C'est Corinne qui s'y colle et m'ôte mon pyjama, comme si je n'étais pas capable de le faire moi-même, tandis que Lucie trafique avec le broc près de l'évier.
« Enlève-lui tout ma chérie, on le
veut tout nu. »
Quand je me retrouve aussi dépouillé
qu'au jour de ma naissance, on me fait mettre dans la même position que la
veille, c'est â dire, accroupi, les coudes au sol et les fesses bien tendues,
offrant la plus large vue de toute mon intimité dans la position des bêtes
quand elles veulent marquer leur soumission.
« Cambre-toi davantage, offre bien ton trou à la canule, voilà qui est parfait, tu peux procéder Lucie. »
J'entends les deux filles se murmurer
des choses à l'oreille, ce qui n'augure guère d'une éventuelle mansuétude, ma
garce de cousine voudra en faire des tonnes pour épater sa copine, j'en suis
presque certain et je m'attends à passer encore un plus sale moment que la
veille. Je me maudis intérieurement, tout ça pour une petite branlette, c'est
très cher payé !
C'est Corinne qui se fait un plaisir à
m'écarter les fesses, tandis que Lucie fait lentement pénétrer la canule.
« Regarde bien Corinne, je suis
sûre qu'il aime se faire défoncer le trou de balle, il parait que la pénétration
anale agit sur la prostate des mecs et leur donne une érection, tu vas voir. »
Le pire c'est qu’elle n'a pas tort, j'ai
beau être horriblement mortifié par ma triste situation, appréhender la pénétration
de l'eau dans mes intestins et avoir le sphincter meurtri par l'enfoncement
progressif de cette canule antique, visiblement trop grosse pour cet usage, à
croire qu'elle l'a récupérée chez un véto, j'ai bien un commencent d'érection
qui ne manque pas de les faire se gausser.
« Là, la voilà bien au fond, annonce
la voix triomphante de Lucie, je la lui ai enfoncée jusqu'à la garde, Fabien ne
bouge surtout pas. »
Je ne l'imagine même pas, je suis si
bien empalé par cet énorme truc que c'est comme si l'on m'avait cloué au sol.
« Je vais maintenant procéder à la seconde
phase de l'opération ma chère Corinne, sache qu'il s'agit d'une expérience
nouvelle pour notre petit branleur. »
Tu parles que ça me rassure, l'inquiétude
rejoint la souffrance que m'impose ce gros truc dans mon fondement, je me
demande si la nouveauté porte sur la quantité du liquide qu'elle se prépare à
m'injecter ou à sa qualité.
Du coup, je suis presque terrorisé, elle
est capable de tout pour m'avilir et me faire souffrir, à tel point que de fines
gouttes de sueur se sont formées à la base de mon front.
Lucie rit soudain avant que l'eau gicle dans
mes entrailles avec violence, comme un torrent, je lance un cri sous le choc et
la surprise ressentie par ma chair intime me paralyse soudain, presque aussitôt
je me mets à trembler et à claquer des dents. Le liquide qu'on m'envoie dans les
intestins est glacé !
Et c'est une sensation atroce qu'on
impose à mon ventre que je sens se figer, devenir pierre. J'imagine que le sang
dans mes veines fait de même. Après le long tressaillement qui a suivi
immédiatement la pénétration de l'épée de glace en moi, je me suis vu mourir,
en vérité le froid extermine à mesure que le liquide montait dans mon ventre,
toute forme d'existence, de rébellion et jusqu'à la douleur de mon anus
écartelé par le mandrin de la canule.
Seul importe le froid qui me recouvre et
me possède. Impitoyable et intéressée par la moindre de mes réactions, Lucie
vide en moi, entièrement et sans hâte excessive, le contenu du broc.
« Tu en as pris un peu plus de deux
litres, c'est le maximum que contient le broc. »
J'entends au milieu du son des cloches
qui tintent en mon crâne des bruits d'air expurgé qui indiquent la fin
prochaine de mon supplice. Des bulles pénètrent et remontent dans mes boyaux qui
se tordent en faisant onduler mon ventre comme celui d'une femme prête à accoucher.
