« Crois-tu, petite peste
coléreuse que tu vas t’en sortir à si bon compte ? »
Dorothée gémit. Elle venait de
comprendre qu’elle n’était pas au bout de ses peines.
« Je peux considérer que la
fessée que je viens de te donner solde ta paresse. Par contre il faut encore
s’occuper de la colère que tu viens de piquer, sans compter le mal que tu m’as
donné pour que tu te soumettes à cette fessée pourtant tout à fait méritée. Tu
es bien d’accord, il te fallait une bonne fessée pour cette pause
prolongée ?
– Oui, Madame, je suis d’accord.
– Voilà ce que nous allons faire.
Je vais te relâcher, mais tu vas rester en place pendant la suite de ta fessée.
Il t’est interdit de te relever, de te protéger les fesses avec ta main. Tu
dois rester à plat-ventre sur mes genoux, me laissant accès à tes fesses, tant
que la punition n’est pas terminée. »
Dorothée gémit. Elle pleurait
doucement, mais elle restait sans bouger dans la position disciplinaire dans
laquelle Madame Bourgeois l’avait mise.
« Est-ce bien
claire ? »
Une nouvelle claque vint
souligner la question.
« Oui, Madame, j’ai compris.
– Pour ta colère, je vais
poursuivre la fessée avec ma main. Cette deuxième correction sera aussi longue
et aussi sévère que la première. Quand j’estimerai que tu as été suffisamment
punie, nous passerons à la troisième phase de ton châtiment. Ce sera avec une
règle pour bien te montrer que refuser de recevoir une fessée est un
comportement inadmissible. J’envisage d’ailleurs de demander à Madame André de
prolonger ta punition toute la journée demain afin que nous soyons certains,
toi comme moi, que c’est la dernière fois que tu te livres à un tel refus
d’obéissance.
– Oui, Madame, oui, je le promets.
– Nous verrons si tu tiens ta
promesse. En attendant, je vais tenir la mienne. »
Madame Bourgeois se tourna vers
moi.
« Axel tu vas aller me
chercher une règle plate en bois dans le rayon des fournitures scolaires. Tu en
trouveras de deux tailles : trente et quarante centimètres. Tu m’en
ramèneras une des longues. Aller ! »
Elle reporta son attention sur la
femme qu’elle avait sur ses genoux.
« Revenons à nos moutons. Il
faut que je finisse de m’occuper de toi ! »
La fessée reprit et avec elle les
plaintes désespérées et les pleurs de Dorothée. Même en m’éloignant, deux
rayons plus loin, j’entendais toujours le fracas que provoquait la fessée. Les
clients qui n’étaient pas encore au courant prenaient un air inquiet jusqu’à
que d’autres les rassurent.
« Ce n’est rien de grave,
une vendeuse qui reçoit une fessée. Je n’aimerais pas être à sa
place ! »
Généralement, ils se dirigeaient
vers l’origine du bruit en faisant un détour pour voir, de leurs propres yeux,
cette situation inattendue.
Muni de la règle, je repris ma
place auprès de Madame Bourgeois, attendant qu’elle me réclame l’objet qu’elle
m’avait envoyé chercher. Dorothée était libre de ses mouvements, mais elle ne
bougeait pas de la place qui lui avait été assignée pour autant. Même son bras
droit n’était plus tenu dans son dos. Sa main agrippait le mollet de Madame
Bourgeois qu’elle serrait plus fort à chaque claque.
L’interruption que dut faire
Madame Bourgeois pour s’emparer de la règle fut de courte durée.
« Passons à la règle maintenant.
