Vendredi 20 mars 2020 – 9 heures 20
Un
silence absolu régnait dans la classe pendant que Damien se dandinait vers le
coin. Celui qu’il avait occupé une bonne partie de la matinée de la veille
étant déjà occupé, la maîtresse lui désignait, du doigt, celui qui était à la
gauche du tableau.
« Je te conseille de savoir par cœur ta poésie quand je te réinterrogerai. Sinon, la règle est prête à servir ! »
Elle
balaya du regard les élèves de la classe, cherchant dans leurs yeux une lueur
de défi ou de scepticisme. Apparemment, ils avaient tous compris le message. Il
faudrait encore vérifier ce qu’il en serait réellement quand chacun d’eux se
trouvera face à la perspective imminente d’une fessée déculottée devant toute
la classe, mais c’était en bonne voie. Son autorité s’installait. Encore
quelques temps et il ne serait plus question de la discuter, ne serait-ce qu’à
penser à le faire.
« Je
vais vérifier les carnets de correspondance. Comme je vous vois tous à bayer
aux corneilles, c’est que vous avez fini. J’espère que le travail que je vous
ai donné est terminé et qu’il a été fait avec soin ! »
Elle
se dirigea vers la table où elle avait installé Alexandre et Fabienne. Cette
dernière avait à peu près le même âge que Damien et elle avait ouvert de grands
yeux affolés quand elle avait assisté à la fessée de Damien. Si la quarantaine
passée de Damien ne l’empêchait pas de recevoir une fessée, elle en déduisit,
fort justement, qu’il en serait de même pour elle.
Elle
n’avait pas dit un mot depuis que sa mère qui l’avait amenée à l’école, lui
avait lâché la main pour qu’elle s’alignât à côté de ses camarades afin
d’entrer dans la classe. C’était son indolence qui avait décidé sa mère à
l’inscrire dans cette classe. Déjà, l’été dernier, alors qu’elle avait passé
une semaine de vacances chez sa génitrice, cette dernière lui avait fait
remarquer qu’elle se comportait comme si elle était à l’hôtel. Elle ne faisait
rien de sa journée et certainement pas de donner un coup de main aux tâches
quotidiennes.
« Heureusement
que tu n’as passé ici que quelques jours, avait déclaré sa mère à la fin de son
séjour. Sinon, tu peux être sûre que cela n’aurait pas continué comme cela ! »
Fabienne
n’avait pas répondu. Cela lui aurait demandé trop d’énergie. Elle n’en voyait
pas l’intérêt. Elle avait relégué loin dans un coin de son cerveau cette petite
phrase de sa mère quand elle décida de revenir dans la maison maternelle pour
passer le confinement. Cette fois-ci, sa mère n’avait patienter que trois jours
avant de revenir sur le sujet.
Fabienne
avait été harcelée pendant les deux jours suivants. Sa mère exigeait qu’elle
prît sa part des travaux domestiques. Fabienne jouait l’inertie, au grand
agacement de sa mère. Elle faisait bien deux ou trois choses quand elle ne
pouvait l’éviter, mais cela n’allait jamais bien loin.
La
veille au soir, sa mère lui avait annoncé qu’elle renonçait à se battre en
permanence et que plutôt que de rester à ne rien faire à la maison, elle allait
retourner à l’école, dans celle qui venait d’ouvrir chez Madame le Maire et qui
était destinée aux adultes.
« Ainsi
tu profiteras de ton séjour pour te remettre à niveau dans tout un tas de
matières dont tu as oublié les fondamentaux ou que tu avais refusé de
travailler quand tu étais plus petite. »
Fabienne
n’avait pas réagi.
« L’école ?