Je continue de frissonner de tous mes
nerfs. Mon corps nu est recouvert comme d'une seconde peau, de chair de poule.
J'entends un bruit de castagnettes, mais il faudra quelques secondes avant que
je réalise que ce sont mes dents qui n'ont pas cessé de claquer depuis le début
de l'opération.
Je dois être blême comme une statue de
marbre, Lucie s'inquiète.
« C'est dur n'est-ce pas, tout à
fait insupportable, les glaçons, ça envoie du lourd. Mais je suis sûre que tu
n'as pas très mal, c'est autre chose, tu deviens un autre, éperdu, figé, tu devrais
profiter de cette sensation nouvelle. »
J'essaie de lui répondre, en vain, je
voudrais pouvoir prononcer " c'est affreux". Mais si mes lèvres
forment les mots, rien n'en sort. J'ai dû même cesser de crier, je ne sais plus
à quel moment. Probablement aussitôt après l'intrusion violente de l'eau dans
mon corps.
Ma démoniaque bourrelle n'insiste pas pour
en savoir davantage, seules les réactions de ma chair, dont tous les muscles
sont crispés comme par une énorme crampe, l’intéressent. Au moment de m'extraire
la monstrueuse cheville qu'elle a planté au milieu de mes fesses, elle penche
son visage afin d'avoir bien sous les yeux et à quelques centimètres de
ceux-ci, le siège de l'opération.
Elle retire la lance d'ébonite à petits coups,
prenant bien son temps. Je ressens certes avec acuité toutes les phases de ce
qui se passe dans mon anus, pourtant je n'en souffre guère, la raison en est
simple, le froid agit comme un analgésique.
Lentement, la canule se désengage de mon fondement, Lucie se réjouit à chaque
légère contraction de mon anneau distendu, elle s'y prend avec machiavélisme,
dans son esprit, il importe que je ressente bien chaque millimètre lorsqu'il me
quitte. Aussi, elle multiplie les sensations dont j'ai dit que je n'en souffrais
guère, ce qui n'empêche pas ma chair de les éprouver l'une après l'autre,
étranges ou perverses en éveillant un malaise dans mes lombes quand ma tourmenteuse
pour que son œuvre soit parfaite, tourne en tirant comme si la canule était un
tournevis et qu'elle fasse le mouvement de dévisser.
Je m'aperçois que je frissonne, mon sphincter
fait en se refermant un bruit de bouteille qu'on débouche, la terrible canule
est sortie entièrement de mon derrière que j'en ressens encore la forme étendue
en moi.
Lucie donne sur mes fesses un coup du
plat de la main, sans méchanceté, mais comme pour me ramener sur terre.
A présent que ma chaleur vient progressivement
à bout du froid dont elle m'a empli, je sens les légères douleurs qui irradient
à partir de mon sphincter que l'ébonite a froissé. Puis mon ventre commence à
peser. Le poids de l'eau éveille dans mes intestins un malaise de plus en plus
précis, c'est pire que la veille.
Lucie doit le deviner car elle pose sa
main sous moi et palpe mon ventre, puis le soutient, m'aidant à le porter, je
le porte en effet de plus en plus comme un fardeau.
« Regarde Corinne, Il est tout
gonflé, distendu, enlaidi, c'est presque émouvant, on dirait une femme
enceinte, c'est vrai que je lui ai mis la dose. »
Corinne l'imite et en profite pour venir
caresser mon sexe.
« Il est tout mou et tout petit, ça
lui fait moins d'effet que la fessée.
– Si ce n'est que ça, ça peut s'arranger. »
Elle, pouffe avant de tâter à nouveau
mon ventre que je sens prêt à exploser, elle doit sentir sous sa paume les contractions
de mon intestin que la masse du liquide travaille et affole. Ma douleur grandit
et elle se penche pour lire ma souffrance sur mon visage qui blêmit à nouveau et
se couvre de minuscules gouttes de sueur.
« C'est dur, n'est-ce pas, cela devient
insupportable ? »
Tout concentré sur mon effort pour
résister aux coliques qui me secouent, je suis incapable de prononcer la
moindre parole et je me contente d'opiner du chef, elle prend mon visage entre
ses mains et plonge son regard dans le mien. Ainsi elle lit mon désarroi et
sent l'irrésistible montée de mon angoisse.
