mardi 15 septembre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 18 bis

 Le séminaire

Aurélie avait poursuivi sa formation avec plus de sérieux après les évènements précédents.

Ma reprise en main suite aux conseils de Madame Leroy avait porté ses fruits. Désormais chaque semaine je m’appliquais à trouver un motif, parfois futile, parfois motivé pour punir Aurélie et la trainer en salle de correction pour y être fouettée. Elle s’appliquait pourtant mais je me faisais un malin plaisir à trouver la faille objet d’un  motif de correction. Et Aurélie les craignait ces corrections car je n’y allais pas de main morte et voulait la marquer psychologiquement  mais aussi physiquement avec des fesses bien striées qui plairaient  aux yeux de Madame Leroy.

Celle-ci ne pourrait plus me reprocher de négliger la formation d’Aurélie dont les stigmates étaient visibles chaque semaine sur sa peau. Et puis comme me l’avait dit Madame Leroy « corrigez cette petite, si vous ne savez pas toujours pourquoi, elle le saura bien ». J’avais donc abandonné mes scrupules et repris mon autorité sur Aurélie tout au moins sur le plan professionnel ou j’avais pâti de ma faiblesse au début ce qui m’avait valu de belles corrections de la part de Madame Leroy mais aussi de Céline. Elle avait d’ailleurs bien compris que j’étais son chef et que j’avais donc droit de correction sur elle. Elle faisait  de plus en plus attention dans son travail afin de ne plus risquer de châtiments corporels ou tout au moins de les atténuer.

J’alternai  les instruments ce qui en plus  lui permettait  de découvrir la palette de douleur infligée par les différents outils de correction de la SFID. Et Dieu sait si ils étaient nombreux ces outils qui constituaient le catalogue le plus complet des fabricants d’instruments de discipline.

A la maison  Aurélie habitait toujours avec nous et n’avait pas l’air pressée de trouver un logement.

Elle s’était prise aussi de belle volée de la part de Céline parce qu’elle négligeait le rangement et le ménage de sa chambre, il n’était pas rare qu’elle soit convoquée au grenier dans notre salle de punition, ou sanglée sur le ban de punition, elle se prenait une rafale de coup de cravache qui la faisait hurler.

Depuis l’incident de la voiture et des toilettes, je faisais très attention avec le règlement de discipline domestique afin de ne pas me retrouver en fâcheuse posture. Je n’avais pas envie de goûter de nouveau au fouet à chien avec sa lanière en cuir tressée qui m’avait labourée les fesses.

 Et je n’étais pas mécontent que Céline ai un autre os à ronger question discipline et d’autres fesses à fustiger que les miennes.

A la SFID, le séminaire commercial approchait. C’était chaque année l’occasion de réunir la force de vente pour faire le point sur les résultats commerciaux de l’année, de présenter les nouveaux produits, de former les commerciaux sur les arguments de vente de chacun de nos instruments.

Je ne vous ai pas encore parlé du directeur commercial car il n’était pas souvent au siège de la société mais la plupart du temps sur le terrain c’est-à-dire avec les commerciaux chez les clients.

Il s’appelait Denis Muller et était un ancien officier d’infanterie qui avait passé vingt années de sa vie dans les troupes coloniales. Il avait été recruté par Madame Leroy avant que je ne rentre moi-même à la SFID pour ses qualités d’ordre et de discipline et parce qu’il avait un charisme et un contact chaleureux et direct qui arrivait à convaincre ses interlocuteurs.

On disait que Monsieur Muller pouvait transformer un opposant,  adversaire des châtiments corporels en ardent défenseur de la fessée en quelques arguments percutants.

Monsieur Muller dirigeait une douzaine de commerciaux qui avait chacun un secteur géographique à prospecter. Ces commerciaux visitaient donc les clients et les prospects potentiels des produits de la SFID.

 Ils avaient avec eux une marmotte, c’est-à-dire une valise à roulette spécialement conçue pour contenir la plupart des instruments du catalogue SFID.  Ils travaillaient de chez eux prenant leurs rendez-vous et visitant les clients de leur secteur. Chaque semaine ils envoyaient au siège de la SFID leur rapport ainsi que les commandes qu’ils avaient prises à l’aide de leur ordinateur portable.

