jeudi 14 janvier 2021

Le journal d'Olga - chapitre 37 - acte 2

 Zhu W.L. ne devait être fouettée qu’en toute fin d’après-midi.

« Mais tu peux attendre ici, hein, si tu veux… Et en profiter pour observer comment, au quotidien, ça fonctionne une prison. D’ailleurs, tiens, tu sais pas ? Je vais te faire faire la connaissance d’Amélie J. C’est une détenue modèle, Amélie. Et intarissable. Elle va te faire découvrir plein de choses.

Et Athina B. m’a entraînée, à travers tout un dédale de couloirs, jusqu’à une cellule dont elle a ouvert la porte à l’aide d’un impressionnant trousseau de clefs.

‒ Vas-y ! Entre !

‒ Là-dedans ?

‒ Ben oui, là-dedans. Elle va pas te manger. Et je viendrai te délivrer, n’aie pas peur !

La fille, une petite brunette un peu enveloppée, était allongée sur son lit, mains sous la tête.

‒ Salut ! Fais comme chez toi. Assieds-toi ! Là ! Sur l’autre lit, en face. Il y a personne. Pour le moment je suis toute seule.

Athina B. a refermé la porte, qu’elle a verrouillée. Ses pas se sont éloignés dans le couloir.

J’ai jeté un rapide coup d’œil autour de moi. Et frissonné.

La fille a ri.

‒ Oui, ça surprend, hein, au début ! Et puis surtout il y a l’idée qu’on est là. Mais on s’y fait. On se fait à tout n’importe comment. Bon, mais t’es qui, toi, au juste ? Tout le monde se le demande. Parce qu’une tête nouvelle, forcément, ça passe pas inaperçu ici. T’es pas une détenue, ça, c’est sûr. Alors, t’es qui ? Une amie de la gardienne ?

J’ai improvisé.

‒ Pas vraiment. Disons que je suis étudiante en sociologie et que je rédige un mémoire sur les châtiments corporels en prison. C’est pour ça que…

Elle a éclaté de rire.

‒ Ouais ! Un bon prétexte pour venir mater, quoi !

‒ Mais non, mais…

‒ Tu parles ! À d’autres ! Tu crois que j’ai pas vu comment tu te la branlais ta petite chatte pendant qu’on corrigeait Lahna tout à l’heure. Oh, mais il y a pas de honte, hein ! C’est tout le monde qui réagit comme ça. Absolument tout le monde. Sans exception. Moi comme les autres. J’adore. Tout. Aussi bien l’entendre brailler et la regarder gigoter sous les coups de fouet, la nana, que de voir les autres filles s’amuser comme des petites folles, pendant ce temps-là, avec ce que le Bon Dieu leur a casé entre les jambes. Et il y a des fois, tu sais plus où donner de la tête tellement t’as de trucs à reluquer en même temps. En tout cas, ce qu’il y a de sûr, c’est que moi, quand il y en a une qu’a été punie, j’en dors pas de trois nuits. Parce que j’arrête pas de me repasser encore et encore les images. En boucle. Qu’est-ce que c’est bon !

Elle s’est levée, est venue s’asseoir à mes côtés, épaule contre épaule.

‒ Je vais te dire un truc. Tu le répéteras pas. Et puis même que tu le répéterais, j’en ai rien à battre. Mais en fait j’aime ça, être en prison. T’es nourrie, logée. T’as à t’occuper de rien. T’as pas à chercher de boulot. Pas de paperasses à remplir. Pas de mecs qui te racontent tout un tas de salades pour pouvoir tirer leur coup. Et tu prends ton pied. Parce que t’as toujours, à un moment ou à un autre, une forte tête pour se faire remarquer. Et se prendre une volée.

‒ Ça t’est déjà arrivé à toi ?

