samedi 20 avril 2019

Axel au supermarché - chapitre 96


L’incertitude ne dura pas.
« Maeva, je commence par toi. Tu nous as indiqué qu’il fallait prévenir ta sœur en cas d’urgence. C’est donc elle que j’ai contactée. Après que je lui ai expliqué la situation dans laquelle tu t’étais mise, elle était furieuse … après toi. Elle m’a dit qu’elle était fatiguée de tous tes enfantillages et qu’elle était excédée de devoir passer derrière toi pour réparer les pots cassés. Elle m’a remerciée de ma demande de te punir. Elle te recommande de préparer tes fesses. »
Maeva avait pris un air catastrophé.
« Je lui ai demandé de passer te prendre dans une bonne demi-heure, ce qui te laissera le temps de faire ta retenue et moi, je pourrai régler le cas de tes petits camarades pendant ce temps. »
Maeva avait baissé la tête, trouvant un nouvel intérêt dans le bout de ses chaussures. Elle se promit de ne pas recommencer ses bêtises au travail et qu’elle allait devenir raisonnable en reprenant sa vie en mains. Sa sœur avait raison, il fallait en finir avec les enfantillages. Mais elle n’y croyait pas vraiment. Peut-être qu’avec l’aide de sa sœur … Elle grimaça à la pensée que la main secourable que celle-ci lui tendrait, serait appliquée dès ce soir sur ses fesses.
« Vous avez une demi-heure, Maeva, pour récurer les toilettes de fond en comble. Vous les prendrez en charge, chaque soir, les quatre jours que durera votre retenue. Je sais que vous n’aimez pas faire du ménage. Prenez-le comme une punition. Si trouve le moindre endroit qui n’a pas été correctement nettoyé, je pense que vous n’aurez pas de mal à imaginer ce qui vous arrivera, n’est-ce pas ?
– Oui, Madame. Je sais.
– Parfait ! Allez donc et que ce soit propre ! »
Maeva fit demi-tour et elle quitta le bureau.

Le dévoilement de ce premier arrangement familial ne pouvait qu’alarmer les autres membres du groupe. L’acceptation de la sœur de Maeva s’était faite, semble-t-il, si facilement que s’en était étonnant. Elle avait accepté, avec détermination, de prendre en charge la discipline de sa sœur, comme si c’était la chose la plus naturelle au monde.
J’étais, peut-être, le seul à ne pas être surpris. Ma courte expérience dans le domaine m’avait appris que, depuis longtemps, bon nombre des personnes qui me côtoyaient, étaient agacées par mes comportements. Elles avaient bien souvent songé à me faire reproche de mon insouciance quant aux conséquences, pour les autres, de mes actes, de mon égoïsme et de l’exigence de confort que je revendiquais même s’il s’agissait de l’obtenir au détriment des autres.
Je savais, maintenant, qu’elles me voyaient comme un enfant dans le corps d’un adulte, un enfant envers lequel on ne disposait pas de l’autorité nécessaire pour le contraindre à respecter les principes de base d’un bon fonctionnement en société. Les conventions en œuvre entre deux adultes ne permettent pas que l’un, estimant l’autre insuffisamment mature, lui impose ces règles. Elles autorisent encore moins à le contraindre à les accepter, comme il est de la responsabilité d’un adulte de le faire vis-à-vis d’un enfant. Même quand il est évident qu’une bonne fessée représenterait une bonne solution face à l’irresponsabilité, cela n’est pas admis.
Quand nous en sommes à ce point, quand les adultes de l’entourage ont déjà songé que la fessée serait une méthode adaptée, il suffit généralement, pour passer à l’acte, qu’ils soient encouragés à y recourir, dans un contexte où fesser un adulte n’est plus un tabou.
A St Marie, il n’y avait pas de réticence à fesser un adulte. C’était dans les normes. En fait, on n’y fessait pas un adulte, on y corrigeait un élève dont l’âge importait peu. Sœur Gabrielle avait permis à Julie qui souhaitait que je revoie nombre de mes comportements sans y être arrivée auparavant, de franchir le pas. Julie l’avait transmis à sa mère en me fessant en sa présence et c’est tout naturellement que Madame André fut investie du même droit quand, avec Florence, tous deux régulièrement fessés, nous avions été placés sous sa responsabilité. Notre présence avait été le déclencheur du recours à la fessée par l’encadrement du magasin et maintenant, ce droit passait aux proches des employés. Il n’y avait là que de la diffusion d’une méthode qui avait été préalablement envisagée par chacun de ceux qui avaient franchi le pas en fessant les adultes de leur entourage qui n’assumaient pas leur statut.
La sœur de Maeva avait dû éprouver un immense soulagement de savoir qu’elle pouvait, non, qu’elle devait fesser sa cadette. Je gageais, maintenant que le tabou était levé, qu’elle ne lâcherait pas ce droit de sitôt. Maeva devait s’attendre à ce que son éducation soit revue et que ses comportements de petite fille provoquent des réactions immédiates de sa sœur, mettant ses fesses à contribution. Ma théorie fut confirmée par la suite de la soirée.

