samedi 15 juin 2019

Reprise en mains maternelle - chapitre 2

Maman était toujours aussi fâchée après moi quand nous arrivâmes à mon domicile. Elle n’avait pas quitté une seconde son rôle de mère exaspérée par le comportement de son enfant. Elle ne me laissait pas un mètre de liberté. Elle me faisait sentir que j’étais sous son contrôle. Tôt au long du trajet qui menait de sa voiture à mon appartement, elle me tenait par le bras. Deux fois, alors que je marquais une hésitation à obéir à l’une de ses directives, elle me claqua les fesses. Ma jupe les recouvrait. Cela ne me fit pas grand mal, mal c’était dans un lieu public où je risquais de rencontrer des voisins qui me connaissaient.
La première fois, ce fut dans la rue. Il n’y avait que des personnes inconnues, mais deux d’entre elles se retournèrent au bruit de la claque et elles s’immobilisèrent pour nous regarder nous éloigner. La deuxième fois, ce fut dans le hall de l’immeuble dans lequel j’habitais. Ce furent cinq claques sur les fesses qui sanctionnèrent mon comportement quand je me mis à traîner les pieds. J’appréhendais ce que je risquais de trouver en arrivant chez moi.
« Veux-tu une fessée ici et maintenant, Laure ? »
Je croyais la menace sérieuse. Je cessais aussitôt ma résistance et je montrais mon obéissance en devançant les désirs de ma génitrice. Je savais que ma punition n’était pas achevée mais je ne comprenais pas pourquoi Maman ne l’avait pas poursuivie dans son appartement. Denis devait être rentré à la maison. Voulait-elle me punir en sa présence ? Je craignais que la suite de mon châtiment n’implique ma belle-mère, comme le coup de téléphone le laissait penser.
Mon cœur battait follement quand Maman sonna à la porte. Je songeais un bref instant que c’était inutile puisque j’avais mes clés, mais ce n’était pas le moment de me signaler à l’attention de ma mère tant elle semblait encore furieuse contre moi.
Ma belle-mère ouvrit la porte. Je faillis faire pipi par terre. Mes pires craintes se confirmaient. S’il en était besoin, Maman confirma que la fessée était au programme en me faisant avancer d’une bonne claque sur les fesses. Ma belle-mère sourit.
« Je vois que cette jeune dame a appris ce que c’est que de recevoir une fessée. Il semble, de plus, que cela lui ait fait énormément de bien. Vous avez fait de l’excellent travail, Chantal ! Toute l’arrogance que je lisais dans les yeux de Laure, a disparu. »
Je n’avais jamais eu d’atomes crochus avec ma belle-mère. Nous nous supportions, mais cela n’allait pas plus loin. J’évitais de la provoquer car elle disposait d’une autorité naturelle que je ne tenais pas à éprouver.
« Je suis bien contente d’en être arrivé là ! Depuis plus d’un an, poursuivit ma mère, que nous étions parvenus à la conclusion que seule une bonne fessée pouvait remettre nos deux rejetons dans le droit chemin. Je n’avais jamais osé passer à l’acte. »
Je tombais des nues. Non seulement ma mère et ma belle-mère se connaissaient très bien, alors que je croyais qu’elles avaient à peine échangé trois mots au cours d’une unique rencontre, mais de plus, l’un des sujets de conversation qu’elles avaient eus, touchait à la manière de nous discipliner, Denis et moi.
« J’en ai fait autant. Venez voir ! »
Denis se tenait dans l’un des angles de notre séjour. Il avait été dégagé et la plante qui s’y trouvait habituellement, n’était plus en vue. Denis nous tournait le dos. Ses bras y étaient croisés, retenant sa chemise au-dessus de ses reins. Son pantalon entourant ses mollets et sa culotte également baissée laissait voir ses fesses et ses cuisses nues. Les traces encore visibles sur son postérieur montraient la sévérité de la fessée qu’il avait reçue.
Quand il nous entendit entrer dans la pièce, il tourna la tête et, en voyant ma mère, il poussa un gémissement étouffé. Sa mère fondit sur lui. Les claques qu’elle lui asséna résonnèrent dans la pièce.
