Mais elle n’en a pas fini pour autant, les filles entre-elles sont bien pire que les mecs, elle veut aller au bout des choses et elle ordonne, davantage qu’elle ne demande à son copain, un certain François-Xavier, de lui succéder, ainsi suppose-t-on, il fessera la minette avec qui il avait entamé un flirt, ce qui est assez pervers et permettra à la maîtresse des lieux d’accomplir pleinement sa vengeance.
- Allez, dépêche-toi, tu la mets complètement à poil et tu la finis.
Cela
n’a pas été simple de la déshabiller entièrement, Lucie s’était un peu reprise
et tout en continuant à sangloter et à renifler, elle se démenait comme une
furie, à telle enseigne que de guerre lasse, Anaïs lui a envoyé deux gifles bien
senties qui l’ont étourdie et lui ont fait se resigner à se retrouver aussi nue
qu’au jour de sa naissance, sa culotte n’a pas résisté à l’arrachage brutal de
je ne sais plus trop qui.
Dans
sa vaine résistance, elle s’était mise face à nous, ce qui permis à
l’assistance de se régaler de la vision de son pubis complètement épilé et de
ses jolis seins tout à fait bien plantés.
Mais
cela n’a pas duré bien longtemps et rapidement sa bourrelle l’a installée sur
les cuisses de son fiancé qui n’a pas eu de mal à la maintenir, ma cousine
avait pigé que toute résistance était désormais inutile et qu’elle ne ferait
qu’ajouter à sa honte et à la douleur ressentie par son fessier en refusant la
correction qui lui était promise.
Autant
vous dire que je buvais du petit lait, même dans mes rêves les plus fous, je
n’aurais osé imaginer un tel scénario ; je songeais à la suite, tu parles
qu’on en ferait des gorges chaudes de la fessée toute nue qu’elle s’était
ramassée la minette, sa réputation allait en prendre un coup, surtout que cela
venait juste après sa déculottée dans les couloirs de l’école, nul n’ignorerait
bientôt ces malheurs !
En
attendant le François-Xavier, Fix pour les intimes, ne ménage pas non plus sa
peine, ce doit être la première fois qu’il administre une fessée et nous ne
sommes pas tout à fait dans les règles de l’art, ça part dans tous les sens,
mais il frappe fort le bougre, il ne faudrait pas que sa fiancée l’accuse
d’avoir molli sur l’affaire.
J’aperçois
juste derrière moi, Justine qui pour l’heure a délaissé son prétendant qui
semble se prendre un pied d’enfer, elle doit se dire que c’est l’éternelle
histoire de l’arroseuse arrosée, dans son émotion, elle me prend même la main,
je ne la repousse pas, en dépit de ses « infidélités » du début de
soirée, sûr qu’elle doit mouiller sa culotte la coquine.
Il
est vrai que le spectacle en vaut la peine, ma cousine sanglote à présent, elle
a bien pigé qu’il ne lui sert à rien de lutter, elle va boire son calice
jusqu’à la lie, placé comme je le suis j’aperçois son trou de balle qui se
crispe et se détend au fil des claques qu’elle se ramasse, je ne l’ai jamais
contemplé de si près, les quelques fois où j’avais eu le bonheur d’assister aux
corrections que la tante Maud lui avait infligée, c’était juste avant que mon
stratagème pour la faine punir, soit éventé et me vaille au final de me trouver
dans ma triste situation présente, c’est-à-dire sous les fourches caudines de
Lucie, je n’avais jamais osé m’approcher aussi près du « cœur du
sujet » et de surcroît, elle n’était pas
entièrement nue comme c’est le cas pour l’heure.
C’est
peu de dire que je me régale les mirettes, j’en ai une érection féroce, je me
dis que je ne vais pas pouvoir rester comme ça, il va falloir que je me
soulage, à moins que Justine qui semble revenue à de meilleures intentions me
concernant et qui se trouve de toute évidence dans le même état que moi,
veuille bien qu’on joue à la partie à deux, j’ai repéré discrètement plusieurs
chambres au premier étage, c’est bien le diable si je n’en trouve pas une de
disponible, quoique au train où vont les choses, il ne va pas falloir que je
traîne trop car je ne dois pas être le seul que la terrible fessée que se prend
ma parente met en transe.
