mercredi 11 décembre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 25

Teva sortait du séjour. Elle venait de donner la fessée du dimanche matin à Marguerite. Celle-ci se tenait maintenant au coin et Teva comptait l’y laisser un bon moment. Son comportement de ce matin avait été exempt de tout reproche, mais ce n’était pas cela qui lui valait cette fessée. Il n’effaçait pas ce qu’elle avait fait dans le début de la semaine. Teva voulait marquer le coup, il fallait que ce soit fait pendant le week-end. Elle s’y employait avec une compétence certaine.
« Les orties ce soir et nous aurons bouclé la punition de ce week-end. Je ne pense pas que Marguerite recommencera. »
C’était exactement ce que pensait Marguerite dans son coin. Evidemment, maintenant que sa cheffe de service lui donnait la fessée en public, il n’y avait plus rien à dissimuler. Chacun savait maintenant de quelle façon elle était punie, à la maison comme au travail.
Ce matin-là, Maeva avait fait attention à ne pas faire de bêtise. Il n’avait donc pas été nécessaire de lui donner une fessée.

« On pourrait faire un tour au marché, proposa Fara.
– Excellente idée, mais je vais devoir rester à la maison. Il faut quelqu’un pour surveiller Marguerite.
– Ah oui, je n’avais pas pensé à Marguerite. C’est dommage !
– Ce n’est pas grave. Prépare les deux filles. Vous y irez tous les trois. Ça leur fera une sortie. »
Teva était déçue. Elle aimait bien ces moments où on pouvait flâner, prendre son temps, rencontrer des connaissances et consacrer le temps qu’on voulait à papoter avec elles.
« La triste condition de parent. Elle conditionne notre vie. »
Teva ne regrettait rien. A côté de petites choses auxquelles il fallait renoncer, il y avait de nombreux moments qui compensaient, quand elle tenait l’une de ses filles sur ses genoux pour un câlin, par exemple. C’est cette pensée qui déclencha une association d’idées.
« Mais oui, je suis certaine que cela va lui faire plaisir si elle n’est pas déjà occupée. »