« Le nez dans le coin ! Je t’ai expressément ordonné de ne pas bouger de là ! Tu auras une autre fessée pour cette désobéissance. »
Denis reprit sa position tout en poussant de petits cris qu’il étouffa bien vite.
« Il est temps que je le reprenne en main. Cela faisait trop longtemps que je ne l’avais pas fessé. Il était temps de recommencer ! »
Denis n’avait jamais été clair sur cette question. C’était une espèce de secret de famille, mais j’en étais arrivé à la conclusion qu’à la différence de la mienne, sa mère n’avait épargné la fessée à aucun de ses enfants. Suite à quelques allusions qu’elle avait négligemment lâchées au cours d’une conversation, j’avais cru comprendre que cette méthode de discipline familiale avait été utilisée tant que ses enfants vivaient sous son toit. Comme nous avions emménagé ensemble assez tard, j’en avais déduit que Denis avait été soumis à ce régime quasiment jusqu’à ses trente-cinq ans.
Je n’avais, à l’époque, pas tenu sur le sujet. La façon dont ma belle-mère avait abordé le sujet laissait supposer qu’une fessée ferait beaucoup de bien à certaines personnes bien qu’elles soient adultes. Denis était, à l’évidence visé, mais j’étais également compris dans le lot. J’avais prudemment trouvé un autre sujet de conversation.
« Ce petit effronté s’est cru autorisé à me répondre quand je lui ai annoncé que je surveillerai désormais tous ses actes et ceux de Laure afin d’éradiquer les mauvaises habitudes. Il a même essayé de résister quand j’ai commencé à lui baisser son pantalon. Vous pouvez me croire, cela n’a pas duré longtemps ! »
Denis, dans son coin, restait absolument silencieux et immobile. Apparemment l’autorité de sa mère avait pris le dessus sur sa propre volonté.
« Moins de deux minutes plus tard, quand ses fesses ont commencé à virer au rouge sombre, j’avais de nouveau un petit garçon obéissant à plat-ventre en travers de mes genoux. »
Ma belle-mère montrait un air satisfait. Elle avait accompli son devoir et son fils, au coin la culotte baissée en était la preuve indiscutable. Son autorité n’était plus contestée. Tout était en ordre.
« Fort heureusement, cela a été plus simple pour Laure, répondit ma mère. J’en ai même été surprise mais les fessées reçues à son travail avaient préparé le terrain. Elle a été obéissante y compris quand je lui ai baissé la culotte. Elle savait pertinemment qu’elle avait mérité cette fessée. »
Je ne savais plus où me mettre. Maman parlait, en ma présence, de la fessée qu’elle m’avait donnée aussi ouvertement que si j’avais encore cinq ou six ans. A les entendre, il était normal qu’elles aient, chacune de leur côté, donné une fessée déculottée à leur enfant alors que nous avions, l’un et l’autre, plus de trente-cinq ans. Je n’arrivais pourtant pas à considérer l’avalanche de punitions que j’avais reçues dans la journée comme un fait banal.
Je voulais me cacher, au plus loin de ces deux femmes qui se congratulaient mutuellement des corrections qu’elles nous avaient administrées à Denis et à moi. Je pris conscience que j’avais honte d’avoir été déculottée et fessée, honte que ma belle-mère ait été mise au courant et honte de me pas m’insurger contre ce traitement infantilisant.
Une petite voix ne cessait de me répéter que ces punitions étaient totalement méritées et que je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même. Je ne pouvais en vouloir à ma mère qui n’avait fait que son devoir. L’intrusion de ma belle-mère me gênait bien plus, mais de son côté, elle avait légitimement puni son fils. C’était l’inquiétude pour leurs enfants et l’amour maternel qu’elles nous vouaient qui les avait conduites à nous imposer leur supervision. Comment pourrait-on, sans ingratitude, se rebeller face à autant de dévouement ?

