mardi 16 avril 2019

Ces dames aux mains fermes - S2 - Chapitre 19

Où Gladys et Patricia reprennent la main

Gérôme était rentré chez lui, à l'heure. Robin aussi, riant intérieurement de la petite mésaventure dans le bus qui aurait pu mal tourner. Le souffle de la fessée n'était pas passé loin mais ils avaient réussi in extremis à éviter l'humiliation publique.

La première chose qu'il avait entendu dans l'entrée en arrivant, fut le claquement continu provenant du salon qu'il n'eut aucun mal à identifier comme étant celui d'une fessée. Ce bruit caractéristique lui était trop familier, pour qu'il en ignore la nature. A entendre les pleurs et les supplications, il avait aussitôt reconnu les plaintes d'Edouard qui devait payer le prix d'une quelconque négligence ou d'un manquement à la discipline. La voix autoritaire qui le sermonnait entre les claquée était bien celle de sa mère, déjà à l'ouvrage dès le début du week-end.

Un petit frisson nerveux lui avait parcouru l'échine jusqu'au bas du dos. Mais pour une fois, ce n'était pas ses fesses qui inauguraient le bilan de la semaine avec l'habituel recadrage du vendredi. La terrible séance de correction du week-end précédant avait porté ses fruits et ses notes comme son comportement à St marie avaient été, sinon à peu près corrects, du moins en progression.
C'est sans appréhension qu'il avait tendu son porte document à sa sœur, chargée par sa mère de consulter son carnet de correspondance et les annotations de la semaine afin de vérifier la qualité de son travail et de son attitude en général.

Debout au milieu du salon, solidement campée sur ses talons aiguille, Gladys infligeait à son mari la correction de rigueur pour son manque de participation aux tâches domestique. Elle l'avait coincé sous son bras, fermement positionné contre sa hanche, le maintenant en l'air, les pieds décollés du sol, pour disposer de ses fesses à la bonne hauteur. Déjà rouges et cuisantes elles tressautaient avec entrain au rythme des bruyantes claquées qui résonnaient bien au-delà du salon. Edouard, plié en deux, battait la mesure en pédalant dans le vide,
« Ça t’apprendras à respecter les consignes mon cher ! Je t'avais demandé ce matin de vider le lave-vaisselle... Tu ne l'as pas fait... Alors ? »  
Le malheureux avait dû lui-même prononcer l'inévitable sentence.
« C'est... C'est la fessée... »
L'exigeante épouse veut une totale soumission. Elle insiste.
« Et comment la fessée s'il te plaît ? 
– Fessée déculottée...
– Parfait ! Nous sommes d'accord, amène moi tes fesses, que je les déculotte ! »

La correction battait son plein lorsque Patricia était entrée dans le salon en brandissant une revue dans une main et tenant de l'autre, son frère par l'oreille. Il avançait, courbé en deux contre la hanche de sa sœur, sans que celle-ci prête une quelconque attention à ses cris de protestations. La mine réjouie de la jeune femme trahissait l'excitation qu'elle ne pouvait s'empêcher d'exprimer, dès lors que se présentait l'occasion d'allonger une fessée.
« Regarde maman ce que j'ai trouvé dans le cartable de Robin en cherchant son carnet de correspondance ! »
Gladys appliquée à bien tenir le rythme de sa fessée, n'entend pas interrompre son exercice favori. Concentrée sur son sujet, elle répond sans lever le regard du derrière qu'elle est en trains de claquer avec énergie.

« Qu'est-ce qu'il a encore fait l'animal ? Tu as trouvé quoi chérie ?

Patricia jubile, Gladys étant déjà occupée à corriger son beau-père, elle tient dans sa main le motif indiscutable de flanquer une fessée à son frère.

