« Je
te dis qu’ils vont nous confiner, tous ! Avec interdiction de
sortir ! »
Aurélie,
ma compagne, insistait. Moi, je n’y croyais pas trop. Pourtant, dans la
journée, la rumeur a enflé. Tout le monde, voisins, amis et même la boulangère
semblait d’accord.
« C’est
sûr, ça va être annoncé la semaine prochaine ! »
Il
m’avait fallu me rendre à l’évidence. C’est le courriel que j’ai reçu de mon
employeur qui m’a définitivement convaincu. Notre directrice nous informait de
la mise en place d’un télétravail obligatoire, jusqu’à plus ample informé. Il
nous était interdit de nous rendre à notre bureau le lundi suivant et les
détails de la nouvelle organisation de travail seraient annoncés au cours d’une
réunion le lundi après-midi, réunion par visioconférence, bien évidemment.
Ma
première réaction fut de considérer que, pour moi, ça ne changeait pas
grand-chose. J’étais chargé de mettre à jour le site de l’entreprise et
d’assurer sa présence constante sur les réseaux sociaux. Tout cela pouvait se
faire de chez moi, depuis mon ordinateur de boulot, un portable que je
trimballais toujours avec moi.
Puis
du regard, je fis le tour du studio dans lequel Aurélie et moi nous habitions.
Du provisoire, avait-on dit quand nous y avions emménagé, il y avait maintenant
plus de six ans. Du provisoire, peut-être, mais du provisoire qui durait. Tout
était si cher à Paris que nous n’avions pas les moyens, malgré nos deux
salaires d’un niveau correct, de louer autre chose : trente-deux mètres
carrés. Pas plus ! Un lit, une cuisine des plus élémentaires, une table et
quatre chaises, c’est tout ce qui tenait dans l’unique pièce. A peine si nous
avions pu y caser une étagère. Une salle de bains qui servait aussi de toilette
et nous avions fait le tour de notre royaume.
« Combien
de temps ça va durer ? »
Personne,
évidemment, n’avait de réponse à cette question.
« Une
semaine ? Deux ?
–
Peut-être plus longtemps ! »
Cette
simple réponse d’Aurélie me cassa le moral. Plus de deux semaines coincés à
deux dans cette pièce ? Aurélie serait, elle aussi, en télétravail. Bosser
à deux sur notre table, enfermés dans nos trente mètres carrés pendant
plusieurs semaines ? Impossible ! De quoi tourner chèvre et nous
engueuler au bout de deux jours. Non, il fallait trouver une solution. C’est
moi qui eus la brillante idée.
« On
ne peut pas rester là !
–
Et on va où ?
–
Chez ta mère ! »
Ma
proposition ne souleva pas l’enthousiasme des foules. Aurélie fit même une
grimace.
« Chez
ma mère, répéta-t-elle d’un ton incrédule ? »
Ce
n’est pas que nous avions des relations de proximité avec la mère de ma
compagne, mais elle habitait un château. Un château ? Ce serait sans doute
un mot un peu exagéré pour qualifier la grande maison bourgeoise entourée d’un
vaste jardin. Divorcée de son mari que je n’avais jamais rencontré, elle y
habitait seule si on excepte le couple de voisins qui, habitait dans ce qui
avait dû être la maison du gardien, il y a fort longtemps. Monsieur Antoine et
Madame Bernadette, comme les appelait Aurélie, assuraient, pour l’un
l’entretien du parc et du potager qui nourrissait la maisonnée, et pour l’autre
la cuisine et tout ce dont il y avait besoin pour faire tourner une aussi
grande baraque.
« Il
y a bien de la place pour nous deux pour quelques semaines ! »
Pour
ce qui était de la place, il n’y avait pas de souci. Il devait bien y avoir six
ou sept chambres qui ne servaient à personne. Pas de souci non plus côté
tranquillité. La propriété de trouvait à La Tout Haute sur Horto, six cent quatre-vingts
habitants, une mairie, une boulangerie et un café restaurant superette. C’était
tout. La « grande ville » du coin, à une dizaine de kilomètres, c’était
La Villeneuve sur Horto, c’est dire. Un trou perdu au milieu de nulle part.