« Jérôme, j’ai eu ta Maman au téléphone en début d’après-midi. Tu te doutes que je n’ai eu aucun mal à la convaincre que réintroduire la fessée dans ton éducation est indispensable. Je crois qu’elle n’attendait que cela. Elle m’a dit qu’elle regrettait d’avoir cessé de te fesser à ta majorité. »
Jérôme dansait d’un pied sur l’autre. Il regardait Madame André pendant un court instant, puis il baissait la tête. Il ne savait pas comment se comporter face à cette annonce qui ne semblait pas le surprendre.
« Ta Maman m’a demandé de te raccompagner chez toi ce soir. Elle souhaite m’entretenir de la façon dont elle envisageait de maintenir la discipline à la maison. »
Jérôme ne savait plus quelle contenance adopter.
« Tu vas donc rester jusqu’à ce que je règle toutes les questions avec tes camarades, puis nous passerons chez toi. »

Ce cas réglé, Madame André passa au suivant.
« Clara, j’ai eu plus de mal avec toi. J’ai pu joindre ton mari, mais il a refusé de prendre les mesures disciplinaires domestiques qui s’imposent. Il a tenu sa position, malgré mes menaces de te renvoyer. Je lui avais annoncé ton prochain renvoi et j’étais sur le point de raccrocher, quand il m’a supplié de l’écouter encore une minute. C’est alors qu’il m’a suggéré d’en parler à sa mère.
Je vis les yeux de Clara s’agrandirent d’effroi.
« C’est donc en …
– Mais Madame, je ne …
– T’ai-je autorisé à parler Clara ? T’ai-je posé une question qui t’obligerait à me répondre ?
– Non Madame, fit piteusement la jeune femme.
– Faut-il que je te fesse pour t’apprendre à ne pas interrompre tes supérieurs quand ils parlent ?
– Non Madame, je ne le ferai plus.
– Viens-ici ! »
Madame André invitait Clara à faire le tour du bureau pour se positionner à sa droite. C’était un endroit où aucun d’entre nous n’aimait se trouver. Nous étions à portée de la main de Madame André et, de là, elle n’y avait plus qu’à nous coucher sur ses genoux pour donner la fessée.
Clara grimaça, mais elle se rendit là où il lui avait été dit de venir. Madame André souleva l’arrière de la jupe de Clara et elle lui administra une formidable claque sur le haut de chaque cuisse.
« Considère-le comme un avertissement ! La prochaine fois je ne serai pas aussi coulante ! Reprends ta place ! »