Elle
prend cher la minette, à ma connaissance, elle n’a jamais été fessée par un
homme et même si tant la tante Maud que la mère Leblanc n’amusent pas la
galerie dans ce domaine, un homme c’est tout de même autre chose, je me
souviens douloureusement de celle que m’a infligé un certain Alex, à
l’instigation de Lucie et de la conne de Corinne d’ailleurs.
En
l’état, la vigueur que met Fix à lui rougir le fessier compense largement son
manque d’expérience et il ne mollit pas le bougre, encouragé qu’il est par les
clameurs des spectateurs de la correction.
Paradoxalement,
cela doit également émouvoir sa victime, il me semble bien quand elle relève
ses fesses après une claque spécialement appuyée, distinguer un brin d’humidité
autour de sa chatte, qui ne peut-être que de la cyprine.
Enfin,
l’ami Fix n’en peut plus, je vous garantis qu’infliger une sérieuse fessée à
mains nues comme il vient de la faire, cela vaut une bonne séance de gym, il
est trempé le mec et il doit avoir les mains brûlantes, moins cependant que le
cul de ma cousine qui est écarlate.
Anaïs
vérifie en le parcourant de sa main qu’il est bien cuit et recuit, sa
propriétaire est comme brisée, elle ne remue pratiquement plus, se contentant
de sangloter et de gémir, sûr qu’elle a eu son compte, je connais hélas trop
bien la musique. Pour l’heure, elle ne pense plus à sa mortification, à toutes
les mauvaises langues qui vont baver sur son compte, au fait qu’elle va être la
risée de l’école, en tout cas de ceux qui n’ont pas encore eu le malheur de se
ramasser une fessée déculottée, surtout publique comme c’est son cas.
Elle
est toute à sa souffrance, que ça s’arrête, qu’on ne lui massacre plus le
fessier, elle n’en peut plus et elle peine à se relever quand Fix desserre son
étreinte, toute relative d’ailleurs, car il y a un moment que sa victime a cédé
et s’est résignée à endurer sa punition et que toute tentative laissée
résistance ne ferait qu’aggraver son cas et en conséquence la cuisson de son
joli arrière-train.
Elle
se retourne et fait face à la compagnie, elle est pathétique, je ne devrais pas
après tous les tourments qu’elle m’a fait subir, mais je ne peux m’empêcher de
ressentir de la peine pour elle.
Son
maquillage a coulé sur son visage et elle aggrave le désastre en tentant
d’essuyer ses larmes, ses cheveux vont dans tous les sens, elle n’a pas même le
réflexe de cacher sa poitrine, ni sa vulve chauve, elle est complètement
hagarde, comme si elle émergeait d’un horrible cauchemar, se demandant qui sont
tous ces gens qui la regardent avec concupiscence.
C’est
à ce moment que je me dis que je ne peux décemment la laisser choir pour aller
calmer mes ardeurs avec Justine, je m’approche d’elle et je la prends dans mes
bras, elle s’y effondre en se remettant à pleurer à gros sanglots. Cela me fait
une sacrée impression, si vous voyez ce que je veux dire de l’enserrer toute
nue, déjà que je n’avais pas besoin de ça !
Je
me laisse même aller à passer une main consolatrice sur son cul que je découvre
sans surprise complètement en feu.
Une
fille compatissante me passe ses fringues et m’aide à la rhabiller comme je
peux, elle devra se passer de slip, puisque l’autre tordue le lui a déchiré
dans sa rage, les chaussures c’est un peu plus laborieux, je récupère enfin sa
doudoune et on s’arrache comme des voleurs, bras dessus, bras dessous, j’ai à
peine le temps d’esquisser un petit bonsoir de loin à Justine.
Elle
pleurniche toujours et cela commence à me gonfler, mais je prends sur moi, ce
n’est tout de même pas la fin du monde, elle s’est ramassé une bonne fessée
déculottée publique, ce n’est pas à moi qu’elle va expliquer l’effet que ça
fait !
Il
ne faudrait pas qu’elle oublie ce qu’elle m’a fait subir la garce, je te
l’envoie paître.
-
Bon tu ne vas pas nous pondre une pendule, tu t’es pris une fessée toute nue,
ce n’est pas la première, non ?
-
Toute nue, ce n’est que la deuxième fois et surtout devant plein de monde que
ne connaissais pas.
