mardi 5 janvier 2021

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 7

QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

FESSEES EN DOUBLE, POUR LECON DE BONNES MANIERES

L'idée, lancée par Margaret de corriger en même temps Andrew et Gérôme, est accueillie avec enthousiasme par les visiteuses, chauffées à blanc devant le spectacles des précédentes fessées. Il faut bien le dire aussi à cause d'une tendresse particulière pour le douze ans d'âge apporté par l'étudiant  anglais.

L'idée de les faire communiquer entre eux pendant leur raclée, relevait davantage d'un de ces prétextes pour justifier une  l'irrésistible envie de claquer un derrière, plutôt d'une réelle possibilité d'échange linguistique. Vu leur niveau respectif, l'un en français, l'autre en anglais malgré un régime fessées assez conséquent, le projet éducatif risquait vite de tourner court. Elle les fesserait donc en se réjouissant à l'avance, d'un abondant échange de larmes, de cris de douleurs et de supplications, sans distinction de langue.  Elles se chargeait de leur donner un rythme d'expression, bien cadencé sur les fesses !

C'est au bénéfice de la maturité et de l'expérience, qu'il revient naturellement à Gladys le plaisir d'administrer à Andrew sa troisième fessée de bienvenue, au grand dépit de Patricia, qui y voyait déjà une belle occasion de lui faire la démonstration de ses talents de fesseuse. Sa mère n'apprécie pas sa mine boudeuse. 

– Patricia enfin ! Tu ne vas tout de même pas nous faire un caprice pour une fessée ! Des fessées tu en mets presque tous les jours ! Rien que demain, tu auras les fesses de Gérôme pour toi toute seule pendant son cours d'anglais. Et pour la bonne cause en plus ! Et lui, pour le moment c'est à Margaret qu'il doit rendre des comptes.

Géraldine, qui a déjà testé le derrière du nouvel arrivant, et adore attiser les conflits, fait remarquer avec cette petite moue de gamine perverse. 

– Moi je comprends Patricia. Avec Andrew... c'est pas pareil ! Il a de si belles fesses qu'on a forcément envie de les essayer ! Des fesses d'une souplesse... je ne vous dis que ça !

– Géraldine, ça suffit ! lui lance sa mère. Inutile de jeter de l'huile sur le feu ! Ou le feu je te le mets aux fesses tout de suite après celles de Gérôme. Pétrifié sur ses genoux, en attente de sa fessée, le malheureux a du mal à retenir un petit gémissement de trouille. 

L'attente de la fessée en double se prolonge, sans que Margaret et Gladys  manifestent une quelconque impatience.  Elles savent prendre le temps de régler les différends, fortes de leur légitime autorité, si ce n'est par le compromis, c'est par la fessée qu'elles débloquent les situations. 

 Vexée de s'être fait doubler par sa mère, si près d'une raclée initiatique  sur un nouveau derrière, Patricia ne lâche pas l'affaire et tente une riposte un peu perfide.

– Mais maman, je t'ai toujours entendu dire que pendant une séance de plusieurs fessées consécutive, il était préférable de laisser un petit temps de récupération aux derrières  pour les retrouver en bonne forme à chaque reprise. 

Gladys, se lève du canapé avec un sourire condescendant.

– Et bien ma fille tu n'es pas bien maline sur ce coup-là. Je t'ai connue plus pertinente. C'est vrai que je dis souvent ça et alors... Et je ne vois pas le rapport ? Que ce soit toi ou moi qui lui flanque une nouvelle fessée ça ne lui ménagera pas le derrière. Alors autant que ce soit moi. Jusqu'à preuve du contraire, même si tu fesses bien, mes fessées sont, pour le moment, encore plus efficaces que les tiennes... ma petite ! Je pourrai t'en faire la démonstration à la maison si tu veux. Où même ici, tiens, ça serait amusant !