Deux
heures plus tard, nous étions en route. Je ne sentais pas qu’Aurélie avait
retrouvé sa sérénité. J’avais dû la convaincre que c’était la meilleure
solution et elle avait fini par passer le coup de fil à sa mère qui avait
accueilli cette demande avec une chaleur qui contrastait avec le peu d’entrain
de ma compagne.
« Mais
bien sûr, mes chéris, vous êtes les bienvenus. Tu sais quelles sont les règles
en vigueur dans ma maison et tous les enfants qui y séjournent y sont soumis.
Philippe devra les respecter comme toi. »
Philippe,
c’est moi. J’avais vu passer un furtif éclair d’inquiétude dans les yeux
d’Aurélie à la mention des règles à suivre, mais je ne trouvais pas déplacé que
venant habiter chez sa mère, nous acceptions quelques contraintes. J’imaginais
qu’il nous serait demandé de participer au train de la maison, de faire notre
part de son entretien, peut-être même d’y participer financièrement, bien que
ma belle-mère fût bien plus à l’aise financièrement que nous et c’était peu
dire. La propriété dans laquelle elle habitait en était une preuve évidente/
Je
n’y avais séjourné que brièvement. Deux repas dominicaux pour lesquels nous
avions fait, Aurélie et moi, l’aller-retour dans la journée. Malgré un cadre
enchanteur et reposant, Aurélie ne semblait pas désireuse d’y retourner plus
souvent. Je l’avais interrogée sur ce sujet, mais je n’avais obtenu qu’une fin
de non-recevoir. Je n’avais pas insisté.
Pas
plus que je n’avais abordé avec elle le changement de comportement qui avait
été le sien en présence de sa mère. J’avais eu l’impression qu’elle était
redevenue une petite fille cherchant à plaire à sa mère sur tous les plans.
Elle devançait les désirs de sa génitrice, soucieuse d’obtenir son approbation.
Ce n’était pas l’Aurélie dont j’avais l’habitude. Je n’y avais pas prêté une
plus grande attention. Les relations mère filles sont souvent complexes et il
devait y avoir des réminiscences de l’enfance qu’Aurélie me décrivait comme
ayant été heureuse.
Nous
étions arrivés en début de soirée. L’accueil avait été bref.
« Bernadette
a préparé une petite collation. Elle est dans le réfrigérateur. Je dois filer,
j’ai une réunion à la Mairie. »
Ma
belle-mère était Maire de son village.
« Je
rentrerai tard. Ne m’attendez pas. Votre lit est prêt dans la chambre bleue.
Vous devez être fatigués. »
Ce
n’était, en effet pas la porte à côté et il y avait eu quelques embouteillages
à la sortie de Paris.
« Dormez
bien et à demain ! »
Elle
était revenue sur ses pas pour préciser :
« Le
petit-déjeuner, c’est à sept heures trente. Demain matin. Soyez à
l’heure ! »
J’avais
dormi d’un sommeil profond et d’une seule traite. C’est Aurélie qui me réveilla
en me secouant fermement par l’épaule. J’émergeais difficilement de mon
sommeil.
« Philippe,
dépêche-toi ! On est en retard ! »
Je
regardais mon téléphone.
« Sept
heures vingt ! Tu es folle ! Je ne vais pas me lever
maintenant ! Surtout un dimanche ! »
Je
me tournais de l’autre côté, bien décidé à me rendormir pour deux bonnes heures
encore.
« Maman
a dit que le petit déjeuner, c’était à sept heures trente. Nous avons tout
juste le temps d’y aller !