Un moment important du séminaire était la présentation des résultats de chaque commercial en rapport avec ses objectifs de l’année.  En effet les commerciaux étaient rémunérés à la commission sur le chiffre d’affaire qu’il générait. Mais ils avaient aussi des objectifs de chiffre d’affaire à atteindre chaque année. Si ils les atteignaient ou les dépassaient des primes conséquentes leurs étaient allouées ce qui étaient une forte motivation.

Mais si les objectifs n’étaient pas atteints et selon le contrat qu’ils avaient eux-mêmes signés, la sanction tombait. C’était la correction aux instruments devant tous le service commercial, administré comme il se doit par Mr Muller le Directeur Commercial. Autant dire que la motivation était double pour atteindre les objectifs et obtenir une prime plutôt qu’une séance publique de fouet.

On m’a raconté qu’une année, mais c’était bien avant que je n’intègre la société, aucun des commerciaux n’avait atteint ses objectifs. Madame Leroy était dans une colère noire.

Monsieur Muller du faire défiler tous ses commerciaux nus sur l’estrade, ou après les avoir attachés à la croix de Saint André il dû les fouetter une centaine de fois chacun.

En nage et épuisé au bout de sa besogne, il du lui-même se déshabiller, être attaché sur la croix et c’est Madame Leroy qui lui administra deux cent coup de fouet devant l’assistance terrorisé.

Autant vous dire que l’année suivante tout le monde avait atteint ses objectifs et que l’ambiance était à l’euphorie en regard de l’année précédente.

Au siège  le séminaire était attendu car c’était un moment important de l’année et en général convivial. Les assistantes étaient heureuses de revoir les commerciaux dont elle était en charge et les commerciaux étaient heureux de venir à la société. La routine de chacun était bouleversé et les quelques jours que durait le séminaire était très animés. Outre les réunions et formations, des visites des ateliers étaient organisés et chaque soir étaient l’occasion de dîner ensemble, d’échanger avec les autres, de rire et de raconter des histoires de commerciaux.

Un chapiteau était installé dans la cour de la société où avait lieu les réunions.  Des chaises en amphithéâtre le garnissait et une scène ou se trouvait les intervenants  en constituait le centre. A l’arrière de la scène et au centre se trouvait érigé une croix de Saint André rappelant que nous étions à la SFID dont le logo ornait le centre de la croix.

Une autre partie de la salle était réservée à la restauration ou un traiteur venu spécialement nourrissait les participants à midi et le soir. Les commerciaux étaient hébergés au seul hôtel du coin à quelques kilomètres du siège.

Le dernier soir avait lieu la soirée de gala avec remise des récompenses aux meilleurs commerciaux suivi d’un dîner de gala au menu de fête ou le champagne coulait à flot.

Mais les sanctions étaient aussi appliquées le même soir, juste après les récompenses, devant toute l’assistance. Autant vous dire que les commerciaux concernés passaient une très mauvaise soirée dont ils se souviendraient longtemps.

De par mes fonctions j’assistais au séminaire et il était fondamental que je rencontre les commerciaux, échange avec eux quant aux produits, au développement, aux clients, aux tendances etc….

Cette année avait été plutôt une bonne année et l’ensemble des commerciaux avaient atteint leurs objectifs. Seul l’un d’entre eux, un certain Thierry J dont je  ne donnerai pas le nom par respect pour sa vie privée était nettement en dessous de son objectif. Dès son arrivée je l’avais repéré car il rasait littéralement les murs sachant ce qui l’attendait. Thierry que je connaissais depuis quelques années était un gentil garçon mais pas ce que l’on peut appeler un foudre de guerre.

Il manquait de confiance en lui et surtout n’écoutait pas suffisamment les autres en s’enfermant dans ses convictions ce qui pour un commercial est très préjudiciable. Je n’étais donc pas fondamentalement surpris de savoir que jeudi soir il passerait sur la croix de Saint André, attaché nu pour y recevoir une centaine de coup de fouet siglé SFID.

La dernière soirée arriva et sur la scène les 3 commerciaux ayant obtenu les meilleurs résultats venaient de redescendre après avoir été félicité par Monsieur Muller et Madame Leroy et applaudi par la salle.

