mercredi 13 janvier 2021

Chroniques de confinement - chapitre 32

 Vendredi 20 mars 2020 – 9 heures 20

Un silence absolu régnait dans la classe pendant que Damien se dandinait vers le coin. Celui qu’il avait occupé une bonne partie de la matinée de la veille étant déjà occupé, la maîtresse lui désignait, du doigt, celui qui était à la gauche du tableau.

« Je te conseille de savoir par cœur ta poésie quand je te réinterrogerai. Sinon, la règle est prête à servir ! »

Elle balaya du regard les élèves de la classe, cherchant dans leurs yeux une lueur de défi ou de scepticisme. Apparemment, ils avaient tous compris le message. Il faudrait encore vérifier ce qu’il en serait réellement quand chacun d’eux se trouvera face à la perspective imminente d’une fessée déculottée devant toute la classe, mais c’était en bonne voie. Son autorité s’installait. Encore quelques temps et il ne serait plus question de la discuter, ne serait-ce qu’à penser à le faire.

« Je vais vérifier les carnets de correspondance. Comme je vous vois tous à bayer aux corneilles, c’est que vous avez fini. J’espère que le travail que je vous ai donné est terminé et qu’il a été fait avec soin ! »

Elle se dirigea vers la table où elle avait installé Alexandre et Fabienne. Cette dernière avait à peu près le même âge que Damien et elle avait ouvert de grands yeux affolés quand elle avait assisté à la fessée de Damien. Si la quarantaine passée de Damien ne l’empêchait pas de recevoir une fessée, elle en déduisit, fort justement, qu’il en serait de même pour elle.

 

Elle n’avait pas dit un mot depuis que sa mère qui l’avait amenée à l’école, lui avait lâché la main pour qu’elle s’alignât à côté de ses camarades afin d’entrer dans la classe. C’était son indolence qui avait décidé sa mère à l’inscrire dans cette classe. Déjà, l’été dernier, alors qu’elle avait passé une semaine de vacances chez sa génitrice, cette dernière lui avait fait remarquer qu’elle se comportait comme si elle était à l’hôtel. Elle ne faisait rien de sa journée et certainement pas de donner un coup de main aux tâches quotidiennes.

« Heureusement que tu n’as passé ici que quelques jours, avait déclaré sa mère à la fin de son séjour. Sinon, tu peux être sûre que cela n’aurait pas continué comme cela ! »

Fabienne n’avait pas répondu. Cela lui aurait demandé trop d’énergie. Elle n’en voyait pas l’intérêt. Elle avait relégué loin dans un coin de son cerveau cette petite phrase de sa mère quand elle décida de revenir dans la maison maternelle pour passer le confinement. Cette fois-ci, sa mère n’avait patienter que trois jours avant de revenir sur le sujet.

Fabienne avait été harcelée pendant les deux jours suivants. Sa mère exigeait qu’elle prît sa part des travaux domestiques. Fabienne jouait l’inertie, au grand agacement de sa mère. Elle faisait bien deux ou trois choses quand elle ne pouvait l’éviter, mais cela n’allait jamais bien loin.

La veille au soir, sa mère lui avait annoncé qu’elle renonçait à se battre en permanence et que plutôt que de rester à ne rien faire à la maison, elle allait retourner à l’école, dans celle qui venait d’ouvrir chez Madame le Maire et qui était destinée aux adultes.

« Ainsi tu profiteras de ton séjour pour te remettre à niveau dans tout un tas de matières dont tu as oublié les fondamentaux ou que tu avais refusé de travailler quand tu étais plus petite. »

Fabienne n’avait pas réagi.