–
Sept heures trente… un dimanche matin ? Bien trop tôt pour
moi ! »
Je
m’allongeais sur le ventre, mis l’oreiller sur ma tête et restais sourd aux
supplications et aux admonestations de ma compagne. De guerre lasse, elle finit
par me laisser et elle quitta la chambre sur un dernier :
« Je
t’aurais prévenu ! »
Le
silence était revenu. Je savourais ce moment de calme et je tombais dans un
demi-sommeil dans lequel je me laissais aller. Je me serai rendormi si la
couette qui me recouvrait n’avait pas été brusquement tirée vers le pied de mon
lit, me découvrant et m’exposant au froid relatif qui régnait dans la chambre.
« Mais
arrête tes conneries, merde ! Je t’ai dit que je ne me levais pas tout de
suite !
–
Tu rajoutes des gros-mots à ton retard ? Cela aussi, c’est une habitude
qui va devoir te passer ! Fais-moi confiance, cela ne durera
pas ! »
Ce
n’était pas la voix d’Aurélie. Je n’eus pas le temps de me retourner avant
d’être attrapé par le bras et tiré du lit par une main à la poigne certaine. Je
manquais de m’étaler sur le sol, au pied du lit, mais je fus rattrapé par la
main qui me tenait et qui me mit sur mes pieds. Je n’y restais pas longtemps.
Une impulsion sèche sur mon bras et je pivotais pour me retrouver face à ma
belle-mère qui avait pris place assise sur le lit. Elle me tira vers elle et
malgré une courte résistance, je perdis l’équilibre et je tombais à plat ventre
sur sa cuisse gauche.
Je
n’avais toujours pas compris ce qui m’arrivait, tant mon déplacement avait été
rapide et sans aucun moment pour me laisser retrouver mes esprits. Je sentis un
parfum inconnu quand mon nez se retrouva enfoui dans la robe de ma belle-mère,
là où elle recouvrait son flanc. Je sentis son bras me ceinturer le torse et se
refermer en un étau qui me laissait à peine la place à respirer.
Je
ne comprenais toujours pas ce se passait, mais je poussais sur mes bras d’un
côté et sur mes pieds de l’autre pour me défaire de cette étreinte bien
inhabituelle et de la proximité physique à laquelle cela m’amenait. C’était la
première fois que j’avais un contact, corps à corps avec ma belle-mère, qui
plus est sans que je l’ai choisi. Les deux épaisseurs de tissu qui nous
séparaient me semblaient inexistante et je rejetais le sentiment d’intimité que
cela provoquait.
Mes
pieds glissèrent sur le sol et un coude posé entre mes omoplates mirent fin à
ma tentative pour me libérer. Elle me plaqua contre son bassin et ses genoux se
refermèrent sur mes cuisses. J’étais immobilisé. J’eus une seconde de répit
durant laquelle j’éprouvais le sentiment d’être à la merci de ma belle-mère et
c’est à ce moment-là que je compris que c’étaient surtout mes fesses qui
étaient à portée de sa main.
Je
n’arrivais pas à y croire. Elle n’avait tout de même pas l’intention de… Elle
n’oserait pas ! Un doigt glissé sous l’élastique de mon pantalon de pyjama
mit fin à mes derniers espoirs. Je sentis le vêtement qui recouvrait mes fesses
glisser inexorablement le long de mes cuisses.
« C’est
la dernière fois, mon garçon, que tu arrives en retard au
petit-déjeuner ! »
La
brûlure qu’imprima la main qui avait claqué mes fesse, m’obligea à pousser un
cri sans retenue. Je n’eus pas le temps de me remettre que l’autre côté de mes
fesses subissait le même sort. Puis ce fut une avalanche de claques qui
s’abattit sur mon postérieur. Ma belle-mère me fessait alternativement d’un
côté, puis de l’autre.
« Quand
je dis sept heures et demie, c’est sept heures et demie. Tu vas apprendre à
être ponctuel et à obéir scrupuleusement quand je t’ordonne quelque
chose ! »
La
fessée reprit, inexorable, rajoutant à chaque fois à la cuisson qui embrasait
mes fesses. Cela ne pouvait pas faire aussi mal, je n’étais plus un enfant, je
pouvais endurer la douleur d’une fessée.
