Une de perdue... une de retrouvée

Parce que c'est ça que tu appelles travailler ? Il me semblait pourtant, mon oncle, que ma tante t'avait ordonné de mettre de l'ordre dans tout le fouillis que tu as accumulé dans l’appentis. Il m'a semblé que tu devais avoir fini avant la fin de l'après-midi. Est-ce que je me trompe ?

Il y avait là de quoi t'occuper sans que tu prennes le temps de musarder en route ! Et sur quoi je tombe ? Sur un garçon qui, une demi-heure après avoir commencé, n'a pas bougé le moindre objet. Monsieur était tranquillement assis dans un coin à rêver. Désobéissance, paresse... Il y a là motif à punition, si je ne me trompe pas. N'est-ce pas ?

Sans doute as-tu cru que parce que ma tante était partie en voyage pour trois jours, tu pouvais prendre tes aises ? C'était oublier qu'elle m'avait transmis l'autorité sur toi. Et j'ai bien l'intention d'être digne de la confiance qu'elle a placée en moi.

Je réglerai bien ça sur place, mais ma tante n'a pas l'habitude de s'occuper de tes frasques à l'extérieur. Pour cette fois, je vais suivre son exemple, mais je ne conseille pas d'y revenir. Suis-moi, nous allons continuer cette discussion à l'intérieur de la maison.

Comment ça, je n'ai pas le droit de te baisser la culotte ? Crois-tu que la punition que tu as méritée sera moins sévère que quand c'est ma tante qui te la donne ? Je ne te conseille pas de tenter de m'en empêcher ! Tu sais qu'elle m'a fermement recommandé de ne rien te passer et de prendre exemple sur elle dans sa façon de te maintenir dans le droit chemin.

J'espère que tu n'as pas cru, parce que je suis ta nièce, que j'ai trente-cinq ans de moins que toi, que je n'oserais pas te baisser le pantalon et la culotte ? Tu sais parfaitement que je ne découvre rien de ton intimité. Ce n'est pas la première fois que tu te trouves devant moi, la culotte baissée. Ma tante t'a puni bien souvent en ma présence. 

Je comprends que tu trouves gênant que ce soit moi qui te déculottes. J'espère même que tu en as honte. C'est tout autant inconfortable pour moi de devoir mettre à nu ton intimité. A cinquante-huit ans, cela ne devrait plus t'arriver ! Et j'ai bien d'autres choses à faire que passer mon temps à te surveiller et à te corriger. J'ai pourtant l'impression que je vais devoir m'y faire !

Je sais bien que je suis ta nièce et qu'il est plus qu'embarrassant, pour toi, de te rendre compte que je vais te traiter comme on le fait pour les petits garçons désobéissants, mais franchement, je ne vois pas d'autre solution. Une bonne fessée déculottée, il n'y a que ça que tu comprennes !

Voilà ! C'est parfait comme cela ! Je pense que je vais arriver à te rougir les fesses. Tu vas apprendre que quand c'est moi qui te surveillerai, je serai tout aussi sévère que l'est ma Tante. 

C'est la première fois que je te donne la fessée, mais ce n'est pas la dernière. Avant de retourner finir ton travail, tu vas aller faire un petit séjour au coin. Je pense qu'une bonne demi-heure, la culotte baissée, te laissera le temps de réfléchir à ce que veut dire l'obéissance !

Si ce soir, à l'heure du dîner, je ne suis pas parfaitement satisfaite du rangement de la remise, tu viendras de nouveau faire un tour à plat ventre sur mes genoux. Si je pense que tu n'as pas fait les efforts nécessaires, ta prochaine fessée, ce sera avec le dos de la brosse !

Merci à ...

... eh bien, à personne, je crois. Que pensez-vous de ce dessin ? Faut-il continuer dans cette voie ?

Quand la paresse les tient !

   

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