"Ah ça, mon garçon, tu ne peux pas dire que c'est une surprise. Ou alors, c'est que tu ne m'as pas cru quand je t'ai promis une fessée dont tu te souviendrais. Pourtant tu sais bien que je tiens toujours mes promesses.
Trois fois que je te dis qu'il est l'heure de descendre déjeuner, trois fois que tu ignores mes appels. C'est tous les jours pareil ! Et quand je monte te chercher, tu n'es pas encore complètement habillé !
Tu as heureusement compris que tant que tu loueras une chambre chez moi, tu devras m'obéir et en subir les conséquences quand tu n'es pas sage.
Puisque la fessée avec ma main ou même avec le martinet ne te suffit plus, hier soir, je t'avais promis les orties si tu désobéissais encore d'ici la fin de la semaine. Tu n'as pas eu à attendre bien longtemps.
Je pense qu'après cette punition, tu vas être bien plus attentif à ce que je te demande. Crois-tu que tu seras encore en retard au petit-déjeuner demain ? Si c'est nécessaire, ce ne sera pas seulement quatre ou cinq pieds d'ortie que j'irai cueillir, mais une bonne poignée. La brûlure sur tes fesses n'en sera que plus durable.
Tu sentiras celle-ci pendant au moins deux jours. Mais la prochaine fois, je ferai mieux ! Le frottement de ta culotte suffira à te rappeler cette fessée au moindre mouvement. Tu devras prendre des précautions pour t'asseoir. Que diras-tu à tes condisciples à l'université s'ils s'en aperçoivent ?
Je vais te laisser un bon moment au coin pour faire passer le plus gros de la brûlure alors que tes fesses seront nues. Tu m'en remercieras quand tu te rendras compte de ce que provoque le frottement de la culotte sur la peau qui a été caressée par les orties.
Je vais te laisser un bon moment au coin pour faire passer le plus gros de la brûlure alors que tes fesses seront nues. Tu m'en remercieras quand tu te rendras compte de ce que provoque le frottement de la culotte sur la peau qui a été caressée par les orties.
Cesse donc de gigoter aussi brusquement, à moins que tu ne veuilles que je frotte aussi tes cuisses pour t'apprendre à rester sage pendant la fessée ?"
Bonjour JLG,
RépondreSupprimerC'est difficile d'échapper à l'autorité féminine...
On pense faire ce qu'on veut loin de la maison mais il arrive que l'hôtesse soit à cheval sur les principes de respect , travail et obéissance malgré l'arrogance de notre jeunesse. Et si mère et logeuse partagent ces mêmes valeurs, alors pour ces jeunes gens... eh bien... les carottes sont cuites !!!
Ca va chauffer...
Belle illustration d'un auteur avec qui j'avais échangé par courriel il y a quelques temps et l'on reconnaît son style.
J'avais lu un récit semblable dans un magazine fétichiste et l'auteur se faisait surprendre le martinet à la main "en pleine séance" par sa logeuse, une forte femme qui lui administra sa première fessée au martinet de la main d'une femme.
Les femmes seraient-elles les championnes toutes catégories de la fessée ? A méditer...
Peter Pan.