« Tu
peux compter sur moi pour t’administrer toutes les fessées dont tu vas avoir
besoin tant que tu séjourneras chez moi. Si tu n’es pas plus obéissant,
crois-moi, tu finiras les fesses toutes rouges très souvent. »
Ma
belle-mère avait fait une pause, le temps de me gronder. C’est à ce moment-là
que je visualisais le tableau qu’elle devait avoir sous les yeux : ma
culotte de pyjama baissée à mi-cuisses, mes fesses qui, si j’en jugeais par les
sensations que j’éprouvais, devaient avoir largement commencé à rougir.
« Au
moindre reproche que j’aurai à te faire, ce sera de nouveau la fessée
déculottée. Je n’hésiterai pas. Je me rends bien compte que tu as besoin d’une
main ferme pour te reprendre en mains ! »
La
fessée reprit. J’avais espéré qu’elle fût arrivée à sa fin, mais il n’en était
rien. Une claque plus forte ? La main appliquée sur un endroit encore
vierge de fessée ? Je tentais une ruade bien vite maîtrisée par ma
terrible fesseuse et je couvris mes fesses de ma main libre. La fessée
s’arrêta.
« Philippe,
tu m’enlèves cette main tout de suite. Quand je te donne une fessée, c’est que
tu en as besoin. Je ne veux pas que tu tentes d’y résister. Tu verras comme ce
seront des punitions salutaires. Elles te feront du bien. »
Il
y eut quatre ou cinq claques sur le haut de mes cuisses, ce qui relança mes
plaintes.
« Tu
vas ôter cette main de là immédiatement. Si c’est moi qui dois le faire, tu
auras une autre fessée après le petit-déjeuner. Ton ardoise va s’allonger, mon
garçon, mais sois bien persuadé que je t’en épargnerai aucune ! »
Je
me surpris à reconnaître la juste logique des propos de ma belle-mère. J’aurais
bien enlevé ma main qui protégeait une petite partie de mes fesses, mais la
fessée allait reprendre sur le champ et non plus tard dans la matinée comme
elle me le proposait. Je choisis l’instant présent.
Mon
poignet fut enfermé dans une main de fer et il fut remonté jusque dans le
milieu de mon dos.
« Bien,
c’est toi qui as choisi. Il y aura donc une troisième fessée ce
matin ! »
Je
ne cherchais plus à me défendre. Je n’en avais plus ni les moyens, ni
l’énergie. La main de ma belle-mère s’abattit sur mes fesses, d’un côté, puis
de l’autre. La cuisson était maintenant devenue une fournaise. Je n’en pouvais
plus.
Je
ne fis rien pour retenir le premier sanglot qui monta de ma gorge. Les autres
suivirent pour ne plus s’arrêter. j’inondais le drap du lit d’un torrent de larmes,
tandis que la fessée continuait. N’aurait-elle donc pas de fin ? J’étais
persuadé de ne plus pouvoir en supporter plus quand la punition prit fin.
« J’espère,
mon garçon, que tu as bien compris la leçon. Dire qu’il va falloir que je
recommence deux fois ce matin ! »
L’étreinte
qui me maintenait en place se desserra et ma belle-mère me remit sur mes pieds.
Ma culotte de pyjama tomba sur mes mollets. Mon sexe était à la hauteur de ses
yeux. Elle ne semblait pas en faire cas, alors qu’elle s’emparait du paquet de
mouchoirs en papier posé sur la table de nuit. Avoir son gendre devant elle, la
culotte baissée ne lui provoquait aucune réaction visible. Si m’administrer une
fessée était une situation normale, il en était sans doute de même pour la
tenue dans laquelle je me trouvais.
