L’incertitude ne dura pas.
« Maeva, je commence par
toi. Tu nous as indiqué qu’il fallait prévenir ta sœur en cas d’urgence. C’est
donc elle que j’ai contactée. Après que je lui ai expliqué la situation dans
laquelle tu t’étais mise, elle était furieuse … après toi. Elle m’a dit qu’elle
était fatiguée de tous tes enfantillages et qu’elle était excédée de devoir
passer derrière toi pour réparer les pots cassés. Elle m’a remerciée de ma
demande de te punir. Elle te recommande de préparer tes fesses. »
« Je lui ai demandé de
passer te prendre dans une bonne demi-heure, ce qui te laissera le temps de
faire ta retenue et moi, je pourrai régler le cas de tes petits camarades
pendant ce temps. »
Maeva avait baissé la tête,
trouvant un nouvel intérêt dans le bout de ses chaussures. Elle se promit de ne
pas recommencer ses bêtises au travail et qu’elle allait devenir raisonnable en
reprenant sa vie en mains. Sa sœur avait raison, il fallait en finir avec les
enfantillages. Mais elle n’y croyait pas vraiment. Peut-être qu’avec l’aide de
sa sœur … Elle grimaça à la pensée que la main secourable que celle-ci lui
tendrait, serait appliquée dès ce soir sur ses fesses.
« Vous avez une demi-heure,
Maeva, pour récurer les toilettes de fond en comble. Vous les prendrez en
charge, chaque soir, les quatre jours que durera votre retenue. Je sais que
vous n’aimez pas faire du ménage. Prenez-le comme une punition. Si trouve le
moindre endroit qui n’a pas été correctement nettoyé, je pense que vous n’aurez
pas de mal à imaginer ce qui vous arrivera, n’est-ce pas ?
– Oui, Madame. Je sais.
– Parfait ! Allez donc et que
ce soit propre ! »
Maeva fit demi-tour et elle
quitta le bureau.
Le dévoilement de ce premier
arrangement familial ne pouvait qu’alarmer les autres membres du groupe.
L’acceptation de la sœur de Maeva s’était faite, semble-t-il, si facilement que
s’en était étonnant. Elle avait accepté, avec détermination, de prendre en
charge la discipline de sa sœur, comme si c’était la chose la plus naturelle au
monde.
J’étais, peut-être, le seul à ne
pas être surpris. Ma courte expérience dans le domaine m’avait appris que,
depuis longtemps, bon nombre des personnes qui me côtoyaient, étaient agacées
par mes comportements. Elles avaient bien souvent songé à me faire reproche de
mon insouciance quant aux conséquences, pour les autres, de mes actes, de mon
égoïsme et de l’exigence de confort que je revendiquais même s’il s’agissait de
l’obtenir au détriment des autres.
Je savais, maintenant, qu’elles
me voyaient comme un enfant dans le corps d’un adulte, un enfant envers lequel
on ne disposait pas de l’autorité nécessaire pour le contraindre à respecter
les principes de base d’un bon fonctionnement en société. Les conventions en
œuvre entre deux adultes ne permettent pas que l’un, estimant l’autre
insuffisamment mature, lui impose ces règles. Elles autorisent encore moins à
le contraindre à les accepter, comme il est de la responsabilité d’un adulte de
le faire vis-à-vis d’un enfant. Même quand il est évident qu’une bonne fessée
représenterait une bonne solution face à l’irresponsabilité, cela n’est pas
admis.
Quand nous en sommes à ce point,
quand les adultes de l’entourage ont déjà songé que la fessée serait une
méthode adaptée, il suffit généralement, pour passer à l’acte, qu’ils soient
encouragés à y recourir, dans un contexte où fesser un adulte n’est plus un
tabou.
A St Marie, il n’y avait pas de
réticence à fesser un adulte. C’était dans les normes. En fait, on n’y fessait
pas un adulte, on y corrigeait un élève dont l’âge importait peu. Sœur
Gabrielle avait permis à Julie qui souhaitait que je revoie nombre de mes
comportements sans y être arrivée auparavant, de franchir le pas. Julie l’avait
transmis à sa mère en me fessant en sa présence et c’est tout naturellement que
Madame André fut investie du même droit quand, avec Florence, tous deux
régulièrement fessés, nous avions été placés sous sa responsabilité. Notre
présence avait été le déclencheur du recours à la fessée par l’encadrement du
magasin et maintenant, ce droit passait aux proches des employés. Il n’y avait
là que de la diffusion d’une méthode qui avait été préalablement envisagée par
chacun de ceux qui avaient franchi le pas en fessant les adultes de leur
entourage qui n’assumaient pas leur statut.