Tu vas voir, cela va être beaucoup plus douloureux, mais tu en as besoin. La
prochaine fois que tu auras envie de faire une colère, tu pourras songer à ce
qu’une règle généreusement maniée peut provoquer sur tes fesses. Tu verras que
cela te fera renoncer à tes désobéissances ! N’oublie pas, pas de main
pour te protéger ! »
Le son d’une règle claquant des
fesses nues est bien différent de celui de la main. Il est plus sec, moins
sonore, mais l’effet en est plus cinglant. Dorothée passa aux hurlements. Elle
ne tint pas plus d’une bonne dizaine de secondes, le temps que Madame Bourgeois
lui applique la règle une petite dizaine de fois, avant de placer, sur ses
fesses, sa main ouverte le plus largement possible.
« Encore une insubordination ! »
Madame Bourgeois replia le bras
de Dorothée derrière son dos.
« Puisque tu persistes dans
tes désobéissances, c’est décidé. Ta punition sera prolongée jusqu’à demain
soir : toutes tes pauses, tu les passeras au piquet et nous entamerons chacune
d’entre elles, par une bonne fessée. »
Dorothée abandonna définitivement
le combat dès que la règle reprit son office. Ses fesses prenaient une couleur
rouge cramoisi là où la règle s’abattait. Puis, cette teinte plus sombre se
diffusait en s’éclaircissant un peu jusqu’à ce que la règle, revenant au même
endroit, renforce de nouveau la coloration de la peau.
Madame Bourgeois lui tenait le
bras replié dans son dos par pure forme. Elle n’essayait plus de se défaire de
l’emprise de sa cheffe de rayon. Son corps, depuis ses épaules jusqu’au bas de
ses cuisses, se crispait à chaque coup de règle, puis elle relâchait ses
muscles, comme si elle ne pouvait tenir une telle tension.
« Va remettre la règle à sa
place dans le rayon. Fesser cette vilaine fille ne l’a pas abîmée. »
Madame Bourgeois me tendait
l’instrument dont elle venait de se servir de façon si impressionnante.
J’espérais n’avoir jamais à en éprouver la morsure sous sa main. Quand je
revins, l’assistance s’était un peu éclaircie.
Dorothée gisait toujours sur les
genoux de Madame Bourgeois. La peau de ses fesses semblait luire, tellement le
rouge uniforme qui la recouvrait était sombre. Elle mêlait des pleurs et des
gémissements alors que la main de Madame Bourgeois effleurait doucement ses
fesses.
« Là, là, .. c’est fini. Tu vas
être bien sage et obéissante, maintenant. N’est-ce pas ?
– Oh oui, Madame, oh oui !
– Reste un peu là comme une
gentille petite fille. »
Madame Bourgeois resserra un peu
plus sa prise. Il ne s’agissait plus de faire rester Dorothée en place pour la
punir, mais plutôt de la réconforter. Elle réagit à ce contact en se nichant
plus confortablement sur les genoux de sa correctrice. Le calme après la
tempête.
Madame Bourgeois ne laissa pas la
situation s’éterniser.
« Nous n’allons pas rester
là. J’ai du travail à faire avant ce soir. Pour toi ce n’est pas très grave, tu
vas aller finir ta journée au piquet devant le bureau de Madame André. »
Dorothée grogna à l’annonce de ce
désagrément à venir.
« Qu’est-ce que c’est que
ça ? Un nouveau caprice ? »
Madame Bourgeois lui donna une
claque modérée qui arracha cependant un cri à Dorothée. Sur ses fesses
enflammées, ce n’était pas étonnant. Puis Dorothée enfoui son visage plus
étroitement dans les plis de la blouse de Madame Bourgeois.
« D’abord cette culotte que
je ne veux pas voir sur toi la prochaine fois que je te donnerai une fessée. Je
vais te l’ôter. Tu n’en as plus besoin d’ici ce soir. »
Madame Bourgeois fit glisser la
culotte jusqu’aux chevilles de Dorothée, puis elle la lui ôta complètement.
Elle la chiffonna dans sa main et la mit dans sa poche.
« Debout ma petite
coléreuse ! »
La première chose que fit
Dorothée quand elle eut retrouvé la station verticale, ce fut de porter ses
mains à ses fesses et de commencer prudemment un massage.
