mardi 1 septembre 2020

Rappel à la règle par la logeuse

Je crois, Mademoiselle, que vous n'avez pas tout compris à la façon dont va se dérouler votre séjour dans ma maison. Je sais que vous avez maintenant un travail et que vous êtes indépendante financièrement s'entend. Cela dit, votre salaire ne vous permettrait pas de trouver de quoi vous loger correctement si je ne vous proposais pas un loyer défiant toute concurrence.

Voyez-vous, je me suis fait un devoir d'accueillir chez moi des jeunes filles qui quittent pour la première fois leur famille, afin de leur procurer un nouveau foyer où elles seraient en sécurité, loin des dangers et des tentations de la grande ville. Vos vingt ans, votre premier travail, le départ pour la première fois du cocon familial, tout cela fait de vous une candidate idéale. C'est pour cela que je vous ai choisie.

En quelque sorte, je vous accueille comme si vous étiez ma fille ou ma nièce, mais cela me donne des devoirs auxquels je compte bien répondre quelles que soient les circonstances. Je vous en ai parlé lors de votre première visite. Je crains que vous n'y ayez pas porté toute l'attention que cela méritait.


Je vous avais prévenu que j'attendais de votre part un comportement irréprochable sur tous les plans. Je vais donc vous redire tous les points que j'avais précisé à ce moment-là. Je pense, qu'aujourd'hui, vous allez être bien plus attentive à mes exigences et vous allez prendre conscience des conséquences si vous ne les respectez pas.

En tout premier lieu, je veux une jeune fille poile et bien élevée. Il n'est pas bien difficile de dire bonjour le matin ni s'il vous plait ou merci. Il me semble que vous l'oubliez bien trop souvent. Cela fait trois jours de suite où j'ai été obligée de vous en faire la remarque. Avouez que j'ai été patiente. Sans doute est-ce la faute à vos départs précipités le matin, mais nous allons y revenir. Par contre il n'y a pas de raison que vous oubliez ces petits mots indispensables quand nous dînons ensemble.

Ensuite, je suis très exigeante sur les questions de propreté et de rangement. Moins d'un mois que vous habitez ici et votre chambre est dans un état inadmissible. des petites culottes sales sous le lit, des vêtements en boule dans votre penderie, le lit restant défait toute la journée. Je vous préviens que tout cela est terminé. Vous ne quitterez plus votre chambre le matin sans qu'elle soit rangée. Ne vous inquiétez pas, je vais faire en sorte que vous ayez le temps de le faire.

En ce qui concerne votre hygiène corporelle, il me semble qu'il y a du laisser-aller. Deux fois cette semaine vous n'avez pas pris de douche. De plus, si j'en juge par l'état du fond de vos culottes, vous devez avoir du mal à assurer correctement votre toilette. Je vais donc y être plus attentive. C'est moi qui, désormais, vous donnerai votre douche le matin et je ferai votre toilette le soir. Faites-moi confiance, vous serez dorénavant tout à fait propre, y compris dans les petits coins que vous avez tendance à oublier.

Je crois que beaucoup de ce que vous n'arrivez pas à faire, provient de vos heures tardives de coucher. Cela n'est pas étonnant au vu du nombre de soir chaque semaine où vous rentrez à des heures indues. C'est terminé ! Vous êtes privée de sortie pendant un mois et par la suite, vous devrez obtenir mon autorisation pour rentrer plus tard du travail ou ressortir après le dîner. Je préfère vous prévenir que cela n'arrivera jamais en semaine et à un rythme raisonnable le week-end. Généralement, vous serez au lit à vingt-et-une heures trente. Cela vous permettra de vous levez suffisamment tôt pour que nous ayons le temps de se préparer correctement pour aller au travail.

Enfin, et c'est la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, j'entends que quand je vous demande de prendre votre part des tâches ménagères de la maison, vous obéissiez sans rechigner. Ce n'est pas la première fois où, comme ce soir quand je vous ai ordonné de débarrasser la table, vous êtes allée vous enfermer dans les toilettes en attendant que, de guerre lasse, je fasse le travail à votre place. Vous ne semblez pas avoir une grade appétence pour ce genre de travail. Je vais vous apprendre à faire le ménage, puisqu'il paraît que votre mère n'a pas assuré cette partie de votre éducation.

J'ai bien vu votre stupéfaction quand, bien que vous en ayez verrouillé la porte, je suis entré dans les toilettes. Vous savez, il existe des système de sécurité pour éviter que les enfants s'y enferment et n'arrivent plus à en sortir. Un tournevis suffit. C'est donc ce que j'ai fait. Si vous avez été surprise, moi également. Qu'est-ce que c'est que cette manie d'ôter totalement votre culotte pour faire pipi ? Il ne vous suffit pas de la baisser ? A moins que vous ne fassiez tout autre chose ? Enfin, cela m'a évité d'avoir à vous la baisser. Dorénavant, quand vous irez au petit coin, vous ne fermerez plus la porte. Vous la laisserez ouverte. Je veux pouvoir vous surveiller où que vous soyez.