Pourtant,
je ressentais un malaise à me trouver debout devant elle, culotte baissée. La
pudeur naturelle d’un adulte le poussant à dissimuler ses fesses, reprenait le
dessus. Je me baissais avec la ferme intention de retrouver une tenue plus
décente.
« Non !
Tu laisses ce pyjama là où il est ! T’ai-je autorisé à le remonter ?
–
Non, Madame.
–
Alors il reste comme ça. Attention à la prochaine désobéissance ! »
Une
claque sur le haut de la cuisse vint souligner cette menace. Elle n’avait pas
besoin d’en dire plus. Une main derrière ma nuque, elle présenta le mouchoir
devant mon nez.
« Souffle ! »
Je
m’exécutais.
« Encore ! »
Puis
elle essuya les larmes qui roulaient encore sur mes joues. Enfin, elle remonta
mon pantalon.
« Il
est temps d’aller prendre le petit-déjeuner. Mets tes chaussons et en
route ! »
La
claque sur le fond de mon pyjama n’avait plus rien d’une fessée, mais ma peau était
toujours aussi sensible et puis, j'avais eu peur que la fessée ne reprît. Je ne pus retenir un petit cri. Ma belle-mère me prit
par la main et je la suivis sans aucune résistance.
Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?
Voyons, voyons eh ben ce sera le chapitre 2
Allez, un commentaire !
Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.
On comprend maintenant pourquoi aurélie était réticente à aller chez sa mère...
RépondreSupprimerBonjour, JLG(?)
RépondreSupprimerPendant le confinement les fessées continuent... Confessement pourrait on dire! Certes, il valait mieux ne pas attendre pour rester dans une actualité brûlante et en faire le cadre d'un cuisant récit.
On reconnaît le type de narration clair de l'auteur, simple, précis sans effet de style superflu. Mise en place progressive du récit, de la situation circonstanciée du couple qui amène à leur nouveau cadre de vie, et introduit la séquence de fessée.
Même manière de décrire avec précision et réalisme, les mouvements des corps, la mise sous tutelle du puni, ses mouvements de défense, et la maitrise gestuelle de belle maman pour l'immobiliser en bonne position. Puis, la description, tout aussi expressive, de la fessée.
Toujours très fantasmatique, les belle-mères qui fessent leur gendre. Transfert de l'autorité maternelle à la mère de l'épouse qui transgresse l'intimité du couple par le biais d'une humiliante punition.
Bien vu, plaisant à lire.
Amicalement
Ramina
Bonjour Caroline et Ramina,
RépondreSupprimerOui, je suis bien l'auteur de cette série qui débute. Le début du commentaire de Ramina montre qu'il pouvait y avoir un doute. Le voilà levé !
Merci pour vos éloges sur ce texte qui se raccroche à l'actualité, d'où l'importance de sa publication en ce moment.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
C'est vrai que la fessée du jeune couple par la belle maman est un grand classique, car je suppose qu'aurelie ne va pas tarder à montrer ses fesses. Vous collez à l'actualité mon cher c'est parfait. Mes félicitations.
RépondreSupprimerSylvie
Chère Sylvie,
SupprimerSerais-je aussi prévisible ? Eh oui, c'est un grand classique que l'actualité et la migration de certains parisiens due à l'épidémie et leur faisant retrouver le charme de nos régions, m'a donné l'occasion de le décliner une nouvelle fois. Parfois, se retrouver sous la coupe de belle-maman n'a pas que des avantages. Encore que... ça se discute.
Rendez-vous au prochain épisode !
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour à tous,
SupprimerJe vois qu'il n'y a pas que moi qui surfe sur l'actualité et j'en suis heureuse.
Amitiés.
Elena.
Elena,
SupprimerEh oui, je puise mon inspiration aux mêmes sources que vous. Heureusement qu'il y a de la place pour tout le monde :
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Nous sommes nombreux à surfer sur l'actualité, surtout quand le désir d'être fessé par une femme nous taraude.
RépondreSupprimerAh que n'ai je eu une telle belle maman.....