mercredi 6 janvier 2021

Chroniques de confinement - chapitre 31

 Vendredi 20 mars 2020 – 8 heures 59

« Ça ne vous dérange, pas, toutes les deux, de parler de moi comme si je n’étais pas là ? Eh, oh, je suis juste à côté de vous, vous n’avez pas vu ? »

La maîtresse se retourna. Elle ne pouvait laisser passer cette insolence. Il en allait de son autorité non seulement sur Noémie, mais également sur tout le reste de ses élèves.

« Je te suggère, Noémie, de ne pas interrompre les grandes personnes quand elles parlent ensemble. Quand tu auras quelque chose à dire, tu attendras patiemment que nous ayons fini et que nous te donnions l’autorisation de parler.

– Mais ça ne va pas, non ? Pour qui tu te prends ? Tu ne serais pas la première institutrice à qui je ferai ravaler ses prétentions ! »

La maîtresse attrapa Noémie par le bras pour la placer dans une position qui rendrait plus aisée la fessée qui ne pouvait plus être évitée après ces dernières paroles. Noémie résista. Elle ne se laissa pas faire.

« Essaye un peu pour voir !

– Crois-tu Noémie, qu’il n’y a pas assez de personnes ici pour t’immobiliser pendant que je te donnerai la fessée dont tu as besoin ?

– Ici ? »

Noémie vit le cercle des mères qui accompagnaient leur rejeton à l’école, se refermer autour d’elle. Elle pâlit. Les premiers doutes vinrent à son esprit. La jeune femme qu’elle avait en face d’elle irait-elle au bout de ce qu’elle lui avait promis ? Elle avait maintenant le sentiment que c’était bien son intention et qu’elle disposait de toute l’aide dont elle avait besoin pour y réussir. Ses certitudes en furent ébranlées pour la première fois.

« Mais je… je…

– Tu as le choix, Noémie, soit tu viens obligeamment te placer sous mon coude et tu vas y recevoir la fessée que tu as méritée, soit je requière l’assistance de ces dames et tu prendras quand même ta fessée, mais en plus tu seras punie toute la matinée »

Noémie tenta de se libérer de la poigne de la maîtresse qui n’avait pas lâché son poignet. Le cercle autour d’elle se rapprocha. Noémie tenta, en même temps, d’obliger la maîtresse à lâcher son bras et de forcer le cercle qui l’entourait. Ce fut en vain. Elle fut ramenée fermement vers la maîtresse, tirée d’un côté et poussée de l’autre.

« Es-tu décidée à prendre la fessée que tu as méritée ou faut-il que je mette mes menaces à exécution ?

– Non, attendez, j’ai compris. Je vais être sage, mais…

– Ce n’est pas ce que je te demande ! »

Tout en discutant, la maîtresse avait courbé Noémie sous son bras dont l’étreinte s’était refermée sur la taille de la femme qui commençait à voir se concrétiser la punition que la maîtresse lui avait annoncée. Elle fit une faible tentative pour se relever, mais sans y mettre l’énergie nécessaire pour y arriver.

« Encore une fois, Noémie, et tu es punie pour toute la matinée ! »

Tout en énonçant cette menace, la maîtresse fouillait sous le ventre de Noémie, à la recherche du bouton qui tenait le pantalon. Il sauta avant que Noémie ait pu comprendre ce qui se passait.

« Non, cria-t-elle ! »

Elle projeta vivement sa main en arrière, sentant l’urgence qu’il y avait à retenir son pantalon tout en se tortillant pour échapper à l’emprise de la jeune femme qui la préparait pour la fessée.

« Attendez, je tiens son bras »

Elle sentit que sa main était écartée de son postérieur et tenue à l’écart par l’i=une des matrones qui n’avait pas hésité à prêter main forte à la maîtresse. Presque simultanément, elle sentit son cou pris dans une poigne dont elle ne pouvait se défaire.

« Continuez, je l’empêche de se relever ! »

La stupeur la paralysa suffisamment longtemps pour que la maîtresse eût le temps de descendre son pantalon.

« Arrêtez ! Vous ne savez pas qui je suis ?

– Oh que si ! Je le sais parfaitement ! Tu es l’une de mes élèves qui fait une colère et qui refuse de recevoir la correction dont elle a besoin. Dans ces cas-là, la punition n’en est que plus sévère ! »

Sa culotte glissait le long de ses cuisses. L’air froid du jardin caressa les fesses dénudées, faisant frissonner Noémie. Elle n’arrivait pas à croire ce qui lui arrivait. Elle fit une dernière tentative pour se dégager, mais une quatrième personne vint prêter assistance aux trois premières, la forçant à rester en place.

