ou préfères-tu que je te laisse là ?
– Oh non,
Hélène, je vais être sage.
– Ainsi donc
d’être au coin sur le palier a fait son effet. Je me demande si je ne vais pas
t’y laisser encore un peu. »
Marguerite ne
s’y trompa pas. Hélène ne lui demandait pas son avis. Il était préférable de
rester silencieuse. La décision d’Hélène serait souveraine. Rien ne pouvait s’y
opposer. L’arrivée d’un Monsieur surprit tout le monde. Marguerite ne l’avait
pas entendu arriver.
« Je vois
que nous avons là une vilaine jeune fille. Je vous félicite pour votre
sévérité. Les parents sont maintenant beaucoup trop laxistes. Cela fait plaisir
de rencontrer des gens qui prennent cette question à bras le corps.
– Je vous
remercie. C’est un travail qui demande de l’attention. Cela ne fait pas
longtemps que je surveille cette donzelle, mais je me rends compte que cela
demande de l’énergie.
– Je vois que
vous lui avez donné une fessée.
– C’était
indispensable ! Cette jeune femme a cru qu’elle pouvait faire fi des
règles qui lui sont imposées. Une fessée était obligatoire.
– Vous avez
raison. Je pense qu’elle va se souvenir et de la fessée et du temps qu’elle a
passé au coin, là où tout le monde pouvait voir ses fesses. C’est une bonne
leçon !
– C’est une
adorable petite fille, mais il faut maintenir une discipline implacable.
– Continuez
comme cela. C’est ce qu’il faut. Je vous souhaite le bonjour !
– Bonne
journée à vous également. »
Le Monsieur
s’éloigna.
« Alors,
as-tu décidé d’être sage ou préfères-tu que je te laisse là ?
– Oh non,
Hélène, s'il te plait. Je vais être sage.
– Nous allons
voir cela. A la moindre incartade, c’est la fessée. Rentre ! »
Même avec une
menace de fessée, Marguerite préférait l’intimité relative de l’appartement
d’Hélène. Ses fesses y seraient toujours exposées, mais avec une audience
restreinte. Sa réputation de jeune femme fessée se diffuserait bien assez vite.
Hélène, en
tenant Marguerite par le cou, la conduisit dans le séjour. Ce n’était pas
compliqué de se repérer, c’était le même appartement que celui de Teva et Fara,
mais organisé de façon symétrique. Le long des murs, il y avait des étagères
surchargées de livres. Cela intriguait Marguerite qui n’en avait jamais vu
autant rassemblé en un même lieu dans un espace privé. Elle n’eut pas vraiment
le temps de s’y attarder. Sa destination était claire : le coin. Hélène
l’y conduisait tout droit.
« Tu sais
comment te tenir au coin chez Teva ? Chez moi, c’est pareil. »
Bien
évidemment, une fois qu’elle y fût installée, plus question d’explorer ce
nouvel univers. Depuis qu’elle n’avait plus son téléphone, Marguerite avait
redécouvert les charmes de la lecture. Elle avait le sentiment d’avoir un
retard conséquent à rattraper. La bibliothèque d’Hélène, trop rapidement
entrevue, excitait sa curiosité.
La frustration
qu’elle ressentait l’horripilait. C’est pourtant l’un des principes du
coin : il se passe des tas de choses intéressantes dans son dos, alors
qu’on est contraint de ne contempler que les quelques centimètres carrés de mur
dont on dispose devant ses yeux.
La longue
attente commença. Marguerite se sentait plus en sécurité que sur le palier.
Mais elle avait l’impression qu’Hélène l’avait oubliée. Même si cela signifiait
lui exposer ses fesses nues, elle aurait préféré qu’Hélène soit attentive à ce
qu’elle faisait, qu’elle vienne surveiller ce qu’elle faisait.
Elle écoutait les
bruits de ce nouvel appartement. Hélène naviguait d’une pièce à l’autre. Elle
le faisait très discrètement, mais un bruit trahissait, de temps en temps,
l’endroit où se tenait sa gardienne. Jamais dans le séjour. Marguerite se
sentait seule. Elle aurait voulu qu’Hélène s’occupât bien plus d’elle.
Etait-ce
inconscient ? Etait-ce inconsidéré ? Etait-ce volontaire ? Marguerite
elle-même aurait bien été incapable de le dire. Elle commença par tourner
rapidement la tête pour jeter un coup d’œil rapide. Elle la remettait en place
aussitôt.
« Puisqu’Hélène
ne s’occupe pas de moi, autant en profiter. »
Elle regardait
autour d’elle plus franchement. Il y avait des livres de toute sorte, de toute
taille et de toutes les couleurs. C’était fascinant. Elle tordit le coup pour
lire un ou deux titres. C’était plus facile si elle faisait un pas de côté.
Elle lâcha sa jupe d’une main pour prendre un des livres dont le titre
l’attirait, afin d’en regarder la couverture. Il y avait là un monde à
explorer.
