jeudi 25 juin 2020

Chroniques de confinement - chapitre 3

La main de Maman Marianne claqua une troisième fois sur mes fesses. Comment faisait-elle pour installer une telle fournaise sur mon postérieur en aussi peu de temps ? Cette pensée fugace disparut aussi vite qu’elle était venue. Je n’avais plus de place dans ma tête que pour la cuisson qui ne cessait de monter sur mon épiderme.
Je ne pus retenir ma main droite qui alla protéger mes fesses. Sans marquer une pause, la main de Maman Marianne se déplaça sur le haut de mes cuisses. Je la suivis, mais j’avais toujours un temps de retard, laissant à ma belle-mère le choix de l’endroit où elle appliquerait sa main. Ce jeu, qui n’en était pas vraiment un pour moi, dura quelques dizaines de secondes. Je perdais à tous les coups. J’avais l’impression que protéger mes fesses ne servait à rien. La main trouvait toujours un endroit dégagé où claquer la peau de mes fesses. Maman Marianne m’ayant fait la démonstration de l’inutilité de mes tentatives pour me protéger, décida de passer à du plus sérieux.
« C’est la dernière fois, que tu couvres tes fesses de ta main pour gêner l’administration d’une fessée. La prochaine fois, je finirai ta correction avec la règle. Maintenant, tu enlèves ta main et tu me laisses terminer. »
J’ignorais ce premier avertissement. Cela eut le don d’agacer ma belle-mère.
« Philippe, ça suffit ! Dernier avertissement ! Je vais aller chercher la règle ! »
Je n’avais, évidemment, jamais reçu de fessée avec une règle. Je ne savais pas combien il s’agit d’un instrument redoutable quand il est utilisé pour de donner une fessée. Mais le seul fait que Maman Marianne envisageât de s’en servir pour châtier ma désobéissance, me suffit à prendre la menace au sérieux, ce qui ne me convainquit pas de me rendre à ses arguments. Ma main ne bougea pas de là où elle était.
« Comme tu veux ! Je t’aurais averti de ce qui allait t’arriver ! »
Ma belle-mère me fit glisser de sur ses cuisses et je tombais à genoux à ses pieds.
« Tu ne bouges pas de là. Tu m’attends ! »
Je n’étais plus capable de prendre la moindre initiative tant mes fesses et mes cuisses me cuisaient. Je ne me rendais plus compte du spectacle que je donnais : à genoux au milieu de la cuisine, le pantalon et la culotte baissés, frottant mes fesses des deux mains. Il ne me venait pas à l’esprit ni que je pourrais m’enfuir, ni que je pourrais couvrir mes fesses. Mon répit fut de courte durée.
Maman Marianne revint. Elle tenait à la main une règle plate en bois. Elle reprit sa place et l’un de ses bras me ceinturant le buste et l’autre passé entre mes jambes, elle me replaça à plat ventre sur ses genoux, parfaitement disposé pour la suite de ma correction. Je la laissais faire, uniquement préoccupé de la fournaise qui embrasait mes fesses.
J’avais laissé ma main en protection, doigts écartés, couvrant le maximum de la surface. Malgré cela, la règle trouva son chemin, juste sous le bout de mes doigts, sur le haut de ma cuisse, là où elles rejoignent le fessier. Je hurlais. Avec la règle, c’était une autre histoire que simplement avec la main. J’avais cru, précédemment, atteindre l’insupportable. J’étais loin du compte.
En déplaçant ma main pour couvrir la surface dont la règle venait de s’occuper, j’en découvris une autre partie qui fut aussitôt l’objet de l’attention de Maman Marianne. La règle y claqua trois fois, m’obligeant à protéger cet endroit, ce qui en laissa un autre sans protection. La règle s’y abattit. Ma main gauche était inutile. Plaqué contre le ventre de ma belle-mère, je n’arrivais pas à ramener mon bras en arrière. J’avais pourtant désespérément besoin de ma deuxième main pour espérer mettre la totalité de mon épiderme fessier à l’abri des morsures de la règle.
Maman Marianne continua ce petit jeu pendant un bon moment. Elle arrivait à chaque fois à trouver un espace découvert et elle y appliquait la règle, renforçant la cuisson de mes fesses. Puis, elle changea de tactique. La règle s’abattit sur mes doigts. Je laissais ma main en place quand elle recommença, mais je dus l’enlever suite la troisième fois. Cela faisait trop mal.
