vendredi 6 avril 2018

Ce que « nouvelle fessée déculottée » veut dire quand c’est Anne-Sophie qui fesse.

Un habitué des visites à Madame Anne Sophie. Hervé nous conte son deuxième rendez-vous ... encore plus cuisant que le premier.

Madame Anne-Sophie m'avait prévenu après lui avoir exposé le motif pour lequel il me semblait nécessaire que je sois fessé à nouveau. Son texto était sans appel : « les fessées seront plus sévères mon garçon ». J’avais adoré notamment ce « mon garçon ». Le décor était bien planté : le retour aux fessées d’antan.

La séance qui s’annonçait ne serait donc pas la reconduction de celle vécue dix jours auparavant. Je traduisais dans ma tête ce que cela, à mes yeux, allait signifier : plus de sévérité appliquée, donc plus de cuisance, plus de douleur, sans doute des fessées plus longues, etc.
                       
Mon pas, chemin faisant, avait quelque chose d’incertain. Bien plus que la dernière fois, je cherchais à m’imprégner de l’atmosphère ambiante, du flux ininterrompu des passants, de la clarté du jour comme pour me raccrocher à quelque chose qui me retenait encore à la vie « normale » et aussi pour emporter avec moi, cette normalité car, me disais-je en moi-même, c’est sans doute cette vie, telle que je la vois et dont je fais partie encore en étant dehors qui va me permettre, quand je serai par contre à l’intérieur, dans son intérieur à elle, de tenir le coup, -en tout cas je l’espère- de supporter l’insupportable, le temps que la charismatique Madame Anne-Sophie l’aura décidé. Et ce d’autant que quand on est chez Anne-Sophie et notamment là où va se dérouler la fessée, on n’entend plus rien de l’extérieur.

Je viens d’employer ce terme de « charismatique » car (mercredi 28 mars) Madame Anne-Sophie l’a utilisé lors de son dernier texto qu’elle m’avait adressé alors que je lui demandais en quelle tenue elle pensait me recevoir. Voici sa réponse ô combien cinglante :
« Tu seras tellement honteux de recevoir la fessée en travers de mes genoux, la culotte baissée que tu n’auras pas le temps d’apprécier la tenue de la charismatique madame Anne-Sophie ».

C’était on ne peut plus clair et en totale cohérence avec le texto précédent (voir plus haut) qui faisait office de convocation. J’étais bel et bien prévenu. Mais je ne savais rien de précis et c’est l’occasion de rappeler que cette anxiété (Et est-elle comparable à l’angoisse du gardien de but au moment du pénalty ?) qui vous étreint quand on est si proche du moment fatidique fait aussi le charme de la fessée. Ma fesseuse, est chez elle, elle m’attend. Elle m’a même demandé de venir encore un peu plus tôt. J’ai obtempéré y voyant un honneur. Et peut-être –dois-je avouer- avec cette idée que « plutôt on commencera, plutôt cela sera fini ». Etre fessé par Anne-Sophie ne relève pas de l’anodin. On en sort, marqué, notamment ses fesses mais aussi dans sa tête. C’est le but et Anne-Sophie sait y faire pour que remonte à la surface tout ce qu’à différentes étapes de sa vie, on avait enfoui plus qu’oublié. Que cela remonte à l’enfance ou bien plus tard, jusqu’à récemment.

Quoiqu’il en soit, si j’avais aussi la gorge serrée, si j‘étais devenu à ce point silencieux en moi-même, c’est parce que je n’avais non plus envie de la décevoir.
Mon anxiété témoignait également de ma concentration. Plus jeune, j’ai fait assidument du piano jusqu’à un niveau assez élevé (professionnel) et je me souviens qu’avant d’entrer en scène soit pour un concours soit pour un concert, je devenais peu à peu étranger aux autres, fermais les yeux, respirais profondément jusqu’à ralentir mes respirations. Là, c’était pareil.  Mais pas pour entendre claquer les mains du public au terme de ma prestation, mais pour que mes fesses soient claquées en » bonne et due forme ». Et là, il n’y aurait pas de public…quoique, à un moment cette idée saugrenue m’a traversé l’esprit. Lisez la suite vous allez comprendre pourquoi.