« Ah, j’oubliais ! Il faut que je m’occupe de cette culotte ! »
Avant d’avoir compris ce qui m’arrivait, Maman m’avait courbée sous son bras et elle avait retroussé ma jupe.
« Regardez-moi ce qu’elle porte comme sous-vêtement ! In-dé-cent ! »
Elle ponctua chacune des syllabes du mot par une forte claque sur mes fesses.
« En effet, cela n’a rien d’une culotte, renchérit ma belle-mère. Je comprends votre indignation. Elle ne cache rien des fesses de cette jeune dame. Je suppose que c’est pareil devant. »
Ma mère me relâcha et elle me redressa.
« Relève ta jupe ! »
Ma courte hésitation suffit pour que je reçoive une claque sur la cuisse.
« Vas-tu obéir ? »
Je retroussais le bas de ma jupe, tout en cherchant à cacher mon triangle pubien. La main leste de ma mère eut tôt fait de rougir le haut de ma cuisse.
« N’essaye pas de nous faire croire que tu es gênée de nous montrer tes fesses. Si c’était le cas, tu porterais une autre sorte de culotte. Ta pudibonderie n’a pas de place ici ! C’est toi qui as pris le risque d’exposer tes fesses ! Plus haut la jupe ! »
Je fermais les yeux, mais j’obéis.
« Tout juste si ça cache les lèvres vaginales.
– Les poils débordent de partout ! »
Les commentaires indignés allèrent bon train pendant un petit moment.
« Il n’est pas question que ma fille porte des dessous pareils ! »
Je sentis les doigts de ma mère s’emparer de l’élastique de ma culotte, puis elle la baissa sur mes chevilles. En un réflexe de pudeur, mes mains descendirent pour se placer devant mon sexe mis à nu, laissant tomber ma jupe.
C’était l’erreur à ne pas commettre. La main de ma mère généreusement appliquée sur le haut de ma cuisse me le rappela sans tarder. Bien que je ne fusse pas tenue, je n’osais pas ni me dérober, ni interposer ma main entre celle de ma mère et ma cuisse qui commençait à me brûler sérieusement. Il ne fallut pas bien longtemps pour que je replace, de moi-même, ma jupe là où elle devait être selon les désirs de ma mère.
« Tu n’as rien à cacher que Clotilde et moi n’ayons déjà vu. Crois-tu que tes fesses aient quelque chose d’exceptionnelle ? Pour ma part, je ne vois qu’une grande fille qui a besoin d’être bien plus souvent punie qu’elle l’a été jusqu’à maintenant. Tu auras donc plus d’une occasion de te tenir devant moi culotte baissée.
– Il va bien falloir que tu t’habitues à ce que, désormais, nous voyons régulièrement tes fesses nues, rajouta ma belle-mère. Ne serait-ce que pour te fesser. »
Je ne savais plus trop où j’en étais. Je levais la jambe machinalement quand ma mère me le demanda et ma culotte sexy dont j’étais si fière, était maintenant roulée en boule dans la main de ma mère. Je n’arrivais pas à imaginer quelle image je donnais, mes bas gainant mes jambes, ma jupe relevée au-dessus de ma taille et, entre les deux, mes fesses nues exposées sur lesquelles un courant d’air donnait un sentiment de fraîcheur.
« Débarrasse-toi de ce morceau de tissu. Direction les chiffons et je ne veux plus le revoir ailleurs ! »
