lundi 29 juin 2020

Chroniques de confinement - chapitre 4

Se tenir au coin, selon les normes exigées par Maman Marianne, c’était difficile. Au début, on ne s’en rendait pas compte. Durant les premières minutes que j’y avais passé, mon esprit avait été occupé par refaire le film de ce qui venait de m’arriver et finalement, se trouver seul à quelques centimètres de l’angle que faisait le placard et le mur était plutôt facilitant. Je pus gérer les pics de douleurs qui émanaient de mes fesses, puis la honte d’avoir été déculotté et fessé, sans avoir à rencontrer le regard d’une autre personne.
Il y avait déjà Maman Marianne, bien sûr et Aurélie qui savaient quel genre de punition j’avais reçu et c’était déjà bien assez difficile à savoir, sans devoir lire dans leurs yeux mon récent statut de grand garçon à qui il fallait donner la fessée. Je n’avais pas réussi à trouver une façon de présenter la situation qui me laissait à mon avantage.
Inutile de prétendre que je m’étais laissé faire pour voir, ou que cela n’avait été qu’un jeu de rôle dont je pouvais sortir quand je le voulais. Lucidement, je constatais qu’il en serait ainsi durant tout mon séjour. Les deux fessées qu’elle m’avait annoncées ne seraient pas les seules. A chaque fois qu’elle le jugerait nécessaire, c'est-à-dire à chaque bêtise que je commettrai, elle me baisserait la culotte et me donnerait une fessée. Je n’arrivais pas à visualiser la situation, tant elle me paraissait, encore maintenant, tellement éloignée de mes certitudes d’adultes qui venaient de s’écrouler en si peu de temps.
Je ne voyais pas comment éviter ni les fessées qu’elle m’avait promises ni les suivantes. Je passais en revue toutes les situations et toutes mes habitudes qui pourraient me valoir, selon le jugement de ma belle-mère, de me retrouver à plat ventre sur ses genoux, la culotte baissée et les fesses douloureuses.
« Moi qui ne supporte pas que des règles me soient imposées ! »
J’avais une tendance très étudiée à refuser toutes les formes d’autorité. Je savais jouer avec les personnes qui en étaient dépositaires, toujours en restant à l’intérieur de ce qui était permis. Sans compter la facilité avec laquelle je me mettais en colère à la moindre contrariété. Cela me donnait la réputation de ne pas savoir faire les concessions nécessaires, ce qui m’avait nuit à plusieurs reprises que ce soit dans ma vie personnelle ou professionnelle. Ici, ce ne serait tolérées ni l’une, ni l’autre.
J’étais conscient de ces travers, mais cela m’aurait demandé un trop gros effort que de changer de comportement. Je continuais mon chemin, comptant sur ma chance et sur ma capacité à saisir des opportunités pour m’en sortir. Quelles sont celles dont je pourrais m’empare aujourd’hui ? Quand on est au coin, elles sont peu nombreuses.
A moins que mon séjour chez ma belle-mère soit une chance qui se présentait ? Je rejetais cette idée. Recevoir la fessée ne pouvait être une chance pour un adulte comme moi. C’était, au contraire, consternant, un abus d’autorité. Oui, mais je ne voyais pas comment faire autrement.
Je tournais ce problème dans ma tête sans y trouver de solution. Je verrai plus tard, je trouverai bien comment me sortir de ce mauvais pas. Pour l’instant, il fallait faire profil bas et éviter toutes les situations qui pourraient me valoir une nouvelle correction. C’était ça ! Eviter de donner un prétexte à ma belle-mère pour sévir. Pas facile, mais faisable. Mon moral remonta en flèche. J’avais le sentiment d’avoir trouvé la solution.