Les deux filles attendent sans parler,
attentives au mystère qui se déroule en moi et qui tord mon corps en de lents
mouvements spasmodiques, contre lesquels je suis impuissant.
« Va ! Ordonne ma cousine, comme mon
regard se voile et que je suis prêt à céder au besoin qui me fouette. »
Elle n'a nul besoin de se répéter, je me
relève péniblement et je m'élance aussi rapidement que je peux en direction des
toilettes où je vais pouvoir enfin libérer mes entrailles. Je l'efforce
d'avancer au plus vite
C’est d’une démarche de canard, courbé,
gêné par les plus de deux litres que je porte et qui pèse atrocement en mon
bas-ventre, craignant de me vider avant d'atteindre mon but.
Les rires de mes bourrelles me fustigent.
« Si tu te voyais ainsi, tu vaux
dix, dommage on aurait dû le filmer, la projection de ce petit film t'inciterait
à l'humilité. »
Je le crois sans peine et je me sens
profondément ridicule. Mais en vérité, je m'en fous, seule la hâte qui me tire en
avant m'importe, pour ne pas donner l'ultime honte de me répandre au milieu du
salon.
Etrangement, je me suis plus vite remis de
ce lavement aux glaçons, dixit Lucie, que du premier, en tout cas, j'étais
guéri de la branlette, entre les corrections que m'avaient infligées la tante Maud
quand elle m'avait surpris dans mon lit et ces deux terribles lavements
successifs, j'étais vacciné, je me contenterais de baptiser éventuellement mes
draps dans mon sommeil.
Je n'en avais pas fini de mes tourments,
Corinne ne s'était pas dérangée pour que dalle, dès qu'ai émergé des gogues,
elles m'ont entraîné vers la salle de bain aux fins de "me récurer à
fond".
Et les deux morues n'ont pas ménagé leur
peine, elles se sont à tour de rôle, attardées sur mes organes génitaux, me descendant
le prépuce comme à plaisir "c'est un endroit qui doit être nickel, car c'est
un foyer de germes", déclenchant à chaque fois une érection, vite réprimée
d'une bonne claque. Après ça a été le
tour de mes fesses qui devaient également être bien propres dans le cas probable
où on aurait à les passer au rouge.
Lucie a même eu le culot après m'avoir
fait courber et écarter mes fesses de mes mains, de m'enfoncer deux doigts dans
l'anus, soi-disant aux fins de vérifier s'il ne restait pas quelques traces de
ma récente défécation. C'était la première fois qu'elle osait ce geste, elle
s'est même permise d'effectuer deux ou trois rotations avant de me libérer et
de sentir ostensiblement ses phalanges.
« Je pense que ça devrait aller, Fabien,
tu as été bien nettoyé de partout. Corinne, tu veux bien le sécher pendant que
je vais préparer ses affaires pour la journée ?
Etrangement, mes intestins me
tourmentaient moins que la veille, à croire que le lavement à l'eau glacée
avait du bon.
Je craignais le pire et j'avais raison,
Corinne s'est évidemment attardée sur les endroits stratégiques, provoquant
encore ma bandaison.
« Décidemment il est en rut, Lucie,
je pense qu'une bonne fessée devrait lui remettre les idées en place.
– On va voir, en attendant aide moi à
l'habiller. »
J'avais raison d'appréhender ce moment,
Lucie voulait à toute force m'obliger non seulement à sortir dans les rues,
mais surtout à aller voir les copains revêtus de l'horrible boxer très court et
très moulant qu'elle m'avait acheté la veille. J'ai carrément refusé de mettre
cette merde, j'aurais vraiment eu l'air trop cloche.
« Ce n'est pas fait pour sortir,
pour faire du sport et encore, c'est non.
–Bien, tu sais à quoi tu t'exposes n'est
ce pas. Alors je vais être très claire, non seulement tu vas bel et bien mettre
cette "merde" comme tu dis si élégamment, mais en plus tu vas te ramasser
la correction qui te pend aux fesses depuis ce matin.
–Et si je refuse ?