Donc, je monte les escaliers avec ce qu’il faut de lenteur mais pas trop. « Molto moderato » comme l’a écrit Schubert pour le tempo initial de sa dernière sonate (qui est aussi sa dernière œuvre) D 960 pour le piano. Devant moi, il y a un homme qui monte aussi les escaliers. (Je ne l’ai pas inventé.) Il ne m’a pas vu. Je ne veux pas être vu. Tout d’un coup une pensée singulière affleure « et s’il allait au même endroit que moi ? ». Mais non, j’entends une porte qui se ferme bruyamment au deuxième étage.  Ouf ! C’est fou ce que, dans ces moment-là, on entend de bruits, on leur prête une attention qu’en d’autres circonstances on ne remarquerait pas. Et on est sujet à interpréter de manière étrange ce qui, pourtant, relève de l’ordinaire : quelqu’un qui rentre chez lui.

J’ai une bonne excuse à faire valoir pour ma défense : je viens pour être fessé. Cela veut dire que pendant une heure, par et grâce aux mains de ma fesseuse, ma vie va se concentrer sur mes fesses, y descendre, s’y figer.  Mes fesses vont être à nouveau le réceptacle de mes inconduites passées, de mes désirs et fantasmes inavoués. Elles vont être la caisse de résonnance, au fur et à mesure (ainsi qu’au son) des fessées qu’Elle va m’infliger, de pans entiers et passés de ma vie qui vont refaire surface, maculer leurs surfaces de rouge, de zébrures, de petits boutons de sang coagulé qui vont garnir çà et là leur surface.

Me souvenant de ce passé musical, il me projette d’autant mieux dans ce futur immédiat, proche, si proche qu’il se conjugue au présent. Et donc je l’imagine, fesseuse Anne-Sophie, qui regarde aussi comme moi sa montre –ayant déjà en tête que pour ma part il me faudra l’enlever de suite-, qu’elle a sans doute tout bien disposé tous ses instruments qui serviront pour les moult fessées déculottées que mon séant recevra. Ces et ses instruments -j’ai choisi volontairement ce mot, vous allez savoir, lire très vite pourquoi-  qui, à tour de rôle, dans un ordre connu d’elle seule, et fermement tenus dans une de ses mains, se mettront à jouer chacun leur partition sur mes fesses offertes, déculottées par ses bons soins à elle, chacun avec son bruit particulier, sa durée propre, son intensité spécifique surement.  Et elle orchestrera la symphonie qui peu à peu, une heure durant, prendra forme sur mes deux hémisphères sous forme de rougeurs prononcées, de zébrures, de picotements.

Elle a son plan en tête mais moi, je l’ignore. Et c’est le cœur encore plus serré qu’il y a dix jours que j’ai monté les escaliers, frappé à sa porte. Ce qui va se passer ne sera pas la répétition de ce qu’il s’est passé, ici dans ce même lieu.

En fait, je n’ai pas eu besoin de frapper à sa porte. Quand je suis arrivé devant et m’apprêtais à le faire, j’ai constaté qu’elle était entrebâillée, Anne-Sophie se tenait juste derrière. C’est peu dire que si, pour ma part, je désirais cette fessée, la fesseuse qu’elle est, la voulait aussi ardemment. Du reste cette fessée fut ardente. Je crois pouvoir dire, qu’elle a comblé les attentes des deux protagonistes.