« C'est une revue de photos pour petits vicieux maman, avec des femmes nues ou en petite tenues à toutes les pages, dans des poses...osées !
Gladys tout en continuant à fesser sans perdre la cadence.
« Encore ! A son âge !  Mais qu'est-ce que c'est que cet adolescent attardé !
Patricia le secoue durement par l'oreille.
« Où est ce que tu as trouvé ça ? Répond ! Tu l'as acheté ? »
Robin couine en se tenant l'oreille d'une main et les fesses de l'autre en prévision des claques qui ne vont pas tarder à tomber. Pour le moment par-dessus son pantalon, mais il connaît la ferveur de Patricia. Sa main très ferme est capable de chauffer dur à travers le tissu très moulant. Il temporise un peu pour la forme, sachant qu'il ne va pas échapper à la correction.
« Non... je n'ai rien acheté... C'est … C'est– «
– C'est quoi ?
– C'est quelqu'un qui me l'a prêté... »
Il se tortille au bout de la main de sa sœur qui continue à le secouer par l'oreille en le questionnant, comme elle le ferait avec un gamin de dix ans pour lui faire avouer une bêtise.
« Ah bon, c'est qui ? Hein... Qui t'a prêté ça ?
– Raaaaaaah mais yeeeeuh ! Lâche-moi tu me fais mal ! »
Patricia ne lâche rien et insiste, obligée de monter la voix à cause du niveau sonore élevé   des fesses d'Edouard que sa mère continue à faire claquer tout près d'eux. 
« Je t'ai posé une question Robin, qui t'as prêté ça ?
Têtu malgré tout, il répond à côté,
« Ah mais je ne l'ai même pas regardée ! Et j'ai quand même bien le droit de...
Cette fois ci Gladys réagit, sans pour autant ralentir le rythme de sa fessée.
« C'est bon Patricia, ne te fatigue pas. Monsieur fait l'innocent et ne veut pas répondre. Flanque-lui une fessée en attendant celle que je lui prépare. »
La jeune femme n'attendait que ça. Sans lâcher l'oreille de son frère elle le traîne aussitôt vers le fauteuil à proximité.
« Tu as entendu ce qu'a dit maman Robin ? Tu vas voir, comment je vais m'occuper de tes fesses !
– Non Patricia, non !... je t'en prie... pas la fessée ! C'est Gérôme !... C'est Gérôme qui me l'a passé !
– Gérôme ? C'est qui ce Gérôme ? Encore un nouveau complice de bêtises ? »
Gladys intervient au milieu d'une série d'allers et retours sur les fesses de son puni qui râle en continu. Elle fesse de plus en plus fort La montée en puissance des claques annonce la fin de la punition.
« Gérôme, c'est le fils de madame Bellebourge que j'ai rencontrée récemment.
– Oui c'est lui ! S'écrie Robin qui commence à transpirer de la raie des fesses. Je ne le connais pas depuis longtemps. C'est lui qui m'a prêté la revue ! »

Patricia, qui n'envisage pas une seconde de se priver du plaisir de rougir une nouvelle fois le derrière de son frère, s'installe confortablement dans un fauteuil. D'un geste précautionneux, elle relève sa jupe plissée en haut de ses cuisses jusqu'au renfort noir de ses bas nylon.

« C'est trop tard mon cher. Fallait répondre avant... C'est la fessée ! » Dit-elle en chantonnant presque.
Elle lui lance un regard brillant de plaisir et rajuste ses jarretelles en prévision des furieuses ruades du postérieur qu'elle va faire danser sur ses genoux.

En maîtresse de maison attentive, Gladys n'entend pas lâcher la main et garde la direction des opérations.
« Chauffe lui les fesses à travers son slip pour bien me les préparer pendant que j'en termine avec celles de ton beau-père. Je lui flanquerai la fessée déculottée qu'il a méritée tout de suite après ! »


Une fessé pour deux



Très contrariée de ne pas avoir l'autorisation d'une fessée déculottée, Patricia positionne son frère sur ses genoux après lui avoir ordonné de baisser pantalon. Une fois le slip bien ajusté, tendu sur le derrière, elle se calme les nerfs dessus par une rageuse fessée administrée avec pugnacité. Si ce n'est le ressenti de la main nue au contact direct sur la peau, elle ne perd pas trop au change finalement.
Les deux fesses sanglées, dans le nylon, offrent une surface particulièrement ferme que la matière lisse et brillante fait claquer très sec. Le derrière parfaitement retentissant renvoie pratiquement autant d'agréables sensations que s'il était déculotté.  Robin rugit sous les claques après avoir en vain revendiqué son droit d'adulte de regarder les femmes nues des catalogues.