Madame André donne la fessée


Les yeux de Clara étaient remplis de larmes, mais elle n’avait plus envie de donner son avis sans qu’il fût sollicité.
« Ta Belle-mère a accepté ma proposition avec enthousiasme. Nous avons eu un échange assez long sur la responsabilité éducative que cela impliquait. Je crois qu’elle a décidé de la prendre très au sérieux. Elle a toujours considéré, même avant ton mariage avec son fils, que tu te comportais comme une petite écervelée et qu’en vieillissant, cela ne c’était pas arrangé. »
Les yeux baissés, Clara triturait le bas de sa jupe avec sa main gauche : le geste nerveux d’une petite fille grondée qui s’attendait à une punition imminente.
« Je crois qu’elle a été très fâchée quand je lui ai dit que tu avais menti. « Pour guérir les petites filles menteuses, rien de tel qu’un bon lavage de bouche au savon avant une bonne fessée, » m’a-t-elle assuré. Je l’ai encouragée dans ce sens. »
Je vis Clara devenir toute rouge de honte.
« J’ai eu l’impression d’une femme qui a la tête sur les épaules. Elle ne doit pas être du genre à revenir sur sa résolution quand elle en a pris une, n’est-ce pas ?
– Non, Madame.
– Elle m’a dit qu’elle pensait que tu la trouvais un peu intrusive, que tu n’appréciais pas, à leur juste valeur les conseils qu’elle te donne. Est-ce le cas ? »
Clara hésita à répondre.
« Ne me mens pas, je le saurais !
– Oui, Madame, un peu, souffla Clara d’une voix étouffée.
– Tu n’as donc plus à t’inquiéter pour cela. Ta Belle-mère n’aura plus à être intrusive puisque c’est elle  qui décidera de tous les petits détails de la vie quotidienne de ton ménage, tout ce qu’elle considérait que tu gérais de façon irresponsable. Elle m’a dit qu’elle saura te faire obéir. J’aurais plutôt tendance à lui faire confiance sur ce point. Vas-tu être sage et obéissante ? »
C’en était trop pour Clara qui se mit à pleurer sans bruit. Des larmes coulaient sur ses joues et s’écrasaient au sol entre ses pieds.
« Ne dramatise pas ! Tu vas être traitée comme sa propre fille. Tu verras que cela aura aussi des avantages. Je fais le pari que dans six mois tu me remercieras de t’avoir placée dans cette situation »
Je ne connaissais pas suffisamment Clara pour savoir si elle apprécierait d’être sous la tutelle de sa Belle-mère, mais c’était une hypothèse assez probable.
« Bien sûr, il y aura la fessée aussi souvent que nécessaire. Je pense que l’on peut compter sur le sens de la justice de ta Belle-mère pour te punir à chaque fois que tu en auras besoin, mais seulement à ces occasions-là. A cela également, tu t’habitueras. »
A défaut de s’y habituer dès maintenant, Clara devrait s’y soumettre. Cette perspective ne l’enchantait guère.
« J’ai donc préparé le courrier que tu lui remettras. Elle le signera après t’avoir punie. Elle t’attend à la maison. Dépêche-toi de la rejoindre ! »
Sur un dernier signe d’encouragement, Clara quitta la pièce. Sa démarche dénotait un enthousiasme modéré. Mais il fallait y aller. Elle avait rendez-vous.