« Vous aurez de mes nouvelles ! Je vous promets que… »

Elle interrompit sa phrase pour crier sa douleur mêlée de surprise. C’était la première fois de sa vie qu’elle recevait une fessée et elle en retint la cuisson que la main avait provoquée sur sa peau. Elle ne s’attendait pas à ce que ce fût aussi mordant. La deuxième claque confirma ce que la première venait de lui apprendre. Elle n’eut pas le temps réfléchir plus longtemps avant qu’une troisième claque renforça ce qu’avait provoqué les deux premières. Ensuite, la grêle de gifle ne lui laissa plus le temps de compter le nombre de fois où la main s’abattait sur ses fesses.

Elle ne se rendit pas compte quand les assistantes la lâchèrent. Elle reproduisait les gesticulations involontaires de tous les punis qui réagissent à une sévère correction, sans songer à s’y opposer pour y mettre fin. Il aurait fallu, pour cela, avoir le sentiment d’être injustement traitée… ce qui n’était pas le cas.

 

Elle savait qu’elle avait besoin de cette fessée pour abandonner les attitudes hautaines et dédaigneuses vis-à-vis des autres, depuis le jour où, elle avait alors six ou sept ans, une gouvernante lui avait annoncé une fessée, suite à une énième bêtise et une provocation volontaire. Elle avait réussi à se faufiler par la porte avant d’être rattrapée et à se réfugier dans le bureau de son père.

Quand la gouvernante qui l’avait suivie avait fait son entrée, elle avait joué l’innocente injustement persécutée par une mégère qui ne l’aimait pas. la gouvernante avait exigée que la correction lui soit administrée, faute de quoi elle donnerait son congé. Son père n’avait pu se résoudre à accéder à la demande de la personne à qui il avait pourtant confié l’éducation de ses enfants.

La gouvernante que la petite Noémie adorait, avait fait ses bagages et malgré les supplications de Noémie et de sa sœur, rien n’avait pu la faire changer d’idée, y compris l’acceptation, par Noémie de la fessée promise.

Depuis, Noémie en avait conçu une grande amertume, se savait coupable de cette séparation, tout en se félicitant d’y avoir échappé. Elle s’était installée dans un sentiment de toute puissance, refusant les contrainte que lui avait amenées la vie. Ce refus du moindre effort l’avait conduite tout droit au désastre.

Elle avait raté son parcours scolaire et elle végétait dans une carrière professionnelle sans intérêt. Mais à chaque fois qu’il fallait faire violence, elle renonçait devant la difficulté. Ce retour à l’école et la fermeté de la maîtresse lui faisait percevoir une porte de sortie, une porte de sorte étroite et pleine d’obstacles et probablement de désillusions.

Elle se sentait inconsciemment redevable d’une fessée que jamais personne n’avait osé lui administrer… jusqu’à ce jour. Elle n’avait jamais éprouvé de résistance face à elle comme sa nouvelle maîtresse en faisait preuve. A chaque fois qu’une situation s’annonçait difficile, elle l’avait fuie, utilisant sa fortune personnelle pour contourner la difficulté. Pour une fois, cela n’avait pas été possible.

 

Noémie n’aurait jamais cru que solder cette dette pût être aussi difficile. La punition qu’elle recevait, bien que liée dans sa tête à celle à laquelle elle avait échappée étant petite fille, n’avait rien à voir avec les quelques claques sur les fesses, sans doute même pas dénudées, que lui aurait administrées, à l’époque, sa gouvernante.

Elle avait oublié que la femme qui la tenait sous son coude avait la moitié de son âge. Seule comptait l’autorité dont elle faisait preuve et Noémie avait l’impression de recevoir la fessée qu’elle avait méritée il y avait un peu plus de cinquante ans. A l’époque, sa gouvernante avait à peu près l’âge actuel de la maîtresse. Elle avait cru recevoir une fessée par procuration, mais elle ne pensait pas que ce serait aussi difficile à supporter.

Elle essaya encore une fois de se libérer, mais c’était plus une réaction au brasier qui lui tenait place de fesses qu’un refus d’être corrigée. La maîtresse appliqua sa main sur le côté des fesses vers lequel se tendait le bassin de son élève pour sortir de la trajectoire punitive. La douleur fit revenir tout cela en place et la fessée put continuer sans encombre.

Noémie avait cessé ses tentatives pour fuir la correction depuis longtemps. Elle se démenait sous le bras de la maîtresse, mais pas plus que ne le faisait ses condisciples. Rien qui ne gênât le bon déroulement de la punition. Satisfaite de la couleur des fesses de son élève et de son comportement, la maîtresse jugea que Noémie avait eu son compte pour l’instant.