« Non, non, il n’en est pas
question. »
Madame Bourgeois accompagna sa
remontrance d’une claque sur les fesses.
« Je veux que la cuisson de
tes fesses dure un peu. Cela t’aidera à te souvenir de ce qui l’a provoquée. On
ne se frotte donc pas les fesses ! »
Dorothée ôta ses mains, comme si
subitement la peau de son postérieur était devenue brûlante. Cela eut
l’avantage de couvrir ses fesses de ses vêtements qui reprirent leur place
naturelle.
« Allons,
avance ! »
La petite tape sur les fesses
était de celles qu’une grande personne aurait donnée à une petite fille.
Dorothée ne s’en offusqua pas.
Madame Bourgeois revint seule
quelques instants plus tard. Il restait une demi-heure avant la fermeture du
magasin. Le rythme de travail ne faiblit pas, il s’agissait de remplir les
rayons afin qu’ils soient prêts pour le lendemain matin.
La consigne fit le tour du
magasin. Tous ceux qui avaient été punis dans la journée étaient convoqués dans
le bureau de Madame André, dès leur travail terminé. Cette annonce n’était pas
faite pour me rassurer. Qu’allions-nous faire là-bas ? Fallait-il se
préparer à recevoir une nouvelle fessée ?
« Bon, me dit Madame
Bourgeois, ça suffira pour ce soir. N’oublie pas que tu es attendu par Madame André ! »
Cette convocation me perturbait
tellement que je ne risquais pas de l’oublier. Je m’y rendis, une boule
grandissante dans mon estomac.
Le bureau de Madame André donnait
dans l’entrepôt, sur le vaste espace qui faisait sas avec le magasin. Elle
avait ainsi un regard sur tous les flux de personnes et de marchandises qui
passaient par ce lieu stratégique. La veille, j’avais été mis au piquet le long
du mur qui séparait son bureau de l’entrepôt, j’avais donc eu le temps de me
familiariser avec le lieu.
Ce soir, c’était Dorothée qui s’y
tenait. Ses mains tenaient relevés le bas de sa robe et de sa blouse, bien
au-dessus de ses reins. Comme elle n’avait plus de culotte, ses fesses étaient
à la vue de toutes les personnes qui circulaient dans cette agora. Elle restait
pourtant totalement immobile, le nez touchant le mur. Ses fesses étaient un peu
moins rouges qu’elles ne l’avaient été, mais les marques laissées par la règle
se voyaient sans difficulté. Son postérieur était barré de traces rouge sombre
sur lesquels il n’y avait pas à se méprendre.
En m’approchant, je constatais
qu’elle frissonnait. Sans doute le froid, mais également la honte d’être
exposée à demi-nue. Compte tenu de son âge, elle ne devait plus avoir aucun
souvenir d’un moment où elle se serait trouvée dénudée, en dessous de la taille,
dans un lieu public. Dès qu’il y avait un bruit un peu plus fort ou qu’une
personne passait un peu trop près, je voyais des contractions parcourir de bas
en haut, le corps de Dorothée. Elle respectait cependant les règles que la mise
en pénitence imposait, mais il était clair que cela lui coûtait.
La porte du bureau était ouverte.
Madame André était assise à son bureau.
« Entre Axel, nous
t’attendions. »
Le long du mur, face au bureau de
la responsable du magasin, étaient alignés plusieurs des punis de la journée.
Florence, Laure, Joël et Maeva faisaient face à la cloison. Ils avaient leurs
mains croisées sur leur tête.
« Rejoignez donc vos petits
camarades en attendant les autres. Faut-il vous préciser que je ne veux
entendre aucun bruit. »
Non, ce n’était pas utile, mais
je me gardais d’en faire la remarque. Je posais mon nez le long du mur, à la
gauche de Laure et je mis mes mains sur ma tête. L’attente commença. Au moins
Madame André n’avait pas exigé que nous baissions notre culotte.
