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vendredi 1 juillet 2022

Qui, adulte, reçoit des fessées par punition ?

 Fini ? Non, pas tout à fait ! Ne croyez pas que je vais reprendre mes publications régulières. Ce sera beaucoup plus épisodiques. Je ne veux pas me relancer dans une course à la publication, seule solution pour le blog acquière de plus en plus d'audience.

L'occasion fait le larron. J'ai publié, sur un forum (Quora) un article en réponse à une question posée par une personne que je ne connais pas. J'ai repris cette question en titre de mon article. Cela concerne la fessée, vous vous en doutez, bien que ce soit un forum généraliste dont les sujets couvrent un champ beaucoup plus large. Le contenu décrit précisément la nature de la relation que j'ai construite avec ma compagne.

Bonne lecture et j'attends vos avis, commentaires et témoignages. S'il en est qui sont suffisamment longs, je les publierai sous forme d'articles.

vendredi 2 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 1

 A La Villeneuve sur Horto, petite ville moyenne française entourée d’une campagne agricole, depuis que Tatie Nathalie a montré comment il convenait de punir les adultes désobéissants et que Madame André, la cheffe de magasin du supermarché local, a emboité le pas, l’usage de la fessée se répand comme une traînée de poudre.

Tout se passe comme s’il avait suffi de leur donner l’exemple pour que des parents, des sœurs, des responsables en tout genre ou même des voisins adoptent cette méthode si efficace. La plupart des corrections sont, bien entendu, administrée au domicile des punis. Mais, peu à peu, voir un ou une adulte, culotte baissée, recevant une fessée dans des lieux les plus divers, est devenu une situation commune.

Ce récit est l’histoire de quelques-unes des personnes qui se sont retrouvées soumises à ce régime disciplinaire… pour leur plus grand bien et de quelques-unes de celles qui ont accepté de prendre en mains leur éducation.

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La boulangère tenait ses deux jeunes employés par le coude. Elle les forçait à marcher devant elle, ce qu’ils faisaient, mais avec toute la réticence possible.

« Mais Madame, je vous assure que tout est… enfin que c’est rangé... assez bien. »

La boulangère avait noté l’hésitation.

mercredi 9 septembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 14

 Mademoiselle Annette reprit la fessée en y mettant toute sa force. Elle voulait que cette correction restât à l’esprit de Philippe, comme la quintessence de ce qui lui arriverait s’il lui prenait l’envie de lui désobéir de nouveau. Il avait besoin de cette leçon. Les actes commis avaient des conséquences, il fallait que Philippe l’apprît. Pour cela la punition devait être mémorable.

Annette était vraiment furieuse, au-delà de ce qu’avait provoqué la désobéissance. Elle concevait qu’un garçon dont elle avait la responsabilité, même s’il était aussi âgé que Philippe, désobéît. Là n’était pas le nœud de ce qui l’avait mis autant en colère. Non, c’est parce qu’il n’acceptait pas qu’une jeune fille le déculottât et le fessât qu’elle s’était mise en rogne. Il avait très vite accepté l’autorité des femmes qui avaient l’âge d’être sa mère, mais pas celle d’Annette. Elle savait qu’il la considérait comme trop immature pour avoir barre sur lui.

lundi 7 septembre 2020

Leçon de français... et autres mesures

Que croyais-tu, mon garçon ? Que tu allais suivre des cours de rattrapage en dilettante ? Que les devoirs que je te donne à faire et les leçons à apprendre sont facultatifs ? Je t'avais prévenu que je serai très exigeante sur le travail que tu aurais à faire et que je ne laisserai rien passer. Tu devrais pourtant te souvenir comment j'exigeais que tous les élèves travaillent quand tu étais dans ma classe, il y a quelques années maintenant, et que je n'aimais pas les petits paresseux.

Je t'ai promis que tu allais faire de rapide progrès en orthographe avec ces leçons particulières, qu'à vingt-trois ans, tu allais apprendre tout ce que je n'ai pas réussi à t'inculquer quand j'étais ta professeure en terminale. Je ne pouvais recourir aux bonnes méthodes bien que j'aie eu affaire à un jeune homme qui refusait de faire les efforts nécessaires.

mercredi 20 mai 2020

Afin que les choses soient claires

Je t'assure, mon garçon, que cela va te faire beaucoup de bien. Tu peux me faire confiance, j'ai une longue expérience en la matière. Tu n'es pas le premier jeune homme qui loue une chambre chez moi, à qui je doive appliquer ce genre de traitement.
A chaque fois, cela a été salutaire et nos cohabitations se sont déroulées au mieux. Il s'agit juste de te faire comprendre qu'avoir un premier emploi et être indépendant, financièrement s'entend, ne signifie pas qu'il n'y ait pas des règles à respecter.