Patricia, qui vient de se prendre un revers croisé le long de la couture de ses bas nylon, ne dit plus rien et, vexée, s'enfonce dans son fauteuil en croisant rageusement les jambes. 

L'atmosphère dans le salon, qui était déjà à peu près aussi tendue que le derrière d'Andrew sous les fessées précédentes, s'alourdit un peu plus. La pression n'est évidemment pas ressentie de la même façon par celles qui administrent les fessées que par ceux qui les reçoivent.  

Pendant que Patricia disputait à sa mère l'opportunité de s'occuper du derrière d'Andrew, Margaret, continuait à préparer tranquillement la fessée de Gérôme effondré en travers de ses larges cuisses accueillantes. Elle ironise.

– Alors mesdames on s'est décidé. Quand je vois trépigner notre ami Andrew, au coin, je me demande si c'est d'impatience de savoir qui va lui administrer sa troisième fessée ou à cause de la cuisson de ses fesses.

Géraldine, maintenant spectatrice, s'amuse de la petite rivalité entre la mère et la fille. 

– C'est tout vu maman, je crois que Gladys vient de prendre la main !

 

Andrew inquiet, n'en même pas large. Avec les deux corrections que ces dames viennent de lui mettre, elles n'ont  pas mis longtemps à venir à bout d'un soi-disant flegme britannique qui vient d'en prendre un coup sur la théière. Il s'attendait à devoir se plier à une discipline assez stricte, somme toute comme chez lui en Angleterre, mais certainement pas à devoir se ramasser trois fessées consécutives dès son arrivée sur le sol français. Tout ça, parce qu'il n'a pas su trouver la bonne formule de politesse vis à vis de Margaret. De toute évidence, la sévère préceptrice a sauté d'autorité sur l'occasion. Géraldine, la fille, n'y est pas allé de main morte non plus. Elle fesse aussi dur et pire, par plaisir. Quant à leur amie Gladys pour la fessée suivante qu'elle lui prépare, elle n'a pas l'air la moins dangereuse des trois. Heureusement, pour ses fesses, Patricia, l'autre furieuse de la déculottée, ne semble pas au programme des festivités. Toujours ça de gagné, même si c'est certainement partie remise.  

Gérôme de son côté, pourtant habitué à en recevoir des cuisantes, redoutait la poigne de Margaret. Un frisson nerveux lui parcoure l'échine lorsqu'il sent sa large main lui patiner le derrière à travers son slip, puis s'insérer sous l'élastique et le lui caresser d'une paume insistante dans le nylon. Il se raidit un peu lorsqu'un index furtif, à tête chercheuse, s'insère avec autorité entre ses fesses, pour opérer un glissant aller et retour sur toute la longueur de la raie et s'enfoncer plus loin pour  lui titiller joyeusement le trou de balle avant de remonter à la surface. Il a craint le pire. Cette femme est décidément diabolique

Sa voix grave le pétrifie de trouille, alors qu'elle continue à lui pétrir voluptueusement les deux fesses sous le nylon pour bien lui montrer qu'elle en a  pris possession et compte en faire ce qu'elle veut.

– Mais c'est qu'il en a une sacrée bonne paire l'ami Gérôme. Voilà un slip comme je les aime, bien rempli, plein à craquer, d'un bon gros fessier bien ferme, fait pour se prendre de belles fessées bien claquantes  ! Pardi, ça ne m'étonne pas que tu t'en ramasses autant ! Je comprends Patricia, et Ma'am Thérez, comme les cousines, qui ne doivent pas s'ennuyer à la maison avec un pareil derrière sous la main !  

Gérome se tortille en gémissant sous les caresses qui se font de plus en plus pressantes sur son postérieur. Il sent, avec angoisse, que la fessée ne va pas tarder à démarrer et s'attend au pire. Margaret l'a littéralement plié en deux sur ses cuisses, le buste presque à la verticale,  pour l'obliger à arrondir ses fesses au maximum. Il est tellement  penché en avant que son crâne touche presque le sol. Sa voix larmoyante résonne sur le carrelage .

