« C’est bien mon
garçon ! Tu vois que quand tu veux, tu peux être très obéissant. Tu as
fini de manger tout ce qu’il y avait dans ton assiette dans les temps. Dommage
qu’il y ait fallu te menacer d’une fessée ! Quoique, cela fonctionne très
bien ! »
Madame Bourgeois avait raison.
J’avais honte qu’elle le fasse remarquer devant toutes les personnes présentes
alors que la salle de restauration s’était peu à peu remplie.
« Va laver ton assiette et
tes couverts, puis tu viendras me voir !
– Inutile de prendre cette peine,
je vais mettre Florence à la vaisselle dès que le repas sera terminé. Elle fait
cela très mal. Il faut donc qu’elle apprenne. Quoi de mieux que de s’exercer
intensivement ? Elle va commencer par faire toute la vaisselle du
déjeuner, puis elle sait qu’elle aura à faire toute celle du laboratoire
traiteur. Cela lui fera du bien.
– Très bien. Axel, contente-toi
d’empiler ton assiette sale sur l’évier, avec les autres. Je
t’attends ! »
Je ne lambinais pas, bien que
sachant que mon rendez-vous avec Madame Bourgeois se conclurait par une fessée.
Ce n’était pas le moment de me faire accuser de désobéissance, même passive ni
même de mauvaise volonté à obéir.
Madame Bourgeois s’était assise
sur la chaise que la fin de la fessée de Florence avait libérée. Je me plaçais
à ses pieds, devant elle. J’étais placé de profil par rapport aux personnes qui
étaient assises à tables, mais comme il y avait du monde un peu partout dans la
pièce je savais que je serai vu sous tous les angles.
En baissant mon pantalon, puis ma
culotte Madame Bourgeois dévoila peu à peu mes fesses et mes organes sexuels.
Ceux qui n’avaient pas encore eu l’occasion de me voir les fesses nues
commentèrent mon épilation. Dans l’ensemble, tout cela fut fait dans un silence
presque complet.
Il y avait ceux qui seraient, à
un moment ou l’autre, en position de devoir fesser l’un de leur collègue et ils
observaient comment Madame Bourgeois s’y prenait et comment son autorité
étouffait dans l’œuf les velléités d’opposition.
Les autres se mettaient à ma
place. Ils savaient que, maintenant, le risque d’être contraints à recevoir une
fessée, était aussi fort que s’ils étaient encore des enfants. Chacun se
demandait comment il réagirait quand un membre de l’encadrement s’apprêtera à
le déculotter.
« Allons, mon grand,
mets-toi là ! »
Madame Bourgeois tapotait ses
genoux, puis elle posa une main dans mon dos en y exerçant une légère pression.
Elle m’incitait, tout en douceur, à me coucher sur ses genoux. Je suivais ses
directives sans résister. Il n’y avait rien d’autre à faire que d’obéir et je
ne songeais pas un instant à me soustraire à la correction qui m’attendait. Ce
que Madame Bourgeois avait décidé avait force de loi. Le nouveau contexte
généralisant la fessée dans le magasin n’avait que le renforcer dans mon esprit
si c’était encore possible.
Madame Bourgeois avait écarté les
jambes pour me ménager une large plateforme sur laquelle je posais mon buste.
Elle me replaça un peu plus près d’elle en me faisant glisser sur ses genoux.
Puis elle posa sa main sur mes fesses nues.
« Profite de cette fessée
pour te persuader que tu dois être plus exigent avec toi-même quand tu
travailles ! »
La fessée fut à la hauteur de mes
craintes : cuisante et interminable. Je m’y attendais, mais ce ne fut pas
plus facile à supporter pour autant. Madame Bourgeois ne se lassait pas de
claquer l’un après l’autre chacun des deux globes fessiers qu’elle avait sous
la main. C’était, à chaque fois, une explosion de douleur qui irradiait depuis
mon postérieur.
