Des traditions à maintenir

Quand tu t'es mariée à mon fils, je t'avais dit que tu embrassais en même temps toutes nos traditions familiales. En devenant ma belle-fille, tu es maintenant l'une de mes filles ou peu s'en faut. Ce n'est pas parce que tu as eu trente ans cette année et que tu es mère de deux de mes petites filles que cela change quoi que ce soit. J'ai maintenant les mêmes devoirs envers toi que ceux que j'ai envers mes propres filles et cela ne changera pas tant que je serai vivante.

Je sais que dans ta famille, les enfants quand ils deviennent majeurs considèrent qu'ils sont les égaux de leurs aînés. C'est un aberration. Chez nous, ils doivent le respect et l'obéissance à leurs aînés quel que soit le lieu ou le moment où on se trouve.

Je sais que je suis chez toi, dans ta belle maison, avec une cuisine moderne et impeccable. Mais si j'ai insisté pour venir y séjourner pendant que mon fils travaille à l'étranger, c'était bien pour que je puisse te surveiller et rectifier ton éducation en revenant à nos traditions familiales. Tu prends bien trop de liberté et tu sembles avoir oublié ce qu'obéir veut dire.

Nous avons deux mois à cohabiter. Je crois que j'ai assez de temps pour faire de toi la bru respectueuse et obéissante que tu devrais être. C'est le cas avec mes enfants depuis qu'ils sont petits, j'y suis arrivée avec leurs compagnes et leurs compagnons, je ne vois pas pourquoi cela se passerait autrement avec toi.

Quand je te dis de venir faire quelque chose, c'est tout de suite et non quand tu estimeras que tu en as le temps. Si je te donne un ordre, c'est pour qu'il soit obéi sur l'heure. Je te promets que tu ne vas pas mettre beaucoup de temps  à le comprendre.

Et je préfère te prévenir que tant que je serai là, il n'y aura personne dans cette maison qui se prélassera au lit jusqu'à dix heures chaque matin. Ce n'est pas parce que tu ne travailles pas que tu n'as rien à faire.

Tenir une maison demande du temps et il y a toujours à faire pour qui est un peu attentif à ce qui l'entoure. Tu as beaucoup à apprendre dans ce domaine. Ne t'inquiète pas, tu n'as pas encore appris à être une maîtresse de maison irréprochable, mais tu vas le devenir, je m'en charge.

C'est la dernière fois que tu me dis de m'occuper de ce qui me regarde. Tout ce qui te concerne, toi et mon fils, me regarde. C'est la dernière fois que tu te permets de me dire que je suis une vieille dame pénible. Je me supporte pas les jeunes femmes insolentes.

Comme tu ne sembles pas très réceptive à mes conseils, je vais m'y prendre autrement. J'ai dû y recourir plusieurs fois avec l'un ou l'autre de mes enfants ou de mes beaux-enfants. Une bonne fessée déculottée, à plat ventre en travers de mes genoux te fera le plus grand bien. Comme les autres de mes enfants, tu vas changer bien vite de comportement.

Tu sais, tu n'es pas la première et tu ne seras pas la dernière à venir faire un tour allongée sur mes genoux, la culotte baissée. Quoique, avec toi, je n'ai pas eu besoin de te la baisser, tu n'en as pas mise depuis que tu es levée. Cela aussi va changer. Tu vas apprendre à t'habiller de façon décente. Pour une mère de famille, c'est la moindre des choses. Tu dois être un exemple pour tes filles. C'est loin d'être le cas pour le moment.

Tous mes enfants, mes brus et mes gendres y sont passés, tous, sans exception. Je crois qu'il n'y a pas un neveu ou une nièce qui ait échappé à cette expérience désagréable. Ils savent tous qu'au moindre prétexte ils y auront de nouveau le droit. N'as-tu pas remarqué combien ils sont attentifs à obéir avec empressement, combien ils sont polis et attentifs à faire leur part de travail domestique ? Il n'y avait que toi qui ne respectait pas nos traditions familiales. Mais tout cela, c'est du passé.

Pas plus tard que le mois dernier, ma fille aînée et son mari y sont passés. En plein repas familial. Ils se sont disputés devant tout le reste de la famille et ils ont persévéré quand je les ai grondé. Je les ai fessé devant toute le famille, culotte baissée et ils ont été passer le reste du repas le nez contre le mur à montrer leurs fesses que j'avais sévèrement marquées.

C'est d'ailleurs ce que tu vas faire dès que j'en aurai fini avec toi. Un long moment dans le coin de la cuisine, tes fesses nues exposées, cela te fera réfléchir. Je sais que tes filles risquent de t'y apercevoir. Aucun problème, il est temps qu'elles aussi comprennent ce qui arrive aux enfants désobéissants, quel que soit leur âge. Ne te fais pas d'illusion, il y a toutes les chances que tes cris les attirent dans la cuisine avant que je ne t'autorise à te lever de sur mes genoux.

Dès cet après-midi, nous reprenons tout à zéro : le travail que tu auras à faire, la politesse, le langage que tu utilises, ta garde-robe, tes heures de lever et de coucher et bien d'autres choses encore. Tu auras tout le loisir de les découvrir au fur et à mesure.

Tu auras la fessée à chaque fois que j'estimerai que tu en auras besoin. Ne crois pas que je tiendrai compte du lieu dans lequel nous serons ou de la présence d'éventuels témoins. Ce sera la culotte baissée et une bonne fessée aussitôt que tu l'auras mérité.

Grand merci à Bruce Morgan !

Ses quelques dessins de fessée sont très évocateurs. Dommage qu'ils soient beaucoup trop rares. Cherchez bien, vous en trouverez quelques-uns sur le blog.

Avec Belle-Maman, la discipline est prise au sérieux

             

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