– Ooh Ma'am Margaret... S'il... s'il  vous plaît...

– Tu ne peux pas savoir comme ça me plaît mon ami  d'avoir un si copieux derrière sous la main ! Ironise la maîtresse femme, je vais lui mettre une de ces fessées... Tu m'en diras des nouvelles...

Elle se tourne vers Gladys qui vient de s'installer à côté d'elle sur le deuxième tabouret à fessées prévu pour les duo en public.

  Vous êtes prête Gladys ? On n'attend plus que les fesses d'Andrew soient en position pour  commencer ! 

Les deux femmes,  s’étaient mises d’accord sur le déroulement de la correction.

– Je pense qu'une séance en deux temps avec une séquence martinet leur ferait énormément de bien, avait proposé Margaret dans son rôle de maîtresses des lieux et de cérémonie. Géraldine se mêle encore de la conversation pour faire de la publicité.

  Surtout à Andrew qui goûterait ainsi à sa premières fessée avec un martinet Delaniaires, pur produit français, fabriqué maison. On n'exporte pas encore en Angleterre mais ça pourrait venir …

Patricia, quant à elle, sort de son bref mutisme, et  donne, comme d'habitude dans la surenchère.

– Vous pourriez aussi échanger les paires de fesses entre deux, pour rendre les fessées plus attrayantes et en varier les effets.

Les deux jeunes femmes, à défaut de participer activement, multiplient les propositions  pour prendre part à la séance qui se prépare.

Géraldine, un brin perverse dans le rôle de conseillère en fessée ne fait pas de détail.

– Oui, c'est ça ! Pas de fessée en même temps pour les deux punis. Pendant que Gérôme, slip aux cuisses, recevrait sa fessée par maman,  Andrew se prendrait une nouvelle fessée déculottée à la main par ta mère  pour lui préparer le derrière au martinet.

 – Voilà , c'est ça ! Et une  magistrale fessée ! précise Patricia, comme si c'était elle qui allait l'administrer !  

– Mais c'est qu'elles fesseraient bien à notre place si on les laissait faire, ces péronnelles !

 S'exclame Gladys en tirant  Andrew par l'oreille, du coin où il ruminait les fesses à l'air  depuis cinq minutes. Elle le ramène au tabouret à fessées près de Margaret déjà installée sur le sien, avec Gérôme sur ses genoux ; .

Les deux femmes sont positionnées  au milieu du salon, devant leurs filles, excitées comme des demoiselles enfilant leur première paire de bas nylon. Elles comptent bien ne pas perdre une miette de la croustillante séance de fessées en préparation.

Gladys tenant Andrew par le bras l’attira vers le siège, mais celui-ci, effrayé à la perspective de recevoir une troisième fessée, commença à résister en reculant. Il se mit  à supplier, des sanglots dans la voix.

– Please Madaame... please !! Owwww, Plus la spanking... la...la  fessée, s'il vous please !!

Elle le lâcha, mais pour lui mettre une paire de gifles qu’il reçut, les larmes aux yeux.

– Qu'est-ce que ça veut dire ça mon ami ! On fait la forte tête ! On refuse de prendre sa fessée, hein ? J'adore dresser les vilains garçons comme vous ! Et vous n'avez pas idée de ce qui attend vos fesses !

Ceci fait en guise de mise en condition, elle le fit attendre debout près d'elle, le temps de retrousser sa courte jupe sur ses cuisses gainées de nylon, et le bascula en travers de ses genoux le ventre et le sexe plaqués sur ses jarretelles. 

Simultanément Margaret entreprit de déculotter entièrement Gérôme et saisit l'élastique de son slip. Le nylon, tendu à craquer glissa avec quelques difficultés sur les volumineuses rondeurs du gros postérieur mais  ce fut l’affaire de quelques secondes. Gérôme, pétrit de honte, offrit malgré lui aux deux filles bien énervées, sa magnifique paire de fesses bien rondes, qui portaient encore un peu de la rougeur d'une précédente fessée, sans doute  reçue à la maison.