L’avalanche de coups de règles sur mes fesses me fit hurler. Je craquais. Entre deux sanglots, j’émettais un salmigondis de supplications et de demande de pardon ainsi que de promesses que j’étais bien incapable de tenir. Quand je remis la main, les coups sur les doigts reprirent. Trois ou quatre fois, je recommençais le même manège auquel Maman Marianne répondait en frappant alternativement sur mes fesses ou sur mes doigts. Je n’en pouvais plus.
A part ma main qui naviguait au gré de l’endroit où Maman Marianne appliquait la règle, je ne faisais plus rien pour m’opposer à la fessée. Je restais en position, sans chercher à fuir les genoux où pourtant ma situation n’avait rien d’enviable. C’est sans doute ce qui décida ma belle-mère à suspendre la correction qu’elle me donnait. Il fallait passer à la phase suivante.
« Philippe, je veux que tu retires ta main et que tu me laisses te fesser. Si je le fais, c’est pour ton bien. Pour que tu comprennes que les punitions que je te donne te seront profitables. Tu dois l’accepter. Ce n’est que le premier jour, où tu habites chez moi, mais tu y seras soumis tant que tu seras là. Nous avons pu constater tous les deux que tu en as besoin, n’est-ce pas mon garçon ? »
Si on m’avait dit, la veille, que j’écouterai attentivement ma belle-mère m’expliquer qu’elle devait me donner la fessée, allongé en travers de ses genoux, mon pantalon de pyjama entourant mes chevilles, j’aurais cru à une plaisanterie de mauvais goût.
« Oui. »
Une claque sur les fesses me fit prendre conscience de ma désinvolture.
« Oui, qui ?
–Oui, Maman Marianne. »
Si on avait rajouté que j’abonderais alors dans son sens, j’aurais pris mon interlocuteur pour un demi-demeuré. Je ne réagis pas quand elle posa sa main sur mes fesses nues et qu’elle commença une légère caresse. L’heure n’était plus à la pudeur. Il était entendu qu’elle avait accès à mes fesses. Qu’elles soient dénudées n’importait plus à personne, et en particulier plus à moi.
« Plus jamais, quelles que soient les circonstances, et qui que ce soit qui te donnera la fessée, je ne veux plus que tu mettes ta main en protection. »
J’étais tellement obnubilé par la fessée qui était en cours, que je ne notais pas l’allusion aux autres personnes qui seraient amenées à me punir.
« Voilà ce que nous allons faire. Tu vas enlever ta main et je ne veux plus la voir là, même quand tu auras une très sévère fessée. Plus jamais ! Dis-toi bien que ce sera que tu l’as méritée et que tu en as besoin. »
Je ne trouvais rien à dire pour contrecarrer l’argument qui m’était exposé.
« Enlève ta main maintenant ! »
J’obéis avec regret, mais sans hésiter.
« Je vais reprendre la fessée avec la règle, assez longtemps pour que je sois certaine que ta main ne reviendra pas. En fait, je vais reprendre la fessée à zéro. Ce que tu as reçu jusqu’à maintenant ne compte pas. »
Je fis une grimace que Maman Marianne ne remarqua pas. J’avais encore de difficiles moments à passer.
« Ton ardoise s’est allongée. Je t’avais promis une autre fessée, en plus de celle-là, bien sûr. A cause de ce que tu viens de faire, tu en auras une de plus. Mais si je revois ta main, j’irai cueillir une badine et tu feras connaissance avec elle. Je te conseille de bien réfléchir avant de faire connaissance avec elle. On s’en souvient plusieurs jours, n’est-ce pas Aurélie ?
– Oui Maman, répondit ma compagne sans quitter la position qu’elle tenait.
– Allons-y ! »
Je n’eus pas le temps de serrer les dents. Ce nouveau coup de règle sur mes fesses avait ravivé toute la douleur qui s’était un peu assoupie durant le discours de ma belle-mère. Un seul coup avait suffi. Le cri que je poussais fut interrompu par la deuxième fois où la règle marquait mon postérieur. Ma main partit en arrière, mais je réussis à la retenir. La règle, une nouvelle fois. Je tenais maintenant le pied de la chaise sur laquelle siégeait ma belle-mère. Je m’y accrochais plus fortement, mais il n’y eut plus de mouvement de mon bras.
« C’est bien, mon garçon ! Nous allons pouvoir tranquillement finir cette fessée ! »
Je ne sais pas si tranquillement était un mot qui me convenait. Je n’avais pas cette impression. Mes pleurs avaient repris et je battais des pieds dans le vide et ma tête remuait de droite à gauche et inversement. Maman Marianne devait considérer que tout était normal, car elle ne me fit pas une remarque sur la façon dont je me comportais.