« L’école ? Bof, avait-elle pensé. Je ne crois pas qu’on réussira à m’enseigner ce que je n’ai pas appris quand j’étais plus jeune. De toute façon, je n’ai pas l’intention de faire le moindre effort. Ils finiront bien par me laisser tranquille ! »

C’était donc sans résister que, le matin même, elle avait enfilé les vêtements que sa mère avait préparés, bien qu’elle les ait trouvés très vieillots et largement infantilisants. C’était une tenue qui s’apparentait à un uniforme scolaire tel qu’en portaient les enfants dans certaines écoles privées ou dans beaucoup de pays étrangers. Qu’en arrivant elle ait constaté que la plupart de ceux avec qui elle passerait la matinée étaient affublé de accoutrements de même nature, ne l’avait pas consolé.

« Bah, avait-elle pensé, je m’y ferai bien le temps qu’ils s’en lassent ! »

Hélas, le côté rétro de cette école ne se limitait pas à l’habillement qu’on y portait. Elle venait de le découvrir et elle n’était plus très certaine de la pertinence de son plan initial.

 

« Montre-moi ce que tu as fait, Alexandre ! »

Il retourna son carnet sur sa table pour le mettre face à la maîtresse. Celle-ci feuilleta le document. Elle alla jusqu’au bout, puis elle revint à la première page. Le cœur d’Alexandre fit un bond dans sa poitrine.

« Y a-t-il quelque chose qui ne va pas, s’inquiéta-t-il ? »

La maîtresse lui rendit son travail.

« C’est pas mal ! Il y a encore quelques progrès à faire en écriture, mais nous verrons cela tout à l’heure. »

Alexandre rosit de plaisir et de fierté. La maîtresse était contente de son travail. Il en était soulagé. Il se dit un cours instant qu’éprouver de la satisfaction à cette pensée était invraisemblable, mais cette idée s’envola aussi vite qu’elle était apparue.

« A toi, Fabienne ! »

Le cœur de Fabienne se mit à battre.

« Dis-moi, fabienne, qu’est-ce que c’est que cette écriture de cochon ? »

La maîtresse tourna encore quelques pages.

« Mais tu n’as pas fini ! Comment se fait-il que tu rêvais le nez au vent alors que ton travail n’était pas achevé ? »

La maîtresse n’attendit pas la réponse. Elle prit fabienne par le haut du bras et elle la mit debout.

« Non, jamais ! Pas ça, se dit Fabienne. »

Mais elle ne l’exprima pas tout haut et elle ne tenta pas de s’opposer à la maîtresse quand celle-ci passa son bras autour de sa taille et qu’elle la ploya sous son coude. La jupe relevée laissa voir une toute petite culotte très échancrée et ajourée par de la dentelle.

« Depuis quand une petite fille porte-t-elle ce genre de culotte pour venir en classe ? »

Une magistrale claque sur le fond de la culotte arracha un premier cri à Fabienne.

« J’en parlerai ce midi à ta Maman ! »

Cette promesse fut accompagnée d’un deuxième soufflet sur l’autre fesse, auquel Fabienne répondit comme au premier. Cette dernière ne savait plus quelle attitude adopter. C’était avec une telle assurance que la maîtresse l’avait mise en position et qu’elle avait dévoilée sa culotte, que Fabienne ne savait plus si elle devait se révolter contre ce traitement ou s’il était normal d’être punie de la sorte.

Noémie avait tenté de s’opposer à la punition que la maîtresse avait décidé de lui donner et elle était en pénitence. Tout le monde avait compris qu’il y aurait une suite et qu’elle serait magistrale. Fabienne n’avait pas envie d’être la prochaine avec laquelle la maîtresse serait obligée de faire la démonstration que la contestation de son autorité ne menait nulle part. Noémie, dans son coin, la culotte baissée et les fesses encore rouges, en se tenant immobile malgré la dizaine de paires d’yeux qui contemplait ses fesses nues, en était l’exemple criant.

D’un autre côté, la soumission évidente de Damien ne lui avait pas évité une sévère punition. Bien sûr, ne pas savoir ses leçons était un motif apparemment suffisant pour justifier une correction, tout du moins dans cette classe.