–J'en parlerai à Maman et tu peux être
sûr que tu vas aller faire un tour au fond du jardin, récupérer une branche de
noisetier bien souple et surtout deux jolis bouquets d'orties, comme ça tu auras
le feu aux fesses durant deux ou trois jours, ce qui ne mettra pas ta mère de
très bonne humeur quand elle en saura la raison, il n'est pas exclu qu'elle te
passe à son tour le fessier à ces plantes particulièrement urticantes, sous réserve
d'autres sanctions quand tu rejoindras la chère Madame Leblanc, puisque je te
rappelle que la rentrée c'est dans huit jours. »
Ce que ne savais pas encore Lucie, c'est
qu'elle allait m'accompagner chez ladite dame.
J'avais capté des bribes de conversation
entre ma mère et sa sœur qui allait en ce sens, je n'avais pas tout compris, il
était question d'une location à proximité, car mon ancienne et terrible logeuse
n'avait pas la place pour deux locataires. Quoiqu'il en soit, si je ne me
réjouissais guère de ce retour aux sources, je me disais que Lucie allait se
faire tanner les fesses d'importance si elle ne se mettait pas sérieusement au
travail.
C'était d'ailleurs si j'avais bien compris
la principale motivation de tante Maud, Lucie venait d’avoir son bac à l’arrache
et il fallait absolument qu'elle ne rate pas cette première année soi-disant
décisive d’après lycée.
Il n'empêche, en attendant, elle ne me
laisse pas le choix, je n'ai nulle envie de renouer avec les orties, c'est trop
horrible, ça te brûle la peau des jours et des nuits, il n'y a rien de pire, si
en plus, c'est couplé avec une fessée à la baguette, je n'ose même pas y
penser, j'accepte donc la mort dans l'âme de me prêter au jeu sadique des filles.
« C'est bien Fabien, tu reviens à
la raison, mais nous ne sommes pas quitte pour autant, tu vas aller chercher
dans la cuisine la planche à découper. Allez, dépêche-toi, on n'a pas la
journée. »
Qu'est ce qu'elle avait encore trouvé
comme nouvel instrument de torture, j'avais déjà eu droit au martinet, à la ceinture,
à la règle, à la baguette, il manquait encore à ma panoplie, la strappe, les
verges et la cane anglaise que je n'étais guère pressé de découvrir, sans parler
du fouet ou des terrifiantes orties.
La planche à découper, c'était nouveau,
je voyais hélas fort bien de quoi il s'agissait, en somme une sorte de grosse
raquette de ping pong et les dégâts que cela pouvait causer sur mes pauvres fesses.
Je n'ai cependant pas eu d'autre choix que de m'exécuter et c'est toujours entièrement
nu que je m'en vais quérir ce nouvel instrument de torture.
C'est Corinne qui semble-t-il va
officier puisqu'elle s'est assise sur une chaise installée parallèlement au
canapé où trône ma cousine qui va ainsi se retrouver aux premières loges.
Comme c'est elle qui s'empare de la planche,
je comprends que cela va se passer comme le plus souvent en deux étapes, un pré
chauffage de mon fessier à la main par son amie, avant de passer aux choses
sérieuses de son fait.
Je me couche donc sur les genoux de ma
première tourmenteuse, elle a désormais de la pratique, elle s'amuse d'abord à
parcourir la future surface à corriger.
« Ecarte bien tes jambes, je veux
que Lucie ait une pleine vision sur tes balloches. »
C'est ce que je fais, ne voulant surtout
pas aggraver la sanction imminente, sauf que mon sexe qui frotte sur ses
cuisses me provoque un début d'érection qui je l'espère ne sera pas trop
remarquée.
Les claques qui s'abattent sur mon fondement
me ramènent vite à la triste réalité de ma condition de soumis à ces deux
garces, elle a vite appris Corinne, cela n'a plus rien à voir avec ses
hésitations précédentes, elle lève très haut sa main et l'abat avec une force que
je ne lui supposais pas, à croire qu'elle veut épater sa copine à mes dépens.
Elle m'a tout de suite fait mal et mes
bonnes résolutions de ne pas donner le plaisir à ces deux salopes de me voir
chouiner comme un bébé n'ont pas tardé à s'envoler dès que mon bas du dos a été
consciencieusement rôti par les soins diligents de ma fesseuse.