J’ai
senti qu’elle allait me dire que je ne savais pas que ce c’était, mais les mots
n’ont pas franchi ses lèvres. Je me posais incidemment la question, qu’est ce
qui était pire, être fessé devant des inconnus ou au contraire devant des
familiers ? Je n’avais pour l’heure pas de réponse immédiate, sauf si tu
n’as aucune chance de revoir lesdits inconnus, ce qui reste challenge, dans ce
cas c’est la première possibilité qui est la meilleure.
-
Tu t’en remettras et après tout tu ne connaissais presque personne à part Anaïs
et Justine qui ne sont pas privé de t’accabler.
-
Ah bon, la garce, elle me revaudra ça.
J’exagérais
beaucoup, ma « fiancée » s’était contenté d’une attitude passive et
elle avait certainement pris son pied devant le spectacle offert, mais fort de
son attitude équivoque de la soirée, j’étais décidé à prendre ma revanche et je
me disais qu’une alliance avec ma cousine favoriserait mes desseins.
Chemin
faisant, elle se retapait petit à petit, même si elle continuait à renifler,
elle se dégageât de mon bras et prit une démarche plus assurée, il commençait à
faire frisquet en ce début d’automne et je songeais que ses fesses nues avaient
eu le temps de refroidir, pour autant, je ne voulais pas remettre une pièce
dans la machine et je m’abstins de commentaires jusqu’à notre arrivée à
l’appartement.
-
Tu veux que je te passe un peu de crème apaisante ?
Elle
m’a regardé étrangement se demandant si c’était du lard ou du cochon.
-
Tu ferais ça pour moi ?
-
Pourquoi pas, tu l’as déjà fait me concernant, non ?
C’était
le cas, mais je m’abstins de lui rappeler que si elle m’avait prodigué naguère
quelques soins après quelques grosses fessées, à l’instigation de la tante
Maud, c’était elle le plus souvent qui était responsable de l’inflammation du
fessier qu’elle avait soigné.
-
Bon, si tu veux, mais sage hein ? N’en profite-pas pour faire le salopard.
-
Oh Lucie !
-
Tu parles que je connais les garçons et toi en particulier qui est un sacré
vicieux, alors fais gaffe.
Je
me disais que le bénéfice serait double, d’une part j’allais passer un bon
moment en reluquant et massant les fesses de Lucie et secondo, j’espérais
entrer ainsi dans ses bonnes grâces, ce qui me permettrait de me venger de
Justine en bénéficiant de son aide, j’imaginais déjà une invitation un de ces
prochains week end, le plus tôt serait le mieux, une sorte de traquenard où on
pourrait s’occuper de ses fesses, je me voyais déjà en train de claquer le cul
de ma « fiancée », la belle à plat ventre sur mes cuisses, sanglotant
et demandant grâce et pardon.
Lucie
était allée se remettre dans la salle de bains et elle me revient en meilleure
forme, même si elle a toujours les yeux rouges, elle s’approche de moi et
s’apprête à détacher la ceinture de son peignoir éponge qui ne dépasse guère le
haut de ses cuisses.
-
Sage, hein ? Tu n’en profites pas ?
-
Voyons Lucie, tu me connais assez.
-
Justement, je sais parfaitement quel petit salopard lubrique tu es.
-
C’est comme tu veux ma chérie, moi, je te proposais d’apaiser tes douleurs pour
te faire plaisir, si c’est pour me faire engueuler, on laisse tomber.
-
Ca va ne t’emballe pas, on y va, mais j’ai ta promesse ?
-
Oui, bien sûr.
Le
pire est bien qu’au départ connement ému par la détresse de ma cousine,
oublieux pour le coup toutes les horreurs qu’elle m’a fait subir, comme dans un
réflexe, je n’avais pas songé un instant à l’ambiguïté de la situation.
Et
c’est vrai que ce n’était pas neutre de me retrouver avec ce corps de jolie
jeune fille complètement nu, allongée sur mes genoux, tu parles que j’ai eu
immédiatement la trique, déjà que je n’avais pas pu me soulager après sa fessée
publique qui m’avait mis en transe, là c’était too much, Lucie a fait semblant
de ne s’apercevoir de rien.
Elle
gardait les cuisses serrées tant et si bien que je ne pouvais pas lui passer de
la crème à l’intérieur des fesses.