« Tu as juste le droit de recevoir les fessées que tu mérites, pour ta curiosité déplacée... petit voyeur ! Elle va durer jusqu'à ce que maman en finisse avec les fesses d'Edouard »

Justement, Gladys vient d'en finir avec une éclatante rafale en plein milieu des fesses pour une cuisson bien pénétrante jusqu'au au fond de la raie. Edouard, qu'elle a lâché, pour prendre une meilleure prise d'élan, le bras droit en arrière, en tombe par terre le souffle coupé par la puissance de la claquée. A genoux les mains plaquées sur le derrière en fusion, il se balance d'avant en arrière en gémissant. 

«  Ahhhhh !! Ça fait trop mal !!! Tu n'es pas obligée de taper si fort ! … Tout... tout ça pour... pour... à cause de … de...»
Gladys le regarde avec un petit sourire en coin, l’œil pétillant d'ironie.
« Et oui mon cher … Lave-vaisselle oublié... c'est la fessée ! Nous sommes mariés sous le régime de la fessée !  Maintenant arrête de te plaindre, sinon je t'en mets une deuxième tout de suite et je te garantis que ça ne va pas traîner ! »


fessée déculottée



Cette fois, c'est elle qui est obligée de parler fort pour couvrir le claquement des fesses de Robin qui crépitent bruyamment sous la main énergique de sa sœur.
Edouard, prosterné à ses pieds, supplie en se tenant les fesses à pleines mains.
« Non, non chérie ! S'il te plaît, pas d'autre fessée !!! J'arrête ! J'arrête !
– C'est ce que tu as de mieux à faire mon ami... Par contre je n'ai pas l'impression d'avoir entendu de remerciement... Je t'ai pourtant appris à le faire après chaque fessée. Une marque de soumission pour chaque fesse. Obéissance pour la droite, respect pour la gauche.
« Si, si Gladys ! Merci pour cette fessée... Euh... cette... cette bonne fessée ! Merci !
– C'est bon, ça suffit inutile d'en faire trop, ça m'énerve ! Tu vas me digérer ça au coin près de la télé et réfléchir à tes devoirs et obligation à la maison. Et interdiction de te reculotter. Je veux qu'on se régale de tes belles fesses rouges. File ! »

Les jambes entravées par son slip et son pantalon, le malheureux se relève difficilement et, propulsé en avant d'une vigoureuse claque aux fesses, se précipite au coin les mains sur la tête, en marchant comme un pingouin.

Gladys s'en amuse d'un rire moqueur.
« Et tu ne bouges pas d'un cil, sinon c'est une nouvelle fessée ! »
Claquant du talon, elle se dirige vers le fauteuil où Patricia tourne à plein régime sur le postérieur de son frère qui commence à se répandre en larmes sur le carrelage.
« Alors, où en sont les fesses de ton frère... Elles sont prêtes maintenant ? »
Patricia arrête de fesser et plonge la main dans son slip pour apprécier la température.
« On dirait bien, elles sont brûlantes »
Gladys s'approche et crochète d'un doigt l'élastique du slip qu'elle étire seulement par derrière, juste sous les fesses, pour les dégager et vérifier la cuisson. Ça fait mal, Robin gémit. Elle fait une moue d'insatisfaction.
« Pas assez rouges ma chérie... pas encore assez. Plus les fesses sont rouges meilleures sont les déculottées. Elle le reculotte en retendant bien le slip sur les rondeurs fessières.  Aller continue encore un peu et plus fort ! »