Sa mère lui tendait la culotte et d’un coup de menton elle désigna la porte. Laure prit le sous-vêtement. Sa jupe n’était plus tenue que d’une main. Elle retomba d’un côté sur ses fesses, les dissimulant à moitié. Un moment d’affolement traversa les yeux de Laure. Sa mère considérerait-elle cette maladresse comme une désobéissance ? Laure se hâta de remettre sa jupe à sa place, bien haut au-dessus de ses fesses.
« C’est bien d’être aussi obéissante, commenta sa mère, ça t’évitera un grand nombre de fessées si tu continues comme cela. Tu peux laisser retomber ta jupe et faire ce que viens de t’ordonner. Je n’aurais aucun mal à la retrousser pour te donner la fessée, dès que tu seras revenue ici. »
Laure n’eut le temps que de faire deux pas vers la porte.
« Une seconde, tant que j’y pense. Autant faire d’une pierre deux coups. Jetons un œil sur ton soutien-gorge. Viens-ici ! »
Madame Talouet fit passer le pull que portait Laure par-dessus la tête de sa fille. Puis elle lui déboutonna le corsage et elle en écarta les deux pans. C’était un soutien-gorge en dentelles très ajouré, assorti à la culotte. Il avait un très large décolleté et les seins étaient visibles à travers les dentelles.
« J’en étais certaine. Pas mieux que la culotte. Qu’en pensez-vous, Clotilde ? »
Elle tourna sa fille face à sa belle-mère. Laure croisa ses mains sur sa poitrine, ce qui lui valut une claque sur les fesses.
« Laisse Clotilde voir ! »
Laure enleva ses mains et elle baissa la tête. Elle avait honte d’être exhibée poitrine nue devant sa belle-mère, mais elle avait encore plus honte de son choix de sous-vêtement. En pleine lumière, face à ces deux femmes mûres décemment habillées, il ne semblait pas convenir à une femme respectable, mais plutôt à une jeune fille de mœurs légères.
« En effet, je n’aimerais pas que ma fille porte ce genre de lingerie. Je comprends votre colère, Chantal.
– Je pense que ce soutien-gorge va prendre le même chemin que la culotte. Enlève-le ! »
Les choses n’allant pas assez vite à son goût, Madame Talouet s’en occupa elle-même. Elle ôta le chemisier, puis dégrafa le soutien-gorge et le fit glisser le long des bras de sa fille. Laure n’osait plus protéger sa poitrine nue. Elle sentait le regard de sa belle-mère qui s’y posait, inspectant la fermeté des mamelles qui s’étalaient sous ses yeux.
Madame Talouet y posa ses mains, éprouvant leur tonicité. Elle réfléchit un instant, puis elle trancha.
« Tu n’auras pas besoin d’un autre soutien-gorge pour ce soir. Pour la suite, je verrai si je t’en remettrai un. »
Quand elle eut rhabillé Laure, celle-ci avait l’impression d’être encore à moitié nue. Ne pas avoir de dessous lui procurait la sensation de ne pas avoir de vêtements du tout. Elle avait pleinement conscience que du côté de ses fesses et de sa poitrine, il lui manquait quelque chose.
« Débarrasse-moi de cela ! »
Cette fois-ci fut la bonne. Elle put aller jusque dans le placard où elle entreposait un carton rempli de chiffons. Elle y plaça ses sous-vêtements bien au fond afin qu’ils ne soient pas utilisés, par mégarde, pour un usage ménager. Elle avait toujours espoir, le temps aidant, qu’elle pourrait les ramener à leur utilisation première.