En gourmande, Margaret fit bruyamment claquer l'élastique du slip sur ses cuisses  et commenta d'un ton ironique.

  Alors , mon petit Gérôme, tu n'es pas bien là sur les genoux de madame Margaret ? Tu les sens bien à l’air tes grosses fesses à claques, déculottées, bien tendues ? Je vais t’apprendre moi à reluquer le derrière de ma fille  et de mentir en plus ! Tu sais ce qui va leur arriver maintenant à tes fesses ?

– Ooooh oui Madame...  Oui  je sais ce qui attend mes fesses !

  Et c’est quoi qui attend tes  fesses mon ami ?

– La fessée madame... la... la fessée !  ...une bonne fessée .... une bonne fessée sur mon gros derrière déculotté !

  Et tu n’as pas honte de recevoir une bonne fessée déculottée devant Géraldine et Patricia ?

Gérôme est habitué à subir ce genre de sermon avant chaque correction. Il répond machinalement comme il le fait sur les genoux de sa mère lorsqu'il se trouve dans cette position.

 – Oh si Madame, si, j'ai honte!  Mais...  je l’ai méritée ...et les fessées c’est toujours déculottées qu'on les administre,  sans cela ça ne serait pas de vraie bonnes fessées “

  Et pourquoi l’as-tu méritée ta fessée ?

– Parce que j'ai été malpoli avec votre fille et que j'ai menti après.... Alors... euuuh,  c’est la fessée … sévère et bien claquée.

Margaret, constate avec satisfaction la docilité du garçon et en profite sans vergogne .

– Parfait, je vois que maman Thérez t'as bien dressé et que tu as retenu ses leçons  ! Eh bien maintenant tu vas mieux exposer tes grosses fesses de jeune homme insolent,  que je puisse te fesser très sévèrement et que ta fessée soit parfaitement claquante...

Gérôme,  entièrement soumis à l'autorité de sa correctrice, ne pense pas une seconde à émettre la moindre supplication ou une simple demande d'indulgence. Il obéit instantanément.

– Oui Madame. ! Oui ! Il se cambre immédiatement en arrondissant sa croupe au maximum, fesses rebondies ...comme çà ? Demande-t-il en poussant à fond sur le derrière ?

Margaret s'amuse de son empressement à satisfaire ses exigences. D'autant plus qu'elle sait  que cela n'atténuera pas pour autant, la sévérité de la déculottée qu'elle a l'intention de lui administrer. Elle continue à l'humilier devant Géraldine et Patricia qui se régalent de la séance de dressage. 

  Mieux que çà Gérôme , mieux que ça ! Fais le bien ressortir ton gros fessier de petit vicieux, voyeur, qui va recevoir une longue, très longue et cuisante fessée devant ces demoiselles ... alors exhibe bien tes fesses au maximum pour qu'elles les voient bien cuire et rougir sous ma main !

  Oui Madame Margaret... je vous obéis … je vous obéis ...

– C'est bien Gérôme mais ça ne suffit pas ! Sais-tu ce qu'on doit dire à chaque fois, avant de recevoir une correction ?  Moi, je veux t'entendre demander à Patricia et Géraldine si tes fesses sont bien présentées pour qu'elles les voient bien, et que la fessée que tu vas recevoir soit la plus claquante possible 

Il répète docilement  en s'efforçant de bien cambrer les reins pour arrondir son derrière, tendu au maximum. Dans le même temps, il baisse lui-même son slip un peu plus bas sur ses cuisses pour bien dégager toute la surface de son derrière à corriger et le présenter prêt à claquer, entièrement soumis à la fessée. Mais à peine a-t-il fini de le positionner qu’une première claque d’une sonorité éclatante retentit sur ses fesses que Margaret a cueillies à la volée en pleine montée...,

– Bon initiative mon ami, tiens bien ton slip baissé pour éviter qu'il ne remonte pendant que je te secoue les fesses !