Quand la fessée s’arrêta, je retombais inerte sur les genoux de ma belle-mère. Je ne cessais pas de pleurer pour autant. Elle posa sa main sur le sommet de mes fesses. Je sentis un frisson remonter le long de ma colonne vertébrale. C’était à la fois douloureux et apaisant, surtout quand sa main se mit à fait des cercles concentriques, effleurant à peine ma peau.
« Là, là, c’est fini. Tu as été un vilain grand garçon et tu en as été puni. Je suis certaine que tu seras sage, maintenant. »
Elle continua son long massage quelques instants, tout en me rappelant qu’elle attendait de moi une obéissance sans faille.
« Je sais bien que ce n’est pas simple, pour un grand garçon qui a pris de mauvaises habitudes, comme toi, mais tu vas de venir bien obéissant. »
Son ton était calme. Elle parlait tout doucement. Mes sanglots s’étaient calmés, mais les larmes continuaient à couler de mes joues.
« Oh, je sais que ce ne sera pas du premier coup. Il faudra d’autres fessées, à commencer par celles d’aujourd’hui. J’espère pour toi qu’elles ne seront pas aussi nombreuses tous les jours. Mais s’il le faut… »
Nous étions à mi-chemin entre la consolation et la promesse de futures corrections. Je n’avais pas envie de bouger de là. Elle me traitait comme un enfant, son enfant et je savourais la douceur du moment, malgré mes fesses brûlantes.
« Allez, debout ! Il faut que comme Aurélie, tu ailles réfléchir au coin, maintenant. »
Ce n’était qu’un tapotement sur les fesses, mais il suffit pour raviver la douleur.
« Ah, oui, je sais ! Ça fait mal ! Mais c’est bien l’effet recherché quand on donne une fessée, non ? »
Elle m’aida à me relever et je ne pris pas garde à ce que mes attributs sexuels soient exposés à quelques dizaines de centimètres de ses yeux. Cela n’avait plus d’importance, comme si, en moins d’une heure, elle avait acquis le droit de contempler mon intimité ou que j’avais perdu celui de la dissimuler à sa vue.
« Tu as vu comment Aurélie se tient quand je la mets au coin ? Je veux que tu fasses pareil, tiens, là-bas, à l’angle du mur et de ce placard. »
Je démarrais un peu vite, oubliant mon pantalon qui entourait mes chevilles. Je rattrapais mon équilibre de justesse. C’est alors que je pris conscience de ma tenue et de son caractère déplacé en présence de ma belle-mère. Je posais mes mains devant mon sexe.
« Pas de ça, mon garçon ! D’abord, en te déculottant j’ai pu voir tout ce que tu veux me dissimuler et ensuite, je compte sur la honte que tu ressentiras quand tu seras déculotté, pour que tu te souviennes bien de la punition et de la bêtise qui l’a motivée, surtout quand ce sera en présence d'autres personnes. Tu ne te comportes pas comme un adulte responsable, ta pudeur n'est donc plus de mise ! »
Elle appuya ses dires d’une claque sur le haut de ma cuisse. Je retirais mes mains.
« Sois certain que ce n’est que la première fois où il sera nécessaire de te déculotter pour te punir. Il y aura d’autres occasions. Tant que tu agiras comme un vilain garçon désobéissant, il n’y a aucune raison que tu ne sois pas traité comme le garnement que tu es. Il n’y a donc pas de souci à ce que tu montres tes fesses. Tout le monde saura ainsi que tu as été puni comme le méchant vaurien que tu es. »
Une autre claque me fit démarrer vers le coin. Je m’y plaçais exactement comme Aurélie l’avait fait dans le sien.
« Parfait ! Sois sage ! pas de mouvement, pas de bruit, quel que soit ce qui se passe dans la maison. Tu ne bouges pas de là avant que je t’en donne l’autorisation. »
Cela faisait bien dix minutes qu’Aurélie se tenait en pénitence. Allais-je y rester aussi longtemps ? Maman Marianne sortit de la pièce.