Je m'efforçais néanmoins de rester en
place, toujours la même antienne, ne pas donner l'impression que je n'acceptais
pas la fessée sous peine de m'en ramasser une autre encore plus importante,
alors que la cuisson qui s’empare de mon derrière me donne naturellement envie
de me tordre pour échapper aux coups.
Corinne tapait comme une sourde, ses
mains devaient lui cuire presque autant que mon fessier, à présent à point, sachant
d'expérience que le fesseur ne tient pas à lâcher sa proie avant qu'elle soit
symboliquement cédée en venant à résipiscence, j'ai préféré craquer et me laisser
aller à battre mes jambes, sachant que je donnais ainsi à Lucie le spectacle de
mes burnes qui se mettaient à jouer les castagnettes et de mon trou de balle,
hélas déjà trop visité ces derniers temps.
Puis à geindre, à gémir et enfin à
pousser des cris qui ont alertés la petite Marie qui n'a pas manqué de se
joindre au spectacle.
J'ai même commencé à supplier, toute
honte dépassée, Corinne de s'arrêter de martyriser mon cul qui devait désormais
avoir revêtu la belle couleur carmin souhaitée par ma bourelle. Je ne sais pas
si c'était ce qu'elle attendait ou si elle commençait à fatiguer, mais elle a
cessé de m'asséner ses claques étonnement vigoureuses pour une jeune personne
somme toute assez menue, se remettant à passer ses mains sur mon séant massacré
comme pour bien s'assurer qu'elle avait bien effectué sa besogne et qu'aucun morceau
de chair n'avait échappé à sa détermination.
« Eh bien voilà des fesses qui ne
pourront pas se plaindre d'avoir été négligées, bravo Corinne, quels progrès en
quelques jours, je dois dire que je suis admirative, à croire que tu y prends
autant goût que moi.
– Ça doit être ça.
– Il a les fesses bien tannées, viens
les toucher Marie, dis-moi si elles sont bien chaudes ? »
Décidemment, rien ne me serait épargné,
tu parles que la gamine ne s'est pas fait prier et qu’elle a parcouru mon
fessier meurtri de ses menottes.
« Pour être chaudes, elles le sont,
on pourrait y faire cuire un œuf. »
Elle se marre la petite Marie.
« Qu'est-ce qu'il a encore fait ?
– Des bêtises comme toujours, il est incorrigible
et il ne comprend que les corrections et là tu peux rester si tu veux, il va
avoir droit à la seconde partie du menu.
– Non, il va encore brailler comme un
goret et j'ai mieux à faire, mais merci tout de même pour l'invitation.
– Allez, mets-toi en piste, on va bien
voir si tu vas hurler, j'aimerais assez, même si Corinne ne t'a pas ménagé, pour
l'heure, tu n'as pas trop crié, j'ai bon espoir de bien te faire chanter, les
fenêtres sont ouvertes et ça profitera non seulement aux voisins qui commencent
à avoir un peu l"habitude, mais éventuellement à quelques passants, tu vas
devenir une sorte de star mon cher Fabien. »
Bien entendu, elle fait monter la
mayonnaise, histoire de me m'angoisser et de m'humilier davantage, sachant que
je suis désormais debout, nu, face aux deux filles assises sur le canapé, les
mains sur la tête et les fesses brûlantes, obligé de supporter les commentaires
de Lucie qui comme à plaisir frappe doucement avec la planche dans sa main gauche,
comme pour me donner un avant goût de ce qui attend mon pauvre derrière.
Elle a le front de me décalotter le
gland d’un geste rapide, à croire qu’elle a fait ça toute sa vie.
« Je préfère, il est encore plus nu
comme ça ! »
Je n'ai pas longtemps à attendre, d'un geste
du doigt, elle m'a invité, façon de parler, à venir me mettre dans la position
disciplinaire habituelle, mais mon prépuce mis à l'air frotte sur son jean et
me fait mal, qu'est ce que ça va être quand sous la vigueur des coups de son
truc de merde, je vais être amené, bien malgré moi, à me trémousser ?