« La suite viendra plus tard, pensa-t-elle ! »

Elle ne laissa pas le temps à Noémie de se redresser. Elle la prit par l’oreille et l’obligea à rester courbée pour soulager la tension sur son  pavillon auriculaire. Noémie prit conscience de sa tenue. Elle voulut remonter sa culotte, mais, d’une claque sur les fesses, la maîtresse le lui interdit/

« Inutile de remonter ta culotte ! Dès que nous sommes entrés en classe, tu vas au coin et ce sera avec la culotte au niveau de tes genoux. Tu te doutes que cette fessée n’était qu’un préliminaire. Je ne plaisantais pas quand je parlais d’une punition qui durerait jusqu’à la fin de la classe. Il va y avoir d’autres fessées ! »

Une nouvelle claque sur les fesses, suivie d’un cri, mit fin à une discussion qui n’avait pas eu le temps de commencer. La maîtresse fit mettre les autres élèves en rang et tout le monde rentra en classe. Noémie suivit toujours tenue par l’oreille, pantalon et culotte baissée. Elle ne mit pas longtemps à apprendre la démarche particulière qu’il faut adopter dans ces circonstances.

 

La maîtresse l’amena tout de suite au coin.

« Vous m’attendez sans bouger et sans faire de bruit, ordonna-t-elle aux autres ! »

Il n’y eut personne pour vérifier si cette consigne pouvait être interprétée avec relâchement. Elle plaça sa punie dans l’angle de la pièce et elle lui expliqua quel comportement elle attendait durant tout le temps que durerait la pénitence.

« Faut-il que je te précise qu’une fessée t’attend si tu ne te fais pas parfaitement oublier ? »

Une claque sur les fesses vint souligner la menace.

« Ne t’inquiète pas, je vais m’occuper de tes fesses d’ici la fin de la matinée, bien plus tôt que tu ne le souhaiterais ! »

Noémie songea un bref instant à protester. A cinquante-trois ans, elle ne pouvait rester au coin, montrant ses fesses nues à une dizaine de personnes ! Elle ouvrit la bouche mais elle la referma aussitôt. Elle jugea plus prudent de se taire.

 

Revenant au reste de la classe, la maîtresse désigna à chacun son pupitre et elle expliqua les règles en vigueur dans sa classe. Il n’y eut pas le moindre bavardage, pas le plus petit bruit. Aurélie, Philippe et Damien savaient déjà à quoi s’en tenir. Les autres l’avaient compris en assistant à la punition de Noémie. Il n’y avait pas de candidat pour être, volontairement, le suivant sur la liste.

« Je crois que certains d’entre vous avaient des punitions à faire à la maison. Vous vous levez en silence et vous les posez sur le bureau. Je vais vérifier qu’elles ont été faites correctement. »

Aurélie, Philippe et Damien se hâtèrent d’obéir.

« Vous ouvrirez votre carnet de correspondance à la page où votre mère à signé et vous ouvrez votre cahier de devoirs ! »

Tout en vérifiant le travail fait à la maison, la maîtresse distribua les carnets de correspondance et elle indiqua comment il fallait les remplir. Chacun des nouveaux élèves se concentra sur le travail qui lui avait été donné.

« Voyons si les leçons sont sues ! »

Aurélie fut appelée en premier. Les bras dans le dos, debout sur l’estrade, elle récita la liste des départements qu’elle avait eu à apprendre. Elle ne buta qu’une fois sur une préfecture, mais le regard noir de la maîtresse lui fit retrouver la mémoire.

Philippe ne reçut que deux claques sur le haut de la cuisse avant de retrouver la mémoire. Il portait son pantalon dont les jambes courtes suffirent pour amortir le piqué sur sa peau.

« Ça ira pour cette fois, mais je serai plus exigeante la prochaine fois. Je veux que les leçons soient récitées sans hésitation ! »

De retour à sa place, Philippe sentit un poids disparaître de ses épaules. Il avait eu chaud ! Damien prit sa place avec la peur au ventre. Apprendre par cœur n’avait jamais été son fort. Il avait pourtant récité ses leçons avec Colette, mais le résultat n’avait été que moyen. Il s’en sortit avec quatre claques sur le haut des cuisses quand il fut interrogé sur la liste des départements, mais la maîtresse n’était pas contente de sa prestation. Cela se voyait.

« Voyons voir si tu as appris ta poésie ! 

– Ce n’est pas pour me vanter, Disait la virgule, Mais, sans mon jeu de pendule… sans mon jeu de pendule…mon jeu de pendule… »

Il en resta là. Les trois premiers vers et ce fut tout.

« Les mots… souffla la maîtresse tout en lui donnant deux claques sur la cuisse. »

Même s’il y avait le tissu du pantalon pour amortir, cela commençait à piquer.

« Les mots… minuscules…

– Non, gronda la maîtresse, ce n’est pas ça !

– Les mots… les mots… »

La suite ne venait pas.

« As-tu appris ta poésie ?

– Oui, maîtresse !

