samedi 6 juin 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 16

Quand Sylvie arriva chez madame Costa à midi pour récupérer Caroline, Elodie était déjà là. Monique était sagement assise à sa table et elle écrivait consciencieusement, la seule particularité observable était sa culotte descendue aux genoux et sa jupe épinglée dans son dos ce qui fait qu'elle était assise cul nu directement sur la paille de la chaise, ce qui ne devait pas être très confortable. Quant à Caroline elle était au coin de la pièce, mains sur la tête, jupe également épinglée dans le dos et culotte à mi-cuisse, elle exposait une paire de fesses écarlates, signe d'une fessée retentissante.
Sylvie fronça les sourcils.
- à ce que je vois, cette demoiselle n'a pas suivi mes recommandations d'être sage. Vous avez dû sévir ?
Madame Costa acquiesça.
- oh, vous savez avec ces jeunes femmes, ce n'est pas d'emblée que l'on obtient l'obéissance, il faut souvent remettre la fessée sur le métier comme on dit. Regardez Monique est devenue une jeune fille parfaite depuis qu'Elodie et moi lui inculquons les principes d'une bonne éducation. Une de mes anciennes institutrice disait que les fesses entendaient beaucoup mieux que les oreilles. Monique n'a reçu aujourd'hui que la fessée matinale. Elodie vous n'aurez pas beaucoup de travail ce soir, juste une petite fessée.
Elodie souriait, satisfaite des compliments.
- rien n'est moins sûr, vous savez que madame à quand même besoin de plusieurs déculottages par jour, mais c'est vrai que ses fesses perdent de temps en temps leur belle couleur rouge.
Florence Costa tapa dans ses mains.
- bien mesdemoiselles, venez ici, Caroline tu gardes les mains sur la tête.
Les deux punies se présentèrent devant leur institutrice, exposant aux deux maîtresses leur fessier, rosissant pour Monique mais carrément écarlate pour Caroline. La sévère institutrice prit les deux carnets et nota scrupuleusement les fessées reçues, une seule pour Monique, mais trois pour Caroline, celle de l'arrivée, puis une autre car surprise en train de rêvasser au lieu de faire sa copie et enfin la dernière juste avant l'arrivée de Sylvie pour écriture bâclée. Elle tendit les carnets au deux dames, comme Caroline avait toujours les mains sur la tête, c'est Sylvie qui s'en saisit.
- c'est inadmissible, mademoiselle !!
Sa main claqua plusieurs fois rapidement le fessier déculotté.
- nous allons régler ce problème rapidement, ne vous inquiétez Florence. Tu peux te reculotter, mais je t'assure que ça ne va pas être pour longtemps.
Elodie de son côté avait elle-même remonté la petite culotte sur les fesses de Monique et remis la jupe en place, d'une petite tape sur les fesses à nouveau culottées elle lui donna le signal du départ.
Madame Costa s'adressa directement à Sylvie.
- je sais que je peux compter sur vous pour corriger cette donzelle, mais je pense que si sa mère s'en occupait ce serait mieux.
- ne vous inquiétez pas, c'est mon intention de la mettre au courant de la conduite de sa fille et des mesures à prendre.
En entendant ces mots le sang de Caroline se glaça dans ses veines, quand elle avait commencé ces conversations avec Sylvie sur le thème de la fessée, elle était bien loin de penser qu'elle en arriverait là. Elle était fesses nues devant deux dames, les mains sur la tête comme une mauvaise élève, elle avait reçu trois fessée dans la matinée et maintenant il était question de faire rentrer sa mère dans ce cercle infernal, inconsciemment elle sentait que pendant une longue période ses fesses allaient rester déculottées et certainement très rouges.
Sylvie la conduisit à sa voiture, Caroline assise à côté d'elle les fesses encore sensibles, n'en menait pas large, mais elle osa quand même une protestation.
- vous n'allez quand même pas raconter tout ça à ma mère, ni lui donner mon carnet de punition ?
- bien sûr que si !
- oh non, vous n'avez pas le droit.
- pardon, j'ai mal entendu ?
Ce rendant compte de sa bourde, Caroline essaya de s'excuser mais c'était trop tard. Sylvie s'engagea sur une petite route puis bifurqua sur un chemin qui longeait l'autoroute. Elle stoppa la voiture et fit sortir Caroline.
- alors comme ça, je n'ai pas le droit, et bien moi je vais te montrer comment je punis les petites coléreuses, une bonne fessée déculottée en public.
Elle s'assit sur un rocher et attira Caroline contre ses genoux, rapidement la jeune femme se retrouva dans la position classique pour une bonne fessée. Sylvie s'était placée de telle façon que le postérieur de Caroline soit bien visible par les automobilistes. Elle retroussa la jupe, la culotte blanche trop petite rentrait dans la raie fessière, découvrant déjà largement le fessier encore rouge. Caroline affolée par la situation se mit à crier.
