mercredi 23 septembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 16

 Maman Marianne pénétra dans la chambre d’Aurélie et de Philippe, à sept heures vingt-cinq comme d’habitude et sans s’annoncer. Elle alla directement ouvrir les volets et laissa la fenêtre ouverte. En ce début du mois de mars il faisait encore un peu frisquet, surtout aussi tôt le matin, le soleil n’étant pas encore complètement levé. Je me glissais un peu plus loin sous la couette.

« Debout tous les deux ! Nous avons pas mal de chose à voir ce matin ! »

Elle attrapa la couette qu’elle rabattit au pied du lit. Philippe tenta, en vain de retenir cette protection qui le maintenait au chaud et Aurélie protesta et grommelant.

« J’ai dit debout ! »

Une claque atterrit sur les fesses de Philippe.

« Tout de suite. Je crois que nous avons à discuter de votre comportement d’hier soir ! »

Maman Marianne fit le tour du lit et elle claqua les fesses de sa fille comme elle venait de le faire pour son gendre.

« Toi aussi, debout !

– Aïe, réagit Aurélie ! Mais il fait froid ! »

Ce qui lui valut une deuxième claque, plus appuyée sur l’autre fesse.

« A moins que vous n’ayez besoin d’une fessée plus consistante dès maintenant ? »

Cette menace, à prendre au sérieux, acheva de réveiller les deux jeunes gens qui sortirent du lit précipitamment.

« Sept heures trente, en bas, dans la cuisine, en pyjama, mais avec les chaussons ! Pas une minute de retard ! Je ne suis pas d’humeur à vous passer le moindre écart ! »

Maman Marianne sortit de la chambre. Philippe regarda le réveil. Sept heures vingt-huit. Il n’y avait pas de temps à perdre. Il prit cependant quelques secondes pour songer à ce qui s’annonçait. Maman Marianne était déjà au courant. La matinée serait difficile. il porta ses mains à ses fesses. Aurélie lui jeta un regard explicite. Oui, c’était bien là que se paierait leur désobéissance de la veille au soir.

Sept heures vingt-neuf. Il était temps d’y aller. Ils seraient à l’heure à condition de se presser.

 

Tout était prêt sur la table du petit déjeuner. Seuls les bols de chocolat manquaient. Ils attendaient près du micro-onde.

« Venez-ici tous les deux ! »

Maman Marianne les attendait près de sa chaise. Elle les plaça côté à côte devant elle. Elle releva la chemise de nuit d’Aurélie et baissa la pantalon de pyjama de Philippe.

« Voyons s’il reste des traces de vos frasques d’hier soir ! »

Elle tourna les fesses d’Aurélie vers la lumière.

« Pas de marque ! Je ne suis pas certaine que la fessée que tu as reçue a été suffisante. Il faudra que je dise à Annette d’être un peu plus sévère ! Pour une petite fille qui a mouillé sa culotte, cela méritait une solide correction, n’est-ce pas ? »

Elle claqua les fesses de sa fille deux ou trois fois de chaque côté. Le cri d’Aurélie lui confirma que le message était bien passé.

« Oui, Maman ! »

Maman Marianne attrapa alors Philippe par le poignet et elle l’amena entre ses jambes. Les fesses de son gendre portaient encore quelques marques, mais peu visibles.

« Ah je vois qu’Annette a fait du bon travail avec la règle. C’était indispensable pour un grand garçon qui avait décidé de désobéir à sa baby-sitter ! »

Philippe en protesta pas quand une bonne série de claque arrivèrent sur ses fesses. Sa belle-mère avait raison. Il n’aurait pas dû contester les décisions de sa baby-sitter. S’il avait commencé à s’en rendre compte quand il avait séjourné au coin, la veille au soir, c’était maintenant une évidence. Qu’il en soit puni était bien normal. Il se dandina un peu d’un pied sur l’autre, mais cela ne diminuait pas la douleur qui revenait en force sur son épiderme encore sensible. Les effets des fessées d’hier soir étaient encore bien présents. Un rien les ravivait. La main de sa belle-mère y avait suffi.

« Bon ! Nous allons déjeuner. Après que je vous aurai habillé, je vous donnerai une fessée et vous irez attendre Annette au coin. Nous verrons la suite avec elle ! »

 

Aurélie et Philippe avaient retrouvé leur coin respectif dans la cuisine. Ils attendaient Mademoiselle Annette, le nez dans l’angle du mur et la culotte baissée laissant voir leur fesses qui avaient retrouvé une couleur bien rouge. Maman Marianne leur avait expliqué combien elle était déçue de leurs désobéissance. Chacun avait alors reçu une bonne fessée qui sanctionnait la déception de leur mère et belle-mère. L’affaire n’en resterait pas là. On attendait Mademoiselle Annette.