Avant que toute la surface de mes
fesses ne fût transformée en une fournaise insupportable, je me livrai à une
danse involontaire et incontrôlée des jambes et de la tête, sur les genoux de
Madame Bourgeois. Elle ne m’en fit aucun reproche. C’était heureux car je ne
crois pas que même la promesse d’une nouvelle fessée aurait pu me permettre me refréner mes mouvements instinctifs.
Je retombais inerte sur les
genoux de Madame Bourgeois quand elle me jugea suffisamment puni et qu’elle mit
fin à la fessée. La cuisson n’en diminua pas pour autant. Au contraire, pendant
quelques minutes, j’eus l’impression qu’elle continuait à augmenter. Je ne savais
pas si l’interdiction de frotter mes fesses que m’avaient imposée Sœur
Gabrielle et Tatie Nathalie, était aussi en vigueur ici. Dans le doute je m’abstins,
mais cela n’aidait pas à faire passer la souffrance.
Je pleurais encore de frustration
et de douleur quand Madame Bourgeois me remit sur mes pieds.
« Va donc rejoindre ta
camarade ! Tu prendras ma même position qu’elle ! »
J’avais passé la première partie
de l’épreuve, la plus douloureuse. Je pouvais espérer, qu’après quelques
minutes passées au piquet, la douleur serait moins aigue et qu’elle diminuerait
progressivement. Je savais que tenir une position immobile durant tout le repas
serait difficile, mais cela était préférable à une fessée donnée par Madame
Bourgeois.
Je me dépêchais de rejoindre
Florence et, soulevant ma chemise, je la maintins de mes bras que je croisais
dans mon dos. Il n’y avait plus qu’à attendre que la cuisson retombe, puis que
Madame Bourgeois me délivre enfin de ma pénitence, mais j’avais un long moment
à passer là, avant que cela n’arrive.
Je n’eus pas vraiment pas le
temps de m’installer dans la monotonie et l’ennui que provoque un long moment
passé au piquet. Je reconnu la voix de Madame Archain.
« Allons, dépêche-toi. Je
n’ai pas que cela à faire !
– Oui, Madame !
Aïe ! »
C’était la voix de Laure. Le
bruit qui avait précédé son cri ne laissait aucun doute. Il s’agissait d’une
claque sur les fesses. Laure n’en avait pas fini avec sa punition. « A
toutes les pauses » avait dit Madame Archain. Celle du déjeuner devait
être incluse dans le lot. Laure devait donc prendre une fessée ce midi.
« Faites-la donc manger
d’abord, proposa Madame Bourgeois. C’est ce que nous avons fait. Ensuite vous
la fessez et vous êtes tranquille pour prendre votre déjeuner pendant qu’elle
sera au coin. »
La méthode de Geneviève faisait
des émules. Il ne fallait pas que nous autres, les punis, nous ne gênions de
trop le repas de ces dames. Et puis, cela permettait de nous laisser un bon
moment au piquet. En s’y prenant de cette façon, on cumulait tous les
avantages.
« Tu as entendu, petite
chipie désobéissante. A table ! Tu vas te dépêcher de manger pour que je
puisse te donner la fessée. »
Laure ne protesta pas. Si je
n’avais pas pu constater, depuis ce matin, que Laure était une femme d’âge mur,
j’aurais été persuadé que Madame Archain s’adressait à une petite fille qui
avait fait quelques caprices. Pendant un petit moment il n’y eut rien d’autre
que les bruits habituels d’un repas et des conversations banales de collègues
autour d’une table. Il n’y avait, en fait que peu de personnes qui prenaient la
parole. Parmi elles, je reconnaissais les voix de Madame Bourgeois, de Madame
Archain et de Geneviève. Les autres déjeunaient en silence ou quand elles
prenaient la parole, c’était en essayant de rester discret.
