Où Gladys et Patricia reprennent la main
Gérôme était rentré chez lui, à l'heure. Robin aussi, riant intérieurement de la petite mésaventure dans le bus qui aurait pu mal tourner. Le souffle de la fessée n'était pas passé loin mais ils avaient réussi in extremis à éviter l'humiliation publique.
La première chose qu'il avait
entendu dans l'entrée en arrivant, fut le claquement continu provenant du salon
qu'il n'eut aucun mal à identifier comme étant celui d'une fessée. Ce bruit
caractéristique lui était trop familier, pour qu'il en ignore la nature. A
entendre les pleurs et les supplications, il avait aussitôt reconnu les
plaintes d'Edouard qui devait payer le prix d'une quelconque négligence ou d'un
manquement à la discipline. La voix autoritaire qui le sermonnait entre les
claquée était bien celle de sa mère, déjà à l'ouvrage dès le début du week-end.
Un petit frisson nerveux lui avait
parcouru l'échine jusqu'au bas du dos. Mais pour une fois, ce n'était pas ses
fesses qui inauguraient le bilan de la semaine avec l'habituel recadrage du
vendredi. La terrible séance de correction du week-end précédant avait porté
ses fruits et ses notes comme son comportement à St marie avaient été, sinon à
peu près corrects, du moins en progression.
C'est sans appréhension qu'il avait
tendu son porte document à sa sœur, chargée par sa mère de consulter son carnet
de correspondance et les annotations de la semaine afin de vérifier la qualité
de son travail et de son attitude en général.
Debout au milieu du salon,
solidement campée sur ses talons aiguille, Gladys infligeait à son mari la
correction de rigueur pour son manque de participation aux tâches domestique.
Elle l'avait coincé sous son bras, fermement positionné contre sa hanche, le
maintenant en l'air, les pieds décollés du sol, pour disposer de ses fesses à
la bonne hauteur. Déjà rouges et cuisantes elles tressautaient avec entrain au
rythme des bruyantes claquées qui résonnaient bien au-delà du salon. Edouard,
plié en deux, battait la mesure en pédalant dans le vide,
« Ça t’apprendras à respecter les
consignes mon cher ! Je t'avais demandé ce matin de vider le lave-vaisselle...
Tu ne l'as pas fait... Alors ? »
Le malheureux avait dû lui-même prononcer
l'inévitable sentence.
« C'est... C'est la fessée... »
L'exigeante épouse veut une totale
soumission. Elle insiste.
« Et comment la fessée s'il te
plaît ?
– Fessée déculottée...
– Parfait ! Nous sommes
d'accord, amène moi tes fesses, que je les déculotte ! »
La correction battait son plein
lorsque Patricia était entrée dans le salon en brandissant une revue dans une
main et tenant de l'autre, son frère par l'oreille. Il avançait, courbé en deux
contre la hanche de sa sœur, sans que celle-ci prête une quelconque attention à
ses cris de protestations. La mine réjouie de la jeune femme trahissait
l'excitation qu'elle ne pouvait s'empêcher d'exprimer, dès lors que se
présentait l'occasion d'allonger une fessée.
« Regarde maman ce que j'ai trouvé
dans le cartable de Robin en cherchant son carnet de
correspondance ! »
Gladys appliquée à bien tenir le
rythme de sa fessée, n'entend pas interrompre son exercice favori. Concentrée
sur son sujet, elle répond sans lever le regard du derrière qu'elle est en
trains de claquer avec énergie.
« Qu'est-ce qu'il a encore
fait l'animal ? Tu as trouvé quoi chérie ?
Patricia jubile, Gladys étant déjà
occupée à corriger son beau-père, elle tient dans sa main le motif indiscutable
de flanquer une fessée à son frère.
« C'est une revue de photos pour
petits vicieux maman, avec des femmes nues ou en petite tenues à toutes les pages,
dans des poses...osées !
Gladys tout en continuant à fesser
sans perdre la cadence.
« Encore ! A son
âge ! Mais qu'est-ce que c'est que
cet adolescent attardé !
Patricia le secoue durement par
l'oreille.
