jeudi 7 janvier 2021

Le journal d'Olga - chapitre 37

 Quelqu’un m’a appelée depuis le trottoir d’en face.

« Hou ! Hou ! Olga !

Une femme. Qui a traversé. Qui est venue à ma rencontre.

‒ Tu me reconnais pas ?

Si ! Enfin non ! Son visage me disait bien quelque chose, mais…

‒ Athina B. La prison…

Ah, oui, bien sûr, oui ! Maintenant qu’elle le disait… Athina B ! La gardienne qui m’avait prise en charge le jour où Sœur Marie-Zénaïde avait voulu que j’aille assister, dans la cour du centre pénitentiaire, à la punition de Lahna H. « Que tu en prennes de la graine… Parce que tu es sur une mauvaise pente, ma fille, une très mauvaise pente. Et si on ne veut pas que tu suives le même chemin… »

‒ On va boire quelque chose ? T’as le temps ?

Oh, oui, je l’avais. Oui.

Et on s’est engouffrées dans le premier café venu.

‒ Alors ? Qu’est-ce tu deviens ?

Oh, moi, pas grand-chose. Je poursuivais mes études. Et puis voilà…

J’ai voulu savoir.

‒ Et là-bas ?

‒ Oh, c’est un peu le train-train. Même s’il y a des jours plus difficiles que d’autres. Et des détenues plus difficiles que d’autres.

‒ Lahna H. ?

‒ Elle, c’est pas la pire. Mais elle a le don de se mettre dans des situations impossibles. Et là, elle va encore y avoir droit, c’est couru.

‒ Y avoir droit ? Une correction ? Comme l’autre fois ? À cause de quoi ?

‒ On a retrouvé un portable dans sa cellule. Ce qui, tu t’en doutes bien, est formellement interdit par le règlement. Il appartient à sa codétenue, Zhu W.L., mais elle en a, elle aussi, largement profité. Alors ce qui a été décidé pour elle, c’est trente coups de canne.

‒ Et pour l’autre ?

‒ Zhu W.L. ? Ce sera le fouet. Soixante coups. Et elle les aura pas volés. Parce que comment elle nous en fait voir, celle-là, à nous les gardiennes. Et à toutes, hein ! Non, il y a belle lurette qu’il aurait fallu s’occuper de lui remettre les idées en place. Seulement c’est la petite protégée du docteur Pierre B. Il la couvre. Pourquoi elle plus que les autres ? Parce qu’elles sont nombreuses à être en manque et à avoir recours à ses services en cas de besoin. Mais faut croire qu’elle, elle sait y faire mieux que les autres. Qu’elle le fait grimper aux rideaux quelque chose de rare. Il a un petit faible pour elle, ça, c’est sûr. Et même un gros. Seulement là, il a eu beau faire, la directrice s’est montrée intraitable. Elle a poussé le bouchon trop loin. Elle y coupera pas. Et je peux te dire que, ce coup-ci, sœur Marie-Zénaïde est bien décidée à lui faire passer une bonne fois pour toutes l’envie de faire son intéressante…

Elle s’est mise à rire. D’un rire franc. Complice.

‒ Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?

‒ Tu verrais ta tête ! Et comment ils brillent, tes yeux ! Ah, c’est le genre de choses, ça, toi, hein…

Je me suis mollement défendue. À peine. Du bout des lèvres.

‒ Mais non, mais…

‒ Tu parles ! À d’autres, oui ! Tu crois que je t’ai pas vue, l’autre fois ? T’étais pas la dernière à te le faire reluire, le berlingot. Oh, mais il y a pas de honte, hein !

J’ai haussé les épaules, souri.

‒ Faut bien reconnaître que quand j’en vois une ‒ ou un ‒ se tortiller sous les coups…

‒ T’es pas la seule, va ! Bon, mais alors j’imagine que venir jeter un coup d’œil sur ce qui va se passer demain dans la cour de la prison, ce ne serait pas pour te déplaire…

‒ Je pourrais ?

‒ Bien sûr ! Je t’arrange le coup si tu veux.

‒ Je dis pas non. Et même…

‒ Eh bien rendez-vous là-bas alors ! À neuf heures. Devant la porte principale. Tâche de pas être en retard… »

Oh, non, non, ça, il y avait pas de risques.

