La première fois, ce fut dans la rue. Il n’y avait que des personnes inconnues, mais deux d’entre elles se retournèrent au bruit de la claque et elles s’immobilisèrent pour nous regarder nous éloigner. La deuxième fois, ce fut dans le hall de l’immeuble dans lequel j’habitais. Ce furent cinq claques sur les fesses qui sanctionnèrent mon comportement quand je me mis à traîner les pieds. J’appréhendais ce que je risquais de trouver en arrivant chez moi.
« Veux-tu une fessée ici et
maintenant, Laure ? »
Je croyais la menace sérieuse. Je
cessais aussitôt ma résistance et je montrais mon obéissance en devançant les
désirs de ma génitrice. Je savais que ma punition n’était pas achevée mais je
ne comprenais pas pourquoi Maman ne l’avait pas poursuivie dans son
appartement. Denis devait être rentré à la maison. Voulait-elle me punir en sa
présence ? Je craignais que la suite de mon châtiment n’implique ma
belle-mère, comme le coup de téléphone le laissait penser.
Mon cœur battait follement quand
Maman sonna à la porte. Je songeais un bref instant que c’était inutile puisque
j’avais mes clés, mais ce n’était pas le moment de me signaler à l’attention de
ma mère tant elle semblait encore furieuse contre moi.
Ma belle-mère ouvrit la porte. Je
faillis faire pipi par terre. Mes pires craintes se confirmaient. S’il en était
besoin, Maman confirma que la fessée était au programme en me faisant avancer
d’une bonne claque sur les fesses. Ma belle-mère sourit.
« Je vois que cette jeune
dame a appris ce que c’est que de recevoir une fessée. Il semble, de plus, que
cela lui ait fait énormément de bien. Vous avez fait de l’excellent travail,
Chantal ! Toute l’arrogance que je lisais dans les yeux de Laure, a
disparu. »
Je n’avais jamais eu d’atomes
crochus avec ma belle-mère. Nous nous supportions, mais cela n’allait pas plus
loin. J’évitais de la provoquer car elle disposait d’une autorité naturelle que
je ne tenais pas à éprouver.
« Je suis bien contente d’en
être arrivé là ! Depuis plus d’un an, poursuivit ma mère, que nous étions
parvenus à la conclusion que seule une bonne fessée pouvait remettre nos deux
rejetons dans le droit chemin. Je n’avais jamais osé passer à l’acte. »
Je tombais des nues. Non
seulement ma mère et ma belle-mère se connaissaient très bien, alors que je
croyais qu’elles avaient à peine échangé trois mots au cours d’une unique
rencontre, mais de plus, l’un des sujets de conversation qu’elles avaient eus,
touchait à la manière de nous discipliner, Denis et moi.
« J’en ai fait autant. Venez
voir ! »
Denis se tenait dans l’un des
angles de notre séjour. Il avait été dégagé et la plante qui s’y trouvait habituellement, n’était plus en vue. Denis nous tournait le dos. Ses bras y étaient croisés,
retenant sa chemise au-dessus de ses reins. Son pantalon entourant ses mollets
et sa culotte également baissée laissait voir ses fesses et ses cuisses nues. Les
traces encore visibles sur son postérieur montraient la sévérité de la fessée
qu’il avait reçue.
Quand il nous entendit entrer
dans la pièce, il tourna la tête et, en voyant ma mère, il poussa un
gémissement étouffé. Sa mère fondit sur lui. Les claques qu’elle lui asséna
résonnèrent dans la pièce.
« Le nez dans le coin !
Je t’ai expressément ordonné de ne pas bouger de là ! Tu auras une autre
fessée pour cette désobéissance. »
Denis reprit sa position tout en
poussant de petits cris qu’il étouffa bien vite.
« Il est temps que je le
reprenne en main. Cela faisait trop longtemps que je ne l’avais pas fessé. Il
était temps de recommencer ! »
Denis n’avait jamais été clair
sur cette question. C’était une espèce de secret de famille, mais j’en étais
arrivé à la conclusion qu’à la différence de la mienne, sa mère n’avait épargné
la fessée à aucun de ses enfants. Suite à quelques allusions qu’elle avait
négligemment lâchées au cours d’une conversation, j’avais cru comprendre que
cette méthode de discipline familiale avait été utilisée tant que ses enfants
vivaient sous son toit. Comme nous avions emménagé ensemble assez tard, j’en
avais déduit que Denis avait été soumis à ce régime quasiment jusqu’à ses trente-cinq
ans.