« Où est ce que tu as trouvé
ça ? Répond ! Tu l'as acheté ? »
Robin couine en se tenant l'oreille d'une
main et les fesses de l'autre en prévision des claques qui ne vont pas tarder à
tomber. Pour le moment par-dessus son pantalon, mais il connaît la ferveur de Patricia.
Sa main très ferme est capable de chauffer dur à travers le tissu très moulant.
Il temporise un peu pour la forme, sachant qu'il ne va pas échapper à la
correction.
« Non... je n'ai rien acheté...
C'est … C'est– «
– C'est quoi ?
– C'est quelqu'un qui me l'a
prêté... »
Il se tortille au bout de la main de
sa sœur qui continue à le secouer par l'oreille en le questionnant, comme elle
le ferait avec un gamin de dix ans pour lui faire avouer une bêtise.
« Ah bon, c'est qui ?
Hein... Qui t'a prêté ça ?
– Raaaaaaah mais yeeeeuh ! Lâche-moi
tu me fais mal ! »
Patricia ne lâche rien et insiste,
obligée de monter la voix à cause du niveau sonore élevé des fesses d'Edouard que sa mère continue à
faire claquer tout près d'eux.
« Je t'ai posé une question Robin,
qui t'as prêté ça ?
Têtu malgré tout, il répond à côté,
« Ah mais je ne l'ai même pas
regardée ! Et j'ai quand même bien le droit de...
Cette fois ci Gladys réagit, sans
pour autant ralentir le rythme de sa fessée.
« C'est bon Patricia, ne te fatigue
pas. Monsieur fait l'innocent et ne veut pas répondre. Flanque-lui une fessée
en attendant celle que je lui prépare. »
La jeune femme n'attendait que ça.
Sans lâcher l'oreille de son frère elle le traîne aussitôt vers le fauteuil à
proximité.
« Tu as entendu ce qu'a dit maman
Robin ? Tu vas voir, comment je vais m'occuper de tes fesses !
– Non Patricia, non !... je
t'en prie... pas la fessée ! C'est Gérôme !... C'est Gérôme qui me
l'a passé !
– Gérôme ? C'est qui ce
Gérôme ? Encore un nouveau complice de bêtises ? »
Gladys intervient au milieu d'une
série d'allers et retours sur les fesses de son puni qui râle en continu. Elle
fesse de plus en plus fort La montée en puissance des claques annonce la fin de
la punition.
« Gérôme, c'est le fils de madame
Bellebourge que j'ai rencontrée récemment.
– Oui c'est lui ! S'écrie Robin
qui commence à transpirer de la raie des fesses. Je ne le connais pas depuis
longtemps. C'est lui qui m'a prêté la revue ! »
Patricia, qui n'envisage pas une
seconde de se priver du plaisir de rougir une nouvelle fois le derrière de son
frère, s'installe confortablement dans un fauteuil. D'un geste précautionneux,
elle relève sa jupe plissée en haut de ses cuisses jusqu'au renfort noir de ses
bas nylon.
« C'est trop tard mon cher. Fallait
répondre avant... C'est la fessée ! » Dit-elle en chantonnant
presque.
Elle lui lance un regard brillant de
plaisir et rajuste ses jarretelles en prévision des furieuses ruades du
postérieur qu'elle va faire danser sur ses genoux.
En maîtresse de maison attentive, Gladys
n'entend pas lâcher la main et garde la direction des opérations.
« Chauffe lui les fesses à travers
son slip pour bien me les préparer pendant que j'en termine avec celles de ton beau-père.
Je lui flanquerai la fessée déculottée qu'il a méritée tout de suite
après ! »
Très contrariée de ne pas avoir
l'autorisation d'une fessée déculottée, Patricia positionne son frère sur ses
genoux après lui avoir ordonné de baisser pantalon. Une fois le slip bien
ajusté, tendu sur le derrière, elle se calme les nerfs dessus par une rageuse
fessée administrée avec pugnacité. Si ce n'est le ressenti de la main nue au
contact direct sur la peau, elle ne perd pas trop au change finalement.
Les deux fesses sanglées, dans le
nylon, offrent une surface particulièrement ferme que la matière lisse et
brillante fait claquer très sec. Le derrière parfaitement retentissant renvoie
pratiquement autant d'agréables sensations que s'il était déculotté. Robin rugit sous les claques après avoir en
vain revendiqué son droit d'adulte de regarder les femmes nues des catalogues.