– Et aussitôt ce n’est pas une mais des dizaines de claques qui tombent sur son fessier tressautant qui rougit à toute vitesse. La fessée est tellement cuisante qu'Il se met presque immédiatement à pleurer et à supplier en tortillant frénétiquement du derrière .

– Plus la fessée Madame, plus la fessée, Pitié, vous tapez trop fort !!   !

On a vraiment l’impression d’entendre un sale gamin corrigé en public .... Il gémit.

 – Roooahhh mes fesses ! Mes fesses ! Paaa...rdon Maaadame !  Pardon à votre fille ! Je ne recommencerai plus... plus... à lui manquer de respect ! Plus la fessée, s’il vous plait ! Pardon”  Ouaiiiie, votre main Madame, votre main !... elle claque dur !

– Mais j'espère bien qu'elle claque dur ma main ! C'est une main sévère comme celle-là qu'il faut pour bien corriger tes grosses fesses, mon ami. D'ailleurs elles en mettent plein la main, tes belles joufflues... de vraies fesses à claques... que du bonheur !

Gladys, tout à côté, n'est pas en reste. Elle a couché Andrew  sur ses genoux et lui passe sa main sous le ventre pour le soulever. Il est, reins cambrés, croupe en l’air, son ventre reposant à peine sur  ses cuisses, son sexe frôlant le revers noir de ses bas nylon.

– Aller, Mister Andrew, montrez-moi comment, en Angleterre, on apprend à présenter ses fesses, pour bien recevoir ses fessées !  Vous allez voir, ici en France on les adore les gros derrières bien claquants !


fessée déculottée en double



Gladys, se régale. Elle n’a plus rien d'autre sous les yeux qu’un volumineux fessier, encore reluisant des deux fessées précédentes, qu’elle claque alors à la volée. Tout en fessant, elle lui tire la tête en arrière par les cheveux, pour lui faire tenir sa position cambrée et déployer, au maximum, son volumineux postérieur bien tendu à sa main. Elle le fesse avec ardeur ce gros derrière cuisant, sans s’arrêter une seconde, ne laissant pas la moindre surface de peau sans la claquer sévèrement. La main haut levée au-dessus de sa tête pour prendre le plus d'élan possible, elle fait le tour du gros postérieur en tapant de plus en plus fort !

Le malheureux, cette fois en grande souffrance, ne se retient plus.  Il crie, supplie, promet de travailler sérieusement,  dans un français plus qu'approximatif encombré d'expressions anglaises. Cela contrarie profondément Gladys et surtout Margaret, qui mesure l'étendue du travail à accomplir pour le faire progresser. Elle traduit son agacement sur les fesses en feu de Gérôme, qui commencent à battre des records de saut en hauteur sur ses cuisses. Les fessées sont tellement fortes qu'elle a eu raison d'abandonner l'idée de les faire communiquer entre eux tant ils ne peuvent s'exprimer autrement que par des pleurs des cris et des râles de souffrance, dont le vacarme est encore amplifié par le formidable claquement de leurs fesses. 

C'est donc, chacun de leur côté, que les deux jeunes gens, dans un langage différent et pas pour les mêmes raisons, implorent le pardon, jurent de ne plus recommencer, d’être sage , soumis, obéissants, polis, promettent tout ce qu’elles veulent et même plusmais les puissantes fessées, continuent sans répit à cadence régulière.

Assez rapidement Gérôme comme Andrew, qui lui aussi a compris que leurs supplications ne faisaient qu'attiser la sévérité des deux femmes, n’essaient plus de dire quoi que ce soit.  Sous la menace permanente de l'inévitable fessée supplémentaire, ils s'échinent à maintenir leurs fesses en bonne position  et se contentent de pleurer bruyamment, à chaudes larmes , en sanglotant en permanence. Gladys et Margaret,  rompues à l'exercice, l’œil sévère fixé sur les postérieurs en feu, paraissent infatigables et continuent implacablement à administrer à leur puni une sévère correction…l es fessées durent  de longues, longues minutes, qui semblent interminables aux deux garçons. ....