 

Iourievna s’est mise à arpenter la chambre de long en large.

« Ah, ben bravo ! Bravo !

‒ Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?

‒ Et elle demande ce qu’il y a ! Chaque fois c’est la même chose : tu penses qu’à toi. Qu’à ta petite personne. Parce qu’il t’est pas venu à l’idée que moi aussi, je pourrais avoir envie de les voir se faire corriger les fesses à l’air, ta Lahna H. et ta Zhu W.L. ?

‒ J’y ai pas pensé. Ça s’est décidé tellement vite. J’ai été prise de court.

‒ Ben, voyons !

‒ Si, c’est vrai, hein ! Oh, mais t’as qu’à venir, si tu veux. Elle y verra pas d’inconvénient. Je crois pas du moins.

‒ Mais t’es pas sûre. Oui, ben moi, m’imposer c’est pas mon genre.

‒ Je te promets que la prochaine fois…

‒ S’il y en a une. En attendant, heureusement que moi, je suis pas comme toi. Parce que, quand il y a un bon coup à faire, je t’implique dedans.

‒ Comment ça ?

‒ Angélique F., la mère d’Alexia, il s’en est fallu d’un rien qu’elle replonge.

‒ Déjà !

‒ Déjà, oui ! Et elle est venue supplier la mère de Susan d’intervenir : « Faites quelque chose ! Mais faites quelque chose ! » Elles ont longtemps discuté toutes les deux et ce qui en est sorti à la fin, c’est que la seule solution, c’était de la punir. « C’est bien ce qu’avait été convenu de toute façon, non ? » Samedi ça aura lieu. Une fessée. Déculottée. Devant quatre nanas. Des jeunes, pour que ça porte mieux. Il y aura Susan, Mylène et moi. Quant à la quatrième, j’ai proposé que ce soit toi. Ce qui n’a pas posé le moindre problème. Me remercie pas surtout, hein ! »

 

Athina B. est sortie me chercher.

« Viens !

M’a emmenée directement à l’infirmerie.

‒ C’est là que tout commence en général.

Lahna H. était allongée, toute nue et toute rouge, sur la table d’examen. Quant au docteur Pierre B., il était en train de finir de se reculotter.

Athina B. s’est penchée à mon oreille.

‒ On arrive après la bataille, on dirait… On a loupé quelque chose, là.

Il a bouclé sa ceinture, m’a aperçue, jeté un long regard de gourmandise.

‒ D’où elle sort, cette petite caille ?

Il m’a longuement parcourue. Des pieds à la tête. A froncé les sourcils.

‒ Je t’ai déjà vue, non ?

J’ai fait signe que oui. Oui.

‒ Une fois.

‒ Il me semblait bien aussi… Tes seins me disaient quelque chose. T’as pris combien. Trois mois ? Six ? Un an ? Pour quoi ? Trafic de drogue ?

Athina B. a haussé les épaules.

‒ Mais non, c’est pas une détenue.

‒ Dommage ! Oh, mais elle le sera peut-être un jour. Sûrement, même ! Il faut qu’elle le soit. C’est facile. T’as pas envie ? Je m’occuperai de toi. Personnellement. Tu seras pas déçue, tu verras…

Athina B. est encore intervenue.

‒ Vous avez déjà tant à faire, docteur. Toutes ces femmes qui vous sollicitent en permanence…

‒ Oui, mais elles, je les connais par cœur maintenant. Je sais tout de comment elles sont faites et de leur tête quand elles jouissent. C’est pour ça : un peu de nouveauté…

Et il a tranquillement lorgné mes seins.

‒ C’est qu’ils ont l’air pas mal du tout !

Il en a approché la main.

Sœur Marie-Zénaïde a brusquement surgi. En compagnie d’une autre gardienne.

‒ Elle est prête ? On peut y aller ?

Lahna H. s’est jetée à ses pieds, lui a encerclé les chevilles de ses bras.

‒ S’il vous plaît, ma sœur, s’il vous plaît ! C’est pas de ma faute. J’y suis pour rien. J’y ai seulement pas touché à ce portable.

‒ C’est pas ce qu’on m’a dit…

‒ C’est une erreur. On s’est trompé. Si, je vous assure !

‒ Trêve de bavardages !