« Tu as juste le droit de recevoir
les fessées que tu mérites, pour ta curiosité déplacée... petit voyeur
! Elle va durer jusqu'à ce que maman en finisse avec les fesses d'Edouard
»
Justement, Gladys vient d'en finir
avec une éclatante rafale en plein milieu des fesses pour une cuisson bien
pénétrante jusqu'au au fond de la raie. Edouard, qu'elle a lâché, pour prendre
une meilleure prise d'élan, le bras droit en arrière, en tombe par terre le
souffle coupé par la puissance de la claquée. A genoux les mains plaquées sur
le derrière en fusion, il se balance d'avant en arrière en gémissant.
«
Ahhhhh !! Ça fait trop mal !!! Tu n'es pas obligée de taper si
fort ! … Tout... tout ça pour... pour... à cause de … de...»
Gladys le regarde avec un petit
sourire en coin, l’œil pétillant d'ironie.
« Et oui mon cher … Lave-vaisselle
oublié... c'est la fessée ! Nous sommes mariés sous le régime de la
fessée ! Maintenant arrête de te
plaindre, sinon je t'en mets une deuxième tout de suite et je te garantis que
ça ne va pas traîner ! »
Cette fois, c'est elle qui est
obligée de parler fort pour couvrir le claquement des fesses de Robin qui
crépitent bruyamment sous la main énergique de sa sœur.
Edouard, prosterné à ses pieds,
supplie en se tenant les fesses à pleines mains.
« Non, non chérie ! S'il te
plaît, pas d'autre fessée !!! J'arrête ! J'arrête !
– C'est ce que tu as de mieux à
faire mon ami... Par contre je n'ai pas l'impression d'avoir entendu de remerciement...
Je t'ai pourtant appris à le faire après chaque fessée. Une marque de
soumission pour chaque fesse. Obéissance pour la droite, respect pour la
gauche.
« Si, si Gladys ! Merci pour
cette fessée... Euh... cette... cette bonne fessée ! Merci !
– C'est bon, ça suffit inutile d'en
faire trop, ça m'énerve ! Tu vas me digérer ça au coin près de la télé et
réfléchir à tes devoirs et obligation à la maison. Et interdiction de te
reculotter. Je veux qu'on se régale de tes belles fesses rouges. File ! »
Les jambes entravées par son slip et
son pantalon, le malheureux se relève difficilement et, propulsé en avant d'une
vigoureuse claque aux fesses, se précipite au coin les mains sur la tête, en
marchant comme un pingouin.
Gladys s'en amuse d'un rire moqueur.
« Et tu ne bouges pas d'un cil,
sinon c'est une nouvelle fessée ! »
Claquant du talon, elle se dirige
vers le fauteuil où Patricia tourne à plein régime sur le postérieur de son
frère qui commence à se répandre en larmes sur le carrelage.
« Alors, où en sont les fesses de
ton frère... Elles sont prêtes maintenant ? »
Patricia arrête de fesser et plonge
la main dans son slip pour apprécier la température.
« On dirait bien, elles sont brûlantes »
Gladys s'approche et crochète d'un doigt
l'élastique du slip qu'elle étire seulement par derrière, juste sous les
fesses, pour les dégager et vérifier la cuisson. Ça fait mal, Robin gémit. Elle
fait une moue d'insatisfaction.
« Pas assez rouges ma chérie... pas
encore assez. Plus les fesses sont rouges meilleures sont les déculottées. Elle
le reculotte en retendant bien le slip sur les rondeurs fessières. Aller continue encore un peu et plus
fort ! »
Patricia n'a pas besoin
d'encouragement. Elle repart pour une retentissante série d'allers et retours,
si cuisants, que Robin se met à hurler sous l'avalanche. Deux minutes de claquage intense suffisent à
lui cuire le derrière à point. La fessée d'échauffement arrivée à son terme, il
est aussitôt remis debout sans ménagement par sa fesseuse. Il a à peine le
temps de se frotter le derrière que, changement de siège pour varier les
positions, Gladys a déjà pris la place encore chaude dans le fauteuil. Sans
qu'elle ait besoin de lui demander Il s'écroule en larmes de ses cuisses et se
remet lui-même en position pour
recevoir sa fessée déculottée qui peut commencer sans transition.