Cela faisait un bon moment qu’ils étaient au coin quand la porte de la cuisine qui donnait sur le jardin s’ouvrit.

« Bonjour tout le monde, claironna une voix ! »

C’était Annette.

« Ah, je vois que mes deux garnements m’attendent ! »

Elle se dirigea vers Aurélie et posa le dos de sa main sur ses fesses.

« Tout cela a eu le temps de refroidir, mais nous allons nous occuper de les réchauffer ! »

Elle donna une bonne claque sur le postérieur nu et Aurélie accusa le coup.

« Et toi, où en es-tu ? »

L’examen des fesses de Philippe, mit en évidence les douleurs résiduelles que ravivèrent la claque sur les fesses.

« Je vais voir Madame Marianne. Ne bougez pas de là ! »

C’était une recommandation bien inutile.

 

Annette revint accompagnée de Marianne.

« Si vous le voulez bien, Annette, je préfèrerai que ce soit vous qui leur donniez la fessée pour leur comportement d’hier soir. Il faut qu’ils comprennent que leur comportement n’est pas admissible. Avec la fessée de ce matin, je crois qu’ils ont compris que je n’admettrai plus qu’ils désobéissent à une personne à qui j’ai donné autorité sur eux. Mais ils ont aussi besoin de sentir votre main rougir leurs fesses pour comprendre que vous serez tout aussi sévère que moi. Cela vous rendra, à l’avenir, d’autant plus légitime à les punir.

– Vous avez raison, Madame Marianne ! Je vais leur donner la fessée. Mais pour ce qui est de mon autorité sur eux, je pense que vous n’avez plus de souci à vous faire. D’ailleurs vous allez voir combien ils m’obéissent maintenant. »

Il y eut un signe d’acquiescement de la part de son interlocutrice.

« Voulez-vous la règle ? Ils l’auraient bien mérité.

– Non, pas pour cette fessée. Il faut garder la règle pour des circonstances exceptionnelles, une désobéissance grave, par exemple. Pour ce matin, ma main suffira/

– C’est vous qui donnez la fessée, c’est vous qui décidez, mais faites en sorte que ces deux-là apprennent leur leçon.

– Ne vous inquiétez pas pour cela. Aurélie, je commence par toi ! Viens-ici ! »

 

La jeune femme interpellée se retourna. Elle eut un regard suppliant envers sa baby-sitter, mais cela ne l’empêcha pas de se rendre là où elle était attendue. Annette avait posé ses fesses sur le bord de la table qui occupait le centre de la cuisine. Elle avait écarté ses jambes et c’était tout naturellement qu’Aurélie vint s’y placer.

Elle soupira mais, les bras en avant, elle passa sa tête sous celui d’Annette qui avait ménagé une place pour le buste de sa pupille. Aurélie avait le ventre noué. Elle craignait les minutes à venir, mais elle savait qu’elle avait mérité cette punition. Elle espérait qu’avec cette fessée et le temps passé au coin qui suivrait, elle sortirait de la situation dans laquelle elle s’était imprudemment mise elle-même, la veille au soir. Après les choses seraient plus simples. Il suffirait d’obéir à Annette, comme elle obéissait aux autres grandes personnes et de recevoir, sans chercher à s’y dérober, les fessées dont sa baby-sitter déciderait.

« C’est bien normal, se dit-elle pour s’en convaincre. »

Oui, cela faisait partie de la vie chez sa mère de recevoir la fessée déculottée, mais c’était toujours aussi… Aurélie ne trouvait pas le mot pour qualifier la situation qu’elle vivait. Dérangeant ? Le mot lui semblait un peu faible. Humiliant ? Oui, c’était humiliant, à son âge, de sentir qu’on lui baissait la culotte et que les personnes de son entourage avaient toute légitimité pour exposer ses fesses nues et qu’on attendît d’elle qu’elle s’y soumette sans se rebeller.

Mais, elle ne sentait pas de volonté de l’humilier, non plutôt celle de lui donner une leçon qu’elle n’oublierait pas. Ses fesseuses cherchaient l’efficacité et la combinaison de la reconnaissance de l’autorité à laquelle elle était soumise, du déculottage et de la douleur de fesses cuisantes, était particulièrement pertinente. Aurélie n’aurait rien su trouver de plus approprié et elle sentait l’amour et l’affection dans lesquels baignaient ces corrections. C’était bien parce qu’elle était importante, aux yeux des personnes qui lui donnaient la fessée, qu’ils prenaient le temps de la corriger. Elle était entourée d’un cocon familial et c’était bien rassurant de s’y savoir en sécurité, même s’il fallait, pour cela, y subir quelques rigoureuses punitions. Il n’y avait là rien d’avilissant ni de scandaleux. Qu’on ait jugé qu’il n’y avait pas d’autre moyen de lui faire comprendre ses erreurs, lui faisait honte, mais c’était d’elle-même dont elle avait honte, de sa maturité insuffisante, malgré ses trente-quatre ans.