Ainsi quand je suis reparti de chez elle, les fesses pleines de la cuisance savamment distillée, inoculée plutôt devrais-je dire, une heure durant, j’ai reçu d’elle ce texto : « J’ai pris un plaisir inouï à te fesser, Hervé ». Ce à quoi je lui ai répondu en substance ceci : « Merci, c’est très flatteur pour moi, venant d’une fesseuse avérée et dotée d’un tel savoir-faire…J’ai vécu d’énormes sensations, d’où mes titubations ».


Certes, tous les ingrédients de base, si je puis m'exprimer ainsi, y étaient. Ainsi les mots qu'Anne-Sophie emploie avec toujours un égal bonheur : « déculottage » « déculottée », « culotte », « fessée », « aller au coin », et que j'entends toujours avec le même ravissement. Mais il y eut aussi un mot nouveau, celui de « raclée ». Et j’en ai reçu une carabinée au martinet. Un martinet qu’elle n’avait pas utilisé il y a dix jours ; un martinet qui ressemblait beaucoup à celui que nos parents avaient à la maison : avec un manche en bois et court et des lanières épaisses mais pas trop et assez courtes aussi. Mes fesses ont vraiment dérouillé.  J’ai connu, enduré une fessée que je n’avais jamais connue encore.

J’étais debout, avec ce qu’il faut de courbé après avoir posé mes avant-bras sur le dessus de la commode (que la semaine dernière j’avais pris pour une cheminée !) et à la demande expresse, non discutable donc de Madame Anne-Sophie, je devais tourner ma tête vers la porte-miroir de l’armoire et la regarder en train de me fesser. Déjà que le martinet –et notamment celui-ci- est quelque chose de terrible à encaisser mais en plus voir le moment où les lanières vont s’abattre, cela devient épouvantable. Rester concentré sur la porte-miroir pour voir Anne-Sophie me fesser devenait très difficile car quand on reçoit une volée de lanières savamment appliquées sur ses fesses, le corps tout entier réagit et on est enclin à se redresser (et donc disparaître du miroir) ou à tourner la tête avec la même conséquence. Inlassablement Anne-Sophie me fouettait les fesses avec ce martinet. J’étais vraiment revenu aux temps jadis. Et Elle y ajouta une touche encore plus personnelle en me regardant, avec un regard impassible, presque dur, moi devant de fait la regarder à travers ce miroir.  Les lanières me cinglaient les fesses avec cette pointe de piquant qu’elles y déposaient sur mes chairs offertes. Le choix de cet instrument ne devait rien au hasard. Il était l’affirmation de la dimension très punitive de cette séance de fessées et plus particulièrement de cette séquence. Elle fut interminable, dura en effet de très longues minutes pour sans doute une durée totale avec sans conteste possible, un nombre à deux chiffres.

Imaginez, donc vous qui me lirez le nombre de coups de martinets consécutifs que cela peut représenter. Cela dit, si c’est le plus stoïquement possible que je me suis efforcé de supporter cette véritable « raclée », elle a aussi été rendue possible par cet art du mouvement de poignet que maîtrise très bien Anne-Sophie...

Anne-Sophie s’est aussi autorisée « dans la foulée » à me fesser à la main. Et qui a goûté déjà à ses mains, sait que cela ne signifie pas quelque chose d’apaisant en regard de ce que j’avais enduré avec le martinet. Par contre, à ce moment selon le côté qu’elle avait choisi pour me fesser manuellement, je la voyais de dos, et avec le peu de lucidité qu’il me restait j’ai quand même pu apprécier le galbe de ses fesses à travers le dessin qu’elles faisaient sous sa robe bleue très courte qu’elle avait mise. Je crois que dans cette fessée manuelle, il y avait chez elle l’envie de me permettre en quelque sorte de « mater » l’un de ses beaux attributs de femme. La fessée à ce moment –et durant ces courts instants où elle adoptait cette attitude- devenait plus supportable.