samedi 9 mai 2020

Madame Caroni - chapitre 45

« Es-tu sûre ? Il y a peut-être une raison qui m’a échappée ?
– Oh non Madame, je vous l’assure, j’ai été sage. J’ai obéi »
Il y avait de la crainte dans la voix de Maïlis. Madame Farette ne voulait pas continuer à faire inutilement pression. Il ne fallait pas que la jeune femme ait peur de recevoir la fessée quand il n’y avait pas de raison.
« Ne crains rien. Tant qu’il n’y a pas de motif évident, tu ne risques pas de recevoir une fessée. Non, si je t’ai faite attendre, c’est pour la lettre.

samedi 28 mars 2020

Madame Caroni - chapitre 39

Madame Daurent déverrouilla la porte de la boutique. C’était l’heure d’ouvrir et elle n’était jamais en retard. Si tôt, il n’y avait pas un flot continu de visiteurs, mais il n’y avait pas de matin où personne ne venait faire un tour.
Camille s’agita dans le coin. C’était assez discret. Elle se contenta de serrer les poings plus fort qu’auparavant et elle port son poids sur sa jambe gauche, puis sur la droite. C’était tout ce qu’elle avait le droit de faire sans encourir une nouvelle fessée. Aller plus loin aurait été prendre un risque inconsidéré.

samedi 2 novembre 2019

Madame Caroni - chapitre 18

Ludovic était rentré chez lui comme il en avait maintenant l’habitude, c'est-à-dire dès la fin de son travail. C’était une exigence de Madame Caroni. Il s’était changé immédiatement, passant des vêtements de travail. Il s’était mis au ménage de la salle de bain. C’était le travail que sa tutrice lui avait assigné la veille et il avait bien l’intention d’aller au bout.

samedi 19 octobre 2019

Madame Caroni - chapitre 16

« Lorena, ma chérie, tu t’occupes de Benoît ? Je vais chez Ludovic !
– Pas de souci, Maman ! Je me charge de tout. Sois tranquille ! »
Benoît rentra la tête dans les épaules. Le moment fatidique se rapprochait. Comment était-ce possible ? Il ne bougea pourtant pas de sa place.
Il dut cependant attendre encore quelques minutes avant que Lorena lui annonçât tranquillement :
« Maman m’a dit que je devais te donner une fessée avant de te raccompagner chez toi pour le dîner. Il serait temps qu’on s’y mette, tu ne crois pas ? »

samedi 12 octobre 2019

Madame Caroni - chapitre 15

Les claques cessèrent de tomber sur les fesses de Benoît. Il souffla. Il avait cru ne jamais en voir la fin. Il se prépara à se relever.
« Où crois-tu aller ? »
Madame Caroni appuya sur ses épaules pour l’obliger à se rallonger en travers de ses genoux. Elle le fit glisser un peu vers elle et resserra sa prise sur son dos. Il vit qu’elle prenait la règle qui était restée sur la table basse près du canapé.

samedi 28 septembre 2019

Madame Caroni - chapitre 13

Madame Caroni n’avait laissé aucun moment pour que Ludovic puisse penser à ce qui lui arrivait. Le pantalon de son pupille plié sur le bras et la culotte dans son poing, elle avait conduit le garçon jusque dans la salle de bain. Là, il avait dû faire face à sa tutrice qui lui avait déboutonné, puis ôté sa chemise. Le tee-shirt qu’il portait en dessous avait été passé par-dessus sa tête bien plus vite qu’il ne l’aurait fait lui-même.

samedi 21 septembre 2019

Madame Caroni - chapitre 12

Madame Caroni s’appliquait. Elle veillait à ce que sa main arrive bien à plat sur les fesses de Ludovic et avec la plus grande vitesse dont elle était capable. Elle était satisfaite. La fessée faisait son effet. Ludovic apprenait.
Ses fesses commençaient à prendre une belle couleur rouge à laquelle sa main rajoutait une touche plus sombre à chaque fois qu’elle les claquait. Puis, cela se diffusait aux alentours avant que la main n’y revienne. La teinte de l’épiderme des fesses de Ludovic atteignait progressivement la nuance de rouge qu’elle cherchait. Le travail progressait rapidement.