– Mais visiblement pas assez pour la savoir ! »

Damien se dandinait d’un pied sur l’autre tout en tortillant le bas de sa blouse entre deux doigts. C’était un geste mécanique qui trahissait son appréhension. Il était anxieux. On le serait à moins !

« Sans doute ta motivation à l’apprendre n’était pas assez forte. Je vais te donner une bonne raison de savoir ta poésie quand tu arriveras en classe les jours prochains ! »

La maîtresse emmena Damien au bord de l’estrade. Elle y resta tandis qu’elle l’en fit descendre. Elle avait ainsi gagné la vingtaine de centimètres qui lui permettrait de compenser leur différence de taille afin de pouvoir sévir confortablement. Cela avait aussi l’avantage de mettre les fesses de son élève exactement sous les yeux de ses camarades. Toute la classe  pourrait ainsi profiter de la leçon.

Elle fit sauter les attaches qui tenaient les bretelles au devant du pantalon. Damien savait ce qui l’attendait et il ne trouvait pas ça immérité. La maîtresse le courba sous son bras sans qu’il fît le plus petit geste pour s’y opposer. Retrousser la blouse, défaire les deux agrafes qui tenaient encore les bretelles, chercher le bouton qui fermait le pantalon, le dépasser de la boutonnière… Le pantalon tomba sur les chaussures de Damien.

Tout le monde avait concentré son attention sur la scène qui se déroulait sous leurs yeux. Ceux qui ne le savaient pas encore, apprenaient que, dans cette classe, la maîtresse ne tolérait pas que des leçons ne soient pas sues et que quand la maîtresse punissait, c’était en donnant la fessée, qu’elle baissait alors le pantalon et que cela se déroulait devant toute la classe.

Il y eut un bref bruissement quand la maîtresse baissa la culotte. Personne ne prit garde que c’était un homme d’âge mur qui était déculotté par une jeune femme. Non, c’était la maîtresse qui s’apprêtait à fesser l’un de ses élèves pour une insuffisance caractérisée de travail. Le message était limpide : la maîtresse donnait la fessée déculottée quand elle le jugeait nécessaire. Personne ne trouva cela intolérable ou abusif. Nul doute qu’elle avait le droit de corriger les élèves quand ils le méritaient. Chacun savait qu’il pouvait se retrouver dans la même position que Damien dans les jours, les heures, peut-être même les minutes qui venaient.

Damien pourtant avait déjà reçu la fessée en classe. Ce n’était que devant un tout petit auditoire : deux personnes. Aujourd’hui, c’était une fessée devant toute la classe dont l’effectif s’était notablement renforcé. Il serrait les jambes, ne tenant pas à exposer ses attributs sexuels à tous ses condisciples, bien qu’il sût qu’avec une fessée donnée par la maîtresse, ces préoccupations ne dureraient pas.

La maîtresse s’attacha à ce que les claques qui tombaient sur les fesses de Damien, soient sonores et à ce que les réactions du garçon qu’elle fessait, soient explicites. La fessée qu’elle administrait tombait à pic. Elle lui permettait, bien plus efficacement qu’avec des mots, d’expliquer quel était son niveau d’exigence et comment elle sanctionnerait les élèves dont elle n’était pas satisfaite.

Ce n’était que la première fois que Damien arrivait en classe sans savoir ses leçons. Il fallait marquer le coup sans être trop sévère. Elle savait que dans l’esprit de tous ces élèves, y compris pour Damien, le déculottage avait fait la moitié du travail. Des fesses bien rouges, un garçon qui réagissait à chaque claque avec des mouvements incontrôlés, qui criait son repentir et qui sanglotait sous son bras sans chercher à éviter la punition… tous les ingrédients étaient là pour que la leçon portât.

« Prend ton cahier et va apprendre ta poésie au coin ! Je te réinterrogerais dans quelques minutes ! »



Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !

Ah, là, là, là, là, là, là ! Bon,  voici début : le chapitre 1
Et le précédent : le chapitre 30


Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?

Eh ben... tu verras bien la semaine prochaine !

Allez, un commentaire !

Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.

1 commentaire:

  1. Amis de la poésie et de la fessée pour ne pas l'avoir apprise... Bonjour, Bonjour Josip.
    Bon la maîtresse ne plaisante pas. On ne badine pas avec les leçons et à défaut de badine en question, c'est sa main qui se montre très efficace sur les fesses des insolents ou paresseux. Le plus drôle et piment de l'histoire c'est que les élèves ont cinquante ans et la fesseuse la moitié ... On imagine le tableau.
    Comme le lecteur imagine la fessée finale habilement suggérée en deux lignes, et deux temps trois mouvements. Un peu comme un hors champs de cinéma. Par contre les fesses rouges , ce n'est pas du cinéma!
    Cordialement
    Ramina

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