Patricia n'a pas besoin d'encouragement. Elle repart pour une retentissante série d'allers et retours, si cuisants, que Robin se met à hurler sous l'avalanche.  Deux minutes de claquage intense suffisent à lui cuire le derrière à point. La fessée d'échauffement arrivée à son terme, il est aussitôt remis debout sans ménagement par sa fesseuse. Il a à peine le temps de se frotter le derrière que, changement de siège pour varier les positions, Gladys a déjà pris la place encore chaude dans le fauteuil. Sans qu'elle ait besoin de lui demander Il s'écroule en larmes de ses cuisses et se remet lui-même en position pour   recevoir sa fessée déculottée qui peut commencer sans transition.
Gladys opine de la tête avec satisfaction. Elle saisit l'élastique de son slip pour le déculotter entièrement cette fois ci.
« C'est bien mon chéri, je vois qu'on devient un garçon obéissant... »
Dit-elle d'une voix suave en descendant le slip au milieu des cuisses. Le fessier apparaît, resplendissant, écarlate et cuisant. L'élastique claque sur le gras de la chaire.
« Tu vas savoir ce qu'il en coûte de ramener des revues pornographiques à la maison !
Robin, fesses en l'air bien exposées, les mains à plat sur le sol, le haut du crâne presque en contact, proteste mollement en reniflant ses larmes.
« Mais... mais maman... C'est... C'est pas des revues pornographiques, c'est juste des... des...
– Ah oui... c'est quoi alors ? Ce n'est pas '' Le journal de Mickey '' que je sache ! Fallait réfléchir avant mon cher, mais ça, ce n'est pas ton fort. Prépare tes fesses au lieu de pleurnicher et tends les bien ! »

 La main de maman se lève au-dessus des fesses prête à claquer fort, lorsque le signal sonore de son portable interrompt son geste. L'air dépité et presque amusé à la fois, elle regarde Patricia assise devant elle pour assister au spectacle.
« C'est pas possible ! dit-elle avec profond soupir qui libère brièvement de la pesanteur sa forte poitrine. C'est la deuxième fois cette semaine ! Il faut que quelqu'un m'appelle au moment où je démarre une fessée ! Je déteste ça ! Tu peux répondre chérie ? »

Profitant de cette interruption de programme inespérée, les fesses de Robin bénéficiant d'un sursis en attente de la première claque, se détendent légèrement. Un peu comme une dernière prise de respiration avant la fessée.
Patricia prend le téléphone sur la table basse, écoute quelques secondes et regarde sa mère avec un haussement de sourcil interrogateur comme pour lui demander si elle va prendre la communication. Gladys fait signe que oui.

« Oui... Bonjour. Oui c'est ici. Elle est là oui... Je vous la passe. Elle tend l'appareil à sa mère. C'est une madame Bellebourge qui voudrait te parler. La maman de Gérôme... justement ! »

Gladys prit l'appareil et entama la conversation, une main négligemment posée sur les fesses de Robin qui n'osait pas bouger. Elle pianota dessus en écoutant son interlocutrice.

« Tout à fait... Oui, c'est exact... Sa sœur en a trouvé une dans son cartable. Il m'a dit que c'était Gérôme qui lui avait prêté… Oh je pense que ça va dans les deux sens. Robin aussi bien sûr... tout à fait d'accord avec vous.. »

Robin, déculotté à plat ventre sur les genoux écoutait la conversation avec une inquiétude grandissante. Ses fesses, sévèrement corrigées par sa sœur, lui cuisaient tellement qu'il se demandait comment il allait pouvoir supporter une deuxième fessée, déculottée celle-là, et administrée par sa mère qui tapait encore plus fort. Le ventre noué, il attendait anxieusement en fermant les yeux, les mains moites, crispées sur le carrelage. Il aurait presque souhaité que la fessée commence tout de suite pour en finir au plus vite.
Quelle idée il avait eue de mettre ce magasine dans son cartable... C'était trop tard pour regretter. Il avait bêtement fauté et méritait la correction que sa mère allait lui faire endurer jusqu’au bout, sans concession. Il sentait sa main ferme, caressante, passer et repasser nonchalamment sur ses fesses chauffées au rouge, les palper, les soupeser pour mieux en prendre la mesure et évaluer le niveau de sévérité de la fessée à administrer. Cette même main qui allait les claquer durement dans quelques instants. L'échange au téléphone se poursuivit encore pendant quelques minutes.

