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vendredi 19 mars 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 52

Madame Talouet s’accota au bureau de Colin et elle y posa ses fesses.
« Approche ! Ce n’est pas le moment de désobéir ! »
Lentement, mais inexorablement, Colin vint se mettre entre les mains de sa cheffe de service. Il aurait voulu que le chemin fût long, mais il n’y avait que trois pas à faire. Madame Talouet ne perdit pas de temps pour défaire le pantalon. Colin la laissa faire tant qu’elle s’affairait sur la ceinture. Il eut un geste de recul quand il sentit les mains de sa cheffe sur sa braguette. Bien qu’il y eût encore le tissu du pantalon et de la culotte pour faire écran avec sa verge, il réagit au contact qui lui sembla intime alors que Madame Talouet y était totalement indifférente.

mercredi 17 mars 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 51

« Restez là, Yaëlle. Que voulez-vous ?
– Mais je peux attendre… plus tard…
– Ne me dites pas que c’est la vue des fesses nues de votre collègue qui vous trouble à ce point. N’en avez-vous jamais vues ?
– Si Madame, mais… mais…
– Cessez vos enfantillages, Yaëlle, dites-moi ce qui vous amenait. Je n’ai pas de temps à perdre. »

vendredi 12 mars 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 50

« Excusez-moi, Madame Talouet, puis-je vous parler ? »
Audrey était arrivée depuis une demi-heure, juste à temps pour ne pas être en retard. Elle avait dû courir un peu dans le couloir qui menait à ses bureaux. Elle s’était assise à sa place et avait effectué machinalement les gestes qui débutaient chacune de ses journées.
Elle s’était rendu compte qu’elle lisait, sans les comprendre, les courriels qui lui étaient arrivés depuis la veille. Son esprit était ailleurs. Elle devait prendre une décision. Comment aborder avec sa cheffe de service la fessée qu’elle venait de recevoir dans la rue ?

lundi 1 mars 2021

Les rebelles - chapitre 51 - scène 2

Lorsque l’on voit Nathaniel T. dans les couloirs du bâtiment où nous travaillons, une de nous trois l’appelle pour lui faire nettoyer un truc qui nous semble sale, même si ce n’est pas le cas.

« Ah zut, la plante verte perd ses feuilles ! » fait remarquer Iourievna

« EH, NATHANIEL, tu peux ramasser les feuilles, s’il te plait ? » demande Olga

« Oui, Mademoiselle, j’arrive tout de suite » répond Nathaniel, n’osant rien nous refuser.

lundi 22 février 2021

Les rebelles - chapitre 51 - scène 1

 Dans le cadre de notre mastère où nous devons faire l’équivalent de neuf mois en entreprise, Olga, Iourievna et moi avons eu une réponse positive de la Mairie pour des postes au sein des services techniques. Avec notre spécialité informatique, nos compétences sont recherchées et durant les deux années que dure notre mastère, nous serons amenées à développer des projets au sein de notre société, pour la soutenance finale qui comptera pour notre diplôme.

A notre arrivée dans le bâtiment, nous sommes présentées à nos responsables, tout d’abord le directeur Jean-Bernard V., qui supervise tous les services et ensuite la secrétaire Gabrielle L., Agathe S. du service sécurité et Amélie B., notre responsable directe.

mardi 6 octobre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 21

 La diversification

Quelques jours plus tard la deuxième réunion stratégique de la SFID commençait.

Madame Leroy en tant que Présidente avait ouvert la séance en réexpliquant la nécessité de trouver de nouvelles pistes pour la pérennité de l’entreprise. Comme annoncé lors de la précédente réunion, elle commença un tour de table pour connaître les idées des cadres la SFID qui composaient le comité de Direction.

lundi 28 septembre 2020

Un très clair avertissement

 Cela ne peut pas continuer comme cela, Mademoiselle ! En moins d'une semaine de présence dans mon service, vous avez réussi à semer la zizanie parmi tous vos collègues. Il y a ceux qui vous courtisent, ceux qui ne vous supportent plus, ceux qui vous haïssent, ceux qui sont en admiration devant vous et ceux qui ne cessent de s'apostropher pour savoir si vous devez rester ou partir.