Son ventre se noua quand elle pénétra de nouveau dans le séjour où sa mère et sa belle-mère l’attendaient. Cela faillit déclencher un pipi intempestif qu’elle retint à grand peine. Elle n’y avait pas pris garde jusqu’à maintenant, mais un passage urgent aux toilettes s’imposait. Elle hésita, mais elle ne pouvait en prendre l’initiative seule.
« Est-ce que je peux aller faire pipi, Maman ?
– As-tu vraiment envie ou bien c’est pour retarder le moment de ta fessée ?
– Oh non, Maman. Je ne peux plus me retenir plus longtemps.
– Si vous le voulez, Chantal, je peux accompagner Laure aux toilettes pour vérifier si elle fait réellement pipi. »
Laure n’en croyait pas ses oreilles. Non seulement elle avait dû demander l’autorisation d’aller aux toilettes, mais de plus on envisageait de l’y accompagner. Sa belle-mère voulait s’insérer dans un espace d’intimité où elle aurait préféré ne jamais la voir. Elle se sentait plus surveillée que si elle avait été une petite fille.
« C’est une excellente idées, Clotilde ! Emmenez donc cette donzelle faire pipi. »
Laure resta sans voix. Sa belle-mère la prit par le bras.
« En route ma chérie. Direction les toilettes ! J’espère que tu as réellement envie de faire pipi. »
Une petite claque sur les fesses accompagna cette demi-menace. Sa belle-mère se permettait des privautés qu’elle n’aurait jamais osées avant aujourd’hui. La promesse d’une future fessée y était contenue sans qu’on puisse s’y tromper. Cela apparaissait cependant tout à fait légitime et Laure ne pensait pas pertinent de s’en offusquer ouvertement. Elle refoula ses protestations.
Sa belle-mère la suivit dans les toilettes pourtant fort étroites. Elle la plaça devant la cuvette, souleva l’arrière de la jupe, puis elle l’assit sur les toilettes.
« Allons, c’est le moment de faire pipi ! »
Elle resta là à attendre, les bras croisés, montrant progressivement son impatience. Laure ne se remettait pas de la place que sa belle-mère s’était attribuée. Bien que sa vessie soit pleine à déborder, elle ne pouvait se résoudre à s’exécuter devant elle. Sa simple présence bloquait la miction. L’attente se prolongeait.
« Ce n’était apparemment pas si urgent que cela, dit sa belle-mère d’une voix sèche ! Je crois que je vais devoir sévir ! »
Laure comprenait parfaitement le raisonnement qui naissait dans la tête de sa belle-mère. La demande de passage aux toilettes n’était qu’un subterfuge pour retarder le moment de la fessée. C’était donc un mensonge et Laure n’avait pas de mal à en imaginer les conséquences : soit elle réussissait à faire pipi sur le champ, soit elle prenait une fessée que sa belle-mère semblait prête à lui administrer.
« Je crois que cette comédie a assez duré ! »
La terreur contracta les entrailles de Laure et le jet d’urine jaillit, long, interminable, puis il s’épuisa. Sa belle-mère avait gardé son air sévère.
« Il t’en a fallu du temps pour une chose aussi simple. Que de comédie ! Simplement parce que Madame ne voulait pas faire pipi en ma présence. Je ne sais pas ce qui me retient de te fesser ! »
Elle prit deux feuilles de papier au dérouleur.
« Mets-toi debout ! »
Laure n’eut pas vraiment le choix. Sa belle-mère la prit par le bras et elle la mit debout. Elle releva la robe, puis approcha de sa vulve, la main qui tenait les deux feuilles de papier toilette. C’en était trop pour Laure qui abaissa la jupe de ses deux mains, dissimulant son pubis.
« Je suis fatiguée de tes désobéissances ! »
Laure ne pouvait pas lutter physiquement avec sa belle-mère. Celle-ci mesurait une bonne quinzaine de centimètres de plus qu’elle et elle devait peser autant de kilos de plus. Laure eut l’impression d’une tornade qui la ceinturait, la faisait passer sous le bras de sa belle-mère. Son buste fut pris dans un étau dont elle ne pouvait de défaire. Elle n’eut pas le temps d’esquisser un mouvement avant que sa jupe ne fût relevée, laissant ses fesses à nu.
Laure resta inerte durant les quatre ou cinq premières claques. C’était des marques de feu qui s’imprimaient sur ses fesses. La fessée de sa mère avait été cuisante, mais celle de sa belle-mère s’annonçait redoutable. Au bout d’une dizaine de claques supplémentaires, Laure sut qu’elle ne pourrait en supporter plus.
Elle ne voulait pas être corrigée par sa belle-mère, qui n’en avait pas le droit. C’était déjà bien assez difficile d’être fessée, à trente-cinq ans, par sa mère et ses supérieurs hiérarchiques au travail, elle ne voulait pas que d’autres personnes puissent également la punir. Quitte à être ensuite punie plus sévèrement par sa mère, elle décida de ne pas se laisser faire.