« Marguerite, viens avec moi ! »
C’était inattendu. Marguerite pensait qu’elle allait rester une bonne partie de la matinée au coin et Teva lui demandait d’en sortir alors qu’elle n’y avait passé que quelques minutes. C’était une indication pourtant claire de Teva qui lui demandait de sortir de la pièce où elle était.
Marguerite hésita un court instant, mais il ne lui avait été donné aucune autorisation de remonter sa culotte, ni de laisser tomber sa jupe pour couvrir ses fesses nues. Elle conserva donc la position qu’elle avait au coin. Peut-être son temps de pénitence se continuerait-il dans un autre endroit ?
« Va sonner chez Hélène. Elle est d’accord pour te garder au coin le temps que nous allions au marché. Elle t’attend. »
Marguerite fit quelques pas vers la porte.
« Est-ce que je peux baisser ma jupe ?
– Il n’en est pas question, tu es toujours punie jusqu’à la fin du temps au coin. Jusque-là, tout le monde doit voir tes fesses afin de savoir que tu es punie. »
Marguerite fit encore un pas.
« Mais, les gens qui passent dans l’escalier ?
– Ne t’inquiète pas pour eux. Cela commence à se savoir que Maeva et toi vous recevez la fessée déculottée. Le petit périple de Maeva quand elle est allée demander pardon à la voisine du dessus, n’est pas passé inaperçu. Personne ne sera étonné de te voir ainsi.
– Mais, fit Marguerite…
– Ça suffit ! N’oublie pas que tu es encore punie et qu’il n’y a aucun souci à te donner une autre fessée, sur le palier s’il le faut ! »
C’était un argument à prendre en compte. Il y avait urgence à obéir. Marguerite ouvrit la porte de l’appartement. Le bruit d’une conversation l’arrêta net. Elle ne savait s’il venait des étages supérieurs ou inférieurs, elle ne savait pas si les personnes se déplaçaient en venant vers elle ou pas. Toutes les possibilités étaient ouvertes, y compris celle de se trouver nez à nez avec des inconnus.
Une claque sur les fesses la propulsa hors de l’appartement.
« Je t’avais prévenue ! »
Teva ne lui permettrait pas d’effectuer une retraite dans l’attente que ce bruit soit mieux identifié. Il ne restait qu’une solution : faire vite. Elle hâta le pas autant que faire se peut. Trois ou quatre mètres, tout au plus, mais ils furent très longs. Se libérer une main pour appuyer sur le bouton de la sonnette, sans laisser la jupe retomber posa problème. Marguerite trouva la solution, mais cela prit un peu de temps.
Il n’y eut aucune réaction à la première sonnerie. Maeva lui avait raconté sa mésaventure quand elle avait dû attendre que Teva vienne lui ouvrir. Chez Hélène, pas plus que dans les autres appartements le bruit de la sonnette ne s’entendait à l’extérieur. Marguerite eut le même sentiment d’abandon. Pas question de sonner une deuxième fois avant d’être certaine que le coup de sonnette n’avait eu aucun effet. Teva avait refermé la porte, Marguerite était seule, les fesses à l’air, jupe retroussée et la culotte aux genoux et le bruit d’une conversation qui se rapprochait.
Quand il devint évident que les personnes dont elle entendait la conversation étaient à l’un des étages supérieurs, sans doute celui du dessus et qu’ils descendaient l’escalier, Marguerite laissa tomber sa jupe. Un observateur attentif remarquerait sans doute la culotte qui dépassait, mais c’était moindre mal. La porte de l’appartement d’Hélène s’ouvrit à ce moment-là.
« Comment se fait-il que la jupe soit baissée ? Teva m’a bien recommandé de et laisser fesses apparentes durant tout le temps de ta punition. Tu ne le savais pas ? »
Il aurait fallu mentir. Marguerite en connaissait les conséquences.
« Si, Hélène, mais il y avait les gens qui arrivent. »
D’un signe de menton, elle désignait l’escalier, par où ne tarderaient pas à surgir les personnes dont on entendait maintenant les paroles presque distinctement. Hélène jeta un regard rapide dans cette direction.
« Et alors ? Je ne vois pas le rapport.
– Je… mes fesses… ils vont voir… je…
– Ah oui, je comprends. Tu as préféré désobéir plutôt que de prendre le risque que des voisins sachent que tu reçois la fessée. »
Présenté sous cet angle, cela annonçait une suite désagréable. C’était le cas dès qu’il s’agissait de désobéissance. Marguerite savait qu’elle allait recevoir une fessée, mais elle préférait cela à la honte d’exposer ses fesses aux passants inconnus. Elle baissa les yeux. Il n’y avait rien à répondre.
« Qu’est-ce qui arrive aux grandes filles désobéissantes ?
– Elles… elles sont punies.
– C’est cela. Une bonne fessée ! Tu croyais sans doute que je serai plus clémente que Teva ? Il n’en est rien ! »
Hélène attrapa Marguerite et elle la ploya sous son bras. Elle releva la jupe.
« Non, supplia Marguerite ! Pas ici ! »
Hélène l’ignora. La fessée commença aussitôt. La main suffit pour raviver la cuisson des fesses et, bien qu’elle tenta de rester silencieuse, pour arracher des cris à Marguerite. Du coin de l’œil, elle vit arriver les quatre personnes qui descendaient l’escalier. Un couple et deux enfants. Ils se figèrent quand ils virent ce qui se déroulait sous leurs yeux.
« Désolé de vous infliger cette scène de discipline domestique, mais cette demoiselle a besoin d’être remise à sa place.
– Non, ne vous excusez pas. Nous savons ce que c’est que d’avoir des enfants. Surtout quand ils sont grands.
– Je vous remercie. Je n’en ai pas pour longtemps.
– Je me trompe ou c’est la grande fille qui habite à côté de chez vous.
– Non, vous avez raison. C’est Marguerite. C’est moi qui la garde ce matin.
– Bonne continuation ! »
Hélène reprit la fessée là où elle l’avait laissée. Marguerite commençait à sentir ses fesses chauffer sérieusement.
« Tu vas te mettre au coin ici pendant quelques temps. Que cela te serve de leçon ! »
Il y avait juste la place, dans l’angle tout à côté de la porte de l’appartement d’Hélène, pour qu’on s’y tienne au coin. Evidemment, toute personne qui monterait ou descendrait l’escalier ne pourrait pas louper les fesses ainsi exposées.
Marguerite, le regard affolé, supplia Hélène du regard. La certitude qu’elle y lu lui ôta tout espoir. Le cœur battant la chamade, elle se plaça au coin et elle remonta sa jupe. Elle étouffa un sanglot. Pendant combien de temps serait-elle obligée de rester là ? Combien de personnes emprunteront l’escalier pendant ce temps ?