‒ De… ? Me faire punir ? Oh, non, non ! Manquerait plus que ça. Je suis une fine mouche, moi. Je sais manœuvrer. Et me mettre qui il faut dans la poche. Non, le seul truc qui m’embête…

Elle a soupiré.

‒ C’est que je suis libérable. D’ici un mois. Même pas. Et ce sera fini tout ça. J’appréhende. Tu peux pas savoir comme j’appréhende. Oh, mais je vais revenir. Ça, ils peuvent y compter. Je vais revenir. Et sans tarder. Je sais comment m’y prendre, va !

‒ Comment ?

Elle n’a pas répondu. Elle a regardé l’heure.

‒ Bientôt midi. Tu mangeras avec moi, si tu veux. À ma table. Surtout qu’à ma table, il y a Zhu W.L. Celle qui va être punie tout à l’heure. Elle, je peux pas la voir. Je suis pas la seule. Les autres filles aussi, elle leur sort par les yeux. C’est une grande gueule, une folle furieuse qu’arrête pas de la ramener, qu’insulte tout le monde, même les gardiennes, mais qui, en même temps, est pudique d’une force que t’as du mal à croire qu’à ce point-là ça puisse exister. Qu’on la voie à poil, elle supporte pas. Alors nous, évidemment, tu penses bien que chaque fois qu’on a l’occasion, dans les douches surtout, on enfonce le clou. On appuie là où ça fait mal. Et je peux te dire que l’autre jour, quand on l’a clouée au pilori, ça a été un grand moment. Un très grand moment. On s’en est donné à cœur-joie. Mais c’est encore rien à côté de ce que ce sera tout à l’heure quand le fouet va lui mordre les fesses. Elle va passer un très mauvais quart d’heure. Et ça, on va faire ce qu’il faut pour. »

 

Il a d’abord fallu que je satisfasse la curiosité des cinq filles en compagnie desquelles je me suis retrouvée attablée avec mon plateau. Comment je m’appelais, qui j’étais et ce que je faisais là.

Et puis, apparemment satisfaites de mes réponses, elles ne se sont plus préoccupées que de Zhu W.L.

C’est une grande blonde anguleuse qui a ouvert les hostilités. Qui lui a lancé d’un ton rigolard.

« Soixante coups, Zhu ! Soixante coups ! Avec tout le fourbi à l’air. Et les jambes bien écartées. On va se régaler, là.

Elle a fait celle qui n’avait pas entendu.

Les autres se sont aussitôt engouffrées dans la brèche.

‒ Moi, là où j’hallucine, c’est ses nénés. J’en avais jamais vu d’aussi minuscules. J’imaginais même pas que ça pouvait exister.

‒ Ils sont bizarres en plus.

‒ Carrément moches, tu veux dire, oui. Je plains son mec.

Les yeux de Zhu W.L. se sont brusquement mis à lancer des éclairs.

‒ Oui, ben ça lui convient très bien à lui. Il se plaint pas. Et moi, au moins, j’en ai un de mec. Pas comme certaines ici.

Elles n’ont pas lâché prise.

‒ Dommage qu’il ait pas été là, l’autre jour, quand t’étais au pilori. Il t’aurait vue te pisser sous toi. Sûrement que ça l’aurait amusé.

‒ Cette flaque que t’as faite, n’empêche ! Non, mais cette flaque !

Elle leur a lancé un regard plein de haine.

‒ Vous n’êtes qu’un ramassis de sales petites connes.

Ce qui les a fait s’esclaffer.

‒ Mais oui, mais oui !

Elles ont imperturbablement poursuivi.

‒ À propos, tu nous as pas dit, il en pense quoi justement ton mec de ce que tu baises avec le toubib ? Ce qui t’avance pas à grand-chose d’ailleurs. Parce qu’il en profite, il se soulage, il te décharge dedans, mais il te fait pas de fleurs pour autant. La preuve : tu vas pas y couper au fouet.

Une petite frisée, assise juste en face d’elle, qui n’avait jusque-là rien dit, y est allée, elle aussi, de son commentaire.