« Tout comme n’avoir pas fait son travail, comme moi, se dit Fabienne ! »

La maîtresse n’avait annoncé une deuxième fessée à Damien que s’il ne connaissait pas sa poésie quand elle le réinterrogerait. Cela faisait une sérieuse différence entre une autre fessée inéluctable pour Noémie et une conditionnelle pour Damien. Il ne tenait qu’à lui de faire ce qu’il fallait pour l’éviter.

Fabienne n’avait pas encore tranché entre les deux façons de se comporter quand elle sentit que la maîtresse baissait sa culotte. La main de la maîtresse claqua sur ses fesses nues.

« Aïe ! Pardon, Aïe ! Je vais finir, je vais finir !

– Aucun doute là-dessus, répondit la maîtresse, mais ce sera avec les fesses toutes rouges et après la fin de cette fessée. »

La maîtresse avait décidé pour elle. La troisième claque sembla, à Fabienne, bien plus forte que les deux premières. Elle eut un mouvement instinctif du bassin, mais qui ne gêna en rien l’administration de la quatrième. La main de la maîtresse crépita alors sur les fesse de Fabienne avec un tempo qui s’accéléra. Les gesticulations de cette dernière s’amplifièrent, les pieds entrèrent dans le jeu, mais le bras de la maîtresse en limitait l’ampleur.

 

Tous les élèves regardaient, certains avec les yeux écarquillés c’étaient les nouveaux. Ils assistaient à leur troisième fessée en moins d’une demi-heure. Bien que plusieurs d’entre eux fussent également corrigés à la maison quand ils le méritaient, ils ne s’attendaient pas un tel déluge de châtiment. Ils n’avaient cependant aucun sentiment d’injustice. La maîtresse avait eu à chaque fois une raison évidente de sévir. Mais peu d’entre eux avaient déjà été fessés en public et cela changeait tout… pour eux, pas pour la maîtresse, semblait-il.

Pour Aurélie et Philippe, il n’y avait nulle surprise. Ils connaissaient la sévérité de Mademoiselle Annette et ils avaient pu constater, le jour précédent, qu’elle ne l’exerçait pas seulement dans son rôle de baby-sitter, mais également en tant que maîtresse d’école.

Derrière eux, les jumelles se regardaient. Elles commencèrent à communiquer par signes, mais cela se révéla rapidement insuffisant. La conversation n’avançait pas.

« Je comprends maintenant pourquoi Maman nous a envoyé là, dit l’une d’elle en chuchotant.

– Oui, il va falloir être discrètes quand on voudra faire enrager la maîtresse ou les autres, répondit l’autre tout aussi bas. »

Le bruit de la fessée s’arrêta.

« Silence dans la classe ! Je ne veux entendre personne ! »

Elle regardait les jumelles.

« J’espère que c’est compris, Mesdemoiselles ?

–Oui, Madame !

– Dans cette classe, on dit Maîtresse !

– Oui Maîtresse !

– Je finis avec Fabienne et je m’occupe de vous deux ! »

Il ne pouvait y avoir qu’un sens à l’expression de la maîtresse. Les jumelles se rappelaient encore vivement la fessée que leur mère leur avait administrée la veille au soir après une énième bêtise commise dans la journée. Cela n’avait rien eu d’une partie de plaisir ! A voir les réactions de leurs camarades, celles de la maîtresse n’avaient rien à envier aux corrections que donnait leur mère.

 

Quand la maîtresse en eut fini avec Fabienne, cette dernière avait les fesses rouges et elle sanglotait sans retenue.

« Tu finis le travail que je t’ai donné, puis tu viendras me donner ton carnet que je note dessus la fessée que je viens de te donner. »

Le contact de ses fesses avec le banc n’avait rien d’agréable. Heureusement, avant de la renvoyer à sa place, la maîtresse avait remonté la culotte. Fabienne trouva une nouvelle ardeur pour achever son travail. Il n’y avait plus aucune indolence dans son attitude. La maîtresse la regarda se mettre au travail sans tergiverser.