Nous avions donc gardé un
reliquat de décence même si notre statut d’adulte était bien entamé alors que
nous étions cinq grandes personnes, mises au piquet dans le bureau de notre
responsable hiérarchique. Cela aurait été plus adapté si nous avions encore eu
l’âge de nous trouver dans le bureau du directeur de notre école. Plus adapté
et bien moins risqué. La probabilité de recevoir une fessée était certainement
bien plus basse dans n’importe quelle école que sous la houlette de Madame
André.
Celle-ci accueillit ses invités
et les envoya nous rejoindre l’un après l’autre. Ce fut d’abord Clara qui vint se
rajouter au bout de notre file. Elle travaillait dans le rayon fruits et
légumes frais, à l’autre bout du magasin. Je ne savais donc pas qu’elle avait
été punie.
« Voici ma petite
menteuse ! Va te mettre à côté de tes camarades, Clara ! »
Deux minutes plus tard, c’est Jérôme
qui vint partager notre sort.
« Jérôme, nous n’attendions plus que
toi ! Nous sommes donc au complet ! »
Il fallut se serrer un peu pour
laisser de la place à Jérôme pour qu’il puisse prendre la même pose que nous.
« Dorothée, tu nous rejoins,
clama Madame André pour se faire entendre de notre collègue qui était restée au
piquet à l’extérieur de la pièce. »
Madame André ne nous laissa que
quelques minutes dans cette position avant de nous convoquer face à elle.
« Tournez-vous face à moi,
ma belle brochette de punis ! Avancez un peu vers le bureau. Nous avons à
parler. »
Aucun de nous ne fit de
difficulté pour se placer là où Madame André nous l’avait demandé. Nous étions
tous très obéissants, de peur qu’une hésitation ou une esquisse de protestation
ou ce qui pourrait être pris comme tel, ne donnât un motif suffisant pour une
nouvelle fessée. Elle laissa s’installer un petit moment de silence qui me mit
mal à l’aise.
Madame André ne nous avait pas rassemblés
par hasard. Elle avait une annonce à nous faire. Quel en était le
contenu ?
« Vous pouvez baisser vos
mains. Et toi, Dorothée, laisse tomber ta robe et ta blouse. Nous n’avons plus
besoin de voir tes fesses. »
Je regardais mes compagnons. Ils
semblaient tous aussi inquiets que moi. Certains mordaient nerveusement un
doigt. Laure tortillait le tissu de sa jupe avec ses doigts. Nous étions
plusieurs à ne pas savoir quoi faire de nos mains : devant, derrière, sur le
côté ? Joël se mordillait l’intérieur des joues. La nervosité l’emportait
chez chacun de nous. Seule Madame André paraissait à son aise.
« A part Florence et Axel
qui en ont l’habitude, je suis consciente que la ou les fessées que nous avons
dû vous donner aujourd’hui, représentent un changement majeur dans votre vie.
Peut-être certains d’entre vous, je pense aux plus jeunes, étaient-ils encore
fessés à la maison ? Mais aucun de vous n’avait été puni de cette façon
pour des insuffisances dans son travail. »
Madame André fixa droit dans les
yeux, chacune des personnes qu’elle avait devant elle. Elle passa vite sur
Florence et moi. La fessée n’était pas une nouveauté pour nous.
« Vous avez probablement
compris que ce mode de punition sera désormais systématiquement utilisé dans ce
magasin. Nul n’en est à l’abri. J’en attends des améliorations dans la qualité
et le rythme de travail. Plusieurs d’entre vous en ont donné la preuve aujourd’hui.