- non, non, pardon, s'il vous plaît pas la fessée, pas ici, non pas la culotte, pardon...
Mais ses plaintes étaient sans effet et la culotte était descendue inexorablement jusqu'à mi-cuisse, découvrant la belle croupe de la jeune femme.
Les occupants des véhicules ne pouvaient pas s'arrêter mais ils avaient une vue parfaite sur les fesses déculottées. La fessée commença sous les pleurs et les battements de jambes de Caroline.
La correction fut de courte durée mais l'humiliation de ce châtiment enfantin reçu en public fut intense. Caroline les joues aussi rouges que ses fesses, les yeux rougis par les larmes put enfin se rasseoir à sa place.
- j'espère que tu as compris la leçon, c'est encore une chose que je vais raconter à ta mère.
Elles arrivèrent rapidement à destination, Sylvie se présenta à Julie la mère, celle-ci un peu surprise la fit entrer, Caroline n'en menait pas large, sa nouvelle maîtresse mit rapidement au courant Julie de la nouvelle situation de Caroline.
Julie restait silencieuse, ses yeux ronds marquaient sa surprise, surtout que Sylvie fit pivoter Caroline et lui retroussa la jupe. La croupe débordait largement de la culotte et on voyait distinctement les traces de la dernière fessée, elle saisit l'élastique de la culotte et la descendit sous les fesses.
- vous pouvez constater que cette demoiselle a reçu le prix de sa désobéissance, une bonne fessée déculottée...
Le sang de Julie ne fit qu'un tour, elle prit la main de sa fille et l'attira vers elle.
- ah, c'est donc ça, à mademoiselle s'intéresse à la fessée et en plus, mademoiselle désobéi, et bien moi je vais m'intéresser à tes fesses ma chérie.
Julie fit basculer sa fille en travers de ses cuisses, elle descendit plus complètement la culotte pour bien dégager les fesses et se mit en devoir de corriger cette croupe appétissante. Les fesses étaient encore bien colorées et sensibles, aussi Caroline se mit immédiatement à crier puis à pleurer pour implorer la clémence, mais tout à sa colère Julie n'en avait cure et elle administra ce jour-là à sa fille sa plus sévère correction. Les battements de jambes de la punie, ses fesses qui s'écartaient découvrant son intimité ne laissait pas de doute sur l'efficacité de la punition. Dès que la fessée fut terminée, Caroline fut conduite au coin.
Calmée par l'administration de cette magistrale correction, Julie se tourna vers Sylvie et lui proposa un café, pendant que les deux dames papotaient, Caroline exposait ses fesses écarlates, elle regrettait amèrement d'avoir commencé ces conversations avec Sylvie, maintenant elle était ramenée au rang de gamine que l'on peut trousser et déculotter à sa guise.
Sylvie présenta à Julie le carnet de punition et lui en expliqua le fonctionnement, une fessée notée sur le carnet valait une fessée à la maison. Julie le parcouru attentivement
- 3 fessées ma chérie, et bien tes fesses vont rester chaudes tout l'après-midi.
Sylvie lui fit remarquer que Caroline venait déjà d'en recevoir une et qu'il n'en restait plus que 2.
- pas du tout ma chère, la fessée que vient de recevoir Caroline c'était pour m'avoir menti en ne me disant pas pourquoi elle ne rentrait pas hier soir.
Puis jetant un regard coquin vers Sylvie, elle ajouta.
- d'ailleurs vous êtes complice, en toute justice, vous devriez également recevoir une fessée, quand pensez-vous ?
Sylvie rougit, elle était fesseuse mais depuis son séjour à l'institut, elle était également passée du côté des punies et son amie Isabelle ne se gênait plus pour la traiter comme une gamine, il lui arrivait assez régulièrement de se retrouver fesses à l'air allongée sur les genoux de sa correctrice, pleurant sous la cuisson d'une bonne fessée. Elle bredouilla comme une élève prise en faute. Julie en souriant tapota ses genoux.
- il est temps de payer votre faute ma chère.
C'était intéressant de voir comment un passage entre les mains redoutables de madame Rose pouvait modifier le caractère, si on avait dit à Sylvie quelques semaines auparavant qu'elle accepterait sans beaucoup de résistance de recevoir à son âge ce châtiment enfantin, elle aurait ri. Pourtant sans protester elle se leva et se laissa basculer en position disciplinaire. Julie n'avait pas une grande expérience en matière de fessée, elle se contentait de corriger sa fille quand elle dépassait les bornes, une rapide déculottée et le problème était réglé. Mais depuis sa discussion avec Sylvie et la correction administrée à sa fille, elle se rendait compte qu'on pouvait prendre du plaisir à déculotter une dame et à lui rougir les fesses.