« Laure … »
C’était à son tour d’être fixée sur son sort.
« Laure, je n’ai pas encore réussi à joindre ta Maman. Sais-tu si elle est chez elle à cette heure-ci ?
– Oui Madame, en principe. »
La voix de Laure tremblait. La façon dont s’était réglé le futur proche de ses précédents camarades avait de quoi lui faire craindre les heures à venir.
« Je vais réessayer ; »
Madame André composa un numéro de téléphone.
« Bonjour, Madame Talouet ?
– … »
Nous n’entendions pas les réponses de sa correspondante au téléphone.
« Je suis bien avec la Maman de Laure ;
– …
– Je suis Madame André, la responsable du magasin où travaille Laure. Je vous rassure tout de suite, il ne lui est rien arrivé de grave, juste un petit problème qui demande votre intervention.
– …
– Oui, évidemment, mais ce n’est pas le cas. Soyez certaine qu’elle est en parfaite santé, autant que je puisse en juger.
– …
– Oui, tout à fait.
– …
– Voilà ce qui m’amène. Laure est arrivée au travail ce matin avec un chemisier tâché. Ce n’était pas la première fois. J’ai donc décidé de prendre le problème à bras le corps. J’ai demandé à Madame Archain, sa responsable de mui donner une fessée.
– …
– Oui, oui, vous m’avez bien comprise. Une fessée.
– …
– Oh, pas vraiment, non, même quand Madame Archain l’a déculottée. C’est un peu plus tard quand ces fesses ont commencé à lui cuire, qu’elle a protégé ses fesses de sa main. Vous comprenez bien que je ne pouvais laisser passer une telle désobéissance, surtout quand elle a récidivé. »
Madame André se lança dans le récit détaillé des punitions de Laure, brièvement interrompue par son interlocutrice qui demandait des précisions.
Laure ne parvenait pas à rester immobile. Elle faisait passer son poids d’une jambe sur l’autre, elle levait un pied puis le reposait, elle esquissait un pas mais sans bouger de place. Elle avait sorti un mouchoir de sa poche pour essuyer une ou deux larmes dans ses yeux. Elle tortillait maintenant le mouchoir entre ses deux mains.
Si ce n’était son âge, c’était le parfait portrait d’une petite fille attendant la décision de sa mère quant à la punition qu’elle avait méritée tandis que la directrice racontais ses dernières frasques. Bien que la scène ne concernât que des adultes, c’était exactement ce qui se jouait sous nos yeux.
Les explications préalables terminées, Madame André en vint au vif du sujet.
« Je crois que vous devez montrer à Laure que vous partagez notre commune réprobation. Pour ce faire, il me semble pertinent d’appliquer le principe « une fessée au travail, une fessée à la maison ».
– …
– J’étais certaine de votre réaction. Je savais que vous approuveriez notre méthode.
– …
– Je suis étonnée que vous ne l’ayez jamais fessée, même quand elle était petite. Vous savez il n’est jamais trop tard pour bien faire.
– …
– Vous avez raison. Je crois que recevoir la fessée à la maison et y passer quelques temps au coin lui sera profitable pour bien d’autres choses que la qualité de ce qu’elle fait ici. Vous allez pouvoir vous occuper de tous les petits manquements qu’elle se permet.
– …
– Oui, c’est tout à fait cela. Il reste encore un point à éclaircir. Je me suis adressée à vous parce que nous avons déjà eu l’occasion de nous rencontrer. Je ne connais pas le mari de Laure. Je ne sais pas s’il accepterait de se charger des punitions ou s’il est préférable que vous en preniez la responsabilité.
– …
– Vous avez raison. C’est un bon compromis. Vous lui donnez les premières fessées, puis vous abordez le sujet avec son mari et vous m’en reparlez.
– …
– Effectivement, c’est important de savoir s’il est fiable. Je vous laisse juge en la matière. Il ne faudrait pas que notre jeune fille ne puisse compter sur sa fessée quand elle reviendra chez elle.
– …
– Je suis désolée, mais je ne peux pas vous aider sur ce sujet. Je ne le connais pas. Cependant, il serait plutôt injuste que Laure soit fessée pour des comportements répréhensibles ou des négligences et que, pour les mêmes raisons, son époux ne le soit pas. Il y aurait là une discrimination que ne s’expliquerait pas.
– …
– Excellente idée ! En parler à sa mère permettrait de généraliser le régime de punition. Si elle avait l’habitude de le punir de cette façon, ce sera d’autant plus facile de reprendre les anciennes habitudes.
– …
– Si je peux me permettre, il serait plus aisé que vous ayez, toutes deux, la faculté de punir n’importe lequel de vos deux enfants, celui que vous avez mis au monde et celui qui vous est échu par alliance. Je vous laisse régler ces détails.
– …
– C’est d’accord. Je vous l’envoie tout de suite. »
Madame André avait une mine satisfaite, de celles qu’on montre quand on a l’impression d’avoir bien avancé dans son travail.
« Tiens, Laure ! Voici le courrier à remettre à ta Maman. Tu vas te rendre directement chez elle. Je crois qu’elle a projeté de t’y donner une première fessée. Puis, j’ai cru comprendre que, accompagnée de ta mère, tu as rendez-vous avec ta belle-mère à ton domicile. Là, tu recevras une deuxième fessée et de nouvelles mesures disciplinaires seront prises. Si je ne me trompe pas, elles concerneront également ton mari. »
Laure restait bouche ouverte à écouter Madame André. La future organisation de sa vie, sous la houlette de sa mère et de sa belle-mère, avec la menace d’une fessée planant en permanence, promettait d’être rude.
Jamais elle ne se serait imaginé qu’une simple tâche sur un chemisier, ait pu avoir d’aussi importantes conséquences. Si elle avait su, elle aurait fait l’effort de nettoyer correctement sa tenue de travail. Trop tard pour avoir des regrets, il était impossible de revenir en arrière.
« Ta maman m’a dit qu’elle te donnait vingt minutes pour arriver chez elle. Au-delà, tu seras punie pour ton retard. Je te conseille donc de ne pas traîner. Le chronomètre tourne. Tu as déjà gâché trois minutes. »
Il y eut soudain de l’urgence dans les gestes de Laure. Elle se précipita vers la porte.
« Ah, encore une chose. J’ai oublié de parler à ta Maman de ta culotte et de ton soutien-gorge. Tu lui diras, sans faute, que je ne veux plus que tu portes des sous-vêtements aussi frivoles au travail. Une culotte blanche en coton toute simple et un soutien-gorge assorti feront l’affaire. Dis-lui que je compte sur elle pour que, désormais, tu sois habillée convenablement quand tu seras au travail. Tu n’oublieras pas de lui en parler ?
– Non Madame.
– Allez, file ! Il est temps ! »
Laure s’éloigna aussi vite qu’elle le put.