Les seuls bruits que j’entendais, venaient de la maison. Ils étaient lointains, dans une autre pièce. Sans doute Maman Marianne qui s’y livrait à une mystérieuse occupation et il n’était pas question que j’aille voir. Dans la cuisine le silence régnait. Je n’entendais pas Aurélie, pas même sa respiration, y compris quand j’arrêtais la mienne pour avoir un silence encore plus complet.
Les élancements qui provenaient de mes fesses suffirent à m’occuper pendant les premières minutes au coin. Je ne savais pas qu’une fessée pouvait faire aussi mal.
« Il est probable que mon postérieur sera couvert de bleus demain, me disais-je. »
J’envisageais avec appréhension les deux autres fessées que je devais recevoir dans la journée.
« Mon épiderme sera-t-il en état d’en supporter autant ? »
Je ne voyais pas comment expliquer à Maman Marianne qu’elle risquait de m’abîmer durablement la peau. Elle semblait si résolue à me les administrer. Cette réflexion plomba mon moral. Que de changement en moins d’une demi-matinée ! Je ne me posais plus la question de savoir si ma belle-mère avait le droit de me punir et de me déculotter pour me fesser. Tout cela était maintenant une évidence pour elle, comme pour moi. Il était question de savoir si mon comportement durant la correction me vaudrait une autre punition et combien je pouvais en recevoir dans une journée.
Apparemment, pour Aurélie, recevoir la fessée de la main de sa mère était acquis avant qu’elle n’arrivât chez elle hier soir, pour moi, cela n’avait pris qu’une bonne heure. Je ne voyais plus comment revenir en arrière. Il me faudrait supporter les deux fessées prévues et certainement beaucoup d’autres.
Je me surprenais à ne trouver aucune indignation en moi, aucune rébellion contre le droit que ma belle-mère s’était arrogé. Je ressentais plutôt de la résignation et du fatalisme. Puisqu’elle avait jugé que j’avais besoin d’une fessée, c’était surement vrai. Je n’avais nullement l’intention, plus maintenant, de discuter de sa légitimité à exercer une autorité sur moi, ni des moyens qu’elle avait décidé d’employer pour y arriver.
Arriver à cette conclusion me désespéra et me tranquillisa tout en même temps. J’étais entraîné dans un engrenage et je ne savais plus comment m’en défaire mais je pouvais aussi sentir toute l’attention que ma belle-mère m’accordait et ça, à part avec Aurélie, mais ce n’était pas de même nature, cela faisait longtemps que ça ne m’était plus arrivé.


Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !

Ah, là, là, là, là, là, là ! Bon,  voici début : le chapitre 1
Et le précédent : le chapitre 2

Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?

Voyons, voyons eh ben ce sera le chapitre 4

Allez, un commentaire !

Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.

7 commentaires:

  1. Bravo pour ce récit, maintenant les choses sont bien établis. Tout deux savent a quoi s'attendre s'ils sortent du droit chemin.

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    1. OH QUE OUI ! CAROLINE , JE CROIS QU'À L'AVENIR , CETTE " CORRECTION " FERA RÉFLÉCHIR !

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    2. Une fessée déculottée de maman rien de mieux pour remettre les choses en place ma chère Caroline.
      Sylvie

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    3. Absolument ma chère Sylvie.

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  2. EH BIEN MOI PERSONNELLEMENT , CE NEST PAS MA " BELLE- MÈRE " QUI M'A DONNÉ UNE MAGISTRALE FESSÉE DÉCULOTTÉE ,( DISONS PLUTÔT ENTIÈREMENT DÉNUDÉ ) DEVANT SES 4 ENFANTS , DONT MA COMPAGNE , ET SON PETIT GARÇON ÂGÉ DE 7 ANS ET QUI EN RECEVAIT DE LA MAIN MÊME DE SA MÈRE ! J'AVOUE N'AVOIR PAS ÉTÉ TRÈS FIER , CE JOUR LÀ ( QUI N'EST PAS SI LOINTAIN ) , JAMAIS JE N'AURAIS PU PENSER , UN SEUL INSTANT , QUE CETTE PRESQUE QUASI CENTENAIRE EUE SUFFISAMMENT D'ÉNERGIE , POUR ME ROUGIR LES FESSES , COMME UN PETIT GARÇON DÉSOBÉISSANT ! ELLE ME PROUVA LE CONTRAIRE .

    LA SUITE SERA CROYEZ MOI TRÈS CROUSTILLANTE .

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  3. Moi j'ai 22 ans et ma femme a 30 ans et très autoritaire elle applique la discipline comme sa mère si je fais un faux pas c'est une fessée cul nu assurée même si il y a du monde à la maison car elle dit qu'une fessée sa n'attends pas hier soir c'était devant ses parents et sa mère la félicitée puis elle ma mis au coin pour méditer pendant 10 minutes puis elle ma pris sur ses genoux pour me consoler car je pleurais toujours et ma belle mère me disait que c'était pour mon bien et que son mari en recevait de temps en temps, puis ma femme a été chercher une couche culotte qu'elle ma mis devant mes beaux-parents avant le repas du soir

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  4. Rien de tel qu'une fessée déculottée surtout en public.

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