Ces minutes d’introspection avaient totalement focalisé mon attention et j’avais presque oublié où j’étais. C’était en reprenant contact avec la réalité que je réalisais que l’engourdissement, provoqué par mon immobilité, me gagnait. Les muscles de mes bras s’ankylosaient, ceux de mes cuisses devaient forcer pour que j’arrive à rester immobile. J’avais une envie furieuse de bouger.
Oui, mais cela m’était interdit !
Depuis combien de temps étais-je là ? Je n’avais rien qui pouvait m’indiquer l’heure, mais c’était plus d’une demi-heure. Certain ! Proche de trois quarts d’heure, probablement. Combien de temps encore devrais-je rester là ? C’était long, particulièrement quand on ne savait pas quel en serait le terme. Il dépendait de ma belle-mère et je n’avais aucune influence sur cette question.
J’écoutais attentivement les bruits que je percevais de la maison. Ils n’étaient pas identifiables et je ne parvenais pas à savoir d’où ils étaient émis. Cela ne semblait pas proche de la cuisine où je me tenais. Maman Marianne ne devait pas être tout près.
J’avais certainement le temps de bouger un peu mes bras, juste pour en soulager la tension. Et mes jambes aussi. Après tout j’avais bien le droit… le droit, oui, à condition de ne pas être pris. Je savais ce que je risquais.
Il fallait être discret et ne pas vraiment quitter la position. Bouger un peu les bras, me dégourdir les jambes, rien de spectaculaire. Ne pas me déplacer, pas beaucoup, de façon à retrouver la position voulue par ma belle-mère en une fraction de seconde, dès que j’entendrais un bruit suspect.
Et si elle arrivait sans que je l’entende ? Je n’avais aucune envie de prendre une autre fessée ! Si je me souvenais bien, Maman Marianne n’avait pas fermé la porte de la cuisine en sortant. Si elle avait fait pareil avec la pièce dans laquelle elle se trouvait, je ne l’entendrais pas arriver. C’était bien du carrelage qu’il y avait au sol ? Dans la cuisine oui, mais dans le couloir ? Est-ce que ses chaussures faisaient du bruit en marchant sur le sol ? Je ne savais plus. Je n’avais pas été assez attentif à tous ces détails.
En faisant vite, il n’y avait pas de risque… ou si peu. D’abord les jambes. L’une après l’autre. Je rassemblais mon courage.
« Alors, mes chéris, le coin vous a fait du bien ? »
Mon cœur fit un bon dans ma poitrine. Une poignée de secondes plus tard et elle me surprenait en pleine désobéissance. Je ne l’avais pas entendu arriver. Je l’avais échappé belle. J’en eus des sueurs froides rétrospectivement. Quelles auraient été les conséquences si ma belle-mère m’avait surpris alors que je prenais des libertés alors que c’était la première fois qu’elle me mettait au coin. J’aurais pu m’attendre à une belle fessée.
« Je n’ai pas le temps de vous y laisser plus longtemps, mais un quart d’heure, ça laisse le temps de réfléchir. »
Un quart d’heure ? Cela ne faisait qu’un quart d’heure qu’elle m’avait mis en pénitence le nez fourré dans l’angle que le placard faisait avec le mur ? Ce n’était pas possible, cela devait faire bien plus de temps !
« Il est l’heure d’aller faire sa toilette et de s’habiller. Philippe, remonte ta culotte de pyjama et on file dans votre chambre ! »
Je m’empressais d’obéir avant qu’Aurélie ait pu me voir en une aussi peu glorieuse situation. Il me fut difficile de croiser son regard lorsque je me détournais et le sien fuyait la mien. Pas simple de se recomposer une attitude, comme si de rien n’était, après un tel début de matinée.
« Allez, en route ! »
Une petite claque chacun sur les fesses nous encouragea à avancer.

Dès que nous entrâmes dans notre chambre, Maman Marianne prit les choses en mains. Elle plaça sa fille, debout devant elle et elle saisit le bas de la chemise de nuit qu’elle releva et fit passer par-dessus la tête d’Aurélie. Je lus un éclair d’effroi dans les yeux de ma compagne qui croisa ses bras devant sa poitrine tout en cherchant à dissimuler son pubis. Une main sur ses fesses vint sanctionner cette réticence.
« Attention, prévint sa mère, pas de comédie. Ce n’est pas la première fois que je te vois toute nue et je suppose que Philippe non plus ! Plie plutôt ta chemise et range-la ! »
Il fallait pour ça qu’Aurélie fasse fi de sa nudité. Elle regarda sa mère, la suppliant des yeux. Face au regard noir qui lui fut renvoyé et à une main menaçante, elle rougit, mais se résigna. Elle se détourna tout en pliant son vêtement de nuit. Elle avait ôté la relative protection que lui fournissait ses bras.
« Philippe, viens ici ! »
Je n’avais pas réalisé que je subirais le même sort tout de suite après ma compagne. Je mis un peu de temps à obéir.
« Philippe, c’est tout de suite ! »
Cela suffit pour que je fasse les deux mètres qui me séparaient d’elle. Sans plus de cérémonie, elle baissa prestement ma culotte de pyjama à mi-cuisses et elle m’asséna une claque sur la fesse qui était à sa portée.
« La prochaine fois que je te vois hésiter quand je te dis de faire quelque chose, ce sera autre chose qu’une petite claque sur la fesse ! »
Elle fit passer ma veste de pyjama par-dessus ma tête et elle acheva d’en baisser la culotte.
« Lève ton pied ! L’autre ! »
Un croisement de regard pour vérifier qu’il n’y avait pas signe d’une protestation dans le mien. Totalement nu devant elle, je ne me sentais pas en position de montrer mon mécontentement.
« Range ton pyjama ! »