Gladys opine de la tête avec
satisfaction. Elle saisit l'élastique de son slip pour le déculotter
entièrement cette fois ci.
« C'est bien mon chéri, je vois qu'on
devient un garçon obéissant... »
Dit-elle d'une voix suave en
descendant le slip au milieu des cuisses. Le fessier apparaît, resplendissant,
écarlate et cuisant. L'élastique claque sur le gras de la chaire.
« Tu vas savoir ce qu'il en coûte de
ramener des revues pornographiques à la maison !
Robin, fesses en l'air bien
exposées, les mains à plat sur le sol, le haut du crâne presque en contact,
proteste mollement en reniflant ses larmes.
« Mais... mais maman... C'est...
C'est pas des revues pornographiques, c'est juste des... des...
– Ah oui... c'est quoi alors ?
Ce n'est pas '' Le journal de Mickey '' que je sache ! Fallait réfléchir
avant mon cher, mais ça, ce n'est pas ton fort. Prépare tes fesses au lieu de
pleurnicher et tends les bien ! »
La main de maman se lève au-dessus des fesses
prête à claquer fort, lorsque le signal sonore de son portable interrompt son
geste. L'air dépité et presque amusé à la fois, elle regarde Patricia assise
devant elle pour assister au spectacle.
« C'est pas possible ! dit-elle
avec profond soupir qui libère brièvement de la pesanteur sa forte poitrine.
C'est la deuxième fois cette semaine ! Il faut que quelqu'un m'appelle au
moment où je démarre une fessée ! Je déteste ça ! Tu peux répondre
chérie ? »
Profitant de cette interruption de
programme inespérée, les fesses de Robin bénéficiant d'un sursis en attente de
la première claque, se détendent légèrement. Un peu comme une dernière prise de
respiration avant la fessée.
Patricia prend le téléphone sur la
table basse, écoute quelques secondes et regarde sa mère avec un haussement de
sourcil interrogateur comme pour lui demander si elle va prendre la
communication. Gladys fait signe que oui.
« Oui... Bonjour. Oui c'est ici.
Elle est là oui... Je vous la passe. Elle tend l'appareil à sa mère. C'est
une madame Bellebourge qui voudrait te parler. La maman de Gérôme...
justement ! »
Gladys prit l'appareil et entama la
conversation, une main négligemment posée sur les fesses de Robin qui n'osait
pas bouger. Elle pianota dessus en écoutant son interlocutrice.
« Tout à fait... Oui, c'est exact...
Sa sœur en a trouvé une dans son cartable. Il m'a dit que c'était Gérôme qui
lui avait prêté… Oh je pense que ça va dans les deux sens. Robin aussi bien
sûr... tout à fait d'accord avec vous.. »
Robin, déculotté à plat ventre sur
les genoux écoutait la conversation avec une inquiétude grandissante. Ses fesses,
sévèrement corrigées par sa sœur, lui cuisaient tellement qu'il se demandait
comment il allait pouvoir supporter une deuxième fessée, déculottée celle-là,
et administrée par sa mère qui tapait encore plus fort. Le ventre noué, il
attendait anxieusement en fermant les yeux, les mains moites, crispées sur le
carrelage. Il aurait presque souhaité que la fessée commence tout de suite pour
en finir au plus vite.
Quelle idée il avait eue de mettre
ce magasine dans son cartable... C'était trop tard pour regretter. Il avait
bêtement fauté et méritait la correction que sa mère allait lui faire endurer
jusqu’au bout, sans concession. Il sentait sa main ferme, caressante, passer et
repasser nonchalamment sur ses fesses chauffées au rouge, les palper, les
soupeser pour mieux en prendre la mesure et évaluer le niveau de sévérité de la
fessée à administrer. Cette même main qui allait les claquer durement dans
quelques instants. L'échange au téléphone se poursuivit encore pendant quelques
minutes.
« Mais bien entendu madame
Bellbourge... Lui aussi... Il est là... pendant que je vous parle, déculotté
sur mes genoux ... Oui, absolument...Sa sœur lui a déjà bien chauffé les fesses
maintenant il attend docilement sa deuxième fessée... Bien sûr, c'est moi qui
vais donner. Et vous pouvez me croire, il va la sentir passer !... Oh que
oui ! »
Les cheveux de Robin se hérissèrent
sur sa tête comme un frisson désagréable.