Elle a fait signe à Athina B. qui l’a obligée à se relever et lui a menotté sans ménagement les mains derrière le dos.

‒ En route !

J’ai suivi. On a emprunté un couloir. Un autre. Encore un. Les fesses de Lahna H. dodelinaient devant moi.

À l’entrée de la cour, en apercevant ses codétenues qui l’attendaient, hilares, elle a poussé un petit cri, s’est figée sur place.

‒ Avance !

Parmi les rires, les moqueries, les mains baladeuses. Jusqu’à l’estrade de punition. On l’y a fait grimper. On l’y a sanglée. Athina B. m’a fait signe d’approcher. Au premier rang. Tout près. Le plus près possible. À côté d’elle.

‒ Que t’en profites bien…

Sœur Marie-Zénaïde a lancé un premier coup de canne. À plein derrière. Lahna H. s’est crispée, s’est cabrée. Elle a hurlé. Un deuxième. Un troisième. Elle s’est tortillée, débattue, s’est époumonée tout ce qu’elle savait.

Les filles, derrière nous, l’encourageaient de la voix et du geste.

‒ Vas-y ! Gigote ! Gigote ! C’est trop marrant.

‒ Et chante ! Chante ! Plus fort !

Athina B. a constaté.

‒ Elle mouille.

C’est souvent que ça arrive, ça, quand on te fouette. C’est physiologique. Tu peux pas contrôler. Et comment c’est humiliant !

Les spectatrices s’en sont donné à cœur-joie.

‒ Regardez ! Non, mais regardez ! Comment ça lui dégouline !

‒ C’est les grandes eaux de Versailles, oui !

‒ Tu veux que je vienne te soulager ? Je sais me servir de ma langue, moi, tu vas voir…

Quand ça a fait dix coups, le docteur Pierre B. a fait signe d’arrêter. Il est allé l’examiner. Il a palpé ici, palpé là.

‒ Pas de problème ! Vous pouvez continuer, sœur Marie-Zénaïde. Mais carrément ! Carrément, hein ! Appuyez vos coups. N’hésitez pas !

Elle ne se l’est pas fait répéter deux fois. Elle a cinglé. À toute volée. Ça s’est inscrit, à l’horizontale, en longues traînées violacées sur le derrière de Lahna H. qui essayait désespérément de s’arracher à ses liens tout en poussant des hurlements à fendre l’âme.

Au vingtième coup, le docteur Pierre B. a encore procédé à un examen minutieux et encore insisté pour que sœur Marie-Zénaïde fasse preuve de davantage de sévérité.

‒ Vous la caressez, là, ma sœur !

Elle lui a répondu d’un haussement d’épaules agacé et a poursuivi, au même rythme, avec la même intensité, sans se préoccuper le moins du monde des supplications désespérées de Lahna H.

‒ Arrêtez ! Oh, je vous en supplie, arrêtez ! J’en peux plus !

Quand ça a fait trente coups, Athina B. et l’autre gardienne l’ont détachée.

‒ Et maintenant, le pilori !

Elle a fondu en larmes.

‒ Oh, non, pas ça ! Pas le pilori !

Mais elle n’a pas eu la force de se défendre. Elles l’y ont emmenée, fixée, totalement immobilisée, chevilles solidement rivées au sol, jambes largement écartées, cou et poignets passés dans des anneaux reliés à une longue barre de fer.

Sur un signe d’Athina B.

‒ Amusez-vous, les filles !

Les détenues se sont ruées en masse vers l’estrade où Lahna H. était exposée, sans défense. Leurs regards se sont emparés d’elle, l’ont avidement détaillée, fouillée. Se sont éternisés. Sur ses seins.

‒ Ils commencent à pendouiller, n’empêche !

Sur sa chatte ouverte au large.

‒ Tu n’as pas honte ? Un peu de décence quand même !

Elles ont cherché ses yeux. Qu’elle leur a d’abord obstinément refusés. Elle fixait quelque chose très loin au-dessus d’elles. Qu’elles ont fini par trouver dans un grand éclat de rire satisfait. Des mains se sont aventurées. Se sont posées ici. Se sont posées là. Ont esquissé des caresses.

Une fille, à côté de moi, a murmuré.