Bof, avait-elle pensé. Je ne crois pas qu’on réussira à m’enseigner ce que je
n’ai pas appris quand j’étais plus jeune. De toute façon, je n’ai pas
l’intention de faire le moindre effort. Ils finiront bien par me laisser
tranquille ! »
C’était
donc sans résister que, le matin même, elle avait enfilé les vêtements que sa
mère avait préparés, bien qu’elle les ait trouvés très vieillots et largement
infantilisants. C’était une tenue qui s’apparentait à un uniforme scolaire tel
qu’en portaient les enfants dans certaines écoles privées ou dans beaucoup de
pays étrangers. Qu’en arrivant elle ait constaté que la plupart de ceux avec
qui elle passerait la matinée étaient affublé de accoutrements de même nature,
ne l’avait pas consolé.
« Bah,
avait-elle pensé, je m’y ferai bien le temps qu’ils s’en lassent ! »
Hélas,
le côté rétro de cette école ne se limitait pas à l’habillement qu’on y
portait. Elle venait de le découvrir et elle n’était plus très certaine de la
pertinence de son plan initial.
« Montre-moi
ce que tu as fait, Alexandre ! »
Il
retourna son carnet sur sa table pour le mettre face à la maîtresse. Celle-ci
feuilleta le document. Elle alla jusqu’au bout, puis elle revint à la première
page. Le cœur d’Alexandre fit un bond dans sa poitrine.
« Y
a-t-il quelque chose qui ne va pas, s’inquiéta-t-il ? »
La
maîtresse lui rendit son travail.
« C’est
pas mal ! Il y a encore quelques progrès à faire en écriture, mais nous
verrons cela tout à l’heure. »
Alexandre
rosit de plaisir et de fierté. La maîtresse était contente de son travail. Il
en était soulagé. Il se dit un cours instant qu’éprouver de la satisfaction à
cette pensée était invraisemblable, mais cette idée s’envola aussi vite qu’elle
était apparue.
« A
toi, Fabienne ! »
Le
cœur de Fabienne se mit à battre.
« Dis-moi,
fabienne, qu’est-ce que c’est que cette écriture de cochon ? »
La
maîtresse tourna encore quelques pages.
« Mais
tu n’as pas fini ! Comment se fait-il que tu rêvais le nez au vent alors
que ton travail n’était pas achevé ? »
La
maîtresse n’attendit pas la réponse. Elle prit fabienne par le haut du bras et
elle la mit debout.
« Non,
jamais ! Pas ça, se dit Fabienne. »
Mais
elle ne l’exprima pas tout haut et elle ne tenta pas de s’opposer à la
maîtresse quand celle-ci passa son bras autour de sa taille et qu’elle la ploya
sous son coude. La jupe relevée laissa voir une toute petite culotte très
échancrée et ajourée par de la dentelle.
« Depuis
quand une petite fille porte-t-elle ce genre de culotte pour venir en
classe ? »
Une
magistrale claque sur le fond de la culotte arracha un premier cri à Fabienne.
« J’en
parlerai ce midi à ta Maman ! »
Cette
promesse fut accompagnée d’un deuxième soufflet sur l’autre fesse, auquel
Fabienne répondit comme au premier. Cette dernière ne savait plus quelle attitude
adopter. C’était avec une telle assurance que la maîtresse l’avait mise en
position et qu’elle avait dévoilée sa culotte, que Fabienne ne savait plus si
elle devait se révolter contre ce traitement ou s’il était normal d’être punie
de la sorte.
Noémie
avait tenté de s’opposer à la punition que la maîtresse avait décidé de lui
donner et elle était en pénitence. Tout le monde avait compris qu’il y aurait
une suite et qu’elle serait magistrale. Fabienne n’avait pas envie d’être la
prochaine avec laquelle la maîtresse serait obligée de faire la démonstration
que la contestation de son autorité ne menait nulle part. Noémie, dans son
coin, la culotte baissée et les fesses encore rouges, en se tenant immobile
malgré la dizaine de paires d’yeux qui contemplait ses fesses nues, en était
l’exemple criant.
D’un
autre côté, la soumission évidente de Damien ne lui avait pas évité une sévère
punition. Bien sûr, ne pas savoir ses leçons était un motif apparemment
suffisant pour justifier une correction, tout du moins dans cette classe.
