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mercredi 13 janvier 2021

Chroniques de confinement - chapitre 32

 Vendredi 20 mars 2020 – 9 heures 20

Un silence absolu régnait dans la classe pendant que Damien se dandinait vers le coin. Celui qu’il avait occupé une bonne partie de la matinée de la veille étant déjà occupé, la maîtresse lui désignait, du doigt, celui qui était à la gauche du tableau.

« Je te conseille de savoir par cœur ta poésie quand je te réinterrogerai. Sinon, la règle est prête à servir ! »

mercredi 6 janvier 2021

Chroniques de confinement - chapitre 31

 Vendredi 20 mars 2020 – 8 heures 59

« Ça ne vous dérange, pas, toutes les deux, de parler de moi comme si je n’étais pas là ? Eh, oh, je suis juste à côté de vous, vous n’avez pas vu ? »

La maîtresse se retourna. Elle ne pouvait laisser passer cette insolence. Il en allait de son autorité non seulement sur Noémie, mais également sur tout le reste de ses élèves.

« Je te suggère, Noémie, de ne pas interrompre les grandes personnes quand elles parlent ensemble. Quand tu auras quelque chose à dire, tu attendras patiemment que nous ayons fini et que nous te donnions l’autorisation de parler.

mercredi 23 décembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 29

 Jeudi 19 mars 2020 – 12 heures 30

« Mettez-vous en rang ! »

Les trois élèves se levèrent et ils s’alignèrent devant la maîtresse.

« Philippe, remets ta blouse correctement en place ! »

Les yeux de la maîtresse ne laissaient rien passer. Elle se livra à une rapide inspection de ses élèves. Il n’était pas question qu’elle rendît l’un de ses élèves dans un état de propreté ou une tenue approximative.

« Montre-moi vos mains ! »

mercredi 16 décembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 28

 Jeudi 19 mars 2020 – 11 heures 25

Annette observa les fesses qui, sous ses yeux tressautaient à chaque fois qu’elle y appliquait sa main. Il faut dire qu’elle ne ménageait pas sa peine. C’était la quiétude qui règnerait à l’avenir dans sa classe qui était en jeu.

Il fallait obtenir l’obéissance totale de Damien pour qu’il fasse les efforts nécessaires afin de retrouver son niveau scolaire passé, voire qu’il puisse le dépasser. Il ne semblait pas vouloir les faire de lui-même, c’était donc le travail de la maîtresse de l’y contraindre. La certitude de recevoir la fessée en cas de défaillance que ce soit pour un travail insuffisant ou un comportement inacceptable, lui permettraient de faire une partie du chemin. Les corrections données par la maîtresse feraient le reste.

mercredi 9 décembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 27

 Jeudi 19 mars 2020 – 10 heures 55

Damien tourna vivement la tête pour se recentrer sur le travail qui lui avait été donné à faire.

« Bon sang, se dit-il, je n’ai quasiment pas avancé ! »

Il venait de voir où le conduisait de la distraction au lieu de faire son travail.

« Vite ! Je suis loin d’avoir fini, se dit-il ! Pourvu que la maîtresse ne vérifie pas tout de suite ce que j’ai fait ! »

mercredi 2 décembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 26

 Jeudi 19 mars 2020 – 10 heures 40

On toqua à la porte de la salle de classe.

« Entrez, répondit la maîtresse ! »

Dans son coin, près du tableau, Philippe se raidit. Qui que ce soit qui entrait dans la pièce aurait une vue dégagée sur ses fesses dénudées. Après la fessée, il avait été envoyé au coin, sans possibilité de remonter sa culotte. Ses mains, croisées dans son dos maintenaient relevés l’arrière de sa blouse et les pans de sa chemise.

mercredi 25 novembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 25

Jeudi 19 mars 2020 – 8 heures 50

 « Allez, filez tous les deux ! »

Maman Marianne leur montra la direction du doigt.

