mercredi 17 avril 2019

Axel au supermarché - Chapitre 95


« Crois-tu, petite peste coléreuse que tu vas t’en sortir à si bon compte ? »
Dorothée gémit. Elle venait de comprendre qu’elle n’était pas au bout de ses peines.
« Je peux considérer que la fessée que je viens de te donner solde ta paresse. Par contre il faut encore s’occuper de la colère que tu viens de piquer, sans compter le mal que tu m’as donné pour que tu te soumettes à cette fessée pourtant tout à fait méritée. Tu es bien d’accord, il te fallait une bonne fessée pour cette pause prolongée ?
– Oui, Madame, je suis d’accord.

– Voilà ce que nous allons faire. Je vais te relâcher, mais tu vas rester en place pendant la suite de ta fessée. Il t’est interdit de te relever, de te protéger les fesses avec ta main. Tu dois rester à plat-ventre sur mes genoux, me laissant accès à tes fesses, tant que la punition n’est pas terminée. »
Dorothée gémit. Elle pleurait doucement, mais elle restait sans bouger dans la position disciplinaire dans laquelle Madame Bourgeois l’avait mise.
« Est-ce bien claire ? »
Une nouvelle claque vint souligner la question.
« Oui, Madame, j’ai compris.
– Pour ta colère, je vais poursuivre la fessée avec ma main. Cette deuxième correction sera aussi longue et aussi sévère que la première. Quand j’estimerai que tu as été suffisamment punie, nous passerons à la troisième phase de ton châtiment. Ce sera avec une règle pour bien te montrer que refuser de recevoir une fessée est un comportement inadmissible. J’envisage d’ailleurs de demander à Madame André de prolonger ta punition toute la journée demain afin que nous soyons certains, toi comme moi, que c’est la dernière fois que tu te livres à un tel refus d’obéissance.
– Oui, Madame, oui, je le promets.
– Nous verrons si tu tiens ta promesse. En attendant, je vais tenir la mienne. »
Madame Bourgeois se tourna vers moi.
« Axel tu vas aller me chercher une règle plate en bois dans le rayon des fournitures scolaires. Tu en trouveras de deux tailles : trente et quarante centimètres. Tu m’en ramèneras une des longues. Aller ! »
Elle reporta son attention sur la femme qu’elle avait sur ses genoux.
« Revenons à nos moutons. Il faut que je finisse de m’occuper de toi ! »
La fessée reprit et avec elle les plaintes désespérées et les pleurs de Dorothée. Même en m’éloignant, deux rayons plus loin, j’entendais toujours le fracas que provoquait la fessée. Les clients qui n’étaient pas encore au courant prenaient un air inquiet jusqu’à que d’autres les rassurent.
« Ce n’est rien de grave, une vendeuse qui reçoit une fessée. Je n’aimerais pas être à sa place ! »
Généralement, ils se dirigeaient vers l’origine du bruit en faisant un détour pour voir, de leurs propres yeux, cette situation inattendue.
Muni de la règle, je repris ma place auprès de Madame Bourgeois, attendant qu’elle me réclame l’objet qu’elle m’avait envoyé chercher. Dorothée était libre de ses mouvements, mais elle ne bougeait pas de la place qui lui avait été assignée pour autant. Même son bras droit n’était plus tenu dans son dos. Sa main agrippait le mollet de Madame Bourgeois qu’elle serrait plus fort à chaque claque.
L’interruption que dut faire Madame Bourgeois pour s’emparer de la règle fut de courte durée.
« Passons à la règle maintenant. Tu vas voir, cela va être beaucoup plus douloureux, mais tu en as besoin. La prochaine fois que tu auras envie de faire une colère, tu pourras songer à ce qu’une règle généreusement maniée peut provoquer sur tes fesses. Tu verras que cela te fera renoncer à tes désobéissances ! N’oublie pas, pas de main pour te protéger ! »
Le son d’une règle claquant des fesses nues est bien différent de celui de la main. Il est plus sec, moins sonore, mais l’effet en est plus cinglant. Dorothée passa aux hurlements. Elle ne tint pas plus d’une bonne dizaine de secondes, le temps que Madame Bourgeois lui applique la règle une petite dizaine de fois, avant de placer, sur ses fesses, sa main ouverte le plus largement possible.
« Encore une insubordination ! »
Madame Bourgeois replia le bras de Dorothée derrière son dos.
« Puisque tu persistes dans tes désobéissances, c’est décidé. Ta punition sera prolongée jusqu’à demain soir : toutes tes pauses, tu les passeras au piquet et nous entamerons chacune d’entre elles, par une bonne fessée. »
Dorothée abandonna définitivement le combat dès que la règle reprit son office. Ses fesses prenaient une couleur rouge cramoisi là où la règle s’abattait. Puis, cette teinte plus sombre se diffusait en s’éclaircissant un peu jusqu’à ce que la règle, revenant au même endroit, renforce de nouveau la coloration de la peau.
Madame Bourgeois lui tenait le bras replié dans son dos par pure forme. Elle n’essayait plus de se défaire de l’emprise de sa cheffe de rayon. Son corps, depuis ses épaules jusqu’au bas de ses cuisses, se crispait à chaque coup de règle, puis elle relâchait ses muscles, comme si elle ne pouvait tenir une telle tension.