La sœur de Maeva avait dû
éprouver un immense soulagement de savoir qu’elle pouvait, non, qu’elle devait
fesser sa cadette. Je gageais, maintenant que le tabou était levé, qu’elle ne
lâcherait pas ce droit de sitôt. Maeva devait s’attendre à ce que son éducation
soit revue et que ses comportements de petite fille provoquent des réactions
immédiates de sa sœur, mettant ses fesses à contribution. Ma théorie fut
confirmée par la suite de la soirée.
« Jérôme, j’ai eu ta Maman
au téléphone en début d’après-midi. Tu te doutes que je n’ai eu aucun mal à la
convaincre que réintroduire la fessée dans ton éducation est indispensable. Je
crois qu’elle n’attendait que cela. Elle m’a dit qu’elle regrettait d’avoir
cessé de te fesser à ta majorité. »
Jérôme dansait d’un pied sur
l’autre. Il regardait Madame André pendant un court instant, puis il baissait
la tête. Il ne savait pas comment se comporter face à cette annonce qui ne semblait
pas le surprendre.
« Ta Maman m’a demandé de te
raccompagner chez toi ce soir. Elle souhaite m’entretenir de la façon dont elle
envisageait de maintenir la discipline à la maison. »
Jérôme ne savait plus quelle
contenance adopter.
« Tu vas donc rester jusqu’à
ce que je règle toutes les questions avec tes camarades, puis nous passerons
chez toi. »
Ce cas réglé, Madame André passa
au suivant.
« Clara, j’ai eu plus de mal
avec toi. J’ai pu joindre ton mari, mais il a refusé de prendre les mesures
disciplinaires domestiques qui s’imposent. Il a tenu sa position, malgré mes
menaces de te renvoyer. Je lui avais annoncé ton prochain renvoi et j’étais sur
le point de raccrocher, quand il m’a supplié de l’écouter encore une minute.
C’est alors qu’il m’a suggéré d’en parler à sa mère.
Je vis les yeux de Clara
s’agrandirent d’effroi.
« C’est donc en …
– Mais Madame, je ne …
– T’ai-je autorisé à parler
Clara ? T’ai-je posé une question qui t’obligerait à me répondre ?
– Non Madame, fit piteusement la
jeune femme.
– Faut-il que je te fesse pour t’apprendre
à ne pas interrompre tes supérieurs quand ils parlent ?
– Non Madame, je ne le ferai
plus.
– Viens-ici ! »
Madame André invitait Clara à
faire le tour du bureau pour se positionner à sa droite. C’était un endroit où
aucun d’entre nous n’aimait se trouver. Nous étions à portée de la main de
Madame André et, de là, elle n’y avait plus qu’à nous coucher sur ses genoux
pour donner la fessée.
Clara grimaça, mais elle se
rendit là où il lui avait été dit de venir. Madame André souleva l’arrière de
la jupe de Clara et elle lui administra une formidable claque sur le haut de chaque
cuisse.
« Considère-le comme un
avertissement ! La prochaine fois je ne serai pas aussi coulante !
Reprends ta place ! »
Les yeux de Clara étaient remplis
de larmes, mais elle n’avait plus envie de donner son avis sans qu’il fût
sollicité.
« Ta Belle-mère a accepté ma
proposition avec enthousiasme. Nous avons eu un échange assez long sur la
responsabilité éducative que cela impliquait. Je crois qu’elle a décidé de la
prendre très au sérieux. Elle a toujours considéré, même avant ton mariage avec
son fils, que tu te comportais comme une petite écervelée et qu’en
vieillissant, cela ne c’était pas arrangé. »
Les yeux baissés, Clara triturait
le bas de sa jupe avec sa main gauche : le geste nerveux d’une petite
fille grondée qui s’attendait à une punition imminente.