La porte de l’appartement d’à côté s’ouvrit.
« Oh, c’est Marguerite ! »
Elle reconnut la voix de Maeva qui n’avait pu s’empêcher d’exprimer sa surprise. Chacun à leur tour y alla de son commentaire.
« Elle est punie, demanda Moana ?
– Oui, ma chérie. Elle a dû faire une nouvelle bêtise, répondit Fara.
– Je fais toute confiance à Hélène. Si elle l’a mise au coin ici, c’est qu’il y a une raison. Si c’est une désobéissance sur le palier, c’est le bon endroit pour la mettre en pénitence.
– Laissons-la finir sa punition. Hélène s’en occupe. Allons-y. »
Avec les pas de toute la famille qui s’éloignaient en descendant l’escalier, le silence revint. Encore de longues minutes d’attente. Pas un bruit. Marguerite était tendue à l’extrême. Elle ne pouvait utiliser que son ouïe, mais elle en scrutait continûment l’espace sonore. Y avait-il un son annonciateur de la présence d’une autre personne ? Hélène viendrait-elle bientôt la sortir de cet endroit ? N’était-ce pas un grattement derrière sa porte qui indiquait qu’elle s’apprêtait à la délivrer ? Rien. Pas un son si ce n’est ceux, très étouffés qui venaient de la rue.
Puis, il y eut une porte qui s’ouvrit. Des voix. Une porte qui se fermait. La même ? Le bruit des voix continuait. Dans l’escalier. C’était à deux ou trois étages au-dessus.
Il fallut se rendre à l’évidence. Les voix se rapprochaient. Marguerite serra les fesses. Que faire ? Pas question de bouger, pas question de cacher ses fesses. Si Hélène s’en apercevait ! Des larmes coulaient silencieusement sur ses joues.
« Tout cela pour que les voisins ne sachent pas que je reçois la fessée. C’est raté ! »
On entendait maintenant les quelques échanges banaux entre une mère et sa fille. L’étage au-dessus. Pas plus loin.
« Oh regarde Maman, la fille elle est au coin !
– Je vois ça. Elle a pris une fessée. Ses fesses sont encore toutes rouges. »
Les deux passantes s’étaient arrêtées.
« C’est l’appartement d’Hélène. C’est elle qui doit l’avoir punie. Je croyais pourtant que cette demoiselle venait chez Teva. Il faudra que je tire cela au clair. Je leur demanderai.
– Tu crois qu’elle sera encore là quand on reviendra ?
– Je ne sais pas, ma chérie. C’est Hélène qui décidera. Etre au coin sur le palier, la culotte baissée à son âge. Je pense qu’elle se souviendra de cette punition.
– Elle a dû faire une grosse bêtise.
– Sans aucun doute ! »
Après cette petite pause, elles repartirent. Marguerite était au centre de leur conversation qui se poursuivait. Qui étaient-elles ? Marguerite serait incapable de les reconnaître la prochaine fois qu’elle les croiserait. Ce n’était pas pareil dans l’autre sens. Nul doute qu’elle serait reconnue du premier coup d’œil, même si elles n’avaient pas vu son visage.
Il y eut une autre personne qui passa furtivement, sans un bruit, sans une parole excepté un bref « oh » quand elle aperçut les fesses nues et qui disparut en courant quand dès qu’elle le put. Marguerite avait encore moins d’indication pour déterminer l’identité de cette personne que celle des passants précédents.
« Pourvu qu’Hélène n’ait pas l’intention de me laisser là toute la matinée ! »
Quelques minutes plus tard la porte de l’appartement d’Hélène s’ouvrit. Marguerite résista difficilement à la tentation de se retourner. Ce n’était pas le moment. Hélène prolongerait certainement le temps de pénitence. Marguerite voulait l’éviter à tout prix.
« As-tu décidé d’être obéissante ou préfères-tu que je te laisse là ?
– Oh non, Hélène, je vais être sage.
– Ainsi donc d’être au coin sur le palier a fait son effet. Je me demande si je ne vais pas t’y laisser encore un peu. »
Marguerite ne s’y trompa pas. Hélène ne lui demandait pas son avis. Il était préférable de rester silencieuse. La décision d’Hélène serait souveraine. Rien ne pouvait s’y opposer. L’arrivée d’un Monsieur surprit tout le monde. Marguerite ne l’avait pas entendu arriver.
« Je vois que nous avons là une vilaine jeune fille. Je vous félicite pour votre sévérité. Les parents sont maintenant beaucoup trop laxistes. Cela fait plaisir de rencontrer des gens qui prennent cette question à bras le corps.
– Je vous remercie. C’est un travail qui demande de l’attention. Cela ne fait pas longtemps que je surveille cette donzelle, mais je me rends compte que cela demande de l’énergie.
– Je vois que vous lui avez donné une fessée.
– C’était indispensable ! Cette jeune femme a cru qu’elle pouvait faire fi des règles qui lui sont imposées. Une fessée était obligatoire.
– Vous avez raison. Je pense qu’elle va se souvenir et de la fessée et du temps qu’elle a passé au coin, là où tout le monde pouvait voir ses fesses. C’est une bonne leçon !
– C’est une adorable petite fille, mais il faut maintenir une discipline implacable.
– Continuez comme cela. C’est ce qu’il faut. Je vous souhaite le bonjour !
– Bonne journée à vous également. »
Le Monsieur s’éloigna.
« Alors, as-tu décidé d’être sage ou préfères-tu que je te laisse là ?
– Oh non, Hélène, s'il te plait. Je vais être sage.
– Nous allons voir cela. A la moindre incartade, c’est la fessée. Rentre ! »
Même avec une menace de fessée, Marguerite préférait l’intimité relative de l’appartement d’Hélène. Ses fesses y seraient toujours exposées, mais avec une audience restreinte. Sa réputation de jeune femme fessée se diffuserait bien assez vite.