La consigne suivante nous envoya dans la salle de bains, tous les deux ensembles. Il fallait parcourir le couloir du premier étage sur presque toute sa longueur, mais notre nudité n’était pas un obstacle, aux yeux de ma belle-mère.
La porte fermée de la salle de bains nous laissa un peu de répit. Aurélie et moi, nous nous regardions, incertains sur l’attitude à adopter. Je n’étais pas à l’aise de me trouver nu devant elle et, visiblement, elle éprouvait la même gêne. Dans la salle de bains de notre studio, nous avions l’habitude de faire notre toilette l’un après l’autre et nous ne circulions jamais dans une tenue aussi dénudée.
« Je… je… »
Le silence s’installa. Aurélie regarda la porte. Impossible de sortir de là sans avoir fait notre toilette.
« Comment on fait, demanda-t-elle au bout de longues secondes ?
– Tu commences ?
– Non, toi ! »
Je fis un pas vers le lavabo.
« Tu crois qu’il faut qu’on prenne une douche ?
– Oui surement ! Maman risque de vérifier si nous sommes propres. Et si ce n’est pas le cas… »
Il n’y avait pas besoin d’en dire plus. Les conséquences d’une telle négligence étaient évidentes. Un nouveau temps silence s’installa. J’essayais d’imaginer comment pourrait se dérouler ce temps de toilette à deux dans la même pièce, même si celle-ci était bien plus grande que celle que nous avions à Paris.
« On peut, peut-être lui demander de faire notre toilette l’un après l’autre, comme d’habitude ? »
La moue d’Aurélie en disait long sur la pertinence de ma suggestion. En réalité je n’y croyais pas moi-même. Il était certain que le premier qui sortirait de cet endroit sans s’être lavé, serait taxé de désobéissance. Une fessée s’en suivrait. L’autre ne serait très probablement pas mieux loti.
Nous nous regardions, les bras ballants, ne sachant toujours pas comment faire. La porte s’ouvrit et Maman Marianne entra.
« Mais qu’est-ce que c’est que ça ? Vous n’avez pas commencé votre toilette ? Je crois qu’il faut que je vous l’explique autrement ! »
Elle attrapa la main d’Aurélie, qui était la plus proche d’elle et elle l’amena près d’elle.
« Non, Maman, j’y vais tout de suite ! »
Nous avions compris tous les deux ce qui se préparait. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Aurélie était courbée sous le bras de sa mère, les fesses à disposition de la main maternelle qui commença son office sur les rondeurs de sa fille. Le bruit des claques était amplifié par un léger écho et bien vite les cris d’Aurélie accentuèrent cette impression de tumulte. Ce ne fut pas une grosse fessée, mais elle suffit pour colorer abondamment les fesses de ma compagne.
« A ton tour, annonça ma belle-mère en relâchant sa fille. »
J’étais résigné à mon sort. Quoi de plus normal, pour la même bêtise commise ensemble, qu’Aurélie et moi soyons punis de la même façon ? Je vins me placer de moi-même sous le bras de Maman Marianne qui l’avait écarté pour me laisser la place de passer ma tête et mon buste dans l’espace qu’elle m’avait préparé. Elle me serra contre son bassin de son bras entourant ma taille et je reçus la première claque.
Ce ne fut pas une correction comparable à la précédente que j’avais reçue. Loin de là ! Mais l’échauffement sur mes fesses était bien réel. Je commençais à danser d’un pied sur l’autre au rythme que me donnait la fessée quand elle cessa.
« Est-ce suffisant pour que vous vous y mettiez tout de suite ? Je peux insister un peu si vous le souhaitez ? »
Nous nous tournâmes tous les deux vers le lavabo où il n’y avait pas de place pour deux. La bousculade qui s’en suivit fut stoppée net par la claque que nous reçûmes chacun sur les fesses.
« Aurélie, tu prends ta douche ! Philippe, pendant ce temps-là, tu vas te raser. Allez, c’est parti ! »
Je ne me rappelais plus quand était la dernière fois où j’avais fait ma toilette sous la supervision d’une autre personne. Maman Marianne nous surveillait et une claque sur les fesses signalait au contrevenant quand elle n’était pas satisfaite de la propreté obtenue.
Maman Marianne n’hésitait pas à laver elle-même les « petits coins oubliés » comme elle les appelait. Elle portait une attention particulière derrière les oreilles, entre les doigts de pied et aux fesses. C’est elle-même qui prit le gant de toilette des mains d’Aurélie et qui nettoya la raie des fesses et le pubis tout en lui faisant des recommandations sur la propreté nécessaire de cet endroit intime.