« Tout
comme n’avoir pas fait son travail, comme moi, se dit Fabienne ! »
La
maîtresse n’avait annoncé une deuxième fessée à Damien que s’il ne connaissait
pas sa poésie quand elle le réinterrogerait. Cela faisait une sérieuse
différence entre une autre fessée inéluctable pour Noémie et une conditionnelle
pour Damien. Il ne tenait qu’à lui de faire ce qu’il fallait pour l’éviter.
Fabienne
n’avait pas encore tranché entre les deux façons de se comporter quand elle
sentit que la maîtresse baissait sa culotte. La main de la maîtresse claqua sur
ses fesses nues.
« Aïe !
Pardon, Aïe ! Je vais finir, je vais finir !
–
Aucun doute là-dessus, répondit la maîtresse, mais ce sera avec les fesses
toutes rouges et après la fin de cette fessée. »
La
maîtresse avait décidé pour elle. La troisième claque sembla, à Fabienne, bien
plus forte que les deux premières. Elle eut un mouvement instinctif du bassin,
mais qui ne gêna en rien l’administration de la quatrième. La main de la
maîtresse crépita alors sur les fesse de Fabienne avec un tempo qui s’accéléra.
Les gesticulations de cette dernière s’amplifièrent, les pieds entrèrent dans
le jeu, mais le bras de la maîtresse en limitait l’ampleur.
Tous
les élèves regardaient, certains avec les yeux écarquillés c’étaient les
nouveaux. Ils assistaient à leur troisième fessée en moins d’une demi-heure.
Bien que plusieurs d’entre eux fussent également corrigés à la maison quand ils
le méritaient, ils ne s’attendaient pas un tel déluge de châtiment. Ils
n’avaient cependant aucun sentiment d’injustice. La maîtresse avait eu à chaque
fois une raison évidente de sévir. Mais peu d’entre eux avaient déjà été fessés
en public et cela changeait tout… pour eux, pas pour la maîtresse, semblait-il.
Pour
Aurélie et Philippe, il n’y avait nulle surprise. Ils connaissaient la sévérité
de Mademoiselle Annette et ils avaient pu constater, le jour précédent, qu’elle
ne l’exerçait pas seulement dans son rôle de baby-sitter, mais également en tant
que maîtresse d’école.
Derrière
eux, les jumelles se regardaient. Elles commencèrent à communiquer par signes,
mais cela se révéla rapidement insuffisant. La conversation n’avançait pas.
« Je
comprends maintenant pourquoi Maman nous a envoyé là, dit l’une d’elle en
chuchotant.
–
Oui, il va falloir être discrètes quand on voudra faire enrager la maîtresse ou
les autres, répondit l’autre tout aussi bas. »
Le
bruit de la fessée s’arrêta.
« Silence
dans la classe ! Je ne veux entendre personne ! »
Elle
regardait les jumelles.
« J’espère
que c’est compris, Mesdemoiselles ?
–Oui,
Madame !
–
Dans cette classe, on dit Maîtresse !
–
Oui Maîtresse !
–
Je finis avec Fabienne et je m’occupe de vous deux ! »
Il
ne pouvait y avoir qu’un sens à l’expression de la maîtresse. Les jumelles se
rappelaient encore vivement la fessée que leur mère leur avait administrée la
veille au soir après une énième bêtise commise dans la journée. Cela n’avait
rien eu d’une partie de plaisir ! A voir les réactions de leurs camarades,
celles de la maîtresse n’avaient rien à envier aux corrections que donnait leur
mère.
Quand
la maîtresse en eut fini avec Fabienne, cette dernière avait les fesses rouges
et elle sanglotait sans retenue.
« Tu
finis le travail que je t’ai donné, puis tu viendras me donner ton carnet que
je note dessus la fessée que je viens de te donner. »
Le
contact de ses fesses avec le banc n’avait rien d’agréable. Heureusement, avant
de la renvoyer à sa place, la maîtresse avait remonté la culotte. Fabienne
trouva une nouvelle ardeur pour achever son travail. Il n’y avait plus aucune
indolence dans son attitude. La maîtresse la regarda se mettre au travail sans
tergiverser.