La porte s’ouvrit de nouveau et,
à la périphérie de mon champ de vision, j’aperçus un équipage qui complétait
bien le tableau. Madame André tenait Jérôme par l’oreille. Elle le tirait ainsi
vers le centre de la salle de restauration.
« Tu te permets de répondre
quand je te fais une remarque. Tu vas le regretter, mon garçon ! Je vais
t’apprendre ce qu’il en coûte ici d’être insolent ! »
Le nez contre le mur, je ne
pouvais pas voir ce qui se passait derrière moi. Mais il n’était pas bien
difficile de deviner ce que Madame André avait en tête et les bruits que
provoqua la suite me confirmèrent la situation.
« Non, non, Madame,
non !
– Comment cela non ?
Prétendrais-tu que tu n’as pas mérité cette fessée ?
– Non, Madame, … euh, je veux
dire si, mais, …
– Alors cesse de te
plaindre ! Tu ne vas avoir que ce dont tu as besoin pour apprendre le
respect dû à tes supérieurs hiérarchiques. Je peux te promettre que c’est la
dernière insolence de ta part dont j’entendrai parler ! »
Il y eut un petit moment de
silence qui fut rompu par un cri de Jérôme.
« Non, Madame, s’il vous
plait, mon pantalon !
– Que t’imagines-tu ?
Crois-tu que je te fesserais sans t’avoir préalablement déculotté ? Tu te
fais des illusions, mon garçon ! »
Jérôme ne cessait de répéter
« non, non, non » mais cela n’eut pas l’air d’émouvoir Madame André.
Il y eut un bruit de chaise que l’on déplaçait.
« Viens ici ! »
Ajuster la position de Jérôme sur
les genoux de Madame André ne prit qu’une seconde. Cela se fit sans laisser de
traces sonores. Jérôme gémissait sourdement, mais il semblait résigné. Puis la
fessée commença. Jérôme changea de chanson. C’était, sans doute sa première
fessée ou du moins sa première depuis longtemps. Il ne devait pas s’attendre
aux effets immédiatement cuisant d’une main expérimentée claquant ses fesses.
Il cria, aussi fort qu’il le pouvait. Il dut avoir une réaction malheureuse.
« Enlève ta main de
là ! Si c’est moi qui dois m’en charger, tu auras une autre fessée ce soir
avant de rentrer chez toi ! »
Les bruits de la fessée sur la
peau nue de Jérôme reprirent. La menace avait dû atteindre son objectif, car il
n’y eut plus d’autre interruption. Les plaintes et les cris de Jérôme ne
cessèrent pas même après que Madame André eut cessé de le fesser.
« Va te mettre à côté d’Axel
et de Florence ! Tu te mets au piquet comme eux !
Jérôme vint se placer à ma
droite. Le mur était maintenant presque entièrement occupé
Il régnait une atmosphère
étrange. La salle de restauration était animée. Les encadrantes conversaient
entre elles, comme elles le faisaient habituellement. Les autres ne parlaient
que très peu, ce qui faisait un relatif silence au milieu duquel on entendait
les bruits des fourchettes et des couteaux quand ils heurtaient les assiettes.
Parfois, un murmure se glissait entre les propos échangés entre les cheffes de
rayon et Madame André. Il ne durait pas.
Ces dames surveillaient ce que
faisaient les employés sous leurs ordres et le comportement pendant le repas
entrait dans le champ de leur contrôle. Elles faisaient preuve d’une vigilance
qui se traduisait par des remontrances sèches.
« Pierre, tiens-toi droit à
table ! »
« Tu finis tout ce que tu as
dans ton assiette, Léa ! »
« J’aimerais, Thomas, que tu
fasses moins de bruit en mâchant. Et ferme la bouche ! »
« Mets tes mains sur la
table ! Tu ne vas pas me faire croire que ta mère ne t’a pas appris les
bonnes manières ! Je lui en parlerais à la première occasion. »
Puis, les menaces devinrent plus
explicites.