« Et ne soyez pas en retard, Mademoiselle Annette vous attend ! »

Être en retard, ce serait difficile. Ils n’avaient qu’une cinquantaine de mètres à faire, en contournant le bâtiment principal pour trouver la pièce située au rez-de-chaussée d’une dépendance. Maman Marianne avait demandé à Monsieur Antoine de la débarrasser, puis de l’aménager. C’est là qu’ils passeraient leur matinée désormais.

samedi 6 juin 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 16

Quand Sylvie arriva chez madame Costa à midi pour récupérer Caroline, Elodie était déjà là. Monique était sagement assise à sa table et elle écrivait consciencieusement, la seule particularité observable était sa culotte descendue aux genoux et sa jupe épinglée dans son dos ce qui fait qu'elle était assise cul nu directement sur la paille de la chaise, ce qui ne devait pas être très confortable. Quant à Caroline elle était au coin de la pièce, mains sur la tête, jupe également épinglée dans le dos et culotte à mi-cuisse, elle exposait une paire de fesses écarlates, signe d'une fessée retentissante.

vendredi 29 mai 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 15

Caroline était une jeune femme d'une vingtaine d'années que Sylvie avait rencontré d'abord virtuellement par l'intermédiaire d'un forum où l'on discutait fessée. Au cours de ces discussions, elle lui avait avoué avoir depuis de nombreuses années un intérêt pour la fessée mais que son expérience était limitée à de rapides fessées administrée par sa mère, véritable punition cependant puisque donnée cul nu malgré son âge. Son fantasme était d'assister à une véritable fessée administrée à une adulte. Au bout d'un certain temps, Sylvie lui proposa de la rencontrer, elle avait une idée pour elle.

dimanche 12 avril 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 113ème tableau

Mamie sollicita une ancienne collègue pour me faire travailler mon épreuve d'anglais pour le diplôme. Et Moiselle Belltawse, la bien nommée, fut choisie pour cette tâche. Maitresse-femme, elle appliqua la méthode anglaise.
"Unlearnt lesson ? Good spanking bare-bottom ! - Leçon non sues ? Panpan-cucul !

jeudi 6 juin 2019

Les rebelles - chapitre 4

Clément, vingt ans, est étudiant à l’école St CROIX. Avec deux ans de retard dus à des redoublements, il peine à suivre les cours. Des conseillers d’orientation lui ont suggérés les études courtes, mais ses parents l’ont maintenu dans une filière longue.
Clément est dans la même section qu’Olga et Iourievna. D’ailleurs cette dernière n’est pas indifférente à son charme, ils passent du temps à discuter dans les intercours, parfois même en dehors de l’école, au sein d’un groupe d’étudiants, mais leur relation n’est jamais allée plus loin.

jeudi 23 mai 2019

Les rebelles - chapitre 2


Paul et Arnaud sont deux élèves de l’école Ste CROIX, là où sont scolarisées Olga et Iourievna.
Paul à dix-neuf ans, car il a redoublé sa seconde, à cause de son manque de discipline. Paul a été plusieurs fois récupéré par ses parents à la gendarmerie, pour des faits de dégradation et feux de poubelles. Ses parents étant des notables connus, le commandant de gendarmerie a passé l’éponge plusieurs fois, mais a prévenu ses parents que son esprit d’insoumis lui ferait faire des bêtises plus importantes et qu’ils devraient le reprendre en main, afin qu’il ne dérive pas dans la délinquance.

dimanche 17 février 2019

Mémoire d'un garnement de jadis - 58ème tableau

La directrice adjointe convoqua Maman pour faire le point du trimestre. Après discussion, le verdict tomba : un recadrage régulier de la main de madame Chinion.... pour stimuler mon goût du travail !!! Mazette !

dimanche 27 janvier 2019

Mémoire d'un garnement de jadis - 55ème tableau

Devant mes résultats désastreux, Maman songea  à m'envoyer pour les vacances d'été chez deux de ses cousines, Marie-Elisabeth et Marie-Gladys, institutrices en retraite, dans l'espoir de me faire travailler mes lacunes

lundi 7 janvier 2019

Encore Madame Anne Sophie

Un nouveau témoignage d'un passage chez Madame Anne Sophie. C'est John qui nous fait part de son expérience.