Je n’avais, à l’époque, pas tenu
sur le sujet. La façon dont ma belle-mère avait abordé le sujet laissait
supposer qu’une fessée ferait beaucoup de bien à certaines personnes bien
qu’elles soient adultes. Denis était, à l’évidence visé, mais j’étais également
compris dans le lot. J’avais prudemment trouvé un autre sujet de conversation.
« Ce petit effronté s’est
cru autorisé à me répondre quand je lui ai annoncé que je surveillerai
désormais tous ses actes et ceux de Laure afin d’éradiquer les mauvaises
habitudes. Il a même essayé de résister quand j’ai commencé à lui baisser son
pantalon. Vous pouvez me croire, cela n’a pas duré longtemps ! »
Denis, dans son coin, restait
absolument silencieux et immobile. Apparemment l’autorité de sa mère avait pris
le dessus sur sa propre volonté.
« Moins de deux minutes plus
tard, quand ses fesses ont commencé à virer au rouge sombre, j’avais de nouveau
un petit garçon obéissant à plat-ventre en travers de mes genoux. »
Ma belle-mère montrait un air
satisfait. Elle avait accompli son devoir et son fils, au coin la culotte baissée
en était la preuve indiscutable. Son autorité n’était plus contestée. Tout
était en ordre.
« Fort heureusement, cela a
été plus simple pour Laure, répondit ma mère. J’en ai même été surprise mais
les fessées reçues à son travail avaient préparé le terrain. Elle a été
obéissante y compris quand je lui ai baissé la culotte. Elle savait
pertinemment qu’elle avait mérité cette fessée. »
Je ne savais plus où me mettre.
Maman parlait, en ma présence, de la fessée qu’elle m’avait donnée aussi
ouvertement que si j’avais encore cinq ou six ans. A les entendre, il était
normal qu’elles aient, chacune de leur côté, donné une fessée déculottée à leur
enfant alors que nous avions, l’un et l’autre, plus de trente-cinq ans. Je
n’arrivais pourtant pas à considérer l’avalanche de punitions que j’avais
reçues dans la journée comme un fait banal.
Je voulais me cacher, au plus
loin de ces deux femmes qui se congratulaient mutuellement des corrections
qu’elles nous avaient administrées à Denis et à moi. Je pris conscience que
j’avais honte d’avoir été déculottée et fessée, honte que ma belle-mère ait été
mise au courant et honte de me pas m’insurger contre ce traitement
infantilisant.
Une petite voix ne cessait de me
répéter que ces punitions étaient totalement méritées et que je ne pouvais m’en
prendre qu’à moi-même. Je ne pouvais en vouloir à ma mère qui n’avait fait que
son devoir. L’intrusion de ma belle-mère me gênait bien plus, mais de son côté,
elle avait légitimement puni son fils. C’était l’inquiétude pour leurs enfants
et l’amour maternel qu’elles nous vouaient qui les avait conduites à nous
imposer leur supervision. Comment pourrait-on, sans ingratitude, se rebeller
face à autant de dévouement ?
« Ah, j’oubliais ! Il
faut que je m’occupe de cette culotte ! »
Avant d’avoir compris ce qui
m’arrivait, Maman m’avait courbée sous son bras et elle avait retroussé ma
jupe.
« Regardez-moi ce qu’elle
porte comme sous-vêtement ! In-dé-cent ! »
Elle ponctua chacune des syllabes
du mot par une forte claque sur mes fesses.
« En effet, cela n’a rien
d’une culotte, renchérit ma belle-mère. Je comprends votre indignation. Elle ne
cache rien des fesses de cette jeune dame. Je suppose que c’est pareil
devant. »
Ma mère me relâcha et elle me
redressa.
« Relève ta
jupe ! »
Ma courte hésitation suffit pour
que je reçoive une claque sur la cuisse.
