samedi 30 janvier 2021

Fabien, saison 2 - chapitre 41

 La fin de semaine arrivât enfin et nous préparâmes à accueillir Corinne et Justine comme il se devait, Lucie ne m’avait pas informé du scénario qu’elle avait manigancé aux fins de fesser ma copine et je l’espérais cette garce de Corinne, je faisais confiance à son esprit machiavélique.

Entre-temps, je m’étais rapproché de la nommée Marie Claude, une grande fille avec peu de seins ni de fesses, mais de très jolies jambes parfaitement mises en valeur par une jupe qui n’arrivait pas à ses genoux et surtout avec un visage de madone.

Je n’avais pas pris de gants et étais entré directement dans le vif du sujet, faisant fi de ma timidité naturelle.

- Alors nous sommes désormais frères et sœurs de fessée.

- Tu es au courant ?

Elle avait rougi jusqu’à la racine de ses longs cheveux bruns.

- Tu es au courant, bien sûr par ta cousine.

- C’est cela et comme j’ai moi aussi subi les foudres de cette pétasse de mère Bruno, je compatis à tes misères.

- C’est gentil, j’espère que tu n’en parleras pas. Elle se remit à piquer un phare.

- Et puis quoi encore, je ne suis pas une balance, en tout cas, cela m’aura permis de faire ta connaissance, quand est-ce qu’on pourrait aller boire un verre ?
- Aujourd’hui, je ne peux pas, mais lundi après les cours si tu veux.

Cette fois j’ai eu droit à un grand sourire. C’était bien la première fois que je trouvais de l’intérêt à me ramasser des fessées, fort de ce rencard prometteur, j’abordais avec confiance la journée du samedi que j’espérais riche en émotions, avec le projet de me venger disons, des indélicatesses de Justine et peut-être aussi de Corinne à qui j’en voulais bien davantage, si les choses tournaient bien.

C’est cette dernière qui se pointât la première, je ne savais pas trop quelle attitude prendre avec cette peste qui au départ très neutre, voire réticente quand il s’était agit de me claquer les fesses, avait rapidement pris le mors aux dents et s’était montrée l’égale de ma cousine dans les sévices que ce duo diabolique m’avait infligés.

On a vu que mes relations avec Lucie avaient sensiblement évolué vers une sorte d’égalité, voire de partenariat, même si je restais très méfiant, la situation pouvait rapidement se modifier et je pouvais me retrouver comme qui rigole sur ses genoux aux fins d’y recevoir la fessée de ma vie dans un retournement d’alliance à laquelle l’Histoire nous avait habitué, une sorte de real politique.

Corinne mis tout de suite les choses au point en m’envoyant quelques tapes relativement appuyées sur mon postérieur en guise de salut alors que je m’apprêtais à lui faire une bise de bienvenue.

- Alors comment va Fabienne, notre petite servante, tu n’es pas en tenue ?

Il a fallu que Lucie vienne à mon secours.

- Les choses ont un peu changé ma chérie, pour l’heure, il est plutôt question de mettre au pli sa copine Justine ou plutôt son ex copine, il a été très gentil avec moi ces derniers jours et m’a soignée lorsque je me suis ramassée une fessée d’anthologie chez la mère Leblanc, avec baguette et massage aux orties, la totale, une horreur, je m’en relève à peine, je te raconterai. Après il n’est pas exclu que s’il n’est pas sage, nous soyons contraintes de sévir à nouveau…

Cela restait très mitigé, mais il fallait bien m’en contenter.

Justine est arrivée en début d’après-midi et après lui avoir présentée Corinne, nous avons bu le café de conserve.

Je ne la sentais pas trop, voire pas du tout, ça sentait la scène de rupture à plein nez, son baiser sur mes lèvres avait été très sommaire et avec ses bottines, son ensemble en jeans et son tee-shirt blanc, je voyais bien qu’elle n’avait pas fait d’efforts démesurés pour me plaire, même si au final, cela lui allait fort bien, son maquillage restait dans le même ton, très sommaire, un peu de mascara sur les cils et autour des yeux et c’était tout. Je me disais sournoisement que si comme je l’espérais elle s’en prenait une bonne, ses pleurs barbouilleraient tout ça.

J’avais l’impression qu’elle cherchait à me prendre à part, mais les deux filles, fines mouches qui avaient bien pigé de quoi il retournait ne lui en ont pas laissé le temps et l’ont tout de suite mise sur le grill. Elles étaient très à l’aise, toutes les deux en short, le soleil qui entrait à flots par la grande baie vitrée du salon salle à manger de notre appart surchauffé, avait fait monter la température dans les vingt cinq degrés, Lucie s’était même dépouillée, comme souvent de son soutien-gorge et marchait nus pieds.