« Mais bien entendu madame Bellbourge... Lui aussi... Il est là... pendant que je vous parle, déculotté sur mes genoux ... Oui, absolument...Sa sœur lui a déjà bien chauffé les fesses maintenant il attend docilement sa deuxième fessée... Bien sûr, c'est moi qui vais donner. Et vous pouvez me croire, il va la sentir passer !... Oh que oui ! » 

Les cheveux de Robin se hérissèrent sur sa tête comme un frisson désagréable.  Il serra les fesses si fort qu’on n’aurait pas pu y coincer le plat d'un battoir... Encore moins le manche d'un martinet !
« C'est cela madame Bellebourge... Juste un petit hors d'œuvre en attendant le plat de résistance demain chez madame Klakerspank … Béatrice oui... Vous êtes bien aimable, je vous remercie ...Bonne fessée à vous aussi... »

Gladys redonne le portable à sa fille qui commençait à s'impatienter en faisant nerveusement crisser ses bas nylon à chaque croisement de jambes.
« Toi, je vois que tu attends la fessée de ton frère ! Lui dit-elle en ajustant la position de Robin sur ses cuisses. Et d'ajouter. Tout à fait sympathique cette madame Bellebourge. ! »

Elle baisse le slip un peu plus bas pour bien dégager toute la surface à corriger. Quand les fesses ont atteint le rouge écarlate recherché, elle aime bien s'offrir un petit complément de service sur le haut des cuisses.

« Maintenant mon petit chéri, à nous deux ! Désolé d'avoir fait attendre tes fesses mais comme ça tu as largement eu le temps de les préparer ! Je te préviens, ça va claquer sec ! Je vais te faire passer l'envie de t'exciter tout seul en regardant des femmes nues dans les magazines ! »

Fidèle à sa devise, ''Une fessée c'est comme un dessert, ça se déguste du début jusqu'à la fin '', la correction est magistrale et lui claque aux fesses en rafales tonitruantes, sans discontinuer ni rupture de rythme.
Sous le regard toujours gourmand de sa sœur qui, décidément ne se lasse pas d'assister à ses déculottées, Robin ne peut se retenir longtemps et perd très vite toute forme de dignité. Ses sanglots, hachés par les claques, se transforment rapidement en cris puis en hurlements, lui rendant sa respiration difficile.
« Ouuuaiiiiiie ! Ça... Ça suffit maman !! Arrête s'il te plaît. J'ai trop maaaal !... Pi... pitié !
– Tu plaisantes mon cher ! Tu vas avoir ta fessée jusqu'au bout... Comme d'habitude ! »

A peine séchées de la précédente punition, ses joues reluisent à nouveau sous le flot de larmes qui dégouline jusqu'au sol à quelques centimètres de sa tête. Ses fesses, transformées en brasero incandescent, exécutent une spectaculaire danse rythmique sous l'impulsion de Gladys qui mène la cadence à un train d'enfer. La main claquante virevolte d'une fesse à l'autre avec dextérité et distribue les claques comme un chef d'orchestre donne la mesure.

La fessée se termine sur un magnifique doublé, fesse droite fesse gauche que maman exécute à la parade dans une retentissante envolée. Le derrière en feu en décolle de plusieurs centimètres au-dessus de ses genoux.
« Emmène-moi ça au coin tout de suite et n'hésite pas... Claques aux fesses ! ! s’exclame-t-elle à l'attention de Patricia qui s'exécute aussitôt avec son enthousiasme habituel.
– Avec plaisir maman ! J'ai même une idée pour bien lui faire cuver sa honte ! »

Robin finit dans le coin opposé à celui qu'occupe toujours Edouard. Sa charmante sœur aussi imaginative que sa mère, lui a coincé la revue, pliée en deux entre les fesses, avec la menace d'une nouvelle fessée s'il ne tient pas un quart d'heure sans la laisser tomber. 
Rester immobile en serrant des fesses aussi cuisantes sur un objet enfoncé dans raie devient très vite un calvaire.

