Une deuxième et sévère Maman

C'est à cette heure-ci que vous rentrez, Alexandre ? Je croyais pourtant ne vous avoir donné la permission de sortie que jusqu'à vingt-deux heures. N'ai-je pas été claire ? Me suis-je mal fait comprendre ? A moins que vous m'auriez délibérément désobéi ?

Depuis deux mois que je me suis mariée avec votre père, c'est la première fois où il s'absente pour plusieurs jours. Il m'a explicitement confié l'autorité sur vous, bien que vous ayez vingt-et-un ans. Je sais que cela vous déplaît : être placé sous l'autorité de votre belle-mère qui n'a pas dix ans de plus que vous.

C'est pourtant bien cette situation que vous devrez admettre si vous voulez rester habiter dans la maison familiale. C'est, pour moi, une condition non négociable. Je n'ai accepté que vous ne continuiez à demeurer ici qu'à condition d'avoir pleine autorité sur vous, comme si j'étais votre mère biologique. Je sais que vous l'avez peu connue et que vous n'avez pas l'habitude de devoir obéir à une personne du genre féminin, mais maintenant, c'est moi qui assume le rôle maternel auprès de vous, et j'entends l'assurer totalement. Vous verrez que vous vous y ferez, voire vous y trouverez votre compte.

Je vous repose donc la question : comment se fait-il que vous rentriez à une heure du matin, trois heures après l'heure limite que je vous avais fixée ?

Parce que cela vous amuse ? J'ai vraiment l'impression que vous ne prenez pas au sérieux ni mes exigences vis à vis de vous, ni ce que je viens de vous dire. Je vais donc changer de méthode

Je ne connais qu'une façon de faire pour mettre au pas les jeunes gens qui, comme vous, se croient grands et pensent qu'ils peuvent se passer d'obéir aux grandes personnes. Une bonne fessée déculottée, il n'y a rien de mieux !

Cessez de bouger et restez en place ! Il est normal que les fesses vous cuisent ! C'est ce que je recherche en vous fessant. Et nous sommes loin d'être au bout de cette correction. Je vous conseille de me laisser faire, sauf à ce que vous teniez que j'exige de mon mari qu'il vous mette à la porte.

Cela va vous faire le plus grand bien. Je pense que vous en avez besoin pour réaliser que désormais vous aller devenir un grand garçon bien sage et bien obéissant ou tout du moins que vous allez essayer de le devenir. Oh, je ne me fais pas d'illusion, il vous faudra sans doute de nombreuses fessées avant d'y arriver ! Surtout au début !

Afin d'être certain que le message passe bien, j'ai peur que ma main n'y suffira pas. Mais ne vous inquiétez pas, j'ai ce qu'il faut ! Je devrai arriver à vous faire passer l'envie d'être insolent. Je ne vais pas m'arrêter avant que vos fesses soient bien rouges pour que vous profitiez de la cuisson au moins pendant les premières minutes où vous serez au coin !

Et puis, il est préférable que vous découvriez, dès la première fois, combien une fessée peut-être non seulement très vexante, mais également combien elle peut vous chauffer les fesses jusqu'à l'insupportable.

Tant que nous sommes à parler de ce qui doit changer dans votre comportement, je crois qu'il faut que nous échangions à propos de la femme de chambre. Elle se plaint énormément de vous. Il semble que vous ne soyez pas d'une propreté suffisante et que vous refusiez de ranger vos affaires. Elle dit également que vous êtes méprisant quand vous lui parlez.

Je lui ai promis que tout cela cesserai dès demain. Je lui ai donc donné le droit de vous punir quand elle le jugera nécessaire. Elle pourra donc vous appliquer le même traitement que celui que je vous administre ce soir. Je l'ai convaincue que ce dont vous avez besoin, c'est une bonne fessée déculottée et que si elle voulait que votre attitude change, elle devait mettre la main à la pâte elle-même.

Je dois avouer que je n'ai pas eu grand mal à la convaincre ! Elle était ravie de l'autorisation de vous corriger que je lui donnais. Elle m'a confié que cela fait de nombreuses années qu'elle pense qu'une bonne fessée vous ferait le plus grand bien, mais que quand elle avait évoqué la question avec votre père, elle n'avait pu emporter sa décision.

Elle viendra vous lever à sept heures demain matin. Vous lui présenterez vos excuses et vous accepterez toutes les punitions dont elle décidera. D'après ce qu'elle m'a dit, elle pense qu'il ne faut rien vous passer. Tout écart, si petit soit-il, sera sanctionné. Il est préférable que vous en soyez conscient.

Après avoir fait votre toilette, elle vous habillera. Nous avons convenu que les vêtements que vous portez ne sont pas du tout adaptés à votre âge, celui que vous avez dans votre tête. Ils laissent croire que vous êtes un adulte, ce qui n'est pas le cas. Nous allons repasser aux culottes courtes.

Vous pouvez compter sur elle pour que bientôt toute la maisonnée ait assisté au moins une fois à l'une de vos fessées. Elle vous corrigera sur le champ quand vous en aurez besoin et je ne m'en priverai pas non plus. Ne croyez pas plus que les séjours au coin, culotte baissée, se feront tous dans un espace privé.

Il est important que chaque personne qui fréquente cette maison, à quelque titre que ce soit, soit au courant du nouveau statut qui sera désormais le vôtre : Celui d'un petit garçon qui , quand il n'est pas sage et obéissant, peut être puni par toutes les grandes personnes de son entourage. Vous savez que le train de vie qu'entend mener votre père, suppose qu'il soit entouré par de nombreuses personnes.

La cuisinière a d'ores et déjà dit qu'elle n'hésiterait pas à vous baisser la culotte et à vous fesser. Elle a convenu spontanément que cela fait longtemps que vous auriez dû en recevoir  quelques-unes et certaines très sévères.

Demain matin, vous viendrez me voir. Nous aurons une très sérieuse discussion sur les vices auxquels vous devez renoncer sans délai. Je parle de votre consommation d'alcool, du jeu de cartes et de votre fréquentation de tripots louches et de maisons closes. Vous serez d'accord avec moi pour convenir que ce n'est pas de votre âge !

Par contre, vous allez reprendre vos études. J'ai recruté une préceptrice qui va venir s'installer à demeure. Elle sera en quelque sorte votre gouvernante. Elle veillera à ce que votre comportement soit irréprochable et bien entendu je lui demanderai de vous punir aussi souvent que nécessaire. Vous savez comment elle s'y prendra.

Ensuite, je vous corrigerai pour être rentré à la maison ce soir dans un état d’ébriété avancé. Vous devez comprendre que c'est la dernière fois que ça arrive. Vous irez cueillir une baguette dans le jardin et je l'utiliserai pour laisser quelques marques sur vos fesses. Vous verrez comment cela aide à apprendre rapidement. Attendez-vous à passer une bonne partie de la matinée au coin, à montrer vos fesses nues à toute la maisonnée.

Merci à ...

... eh bien, à personne, je crois, à moins que ce ne soit au photographe qui a pris cette photo que les logiciels permettent de transformer en dessin. Qu'en pensez-vous ? Faut-il continuer dans cette voie ?

Quand la paresse les tient !

   

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