« Vas-tu obéir ? »
Je retroussais le bas de ma jupe,
tout en cherchant à cacher mon triangle pubien. La main leste de ma mère eut
tôt fait de rougir le haut de ma cuisse.
« N’essaye pas de nous faire
croire que tu es gênée de nous montrer tes fesses. Si c’était le cas, tu
porterais une autre sorte de culotte. Ta pudibonderie n’a pas de place
ici ! C’est toi qui as pris le risque d’exposer tes fesses ! Plus
haut la jupe ! »
Je fermais les yeux, mais j’obéis.
« Tout juste si ça cache les
lèvres vaginales.
– Les poils débordent de
partout ! »
Les commentaires indignés
allèrent bon train pendant un petit moment.
« Il n’est pas question que
ma fille porte des dessous pareils ! »
Je sentis les doigts de ma mère
s’emparer de l’élastique de ma culotte, puis elle la baissa sur mes chevilles.
En un réflexe de pudeur, mes mains descendirent pour se placer devant mon sexe
mis à nu, laissant tomber ma jupe.
C’était l’erreur à ne pas
commettre. La main de ma mère généreusement appliquée sur le haut de ma cuisse
me le rappela sans tarder. Bien que je ne fusse pas tenue, je n’osais pas ni me
dérober, ni interposer ma main entre celle de ma mère et ma cuisse qui
commençait à me brûler sérieusement. Il ne fallut pas bien longtemps pour que
je replace, de moi-même, ma jupe là où elle devait être selon les désirs de ma
mère.
« Tu n’as rien à cacher que
Clotilde et moi n’ayons déjà vu. Crois-tu que tes fesses aient quelque chose
d’exceptionnelle ? Pour ma part, je ne vois qu’une grande fille qui a
besoin d’être bien plus souvent punie qu’elle l’a été jusqu’à maintenant. Tu
auras donc plus d’une occasion de te tenir devant moi culotte baissée.
– Il va bien falloir que tu
t’habitues à ce que, désormais, nous voyons régulièrement tes fesses nues,
rajouta ma belle-mère. Ne serait-ce que pour te fesser. »
Je ne savais plus trop où j’en
étais. Je levais la jambe machinalement quand ma mère me le demanda et ma
culotte sexy dont j’étais si fière, était maintenant roulée en boule dans la
main de ma mère. Je n’arrivais pas à imaginer quelle image je donnais, mes bas
gainant mes jambes, ma jupe relevée au-dessus de ma taille et, entre les deux,
mes fesses nues exposées sur lesquelles un courant d’air donnait un sentiment
de fraîcheur.
« Débarrasse-toi de ce
morceau de tissu. Direction les chiffons et je ne veux plus le revoir
ailleurs ! »
Sa mère lui tendait la culotte et
d’un coup de menton elle désigna la porte. Laure prit le sous-vêtement. Sa jupe
n’était plus tenue que d’une main. Elle retomba d’un côté sur ses fesses, les
dissimulant à moitié. Un moment d’affolement traversa les yeux de Laure. Sa
mère considérerait-elle cette maladresse comme une désobéissance ? Laure
se hâta de remettre sa jupe à sa place, bien haut au-dessus de ses fesses.
« C’est bien d’être aussi
obéissante, commenta sa mère, ça t’évitera un grand nombre de fessées si tu
continues comme cela. Tu peux laisser retomber ta jupe et faire ce que viens de
t’ordonner. Je n’aurais aucun mal à la retrousser pour te donner la fessée, dès
que tu seras revenue ici. »
Laure n’eut le temps que de faire
deux pas vers la porte.
« Une seconde, tant que j’y
pense. Autant faire d’une pierre deux coups. Jetons un œil sur ton
soutien-gorge. Viens-ici ! »
Madame Talouet fit passer le pull
que portait Laure par-dessus la tête de sa fille. Puis elle lui déboutonna le
corsage et elle en écarta les deux pans. C’était un soutien-gorge en dentelles
très ajouré, assorti à la culotte. Il avait un très large décolleté et les
seins étaient visibles à travers les dentelles.
