jeudi 11 juin 2020

Chroniques de confinement - chapitre 1

Au début, je me suis dit : je le publierai quand il y aura de la place. Et puis : c'est dommage, elle ne sera plus d'actualité. Alors j'y vais. A un horaire inhabituel. Huit articles par semaine, un de plus ! Tiendrons-nous sur la durée ?

« Je te dis qu’ils vont nous confiner, tous ! Avec interdiction de sortir ! »
Aurélie, ma compagne, insistait. Moi, je n’y croyais pas trop. Pourtant, dans la journée, la rumeur a enflé. Tout le monde, voisins, amis et même la boulangère semblait d’accord.
« C’est sûr, ça va être annoncé la semaine prochaine ! »
Il m’avait fallu me rendre à l’évidence. C’est le courriel que j’ai reçu de mon employeur qui m’a définitivement convaincu. Notre directrice nous informait de la mise en place d’un télétravail obligatoire, jusqu’à plus ample informé. Il nous était interdit de nous rendre à notre bureau le lundi suivant et les détails de la nouvelle organisation de travail seraient annoncés au cours d’une réunion le lundi après-midi, réunion par visioconférence, bien évidemment.
Ma première réaction fut de considérer que, pour moi, ça ne changeait pas grand-chose. J’étais chargé de mettre à jour le site de l’entreprise et d’assurer sa présence constante sur les réseaux sociaux. Tout cela pouvait se faire de chez moi, depuis mon ordinateur de boulot, un portable que je trimballais toujours avec moi.
Puis du regard, je fis le tour du studio dans lequel Aurélie et moi nous habitions. Du provisoire, avait-on dit quand nous y avions emménagé, il y avait maintenant plus de six ans. Du provisoire, peut-être, mais du provisoire qui durait. Tout était si cher à Paris que nous n’avions pas les moyens, malgré nos deux salaires d’un niveau correct, de louer autre chose : trente-deux mètres carrés. Pas plus ! Un lit, une cuisine des plus élémentaires, une table et quatre chaises, c’est tout ce qui tenait dans l’unique pièce. A peine si nous avions pu y caser une étagère. Une salle de bains qui servait aussi de toilette et nous avions fait le tour de notre royaume.
« Combien de temps ça va durer ? »
Personne, évidemment, n’avait de réponse à cette question.
« Une semaine ? Deux ?
– Peut-être plus longtemps ! »
Cette simple réponse d’Aurélie me cassa le moral. Plus de deux semaines coincés à deux dans cette pièce ? Aurélie serait, elle aussi, en télétravail. Bosser à deux sur notre table, enfermés dans nos trente mètres carrés pendant plusieurs semaines ? Impossible ! De quoi tourner chèvre et nous engueuler au bout de deux jours. Non, il fallait trouver une solution. C’est moi qui eus la brillante idée.
« On ne peut pas rester là !
– Et on va où ?
– Chez ta mère ! »

Ma proposition ne souleva pas l’enthousiasme des foules. Aurélie fit même une grimace.
« Chez ma mère, répéta-t-elle d’un ton incrédule ? »
Ce n’est pas que nous avions des relations de proximité avec la mère de ma compagne, mais elle habitait un château. Un château ? Ce serait sans doute un mot un peu exagéré pour qualifier la grande maison bourgeoise entourée d’un vaste jardin. Divorcée de son mari que je n’avais jamais rencontré, elle y habitait seule si on excepte le couple de voisins qui, habitait dans ce qui avait dû être la maison du gardien, il y a fort longtemps. Monsieur Antoine et Madame Bernadette, comme les appelait Aurélie, assuraient, pour l’un l’entretien du parc et du potager qui nourrissait la maisonnée, et pour l’autre la cuisine et tout ce dont il y avait besoin pour faire tourner une aussi grande baraque.
« Il y a bien de la place pour nous deux pour quelques semaines ! »
Pour ce qui était de la place, il n’y avait pas de souci. Il devait bien y avoir six ou sept chambres qui ne servaient à personne. Pas de souci non plus côté tranquillité. La propriété de trouvait à La Tout Haute sur Horto, six cent quatre-vingts habitants, une mairie, une boulangerie et un café restaurant superette. C’était tout. La « grande ville » du coin, à une dizaine de kilomètres, c’était La Villeneuve sur Horto, c’est dire. Un trou perdu au milieu de nulle part.