« Une bonne fessée et cela change le comportement du tout au tout. Je pense que je ne suis pas prête à revoir un travail inachevé de la part de Fabienne ! »

Intérieurement, la maîtresse se félicitait des résultats qu’elle obtenait.

« Il me reste à m’occuper de mes petites bavardes ! »

Les yeux de presque tous les élèves étaient braqués sur elle. Il y avait, bien sûr, les deux qui étaient au coin qui ne pouvait contempler que l’angle que faisait les murs devant leurs yeux. Pas question de regarder ce qui se passait dans leur dos. Au troisième rang, Louis avait d’autres préoccupations. Il était penché sur son carnet et il y écrivait avec application. Intérieurement, la maîtresse sourit.

« Tiens, il semble que la fessée que j’ai donnée à Fabienne ait fait impression sur ce garçon. Il a de la chance que je n’ai pas commencé par l’autre bout de la classe. Je vais être particulièrement exigeante quand je vais inspecter son travail. »

Elle reporta alors son attention sur les jumelles.

« Venez ici toutes les deux ! »

Elle n’eut pas besoin d’en dire plus. Les deux jeunes filles interpellées se levèrent. A regret, mais elles se levèrent. Elles avaient à peine plus de cinq pas à faire pour se présenter devant la maîtresse. Elles avançaient, mais aussi doucement que possible, chacun espérant que ce fût l’autre qui arrivât la première à destination. Mais le chemin à parcourir était décidément trop court. Elles virent se placer au pied de l’estrade, devant la maîtresse. C’est tenu par l’oreille qu’elles y montèrent.

« Alors comme ça, on se permet de bavarder en classe ? »

C’était une question de pure forme. Les faits étaient établis. Les deux jeunes filles avaient été prises sur le fait, il n’y avait pas moyen de prétendre le contraire. Elles ne s’y essayèrent pas. La maîtresse les laissa là, plantées debout au milieu de l’estrade, le temps d’aller chercher sa chaise.

« Poussez-vous un peu que je puisse installer comme il faut ce qu’il faut pour vous donner la fessée que vous avez méritée. »

Le mot était lâché. Si les jumelles avaient gardé un faible espoir d’échapper à une correction, celui-ci venait de s’envoler. La maîtresse prit place sur la chaise. Elle plaça les deux filles debout devant elle, dos tourné à la classe.

« Savez-vous ce qui arrivent aux demoiselles qui osent bavarder dans ma classe ? »

Les deux filles se regardèrent. Oui, elle se doutaient de ce qui leur arrivait, la maîtresse venait de le leur annoncer. Le savoir, c’était une chose, mais prononcer le mot en était une autre. Elles se contentèrent de hocher la tête.

« Tiens, fit la maîtresse, vous n’avez plus envie de parler ? Eh bien, je vais vous donner la réponse : elles reçoivent une belle fessée. Généralement, par la suite, elles ont bien moins envie de bavarder, mais si une seule fessée ne suffit, pas, il n’y aura pas de souci pour en avoir une deuxième ! »

La maîtresse fit, des yeux, le tour de la classe.

« Que les garçons se rassurent, ils auront le droit au même traitement que les filles. Ici, pas de discrimination. Ce sera une bonne fessée déculottée pour tous les bavards, garçons comme filles ! »

Elle revint aux deux jeunes filles qui patientaient devant elle.

« Alors, nous avons dit une fessée déculottée, n’est-ce pas ? »

La maîtresse, de ses deux mains, souleva l’arrière de la blouse et de la jupe de la première des deux. Elle dévoila une petite culotte rose dans l’élastique de laquelle elle passa ses deux pouces. En relaissant tomber les vêtements qu’elle avait soulevés, elle entraîna le culotte qu’elle ramena à hauteur des genoux.

Les autres élèves n’avaient pas vraiment eu le temps d’apercevoir les fesses nues, mais la position de la culotte indiquait, sans aucun doute possible, qu’elles l’étaient. Pour la jeune fille qui venait de se faire déculotter, la différence était bien mince. La maîtresse renouvela l’opération avec le deuxième.