‒ J’aime trop ça, la voir réduite à l’impuissance comme ça…

Et elle a glissé ses doigts sous son uniforme de prisonnière. Elle s’y est pétri les seins en se mordant les lèvres. Une autre l’a imitée. D’autres encore. Ça a moutonné dans des pantalons. Il y en a qui se sont ouverts. D’autres qui sont descendus. À mi-cuisses ou sur les chevilles. Il y a eu des gémissements. Des râles.

‒ Oh, c’est trop bon ! C’est trop bon !

Athina B. M’a posé une main sur l’épaule.

‒ Vas-y ! Qu’est-ce t’attends ? T’en crèves d’envie.

Oh, que oui j’en crevais d’envie ! Oui.

Et je me suis abandonnée. Offerte à moi-même. J’ai perdu pied. Plus rien d’autre ne comptait que cette Lahna H. offerte nue, les fesses striées, le visage bouffi de larmes. Plus rien d’autre ne comptait que ces filles tout autour qui se donnaient du plaisir sans la moindre retenue. Qui le criaient. Qui le clamaient. Plus rien d’autre ne comptait que ce feu entre mes cuisses qu’il me fallait impérativement éteindre.

La première chose que j’ai vue, quand je suis enfin revenue à moi, dépoitraillée, le pantalon sur les cuisses, la culotte toute tire-bouchonnée à l’intérieur, c’est le docteur Pierre B. qui était là tout près et qui me regardait, le pouce dressé vers le ciel, avec un sourire égrillard.

Je suis devenue écarlate. Me rajuster. Vite. Vite. Mais mes seins, il a quand même eu le temps.

‒ C’est bien comme ça que je les imaginais… Mais avec les aréoles un peu plus larges quand même.

Je les ai dérobés à sa vue.

En bas, ça a été plus compliqué. Plus long. À cause de ma culotte qui s’était mise en vrille. Et plus je voulais me dépêcher et plus…

‒ Tu veux que je t’aide ?

Il n’a pas attendu la réponse. D’un geste sûr, précis, il s’en est emparé. Il me l’a remontée, déroulée, fait claquer sur les hanches.

Tétanisée, paralysée, incapable de la moindre réaction, je l’ai laissé faire sans élever la moindre protestation. Et je l’ai aussi laissé me remettre mon pantalon en place, le boutonner, en remonter la fermeture Éclair.

‒ Là !

‒ Merci.

Je me suis mordu les lèvres. Quelle idiote, mais quelle idiote !

Il a souri.

‒ De rien.

Il m’a lancé une petite claque sur les fesses, m’a fait un petit clin d’œil et il est allé aider à détacher Lahna H. Qu’on a emmenée.

Athina B. s’est retournée vers moi.

‒ Viens avec nous, Olga !

On est passés entre deux rangées de détenues qui ne lui ont pas épargné les commentaires.

‒ T’as été très bien, Lahna, ma chérie. Ah, si, si ! On a beaucoup aimé. Vraiment.

‒ Faudra remettre ça ! Bientôt. Très bientôt. On compte sur toi. Nous déçois pas, hein !

Leurs rires nous ont suivis tout au long du couloir.

À l’infirmerie, le docteur Pierre B a fait étendre Lahna H. sur la table d’examen. À plat ventre. Il lui a examiné les fesses, les a malaxées. Elle a gémi.

‒ Aïe! Aïe !

Il a haussé les épaules.

‒ Il y a rien du tout. Arrête tes simagrées.

Et il a lancé un regard noir à sœur Marie-Zénaïde.

‒ Vous baissez, ma sœur ! Vous baissez. Vous n’êtes plus ce que vous étiez… »



Et Iourievna ? On la connait

Je veux ! Elena nous l'a longuement présentée mais si vous êtes passés à côté,  voici le premier épisode de la série : le chapitre 1

Il y a un début à cette série

Le chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 36
Mais si vous voulez lire ce récit d'un autre point de vue : les rebelles chapitre 37

Et la suite ?

François nous la prépare pour la semaine prochaine

N'hésitez pas pour les commentaires

Tout le monde les attend : que pensez-vous de cette série croisant l'imaginaire d'Elena et celui de François ?