« J’en étais certaine. Pas
mieux que la culotte. Qu’en pensez-vous, Clotilde ? »
Elle tourna sa fille face à sa
belle-mère. Laure croisa ses mains sur sa poitrine, ce qui lui valut une claque
sur les fesses.
« Laisse Clotilde voir ! »
Laure enleva ses mains et elle
baissa la tête. Elle avait honte d’être exhibée poitrine nue devant sa
belle-mère, mais elle avait encore plus honte de son choix de sous-vêtement. En
pleine lumière, face à ces deux femmes mûres décemment habillées, il ne
semblait pas convenir à une femme respectable, mais plutôt à une jeune fille de
mœurs légères.
« En effet, je n’aimerais
pas que ma fille porte ce genre de lingerie. Je comprends votre colère,
Chantal.
– Je pense que ce soutien-gorge
va prendre le même chemin que la culotte. Enlève-le ! »
Les choses n’allant pas assez
vite à son goût, Madame Talouet s’en occupa elle-même. Elle ôta le chemisier,
puis dégrafa le soutien-gorge et le fit glisser le long des bras de sa fille.
Laure n’osait plus protéger sa poitrine nue. Elle sentait le regard de sa
belle-mère qui s’y posait, inspectant la fermeté des mamelles qui s’étalaient
sous ses yeux.
Madame Talouet y posa ses mains,
éprouvant leur tonicité. Elle réfléchit un instant, puis elle trancha.
« Tu n’auras pas besoin d’un
autre soutien-gorge pour ce soir. Pour la suite, je verrai si je t’en remettrai
un. »
Quand elle eut rhabillé Laure,
celle-ci avait l’impression d’être encore à moitié nue. Ne pas avoir de dessous
lui procurait la sensation de ne pas avoir de vêtements du tout. Elle avait
pleinement conscience que du côté de ses fesses et de sa poitrine, il lui
manquait quelque chose.
« Débarrasse-moi de
cela ! »
Cette fois-ci fut la bonne. Elle
put aller jusque dans le placard où elle entreposait un carton rempli de
chiffons. Elle y plaça ses sous-vêtements bien au fond afin qu’ils ne soient
pas utilisés, par mégarde, pour un usage ménager. Elle avait toujours espoir,
le temps aidant, qu’elle pourrait les ramener à leur utilisation première.
Son ventre se noua quand elle
pénétra de nouveau dans le séjour où sa mère et sa belle-mère l’attendaient.
Cela faillit déclencher un pipi intempestif qu’elle retint à grand peine. Elle
n’y avait pas pris garde jusqu’à maintenant, mais un passage urgent aux
toilettes s’imposait. Elle hésita, mais elle ne pouvait en prendre l’initiative
seule.
« Est-ce que je peux aller
faire pipi, Maman ?
– As-tu vraiment envie ou bien
c’est pour retarder le moment de ta fessée ?
– Oh non, Maman. Je ne peux plus
me retenir plus longtemps.
– Si vous le voulez, Chantal, je
peux accompagner Laure aux toilettes pour vérifier si elle fait réellement
pipi. »
Laure n’en croyait pas ses
oreilles. Non seulement elle avait dû demander l’autorisation d’aller aux
toilettes, mais de plus on envisageait de l’y accompagner. Sa belle-mère
voulait s’insérer dans un espace d’intimité où elle aurait préféré ne jamais la
voir. Elle se sentait plus surveillée que si elle avait été une petite fille.
« C’est une excellente
idées, Clotilde ! Emmenez donc cette donzelle faire pipi. »
Laure resta sans voix. Sa
belle-mère la prit par le bras.
« En route ma chérie.
Direction les toilettes ! J’espère que tu as réellement envie de faire
pipi. »
Une petite claque sur les fesses
accompagna cette demi-menace. Sa belle-mère se permettait des privautés qu’elle
n’aurait jamais osées avant aujourd’hui. La promesse d’une future fessée y
était contenue sans qu’on puisse s’y tromper. Cela apparaissait cependant tout
à fait légitime et Laure ne pensait pas pertinent de s’en offusquer
ouvertement. Elle refoula ses protestations.