« Fais attention, tu en as
mis partout ! Te faut-il une fessée pour apprendre à faire plus
attention ? »
« Camille, s’il y a besoin
de t’expliquer plus clairement de faire moins de bruit en mangeant, je peux le
faire avec une fessée ! »
Aucune des personnes ainsi
interpellées, ne se risqua à répondre autrement que par un « oui
Madame » ou une brève phrase montrant son obéissance. Il n’y eut pas plus
de signe d’humeur d’être réprimandé comme on le faisait pour un enfant, il y a
cinquante ans, dans les familles les plus strictes sur l’obéissance de leur
progéniture. Cela donnait une consistance au risque de recevoir une fessée, qui
ne se démentait pas.
Au contraire, chacun semblait se
couler dans le moule qui se fabriquait en temps réel. Ce fut une petite voix
féminine qui franchit encore un pas dans cette direction.
« Est-ce que je peux sortir
de table, Madame ?
– Oui, si tu as fini.
– Oui, Madame, j’ai tout mangé ce
que j’avais dans mon assiette.
– C’est bien, tu es une grande
fille ! Mets tes couverts dans l’évier, c’est Florence qui fera la
vaisselle. Va te laver les mains et viens me voir que je vérifie si elles sont
propres. »
Après une petite pause, pendant
laquelle de l’eau coula du robinet, la conversation reprit.
« Voilà, Madame.
– C’est bien. Tu peux retourner
travailler.
– Oui, Madame.
– Ah, Emma, J’espère que tu vas
rattraper le retard que tu as pris ce matin dans ton travail. Il ne va pas être
nécessaire que j’aille t’encourager avec une fessée, n’est-ce pas ?
– Oh, non, Madame, s’il vous
plait.
– Ça ne dépend que de toi. Tu as
un petit quart d’heure d’avance. Ecourte ta pause et reprend l’étiquetage sur
lequel tu as lambiné ce matin. Ça te permettra peut-être de finir dans les
temps. Et pas d’erreur cet après-midi !
– Non, Madame, je vais faire
attention. »
L’un après l’autre, chaque
employé demanda l’autorisation de sortir de table et chacun reçut ses
recommandations pour la fin de la journée, assorties de promesses de fessées en
cas de défaillance. A la fin du repas, le rapport adulte enfant, entre les
encadrants et les employés, était bien installé. Il n’avait pas fallu tellement
plus de vingt-quatre heures depuis notre intrusion, Florence et moi, dans l’entreprise
pour que change du tout au tout le rapport le rapport d’autorité et surtout les
moyens de le faire respecter. Cette relation était d’autant plus présente que
les conséquences d’une désobéissance ou d’un dilettantisme dans le travail se
trouvaient concrètement sous les yeux de tous. Il y en eut d’autres exemples
pendant le repas, à commencer par le traitement que Madame Archain réserva à Laure.
« As-tu fini, Laure ?
– Oui, Madame. »
Le tremblement dans la voix de
Laure était audible.
« C’est donc l’heure de ta
punition. Allons, viens ! »
Il n’y eut pas d’autre
commentaire sauf si l’on veut considérer un silence total comme tel : plus
une parole, plus un bruit de fourchette. Je crus entendre le bruit de la
culotte glissant sur les cuisses. Il fut ponctué par le son de l’élastique
claquant sur la peau nue quand Madame Archain relâcha la culotte après l’avoir
baissée.
Les gémissements accablés de
Laure confirmèrent que la préparation de la punition était en bonne voie. Ils
se firent plus forts pendant les instants qui précédèrent le début de la
fessée. Puis le bruit de la main de Madame Archain claquant les fesses de Laure
et les cris de celle-ci remplirent en un instant l’espace sonore.
Madame Archain suspendit la
correction un court instant.
« Es-tu certaine de faire
désormais attention à ce que ta tenue de travail soit présentable ?