« Je crois qu’elle a été
très fâchée quand je lui ai dit que tu avais menti. « Pour guérir les
petites filles menteuses, rien de tel qu’un bon lavage de bouche au savon avant
une bonne fessée, » m’a-t-elle assuré. Je l’ai encouragée dans ce
sens. »
Je vis Clara devenir toute rouge
de honte.
« J’ai eu l’impression d’une
femme qui a la tête sur les épaules. Elle ne doit pas être du genre à revenir
sur sa résolution quand elle en a pris une, n’est-ce pas ?
– Non, Madame.
– Elle m’a dit qu’elle pensait
que tu la trouvais un peu intrusive, que tu n’appréciais pas, à leur juste
valeur les conseils qu’elle te donne. Est-ce le cas ? »
Clara hésita à répondre.
« Ne me mens pas, je le
saurais !
– Oui, Madame, un peu, souffla
Clara d’une voix étouffée.
– Tu n’as donc plus à t’inquiéter
pour cela. Ta Belle-mère n’aura plus à être intrusive puisque c’est elle qui décidera de tous les petits détails de la
vie quotidienne de ton ménage, tout ce qu’elle considérait que tu gérais de
façon irresponsable. Elle m’a dit qu’elle saura te faire obéir. J’aurais plutôt
tendance à lui faire confiance sur ce point. Vas-tu être sage et
obéissante ? »
C’en était trop pour Clara qui se
mit à pleurer sans bruit. Des larmes coulaient sur ses joues et s’écrasaient au
sol entre ses pieds.
« Ne dramatise pas ! Tu
vas être traitée comme sa propre fille. Tu verras que cela aura aussi des
avantages. Je fais le pari que dans six mois tu me remercieras de t’avoir
placée dans cette situation »
Je ne connaissais pas
suffisamment Clara pour savoir si elle apprécierait d’être sous la tutelle de
sa Belle-mère, mais c’était une hypothèse assez probable.
« Bien sûr, il y aura la
fessée aussi souvent que nécessaire. Je pense que l’on peut compter sur le sens
de la justice de ta Belle-mère pour te punir à chaque fois que tu en auras
besoin, mais seulement à ces occasions-là. A cela également, tu
t’habitueras. »
A défaut de s’y habituer dès
maintenant, Clara devrait s’y soumettre. Cette perspective ne l’enchantait
guère.
« J’ai donc préparé le
courrier que tu lui remettras. Elle le signera après t’avoir punie. Elle
t’attend à la maison. Dépêche-toi de la rejoindre ! »
Sur un dernier signe
d’encouragement, Clara quitta la pièce. Sa démarche dénotait un enthousiasme
modéré. Mais il fallait y aller. Elle avait rendez-vous.
« Laure … »
C’était à son tour d’être fixée
sur son sort.
« Laure, je n’ai pas encore
réussi à joindre ta Maman. Sais-tu si elle est chez elle à cette heure-ci ?
– Oui Madame, en principe. »
La voix de Laure tremblait. La
façon dont s’était réglé le futur proche de ses précédents camarades avait de
quoi lui faire craindre les heures à venir.
« Je vais
réessayer ; »
Madame André composa un numéro de
téléphone.
« Bonjour, Madame
Talouet ?
– … »
Nous n’entendions pas les
réponses de sa correspondante au téléphone.
« Je suis bien avec la Maman
de Laure ;
– …
– Je suis Madame André, la
responsable du magasin où travaille Laure. Je vous rassure tout de suite, il ne
lui est rien arrivé de grave, juste un petit problème qui demande votre
intervention.
– …
– Oui, évidemment, mais ce n’est
pas le cas. Soyez certaine qu’elle est en parfaite santé, autant que je puisse
en juger.
– …
– Oui, tout à fait.
– …
– Voilà ce qui m’amène. Laure est
arrivée au travail ce matin avec un chemisier tâché. Ce n’était pas la première
fois. J’ai donc décidé de prendre le problème à bras le corps. J’ai demandé à
Madame Archain, sa responsable de mui donner une fessée.
– …
– Oui, oui, vous m’avez bien
comprise. Une fessée.
– …
– Oh, pas vraiment, non, même
quand Madame Archain l’a déculottée. C’est un peu plus tard quand ces fesses
ont commencé à lui cuire, qu’elle a protégé ses fesses de sa main. Vous
comprenez bien que je ne pouvais laisser passer une telle désobéissance,
surtout quand elle a récidivé. »
Madame André se lança dans le
récit détaillé des punitions de Laure, brièvement interrompue par son
interlocutrice qui demandait des précisions.