Sa belle-mère la suivit dans les
toilettes pourtant fort étroites. Elle la plaça devant la cuvette, souleva
l’arrière de la jupe, puis elle l’assit sur les toilettes.
« Allons, c’est le moment de
faire pipi ! »
Elle resta là à attendre, les
bras croisés, montrant progressivement son impatience. Laure ne se remettait
pas de la place que sa belle-mère s’était attribuée. Bien que sa vessie soit
pleine à déborder, elle ne pouvait se résoudre à s’exécuter devant elle. Sa
simple présence bloquait la miction. L’attente se prolongeait.
« Ce n’était apparemment pas
si urgent que cela, dit sa belle-mère d’une voix sèche ! Je crois que je
vais devoir sévir ! »
Laure comprenait parfaitement le
raisonnement qui naissait dans la tête de sa belle-mère. La demande de passage
aux toilettes n’était qu’un subterfuge pour retarder le moment de la fessée.
C’était donc un mensonge et Laure n’avait pas de mal à en imaginer les
conséquences : soit elle réussissait à faire pipi sur le champ, soit elle
prenait une fessée que sa belle-mère semblait prête à lui administrer.
« Je crois que cette comédie
a assez duré ! »
La terreur contracta les
entrailles de Laure et le jet d’urine jaillit, long, interminable, puis il
s’épuisa. Sa belle-mère avait gardé son air sévère.
« Il t’en a fallu du temps
pour une chose aussi simple. Que de comédie ! Simplement parce que Madame
ne voulait pas faire pipi en ma présence. Je ne sais pas ce qui me retient de
te fesser ! »
Elle prit deux feuilles de papier
au dérouleur.
« Mets-toi
debout ! »
Laure n’eut pas vraiment le
choix. Sa belle-mère la prit par le bras et elle la mit debout. Elle releva la
robe, puis approcha de sa vulve, la main qui tenait les deux feuilles de papier
toilette. C’en était trop pour Laure qui abaissa la jupe de ses deux mains,
dissimulant son pubis.
« Je suis fatiguée de tes
désobéissances ! »
Laure ne pouvait pas lutter
physiquement avec sa belle-mère. Celle-ci mesurait une bonne quinzaine de
centimètres de plus qu’elle et elle devait peser autant de kilos de plus. Laure
eut l’impression d’une tornade qui la ceinturait, la faisait passer sous le
bras de sa belle-mère. Son buste fut pris dans un étau dont elle ne pouvait de
défaire. Elle n’eut pas le temps d’esquisser un mouvement avant que sa jupe ne
fût relevée, laissant ses fesses à nu.
Laure resta inerte durant les
quatre ou cinq premières claques. C’était des marques de feu qui s’imprimaient
sur ses fesses. La fessée de sa mère avait été cuisante, mais celle de sa
belle-mère s’annonçait redoutable. Au bout d’une dizaine de claques
supplémentaires, Laure sut qu’elle ne pourrait en supporter plus.
Elle ne voulait pas être corrigée
par sa belle-mère, qui n’en avait pas le droit. C’était déjà bien assez
difficile d’être fessée, à trente-cinq ans, par sa mère et ses supérieurs
hiérarchiques au travail, elle ne voulait pas que d’autres personnes puissent
également la punir. Quitte à être ensuite punie plus sévèrement par sa mère,
elle décida de ne pas se laisser faire.
Pendant que la fessée continuait,
Laure tenta de desserrer l’étreinte qui la maintenait en place. Bien qu’elle
utilisât ses deux mains, elle ne put faire bouger le bras de sa belle-mère, pas
même d’un centimètre. Celle-ci ne semblait pas se rendre compte de la tentative
de Laure de se dégager. La fessée se poursuivait, implacable.
Laura, désespérée par sa vaine
tentative se mit à battre des pieds le plus énergiquement possible. Dans cet
espace étroit, elle se cognait contre les murs, mais son attitude obligea sa
belle-mère à réagir.