Et Peter Pan nous a gratifié d'un dessin de son cru


Pour suivre le fil de cette histoire :

Comprendre le contexte : l'introduction

Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 95

Le prochain épisode ... c'est le chapitre 97

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C'est par ici

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4 commentaires:

  1. Bonjour,
    je ne sais pas qui a eu l'excellente idée de: "Une fessée au travail, une fessée à la maison", élargie à "Une fessée en extérieur... Une fessée à l'intérieur (à la maison aussi) mais la mesure est imparable.

    Système de la double peine. Administrer une fessée pour sanctionner une autre reçue pour une faute commise. Ou le mouvement perpétuel de la punition. De quoi vous rougir les fesses jusqu'au jugement dernier! Et là on n'ose pas imaginer la sanction pour toutes les fessées reçues pendant son existence, sous l'autorité des Soeurs de St marie, madame Tolbois, mesdames André, Archain, Bourgeois, Geneviève... j'en passe et des plus sévères ( non c'est pas possible!)

    Et ce n'est pas fini. "le père, la mère, les frères et les soeurs, oh oh!... si j'avais un mart...inet!!"... les tantes et les cousines. Fessée des familles, en famille.
    Il vaut mieux se tenir à carreau, sous le régime de fessée! Pas la peine d'acheter des chaises, il n'y a plus moyen de s'asseoir!
    Cordialement
    Ramina

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    1. Ramina,
      J'ai extrapolé le principe "une fessée à l'école, une autre à la maison" qui a été longtemps en vigueur dans beaucoup de familles. Il s'agissait, et c'est la même chose dans ces récits, de montrer que les grandes personnes font front commun face aux bêtises de leurs pupilles.
      Assez efficace. Maintenant, je ne suis pas certain que ce soit moi qui l'ai inventé. Sans doute l'ai-je lu autre part et l'ai-je repris à mon compte. Ainsi vont les récit de fessée. Une idée reprise, transposée dans un autre contexte... et le récit est parti.
      Ainsi le récit d'Axel a été inspiré par une histoire lue sur le site spanko.net, the headmaster's wife si je ne me trompe pas. la nouvelle jeune compagne du principal d'une école de jeunes filles dans laquelle les châtiments corporels sont la règle, se mêle aux élèves pour voir quelles modifications il faudrait apporter dans l'enseignement. Bien évidemment, confondue avec une élève, elle reçoit une fessée. Le récit n'a pas dû être terminé, l’héroïne est laissée en plan au milieu du récit. Je l'ai transposé et poursuivi.
      Au plaisir de vous lire.
      JLG.

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  2. Bonjour,
    il reste plus que Joel , pour avoir une tutrice , dans son immeuble , il y a surement des volontaires , avec ses tapages nocturnes , il ne devrait pas manquer de clientes même plusieurs , convoquées au super marché en plus pour venir le chercher lol

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    1. Cher lecteur anonyme,
      Cela aurait pu être une possibilité. Vous découvrirez bientôt que j'en ai choisi une autre.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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