Mr Muller appela alors Thierry J qui penaud, la tête basse monta les 3 marches de la scène et s’avança face à l’assistance. Monsieur Muller expliqua alors à tous que Thierry non seulement n’avait pas atteint ses objectifs mais que ses rapports arrivait régulièrement en retard au siège quand ils arrivaient et qu’une cliente s’était plainte de ses retards au rendez-vous. Que pour cela et selon le règlement de discipline de la SFID il recevrait immédiatement 100 coups de fouet.

Thierry jusque-là prostré et inerte se mit alors à protester  de sa bonne foi et arguant que ce n’était pas de sa faute si ses clients ne lui avaient pas passé suffisamment de commande.

Madame Leroy se leva alors visiblement énervé et s’adressa à Monsieur Muller :

« Vous rajouterez 20 coups de ma part à ce fainéant et menteur de surcroit »

La sentence était tombé et Thierry du se déshabiller prestement sous peine de voir sa peine encore rallongé.

Monsieur Muller l’attacha à la croix au centre de la scène. Thierry pleurait de honte et de peur. Il prit un martinet à longues lanières noires qu’il démêla en l’agitant par le manche vers le bas.

Il se plaça derrière le condamné dont on voyait le dos et les fesses nues.

Il leva le fouet, arma son bras et le premier coup tomba déclenchant un hurlement de Thierry comme si on l’avait écorché vif.

Le deuxième coup eu le même effet. Madame Leroy contrarié se leva à nouveau et dit :

« Que l’on fasse taire ce lâche, c’est insupportable »

Monsieur Muller prit alors un bâillon qu’il mit en place sur la bouche de Thierry et qu’il attacha par des liens sur sa nuque.

La punition se poursuivit et l’on entendait plus que le bruit des lanières qui claquaient sur la peau des fesses de Thierry et les gémissements du puni étouffés par le bâillon. Le cuir de ce martinet était dur et l’impact des  neuf lanières le composant puissant. C’était un vrai instrument de correction et non pas un de ces martinets légers qui caressent plus qu’ils ne fouettent les fesses.

Monsieur Muller ciblait les fesses mais aussi le haut des cuisses et la pliure ou la peau est la plus sensible. On voyait au fur et à mesure de l’avancée de la punition le rouge envahir toute la zone et les stries apparaitre aux endroits les plus fréquemment touchés qui bleuissaient.

C’était un spectacle fascinant que de voir cette fouettée digne d’un péplum  ou la flagellation était au centre de la domination Romaine.

Lorsque il eut compté 120 coups, Monsieur Muller s’arrêta, rangea le martinet et détacha Thierry.

Il dut, main sur la tête, aller se mettre au coin de la scène fesses tournées vers le public pour ajouter à sa honte.

Des photos de ses fesses martyrisées furent prises pour être ajouté dans son dossier avec le motif de la fessée comme il se devait.

Puis celui-ci fut prié de déguerpir après avoir récupéré ses vêtements avec lesquelles il tentait maladroitement de se cacher le sexe. Il  était également privé de dîner de gala. De toute les façons, Thierry n’avait qu’une envie, c’était d’aller se coucher sur le ventre dans sa chambre d’hôtel tellement la punition l’avait épuisé physiquement et mentalement. La honte d’être fouetté nu devant ses collègues ajouté à la douleur de la fouettée avaient eu raison de lui. Il garderait la marque des lanières plusieurs jours et le souvenir de cette correction professionnelle très longtemps.

Madame Leroy telle la reine d’Egypte Cléopâtre, se leva alors pour clore la séance. Elle rappela l’exigence de travail et de discipline qu’elle demandait à chacun pour la satisfaction des clients de la société. Elle rappela aussi que chaque faute devait être sanctionnée comme il se doit par un châtiment corporel à la hauteur de celle-ci avec un instrument siglé SFID bien évidemment.

Elle donna rendez-vous aux commerciaux dans un an pour le prochain séminaire et leur souhaita une bonne année commerciale.

Elle fut longuement applaudie après qu’elle eut invité l’assistance  à se lever pour boire une coupe de champagne et fêter une année réussie pour la SFID.



Pour suivre le fil de ce récit

Le premier de la série :  chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 18
La suite au prochain chapitre ce sera le... voyons, voyons... peut-être le chapitre 19 ?

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