Elle laissa Annette ajuster sa position, accompagnant certains des gestes nécessaires pour la placer correctement. Il n’était pas nécessaire de lui baisser la culotte qui était tombée sur ses chevilles. Il fallut, par contre ajuster le bas de la robe qui avait tendance à recouvrir les fesses depuis qu’Aurélie ne le tenait plus.

Ce n’était plus d’une gamine dont Aurélie s’apprêtait à recevoir la fessée, mais de sa légitime baby-sitter. La différence d’âge n’entrait plus en ligne de compte. Du coin de l’œil elle apercevait sa mère qui approuvait ce qui se préparait. Il n’y avait aucun doute sur ce sujet.

La main d’Annette s’abattit sur ses fesses. Pour sûr, elle savait donner la fessée. Aurélie l’avait déjà expérimenté, et celle nouvelle correction en apportait la confirmation. Aurélie laissa libre cours à ses gémissements, ses demandes de pardon, ses cris et ses larmes. Elle savait que cela n’allègerait pas la punition, mais elle ne pouvait pas s’en empêcher.

 

Annette était concentrée sur son ouvrage. Cela pouvait paraître simple de donner une fessée, mais ça ne l’était pas. Il fallait veiller à ce que la vigueur de la correction corresponde à l’écart qui l’avait provoquée : trop forte, c’était une injustice et pas assez, c’était inefficace. Un équilibre pas toujours aussi évident à trouver. Les cris et les pleurs de la jeune femme qu’elle tenait sous son coude, aidaient à trouver le juste milieu.

Il était également nécessaire de correctement répartir les claques sur les fesses et le haut des cuisses en prenant en compte la sévérité recherchée. Il fallait enfin maintenir son ou sa punie en place, qu’il ou elle fasse des mouvements involontaires, c’était dans l’ordre des choses, mais il n’aurait pas été satisfaisant qu’il ou elle se débattît et cherchât à se libérer. Une attention de tous les instants était requise pour vérifier où en était la personne qui se tortillait sous son coude.

Pour Annette, tout cela ne se faisait pas encore sans un effort d’application. Elle comptait bien sur l’approfondissement de son expérience pour que, veiller à tous ces éléments, devînt naturel et qu’elle donne la bonne fessée au bon moment sans que cela ne lui demandât trop d’attention.

Quand les tortillements d’Aurélie sous son bras et quand la paume de sa main commença à lui faire mal, Annette estima que la leçon avait été suffisante et qu’elle pouvait s’en tenir là, question fessée.

« Retourne te mettre au coin ! »

Aurélie se dépêcha de s’y rendre, trop heureuse que la fessée fût enfin finie. Elle savait qu’elle avait maintenant un long à passer au coin, mais c’était préférable à la fessée même si, dans cette pièce où entraient et sortaient de nombreuses personnes, elle avait un risque non négligeable d’être aperçue, sans qu’elle sût par qui, dans cette tenue si peu gratifiante. Prendre des libertés avec les règles qui régissaient les temps passés au coin, conduisait inévitablement à une autre fessée et à une station en pénitence encore plus longue. Elle n’avait donc pas le choix.

 

« C’est à nous maintenant, n’est-ce pas Philippe ? C’est l’heure de la fessée dont tu as besoin, qu’en dis-tu ? »

Philippe cherchait à se faire oublier. Ce n’était pas le moment de se signaler. Il resta silencieux. Ce n’était pas ce qu’attendait Mademoiselle Annette. Elle voulait qu’il manifestât explicitement son accord à recevoir une correction. Cela faisait partie du processus de légitimation de l’autorité d’Annette. Philippe ne l’avait pas compris. Une sérieuse claque sur les fesses le ramena à plus de pragmatisme.

« Je t’ai posé une question !

– Oui, Mademoiselle Annette, oui !

– Oui quoi ? »

Elle insista avec une nouvelle claque.

« Oui, c’est l’heure de ma fessée.

– Et…

– Et j’en ai besoin, Mademoiselle Annette.

– Je suis d’accord. Tu en as vraiment besoin ! »

Mademoiselle Annette alla reprendre sa place sur le bord de la table.

« Viens-ici, alors, pour la recevoir ! »

Philippe fit demi-tour. Il regarda autour de lui. Aucun secours à attendre ni d’Aurélie, ni de sa belle-mère. Il fit deux ou trois des premiers pas qui devaient le conduire vers Annette, puis il s’arrêta.