‒ Et t’as beau te donner de grands airs, n’empêche que t’es rien d’autre qu’une petite mauviette qui va brailler comme un cochon qu’on égorge sous les coups et se tortiller dans tous les sens en suppliant qu’on arrête.

Zhu W.L. s’est levée d’un bond et lui a lancé son verre d’eau à la figure.

L’autre aussi s’est levée

‒ Non, mais ça va pas ! T’es pas bien ?

Et elles se sont agrippé les cheveux par-dessus la table.

Deux gardiennes se sont précipitées, ont solidement empoigné Zhu W.L.

‒ Aggrave bien ton cas, toi !

Elle s’est débattue.

‒ Lâchez-moi ! Mais lâchez-moi !

Tout en lançant de grands coups de pied au hasard. Elle a hurlé, mordu, griffé, mais, avec l’aide de deux autres gardiennes venues à la rescousse, elles sont finalement parvenues à l’entraîner dans le couloir.

Les filles étaient ravies.

‒ Elle va avoir droit à un rapport, ça, c’est sûr. Et vu ses antécédents…

‒ Ça va encore être rock’n’roll. »

Elles ont échangé de longs sourires complices.

 

On nous a ramenées toutes les deux en cellule, Émilie et moi.

Et elle avait un service à me demander.

« Si je peux…

‒ Ce serait que tu fasses passer une lettre à mon petit ami. Parce qu’elle le lit ton courrier ici, la directrice. Et du coup, tu peux pas te laisser aller à écrire tout ce que tu voudrais. Nos trucs de cul ça regarde que nous.

Ça, là-dessus, j’étais bien d’accord. Et que quelqu’un vienne mettre le nez dans ce qu’on s’écrivait, Théo et moi, comment j’aurais pas apprécié !

Sa lettre était prête. Elle l’a sortie de sous son matelas, me l’a tendue.

‒ Tu me la prends alors ?

‒ Je te la prends

‒ Merci. T’es un amour. Mais t’y fais gaffe, hein !

‒ Promis.

Et je l’ai enfouie dans la poche intérieure de ma veste, celle qui ferme.

‒ Tu dois me trouver bizarre…

‒ Non. Pourquoi ?

‒ Ben, parce que… j’ai un mec dehors et j’ai qu’une envie, c’est de rester en taule. Ça paraît compliqué comme ça, mais en fait c’est très simple. Je vais t’expliquer…

Elle n’en a pas eu le temps parce qu’Athina B. est venue me chercher, m’a entraînée encore une fois dans un dédale de couloirs jusqu’à l’infirmerie.

Zhu W.L. y était allongée toute nue sur la table d’examen. Et elle hurlait tout ce qu’elle savait.

‒ Non, vous me sauterez pas, non ! Non, vous me sauterez pas.

Ce qui exaspérait à l’évidence le docteur Pierre B.

‒ Mais pourquoi ? Les autres fois…

‒ Pour ce que ça m’a servi ! Soi-disant que vous deviez me l’éviter, le fouet, si j’étais gentille avec vous. J’ai été bien conne de vous croire, oui !

‒ Ah, tu le prends comme ça. Très bien !

Il a procédé à l’examen réglementaire de routine, le visage dur, fermé, sous le regard attentif de sœur Marie-Zénaïde qui venait tout juste d’entrer.

‒ Bonne pour le service. Et d’ailleurs je vous conseille, ma sœur, pour cette petite récalcitrante, le long fouet de correction, celui qui donne de l’amplitude aux coups.

‒ Comme vous voudrez, docteur !

Zhu W.L. a explosé.

‒ J’en ai rien à foutre de votre fouet machin-chose. Si vous croyez que ça me fait peur…

Le docteur Pierre B. a eu un petit rire sarcastique.

‒ On verra.

‒ C’est tout vu.