« Une
bonne fessée et cela change le comportement du tout au tout. Je pense que je ne
suis pas prête à revoir un travail inachevé de la part de
Fabienne ! »
Intérieurement,
la maîtresse se félicitait des résultats qu’elle obtenait.
« Il
me reste à m’occuper de mes petites bavardes ! »
Les
yeux de presque tous les élèves étaient braqués sur elle. Il y avait, bien sûr,
les deux qui étaient au coin qui ne pouvait contempler que l’angle que faisait
les murs devant leurs yeux. Pas question de regarder ce qui se passait dans
leur dos. Au troisième rang, Louis avait d’autres préoccupations. Il était
penché sur son carnet et il y écrivait avec application. Intérieurement, la
maîtresse sourit.
« Tiens,
il semble que la fessée que j’ai donnée à Fabienne ait fait impression sur ce
garçon. Il a de la chance que je n’ai pas commencé par l’autre bout de la
classe. Je vais être particulièrement exigeante quand je vais inspecter son
travail. »
Elle
reporta alors son attention sur les jumelles.
« Venez
ici toutes les deux ! »
Elle
n’eut pas besoin d’en dire plus. Les deux jeunes filles interpellées se levèrent.
A regret, mais elles se levèrent. Elles avaient à peine plus de cinq pas à
faire pour se présenter devant la maîtresse. Elles avançaient, mais aussi
doucement que possible, chacun espérant que ce fût l’autre qui arrivât la
première à destination. Mais le chemin à parcourir était décidément trop court.
Elles virent se placer au pied de l’estrade, devant la maîtresse. C’est tenu
par l’oreille qu’elles y montèrent.
« Alors
comme ça, on se permet de bavarder en classe ? »
C’était
une question de pure forme. Les faits étaient établis. Les deux jeunes filles
avaient été prises sur le fait, il n’y avait pas moyen de prétendre le
contraire. Elles ne s’y essayèrent pas. La maîtresse les laissa là, plantées
debout au milieu de l’estrade, le temps d’aller chercher sa chaise.
« Poussez-vous
un peu que je puisse installer comme il faut ce qu’il faut pour vous donner la
fessée que vous avez méritée. »
Le
mot était lâché. Si les jumelles avaient gardé un faible espoir d’échapper à
une correction, celui-ci venait de s’envoler. La maîtresse prit place sur la
chaise. Elle plaça les deux filles debout devant elle, dos tourné à la classe.
« Savez-vous
ce qui arrivent aux demoiselles qui osent bavarder dans ma classe ? »
Les
deux filles se regardèrent. Oui, elle se doutaient de ce qui leur arrivait, la
maîtresse venait de le leur annoncer. Le savoir, c’était une chose, mais prononcer
le mot en était une autre. Elles se contentèrent de hocher la tête.
« Tiens,
fit la maîtresse, vous n’avez plus envie de parler ? Eh bien, je vais vous
donner la réponse : elles reçoivent une belle fessée. Généralement, par la
suite, elles ont bien moins envie de bavarder, mais si une seule fessée ne
suffit, pas, il n’y aura pas de souci pour en avoir une deuxième ! »
La
maîtresse fit, des yeux, le tour de la classe.
« Que
les garçons se rassurent, ils auront le droit au même traitement que les
filles. Ici, pas de discrimination. Ce sera une bonne fessée déculottée pour
tous les bavards, garçons comme filles ! »
Elle
revint aux deux jeunes filles qui patientaient devant elle.
« Alors,
nous avons dit une fessée déculottée, n’est-ce pas ? »
La
maîtresse, de ses deux mains, souleva l’arrière de la blouse et de la jupe de
la première des deux. Elle dévoila une petite culotte rose dans l’élastique de
laquelle elle passa ses deux pouces. En relaissant tomber les vêtements qu’elle
avait soulevés, elle entraîna le culotte qu’elle ramena à hauteur des genoux.