– Oh oui … oui Madame, Je le … le
promets ! »
La diction de Laure était
entrecoupée par ses sanglots.
« As-tu bien compris que tu
auras une fessée à chaque fois que ce ne sera pas le cas et quand je penserai,
pour toute autre raison, qu’une bonne correction te fera du bien ?
– J’ai … compris, … Madame j’ai,
… j’ai compris !
– Nous pouvons donc finir cette
punition. ! »
L’acceptation de sa punition ne
faisait pas de doute. Pourtant, la suite de la fessée ne fut pas plus clémente
qu’elle l’avait été son début. Laure le manifesta par ses cris et ses pleurs
continus tant qu’elle fut allongée sur les genoux de Madame Archain ou plus
exactement tant que la main de Madame Archain entretenait la cuisson de ses
fesses.
Laure finit à nos côtés. Comme
nous, ses trois prédécesseurs, elle y vint avec soulagement et avec l’intention
de s’y faire oublier. Sans oser bouger de ma place, je jetais un œil à mes
compagnons de pénitence. Nous formions une belle brochette de punis alignés
contre le mur. La place commençait à y être rare. Je m’imaginais le tableau que
devaient donner ces quatre paires de fesses colorées de teintes allant du rose
clair au rouge foncé.
La pause déjeuner tirait sur sa
fin. Tous les employés qui déjeunaient sur place étaient venus constater
comment l’autorité de la hiérarchie se manifesterait désormais. Nous avions
servi de tableau vivant pour que chacun puisse visualiser les risques qu’il
encourrait à mécontenter les responsables du magasin.
La porte fut ouverte brusquement.
C’était Madame Bovier, la responsable du rayon habillement. Elle poussait
devant elle Maeva, une vendeuse du rayon charcuterie. Maeva ne se débattait pas
vraiment, mais elle traînait des pieds. Elle n’était pas là de son plein gré.
« Je n’ai rien fait,
protestait la jeune femme ! »
Madame Bovier l’amena devant
Madame André.
« J’ai surpris cette petite
peste sur son téléphone. Elle se dissimulait dans le coin à côté de la porte de
la chambre froide de façon à me pas être vue depuis le magasin. Il y avait deux
clients qui attendaient et personne pour les servir.
– Qu’as-tu à dire pour ta
défense ?
– Je … je … je n’ai pas mis
longtemps. Je … mais je …
– Donne-moi ton téléphone !
– Mais vous n’avez pas le
droit ! Je vais …
– Tu vas quoi ?
Viens-ici ! »
Le bruit d’une claque résonna
dans la pièce. Il fut suivi par un « aïe » de Maeva.
« Donne-moi ton
téléphone !
– Oui, Madame.
– Il est confisqué. Je téléphone
à ta sœur dans l’après-midi pour lui demander de venir le chercher et je lui
expliquerai ce que tu en fais pendant ton temps de travail. Je ne suis pas
certaine qu’elle va apprécier la situation. Je vais lui parler de la nécessité
de t’apprendre à obéir.
– Non, Madame, s’il vous plait,
pardon, je ne le ferai plus.
– Il n’est plus temps pour des
excuses. Madame Bovier, avez-vous puni cette Maeva pour sa paresse ?
– Non, Madame André, je ne savais
pas si je pouvais. Elle ne fait pas partie de mon équipe.
- Je tiens à ce que les choses
soient claires, déclara Madame André à la cantonade. Toute personne de
l’encadrement a le devoir de corriger tout employé pris en faute, qu’il soit de
son équipe ou non. Celui qui ne s’y soumettra pas, n’a pas d’avenir dans cette
maison ! Ce n’est ni une question d’équipe, ni une question de sexe, ni
une question d’âge ! Madame Bovier, j’attends de vous que vous régliez, de
suite, ce manquement aux règles de la maison.