« Va remettre la règle à sa place dans le rayon. Fesser cette vilaine fille ne l’a pas abîmée. »
Madame Bourgeois me tendait l’instrument dont elle venait de se servir de façon si impressionnante. J’espérais n’avoir jamais à en éprouver la morsure sous sa main. Quand je revins, l’assistance s’était un peu éclaircie.
Dorothée gisait toujours sur les genoux de Madame Bourgeois. La peau de ses fesses semblait luire, tellement le rouge uniforme qui la recouvrait était sombre. Elle mêlait des pleurs et des gémissements alors que la main de Madame Bourgeois effleurait doucement ses fesses.
« Là, là, .. c’est fini. Tu vas être bien sage et obéissante, maintenant. N’est-ce pas ?
– Oh oui, Madame, oh oui !
– Reste un peu là comme une gentille petite fille. »
Madame Bourgeois resserra un peu plus sa prise. Il ne s’agissait plus de faire rester Dorothée en place pour la punir, mais plutôt de la réconforter. Elle réagit à ce contact en se nichant plus confortablement sur les genoux de sa correctrice. Le calme après la tempête.
Madame Bourgeois ne laissa pas la situation s’éterniser.
«  Nous n’allons pas rester là. J’ai du travail à faire avant ce soir. Pour toi ce n’est pas très grave, tu vas aller finir ta journée au piquet devant le bureau de Madame André. »
Dorothée grogna à l’annonce de ce désagrément à venir.
« Qu’est-ce que c’est que ça ? Un nouveau caprice ? »
Madame Bourgeois lui donna une claque modérée qui arracha cependant un cri à Dorothée. Sur ses fesses enflammées, ce n’était pas étonnant. Puis Dorothée enfoui son visage plus étroitement dans les plis de la blouse de Madame Bourgeois.
« D’abord cette culotte que je ne veux pas voir sur toi la prochaine fois que je te donnerai une fessée. Je vais te l’ôter. Tu n’en as plus besoin d’ici ce soir. »
Madame Bourgeois fit glisser la culotte jusqu’aux chevilles de Dorothée, puis elle la lui ôta complètement. Elle la chiffonna dans sa main et la mit dans sa poche.
« Debout ma petite coléreuse ! »
La première chose que fit Dorothée quand elle eut retrouvé la station verticale, ce fut de porter ses mains à ses fesses et de commencer prudemment un massage.
« Non, non, il n’en est pas question. »
Madame Bourgeois accompagna sa remontrance d’une claque sur les fesses.
« Je veux que la cuisson de tes fesses dure un peu. Cela t’aidera à te souvenir de ce qui l’a provoquée. On ne se frotte donc pas les fesses ! »
Dorothée ôta ses mains, comme si subitement la peau de son postérieur était devenue brûlante. Cela eut l’avantage de couvrir ses fesses de ses vêtements qui reprirent leur place naturelle.
« Allons, avance ! »
La petite tape sur les fesses était de celles qu’une grande personne aurait donnée à une petite fille. Dorothée ne s’en offusqua pas.
Madame Bourgeois revint seule quelques instants plus tard. Il restait une demi-heure avant la fermeture du magasin. Le rythme de travail ne faiblit pas, il s’agissait de remplir les rayons afin qu’ils soient prêts pour le lendemain matin.