Une bonne fessée incite à mieux travailler, n’est-ce pas ? »
C’est dans un bel ensemble que
nous avons acquiescé. Il nous était difficile de nier l’efficacité de la fessée
et encore plus de le faire dans le contexte dans lequel nous étions. Je voyais
très bien Madame André en faire la démonstration sur le champ aux dépens de
celui qui aurait eu la folie de s’opposer à sa théorie. Apparemment, mes
camarades partageaient ma prudence.
« Vous avez été les premiers
à en bénéficier. Je crois que la leçon a porté. Ne soyez pas inquiets, d’autres
vous rejoindront dès demain, sans que cela vous mette, vous-même, à l’abri
d’une prochaine correction. Vous verrez, cela fera bientôt partie de nos
habitudes. Vous vous y habituerez. »
Les regards des personnes qui
m’entouraient démentaient cette dernière affirmation. Personne n’avait envie de
s’accoutumer à être fessé quand ses responsables hiérarchiques le décideraient.
Pourtant nul n’émit un avis contraire.
« Je tiens à instaurer dès
le début de bonnes habitudes. La tante d’Axel m’a expliqué comment, dans le
lycée où il est scolarisé, chaque fessée reçue à la maison est doublée par une
autre à la maison. Je trouve ce principe excellent. Il permet de faire
comprendre au contrevenant que la paresse ou les bêtises faites à l’école ne
sont pas admises par qui que ce soit, et en particulier par les personnes les
plus proches. »
J’allais encore apparaître comme
celui qui a donné de mauvaises idées. Je sentais la réprobation de mes
camarades. Nous voyons tous là où elle voulait aller. La stupeur se lisait sur
tous les visages. Florence et moi, dont c’était le dernier jour dans le
magasin, étions plutôt détachés. Tous les autres voyaient comment le changement
majeur qu’ils avaient connu sur leur lieu de travail aujourd’hui, déborderait
dans leur vie privée.
« Il en sera désormais de
même ici. Toute fessée reçue dans la journée devra être sanctionnée par une
autre reçue à la maison. C’est seulement à cette condition que conserverai les
punis dans l’équipe du magasin. Ceux qui ne s’y soumettront pas n’auront plus
leur place dans l’équipe. »
La plupart de mes compagnons
baissaient la tête, atterrés par cette nouvelle. Madame André était bien
connue. Elle n’en était pas à son premier renvoi. Elle s’était souvent illustrée
en mettant dehors, à la première incartade, des employés qui ne faisaient pas
l’affaire à ses yeux. Le choix était maintenant clair : être renvoyé à la
première faute ou conserver son emploi mais en se soumettant à la fessée au
travail et, qui plus est, dans son cercle familial.
« Chaque employé qui a reçu
une fessée dans la journée, repartira le soir avec une lettre. Elle exigera que
le même traitement lui soit appliqué le soir même. Cela signifie recevoir
autant de fessées le soir que dans la journée et qu’elles devront être aussi
sévère. J’ai bien peur, Laure qu’avec les quatre corrections que Madame Archain
vous a données, votre soirée votre soirée soit difficile. Quant à vous
Dorothée, vous connaitrez de nouveau la rigueur d’un instrument punitif qui
sera choisi pas votre fesseur ou votre fesseuse. Ce sera désormais
l’usage. »
Madame André avait tout prévu.
Elle en fit la démonstration.
« Ce courrier devra revenir
signé. Ce sera la preuve que vous avez été punis. Ceux qui reviendraient sans
le courrier ou sans l’avoir fait paraphé, recevront une sévère correction le
lendemain.
Madame André attendit que cette
menace fasse le tour des cerveaux des personnes debout devant elle.
« Ne croyez pas que vous
pourriez tricher. Si la fessée n’a pas été réellement administrée, ce sera un
motif de renvoi. On ne fait pas long feu ici quand j’ai décidé du
contraire ! »
Je voyais aux visages de mes
voisins que chacun faisait confiance à Madame André sur ce point.