Comment ne pas être littéralement sonné après un tel déversement et par ce qu’elle m’avait donné à voir d’elle? Quand je suis retourné au coin, sur son ordre, j’ai eu besoin de quelques secondes pour me repérer dans la pièce et aller, d’un pas mal assuré dans l’angle de la pièce, les mains derrière le dos, fesses et jambes bien serrées, bien exposées au regard sévère –et peut-être lubrique- d’Anne-Sophie.



Mais le nouveau, ce furent aussi et surtout ses gestes, ses attitudes, dès le début de la séance qu’il n’y avait pas lors de la première séance de fessées déculottées. Ainsi, très vite –outre le fait de la porte entrebâillée-  j’ai constaté son impatience, pouvant devenir de l’agacement pour en découdre avec mes fesses.

 Je délaçais mes chaussures pour les enlever quand, dans la pièce à fessées où elle se trouvait, Anne-Sophie me demanda sur un ton très directif quand j’allais me présenter à elle pour que les « fesstivités » commencent. J’ai donc accéléré pour répondre à son ordre. L’autre nouveauté qui m’a beaucoup plu aussi, a été quand Anne-Sophie a entrepris de me baisser, elle-même, mon pantalon. J’étais face à elle, le regard baissé et pas seulement parce qu’empli de honte par la première fessée reçue et ses récriminations en raison de mon inconduite mais surtout pour goûter au plaisir de voir ses mains ouvrir ma ceinture, voir ses doigts s’affairer sur la braguette du pantalon, l’ouvrir au niveau de ma taille et le baisser jusqu’au chevilles.
On est vite, de la sorte replongé dans le temps de l’enfance mais à la différence que là, l’adulte qu’on est devenu est en mesure de savourer pleinement ce moment-là.


Anne-Sophie me demanda alors de l’enlever totalement et de le poser bien plié sur le dos de la chaise. Ce que je fis et revins à mon emplacement, face à la table où reposaient ses martinets, le paddle, la cravache, ses badines. J’ai posé les mains sur la table et elle a commencé de me fesser sur « ma culotte ». Une fessée manuelle mais qui m’a paru interminable –et où bien entendu, elle a baissé « ma culotte » - et d’une force que je n’avais pas ressentie aussi intensément la première fois.

J’ai dû recevoir en continu pas loin de 400 claques manuelles. Ceux et celles qui ont eu à connaître les fessées d’Anne-Sophie, peuvent imaginer très facilement ce que l’on peut ressentir. Et donc, à quel point mes fesses me brûlaient déjà au plus haut point. Quand je suis parti au piquet, tenant entre mes mains, « ma culotte baissée », je titubais quelque peu, sonné que j’étais par ce déluge de claques manuelles très fortes reçues. Je ne dis pas cela pour me plaindre encore moins pour dissuader quiconque de solliciter les services fessants d’Anne-Sophie. Au contraire, cela souligne que l’on ne regrette pas « d’avoir fait le voyage » jusqu’à elle car on obtient ce qu’on est venu chercher : de bonnes véritables déculottées punissantes qui nous
font remonter le temps. Et si après tout, la fessée était le bon « remède » pour donner réponse) ce mythe faustien de la recherche de l’éternelle jeunesse qui gît en chacun de nous !

Du reste, je n’oublierai pas cette autre fessée ensuite en travers de ses cuisses. Je souligne ce mot car c’est la première fois aussi qu’elle l’utilisait.  J’étais donc allongé en travers de ses cuisses, les mains bien posées au sol, les jambes tendues et bien serrées et seulement avec la pointe des pieds reposant sur le sol, histoire par cette position que je devais absolument respecter le temps que durerait cette nouvelle fessée manuelle, de me remettre en situation où quand on était enfant et fessé de la sorte, nos pieds de touchaient pas le sol. Satisfaite de ma position, elle m’a fessé « à tour de bras » comme on dit, c'est-à-dire à un rythme très rapide qui, chez elle, n’altère en rien la puissance de ses claques manuelles. A un moment, les claques ont cessé pour se transformer en caresses. C’est un merveilleux sentiment que de pouvoir éprouver les deux facettes de ses mains. La reprise de la fessée –aussi paradoxal que cela puisse paraître- m’a permis d’apprécier la douceur vraie de ses caresses.  Comme à l’instar de l’enfance qui n’est plus qu’un (lointain) souvenir, ressentir par son contraire ce paradis perdu. Décidément la fessée n’a pas fini de nous délivrer tous ses secrets, ses beautés infinies, les ciels azurés vers lesquels elle peut nous entrainer –pour peu qu’on veuille s’y laisser conduire- comme les incendies qu’elle ne manque pas d’allumer et d’en entretenir la flamme incandescente même bien longtemps après que la dernière claque manuelle ou ce qui la prolonge a retenti sur mes deux globes terrestres.