La consigne fit le tour du magasin. Tous ceux qui avaient été punis dans la journée étaient convoqués dans le bureau de Madame André, dès leur travail terminé. Cette annonce n’était pas faite pour me rassurer. Qu’allions-nous faire là-bas ? Fallait-il se préparer à recevoir une nouvelle fessée ?
« Bon, me dit Madame Bourgeois, ça suffira pour ce soir. N’oublie pas que tu es attendu par Madame André ! »
Cette convocation me perturbait tellement que je ne risquais pas de l’oublier. Je m’y rendis, une boule grandissante dans mon estomac.
Le bureau de Madame André donnait dans l’entrepôt, sur le vaste espace qui faisait sas avec le magasin. Elle avait ainsi un regard sur tous les flux de personnes et de marchandises qui passaient par ce lieu stratégique. La veille, j’avais été mis au piquet le long du mur qui séparait son bureau de l’entrepôt, j’avais donc eu le temps de me familiariser avec le lieu.
Ce soir, c’était Dorothée qui s’y tenait. Ses mains tenaient relevés le bas de sa robe et de sa blouse, bien au-dessus de ses reins. Comme elle n’avait plus de culotte, ses fesses étaient à la vue de toutes les personnes qui circulaient dans cette agora. Elle restait pourtant totalement immobile, le nez touchant le mur. Ses fesses étaient un peu moins rouges qu’elles ne l’avaient été, mais les marques laissées par la règle se voyaient sans difficulté. Son postérieur était barré de traces rouge sombre sur lesquels il n’y avait pas à se méprendre.
En m’approchant, je constatais qu’elle frissonnait. Sans doute le froid, mais également la honte d’être exposée à demi-nue. Compte tenu de son âge, elle ne devait plus avoir aucun souvenir d’un moment où elle se serait trouvée dénudée, en dessous de la taille, dans un lieu public. Dès qu’il y avait un bruit un peu plus fort ou qu’une personne passait un peu trop près, je voyais des contractions parcourir de bas en haut, le corps de Dorothée. Elle respectait cependant les règles que la mise en pénitence imposait, mais il était clair que cela lui coûtait.
La porte du bureau était ouverte. Madame André était assise à son bureau.
« Entre Axel, nous t’attendions. »
Le long du mur, face au bureau de la responsable du magasin, étaient alignés plusieurs des punis de la journée. Florence, Laure, Joël et Maeva faisaient face à la cloison. Ils avaient leurs mains croisées sur leur tête.
« Rejoignez donc vos petits camarades en attendant les autres. Faut-il vous préciser que je ne veux entendre aucun bruit. »
Non, ce n’était pas utile, mais je me gardais d’en faire la remarque. Je posais mon nez le long du mur, à la gauche de Laure et je mis mes mains sur ma tête. L’attente commença. Au moins Madame André n’avait pas exigé que nous baissions notre culotte.
Nous avions donc gardé un reliquat de décence même si notre statut d’adulte était bien entamé alors que nous étions cinq grandes personnes, mises au piquet dans le bureau de notre responsable hiérarchique. Cela aurait été plus adapté si nous avions encore eu l’âge de nous trouver dans le bureau du directeur de notre école. Plus adapté et bien moins risqué. La probabilité de recevoir une fessée était certainement bien plus basse dans n’importe quelle école que sous la houlette de Madame André.
Celle-ci accueillit ses invités et les envoya nous rejoindre l’un après l’autre. Ce fut d’abord Clara qui vint se rajouter au bout de notre file. Elle travaillait dans le rayon fruits et légumes frais, à l’autre bout du magasin. Je ne savais donc pas qu’elle avait été punie.
« Voici ma petite menteuse ! Va te mettre à côté de tes camarades, Clara ! »
Deux minutes plus tard, c’est Jérôme qui vint partager notre sort.
 « Jérôme, nous n’attendions plus que toi ! Nous sommes donc au complet ! »
Il fallut se serrer un peu pour laisser de la place à Jérôme pour qu’il puisse prendre la même pose que nous.
« Dorothée, tu nous rejoins, clama Madame André pour se faire entendre de notre collègue qui était restée au piquet à l’extérieur de la pièce. »