« Il nous reste à choisir la
personne à qui sera confiée cette mission de confiance. Nous irons la chercher
d’abord chez les proches : un parent, un conjoint ou une conjointe feront
parfaitement l’affaire. C’est vers eux que nous nous tournerons en premier.
Toutefois, quand ils ne pourront faire l’affaire pour quelque raison que ce
soit, nous élargirons le cercle : un frère, une sœur, un oncle, une tante
ou l’un des grands-parents. »
Les seuls qui n’étaient pas
encore abattus par les promesses de Madame André, étaient ceux qui n’avaient
reconnu aucun de leurs proches dans l’énumération. Ils avaient tort.
« Je proposerai, quand ce
sera nécessaire, à quelques amis ou voisins de se charger de cette tâche. Nous
trouverons bien quelqu’un. Je connais suffisamment de monde dans cette ville
pour trouver une bonne âme qui acceptera de rendre ce service. »
Quand Madame André se tut, un
silence de mort régnait dans la pièce. Chaque personne présente essayait de
comprendre comment allait évoluer sa situation personnelle. Qui serait choisi
pour lui donner la fessée à la maison ?
Pour suivre le fil de cette histoire :
Comprendre le contexte : l'introduction
Le premier épisode : chapitre 1
Le prochain épisode ... c'est le chapitre 96
Vous cherchez un chapitre en particulier ?
C'est par ici
De l'usage des commentaires
N'hésitez pas à donner votre avis. Les retours des lecteurs sont un encouragement précieux pour les auteurs, si vous voulez que ça dure. Faites-en un usage immodéré.
Bonjour à tous (?)
RépondreSupprimerOula la c'est de pire en mieux! Infatigable JLG! La muse "claques aux fesses" inspire. Toujours imaginatif au 95è épisode, ça fait un paquet de fessées !! On se demande jusqu'où il va continuer de ne pas s'arrêter !!
Les séances de fessées dans la grande distribution, c'est comme les séries à la télé il y a plusieurs saisons. La deuxième pour Dorothée est encore plus cuisante que la première, pourtant déjà bien claquante.
"Game Of Spanking"... Après un premier épisode nourri d'une nouvelle fessée à la main, madame Bourgeois fait encore monter la pression. Le suspense ne dure pas longtemps, on trouve de tout au supermarché y compris des instruments de correction, au rayon des accessoires et fournitures scolaire.
Une règle c'est fait pour prendre des mesures. L'impétueuse Madame Bourgeois prend bien des mesures, mais disciplinaires, sur les fesses de Dorothée qui, du coup, cumule les mandales! Le client qui va acheter cette règle remise dans le rayon après la fessée devrait s'étonner de la trouver toute chaude. Toute la chaleur du bois!
Régime claque sec, on ne marche pas sur l'eau mais on multiple les fessées! Madame André réécrit à la lettre, le dicton " Qui aime bien châtie bien" Elle n'aime pas, elle adore... tous ses stagiaires :
" Autant de fessées le soir que dans la journée" Principe de précaution pour éviter les interruptions de programme... disciplinaire. Reste à trouver les acteurs pour prendre la main.
Les fesses de ces Messieurs Dames n'ont pas fini de rougir et pas de plaisir!
Cordialement.
Ramina
Bonjour,
SupprimerEffectivement, encore quelques semaines et nous (je...) en auront fini avec Axel. Si il reste de l’imagination dans le 95ème épisode, il y en a tout autant dans es commentaires qu'il suscite, n'est-ce pas Ramina ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour,JLG
RépondreSupprimer"Tout est dans tout, et réciproquement."
Alfred Capus 1857/1922 Journaliste Romancier.
Cordialement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerMerci pour cette citation que je ne connaissais pas.
Comme quoi, la fessée mène à tout. Comme tous les chemins mènent à Rome. Surtout pour les cloches de Pâques.
A ce propos, chers amis, bonnes fêtes de Pâques à vous et aux internautes de passage sur ce Blog au sujet si atypique.
Bon WE. Peter.