« Petite peste
désobéissante, vas-tu te tenir tranquille ? »
Elle s’assit sur la cuvette des
toilettes sans lâcher Laure qui tomba à plat ventre sur ses genoux. Elle écarta
les cuisses, pour laisser les jambes de sa belle-fille tomber entre les siennes,
puis elle referma ses genoux sur ceux de Laure. Cette dernière tenta une
première ruade, puis une deuxième, mais elle était complètement immobilisée.
Ses pieds avaient encore un peu de liberté, mais ses jambes n’avaient plus un
centimètre de marge pour se mouvoir.
La main reprit son ouvrage sur
les fesses de Laure qui protégea ses fesses en une dernière tentative
désespérée. Laure ne put esquisser une défense quand sa belle-mère remonta son
bras dans son dos, prenant le contrôle total de ses gestes. Plus rien ne
s’opposait à ce que la fessée aille à son terme. Terme au sujet duquel Laure ne
pouvait plus rien exiger. Sa belle-mère en avait la décision et elle n’était
pas décidée à le voir arriver de suite.
Quand elle cessa de se débattre,
Laure fondit en lourds sanglots. Elle savait qu’elle venait de perdre ce combat
et que cela aurait des conséquences sur les fessées à venir de la main de sa
belle-mère. Celle-ci venait de démontrer qu’elle pouvait la fesser, même si
Laure ne l’acceptait pas. Cette fessée en appellerait des suivantes,
certainement très nombreuses.
Laure sentit qu’on relâchait son
bras plié dans son dos et que les genoux de sa belle-mère ne la serraient
presque plus.
« Je ne veux plus que tu te
débattes quand j’ai décidé de te fesser. Est-ce bien entendu ?
– Oui Madame, réussit à répondre
Laure entre deux sanglots.
– Cela te vaudra une deuxième
fessée à chaque fois que tu feras une colère alors que je te punis, comme celle
que tu viens de piquer. Nous réglerons cela plus tard. Finissons d’abord
celle-là ! »
La main qui s’abattit sur les
fesses de Laure était toujours aussi lourde. Les pleurs de Laure redoublèrent,
mais elle ne fit rien pour se soustraire à la correction alors qu’elle pensait,
depuis un petit moment, qu’elle ne pourrait pas supporter une claque de plus.
« Bien, je vois que tu as
compris que c’est moi qui décide quand tu dois avoir une fessée. C’est
préférable pour toi car il y en aura d’autres. Relève-toi ! »
La belle-mère de Laure reprit le
papier toilette qu’elle avait posé le temps de la corriger.
« Soulève ta
jupe ! »
Laure en été mortifiée, mais elle
obéit. Défier sa belle-mère aurait des conséquences pour ses fesses qu’elle ne
pouvait envisager. Elle eut cependant un geste de recul quand les doigts de sa
belle-mère s’approchèrent de son pubis.
« Laure, gronda sa
belle-mère ! »
Elle posa une main sur les fesses
de sa belle-fille puis elle appliqua le papier sur la vulve de celle-ci. Laure
ne pouvait plus bouger sauf à désobéir ouvertement. La crainte d’une nouvelle
fessée fut la plus forte. Elle ferma les yeux et se laissa faire.
A sa grande surprise, sa
belle-mère fit preuve d’une grande douceur. Elle tapota doucement les lèvres du
vagin, essuyant les dernières gouttes d’urine. C’était même plutôt agréable
après la cuisson provoquée par la main.
« Etait-ce donc si
terrible ?
– Non Madame, dut convenir Laure.
– Est-ce que ça nécessitait un
tel caprice ?
– Non Madame.
– Remets ta jupe à sa place et
allons rejoindre ta Maman. Tu vas lui expliquer combien tu as été
vilaine. »
Rappelez-vous, Laure...
Vous l'avez déjà croisée. Elle travaille dans le super marché où Alex a dû faire un douloureux séjour. C'est dans le chapitre 89 et vous trouverez l'explication de son empressement à se rendre chez sa mère dans le chapitre 96
Relire le début du récit ? Pas de problème : le chapitre 1
Nous la retrouverons bientôt...
Et les commentaires ...
Ils sont évidemment les bienvenus, voire un peu plus. c'est également une façon de contribuer au dynamisme du blog pour ceux qui ne se sentent pas une âme d'auteur.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.