Madame André ne nous laissa que quelques minutes dans cette position avant de nous convoquer face à elle.
« Tournez-vous face à moi, ma belle brochette de punis ! Avancez un peu vers le bureau. Nous avons à parler. »
Aucun de nous ne fit de difficulté pour se placer là où Madame André nous l’avait demandé. Nous étions tous très obéissants, de peur qu’une hésitation ou une esquisse de protestation ou ce qui pourrait être pris comme tel, ne donnât un motif suffisant pour une nouvelle fessée. Elle laissa s’installer un petit moment de silence qui me mit mal à l’aise.
Madame André ne nous avait pas rassemblés par hasard. Elle avait une annonce à nous faire. Quel en était le contenu ?
« Vous pouvez baisser vos mains. Et toi, Dorothée, laisse tomber ta robe et ta blouse. Nous n’avons plus besoin de voir tes fesses. »
Je regardais mes compagnons. Ils semblaient tous aussi inquiets que moi. Certains mordaient nerveusement un doigt. Laure tortillait le tissu de sa jupe avec ses doigts. Nous étions plusieurs à ne pas savoir quoi faire de nos mains : devant, derrière, sur le côté ? Joël se mordillait l’intérieur des joues. La nervosité l’emportait chez chacun de nous. Seule Madame André paraissait à son aise.
« A part Florence et Axel qui en ont l’habitude, je suis consciente que la ou les fessées que nous avons dû vous donner aujourd’hui, représentent un changement majeur dans votre vie. Peut-être certains d’entre vous, je pense aux plus jeunes, étaient-ils encore fessés à la maison ? Mais aucun de vous n’avait été puni de cette façon pour des insuffisances dans son travail. »
Madame André fixa droit dans les yeux, chacune des personnes qu’elle avait devant elle. Elle passa vite sur Florence et moi. La fessée n’était pas une nouveauté pour nous.
« Vous avez probablement compris que ce mode de punition sera désormais systématiquement utilisé dans ce magasin. Nul n’en est à l’abri. J’en attends des améliorations dans la qualité et le rythme de travail. Plusieurs d’entre vous en ont donné la preuve aujourd’hui. Une bonne fessée incite à mieux travailler, n’est-ce pas ? »
C’est dans un bel ensemble que nous avons acquiescé. Il nous était difficile de nier l’efficacité de la fessée et encore plus de le faire dans le contexte dans lequel nous étions. Je voyais très bien Madame André en faire la démonstration sur le champ aux dépens de celui qui aurait eu la folie de s’opposer à sa théorie. Apparemment, mes camarades partageaient ma prudence.
« Vous avez été les premiers à en bénéficier. Je crois que la leçon a porté. Ne soyez pas inquiets, d’autres vous rejoindront dès demain, sans que cela vous mette, vous-même, à l’abri d’une prochaine correction. Vous verrez, cela fera bientôt partie de nos habitudes. Vous vous y habituerez. »
Les regards des personnes qui m’entouraient démentaient cette dernière affirmation. Personne n’avait envie de s’accoutumer à être fessé quand ses responsables hiérarchiques le décideraient. Pourtant nul n’émit un avis contraire.
« Je tiens à instaurer dès le début de bonnes habitudes. La tante d’Axel m’a expliqué comment, dans le lycée où il est scolarisé, chaque fessée reçue à la maison est doublée par une autre à la maison. Je trouve ce principe excellent. Il permet de faire comprendre au contrevenant que la paresse ou les bêtises faites à l’école ne sont pas admises par qui que ce soit, et en particulier par les personnes les plus proches. »
J’allais encore apparaître comme celui qui a donné de mauvaises idées. Je sentais la réprobation de mes camarades. Nous voyons tous là où elle voulait aller. La stupeur se lisait sur tous les visages. Florence et moi, dont c’était le dernier jour dans le magasin, étions plutôt détachés. Tous les autres voyaient comment le changement majeur qu’ils avaient connu sur leur lieu de travail aujourd’hui, déborderait dans leur vie privée.
« Il en sera désormais de même ici. Toute fessée reçue dans la journée devra être sanctionnée par une autre reçue à la maison. C’est seulement à cette condition que conserverai les punis dans l’équipe du magasin. Ceux qui ne s’y soumettront pas n’auront plus leur place dans l’équipe. »
La plupart de mes compagnons baissaient la tête, atterrés par cette nouvelle. Madame André était bien connue. Elle n’en était pas à son premier renvoi. Elle s’était souvent illustrée en mettant dehors, à la première incartade, des employés qui ne faisaient pas l’affaire à ses yeux. Le choix était maintenant clair : être renvoyé à la première faute ou conserver son emploi mais en se soumettant à la fessée au travail et, qui plus est, dans son cercle familial.
« Chaque employé qui a reçu une fessée dans la journée, repartira le soir avec une lettre. Elle exigera que le même traitement lui soit appliqué le soir même. Cela signifie recevoir autant de fessées le soir que dans la journée et qu’elles devront être aussi sévère. J’ai bien peur, Laure qu’avec les quatre corrections que Madame Archain vous a données, votre soirée votre soirée soit difficile. Quant à vous Dorothée, vous connaitrez de nouveau la rigueur d’un instrument punitif qui sera choisi pas votre fesseur ou votre fesseuse. Ce sera désormais l’usage. »
Madame André avait tout prévu. Elle en fit la démonstration.
« Ce courrier devra revenir signé. Ce sera la preuve que vous avez été punis. Ceux qui reviendraient sans le courrier ou sans l’avoir fait paraphé, recevront une sévère correction le lendemain.
Madame André attendit que cette menace fasse le tour des cerveaux des personnes debout devant elle.
« Ne croyez pas que vous pourriez tricher. Si la fessée n’a pas été réellement administrée, ce sera un motif de renvoi. On ne fait pas long feu ici quand j’ai décidé du contraire ! »
Je voyais aux visages de mes voisins que chacun faisait confiance à Madame André sur ce point.
« Il nous reste à choisir la personne à qui sera confiée cette mission de confiance. Nous irons la chercher d’abord chez les proches : un parent, un conjoint ou une conjointe feront parfaitement l’affaire. C’est vers eux que nous nous tournerons en premier. Toutefois, quand ils ne pourront faire l’affaire pour quelque raison que ce soit, nous élargirons le cercle : un frère, une sœur, un oncle, une tante ou l’un des grands-parents. »
Les seuls qui n’étaient pas encore abattus par les promesses de Madame André, étaient ceux qui n’avaient reconnu aucun de leurs proches dans l’énumération. Ils avaient tort.
« Je proposerai, quand ce sera nécessaire, à quelques amis ou voisins de se charger de cette tâche. Nous trouverons bien quelqu’un. Je connais suffisamment de monde dans cette ville pour trouver une bonne âme qui acceptera de rendre ce service. »
Quand Madame André se tut, un silence de mort régnait dans la pièce. Chaque personne présente essayait de comprendre comment allait évoluer sa situation personnelle. Qui serait choisi pour lui donner la fessée à la maison ?