Et elle a tendu d’elle-même, fièrement, ses poignets aux gardiennes pour qu’elles les lui menottent. S’est laissé docilement emmener dans la cour où, à son arrivée, des « Aaaaaah » ravis ont retenti, suivis d’une longue salve d’applaudissements.

‒ Allez, Zhu, on compte sur toi, hein !

‒ Ah, oui, hein ! On en veut pour notre argent.

Les gardiennes l’ont fait monter sur l’estrade de punition, l’ont attachée, sous les rires, aux poteaux, bras écartés, jambes largement ouvertes. Elle n’a pas opposé la moindre résistance.

Quand sœur Marie-Zénaïde s’est approchée d’elle, tout s’est tu. Plus un bruit.

‒ Repens-toi, ma fille ! Avoue tes fautes !

‒ Oh, lâchez-moi avec toutes vos sornettes, bondieuseries et compagnie. Si vous saviez où je me les carre !

‒ Très bien ! Tu l’auras voulu.

Et sœur Marie-Zénaïde a fait siffler son long fouet en l’air avant de l’abattre, à plusieurs reprises, sur les fesses de Zhu W.L. qui s’est crispée, qui a gémi en arrière-fond, mais qui n’a pas crié.

Émilie J. A fait son apparition, comme par enchantement, à mes côtés.

‒ Alors ? Tu aimes ?

Évidemment que j’aimais ! Évidemment ! Elle avait de ces questions…

‒ Tu me dirais le contraire…

Elle a glissé une main sous sa tunique de prisonnière, est allée s’y titiller un sein.

‒ Et ça fait que commencer…

Sur l’estrade, Sœur Marie-Zénaïde avait manifestement entrepris de faire plier Zhu W.L. De la faire crier. Hurler. De la contraindre à demander grâce. Sans succès. Elle avait beau taper systématiquement au même endroit en choisissant les plus sensibles, entreprendre de lui cingler le dos, redescendre sur les fesses, il n’y avait rien à faire. Elle résistait, stoïque.

Le docteur Pierre B. a réclamé une pause qu’il a mise à profit pour aller l’examiner et la féliciter pour son courage.

‒ Tu me surprends ! Tu me surprends vraiment. De ta part je ne m’attendais pas à un comportement aussi exemplaire. Mais… c’est pas fini.

Elle l’a toisé du regard.

Et il a donné son feu vert.

‒ Vous pouvez reprendre, ma sœur…

La directrice est intervenue.

‒ Oui. Et n’hésitez pas à la faire crier. Que les autres détenues en prennent de la graine.

Sœur Marie-Zénaïde a fait signe aux gardiennes de la retourner.

‒ Côté face.

Émilie J. a frémi.

‒ Oh, alors là ! Alors là !

Et elle a enfoui son autre main dans son pantalon où elle s’est frénétiquement démenée.

Le fouet a claqué et laissé sur le ventre de Zhu W.L. de longues zébrures écarlates. Elle s’est cabrée, elle a désespérément tiré sur ses liens, doucement grondé. En sourdine.

Moi aussi envie. Le bout des seins tout durs. Et trempée en bas. Toute trempée. Moi aussi, à la conquête de mon plaisir. Avec les autres filles autour qui haletaient. Qui gémissaient. Mes doigts sur moi. Mes doigts en moi. Bon. Si bon.

Émilie a murmuré.

‒ La chatte, putain ! Mais qu’elle lui vise la chatte !

Ce qu’elle a fini par faire. Zhu W.L. a hurlé. Un long hurlement déchirant. Désespéré.

‒ C’est ça, gueule ! Gueule ! J’adore.

À pleins poumons. Un cri interminable. Lancinant. Qui a arraché à Sœur Marie-Zénaïde un large sourire de satisfaction et à Émilie J. un orgasme ravageur qu’elle a proclamé à longues trilles éperdues.

Encore une dizaine de coups. Sur les seins, cette fois. Zhu W.L. a éclaté en sanglots.

