Désolée, ma chérie, mais c'est ainsi. J'ai le sommeil léger et j'entends le moindre bruit la nuit, même quand je dors. Je t'avais prévenue quand nous avons décidé de partager cet appartement, n'est-ce pas ?
Remarque, même avec un sommeil de plomb, il était difficile de rater ton retour à la maison à... quelle heure est-il ? Quatre heure du matin ! Avec tout le raffut que tu as fait tu aurais réveillé n'importe qui.
Et qu'as-tu renversé dans la cuisine ? Je crois qu'il y a eu de la casse. Par contre, je ne t'ai pas entendue ramasser les morceaux. Je pense que je vais tout trouver par terre demain matin.
Et que je mette de la musique, et que je claque les portes, et que je rigole comme une folle avant de rentrer dans ma chambre... Tu te croyais sans doute toute seule ?
Et que je mette de la musique, et que je claque les portes, et que je rigole comme une folle avant de rentrer dans ma chambre... Tu te croyais sans doute toute seule ?
Tu avais probablement oublié que je dormais dans ma chambre. C'est vrai, à quatre heure du matin, est-ce une heure pour dormir, alors que toi tu rentres tout juste de ta soirée, en pleine forme ? Nous verrons si tu es toujours aussi fringante quand je te réveillerai demain matin à sept heures quand je me lèverai. Ce sera également l'heure pour toi d'aller au travail.
Tu as sans doute aussi oublié que ce matin... non je devrais plutôt dire hier matin, je t'avais dit que je voulais te voir à la maison à vingt-deux heures au plus tard, que je ne t'autorisais pas à rentrer plus tard. Troisième soirée de la semaine où tu rentres largement après minuit. J'ai, de plus, l'impression que tu n'as pas bu que de l'eau.
Je pensais que tu m'avais prise au sérieux quand je t'ai dit que tu devais diminuer le rythme de tes sorties le soir. Lucile m'a dit que tu as failli t'endormir au travail aujourd'hui et que ta cheffe a dû t'en faire la remarque. Tu vas finir par te faire virer.
Je sais, je ne suis pas ta mère, tu me l'as dit ce matin, enfin hier matin. Mais cela ne va pas m'empêcher de t'imposer des règles que tu vas désormais suivre à la lettre. Pour te montrer que je ne plaisante pas, je vais te faire une démonstration de ce qui t'arrivera désormais, à chaque fois que tu ne respecteras pas les règles que j'ai fixées.
Vois-tu, quand une petite fille ne comprends pas quand on lui parle raisonnablement, je sais comment le lui expliquer autrement. Que tu aies vingt-huit ans n'y change rien : une bonne fessée déculottée, ça remet les idées en place.
Je sais que, dans ta famille, on ne recoure pas à la fessée pour punir les écarts, même s'ils sont très importants. Vois-tu j'ai un autre point de vue. Je pense que ma brosse va t'apprendre que quand je te dis quelque chose, ce ne sont pas des paroles en l'air et que tu as plutôt intérêt à m'obéir.
Ce sera comme ça, désormais. Je te punirai à chaque fois que je considérerai que tu n'as pas été assez sage et obéissante. Au rythme où vont tes frasques, j'ai bien peur que tu te retrouveras allongée en travers de mes genoux, la culotte baissée plusieurs fois par semaine.
Comme j'ai aussi l'intention de rectifier tes habitudes en matière de rangement de tes affaires, de participation au ménage de l'appartement, du langage que tu utilises et de la politesse avec les voisins, les premiers temps, je serais étonnée que tu n'aies pas pas une conversation avec le dos de ma brosse à cheveux, au moins d'une fois par jour.
Pour commencer, tu es privée de sortie pendant un mois. Retour à la maison dès dix-huit heures quinze. Tout juste le temps de rentrer après la fin de ton travail. Je te mettrai au lit à vingt-et-une heures au plus tard. Tu vas voir, tu arriveras à te lever à l'heure le matin et tu seras bien moins fatiguée dans la journée.
Ta cheffe de service va voir la différence. N'aies crainte, je vais lui téléphoner et lui expliquer pourquoi. J'en profiterai pour lui donner l'autorisation de te déculotter et de te fesser à chaque fois qu'elle ne sera pas satisfaite de ton travail ou de ton comportement. Je lui conseillerai de ne pas hésiter à te corriger devant tes collègues. Je parie que tu vas devenir une employée modèle en un rien de temps.