– Avec plaisir ! »
Les supplications de Maeva n’y
changèrent rien. Son déculottage suivit immédiatement, ce qui me fut confirmé
par les commentaire de Madame André.
« Pour ce que cache votre
culotte, Maeva, cela ne vaut pas la peine d’en porter. Il faudra me changer
cela ! »
De ma position, je n’avais pas la
possibilité d’observer ce qui se passait. Je ne sais donc pas exactement
comment Madame Bovier s’y prit, mais le son d’une main claquant des fesses nues
résonna bientôt en cadence. Maeva pleurait bien avant que la fessée n’ait
commencé.
« Non, non, s’interposa Madame
André. Vous n’y mettez pas assez d’énergie ! A ce rythme-là, nous y serons
encore ce soir et ces fesses ne seront toujours pas suffisamment rouges !
Soyez plus ferme ! Faut-il que je vous montre ou que je vous fasse essayer
ce que donne une vraie fessée ? »
C’était la première fois où il
était évoqué la possibilité de fesser une des encadrantes. Je ne savais pas si
c’était juste une menace en l’air ou si le risque existait réellement, pour
Madame Bovier, de se retrouver sous la férule de sa cheffe de magasin. La
remontrance fut efficace. Madame Bovier y mit plus de conviction. Les pleurs de
Maeva se changèrent en cris. La fessée donnait maintenant satisfaction à Madame
André qui l’exprima par des petits mots d’encouragement.
« C’est bien !
Continuez ! N’oubliez pas de bien couvrir toute la surface ! Encore
un peu de persévérance ! »
Maeva nous rejoignit le long de
notre mur. Sa punition n’en était pas à sa dernière étape. Madame André lui
annonça la suite.
« Vous resterez là pendant
trente minutes, jeune fille. Avec le temps que vous avez perdu en vous livrant
à autre chose que votre travail, nous allons compter une heure de perdu. Si on
multiplie par deux, cela vous fera deux heures de retenue pendant lesquelles
vous rattraperez le temps perdu. Nous les étalerons sur plusieurs jours. »
A l’écoute de ce programme, les
pleurs de Maeva redoublèrent, ce qui lui valut une série de claques sur les
fesses.
Nous étions un peu serrés, debout
tous les cinq face au mur, mais personne ne s’en plaignit. Mon épaule
touchait celle de Florence d’un côté et celle de Jérôme de l’autre. Notre
position et notre tenue, la culotte baissée, n’étonnait personne. Chacun savait
qu’il en serait désormais ainsi. Il fallait s’y habituer.
Et avec un dessin original de Peter Pan
Pour suivre le fil de cette histoire :
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De l'usage des commentaires
N'hésitez pas à donner votre avis. Les retours des lecteurs sont un encouragement précieux pour les auteurs, si vous voulez que ça dure. Faites-en un usage immodéré.
Bonjour,
RépondreSupprimerEt la distribution de fessées continue... de plus en plus généreuse!
"En avril ne te découvre pas d'un fil"
Mesdames Bourgeois, Archain, Geneviève et compagnie, se moquent du dicton comme de leur première fessée administrée. Elles déculottent sans se soucier de la météo et pour éviter les coups de froid, te vous chauffent les fesses des indisciplinés avec ardeur.
Excellent entraînement pour le mois suivant puisque:
"En mai fesse qui te plaît ! "
On apprend à bien se tenir à table les fesses rouges et cuisante et si madame Bovier ne fesse pas assez fort il se pourrait bien qu'elle apprenne sur les genoux de madame Andrée elle même.
Le récit est vraiment alerte et les fessées s'enchaînent sur un rythme soutenu de plus en plus rapide. Du coup ça se bouscule au piquet et les places vont bientôt manquer. IL va falloir inventer des pièces à cinq ou six coins! Surtout si les encadrantes commencent à se claquer le derrière entre elles!
Bienvenu au supermarché des fesses rouges!
Cordialement
Ramina