Je pense que vous avez besoin d'une autorité ferme et décidée. Je vais donc l'exercer à partir d'aujourd'hui. J'aurai dû le faire à la première incartade que j'ai constatée. Mais ne vous inquiétez pas, nous allons rattraper le temps perdu. Dorénavant, ce sera une fessée déculottée au moindre écart !



Comme je tiens à ce que cette première fessée de mon chef soit mémorable, ma main est un peu insuffisante. Je vais finir avec la règle. Je me fais fort, avec cet instrument, de laisser quelques marques qui persisteront tout la nuit et je pense que vous y songerez à chaque fois que vous vous assiérez demain. Peut-être aurez-vous à répondre à quelques questions gênantes de la part de vos collègues ?

Eux comme vous devrez vous y habituer. Compte tenu de ce qu'il y a à rectifier dans votre comportement, je crois que si c'est la première fois où vous vous retrouver à plat ventre en travers de mes genoux, ce ne sera pas la dernière.

Tenez, parlons de vos colères ! Vous serez punie à chaque fois que vous en ferez une. Comme ce soir quand je vous ai annoncé que vous alliez recevoir un fessée. A ce propos, je vais différer à demain soir la correction que vous avez méritée pour les gros-mots que vous avez employés. Je vais vous faire passer cette habitude avec du savon pour vous nettoyer la bouche.

Par contre, après vous avoir mis en pyjama, je vais vous donner une deuxième fessée de la soirée à la petite fille colérique qui avait décidé qu'elle était trop grande pour prendre une fessée. Quelle prétention ! J'espère, pour vos fesses, que c'est la dernière fois où vous me résistez quand j'ai décidé que vous avez besoin d'une fessée.


En attendant, vous allez passer la soirée au coin. Je veux vous y voir la robe troussée et les mains croisées dans le dos. Ainsi, il n'y aura pas de doute que vous êtes punie et que vous avez reçue une fessée déculottée. Vous verez comment un peu d'humilité vous fera la plus grand bien.

A ce propos, votre sortie de ce soir est annulée. Quand vos camarades vont venir vous chercher, comme les autres soirs, je leur montrerai pourquoi il vous est impossible de sortir ni ce soir, ni les suivants. Quand ils verront la couleur de vos fesses, je pense qu'ils comprendront. Cela alimentera les conversations demain au bureau !

Durant tout le temps où ils seront là, je vous conseille d'être parfaitement immobile et silencieuse comme il sied quand on est en pénitence. Au moindre écart, c'est devant eux que je vous fesserai !



Merci à ...

... eh bien, je ne sais pas à qui, mais grand merci tout de même. Si vous savez identifier ce dessinateur ou cette dessinatrice, faites-le-moi savoir !

Les devoirs d'une logeuse...

  fessée déculottée aux orties sur les genoux de sa logeuse          fessée déculottée en public


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8 commentaires:

  1. Bonjour JLG,

    Ne cherchez plus. L'auteur de ce dessin, parfois en NB ou colorié, est Roger Benson. Très réaliste quant aux visages. Presque du style
    de " l'après-photo". Merci pour ce court récit.
    Amicalement. Peter.

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    1. Merci Peter Pan,
      Je comptais bien sur votre expertise dans le domaine pour identifier cet artiste.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Rebonjour JLG,

      Merci pour ce compliment. Quant on peut rendre service, même modeste.
      A vrai dire j'ai hésité au départ avec Barbara O'toole car leurs deux styles se rapprochent un peu. Mais j'avais déjà vu ce dessin en cherchant "Spanking art" sur Google. Donc un petit doute.
      Amicalement. Peter.

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    3. Peter Pan,
      En faisant une recherche sur internet avec le nom du dessinateur, Roger Benson, je suis effectivement tombé sur une page où il lui est attribué ce dessin, en noir et blanc.
      Nous considérerons donc, jusqu'à plus ample informé, que c'est Roger Benson qui en est l'auteur. Je le remercie donc de sa collaboration, bien qu'elle soit involontaire.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Être négligée, désordonnée, insolente, mal polie mène tout droit à la fessée déculottée....

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    1. N'est-ce pas, Caroline ? Parlez-vous d'expérience ?

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  3. Nous avons toutes, un jour, pris notre envol...

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    1. Caroline,
      Réponse énigmatique, s'il est est. Vous avez sans doute raison.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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