Les
autres élèves n’avaient pas vraiment eu le temps d’apercevoir les fesses nues,
mais la position de la culotte indiquait, sans aucun doute possible, qu’elles
l’étaient. Pour la jeune fille qui venait de se faire déculotter, la différence
était bien mince. La maîtresse renouvela l’opération avec le deuxième.
« Que
dirais-tu si je commence par toi ? »
Elle
amena l’une des jumelles sur le côté de sa chaise.
« Quant
à toi, tu vas mettre ton nez contre le tableau, les mains sur la tête. Tu vas
devoir patienter un peu ! »
Elle
attendit que sa consigne soit exécutée à la perfection.
« A
nous deux, dit-elle en se retournant vers la première ! »
Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !
Et le précédent : le chapitre 31
Amis de la poésie et de la maitresse en maillot de bain... Bonjour!
RépondreSupprimerBonjour Josip.
"Vive les vacances... plus de pénitences... etc" , comme je l'évoquais, dans un précédent commentaire.
"Les cahiers au feu, la maîtresse dans le milieu..." Mon oeil! En l'occurrence la Maîtresse est bien dans le milieu, mais de l'estrade, et distribue les fessées beaucoup plus que les bons points, et sans compter, même pas sur ses doigts. Par contre sur les fesses on peut compter sur elle.
Cent fois sur les fessiers remettez votre ouvrage... La maîtresse fait aussi ses devoirs de correction. Quand on écrit comme un cochon, la correction c'est pas en rouge, en haut de la feuille, mais de la même couleur sur les fesses des mauvais élèves! . La méthode a du bon, Damien ,Fabienne, Alexandre, progressent en même temps que la rougeur de leur derrière ...
A quarante ans et plus , si affinités avec le retour sur les bancs de l'école, on l'a plus endurant pour supporter la cuisson des fessées déculottées de l'intransigeante institutrice.
Une main de fer, sans gant de velours. ! Les jumelles ne vont pas tarder a en faire l'expérience sur leurs rondeurs du même nom...
Ah les bonnes vielles méthodes à l'ancienne, réactualisées, malgré le mauvais goût du jour à légiférer sur leur interdiction. Sûr que les lobbies des fabricants de sièges sont derrière tout ça. C'est vrai qu'un postérieur claqué est un derrière traumatisé à vie par l'apparition d'une chaise...( rigolade!)
Amicalement
Ramina
Bonjour JLG,
RépondreSupprimerC'est fini Dommage ....!!!
Au plaisir de vous lire
Bonsoir JLG, j'espère bien que nous allons revoir Mlle Annette et sa classe de confinés, quelle excellente idée ce pourrait être....
RépondreSupprimerBonjour JLG, je suis vraiment déçue que les Chroniques de Confinement de reprennent pas. Ces jeunes et moins jeunes qui retournaient à l'école sous l'autorité de Mlle Annette, de Madame Marianne, Bernadette.... Une suite est -elle prévue ?
RépondreSupprimerBonjour,
SupprimerVous savez, tenir à jour un blog, avec un article quotidien afin d'en maintenir le niveau de lecture, n'est pas chose aisée. Cela demande du temps, de la régularité et de la constance, ce que j'ai fait pendant plus de 4 ans.
Il faut, en même temps, s'occuper des auteurs qui publient sur le site et écrire soi-même. Cela demande d'y consacrer un temps important, ce qui ne se fait pas sans faire des choix, donc abandonner d'autres activités potentielles.
Peut-être suis-je arrivé à un moment où le blog n'est plus dans mes priorités numéro 1 ? Il y a eu des changements dans ma vie et une certaine désaffection des lecteurs et des auteurs qui ne m'incitent guère à passer autant de temps ni à la tenue du blog, ni à l'écriture.
Il n'y a pas d'autres épisodes des "chroniques de confinement" d'écrits et il n'y en a pas de prévu pour le moment, pas plus d'ailleurs que pour d'autres récits dont je suis l'auteur.
Au plaisir de vous lire,
JLG.