Elle positionna Sylvie de façon à ce que sa croupe fut bien à portée de sa main, puis elle retroussa la jupe et mit à jour une jolie culotte rose, bordée de dentelle au niveau des cuisses et qui moulait parfaitement ce fessier encore bien rond et musclé malgré la soixantaine passée de la dame.
Par jeu, elle décida de retarder le déculottage et elle commença la fessée sur la culotte. Ce n'était pas une fessée pour rire et les claques bien qu'amorties par la lingerie surprirent Sylvie qui commença à trémousser ses fesses au rythme de la correction.
- voilà ce qui arrive aux menteuses, madame une bonne fessée, mais ne croyez pas que vous allez vous en tirer avec une simple fessée sur la culotte, à votre âge et avec une bonne paire de fesses comme les vôtres c'est une fessée cul nu qu'il vous faut.
Et joignant le geste à la parole, elle déculotta largement Sylvie, descendant la culotte jusqu'aux genoux.
- bien, maintenant passons aux choses sérieuses.
La fessée fut mémorable, Julie apprenait vite et la correction n'avait rien à envier à celle que Sylvie avait reçu à l'institut, quand elle put se relever sa croupe écarlate n'était plus qu'un brasier, elle failli se frotter les fesses pour atténuer la cuisson mais juste à temps, elle se rappela que ça valait à Gérard une fessée supplémentaire, cela risquait de lui arriver.
Julie souriait, satisfaite du résultat, elle saisit l'oreille de Sylvie.
- ça chauffe n'est-ce pas ? Un petit séjour au coin les fera refroidir.
Elle conduisit cette dame d'une soixantaine d'année redevenue une gamine dans l'autre coin de la pièce.
,- tenez votre jupe relevée que je puisse surveiller vos fesses.
Puis S'adressant à sa fille.
- ma chérie, tu vas venir sur les genoux de maman, ma main va avoir une conversation avec tes fesses.
La conversation fut animée, les deux joues postérieures de Caroline exécutèrent une splendide chorégraphie, elle pleurait à chaudes larmes quand elle rejoignit à nouveau son coin. La croupe écarlate que Sylvie lui montrait bien malgré elle fut cependant une petite consolation. Elle n'était pas la seule à présenter ses fesses à la main sévère de sa mère.
Julie mit fin à la pénitence de Sylvie jugeant qu'elle avait été assez punie. Elle put se reculotter et reprendre une tenue plus conforme à son âge.
- bien ma chère, ce petit problème étant réglé, si nous parlions de l'institut de madame Rose.
Sylvie lui expliqua rapidement le fonctionnement de cette "maison de la fessée". Elle lui indiqua qu'elle pourrait lui avoir rapidement un rendez-vous pour Caroline si elle jugeait que celle-ci avait besoin d'une punition supplémentaire. Elle pensait notamment au forfait "vilaine fille" qui serait particulièrement adapté au comportement de Caroline. Julie, ravie acquiesça.
- je pense effectivement que Caroline a besoin d'une bonne reprise en main. Enfin pour cet après-midi c'est la main de maman qui va s'occuper d'elle.
Sylvie approuva et prit congé, ses fesses étaient encore douloureuses de la correction reçue, son mari allait sans nul doute devoir lui aussi présenter ses fesses.
Caroline dut rester en exposition avec ses fesses écarlates pendant une bonne heure. Elle avait rapidement calculé, aujourd'hui elle avait déjà reçu 5 fessées et il lui en restait encore 2 en attente. Quand Julie l'appela ses fesses étaient encore légèrement sensibles mais la grosse cuisson avait disparu. Elle tenait toujours sa jupe retroussée avec ses mains croisées dans le dos. Sa mère la fit se retourner et elle lui coinça la jupe dans la ceinture.
- comme tu le sais ma chérie, tu dois recevoir encore 2 fessées d'ici ce soir, je t'en ai déjà donné 2 et je commence à avoir mal à la main, c'est vrai que je préfère la fessée manuelle mais je vais suivre le conseil de Sylvie. Tu vas aller me chercher ma brosse à cheveux qui est sur la commode dans ma chambre.
Caroline gémis à cette demande.
- oh non, maman pas la brosse à cheveux, ça fait trop mal...
Julie se mit à rire
- mais ma chérie, c'est fait pour ça la fessée, tu dois avoir très mal pour ne pas recommencer. Et puis tu sais, une si belle paire de fesses, il lui en faut des bonnes fessées. Bon assez discuté, tu files me chercher cette brosse avant que je ne décide de doubler la punition.
Caroline ne se le fit pas dire deux fois, elle se dirigea vers la chambre de sa mère, exposant ses fesses dénudées. Quand elle revint, Julie avait disposé une chaise au milieu de la pièce, ça sentait la fessée mémorable, Caroline frissonna. Julie lui prit l'instrument punitif des mains et le posa à côté d'elle, puis elle tira sa fille par la main pour la faire basculer en travers de ses cuisses.