C’est Corinne qui a attaqué bille en tête.

- Alors petite garce, on m’a dit que tu t’étais bien éclatée à voir ma copine se ramasser une fessée devant tous tes connards de copains, ça sent le traquenard à plein nez cette histoire, non ?

-  Mais non, je t’assure que je n’y suis pour rien.

- Je ne suis pas certaine que Lucie te croie et en plus tu as dragué ostensiblement un autre mec, ce qui n’est pas très gentil pour Fabien.

- Mais non, c’est pas vrai, il se fait des films et puis je ne vois pas en quoi, ça vous regarde.

- Disons que je suis la défenseuse de la veuve et de l’orphelin.

- Je vous répète que je n’ai dragué personne, vous commencez à m’emmerder.

- C’est cela oui, je t’ai vue Justine, tu tenais la main de ce Marco et tu l’as embrassé, ne me prends pas pour une truffe.

- C’était juste un petit bisou d’amitié.

- Que tu sois une chipie, c’est une chose, mais je ne supporte pas que tu mentes ostensiblement, de toutes façons, c’est bien ta copine Anaïs qui m’a mis une fessée d’anthologie avec l’aide de son mec, non ?

- Si, mais je n’y suis pour rien, si tu n’avais pas branché François Xavier cela ne serait pas arrivé.

- ça, c’est l’hôpital qui se fout de la charité comme disait ma grand-mère, mais dis-moi qu’est ce que tu venues faire ici, me narguer ?

- Pas du tout, Fabien m’a invitée à passer l’après-midi avec lui et je ne savais pas que tu serais là avec ton amie.

- Fabien ne veut plus entendre parler de toi et c’est pour te le dire qu’il t’a convoquée, mais n’espère pas t’en sortir à si bon compte, on va s’occuper de tes fesses.

J’étais ennuyé, je ne voulais pas vraiment rompre avec Justine, mais Lucie m’avait mis devant le fait accompli et je me positionnais devant la porte d’entrée à laquelle je donnais un tour de clé avant de l’empocher.

Justine qui a enfin compris de quoi il retourne, pâlit et se lève.

- J’imagine que vous n’allez pas vous livrer à des violences, autant vous dire que je ne me laisserais pas faire et que j’irai me plaindre.

- C’est comme tu voudras et si tu ne te laisses pas faire, ta correction n’en sera que plus sévère, c’est toi qui choisis ma belle, avoue cependant que tu as mérité de te prendre une bonne fessée déculottée. De plus, je ne suis pas sûr que tes chers parents sachent que tu n’es plus vierge, que tu couches à droite à gauche, que tu fumes et que tu picoles dans des soirées, Lucie ne se gênera pas pour les informés.

- Vous n’avez pas de preuves, ils ne vous croiront pas.

- Que tu dis, ils n’auront qu’à passer un coup de fil à la mère de Fabien qui les éclairera sur l’état de tes relations avec son fils chéri, j’ai cru comprendre que tu faisais partie d’une famille catho intégriste dans laquelle la virginité avant le mariage est fondamentale et si ça ne suffit pas, saches que je n’hésiterai pas à informer ton futur fiancé du fait que tu as perdu ta fleur depuis longtemps, sans parler du reste.

Justine est effondrée, elle se rassoit et prend sa tête entre ses mains, je sens bien qu’elle se sent coincée et qu’elle est proche des larmes, ce qui étrangement m’émeut.

- Bon, je veux bien, mais une toute petite fessée, hein et sans baisser la culotte !

- C’est cela oui, dicte-nous tes conditions à présent, tu auras la fessée que tu mérites et cul nu, allez, dépêche-toi, on n’a pas tout l’après-midi, reprend Corinne qui décidemment mène le bal.

- Fabien, amène la chaise, que tu serves au moins à quelque chose pour une fois.

Cette pétasse devient de plus en plus autoritaire, elle n’a visiblement pas intégré mon changement de statut, pour l’heure ça m’arrange car je ne suis pas certain que nous aurions pu manœuvrer Justine aussi facilement qu’elle vient de le faire.

Corinne s’est installée sur la chaise que j’ai apportée de la cuisine, tandis que ma cousine a pris Justine par la main, la soulève du fond du fauteuil sans douceur excessive et l’entraîne vers son amie.