Décidemment elle ne m'épargne rien, j'essaie
pour calmer mon angoisse, de songer que bientôt j'aurais ma revanche car elle
se trouvera sous la terrible férule de Madame Leblanc.
En attendant, après, un passage de ses
mains sur mon fessier meurtri, m'avoir au passage bien écarté les jambes et s'être
un instant attardé, presque comme par mégarde sur mon trou de balle, toujours
douloureux après l'intromission de la trop grosse canule, je sens que ça va
être ma fête.
Et je ne suis pas déçu, le premier coup
me plaque littéralement sur les genoux de ma cousine et je ne peux m'empêcher
de pousser un grand cri, ça n'a rien à voir avec ce que j'ai déjà connu, le
martinet, ça te laisse comme une impression de brûlure, la règle, ça pince et
ce n'est pas de la tarte non plus, mais ce truc, ça t'écrase vraiment les
chairs et sur une large surface, je n'imagine même pas ce que ça peut donner
lorsque c'est manié par un homme un peu costaud, ce doit être insupportable.
Le deuxième est pire, en plus en me
redressant, je frotte mon gland dépouillé de sa protection sur les cuisses de
Lucie et je me fais mal.
Corinne est restée assise sur le canapé,
elle tend son visage vers moi, à chaque coup que m'assène son amie, certainement
aux fins de se régaler de mes souffrances et des pleurs que je retiens encore
comme je peux, mais qui ne vont pas tarder à jaillir, tant je souffre, je me
dis que je ne vais pas tenir le choc, ça fait trop mal, je ne vais plus pouvoir
m'asseoir de plusieurs jours, mais surtout je serre les poings pour ne pas me
rebeller ou en donner l'impression, je sais trop ce qu'il en résulterait, avec
probablement un petit tour au fond du jardin.
Je ne sais pas où Lucie avait pris cette
idée d'utiliser une planche à découper pour me tanner les fesses, aucunes de
mes fesseuses émérites ne m'y avaient encore fait goûter. Surtout que les frappes
intervenaient sur un croupion déjà largement massacré par la fessée précédente,
certes manuelle, mais on l'a vu, tout à fait sérieuse.
Et c'était du sauvage, ça te pénétrait
largement à l'intérieur et évidemment, à l'encontre d'une fessée classique, ça
frappait toujours au même endroit, tu n'avais pas l'opportunité de te remettre,
c'est ainsi que je me mis à hurler pratiquement tout de suite, au troisième
coup, les sanglots ne tardèrent pas à suivre, non plus que de vraies grosses
larmes, sans parler de mes vaines supplications, pour le grand bonheur entre autres
de cette salope de Corinne qui commentait mes misères.
« Ça y est, il est à point, il
commence à pleurer comme un petit garçon, finalement, je l'aurais cru plus résistant. »
Connasse ! J'aimerais t'y voir, c'est
vrai que complètement nu sur les genoux de ma cousine, gémissant et me répandant
d'abondance, je ne ressemble plus du tout à un presque adulte de dix huit ans
passés, je ne suis bientôt plus rien qu'un animal en souffrance, qui a perdu
toute sa dignité et qui s'efforce de subir sans trop bouger la terrible
correction qu'on lui inflige.
« Et dix ! Je crois que ça ira pour
cette fois. Tu as de la chance, j'ai ménagé tes cuisses et tu auras l'air moins
bête devant les copains avec ton joli petit short, que si j'avais employé le
martinet. Il va falloir que tu m'en remercies. »
Ça me brûle abominablement, mais même si
je continue à pleurer, je suis soulagé que ce soit terminé.
« Allez, mets-toi à genoux à mes
pieds, les mains derrière ton dos et les yeux baissés en signe de contrition.
Putain la salope ne m'épargne rien, je
me relève difficilement, j'essuie rapidement mes larmes et tout en sanglotant
encore un peu, tant mes fesses me lancent toujours atrocement, je m'installe
aux pieds de mon bourreau dans la très humiliante position ordonnée.
« Eh bien, c'est laborieux, il va
falloir que tu apprennes à obéir un peu plus vite, pour l'heure, demain tu en
auras terminé de ma gouvernance, mais si cela venait à se reproduire, je serais
bien plus exigeante. »
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