Caroline était déjà troussée et déculottée, la fessée pouvait commencer, la main de Julie claqua le fessier rebondi une cinquantaine de fois.
- voilà, on va passer à la vraie fessée, je suis gentille j'ai commencé par un petit échauffement.
Caroline trouvait que ce soi-disant, petit échauffement, était déjà une vraie fessée, elle avait commencé à gémir sous la brûlure mais elle se doutait bien que la douleur provoquée par la brosse serait bien pire, elle avait raison.
Le claquement provoqué par la brosse frappant sa croupe nue fut une surprise pour la jeune femme, elle poussa un cri, mais déjà le deuxième coup avait atteint l'autre fesse, et la fessée pétaradante éclata dans toute sa plénitude.
Caroline suppliait sous la brûlure, elle tortillait ses fesses sans aucun souci de décence, Julie s'appliquait à ne laisser aucune partie des fesses à l'abri de la brosse. De la racine des cuisses, jusqu'au creux des reins et débordant sur les flancs une rougeur intense envahissait le splendide derrière. Caroline pleurait maintenant à chaudes larmes, ses pieds battaient l'air désespérément.
Julie cessa la correction, elle posa sa main sur l'épiderme écarlate.
- voilà ce que j'appelle une bonne fessée, ma petite chérie je pense que tu vas t'en souvenir longtemps de cette fessée de maman, tes fesses fument...
Caroline affalée sur les genoux maternel pleurait et ne bougeait plus, seule ses fesses se contractaient pour essayer d'atténuer la cuisson.
Julie la fit se relever et lui indiqua du doigt le coin de la pièce.
- tu files te mettre le nez contre le mur et tu mets tes mains sur la tête, vite !
Une vigoureuse claque sur le derrière cuisant avait accompagné ses paroles. Caroline tout à sa douleur ne protesta pas, depuis qu'elle était arrivée à la maison, elle n'avait quitté le coin de cette pièce que pour se retrouver allongée en travers des genoux maternels. Elle y resta 1h.
Pendant sa pénitence le téléphone de sa mère sonna, c’était Sylvie qui lui annonçait qu’elle avait pu avoir un rendez-vous pour Caroline, elle était attendue lundi matin à 8 h à l’institut pour un forfait "vilaine fille".
Julie la remercia et annonça à sa fille la nouvelle.
- et bien ma chérie tu vas voir ce qu'il en coûte de mal se conduire, lundi matin tu étais en RTT et bien je t'ai trouvé une occupation, tu iras faire la connaissance de madame Rose et de ses assistantes, je crois que tes fesses vont beaucoup apprendre à leurs contact. Tu peux quitter ton coin et te reculotter, je te donnerai ta dernière fessée avant le coucher.
Caroline était ravie d'enfin pouvoir cacher son derrière rougi et douloureux mais le spectre d'un séjour à l'institut ne l'enchantait pas, au cours de ses conversations avec Sylvie, celle-ci lui avait expliqué les techniques de madame Rose et elle en avait conclu qu'il valait mieux éviter son contact.
 La soirée fut plus sereine pour sa croupe et quand Julie lui indiqua qu'il était l'heure d'aller au lit, elle se demanda si sa mère avait oublié la fessée promise. Son interrogation fut de courte durée car dès qu'elle fut dans sa chambre après un passage à la salle de bain sa mère la rejoignit. Caroline était en pyjama, sa mère s'assit sur le lit et lui fit signe de s'approcher. La suite était inévitable, la mise en place de la punie, la culotte descendue sur les mollets et la main qui claque et reclaque les rotondités jumelles sans se soucier des cris et des pleurs de la jeune femme.
Caroline était à nouveau punie comme une gamine, ses fesses écarlates en témoignaient. Julie remonta elle-même la culotte du pyjama sur la croupe brûlante.
- voilà ma chérie, c'est fini j'espère que tu as compris et que maman ne sera pas obligée de recommencer.. Tu es prévenue si c'est nécessaire c'est immédiatement cul nu sur mes genoux.
Pendant toute cette tirade elle avait laissé Caroline en position disciplinaire pour bien lui faire passer le message.
Une fois relevée, les joues aussi rouges que ses fesses, Caroline eut droit à un bisou.
Elle fit une très bonne nuit, tout le monde sait que l'on dort mieux avec une paire de fesses bien chaudes.


Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.

Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invités

Et celui-ci comporte un épisode précédent

Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 15
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1

Et il y a une suite...

... la semaine prochaine, c'est assez probable.

Et toujours les commentaires

Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.

2 commentaires:

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