Il n'y a pas à dire, vous êtes une excellente administratrice de sites internet. De ce côté-là, votre compétence ne peut être mise en doute. Par contre vous avez un réel savoir-faire pour tendre les relations entre vos collègues et je dois avouer que je me passerai bien de cette compétence. Il est même étonnant que vous soyez arrivée à un tel degré de maîtrise dans ce domaine à l'âge de vingt-trois ans.

mardi 15 septembre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 18 bis

 Le séminaire

Aurélie avait poursuivi sa formation avec plus de sérieux après les évènements précédents.

Ma reprise en main suite aux conseils de Madame Leroy avait porté ses fruits. Désormais chaque semaine je m’appliquais à trouver un motif, parfois futile, parfois motivé pour punir Aurélie et la trainer en salle de correction pour y être fouettée. Elle s’appliquait pourtant mais je me faisais un malin plaisir à trouver la faille objet d’un  motif de correction. Et Aurélie les craignait ces corrections car je n’y allais pas de main morte et voulait la marquer psychologiquement  mais aussi physiquement avec des fesses bien striées qui plairaient  aux yeux de Madame Leroy.

vendredi 4 septembre 2020

Avec les collègues pour témoins

 Alors, comme ça, mon garçon, vous n'avez pas assez de travail pour occuper votre temps au bureau ? C'est étonnant, je n'ai pourtant toujours pas vu sur mon bureau le rapport mensuel sur les ventes de votre secteur, alors que je l'attends depuis ce midi. Reprenez-moi je je me trompe, vous ne me l'avez pas envoyé comme vous auriez dû le faire, n'est-ce pas ?

Aussi, me suis-je inquiétée, que peut-il bien se passer ? A-t-il un problème grave ? A-t-il rencontré une difficulté insoluble ? Je me suis donc déplacée pour prendre de vos nouvelles. Je dois avouer que je ne m'attendais pas à ça. Allez, soyons honnête, je me doutais depuis un bon moment que vous ne mettiez pas tout l'ardeur nécessaire dans les tâches dont vous avez la charge.

vendredi 14 août 2020

Remettre les pendules à l'heure

 Alors, comme ça, il paraît que "tout ce que pourra dire la vieille ne servira à rien" ? Qu'il n'est pas question que vous soyez plus attentive à votre travail ? Qu'elle "peut bien crier si elle veut, cela ne changera rien" ? Puisque vous êtes la nièce du directeur vous avez le "droit de faire ce que vous voulez" ?

Eh bien figurez-vous, jeune demoiselle, que moi j'ai un service à faire tourner et que, pour ce faire, j'ai besoin de collaborateurs qui mettent du cœur à l'ouvrage. C'est loin d'être votre cas. Trois semaines que vous avez été embauchée et je ne crois pas que vous m'ayez rendu un travail correct, sans compter vos retards presque quotidiens.

mercredi 17 juin 2020

Juliette fait des siennes

Juliette réveille toi ! Tu vas être en retard!  Oh mais c’est pas vrai!  Dépêche-toi! Vite , file à la douche!
Elle allait être en retard c’est sur ! Oh non mon dieu ...
Amélie savait pourquoi elle avait si peur , il y a deux semaines, elle avait dû sauver sa fille d'un renvoi à cause notamment de ses retards répétés. Elle avait dû promettre et punir sa fille d’une fessée déculottée mais surtout elle avait elle même dû être punie . Elle aussi avait reçue la même fessée déculottée sur les genoux de Roxane comme une petite fille prise en faute.

mercredi 10 juin 2020

La convocation de Juliette

« Juliette ! Je viens de recevoir un appel de la directrice de ton stage, elle n'a pas voulu me dire pour quelles raisons.  Que se passe t il ? Qu'as-tu fait encore ? 
– Je ne sais pas Maman. »
Elle m'a parlé assez sèchement, elle doit être terriblement en colère. Oui, elle fait peur.

jeudi 28 mai 2020

Le journal d'Olga - chapitre 18

Victoire ! Ça y est ! J’ai enfin trouvé un stage en entreprise. Non sans mal, mais ça y est ! Chez Webstore, une société d’informatique spécialisée dans la mise à jour et le maintien de logiciels destinés aux établissements bancaires. Dans la foulée, ils ont aussi pris Elena. Mais pas Iourievna qui fait bien un peu la gueule, mais bon, pour être tout à fait franche, moi, ça m’arrange bien. Parce que c’est toute la journée qu’on est ensemble, elle et moi, en temps ordinaire. À Sainte-Croix. À la maison. Dans la chambre. Dans la salle de bains. Partout. Alors on a beau être jumelles, prendre un peu de champ, de temps en temps, l’une par rapport à l’autre, ça peut pas faire de mal. Au contraire. Ça permet de souffler. Non et puis il y a aussi autre chose.