Quand elle fut satisfaite du résultat obtenu, elle nous ordonna de changer de position. Je passais à la douche et Aurélie se retrouva devant le lavabo. J’avais du mal à faire ma toilette sous le regard inquisiteur de ma belle-mère qui se tenait à moins d’un mètre de moi. Je me lavais rapidement le visage, passais au buste, mais je ne descendis pas au-dessous du nombril. J’en vins rapidement aux jambes, en passant le plus vite possible mon gant sur le haut de mes cuisses.
Je savais que cela ne satisferait pas ma belle-mère, mais je n’arrivais pas à me décider à me laver les fesses, à manipuler mon sexe, fusse avec un gant de toilette devant elle. J’évitais son regard et j’entrepris de me rincer.
« Dis-moi, mon garçon, crois-tu que ta toilette soit finie ? Depuis quand on ne se lave pas les fesses ? »
Elle m’ôta le gant de toilette de la main, le savonna abondamment, puis elle me mit de profil en me tenant par un bras. Elle repartit du haut de mon dos. Elle frottait énergétiquement en effectuant des petits cercles et en descendant peu à peu. Je me crispais quand elle arriva en bas de mon dos.
« Philippe, laisse-moi laver entre tes fesses. Là aussi ça doit être propre. »
Elle fit une nouvelle tentative pour glisser le gant dans la raie de mes fesses. Je les serrais instinctivement, résistant à l’intrusion dans cette partie intime.
« Ça suffit, maintenant. Tu vas cesser cette comédie immédiatement ! »
Elle ôta le gant de toilette et tout en raffermissant sa prise sur mon bras, elle me claqua les fesses très vigoureusement. Elle attendit mes premières plaintes pour s’arrêter.
« Vas-tu me laisser faire ou veux-tu que je te donne une vraie fessée ? »
Je trouvais que ce que je venais de recevoir, si ce n’était pas une vraie fessée, c’était pas mal imité. Ma belle-mère reprit son gant et elle ne dut pas insister beaucoup pour avoir accès à la totalité de la raie de mes fesses jusqu’à mon anus.
Elle me fit faire un demi-tour et elle recommença par le devant. Mon buste, mon ventre… je savais ce qui allait venir et j’étais déjà contracté pour résister à l’envie de me dérober. Je ne pus y arriver quand elle inséra le gant entre mes jambes. Je serrais les cuisses.
« Non, s’il vous plait, non ! Je vais le faire !
– Ça, c’était tout à l’heure. Maintenant c’est moi qui m’en charge puisque tu ne sais pas le faire tout seul ! »
Sa nouvelle tentative fut tout aussi infructueuse.
« Bon, comme tu voudras ! »
Elle posa son pied sur un petit tabouret bas puis elle prit une serviette de toilette qu’elle étala sur sa cuisse. Elle m’attira vers elle et sans me laisser mettre un pied en dehors du bac à douche, elle me plaça à plat ventre sur son genou.
Cette fois-ci, même selon les critères de Maman Marianne, ce fut une vraie fessée. Elle ne se contenta pas des quelques gémissements que j’émis très vite. La fessée continua jusqu’à ce que mes cris et mes sanglots lui confirment que j’étais en bonne voie d’obéissance. Je battais des pieds dans l’air depuis un bon moment, au risque de nous déséquilibrer, quand elle marqua une pause.
« As-tu besoin de quelque chose de plus sérieux ou ma main te suffit-elle pour apprendre à obéir ? »
Elle reprit la correction avec encore un peu plus de vigueur qu’avant, sans attendre ma réponse.
« Es-tu maintenant décidé à rester sage pendant que je te lave ou faut-il que je finisse cette fessée avec la brosse de bain ? »
La main continua son travail pendant une bonne vingtaine de secondes avant de s’arrêter. Elle me remit au centre du bac à douche, puis elle reprit le gant de toilette.
« Voyons voir si cette fessée t’a appris quelque chose ! »
J’écartais les jambes, lui laissant le champ libre. Malgré ma désobéissance et l’énergie qu’elle avait dû mobiliser pour me punir, ses gestes étaient tout en douceur. Elle lava mes bourses et mon entrejambe, s’emparant de mon pénis et le savonnant, le décalottant pour en laver l’extrémité. Je ne fis plus une difficulté quand elle me rinça, ni quand elle me sécha.
Finalement, j’apprenais assez vite.


Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !

Ah, là, là, là, là, là, là ! Bon,  voici début : le chapitre 1
Et le précédent : le chapitre 3


Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?

Voyons, voyons eh ben ce sera le chapitre 5

Allez, un commentaire !

Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.

2 commentaires:

  1. Trés bon récit. Toujours aussi passionnant. Un plaisir à lire.

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    Réponses
    1. Merci, lecteur anonyme. J'espère que la suite aura toujours vos faveurs.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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