Pendant que la fessée continuait, Laure tenta de desserrer l’étreinte qui la maintenait en place. Bien qu’elle utilisât ses deux mains, elle ne put faire bouger le bras de sa belle-mère, pas même d’un centimètre. Celle-ci ne semblait pas se rendre compte de la tentative de Laure de se dégager. La fessée se poursuivait, implacable.
Laura, désespérée par sa vaine tentative se mit à battre des pieds le plus énergiquement possible. Dans cet espace étroit, elle se cognait contre les murs, mais son attitude obligea sa belle-mère à réagir.
« Petite peste désobéissante, vas-tu te tenir tranquille ? »
Elle s’assit sur la cuvette des toilettes sans lâcher Laure qui tomba à plat ventre sur ses genoux. Elle écarta les cuisses, pour laisser les jambes de sa belle-fille tomber entre les siennes, puis elle referma ses genoux sur ceux de Laure. Cette dernière tenta une première ruade, puis une deuxième, mais elle était complètement immobilisée. Ses pieds avaient encore un peu de liberté, mais ses jambes n’avaient plus un centimètre de marge pour se mouvoir.
La main reprit son ouvrage sur les fesses de Laure qui protégea ses fesses en une dernière tentative désespérée. Laure ne put esquisser une défense quand sa belle-mère remonta son bras dans son dos, prenant le contrôle total de ses gestes. Plus rien ne s’opposait à ce que la fessée aille à son terme. Terme au sujet duquel Laure ne pouvait plus rien exiger. Sa belle-mère en avait la décision et elle n’était pas décidée à le voir arriver de suite.
Quand elle cessa de se débattre, Laure fondit en lourds sanglots. Elle savait qu’elle venait de perdre ce combat et que cela aurait des conséquences sur les fessées à venir de la main de sa belle-mère. Celle-ci venait de démontrer qu’elle pouvait la fesser, même si Laure ne l’acceptait pas. Cette fessée en appellerait des suivantes, certainement très nombreuses.
Laure sentit qu’on relâchait son bras plié dans son dos et que les genoux de sa belle-mère ne la serraient presque plus.
« Je ne veux plus que tu te débattes quand j’ai décidé de te fesser. Est-ce bien entendu ?
– Oui Madame, réussit à répondre Laure entre deux sanglots.
– Cela te vaudra une deuxième fessée à chaque fois que tu feras une colère alors que je te punis, comme celle que tu viens de piquer. Nous réglerons cela plus tard. Finissons d’abord celle-là ! »
La main qui s’abattit sur les fesses de Laure était toujours aussi lourde. Les pleurs de Laure redoublèrent, mais elle ne fit rien pour se soustraire à la correction alors qu’elle pensait, depuis un petit moment, qu’elle ne pourrait pas supporter une claque de plus.
« Bien, je vois que tu as compris que c’est moi qui décide quand tu dois avoir une fessée. C’est préférable pour toi car il y en aura d’autres. Relève-toi ! »
La belle-mère de Laure reprit le papier toilette qu’elle avait posé le temps de la corriger.
« Soulève ta jupe ! »
Laure en été mortifiée, mais elle obéit. Défier sa belle-mère aurait des conséquences pour ses fesses qu’elle ne pouvait envisager. Elle eut cependant un geste de recul quand les doigts de sa belle-mère s’approchèrent de son pubis.
« Laure, gronda sa belle-mère ! »
Elle posa une main sur les fesses de sa belle-fille puis elle appliqua le papier sur la vulve de celle-ci. Laure ne pouvait plus bouger sauf à désobéir ouvertement. La crainte d’une nouvelle fessée fut la plus forte. Elle ferma les yeux et se laissa faire.
A sa grande surprise, sa belle-mère fit preuve d’une grande douceur. Elle tapota doucement les lèvres du vagin, essuyant les dernières gouttes d’urine. C’était même plutôt agréable après la cuisson provoquée par la main.
« Etait-ce donc si terrible ?
– Non Madame, dut convenir Laure.
– Est-ce que ça nécessitait un tel caprice ?
– Non Madame.
– Remets ta jupe à sa place et allons rejoindre ta Maman. Tu vas lui expliquer combien tu as été vilaine. »


Rappelez-vous, Laure...

Vous l'avez déjà croisée. Elle travaille dans le super marché où Alex a dû faire un douloureux séjour. C'est dans le chapitre 89 et vous trouverez l'explication de son empressement à se rendre chez sa mère dans le chapitre 96

Relire le début du récit ? Pas de problème : le chapitre 1

Nous la retrouverons bientôt...

... dans le chapitre 3.

Et les commentaires ...


Ils sont évidemment les bienvenus, voire un peu plus. c'est également une façon de contribuer au dynamisme du blog pour ceux qui ne se sentent pas une âme d'auteur.

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