samedi 2 mai 2020

Madame Caroni - chapitre 44

Quand la règle entra en action, Marlène se débattit assez fortement pour libérer sa main que Madame Farette tenait sous son ventre. Elle en protégea son postérieur, ce qui finit d’exaspérer sa cheffe d’atelier. Sa main fut replacée sous son ventre et Madame Farette referma plus fermement sa poigne sur le bras.

samedi 25 avril 2020

Madame Caroni - chapitre 43

Arthur couvrit ses fesses de sa main, puis il recula brusquement et il se dégagea de l’étreinte de Madame Farette. Son élan l’entraîna quelques pas en arrière et il serait tombé s’il n’avait buté contre une pile de caisses qui l’arrêta.
Il se rendit compte alors de sa tenue et il plaça ses mains devant son sexe et il se baissa avec l’intention de remonter son jogging.

samedi 18 avril 2020

Madame Caroni - chapitre 42

« As-tu fini de manger, Camille ? »
L’atmosphère était glaciale. Camille avait exécuté à la lettre toutes les consignes de Madame Daurent, le plus vite et le plus scrupuleusement possible. Elle avait soigneusement évité toute provocation même dans ses mimiques et ses regards. L’ambiance était à la fessée, elles le savaient toutes les deux et Camille s’était surprise à regretter qu’elle ne soit pas punie tout de suite afin que sa patronne et elles puissent retrouver un peu de convivialité dans leurs rapports.

samedi 11 avril 2020

Madame Caroni - chapitre 41

Camille se préparait à aller au coin. C’était dans la logique des choses. Elle avait déjà fait deux pas dans cette direction, quand Madame Daurent la rattrapa.
« Une seconde, jeune fille ! Tu iras au coin dans quelques instants, mais ne sois pas trop impatiente. Nous avons encore deux ou trois choses à régler ici. »
Camille se retourna.
« Une autre fessée, pensa-t-elle ? »
C’était bien de cela qu’il s’agissait, mais pas comme Camille l’envisageait.

samedi 4 avril 2020

Madame Caroni - chapitre 40

Maïlis sursautait à chaque bruit qui surnageait sur brouhaha qui venait de l’atelier. Elle guettait le bruit de pas qui lui indiquerait la présence d’un collègue. Il lui semblait que d’être aperçue dans cette tenue serait la déchéance ultime. Si son ouïe ne l’avait pas trompée, la porte des toilettes était restée ouverte. Elle ne pouvait donc pas compter sur le petit couinement qu’elle faisait pour l’avertir d’une présence indésirable.

samedi 28 mars 2020

Madame Caroni - chapitre 39

Madame Daurent déverrouilla la porte de la boutique. C’était l’heure d’ouvrir et elle n’était jamais en retard. Si tôt, il n’y avait pas un flot continu de visiteurs, mais il n’y avait pas de matin où personne ne venait faire un tour.
Camille s’agita dans le coin. C’était assez discret. Elle se contenta de serrer les poings plus fort qu’auparavant et elle port son poids sur sa jambe gauche, puis sur la droite. C’était tout ce qu’elle avait le droit de faire sans encourir une nouvelle fessée. Aller plus loin aurait été prendre un risque inconsidéré.

samedi 21 mars 2020

Madame Caroni - chapitre 38

C’est Ludovic qui était arrivé en premier. Lorena l’avait conduit au toilettes, elle avait vérifié son hygiène corporelle, puis elle l’avait assis sur les toilettes. La consigne à laquelle il était habituée avait clos cette séquence.
« Tu fais pipi ! quand tu as fini, tu m’appelles. »
Ludovic était assis depuis deux ou trois minutes sur le siège des toilettes quand Maïlis et Camille arrivèrent. Elles avaient toutes les deux revêtues leur jupe plissée écossaise et un corsage blanc. Le tout, sous leur manteau bleu marine faisait « petites filles sages ». Madame Caroni se lança dans une inspection minutieuse qui comprit un regard attentif de leur culotte qui obligea les deux filles à soulever leur jupe.