Elle n’en mène pas large et elle est toute recroquevillée, elle me ferait presque de la peine et je sens qu’il faut que je me débarrasse du reste d’amour niais que je ressens encore pour elle, que je pense à mon rencard prometteur avec Marie Claude, au fait qu’elle n’a pas hésité à ma claquer le cul.

Corinne ne tergiverse guère, elle s’attaque à la boucle de son ceinturon qu’elle décroche comme à la parade et au futal qu’elle lui arrache presque tant il est serré, avant de le descendre jusqu’à ses chevilles.

-  Non, pas la culotte.

- Et puis encore, tu parles qu’on va te mettre les fesses à l’air ma cocotte.

Le joli slip échancré rejoint aussi sec le jeans, je suis sur le côté et j’aperçois les poils de son pubis que je ne suis jamais parvenu à lui faire éliminer complètement, malgré des demandes pressantes.

C’est Lucie qui la fait basculer sur les cuisses de sa copine me mettant son mignon petit derrière pile en face de moi, je sens que je vais me régaler les yeux et j’ai déjà une belle érection.

Elle ne fait que croître et embellir quand sans désemparer Corinne lui envoie deux claques vigoureuses sur chacun de ses charmants hémisphères, déclenchant deux « aie » qui vont en appeler bien d’autres. 

Et même des cris bien plus prononcés quand son cul commence à prendre une teinte vermillon, puis incarnat, la fesseuse y va méthodiquement comme une vieille routière de la fessée, à croire qu’elle s’est entraînée entre-temps, deux coups à droite, deux coups à gauche, puis un au milieu de la raie culière. De temps à autre elle doit frapper au cœur de la chatoune de mon ex fiancée, ce qui lui arrache un hurlement de bête blessée et fait que ses cuisses s’écartent dévoilant indécemment son sexe et son anus.

Dans l’intimité et quand on a fait l’amour, Justine est toujours restée très pudique du fait de son éducation très vielle France sans doute et c’est la première fois que je vois les deux de si près et compte tenu du contexte, je me demande si je ne vais pas mouiller mon slip, je jette un œil à Lucie qui s’est assise juste à côté de moi et qui ne perd pas une miette du spectacle, j’observe qu’elle a les yeux brillants et les deux mains crispées sur les rebords de sa chaise, elle se régale ma cousine, je ne vous dis pas, si c’était Anaïs qui se trouvait à la place de Justine.. Car que je sache elle n’a rien contre cette dernière sauf le fait que c’est elle qui nous a entraînés à cette funeste soirée où elle s’est fait rôtir grave les fesses devant tout le monde et que l’autre n’a pas manqué de se régaler de sa déchéance. J’imagine qu’elle doit être dans le même état que moi et que sa culotte va bientôt être à tordre, administrer une fessée c’est très sympa, mais je crois que je préfère encore regarder la donner. J’observe toutefois que Corinne se méfie du consentement disons nuancé de sa victime à recevoir une bonne fessée déculottée, elle lui a remonté le bras droit dans le dos et l’appuie sur ses omoplates, tandis qu’elle lui a coincé sa jambe gauche en intercalant la sienne par-dessus, de sorte que la minette est parfaitement immobilisée.

- Sage ma cocotte, si tu bouges, ce sera le martinet, nous sommes bien d’accord.

- Oui.

- Oui qui ?

- Oui Corinne.

- Voilà qui est bien, je vais lâcher ton bras et desserrer mon étreinte sur ta taille, mais tu n’as pas intérêt à vouloir échapper à la fessée que tu mérites.

 

Le fesseur doit s’appliquer, au risque de faire ricaner, je dirais que c’est toute une science, n’est pas fesseur émérite qui veut, d’abord il y a la volonté d’anéantir quelque part la personne que l’on doit fesser, comme vient de le faire Corinne, de sorte qu’elle ne résiste pas, physiquement d’abord, puis mentalement en l’avertissant que toute rébellion lui vaudra un châtiment supplémentaire et si possible en le convaincant que sa punition est largement méritée et qu’elle se sentira mieux ensuite en ayant ainsi expié sa faute, ce qui demande un métier et une autorité qui n’est pas à la portée de tous.

Ensuite, il y a la manière, monter en puissance progressivement jusqu’à obtenir l’abandon de sa victime, qu’elle renonce à se débattre autrement que par des réflexes inévitables, s’abandonne à une correction méritée et enfin une fois que l’on a obtenu l’aboutissement de toute fessée bien menée, c’est-à-dire les gémissements puis les cris, voire les hurlements, les supplications et les larmes, savoir s’arrêter une fois que le fessier est à point, c’est-à-dire le moment où il ne rougira plus guère, que toute la zone que l’on a déterminée, éventuellement les cuisses dans une plus ou moins grande proportion, a été suffisamment châtiée, si l’on veut que la fessée soit plus rude encore, on fera une courte pause, le temps de laisser souffler et se reprendre un minimum la victime avant de se remettre en piste en se faisant aider d’un instrument punitif, martinet, règle, tapette, que sais-je encore ce n’est pas ce qui manque.