Pour suivre le fil de cette histoire :

Comprendre le contexte : l'introduction
Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 94

Le prochain épisode ... c'est le chapitre 96

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4 commentaires:

  1. Bonjour à tous (?)

    Oula la c'est de pire en mieux! Infatigable JLG! La muse "claques aux fesses" inspire. Toujours imaginatif au 95è épisode, ça fait un paquet de fessées !! On se demande jusqu'où il va continuer de ne pas s'arrêter !!

    Les séances de fessées dans la grande distribution, c'est comme les séries à la télé il y a plusieurs saisons. La deuxième pour Dorothée est encore plus cuisante que la première, pourtant déjà bien claquante.
    "Game Of Spanking"... Après un premier épisode nourri d'une nouvelle fessée à la main, madame Bourgeois fait encore monter la pression. Le suspense ne dure pas longtemps, on trouve de tout au supermarché y compris des instruments de correction, au rayon des accessoires et fournitures scolaire.
    Une règle c'est fait pour prendre des mesures. L'impétueuse Madame Bourgeois prend bien des mesures, mais disciplinaires, sur les fesses de Dorothée qui, du coup, cumule les mandales! Le client qui va acheter cette règle remise dans le rayon après la fessée devrait s'étonner de la trouver toute chaude. Toute la chaleur du bois!

    Régime claque sec, on ne marche pas sur l'eau mais on multiple les fessées! Madame André réécrit à la lettre, le dicton " Qui aime bien châtie bien" Elle n'aime pas, elle adore... tous ses stagiaires :
    " Autant de fessées le soir que dans la journée" Principe de précaution pour éviter les interruptions de programme... disciplinaire. Reste à trouver les acteurs pour prendre la main.
    Les fesses de ces Messieurs Dames n'ont pas fini de rougir et pas de plaisir!
    Cordialement.
    Ramina

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    Réponses
    1. Bonjour,
      Effectivement, encore quelques semaines et nous (je...) en auront fini avec Axel. Si il reste de l’imagination dans le 95ème épisode, il y en a tout autant dans es commentaires qu'il suscite, n'est-ce pas Ramina ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Bonjour,JLG
    "Tout est dans tout, et réciproquement."
    Alfred Capus 1857/1922 Journaliste Romancier.
    Cordialement
    Ramina

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  3. Bonjour Ramina,

    Merci pour cette citation que je ne connaissais pas.
    Comme quoi, la fessée mène à tout. Comme tous les chemins mènent à Rome. Surtout pour les cloches de Pâques.
    A ce propos, chers amis, bonnes fêtes de Pâques à vous et aux internautes de passage sur ce Blog au sujet si atypique.
    Bon WE. Peter.

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