Deux heures plus tard, nous étions en route. Je ne sentais pas qu’Aurélie avait retrouvé sa sérénité. J’avais dû la convaincre que c’était la meilleure solution et elle avait fini par passer le coup de fil à sa mère qui avait accueilli cette demande avec une chaleur qui contrastait avec le peu d’entrain de ma compagne.
« Mais bien sûr, mes chéris, vous êtes les bienvenus. Tu sais quelles sont les règles en vigueur dans ma maison et tous les enfants qui y séjournent y sont soumis. Philippe devra les respecter comme toi. »
Philippe, c’est moi. J’avais vu passer un furtif éclair d’inquiétude dans les yeux d’Aurélie à la mention des règles à suivre, mais je ne trouvais pas déplacé que venant habiter chez sa mère, nous acceptions quelques contraintes. J’imaginais qu’il nous serait demandé de participer au train de la maison, de faire notre part de son entretien, peut-être même d’y participer financièrement, bien que ma belle-mère fût bien plus à l’aise financièrement que nous et c’était peu dire. La propriété dans laquelle elle habitait en était une preuve évidente/
Je n’y avais séjourné que brièvement. Deux repas dominicaux pour lesquels nous avions fait, Aurélie et moi, l’aller-retour dans la journée. Malgré un cadre enchanteur et reposant, Aurélie ne semblait pas désireuse d’y retourner plus souvent. Je l’avais interrogée sur ce sujet, mais je n’avais obtenu qu’une fin de non-recevoir. Je n’avais pas insisté.
Pas plus que je n’avais abordé avec elle le changement de comportement qui avait été le sien en présence de sa mère. J’avais eu l’impression qu’elle était redevenue une petite fille cherchant à plaire à sa mère sur tous les plans. Elle devançait les désirs de sa génitrice, soucieuse d’obtenir son approbation. Ce n’était pas l’Aurélie dont j’avais l’habitude. Je n’y avais pas prêté une plus grande attention. Les relations mère filles sont souvent complexes et il devait y avoir des réminiscences de l’enfance qu’Aurélie me décrivait comme ayant été heureuse.

Nous étions arrivés en début de soirée. L’accueil avait été bref.
« Bernadette a préparé une petite collation. Elle est dans le réfrigérateur. Je dois filer, j’ai une réunion à la Mairie. »
Ma belle-mère était Maire de son village.
« Je rentrerai tard. Ne m’attendez pas. Votre lit est prêt dans la chambre bleue. Vous devez être fatigués. »
Ce n’était, en effet pas la porte à côté et il y avait eu quelques embouteillages à la sortie de Paris.
« Dormez bien et à demain ! »
Elle était revenue sur ses pas pour préciser :
« Le petit-déjeuner, c’est à sept heures trente. Demain matin. Soyez à l’heure ! »

J’avais dormi d’un sommeil profond et d’une seule traite. C’est Aurélie qui me réveilla en me secouant fermement par l’épaule. J’émergeais difficilement de mon sommeil.
« Philippe, dépêche-toi ! On est en retard ! »
Je regardais mon téléphone.
« Sept heures vingt ! Tu es folle ! Je ne vais pas me lever maintenant ! Surtout un dimanche ! »
Je me tournais de l’autre côté, bien décidé à me rendormir pour deux bonnes heures encore.
« Maman a dit que le petit déjeuner, c’était à sept heures trente. Nous avons tout juste le temps d’y aller !
– Sept heures trente… un dimanche matin ? Bien trop tôt pour moi ! »
Je m’allongeais sur le ventre, mis l’oreiller sur ma tête et restais sourd aux supplications et aux admonestations de ma compagne. De guerre lasse, elle finit par me laisser et elle quitta la chambre sur un dernier :
« Je t’aurais prévenu ! »