Hélène, en tenant Marguerite par le cou, la conduisit dans le séjour. Ce n’était pas compliqué de se repérer, c’était le même appartement que celui de Teva et Fara, mais organisé de façon symétrique. Le long des murs, il y avait des étagères surchargées de livres. Cela intriguait Marguerite qui n’en avait jamais vu autant rassemblé en un même lieu dans un espace privé. Elle n’eut pas vraiment le temps de s’y attarder. Sa destination était claire : le coin. Hélène l’y conduisait tout droit.
« Tu sais comment te tenir au coin chez Teva ? Chez moi, c’est pareil. »
Bien évidemment, une fois qu’elle y fût installée, plus question d’explorer ce nouvel univers. Depuis qu’elle n’avait plus son téléphone, Marguerite avait redécouvert les charmes de la lecture. Elle avait le sentiment d’avoir un retard conséquent à rattraper. La bibliothèque d’Hélène, trop rapidement entrevue, excitait sa curiosité.
La frustration qu’elle ressentait l’horripilait. C’est pourtant l’un des principes du coin : il se passe des tas de choses intéressantes dans son dos, alors qu’on est contraint de ne contempler que les quelques centimètres carrés de mur dont on dispose devant ses yeux.
La longue attente commença. Marguerite se sentait plus en sécurité que sur le palier. Mais elle avait l’impression qu’Hélène l’avait oubliée. Même si cela signifiait lui exposer ses fesses nues, elle aurait préféré qu’Hélène soit attentive à ce qu’elle faisait, qu’elle vienne surveiller ce qu’elle faisait.
Elle écoutait les bruits de ce nouvel appartement. Hélène naviguait d’une pièce à l’autre. Elle le faisait très discrètement, mais un bruit trahissait, de temps en temps, l’endroit où se tenait sa gardienne. Jamais dans le séjour. Marguerite se sentait seule. Elle aurait voulu qu’Hélène s’occupât bien plus d’elle.
Etait-ce inconscient ? Etait-ce inconsidéré ? Etait-ce volontaire ? Marguerite elle-même aurait bien été incapable de le dire. Elle commença par tourner rapidement la tête pour jeter un coup d’œil rapide. Elle la remettait en place aussitôt.
« Puisqu’Hélène ne s’occupe pas de moi, autant en profiter. »
Elle regardait autour d’elle plus franchement. Il y avait des livres de toute sorte, de toute taille et de toutes les couleurs. C’était fascinant. Elle tordit le coup pour lire un ou deux titres. C’était plus facile si elle faisait un pas de côté. Elle lâcha sa jupe d’une main pour prendre un des livres dont le titre l’attirait, afin d’en regarder la couverture. Il y avait là un monde à explorer.
« Mais qu’est-ce que c’est que ça ? »
Marguerite reprit la pose requise au coin, mais c’était trop tard. Le mal était fait. Elle entendit que les pas d’Hélène se rapprochaient. La claque sur les fesses l’envoya contre le mur. La distance à parcourir était faible, le choc n’était pas bien grand, par contre la cuisson sur ses fesses l’était.
« Où te crois-tu ? Je vais t’apprendre ce que cela veut dire d’être punie au coin ! »
Hélène ploya Marguerite sous son bras. Elle prit un peu de distance par rapport au coin en revenant de quelques pas vers le centre de la pièce. La main s’abattit sur les fesses. Hélène n’avait pas une grande expérience en administration de fessées. Elle devait juger de l’effet produit au regard des réactions de Marguerite. Au début, elles semblèrent modérées. Elle appuya donc ses claques en cherchant à donner une plus grande vitesse à sa main quand elle frappait les fesses. La peau rougit assez vite sous les impacts répétés et Marguerite gémissait et poussait un cri plus sonore de temps en temps.
Cela lui sembla insuffisant pour punir une telle légèreté. Il fallait faire plus forte impression. Elle n’avait pas de martinet à sa disposition. Pourtant l’utilisation d’un instrument punitif s’imposait. Hélène relâcha Marguerite.
« Attends-moi ici. Sans bouger ! »
Ce ne fut pas long. Elle revint avec une règle plate en bois. Marguerite pâlit à sa vue.
« Non, pardon, je ne le ferai plus.
– Désolée, mais j’ai l’impression que tu as pris ce temps au coin avec désinvolture, ce que tu n’aurais pas fait chez Teva et Fara. Je dois te faire comprendre que je ne plaisante pas avec les désobéissances. Les punitions sont tout autant sérieuses dans cet appartement que dans celui d’à côté. Cela passera par des fesses cuisantes, puisque tu ne sais pas y accorder de l’importance par toi-même.
– Non Hélène, je ne voulais pas… »
Hélène replaça Marguerite sous son bras, dégageant la trajectoire pour la règle. Elle écarta la jupe qui, dans le mouvement, cachait partiellement les fesses. Il y avait une nette différence. Dès le premier coup de règle, Marguerite rua et ses deux pieds décollèrent du sol. Hélène qui ne s’attendait pas à une réaction aussi forte, en fut presque déséquilibrée.
Elle dut reprendre sa position avant de continuer la fessée. Cela ne lui prit que quelques secondes, mais elle était prête pour absorber la réponse de Marguerite au prochain coup de règle. La ruade ne la prit pas par surprise. Elle maintint le buste fermement en position et seules les jambes partirent en une trajectoire folle, mais cela n’empêcha pas la règle de trouver les fesses une troisième fois.
Il y avait maintenant trois grands rectangles rouges qui barraient les fesses de Marguerite. Les gesticulations des jambes ne gênaient plus l’application de la règle. Hélène accéléra une peu le rythme. Elle maîtrisait les effets qu’elle produisait avec la règle et elle domptait les réactions de Marguerite. C’était une punition qui s’engageait parfaitement.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 24
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bien sûr, le chapitre 26.