6 commentaires:

  1. Amis de la poésie et de la punition à l'ombre des jeunes filles en fleurs...
    Bonjour François,
    Dans cet épisode, on repart en prison, où manifestement les prisonnières sont dressées pour les faire rentrer dans le rang. Et pour ça, tout est bon ! Le docteur profite de sa position de mâle dominant pour donner aux prisonnières un peu de réconfort, mais lorsque les filles fautent, c'est la fessée assurée, nue et en public, pour que ça marque les chairs et les esprits.
    Durant la fessée, les filles, n'en pouvant plus se laisse aller à mouiller comme de jeunes vierges au premier rendez vous...
    Et ce cher Docteur qui après avoir eu ce qu'il voulait, fait fesser plus intensivement celle qui venait de lui donner de la douceur.
    Pour les codétenues, l'humiliation de la punie fait partie de la punition !
    Très bon texte.
    Amitiés.
    Elena.

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    1. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
      C'est agréable, la prison. Oui, enfin tout est relatif. Tellement agréable que j'ai bien l'intention d'y faire séjourner un bon petit moment Olga. Elle s'y plaît, il y a pas à dire. Parce qu'il faut reconnaître qu'il s'y passe beaucoup de choses. Que l'ambiance y est complètement différente de celle de Sainte-Croix et que la présence du docteur Pierre B. agit comme un stimulant. Toutes ces demoiselles, toutes ces dames, qu'elles l'avouent ou non, auraient bien envie de profiter de ses ardeurs, mais surtout ce que chacune souhaite, tout au fond d'elle-même, c'est d'être la seule à en profiter.
      Amicalement.
      François

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  2. Amis de la poésie et de la fessée à l'ombre des jeunes filles en pleurs... Bonjour les dégâts !

    Allo Olga! Bonjour François, qui ne recule devant aucun(feu d') artifice pour agrémenter les séjours en prison de quelques petites gâteries qui donnent envie d'y rester. Enfin, tout dépend du niveau auquel se situe l'envie, au dessus ou en dessous de la ceinture.
    Pour le Docteur j'Abuse...(de la situation) , tout se déroule en dessous de l'élastique des petites culottes des prisonnières, ou à portée de main des protubérances pulmonaires. Dites 33, Fessées et galipettes, cul par dessus tête!

    Un brin cynique le toubib, obsédé textuel, un peu vicelard, sadique sur les bordures ? Que nenni non point! Croyez vous que l'on soit jaloux, pas du tout... Pas du tout! Doc B...comme "bistrouquette", a un truc tabou, un joujou extra, qui fait crac boum huuuue !!... les filles en tombent à ses genoux... juste à la bonne hauteur. Comment ça qu'est que je dis? Vous avez l'esprit vraiment mal placé...
    Le bon Docteur. B. c'est de l'humanisme en barre ( d'accord un peu raide comme formule !), de la pure assistance hormonale en milieu pénitentiaire pour angoissées de la foufounette. Carrément du service public. A preuve les fessées en public! Comme à Ste Croix mais en milieu fermé, plus intime, encore que...

    Stimulant, stimulant, est ce que Doc.B. a une gueule de stimulant? La gueule on ne sait pas, mais entre le nombril et les genoux c'est certain! La preuve, ces dames et demoiselles y font la queue... Quoi? encore du mauvais esprit! Complotistes!
    Ah, ma pov'dame, la prison n'est plus ce qu'elle était, elles ont même la télévision et maintenant des cours d'éducation sesssuelle, couvert par le secret médical!!
    Amicalement
    Ramina

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    Réponses
    1. Bonjour, Ramina. Et bonjour à tous.
      Il faut bien reconnaître que ce "bon" docteur, sur lequel vous mettez l'accent, occupe, dans cette prison, une position privilégiée. Seul mâle de l'établissement, il ne peut qu'être l'objet de tous les fantasmes des prisonnières. Et pas seulement de leurs fantasmes. Il donne de sa personne et, vu sa fonction, peut se permettre à peu près toutes les privautés qui lui passent par la tête. Sans doute est-il en outre le sujet de conversation principal des détenues qui sont en permanente rivalité par rapport à lui.
      Amicalement.
      François

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  3. Post Scriptum.
    Bravo Elena pour le concours de poésie!
    Ramina

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    Réponses
    1. Bonjour Ramina,
      Je tente d'arriver à votre cheville, mais je pense que ça va prendre du temps. J'ai encore du chemin à parcourir ...
      Amitiés.
      Elena.

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