J'ai découvert Madame Anne Sophie grâce à une amie coquine qui aime donner et recevoir une bonne fessée à l'occasion.
J'ai pu lui rendre une visite récemment et j'en suis encore tout retourné.
Je ne me considère pas comme débutant dans cet exercice mais je dois dire que Madame Anne-Sophie est une experte de tout premier plan.

mercredi 21 novembre 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 59


Madame Schneider et Mademoiselle Roudault arrangèrent les jupes de Camilla et d’Astrid afin qu’elles ne retombent pas lorsque que les deux femmes fraîchement punies se seraient redressées.
« Allons Mesdames, aller prendre la place de Reynold au piquet. Vous avez compris comment vous y tenir, j’espère ! »
Il n’y eut pas de discussion, pas d’hésitation. Ce n’était plus une question ni d’âge, ni de lieu. Les deux femmes avaient retrouvé leurs réflexes d’obéissance qui remontaient à l’enfance. Elles avaient commis une grave bêtise, elles en avaient été punies et maintenant il fallait passer un moment au piquet à méditer et à se promette de ne pas recommencer.

mercredi 14 novembre 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 58


Le temps passant n’arrangeait pas les affaires de Reynold. Cela faisait longtemps qu'il avait perdu l’habitude de se tenir au piquet. Il se rappelait y avoir passé de longs moments ennuyeux, mais pas d’avoir du mal à tenir l’immobilité requise. La position, mains croisées sur la tête, provoquaient un engourdissement des bras qui devenait intenable. Sans doute était-il resté longtemps au piquet quand il y était envoyé du temps où il était à l’école, mais jamais aussi longtemps. Une heure, avait dit Mademoiselle Roudault ! Combien de temps restait-il encore ? Il avait perdu toute notion de durée.
« Tiens, regarde, c’est Reynold, non ?

dimanche 11 novembre 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 44ème tableau

A chaque rentrée de congés, nous étions convoqués par la Directrice vers 10 h 30 dans son bureau pour un bilan des vacances.
Sa fidèle secrétaire, Mademoiselle Sténo, notait scrupuleusement chacun de nos faits et gestes en détail et ce que chacun de nous avait fait, lu ou appris pendant ce temps libre. 

mercredi 7 novembre 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 57


Elle tira sur l’oreille pour obliger Reynold à la suivre vers l’un des bancs qui agrémentaient la promenade sur le trottoir.
« Aïe, non, vous ne pouvez pas, je ne suis plus votre élève ! »
Mademoiselle Roudault l’avait placé debout entre ses jambes qu’elle avait refermés sur celles de son ancien élève. Il était immobilisé, sauf à se débattre, ce qui était contraire à ses habitudes acquises à l’école.

mardi 24 juillet 2018

4ème visite chez Madame Anne-Sophie

L’ado pervers : une 4ème visite chez Madame Anne Sophie

C’est ma quatrième visite chez Madame Anne Sophie, l’institutrice qui donne la fessée pour corriger les mauvais comportements. En manque de correction, j'ai de nouveau pris rendez-vous chez elle pour me faire recadrer et sévèrement punir.
Les choses sont maintenant assez faciles. Je connais ma fesseuse, je redoute, je crains ses bonnes fessées, je sais qu’elles font mal et en même temps j’y prends un certain plaisir car je me sens en parfaite confiance. En effet elle avait pu tester ma résistance aux claques et connaissait parfaitement le degré de sévérité à appliquer à mon postérieur. Ce que j’attendais et en même temps redoutais : va-t-elle me donner des fessées encore plus fortes et sévères que les précédentes ?