« Que dirais-tu si je commence par toi ? »

Elle amena l’une des jumelles sur le côté de sa chaise.

« Quant à toi, tu vas mettre ton nez contre le tableau, les mains sur la tête. Tu vas devoir patienter un peu ! »

Elle attendit que sa consigne soit exécutée à la perfection.

« A nous deux, dit-elle en se retournant vers la première ! »



Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !

Ah, là, là, là, là, là, là ! Bon,  voici début : le chapitre 1
Et le précédent : le chapitre 31


Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?

Eh ben... tu verras bien la semaine prochaine !

Allez, un commentaire !

Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.

5 commentaires:

  1. Amis de la poésie et de la maitresse en maillot de bain... Bonjour!
    Bonjour Josip.

    "Vive les vacances... plus de pénitences... etc" , comme je l'évoquais, dans un précédent commentaire.
    "Les cahiers au feu, la maîtresse dans le milieu..." Mon oeil! En l'occurrence la Maîtresse est bien dans le milieu, mais de l'estrade, et distribue les fessées beaucoup plus que les bons points, et sans compter, même pas sur ses doigts. Par contre sur les fesses on peut compter sur elle.
    Cent fois sur les fessiers remettez votre ouvrage... La maîtresse fait aussi ses devoirs de correction. Quand on écrit comme un cochon, la correction c'est pas en rouge, en haut de la feuille, mais de la même couleur sur les fesses des mauvais élèves! . La méthode a du bon, Damien ,Fabienne, Alexandre, progressent en même temps que la rougeur de leur derrière ...
    A quarante ans et plus , si affinités avec le retour sur les bancs de l'école, on l'a plus endurant pour supporter la cuisson des fessées déculottées de l'intransigeante institutrice.
    Une main de fer, sans gant de velours. ! Les jumelles ne vont pas tarder a en faire l'expérience sur leurs rondeurs du même nom...

    Ah les bonnes vielles méthodes à l'ancienne, réactualisées, malgré le mauvais goût du jour à légiférer sur leur interdiction. Sûr que les lobbies des fabricants de sièges sont derrière tout ça. C'est vrai qu'un postérieur claqué est un derrière traumatisé à vie par l'apparition d'une chaise...( rigolade!)
    Amicalement
    Ramina

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  2. Bonjour JLG,
    C'est fini Dommage ....!!!
    Au plaisir de vous lire

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  3. Bonsoir JLG, j'espère bien que nous allons revoir Mlle Annette et sa classe de confinés, quelle excellente idée ce pourrait être....

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  4. Bonjour JLG, je suis vraiment déçue que les Chroniques de Confinement de reprennent pas. Ces jeunes et moins jeunes qui retournaient à l'école sous l'autorité de Mlle Annette, de Madame Marianne, Bernadette.... Une suite est -elle prévue ?

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    Réponses
    1. Bonjour,
      Vous savez, tenir à jour un blog, avec un article quotidien afin d'en maintenir le niveau de lecture, n'est pas chose aisée. Cela demande du temps, de la régularité et de la constance, ce que j'ai fait pendant plus de 4 ans.
      Il faut, en même temps, s'occuper des auteurs qui publient sur le site et écrire soi-même. Cela demande d'y consacrer un temps important, ce qui ne se fait pas sans faire des choix, donc abandonner d'autres activités potentielles.
      Peut-être suis-je arrivé à un moment où le blog n'est plus dans mes priorités numéro 1 ? Il y a eu des changements dans ma vie et une certaine désaffection des lecteurs et des auteurs qui ne m'incitent guère à passer autant de temps ni à la tenue du blog, ni à l'écriture.
      Il n'y a pas d'autres épisodes des "chroniques de confinement" d'écrits et il n'y en a pas de prévu pour le moment, pas plus d'ailleurs que pour d'autres récits dont je suis l'auteur.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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