Un très clair avertissement

 Cela ne peut pas continuer comme cela, Mademoiselle ! En moins d'une semaine de présence dans mon service, vous avez réussi à semer la zizanie parmi tous vos collègues. Il y a ceux qui vous courtisent, ceux qui ne vous supportent plus, ceux qui vous haïssent, ceux qui sont en admiration devant vous et ceux qui ne cessent de s'apostropher pour savoir si vous devez rester ou partir.

Il n'y a pas à dire, vous êtes une excellente administratrice de sites internet. De ce côté-là, votre compétence ne peut être mise en doute. Par contre vous avez un réel savoir-faire pour tendre les relations entre vos collègues et je dois avouer que je me passerai bien de cette compétence. Il est même étonnant que vous soyez arrivée à un tel degré de maîtrise dans ce domaine à l'âge de vingt-trois ans.

Il y a encore autre chose. Ne vous ai-je pas fait la remarque hier, que je ne voulais pas de chemisier qui vous laisse le ventre découvert ? Vous ne vous sentez absolument pas concernée par les règles collectives qui régissent notre communauté de travail, qu'elles soient formelles ou non.

Pouvez-vous me dire combien de fois, depuis que vous êtes là, êtes-vous arrivée à l'heure ? Et combien de fois êtes-vous partie avant l'heure officielle de fin du travail ? Combien d'autres personnes avez-vous vu se comporter comme vous ? Aucune ? Nous sommes donc d'accord, vous êtes la seule à rassembler ce mélange de sans gêne et de compétence technique.

Ne prenez pas cet air étonné ! Si certains de vos collègues se font prendre à vos airs de sainte nitouche innocente, cela ne fonctionnera pas avec moi. Et je n'ai pas l'intention de vous laisser aller plus loin dans cette voie !

J'ai donc téléphoné à votre Maman. Une femme charmante ! Nous avons eu une longue conversation. Elle m'a parlé de la grosse colère que vous avez piqué hier soir. Elle m'a confirmé que vous étiez sur une mauvaise pente et que, à cause de vos attitudes, vous faisiez le vide autour de vous. Nous avons convenu, toutes les deux, de vous reprendre en mains dès aujourd'hui.

Aussi avons-nous convenu que tout écart de conduite, si petit soit-il, se conclura désormais par une bonne fessée déculottée que nous vous administrerons, elle ou moi. La dernière dispute de ce matin que vous avez adroitement attisée entre vos deux collègues justifie amplement que je vous punisse.

Ce que je fais ? C'est très simple : je vous baisse la culotte. Je le ferai à chaque fois que j'aurai à vous fesser. Soyez bien certaine que les fessées que nous vous donneront, votre Maman et moi, seront assez sévères pour que vous nous preniez au sérieux, et cela passe par une culotte que nous amèneront en bas de vos cuisses.

Ainsi, vous aurez tout le loisir de comprendre combien votre comportement puéril est inadmissible. C'est dommage, avec une grande fille comme vous, d'en arriver là, mais vous ne nous donnez pas le choix. Même à votre âge, nous pensons que la fessée peut être très efficace.

Voilà, comme ça ce sera parfait ! Commencez-vous à vous mettre dans la tête que vous allez être corrigée de belle manière ? J'ai vraiment l'impression que c'est la seule façon de vous faire prendre conscience combien votre attitude est inadmissible. Ce n'est pas celle d'une jeune femme de vingt-huit ans, mais plutôt celle d'une adolescente attardée qui pense qu'elle peut disposer des autres à sa guise.

Il n'est pas trop tard pour vous faire comprendre que la vie ce n'est pas comme cela que ça marche. Tenter de manipuler les autres a un coût et cela entraîne des réactions. Cette fessée en est la première étape. Malheureusement, j'ai bien peur qu'il y en ait d'autres sous peu ! Mais si c'est ce dont vous avez besoin.

Vous voilà dans une position plus adéquat avec votre comportement. Je vais tenter de vous expliquer, avec ma main claquant vos fesses, que c'est la dernière fois que vous agissez ainsi. Désormais, plutôt que de vous faire de longues remontrances inefficaces, vous vous retrouverez à plat ventre en travers de mes genoux.

Selon la gravité de la faute que vous avez commise, je vous rougirai les fesses jusqu'à ce que vous regrettiez sincèrement ce que vous avez fait et que vous soyez prête à changer vos façons de faire.

En fin d'après-midi, vous reviendrez dans mon bureau et nous aurons une discussion au sujet de votre arrivée en retard ce matin. Pour cette fois, je vous épargnerai la règle. Mais la prochaine fois que vous arriverez au-delà de l'heure normale, je vous montrerai comment quelques marques durables sur les fesses vous aideront à arriver à l'heure.

Il faut tout de même, que je vous montre ce que c'est qu'une vraie fessée, autrement, je prendrai le risque que vous y reveniez sans crainte. Ah, je crois que vous commencez à sentir que la peau de vos fesses vous cuit. Voilà qui est parfait. Ne vous inquiétez pas, je vais encore y mettre un peu plus d'énergie. Il serait dommage que cette correction n'atteigne pas ses objectifs !

Ah, ah ! Nous y voilà ! La brûlure sur les fesses devient insupportable ? C'est que la fessée fait bien son office ! Non, non, pas question que vous protégiez votre postérieur de votre main ! Vous me l'enlevez de là tout de suite ! La prochaine fois que je suis contrainte de vous le dire, je double la fessée. Qu'elle vous fasse mal aux fesses, c'est bien normal ! C'est même le but recherché ! Si vos fesses vous cuisent, c'est que vous en avez besoin pour apprendre votre leçon. Or de question que vous cherchiez à interrompre la fessée. 

Bon, je crois que nous sommes arrivées toutes les deux là où vous aviez besoin que nous allions.

Alors, dites-moi, est-ce que cette fessée vous suffit pout apprendre votre leçon ou faut-il que j'insiste un peu ? Si vous en avez besoin, je peux poursuivre avec la règle si le message que je veux vous faire passer n'a pas été assez clair.

Enlevez vos mains de là ! Je sais que vos fesses vous brûlent, mais je tiens à ce que cela dure un petit moment, le temps que vous réfléchissiez à la bêtise que vous avez commise et à la punition qui en a découlé.

D'ailleurs, vous allez aller y réfléchir au coin, là-bas, dans mon bureau. Et je vous conseille de vous y faire oublier ! Ah oui, le risque c'est qu'un de vos collègues entre pendant que vous y exposerez vos fesses. Ba ! Pas si grave ! Un peu plus tôt, un peu plus tard, de toute façon ils ne tarderont pas à savoir de quelle façon je vous puni, si ce n'est déjà fait.

Je n'ai pas l'intention de faire mystère des fessées que vous prendrez dans mon bureau. Il est fort probable que quelques-unes auront lieu dans le vôtre, en présence de vos collègues. Cela ne dépendra que de vous.

Merci à...

... eh bien, à personne, je crois, à moins que ce ne soit au photographe qui a pris cette photo que les logiciels permettent de transformer en dessin. Pas mal, non ? Qu'en pensez-vous ? Faut-il continuer dans cette voie ?

Ces jeunes gens qu'il faut fesser pour qu'ils obéissent

 

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