Le silence était revenu. Je savourais ce moment de calme et je tombais dans un demi-sommeil dans lequel je me laissais aller. Je me serai rendormi si la couette qui me recouvrait n’avait pas été brusquement tirée vers le pied de mon lit, me découvrant et m’exposant au froid relatif qui régnait dans la chambre.
« Mais arrête tes conneries, merde ! Je t’ai dit que je ne me levais pas tout de suite !
– Tu rajoutes des gros-mots à ton retard ? Cela aussi, c’est une habitude qui va devoir te passer ! Fais-moi confiance, cela ne durera pas ! »
Ce n’était pas la voix d’Aurélie. Je n’eus pas le temps de me retourner avant d’être attrapé par le bras et tiré du lit par une main à la poigne certaine. Je manquais de m’étaler sur le sol, au pied du lit, mais je fus rattrapé par la main qui me tenait et qui me mit sur mes pieds. Je n’y restais pas longtemps. Une impulsion sèche sur mon bras et je pivotais pour me retrouver face à ma belle-mère qui avait pris place assise sur le lit. Elle me tira vers elle et malgré une courte résistance, je perdis l’équilibre et je tombais à plat ventre sur sa cuisse gauche.
Je n’avais toujours pas compris ce qui m’arrivait, tant mon déplacement avait été rapide et sans aucun moment pour me laisser retrouver mes esprits. Je sentis un parfum inconnu quand mon nez se retrouva enfoui dans la robe de ma belle-mère, là où elle recouvrait son flanc. Je sentis son bras me ceinturer le torse et se refermer en un étau qui me laissait à peine la place à respirer.
Je ne comprenais toujours pas ce se passait, mais je poussais sur mes bras d’un côté et sur mes pieds de l’autre pour me défaire de cette étreinte bien inhabituelle et de la proximité physique à laquelle cela m’amenait. C’était la première fois que j’avais un contact, corps à corps avec ma belle-mère, qui plus est sans que je l’ai choisi. Les deux épaisseurs de tissu qui nous séparaient me semblaient inexistante et je rejetais le sentiment d’intimité que cela provoquait.
Mes pieds glissèrent sur le sol et un coude posé entre mes omoplates mirent fin à ma tentative pour me libérer. Elle me plaqua contre son bassin et ses genoux se refermèrent sur mes cuisses. J’étais immobilisé. J’eus une seconde de répit durant laquelle j’éprouvais le sentiment d’être à la merci de ma belle-mère et c’est à ce moment-là que je compris que c’étaient surtout mes fesses qui étaient à portée de sa main.
Je n’arrivais pas à y croire. Elle n’avait tout de même pas l’intention de… Elle n’oserait pas ! Un doigt glissé sous l’élastique de mon pantalon de pyjama mit fin à mes derniers espoirs. Je sentis le vêtement qui recouvrait mes fesses glisser inexorablement le long de mes cuisses.
« C’est la dernière fois, mon garçon, que tu arrives en retard au petit-déjeuner ! »
La brûlure qu’imprima la main qui avait claqué mes fesse, m’obligea à pousser un cri sans retenue. Je n’eus pas le temps de me remettre que l’autre côté de mes fesses subissait le même sort. Puis ce fut une avalanche de claques qui s’abattit sur mon postérieur. Ma belle-mère me fessait alternativement d’un côté, puis de l’autre.
« Quand je dis sept heures et demie, c’est sept heures et demie. Tu vas apprendre à être ponctuel et à obéir scrupuleusement quand je t’ordonne quelque chose ! »
La fessée reprit, inexorable, rajoutant à chaque fois à la cuisson qui embrasait mes fesses. Cela ne pouvait pas faire aussi mal, je n’étais plus un enfant, je pouvais endurer la douleur d’une fessée.
« Tu peux compter sur moi pour t’administrer toutes les fessées dont tu vas avoir besoin tant que tu séjourneras chez moi. Si tu n’es pas plus obéissant, crois-moi, tu finiras les fesses toutes rouges très souvent. »
Ma belle-mère avait fait une pause, le temps de me gronder. C’est à ce moment-là que je visualisais le tableau qu’elle devait avoir sous les yeux : ma culotte de pyjama baissée à mi-cuisses, mes fesses qui, si j’en jugeais par les sensations que j’éprouvais, devaient avoir largement commencé à rougir.