C'est une nouvelle vie qui commence pour toi. Dans un mois, quand tu auras été sage toute la semaine, je t'autoriserai une sortie par semaine le vendredi ou le samedi soir, avec retour à minuit au plus tard. Tu devras me dire où tu te rends et avec qui tu passes ta soirée. Si cela me convient, tu auras ma permission, autrement tu resteras à la maison.
Et je ne te parle pas de tes caprices. Tu m'en as fait un ce matin, le dernier qui restera sans conséquence. Le prochain se finira à plat ventre allongée sur mes genoux ou courbée sous mon bras, ta culotte descendue sur tes genoux. Nous verrons qui de tes fesses ou de tes caprices tiendront le plus longtemps.
Et je ne te parle pas de tes caprices. Tu m'en as fait un ce matin, le dernier qui restera sans conséquence. Le prochain se finira à plat ventre allongée sur mes genoux ou courbée sous mon bras, ta culotte descendue sur tes genoux. Nous verrons qui de tes fesses ou de tes caprices tiendront le plus longtemps.
Je ne te mettrai pas au coin ce soir, il est trop tard, mais nous finirons cette discussion demain soir. Nous reparlerons de tout le tintamarre que tu as fait en rentrant. Tu ne crois tout de même pas que je vais le laisser impuni ? Il va de soi que tu auras une autre fessée et que tu passeras la soirée au coin. Ce sera une bonne expérience de ce que va être ta cohabitation avec moi à partir de ce soir.
Grand merci à l'auteur dont je ne connais pas le nom !
Si quelqu'un peut l'identifier, ce sera avec plaisir que je lui rendrai la paternité de son oeuvre.
La cohabitation ça a du bon, mais c'est du travail
Laisser un commentaire, un témoignage ? C'est ci-dessous !
N'hésitez pas à en faire un usage immodéré. Le commentaire ne s'use pas quand on s'en sert.
Bonjour JLG,
RépondreSupprimerL'auteur de l'illustration du récit est Stéphanie Burke. Ces œuvres illustrent parfois les couvertures ou les textes dans le site de "Scarlett Hill".
Amicalement. Peter.
Peter Pan,
SupprimerJe ne trouve rien sur internet dont elle serait l'auteure.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
j'aime bien le dessin de droite il faudrait les dessiné en public
RépondreSupprimerBonjour JLG,
RépondreSupprimerJ'ai tapé "spanking art by Stephanie Burke" dans le moteur et j'ai trouvé des dessins du même style que celui qui illustre votre récit.
Elle a travaillé pour la revue US de fessée conjugale "Ledagram" et "Nuwest Comic".
Amicalement. Peter.
Peter Pan,
SupprimerDans les dessins qui ressortent dans les moteurs de recherche quand on tape la requête que vous suggérez, on ne retrouve pas celui qui illustre le récit ci-dessus.
Etes-vous certain que c'est Stéphanie Burke qui en est l'auteure ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour JLG,
RépondreSupprimerC'est curieux parce que j'ai retrouvé ce dessin en tapant la requête correspondante.
Parmi les exemples proposés, outre ceux très "olé-olé", il y a la mini-BD intitulée "Aunt Rita" et "Anna" et "Marcia Keating" dans les "Nu West(Leda) Comic".
Curieux...
Amicalement. Peter.
Bonjour JLG, bonjour Peter.
SupprimerLe dessinateur que vous cherchez est Bruce Morgan. Comme son nom ne le laisse pas penser, il est bien Français. Il illustrait des bouquins pour la collection "Sabine Fournier" (pseudo de Italo Baccardi) et "Média 1000", à la "Musardine". Il fait de la BD érotique. Vous le trouverez sans peine sur Google.
Bonjour Georges,
SupprimerEn êtes-vous certain ? J'ai déjà regardé l'oeuvre de Bruce Morgan et je ne retrouve pas son trait de crayon dans ce dessin.
Avez-vous un lien vers un site internet qui amènerait à ce dessin et qui pourrait faire le lien avec la signature de Bruce Morgan ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.