Avec les collègues pour témoins

 Alors, comme ça, mon garçon, vous n'avez pas assez de travail pour occuper votre temps au bureau ? C'est étonnant, je n'ai pourtant toujours pas vu sur mon bureau le rapport mensuel sur les ventes de votre secteur, alors que je l'attends depuis ce midi. Reprenez-moi je je me trompe, vous ne me l'avez pas envoyé comme vous auriez dû le faire, n'est-ce pas ?

Aussi, me suis-je inquiétée, que peut-il bien se passer ? A-t-il un problème grave ? A-t-il rencontré une difficulté insoluble ? Je me suis donc déplacée pour prendre de vos nouvelles. Je dois avouer que je ne m'attendais pas à ça. Allez, soyons honnête, je me doutais depuis un bon moment que vous ne mettiez pas tout l'ardeur nécessaire dans les tâches dont vous avez la charge.

Malheureusement, je n'avais jamais réussi à vous prendre sur le fait. Vous aviez toujours une bonne raison pour expliquer votre retard ou la petite qualité du travail que vous rendiez. Souvent, d'ailleurs, en en rendant vos collègues responsables. Dois-je vous préciser qu'ils ou elles n'appréciaient pas beaucoup vos plaintes incessantes et encore moins quand vous les mettiez en cause.

Mais je ne m'attendais pas à ça ! Je pensais bien que vous utilisiez votre temps de travail et votre ordinateur à des fins personnelles. C'était assez probable car vous ne quittiez jamais votre poste de travail, toujours attentif à ce qui s'affichait sur votre écran. Mais je dois avouer que vous m'avez surprise.

A voir l'air réjoui de vos collègues de bureau, je suis certaine qu'ils étaient au courant, mais aucun n'a osé venir m'en parler. Le bruit court que vous faisiez pression sur eux pour qu'ils se taisent. Il paraît même qu'il est question de chantage ? Voyez-vous, il me revient de mettre le holà à vos agissements. Je pense que dès demain, vous renoncerez à ces méthodes.

Je ne savais pas que vous étiez intéressé par les fesses des demoiselles, particulièrement quand elles sont nues. Que pensez-vous de renverser la situation ? Croyez-vous que ces dames seront intéressés par les vôtres ? Je crois qu'il faut en faire l'expérience !

Tant qu'à vous baisser la culotte, autant aller jusqu'au bout. Ne croyez-vous pas qu'une bonne fessée déculottée vous fera le plus grand bien ? Voyez-vous, moi, j'en suis persuadée !

Je crois également que vos collègues attendaient de moi que je prenne la situation en mains. Après tout, c'est mon rôle en tant que cheffe de bureau. Cela fait longtemps que je pense que vous avez besoin d'une bonne correction. J'ai l'âge d'être votre mère, il me semble donc qu'il est assez naturel que je vous punisse, comme le méritent les grands garçons qui se croient tout permis.

Oh, vous pouvez bien protester que vous êtes trop grand pour recevoir la fessée, rien n'est plus faux. Ce n'est pas la première fois que je corrige un gamin de vingt-sept ans, comme vous. Il y en a déjà plusieurs qui sont passés en travers de mes genoux, le pantalon et la culotte baissés.

Oh, vous pouvez bien arguer que je n'ai pas le droit de vous administrer une correction. Si vous y tenez, mon garçon, je vous engage à vous plaindre à la cheffe de division. Ne soyez pas étonné si elle vous baisse la culotte, elle aussi, et que vous soyez de nouveau fessé. Je crois que si je ne l'avais pas retenue, cela fait quelques jours que vous auriez goûté à la fermeté de sa règle sur vos fesses.

Pour ce qui est de vous débattre, comme vous venez de le faire, cela ne vous apportera qu'une fessée supplémentaire. Je vous la donnerai juste avant que vous ne partiez ce soir. En attendant vous allez vous mettre au coin, dans ce bureau afin que tous vos collègues puissent vous voir. Quant à votre culotte et votre pantalon, ils vont rester là où ils sont en ce moment. Je ne serai pas surprise qu'il y ait un défilé des collègues des autres bureaux dans celui-ci.

Une dernière chose. Je vais demander à toutes vos voisines de bureau de surveiller ce que vous faites. Je leur donne le droit, au cas où elles vous surprendraient à faire autre chose que travailler, de vous administrer une sérieuse fessée déculottée. Sachez que je doublerai de ma main toutes celles que vous recevrez.

Merci à ...

... eh bien, je ne sais pas à qui, mais grand merci tout de même. Un dessin qui, si vous regardez bien est dédicacé à Franco. Si vous savez identifier ce dessinateur ou cette dessinatrice, faites-le-moi savoir !

Etre cheffe, c'est assumer ses responsabilités...

            

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