-
Est ce que ça va, ça te fait du bien ?
-
Oui, continue.
-
Il faudrait que tu écartes un peu tes cuisses pour que je puisse atteindre
toutes les zones qui ont été touchées. C’est comme tu veux, sinon, je ne m’en
occupe pas, mais ne crains-rien, j’ai déjà largement profité du spectacle de ta
chatte, pas plus tard que tout à l’heure d’ailleurs où tu nous as donné un
véritable cours d’anatomie féminine.
-
Il n’en est pas question !
Néanmoins,
elle accepte d’ouvrir son compas, je suis trop mal placé pour reluquer sa
fente, il faudrait que je me penche et je n’ai pas besoin de ça, même si la
vision de sa moule dénudée est tout de même un peu nouvelle pour moi,
puisqu’elle n’était pas encore épilée lorsque la tante Maud lui a infligée
quelques fessées en ma présence, je suis déjà suffisamment en rut.
Je
m’applique à bien lui masser ses deux hémisphères, c’est délicat, car la chair
est encore à vif.
-
Est-ce que je ne te fais pas trop mal ?
-
Non, c’est bien continu, ça me fait du bien, qu’elle me glisse dans un murmure.
-
Je ne sais si tu t’en es rendu compte, mais Justine n’a pas été la dernière à
encourager tes fesseurs et elle m’a confié qu’elle s’était bien éclatée à te
voir en si fâcheuse posture.
-
Il faudra qu’elle me le paye un jour ou l’autre, mais pourquoi tu me racontes
ça, tu as une idée derrière la tête, allez-dis-moi.
-
Eh bien, je ne sais plus trop où j’en suis avec elle, elle a dragué un autre
mec toute la soirée, un peu comme toi d’ailleurs.
-
Arrête, c’est pas tout à fait ça.
-
Bon, on s’en fout, en tout cas, elle ne s’est pas très bien comportée, ni avec
moi, ni avec toi, d’autant que je suis certain qu’elle va chanter à qui voudra
bien l’entendre que tu t’es prise une sévère fessée déculottée toute nue par ta
rivale d’un soir.
-
Tu crois ?
-
Tu parles qu’elle va se gêner, j’ai cru comprendre qu’elle s’était déjà laissé
aller à balancer sur mes fessées, celle que m’a infligée ma mère, les tiennes
et celle qu’elle m’a donnée sous ta férule, tu t’en souviens sans doute, en
tout cas, moi, je n’ai pas oublié.
-
Aie, tu me fais mal et n’approche pas trop tes mains, s’il te plait. Bon, je
t’ai compris, tu voudrais qu’on se venge tous les deux.
-
C’est exactement ça ! Bon, je crois que ça ira comme ça, sinon tu vas
encore gueuler que je profite de la situation.
Je
la libère gentiment, pour un peu je voyais le moment où elle s’endormait, elle
se relève péniblement, ne faisant plus du tout attention à sa nudité, s’y
complaisant presque, revêt son peignoir toujours aussi court et s’installe sur
une fesse sur un des deux fauteuils.
-
Tu souffres encore ?
-
Tu parles, ton massage m’a fait du bien, mais avec ce qu’ils m’ont mis les deux
affreux, je vais être marquée un jour ou deux, je leur garde un chien de ma
chienne surtout à cette pétasse d’Anaïs, mais on en reparlera, comment tu veux
qu’on la joue avec Justine ?
Elle
a croisé très haut ses jambes nues, elle voit que je les reluque avec un vif
intérêt, mais cela ne la trouble pas pour autant, il va falloir que ça change,
il ne manquerait plus que je tombe in love avec ma cousine, surtout que je ne
me fais nulle illusion sur son caractère et sa perversité, je passerai direct à
l’essoreuse, puissance maximale.
-
Ben, je ne sais pas trop, je pourrais l’inviter à passer un week end ici, comme
la fois précédente et après on verra bien.
-
C’est bien les hommes ça, non on ne va pas improviser, nous allons bâtir un
plan, quitte à le modifier si ça ne se passe pas tout à fait comme prévu, mais
il n’y a pas de raison, je vais y réfléchir, en attendant au dodo, je suis
épuisée, la tension nerveuse sans doute, je vais être obligée de dormir sur le
ventre, elle va me le payer !
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