Pas pour Géraldine et Patricia, au bord de la pâmoison, qui se délectent ouvertement,  devant le spectacle des deux paires de fesses écarlates, rebondissant sur les genoux de leur mère respective. Elles n'en peuvent plus de tremper leur slip de nylon, dont le seul inconvénient est de ne rien absorber.

– Ah je n'en peux plus, exulte Géraldine qui n'en finit pas de tortiller du derrière sur sa chaise. Il n'y a pas à dire, elles sont en forme les maters ! Pour fesser, ça fesse dur !

– Tu as raison,  répond Patricia, le souffle court. Qu'est-ce qu'elles leur mettent sur les fesses, et comment elles encaissent bien !  En tout cas ils ne l’ont pas volé !

 

Les mains plaquées entre ses cuisses elle se dandine d'avant en arrière en suivant les contorsions du gros fessier de Gérôme, sont préféré après celui de son frère, que la main ferme de Margaret fait tressauter sans pitié. De temps en temps elle voit le sexe tendu du jeune homme ripper sur le revers de ses bas nylon et rebondir  en cadence contre ses jarretelles.

Elle le fait remarquer à Géraldine qui éclate de rire .

– Oui, j'ai vu, moi aussi , je me demande combien de temps il va tenir. Surtout que je connais ma mère, quand elle a trouvé son rythme de croisière elle a du mal à s'arrêter.

– Pareil avec la mienne. L'anglais au pair est dans tous ses états aussi !

– Ouais ! S'ils n'arrivent pas à se retenir, et qu'ils leurs pollue les bas nylon, je ne te raconte pas ce qu'elles vont leur mettre à la suite. Ça va être encore pire. 

Les fessées claquaient en cadence sur les fessiers bien tendus.  Les deux filles, énervées comme des jouvencelles avant de se faire sauter la capsule, continuaient de papoter en se tripatouillant joyeusement l'entrejambe. Soudainement on entend, par la fenêtre grande ouverte, une voiture s’arrêter juste devant  la maison. Le carillon de l'entrée retentit . Margaret, pour qui, il était inconcevable d'interrompre une fessée en cours, montre son agacement en ponctuant chaque syllabe d'énormes claques  sur les fesses du pauvre Gérôme.

– En-trez !! La – porte - est- ou-verte ! ” .

Rodolphe apparaît, en larmes, à l'entrée du salon, poussé par Clarisse sa mère,  à grandes claques sonores sur les fesses. Elle tient un martinet à la main. Lui retient son pantalon baissé et, son slip descendu au milieu des cuisses, laisse voir un rutilant fessier rebondi, lui aussi, écarlate. On sent que maman a déjà sévi et a bien l'intention de continuer en public . .

– Tiens, tiens... Encore une nouvelle paire de fesses ! , s'exclame Géraldine en sortant la main de son entre cuisses. Il ne manquait plus que le gros derrière de l'ami Rodolphe pour compléter le tableau. Aujourd'hui, c'est soirée fessées chez les Delaniaires !



Et après la saison 3... vient la saison 4!

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.

Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 6

La suite, c'est très bientôt.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

4 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Wahou ! C'est le derby ! Grand Chelem !
    Essais réussis sur toute la ligne. L'Entente Cordiale tourne à la... Bérézina ! Qu'est ce qu'ils prennent Abott et Costello !!!
    J'aimerai pas être à leur place ! Pour Gérome, les claques de tante Liza, à côté, c'est de la tisane à la camomille !!! Andrew va vite progresser avec les fessées irrégulières : " To spank - spanked - spanked". Gérome va devoir réviser sa leçon pour le lendemain. Avec Professor Pat', ça va chauffeeeer ! Ces demoiselles sont comme les Harpies de la mythologie grecque (cf. le film : "Jason et les Argonautes" de 1962) : elle harcèlent leurs pauvres victimes sans défense pour mieux les tourmenter ! Bonnes illustrations à propos.
    Amicalement. Peter.