Assises dans le canapé, les deux femmes, ravies du spectacle, s'en amusent sans vergogne. Gladys ne se prive pas de ses traits d'humour sarcastiques habituels.
« Eh bien voilà une correction qui devrait faire du bien à ces messieurs. Je crois que Robin est en train de parcourir son magazine d'un derrière plutôt distrait ! »
Patricia à bonne école n'est pas en reste.
« Pour une revue de photos de fesses, on peut dire que c'est retour aux sources !
Elles éclatent de rires. »


A genoux, déculotté sous le bureau de sa mère, les fesses cramoisies striées au lanières Maxime, en pénitence, digérait en silence sa dernière fessée au martinet. Et c'était peut-être bien la dernière, au sens propre du terme, avec ce cinglant objet de pénitence,
Béatrice estimait avoir été au bout des combinaisons possibles au maniement du martinet. Soucieuse de revigorer sa libido et d'éviter aux fesses de Maxime une accoutumance préjudiciable à l'efficacité de ses corrections, elle avait décidé de varier les plaisirs en s'orientant vers d'autres instruments de discipline.
Si les habituelles fessées d'échauffement à la main restaient toujours des entrées en matières aussi excitantes qu’efficaces, l’utilisation d'un bon battoir en cuir souples, comme la '' Twasse'' anglaise par exemple, serait susceptible de lui procurer de nouvelles sensations. Les ''Paddles '' aussi pouvaient faire du bon travail éducatif. Car, bien entendu, ces petits aménagements disciplinaires n'avaient d'autre objectif que de maintenir son fils, de trente-six ans, dans le droit chemin. Il n'y a pas d'âge pour parfaire une éducation et la méthode fessée restait, bien évidemment, d'une brûlante actualité !
Ce samedi à venir allait, d'ailleurs, en confirmer l'influence bénéfique sur le comportement.



Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...

Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 18

Il y a une suite, le chapitre 20 

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  Ramina




5 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Excellente cette suite. Comme de coutume.
    Les familles Tapefort et Bellebourge vont bientôt s'affronter par garnements interposés. "Une fessée en or". Rires.
    La cruauté de Patricia envers son frère est incommensurable !
    'Méchante, la grande sœur ! Ca promet du beau match. Les deux compères ont chacun accommodé le plat à leur convenance. Mais la pilule ne passe pas.
    Les catalogues de VPC avec leurs pages "lingerie" leur auraient peut-être évité la fessée et ils auraient écopé d'une bonne "sonnerie de cloches" ! Pas de chance, les gars !
    En tout cas, l'avant-dernier paragraphe m'a bien fait rire. Une chute quelque peu inattendue. Dessins toujours au top de l'action.
    Samedi, ça va chauffeeeeeer !
    Amicalement. Peter.

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  2. je viens de répondre mais mon mensage est parti dans la nature...

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  3. Alors je recommence...de mémoire.
    Bonjour Peter.
    Les commentaires sont rares, les vôtres sont précieux ... merci!
    Il ne s'agit pas vraiment d'un affrontement mais plutôt d'une collaboration fructueuse !
    Quant à Patricia, elle n'est pas à proprement parler cruelle, simplement aussi sévère que les autres avec un peu de cynisme en plus.
    Ajoutant de l'humiliation aux fessées qu'elle administre...
    les catalogues VPC lingerie aurait pu peut être suffire aux garçons mais pas certain qu'ils auraient échappé aux fessées.
    Content de vous faire rire. Ces petits épisodes dédramatisent un peu les situations critiques dans laquelle se mettent régulièrement ces messieurs!
    Samedi c'est en ce moment sur mes pages d'écriture, et effectivement, je peux vous dire que ça chauuuuuuffe!
    Cordialement
    Ramina

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  4. Bonsoir Ramina,


    Pour les épisodes des prochains Dimanches, je nous ai concocté trois saynètes "en costume" sur trois époques différentes. Je vous en laisse la surprise.
    Nos histoires respectives s'articulent de façon parfaite. J'essaierai d'adapter le format de l'épisode en fonction de l'ambiance.
    (J'ai eu le même problème pour valider mon commentaire hier matin. Il rame, rame et puis plus rien. Obliger de le ré-écrire. Merveilles d'Internet. Rires.)
    Amicalement. Peter.

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  5. Bonjour Peter...
    Concoctez, mon ami, concoctez... Je sus preneur.
    De son côté Ma'am Thérez ( je ne sais plus trop comment ça s'écrit!) est invitée avec son garnement, à la réunion "Tupperware" de "Ces Dames..." Autant vous dire que ça va chaufeeeeeer!
    Amicalement
    Ramina

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