Laure ne parvenait pas à rester
immobile. Elle faisait passer son poids d’une jambe sur l’autre, elle levait un
pied puis le reposait, elle esquissait un pas mais sans bouger de place. Elle
avait sorti un mouchoir de sa poche pour essuyer une ou deux larmes dans ses
yeux. Elle tortillait maintenant le mouchoir entre ses deux mains.
Si ce n’était son âge, c’était le
parfait portrait d’une petite fille attendant la décision de sa mère quant à la
punition qu’elle avait méritée tandis que la directrice racontais ses dernières
frasques. Bien que la scène ne concernât que des adultes, c’était exactement ce
qui se jouait sous nos yeux.
Les explications préalables
terminées, Madame André en vint au vif du sujet.
« Je crois que vous devez
montrer à Laure que vous partagez notre commune réprobation. Pour ce faire, il
me semble pertinent d’appliquer le principe « une fessée au travail, une
fessée à la maison ».
– …
– J’étais certaine de votre
réaction. Je savais que vous approuveriez notre méthode.
– …
– Je suis étonnée que vous ne
l’ayez jamais fessée, même quand elle était petite. Vous savez il n’est jamais
trop tard pour bien faire.
– …
– Vous avez raison. Je crois que
recevoir la fessée à la maison et y passer quelques temps au coin lui sera
profitable pour bien d’autres choses que la qualité de ce qu’elle fait ici.
Vous allez pouvoir vous occuper de tous les petits manquements qu’elle se
permet.
– …
– Oui, c’est tout à fait cela. Il
reste encore un point à éclaircir. Je me suis adressée à vous parce que nous
avons déjà eu l’occasion de nous rencontrer. Je ne connais pas le mari de
Laure. Je ne sais pas s’il accepterait de se charger des punitions ou s’il est
préférable que vous en preniez la responsabilité.
– …
– Vous avez raison. C’est un bon
compromis. Vous lui donnez les premières fessées, puis vous abordez le sujet
avec son mari et vous m’en reparlez.
– …
– Effectivement, c’est important
de savoir s’il est fiable. Je vous laisse juge en la matière. Il ne faudrait
pas que notre jeune fille ne puisse compter sur sa fessée quand elle reviendra
chez elle.
– …
– Je suis désolée, mais je ne
peux pas vous aider sur ce sujet. Je ne le connais pas. Cependant, il serait
plutôt injuste que Laure soit fessée pour des comportements répréhensibles ou
des négligences et que, pour les mêmes raisons, son époux ne le soit pas. Il y
aurait là une discrimination que ne s’expliquerait pas.
– …
– Excellente idée ! En
parler à sa mère permettrait de généraliser le régime de punition. Si elle
avait l’habitude de le punir de cette façon, ce sera d’autant plus facile de
reprendre les anciennes habitudes.
– …
– Si je peux me permettre, il
serait plus aisé que vous ayez, toutes deux, la faculté de punir n’importe
lequel de vos deux enfants, celui que vous avez mis au monde et celui qui vous
est échu par alliance. Je vous laisse régler ces détails.
– …
– C’est d’accord. Je vous
l’envoie tout de suite. »
Madame André avait une mine
satisfaite, de celles qu’on montre quand on a l’impression d’avoir bien avancé
dans son travail.
« Tiens, Laure ! Voici
le courrier à remettre à ta Maman. Tu vas te rendre directement chez elle. Je
crois qu’elle a projeté de t’y donner une première fessée. Puis, j’ai cru
comprendre que, accompagnée de ta mère, tu as rendez-vous avec ta belle-mère à ton
domicile. Là, tu recevras une deuxième fessée et de nouvelles mesures
disciplinaires seront prises. Si je ne me trompe pas, elles concerneront également
ton mari. »
Laure restait bouche ouverte à
écouter Madame André. La future organisation de sa vie, sous la houlette de sa
mère et de sa belle-mère, avec la menace d’une fessée planant en permanence,
promettait d’être rude.
Jamais elle ne se serait imaginé
qu’une simple tâche sur un chemisier, ait pu avoir d’aussi importantes
conséquences. Si elle avait su, elle aurait fait l’effort de nettoyer
correctement sa tenue de travail. Trop tard pour avoir des regrets, il était
impossible de revenir en arrière.