Il serra les fesses si fort qu’on n’aurait pas pu y coincer le plat d'un
battoir... Encore moins le manche d'un martinet !
« C'est cela madame Bellebourge...
Juste un petit hors d'œuvre en attendant le plat de résistance demain chez
madame Klakerspank … Béatrice oui... Vous êtes bien aimable, je vous remercie
...Bonne fessée à vous aussi... »
Gladys redonne le portable à sa
fille qui commençait à s'impatienter en faisant nerveusement crisser ses bas
nylon à chaque croisement de jambes.
« Toi, je vois que tu attends la
fessée de ton frère ! Lui dit-elle en ajustant la position de Robin sur
ses cuisses. Et d'ajouter. Tout à fait sympathique cette madame
Bellebourge. ! »
Elle baisse le slip un peu plus bas
pour bien dégager toute la surface à corriger. Quand les fesses ont atteint le
rouge écarlate recherché, elle aime bien s'offrir un petit complément de
service sur le haut des cuisses.
« Maintenant mon petit chéri, à nous
deux ! Désolé d'avoir fait attendre tes fesses mais comme ça tu as
largement eu le temps de les préparer ! Je te préviens, ça va claquer
sec ! Je vais te faire passer l'envie de t'exciter tout seul en
regardant des femmes nues dans les magazines ! »
Fidèle à sa devise, ''Une fessée c'est
comme un dessert, ça se déguste du début jusqu'à la fin '', la correction
est magistrale et lui claque aux fesses en rafales tonitruantes, sans
discontinuer ni rupture de rythme.
Sous le regard toujours gourmand de
sa sœur qui, décidément ne se lasse pas d'assister à ses déculottées, Robin ne
peut se retenir longtemps et perd très vite toute forme de dignité. Ses
sanglots, hachés par les claques, se transforment rapidement en cris puis en
hurlements, lui rendant sa respiration difficile.
« Ouuuaiiiiiie ! Ça... Ça
suffit maman !! Arrête s'il te plaît. J'ai trop maaaal !... Pi...
pitié !
– Tu plaisantes mon cher ! Tu
vas avoir ta fessée jusqu'au bout... Comme d'habitude ! »
A peine séchées de la précédente
punition, ses joues reluisent à nouveau sous le flot de larmes qui dégouline
jusqu'au sol à quelques centimètres de sa tête. Ses fesses, transformées en
brasero incandescent, exécutent une spectaculaire danse rythmique sous
l'impulsion de Gladys qui mène la cadence à un train d'enfer. La main claquante
virevolte d'une fesse à l'autre avec dextérité et distribue les claques comme
un chef d'orchestre donne la mesure.
La fessée se termine sur un
magnifique doublé, fesse droite fesse gauche que maman exécute à la parade dans
une retentissante envolée. Le derrière en feu en décolle de plusieurs
centimètres au-dessus de ses genoux.
« Emmène-moi ça au coin tout de
suite et n'hésite pas... Claques aux fesses ! ! s’exclame-t-elle à
l'attention de Patricia qui s'exécute aussitôt avec son enthousiasme habituel.
– Avec plaisir maman ! J'ai
même une idée pour bien lui faire cuver sa honte ! »
Robin finit dans le coin opposé à
celui qu'occupe toujours Edouard. Sa charmante sœur aussi imaginative que sa
mère, lui a coincé la revue, pliée en deux entre les fesses, avec la menace
d'une nouvelle fessée s'il ne tient pas un quart d'heure sans la laisser
tomber.
Rester immobile en serrant des
fesses aussi cuisantes sur un objet enfoncé dans raie devient très vite un
calvaire.
Assises dans le canapé, les deux
femmes, ravies du spectacle, s'en amusent sans vergogne. Gladys ne se prive pas
de ses traits d'humour sarcastiques habituels.
« Eh bien voilà une correction qui
devrait faire du bien à ces messieurs. Je crois que Robin est en train de
parcourir son magazine d'un derrière plutôt distrait ! »
Patricia à bonne école n'est pas en
reste.