« S'il vous plait, Mademoiselle Annette, pas la fessée !

– Tu arrives ici tout de suite !

– Non, Mademoiselle Annette, pardon ! Je ne le ferai plus.

– Encore un mot, ou une seconde de plus sans avancer vers moi comme je te l’ai ordonné et je vais chercher la règle ! »

Il n’y avait plus à atermoyer. Philippe se mit en route. Trois ou quatre mètres à faire et il était entre les mains de sa baby-sitter. Il ne fit plus aucune difficulté quand Mademoiselle Annette l’installa en position punitive, plaçant ses fesses à portée de sa main. Tout au plus gémissait-il faiblement. Elle releva un peu la chemise et elle prit son élan.

Encore une fois, Philippe avait hésité avant de lui obéir. Ce n’était pas acceptable. Elle devait prendre des mesures drastiques. Pour commencer une très sérieuse fessée s’imposait. Ça, Annette savait faire. Elle fit retomber sa main en lui donnant le plus de vitesse possible et en ajustant sa forme à celle de la partie des fesses qu’elle visait. La réaction de Philippe fut à la hauteur de la minutie qu’elle y avait mise. Il rua, mais il resta à la même place, les fesses disponibles une nouvelle fois pour la main de sa baby-sitter.

Une dizaine de fois sur chaque fesse. Alternativement, l’une puis l’autre. Aussi fort qu’elle le pût. Philippe regrettait déjà ses désobéissances, mais il fallait aller jusqu’au bout, c'est-à-dire jusqu’à ce que Mademoiselle Annette décidât qu’il en avait assez eu. Il lui restait encore assez de lucidité pour s’obliger à rester en place, tout en sachant que la main de sa baby-sitter reviendrait à la charge aussi longtemps qu’elle le voudrait.

Puis le rythme s’accéléra. Ce que la fessée perdait en force d’impact, elle le gagnait en persistance de la douleur. Finalement, l’énergie que devaient absorber les fesses était tout aussi importante, voire un peu plus élevée que précédemment.

Mademoiselle Annette tint ce tempo assez longtemps pour que les tortillements de Philippe sur ses genoux se transforment en ruades qu’elle devait s’attacher à maîtriser pour assurer la continuité de la fessée. Elle raffermir la prise de son bras sur la taille de Philippe et elle le plaqua plus étroitement contre elle. Son coude placé entre les omoplates du garçon l’empêchait de se relever.

Elle repéra assez vite les signes de repentance, signalant que la fessée avait fait son effet. Malgré la cuisson qu’elle ressentait sur la paume de sa main, elle décida de continuer. Il fallait bien, qu’elle aussi, paye le prix de la correction qu’elle administrait. C’était un prix bien moins élevé que celui qu’avait à assumer Philippe, mais cela lui rappelait que donner une fessée b’était pas sans conséquence pour la fesseuse.

Il lui fallut contrôler les mouvements involontaires de Philippe. La position dans laquelle elle l’avait placé facilitait la chose, mais elle sentait bien qu’il y avait une retenue dans les gesticulations de Philippe. Il restait dans ce que Mademoiselle Annette pouvait maîtriser. Philippe progressait dans l’acceptation de son autorité. C’était ce qu’elle cherchait. Lui comme elle, étaient sur la bonne voie.



Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !

Ah, là, là, là, là, là, là ! Bon,  voici début : le chapitre 1
Et le précédent : le chapitre 15


Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?

Eh ben... tu verras bien la semaine prochaine !

Allez, un commentaire !

Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.

4 commentaires:

  1. Mademoiselle Annette malgré son jeune âge est une redoutable fesseuse, je ne voudrais pas lui désobéir.
    Sylvie

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    1. Sylvie,
      Il y a effectivement des risques (changes ?) que vous preniez une fessée?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Bonjour JLG ,
    Peut être Annette pourrait recevoir une fessée devant Aurélie et Philippe pour équilibrer un peu et moins fière , après c'est prévu?
    Sinon vos scenarios sont toujours aussi bon continuez
    Au plaisir de vous lire
    PS: de futurs nouveaux ou nouvelles témoins prévus encore plus jeunes pour leurs hontes

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    1. Cher lecteur anonyme,
      Je ne crois pas que la fessée puisse être un acte réciproque. Comme c'est une punition, il faut que la personne qui la donne, le fasse au nom d'une autorité légitime. Les rôles ne peuvent donc pas être échangés.
      Je ne crois donc pas (en fait, j'en suis sûr) qu'Annette va prendre une fessée. Par contre, il est probable qu'elle en administre quelques-autres.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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