« Ta maman m’a dit qu’elle
te donnait vingt minutes pour arriver chez elle. Au-delà, tu seras punie pour
ton retard. Je te conseille donc de ne pas traîner. Le chronomètre tourne. Tu
as déjà gâché trois minutes. »
Il y eut soudain de l’urgence
dans les gestes de Laure. Elle se précipita vers la porte.
« Ah, encore une chose. J’ai
oublié de parler à ta Maman de ta culotte et de ton soutien-gorge. Tu lui
diras, sans faute, que je ne veux plus que tu portes des sous-vêtements aussi
frivoles au travail. Une culotte blanche en coton toute simple et un
soutien-gorge assorti feront l’affaire. Dis-lui que je compte sur elle pour
que, désormais, tu sois habillée convenablement quand tu seras au travail. Tu
n’oublieras pas de lui en parler ?
– Non Madame.
– Allez, file ! Il est
temps ! »
Laure s’éloigna aussi vite
qu’elle le put.
Et Peter Pan nous a gratifié d'un dessin de son cru
Pour suivre le fil de cette histoire :
Comprendre le contexte : l'introduction
Le premier épisode : chapitre 1
Le prochain épisode ... c'est le chapitre 97
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De l'usage des commentaires
N'hésitez pas à donner votre avis. Les retours des lecteurs sont un encouragement précieux pour les auteurs, si vous voulez que ça dure. Faites-en un usage immodéré.
Bonjour,
RépondreSupprimerje ne sais pas qui a eu l'excellente idée de: "Une fessée au travail, une fessée à la maison", élargie à "Une fessée en extérieur... Une fessée à l'intérieur (à la maison aussi) mais la mesure est imparable.
Système de la double peine. Administrer une fessée pour sanctionner une autre reçue pour une faute commise. Ou le mouvement perpétuel de la punition. De quoi vous rougir les fesses jusqu'au jugement dernier! Et là on n'ose pas imaginer la sanction pour toutes les fessées reçues pendant son existence, sous l'autorité des Soeurs de St marie, madame Tolbois, mesdames André, Archain, Bourgeois, Geneviève... j'en passe et des plus sévères ( non c'est pas possible!)
Et ce n'est pas fini. "le père, la mère, les frères et les soeurs, oh oh!... si j'avais un mart...inet!!"... les tantes et les cousines. Fessée des familles, en famille.
Il vaut mieux se tenir à carreau, sous le régime de fessée! Pas la peine d'acheter des chaises, il n'y a plus moyen de s'asseoir!
Cordialement
Ramina
Ramina,
SupprimerJ'ai extrapolé le principe "une fessée à l'école, une autre à la maison" qui a été longtemps en vigueur dans beaucoup de familles. Il s'agissait, et c'est la même chose dans ces récits, de montrer que les grandes personnes font front commun face aux bêtises de leurs pupilles.
Assez efficace. Maintenant, je ne suis pas certain que ce soit moi qui l'ai inventé. Sans doute l'ai-je lu autre part et l'ai-je repris à mon compte. Ainsi vont les récit de fessée. Une idée reprise, transposée dans un autre contexte... et le récit est parti.
Ainsi le récit d'Axel a été inspiré par une histoire lue sur le site spanko.net, the headmaster's wife si je ne me trompe pas. la nouvelle jeune compagne du principal d'une école de jeunes filles dans laquelle les châtiments corporels sont la règle, se mêle aux élèves pour voir quelles modifications il faudrait apporter dans l'enseignement. Bien évidemment, confondue avec une élève, elle reçoit une fessée. Le récit n'a pas dû être terminé, l’héroïne est laissée en plan au milieu du récit. Je l'ai transposé et poursuivi.
Au plaisir de vous lire.
JLG.
Bonjour,
RépondreSupprimeril reste plus que Joel , pour avoir une tutrice , dans son immeuble , il y a surement des volontaires , avec ses tapages nocturnes , il ne devrait pas manquer de clientes même plusieurs , convoquées au super marché en plus pour venir le chercher lol
Cher lecteur anonyme,
SupprimerCela aurait pu être une possibilité. Vous découvrirez bientôt que j'en ai choisi une autre.
Au plaisir de vous lire,
JLG.