« Pour une revue de photos de
fesses, on peut dire que c'est retour aux sources !
Elles éclatent de rires. »
A genoux, déculotté sous le bureau de
sa mère, les fesses cramoisies striées au lanières Maxime, en pénitence,
digérait en silence sa dernière fessée au martinet. Et c'était peut-être bien
la dernière, au sens propre du terme, avec ce cinglant objet de pénitence,
Béatrice estimait avoir été au bout
des combinaisons possibles au maniement du martinet. Soucieuse de revigorer sa
libido et d'éviter aux fesses de Maxime une accoutumance préjudiciable à
l'efficacité de ses corrections, elle avait décidé de varier les plaisirs en
s'orientant vers d'autres instruments de discipline.
Si les habituelles fessées
d'échauffement à la main restaient toujours des entrées en matières aussi
excitantes qu’efficaces, l’utilisation d'un bon battoir en cuir souples, comme
la '' Twasse'' anglaise par exemple, serait susceptible de lui procurer de nouvelles
sensations. Les ''Paddles '' aussi pouvaient faire du bon travail
éducatif. Car, bien entendu, ces petits aménagements disciplinaires n'avaient
d'autre objectif que de maintenir son fils, de trente-six ans, dans le droit
chemin. Il n'y a pas d'âge pour parfaire une éducation et la méthode fessée
restait, bien évidemment, d'une brûlante actualité !
Ce samedi à venir allait,
d'ailleurs, en confirmer l'influence bénéfique sur le comportement.
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 18
Il y a une suite, le chapitre 20
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 18
Il y a une suite, le chapitre 20
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerExcellente cette suite. Comme de coutume.
Les familles Tapefort et Bellebourge vont bientôt s'affronter par garnements interposés. "Une fessée en or". Rires.
La cruauté de Patricia envers son frère est incommensurable !
'Méchante, la grande sœur ! Ca promet du beau match. Les deux compères ont chacun accommodé le plat à leur convenance. Mais la pilule ne passe pas.
Les catalogues de VPC avec leurs pages "lingerie" leur auraient peut-être évité la fessée et ils auraient écopé d'une bonne "sonnerie de cloches" ! Pas de chance, les gars !
En tout cas, l'avant-dernier paragraphe m'a bien fait rire. Une chute quelque peu inattendue. Dessins toujours au top de l'action.
Samedi, ça va chauffeeeeeer !
Amicalement. Peter.
je viens de répondre mais mon mensage est parti dans la nature...
RépondreSupprimerAlors je recommence...de mémoire.
RépondreSupprimerBonjour Peter.
Les commentaires sont rares, les vôtres sont précieux ... merci!
Il ne s'agit pas vraiment d'un affrontement mais plutôt d'une collaboration fructueuse !
Quant à Patricia, elle n'est pas à proprement parler cruelle, simplement aussi sévère que les autres avec un peu de cynisme en plus.
Ajoutant de l'humiliation aux fessées qu'elle administre...
les catalogues VPC lingerie aurait pu peut être suffire aux garçons mais pas certain qu'ils auraient échappé aux fessées.
Content de vous faire rire. Ces petits épisodes dédramatisent un peu les situations critiques dans laquelle se mettent régulièrement ces messieurs!
Samedi c'est en ce moment sur mes pages d'écriture, et effectivement, je peux vous dire que ça chauuuuuuffe!
Cordialement
Ramina
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerPour les épisodes des prochains Dimanches, je nous ai concocté trois saynètes "en costume" sur trois époques différentes. Je vous en laisse la surprise.
Nos histoires respectives s'articulent de façon parfaite. J'essaierai d'adapter le format de l'épisode en fonction de l'ambiance.
(J'ai eu le même problème pour valider mon commentaire hier matin. Il rame, rame et puis plus rien. Obliger de le ré-écrire. Merveilles d'Internet. Rires.)
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter...
RépondreSupprimerConcoctez, mon ami, concoctez... Je sus preneur.
De son côté Ma'am Thérez ( je ne sais plus trop comment ça s'écrit!) est invitée avec son garnement, à la réunion "Tupperware" de "Ces Dames..." Autant vous dire que ça va chaufeeeeeer!
Amicalement
Ramina