Une fille s’est penchée à mon oreille.

‒ Comment t’y vas, toi, petite cochonne ! Faut pas t’en promettre, dis donc !

Et ça m’a brusquement traversée. Un plaisir intense. Ravageur. Que j’ai proclamé sans la moindre retenue.

Émilie m’a pris la main, l’a portée à ses narines.

‒ Elle sent bon, ta mouille.

On s’est souri.

Les gardiennes ont détaché Zhu W.L. l’ont portée, en nage et en larmes, jusqu’au pilori auquel elles l’ont fixée sous les yeux attentifs de la directrice qui est montée lui soulever le menton du bout du doigt.

‒ Demande pardon !

‒ Pardon !

‒ Pardon, qui ?

‒ Pardon, Madame la directrice.

‒ Tu seras sage à l’avenir ? Bien docile ? Bien obéissante ?

‒ Oui, Madame…

Les yeux baissés. Vaincue. Soumise.

La directrice lui a tendu le dos de sa main. Que Zhu W.L. a respectueusement baisée.

‒ C’est bien. Tu vois que tu peux être une bonne fille quand tu veux.

Elle s’est tournée vers les autres détenues.

‒ Que ça vous serve de leçon ! Parce que nous avons les moyens de vous mater. Toutes. Même les plus récalcitrantes. Alors à bon entendeur…

Et elle s’est éloignée.

Toutes les filles se sont aussitôt précipitées au pied de l’estrade. Le plus près possible. Serrées les unes contre les autres.

‒ Alors, Zhu, on fait moins la fière, hein !

‒ Tu sais que ça te va drôlement bien toutes ces jolies zébrures.

‒ T’as vu, on te reluque. T’as horreur de ça, mais on te reluque…

Il y en a une qui a constaté.

‒ Oh, les filles, ça y est ! Elle pisse ! Elle pisse ! Quelle grande dégueulasse ! »

Et tout le monde l’a huée.



Et Iourievna ? On la connait

Je veux ! Elena nous l'a longuement présentée mais si vous êtes passés à côté,  voici le premier épisode de la série : le chapitre 1

Il y a un début à cette série

Le chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 37 - acte 1
Mais si vous voulez lire ce récit d'un autre point de vue : les rebelles chapitre 37

Et la suite ?

François nous la prépare pour la semaine prochaine

N'hésitez pas pour les commentaires

Tout le monde les attend : que pensez-vous de cette série croisant l'imaginaire d'Elena et celui de François ?

2 commentaires:

  1. Bonjour François,
    Intéressant cette immersion dans un lieu où, en temps normal, on fait tout pour l'éviter, à part une qui voudrait faire du rab, car logée, nourrie, blanchie, la place est bonne !
    Ce brave Docteur a une place de choix dans l'établissement pénitentiaire. Le coq de la basse cour. Il aurait tort de s'en priver...
    Pour Zhu, c'est un autre histoire. Avec ce qu'elle doit endurer en public. On aimerait se trouver à la place des spectatrices et pourvoir se soulager en voyant la prisonnière se démener en prenant des poses bien impudiques !
    Dans cet établissement, il ne fait pas bon être prise en défaut, on le regrette tout de suite.
    Amitiés.
    Elena.

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  2. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
    Oui. C'est un univers, la prison, qu'on aurait envie d'explorer plus à fond. On aimerait faire la connaissance d'autres prisonnières, étudier quels lien se tissent entre elles dans cet univers clos. Jalousies, rancœurs, conflits, amitiés. Et puis, surtout, rivalités autour de la "possession" de ce "bon" docteur qui peut puiser tout à loisir dans ce réservoir de femmes qui n'ont pas la moindre envie de se montrer farouches. Mais bon, encore un ou deux épisodes et puis il faudra bien se résoudre à les abandonner à leur sort. Quitte à venir les retrouver par la suite.
    Amicalement.
    François

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