« Mais
qu’est-ce que c’est que ça ? »
Marguerite
reprit la pose requise au coin, mais c’était trop tard. Le mal était fait. Elle
entendit que les pas d’Hélène se rapprochaient. La claque sur les fesses
l’envoya contre le mur. La distance à parcourir était faible, le choc n’était
pas bien grand, par contre la cuisson sur ses fesses l’était.
« Où te
crois-tu ? Je vais t’apprendre ce que cela veut dire d’être punie au
coin ! »
Hélène ploya Marguerite
sous son bras. Elle prit un peu de distance par rapport au coin en revenant de
quelques pas vers le centre de la pièce. La main s’abattit sur les fesses.
Hélène n’avait pas une grande expérience en administration de fessées. Elle
devait juger de l’effet produit au regard des réactions de Marguerite. Au
début, elles semblèrent modérées. Elle appuya donc ses claques en cherchant à
donner une plus grande vitesse à sa main quand elle frappait les fesses. La
peau rougit assez vite sous les impacts répétés et Marguerite gémissait et
poussait un cri plus sonore de temps en temps.
Cela lui sembla
insuffisant pour punir une telle légèreté. Il fallait faire plus forte
impression. Elle n’avait pas de martinet à sa disposition. Pourtant
l’utilisation d’un instrument punitif s’imposait. Hélène relâcha Marguerite.
« Attends-moi
ici. Sans bouger ! »
Ce ne fut pas
long. Elle revint avec une règle plate en bois. Marguerite pâlit à sa vue.
« Non,
pardon, je ne le ferai plus.
– Désolée,
mais j’ai l’impression que tu as pris ce temps au coin avec désinvolture, ce
que tu n’aurais pas fait chez Teva et Fara. Je dois te faire comprendre que je
ne plaisante pas avec les désobéissances. Les punitions sont tout autant
sérieuses dans cet appartement que dans celui d’à côté. Cela passera par des
fesses cuisantes, puisque tu ne sais pas y accorder de l’importance par
toi-même.
– Non Hélène,
je ne voulais pas… »
Hélène replaça
Marguerite sous son bras, dégageant la trajectoire pour la règle. Elle écarta
la jupe qui, dans le mouvement, cachait partiellement les fesses. Il y avait
une nette différence. Dès le premier coup de règle, Marguerite rua et ses deux
pieds décollèrent du sol. Hélène qui ne s’attendait pas à une réaction aussi
forte, en fut presque déséquilibrée.
Elle dut
reprendre sa position avant de continuer la fessée. Cela ne lui prit que
quelques secondes, mais elle était prête pour absorber la réponse de Marguerite
au prochain coup de règle. La ruade ne la prit pas par surprise. Elle maintint
le buste fermement en position et seules les jambes partirent en une
trajectoire folle, mais cela n’empêcha pas la règle de trouver les fesses une
troisième fois.
Il y avait
maintenant trois grands rectangles rouges qui barraient les fesses de Marguerite.
Les gesticulations des jambes ne gênaient plus l’application de la règle.
Hélène accéléra une peu le rythme. Elle maîtrisait les effets qu’elle
produisait avec la règle et elle domptait les réactions de Marguerite. C’était
une punition qui s’engageait parfaitement.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 24
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bientôt, bien sûr, le chapitre 26.
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
Amis de la poésie et de la fessée en marche... d'escalier, bonjour!
RépondreSupprimerBonjour JLG.
C'est fou ce qu'il s'en passe dans cet immeuble ou le réchauffement climatique fessier fait des ravages du rez chaussé jusqu'au dernier niveau. Les fessées claquent à tous les étages, dans les appartements et dans les escaliers...ça marche aussi.
Des papas et mamans avec leurs enfants y croisent des demoiselles d'âge mur, aux fesses rouges, attendant, au coin, sur les paliers. D'autres jeunes filles de trente ans viennent sonner aux portes, la jupe retroussée, le slip sur les cuisses. On se prend des fessées sur les paillassons devant des occupant qui montent et descendent sans arrêt. La belle Hélène, sévère et consciencieuse, fait un petit bout de conversation avec un monsieur, tout en claquant le derrière déculotté de marguerite devant sa porte. Et une fois entrée dans l'appartement, elle s'en prend autant... à la règle.
C'est "l'immeuble de la fessée infernale!" Chaude ambiance mesdame et messieurs. Les fessées y sont tellement fréquentes qu'on pourrait faire des économies de chauffage rien qu'en profitant de la chaleur des derrières! Et bruyantes avec ça, étonnant qu'il n'y ai pas encore de plainte pour tapage diurne ! Mais tout le monde semble trouver ça normal. Il faut de la discipline que diable.
Tout ça pour l'éducation des jeunes filles, dans la fleur de l'âge tout de même... rouge coquelicot, plutôt que blanc marguerite.
L'auteur s'amuse, et nous aussi, de ces situations finalement drôlatiques qui seraient véritablement désopilantes si ce n'était au détriment des fesses de Maéva, Marguerite et con-soeurs, soumises à rude épreuve.
Amicalement
Ramina