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

1 commentaire:

  1. Amis de la poésie et de la fessée en marche... d'escalier, bonjour!
    Bonjour JLG.
    C'est fou ce qu'il s'en passe dans cet immeuble ou le réchauffement climatique fessier fait des ravages du rez chaussé jusqu'au dernier niveau. Les fessées claquent à tous les étages, dans les appartements et dans les escaliers...ça marche aussi.
    Des papas et mamans avec leurs enfants y croisent des demoiselles d'âge mur, aux fesses rouges, attendant, au coin, sur les paliers. D'autres jeunes filles de trente ans viennent sonner aux portes, la jupe retroussée, le slip sur les cuisses. On se prend des fessées sur les paillassons devant des occupant qui montent et descendent sans arrêt. La belle Hélène, sévère et consciencieuse, fait un petit bout de conversation avec un monsieur, tout en claquant le derrière déculotté de marguerite devant sa porte. Et une fois entrée dans l'appartement, elle s'en prend autant... à la règle.
    C'est "l'immeuble de la fessée infernale!" Chaude ambiance mesdame et messieurs. Les fessées y sont tellement fréquentes qu'on pourrait faire des économies de chauffage rien qu'en profitant de la chaleur des derrières! Et bruyantes avec ça, étonnant qu'il n'y ai pas encore de plainte pour tapage diurne ! Mais tout le monde semble trouver ça normal. Il faut de la discipline que diable.
    Tout ça pour l'éducation des jeunes filles, dans la fleur de l'âge tout de même... rouge coquelicot, plutôt que blanc marguerite.

    L'auteur s'amuse, et nous aussi, de ces situations finalement drôlatiques qui seraient véritablement désopilantes si ce n'était au détriment des fesses de Maéva, Marguerite et con-soeurs, soumises à rude épreuve.
    Amicalement
    Ramina

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