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  2. Bonjour Peter

    Tes commentaires bourrés de références cinématographiques ou de vielles série télévisées sont des pépites d'anthologies franchement drôles et, elles aussi, pour certaines, d'un temps jadis!
    "Abott et Costello" : duo burlesque des années 50, comme "Jason et les Argonautes"... il faut remonter loin pour aller les chercher ceux là!

    Eh oui, les "fessées irrégulières" comme les verbes du même nom, difficiles à supporter mais à l'exercice, quand même sur un rythme régulier. Les passionarias de la déculottée ne donnent pas dans la dentelle et ne font pas les choses à moitié. C'est la marque de fabrique des "Dames aux Mains Fermes" qui ont à coeur de confirmer leur réputation à chaque fois que l'occasion se présente. Et comme tu l'as finement remarqué, quand il ne s'en présente pas, elles en trouvent... Les harpies! Quand on aime, ( la fessée) on ne compte pas!
    Amicalement
    Ramina

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  3. Amis de la poésie et de la fessée en Franglais, Bonsoir Ramina,
    Glad et Pat se lancent dans une joute oratoire sur qui de l'une ou de l'autre aura le privilège d'administrer la fessée ! Telle mère, telle fille, dirait-on !
    Le coup du titillement du trou est du meilleur effet en terme de préliminaire, histoire de préparer le puni à ce qui va suivre. De ce fait, il pourrait savourer avant de déguster... ou le contraire, on ne sait plus où on en est, avec ces femmes qui tournent telles des vautours autour de pauvres petits hommes sans défense, surtout avec le futur usage sans modération des martinets made in Delaniaires.
    On sent Gérôme, totalement soumis à sa fesseuse. Il a fauté, il doit en payer le prix. A son âge, vouloir reluquer les fesses d'une dame, ça parait normal, cela dit, ça n'en reste pas moins très indélicat.
    On aimerait être à la place de Géraldine et Patricia et assister à cette sévère fessée, tout en se caressant devant ces belles fesses rouges.
    Mais lorsqu'il n'y en a plus, il y en a encore en la personne de Rodolphe, qui mérite lui-aussi, une petit remontage de bretelles descendues au niveau des chevilles...
    Amitiés.
    Elena.

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  4. Chère Elena, bonjour.

    Que voila encore une analyse bien tournée et scrupuleusement observée. Vous donnez là une belle réplique à mes propres commentaires et j'avoue beaucoup apprécier la pugnacité de votre écriture .

    Eh oui, "pauvres petits hommes sans défense" soumis à la rigueur disciplinaire de Ces Dames aux main si fermes et si cuisantes! Ils sont représentatifs de ces "mâles arrogants" que vous appelez parfois, fort justement,à recadrer dans quelques unes de vos réponses aux commentaires.
    Et bien vous voilà écoutée, ces Dames sévères, s'en chargent volontiers avec enthousiasme, rigueur et savoir faire. Conjugaison des plaisirs de la fessées, humiliation et aussi auto satisfaction devant cette exposition de "belles fesses bien rouges". Avec de pareilles paires sous la main elles auraient tort de s'en priver... N'est-il pas ? (rire)
    Quant à l'invitation au voyage au centre de l'hémisphère, une fois mis le doigt dans l'engrenage, c'est la porte arrière ouverte à toutes les fantaisies exploratoires. Géraldine en a bien profité dans les chapitres 29 et 34 de la saison 3... Ces Dames ont le sens du partage,
    et comptent bien élargir le cercle d'autres de leurs amis, punis ... (re-rires)
    Amicalement
    Ramina

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