samedi 14 septembre 2019

Madame Caroni - chapitre 11

Ludovic retrouvait les sensations qu’il avait enfouies loin dans un coin de sa tête, depuis trois mois qu’il n’était plus sous la coupe de sa sœur. Il aurait pu se croire à plat ventre, comme il en avait eu l’habitude sur les genoux de Lise. Le décor et le parfum qui imprégnait la robe sur laquelle il était allongé, étaient différents. A part cela, il ne sentait pas la différence, en particulier sur les effets que cela provoquait sur son postérieur.

samedi 31 août 2019

Madame Caroni - chapitre 9

Béatrice n’en pouvait plus. La pression sur sa vessie s’accentuait. Elle ne tiendrait pas très longtemps si Lorena ne revenait pas vite. Que faillait-il faire ? Quitter le coin pour faire un rapide passage aux toilettes avant que Lorena ne revienne ? Et si Lorena la surprenait alors qu’elle avait désobéi à un ordre formel ? Oui, mais elle ne pourrait plus se retenir longtemps.
« Pourvu que Lorena revienne bien vite ! »
Cette fois-ci, elle ne refuserait pas la proposition de Lorena de l’emmener aux toilettes. Elle n’avait que trop attendu.

vendredi 23 août 2019

Un difficile retour à la maison - chapitre 5

La semaine s'est montrée beaucoup moins agitée pour Julien. Il a fait beaucoup d'efforts pour éviter d'être puni en réalisant parfaitement ses corvées et le travail scolaire que sa mère lui a concocté. Il n'a subi que quelques petites fessées quotidiennes pour des broutilles.
A l'arrivée de sa baby-sitter, en ce samedi matin, il est déjà tout propre. Sa maman lui a donné sa douche et l'a habillé. Madame Lafitte donne ses consignes à Léa et lui rappelle qu'elle est bien entendue autorisée à punir Julien si besoin.

vendredi 9 août 2019

Un difficile retour à la maison - chapitre 3

Julien est déjà réveillé et se retient de faire pipi quand sa mère entre dans sa chambre en nuisette et en pantoufles à sept heures du matin. Elle ouvre directement rideaux et volets et ordonne à son fils de se lever immédiatement. Elle tire sur la couverture. Julien qui a encore les fesses un peu endolories, ne se fait pas prier et se lève immédiatement.

mercredi 10 juillet 2019

Deux grandes filles à éduquer - Chapitre 3

Maeva sentait la cuisson sur ses fesses diminuer progressivement. Elle savait maintenant à quoi s’attendre quand elle prenait une fessée. La brûlure intense que provoquait la correction pendant son application ne durait pas. Elle diminuait rapidement pour laisser une démangeaison persistante qui lui donnait envie de frotter ses fesses pour la soulager. Malheureusement, elle n’avait jamais pu se livrer à ce massage, étant donné qu’elle avait été, presqu’à chaque fois, mise au coin avec des consignes strictes d’immobilité.

samedi 15 juin 2019

Reprise en mains maternelle - chapitre 2

Maman était toujours aussi fâchée après moi quand nous arrivâmes à mon domicile. Elle n’avait pas quitté une seconde son rôle de mère exaspérée par le comportement de son enfant. Elle ne me laissait pas un mètre de liberté. Elle me faisait sentir que j’étais sous son contrôle. Tôt au long du trajet qui menait de sa voiture à mon appartement, elle me tenait par le bras. Deux fois, alors que je marquais une hésitation à obéir à l’une de ses directives, elle me claqua les fesses. Ma jupe les recouvrait. Cela ne me fit pas grand mal, mal c’était dans un lieu public où je risquais de rencontrer des voisins qui me connaissaient.

lundi 27 mai 2019

Une baby-sitter compétente

Bien que ma sœur m'ait expliqué comment tu te comportais, j'avais un doute sur la nécessité d'une baby-sitter pour un grand garçon de vingt-cinq ans alors qu'elle ne se sera absente que quatre jours.
Quand elle m'a demandé de venir te garder pendant son absence, je lui ai tout d'abord demandé si c'était vraiment utile. J'ai accédé à sa demande sans avoir été totalement convaincue et je dois avouer qu'elle avait fichtrement raison. Je m'en rends bien compte à présent.

samedi 11 mai 2019

Axel au supermarché - chapitre 102

Caroline avala sa salive et se racla la gorge. Elle jeta un bref regard à Madame André qui l’encouragea d’un signe de tête.
« Vous allez voir, c’est facile à faire et très utile. Dites-vous bien que Joël en a le plus grand besoin. »
Caroline hocha la tête.
« Joël, je t’attends ici. Tu viens tout de suite. »