« Au moindre reproche que j’aurai à te faire, ce sera de nouveau la fessée déculottée. Je n’hésiterai pas. Je me rends bien compte que tu as besoin d’une main ferme pour te reprendre en mains ! »
La fessée reprit. J’avais espéré qu’elle fût arrivée à sa fin, mais il n’en était rien. Une claque plus forte ? La main appliquée sur un endroit encore vierge de fessée ? Je tentais une ruade bien vite maîtrisée par ma terrible fesseuse et je couvris mes fesses de ma main libre. La fessée s’arrêta.
« Philippe, tu m’enlèves cette main tout de suite. Quand je te donne une fessée, c’est que tu en as besoin. Je ne veux pas que tu tentes d’y résister. Tu verras comme ce seront des punitions salutaires. Elles te feront du bien. »
Il y eut quatre ou cinq claques sur le haut de mes cuisses, ce qui relança mes plaintes.
« Tu vas ôter cette main de là immédiatement. Si c’est moi qui dois le faire, tu auras une autre fessée après le petit-déjeuner. Ton ardoise va s’allonger, mon garçon, mais sois bien persuadé que je t’en épargnerai aucune ! »
Je me surpris à reconnaître la juste logique des propos de ma belle-mère. J’aurais bien enlevé ma main qui protégeait une petite partie de mes fesses, mais la fessée allait reprendre sur le champ et non plus tard dans la matinée comme elle me le proposait. Je choisis l’instant présent.
Mon poignet fut enfermé dans une main de fer et il fut remonté jusque dans le milieu de mon dos.
« Bien, c’est toi qui as choisi. Il y aura donc une troisième fessée ce matin ! »
Je ne cherchais plus à me défendre. Je n’en avais plus ni les moyens, ni l’énergie. La main de ma belle-mère s’abattit sur mes fesses, d’un côté, puis de l’autre. La cuisson était maintenant devenue une fournaise. Je n’en pouvais plus.
Je ne fis rien pour retenir le premier sanglot qui monta de ma gorge. Les autres suivirent pour ne plus s’arrêter. j’inondais le drap du lit d’un torrent de larmes, tandis que la fessée continuait. N’aurait-elle donc pas de fin ? J’étais persuadé de ne plus pouvoir en supporter plus quand la punition prit fin.
« J’espère, mon garçon, que tu as bien compris la leçon. Dire qu’il va falloir que je recommence deux fois ce matin ! »
L’étreinte qui me maintenait en place se desserra et ma belle-mère me remit sur mes pieds. Ma culotte de pyjama tomba sur mes mollets. Mon sexe était à la hauteur de ses yeux. Elle ne semblait pas en faire cas, alors qu’elle s’emparait du paquet de mouchoirs en papier posé sur la table de nuit. Avoir son gendre devant elle, la culotte baissée ne lui provoquait aucune réaction visible. Si m’administrer une fessée était une situation normale, il en était sans doute de même pour la tenue dans laquelle je me trouvais.
Pourtant, je ressentais un malaise à me trouver debout devant elle, culotte baissée. La pudeur naturelle d’un adulte le poussant à dissimuler ses fesses, reprenait le dessus. Je me baissais avec la ferme intention de retrouver une tenue plus décente.
« Non ! Tu laisses ce pyjama là où il est ! T’ai-je autorisé à le remonter ?
– Non, Madame.
– Alors il reste comme ça. Attention à la prochaine désobéissance ! »
Une claque sur le haut de la cuisse vint souligner cette menace. Elle n’avait pas besoin d’en dire plus. Une main derrière ma nuque, elle présenta le mouchoir devant mon nez.
« Souffle ! »
Je m’exécutais.
« Encore ! »
Puis elle essuya les larmes qui roulaient encore sur mes joues. Enfin, elle remonta mon pantalon.
« Il est temps d’aller prendre le petit-déjeuner. Mets tes chaussons et en route ! »
La claque sur le fond de mon pyjama n’avait plus rien d’une fessée, mais ma peau était toujours aussi sensible et puis, j'avais eu peur que la fessée ne reprît. Je ne pus retenir un petit cri. Ma belle-mère me prit par la main et je la suivis sans aucune résistance.


Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?

Voyons, voyons eh ben ce sera le chapitre 2

Allez, un commentaire !

Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.

8 commentaires:

  1. On comprend maintenant pourquoi aurélie était réticente à aller chez sa mère...

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  2. Bonjour, JLG(?)

    Pendant le confinement les fessées continuent... Confessement pourrait on dire! Certes, il valait mieux ne pas attendre pour rester dans une actualité brûlante et en faire le cadre d'un cuisant récit.
    On reconnaît le type de narration clair de l'auteur, simple, précis sans effet de style superflu. Mise en place progressive du récit, de la situation circonstanciée du couple qui amène à leur nouveau cadre de vie, et introduit la séquence de fessée.
    Même manière de décrire avec précision et réalisme, les mouvements des corps, la mise sous tutelle du puni, ses mouvements de défense, et la maitrise gestuelle de belle maman pour l'immobiliser en bonne position. Puis, la description, tout aussi expressive, de la fessée.

    Toujours très fantasmatique, les belle-mères qui fessent leur gendre. Transfert de l'autorité maternelle à la mère de l'épouse qui transgresse l'intimité du couple par le biais d'une humiliante punition.
    Bien vu, plaisant à lire.
    Amicalement
    Ramina

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  3. Bonjour Caroline et Ramina,
    Oui, je suis bien l'auteur de cette série qui débute. Le début du commentaire de Ramina montre qu'il pouvait y avoir un doute. Le voilà levé !
    Merci pour vos éloges sur ce texte qui se raccroche à l'actualité, d'où l'importance de sa publication en ce moment.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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  4. C'est vrai que la fessée du jeune couple par la belle maman est un grand classique, car je suppose qu'aurelie ne va pas tarder à montrer ses fesses. Vous collez à l'actualité mon cher c'est parfait. Mes félicitations.
    Sylvie

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    1. Chère Sylvie,
      Serais-je aussi prévisible ? Eh oui, c'est un grand classique que l'actualité et la migration de certains parisiens due à l'épidémie et leur faisant retrouver le charme de nos régions, m'a donné l'occasion de le décliner une nouvelle fois. Parfois, se retrouver sous la coupe de belle-maman n'a pas que des avantages. Encore que... ça se discute.
      Rendez-vous au prochain épisode !
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Bonjour à tous,
      Je vois qu'il n'y a pas que moi qui surfe sur l'actualité et j'en suis heureuse.
      Amitiés.
      Elena.

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    3. Elena,
      Eh oui, je puise mon inspiration aux mêmes sources que vous. Heureusement qu'il y a de la place pour tout le monde :
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  5. Nous sommes nombreux à surfer sur l'actualité, surtout quand le désir d'être fessé par une femme nous taraude.
    Ah que n'ai je eu une telle belle maman.....

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