Et je dois reconnaître que Corinne semble bien posséder son sujet. A croire que Lucie a fait école et que depuis qu’elle s’est initiée à la chose au détriment de mes fesses, elle a trouvé d’autres « terrains » et sujets d’entrainement.

Elle a un joli cul Justine, je préfère néanmoins celui de ma cousine qui est plus bombé, plus musclé, sans un gramme de graisse, probablement en raison de sa pratique de la danse classique durant de longues années, je me souviens que sur la fin elle n’aimait plus trop ça et que ça entraînait des disputes, mais c’était avant qu’à l’instigation de sa sœur, la tante Maud l’ai passée au régime fessée, elle avait néanmoins arrêté les cours depuis son entrée à l’école, mais son corps en conservait les effets, y compris ses pieds qui martyrisés par les pointes lui faisaient mal dès qu’elle se hasardait à passer des escarpins un peu pointus et talonnés.

Je la vois se lever et revenir quelques secondes après munie du caméscope qui m’a valu nombre de mes misères et c’est parti, elle filme la fessée déculottée de mon ex-copine qui décidément prend cher, elle braille sévère la chère Justine, ça y est ses fesses sont transformées en brasier et elle relève ses gambettes en alternance dans un étrange ballet, il n’empêche les admonestations de Corinne ont porté et elle ne tente pas d’échapper à sa raclée, même si cette dernière continue de la maintenir fermement à la taille.

Les fesses de Justine sont à présent rubicondes sur toute leur surface, l’affaire a été rondement menée, je trouve cependant que mon ex-copine braille un peu trop fort, certes c’est une bonne fessée, mais rien de comparable avec ce que j’ai pu me ramasser ou avec la rouste que s’est prise récemment Lucie par la mère Leblanc, si par la suite on fait usage d’un instrument, elle va voir la différence la chochotte. Je me dis qu’à l’évidence elle n’est pas habituée à se faire rougir le fessier, il faut dire que même pour moi et Lucie, la pratique est relativement récente, mais hélas intensive.

Je me demande tandis que ma cousine continue de jouer au cameraman averti, sûr qu’on va se régaler de la vision du film et ce n’est pas fini, la gamine n’est nullement au bout de ses peines, Lucie va certainement vouloir se venger en propre, je me dis que si les deux garces m’y autorisent, je m’attends à tout, je me verrais bien claquer le cul que j’ai naguère convoité et caressé.

Ça y est, Corinne est parvenue à ses fins, le moment où la fessée a atteint son point culminant, le cul de Justine est véritablement cramoisi, itou pour le haut de ses cuisses, elle ne se tord pratiquement plus sous les claques et elle a largement écarté son entre-cuisse, nous en mettant plein les mirettes, elle caresse à présent le fondement de sa victime, attardant ses doigts sur le vagin que sans surprise elle découvre humide., puis les lui mettant dans la bouche.

- Suce ton foutre petite vicieuse, je n’aurais pas cru que cette bonne fessée te ferait mouiller, mais sois tranquille, tu n’as pas fini de prendre ton pied, les réjouissances ne font que commencer, allez tu te lèves et tu files au coin, à l’angle du canapé.



Les aventures de Fabien...

Elles remontent, plus exactement leurs publication sur ce blog, à août 2016 quand paraissait le 1er épisode, et nous l'avions laissé remontant de la plage lors de l'épisode 19, dans une tenue... Relisez l'épisode, vous verrez bien !

Elles continuent...

Serge reprend le flambeau et nous a proposé un vingtième chapitre et il y en a plusieurs autres, dont le dernier publié : le chapitre 40

Et les commentaires ?

Oui, c'est vrai, et les commentaires ? Serge se fera un plaisir de répondre à ceux que vous lui adressez. Si vous voulez le joindre directement, passez par moi : legall.josip35@laposte.net, je transmettrai

2 commentaires:

  1. Bonjour Serge,
    très bon scenario , bien écrit , très réaliste , j'esperes que Fabien va devenir fesseur et se venger ...!!!
    Au plaisir de te lire


    RépondreSupprimer
  2. Merci cher anonyme pour ces compliments qui me vont droit au coeur et m'encouragent.
    Sympathiquement .
    Serge

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.