A propos de prolongement, j’ai eu droit à la cravache cette fois, une autre nouveauté par rapport à la fois précédente. Je l’avais vue sur la table, au milieu des martinets et autres instruments mais sans lui prêter trop d’attention. En effet, ce qui la terminait était une main et me disais-je en moi-même en quoi serait-elle fondamentalement différente de la main humaine, en l’occurrence de celle qui a su si bien labourer mes fesses ? Eh bien, cette main en cuir qui termine la cravache produit des effets très douloureux. Le cuir y est bien entendu pour quelque chose mais aussi sans doute le fait que la surface touchée est plus petite que celle couverte par la main humaine. Et comme Anne-Sophie sait viser, elle atteignait toujours les endroits charnus les plus sensibles ; à savoir ceux dont les rougeurs plus prononcés indiquaient une cuisance déjà vivace qui ne demandait qu’à être réactivée. Ces coups de cravache m’ont fait également très mal, ils furent très douloureux.

A l’avenir je regarderai d’un tout autre œil cet instrument et saurai –à l’instar de ce que sont représentent pour moi, par exemple les martinets, le paddle et la badine- que ce genre de cravache doit m’inspirer de la crainte. Dans le cas présent, il a bien rempli son office punitif puisque chaque coup reçu sur telle et telle partie de mes fesses que je me devais par ailleurs de bien offrir à la visée d’Anne-Sophie, outre la grande douleur ressentie, m’obligeait à ravaler ma fierté, m’obligeant à l’humilité.

Mais –et ce n’est pas un hasard si je gardais pour la fin de ce récit- le must en quelque sorte (cela n’a rien à voir avec un quelconque ordre chronologique) aura été le moment où Anne-Sophie a mis de la musique. En l’occurrence un extrait de la 6e
symphonie dite « Pastorale » de Beethoven. Je me suis demandé pourquoi elle faisait cela. Voulait-elle couvrir des cris que je pourrais faire sortir de mon organe ? J’eus très vite (enfin, au fur et à mesure du déroulement de la fessée sous les auspices de cette musique) la réponse.
 D’une part, de m’imposer un rythme nouveau de claques manuelles sur les fesses qui soit en quelque sorte en mesure avec le déroulé du récit musical. Il en résulta des moments où les claques de ses mains se bousculèrent sur mes deux hémisphères. Il y avait quelque chose de délicieux dans cette frénésie, parfois presqu’orgiaque. La fessée, par d’autres voies que celles suivies précédemment par Anne-Sophie « sortait de ses gonds » pour paraphraser Shakespeare, ne connaissait plus aucune mesure. Elle emportait tout sur son passage à commencer par mon être, ravi de subir –malgré
la douleur- finalement ce déluge fessant. Et parfois au contraire, la fessée se faisait plus calme voire devenait caresses sur mes fesses endolories. C’est peu dire que j’ai aussi beaucoup apprécié ces moments d’accalmie et ce d’autant que je me doutais bien qu’ils ne dureraient pas.  Et je fus servi au-delà de mes « espérances », si je peux employer une telle expression.

En effet, Anne-Sophie me dit presque sur le ton du murmure –sans doute pour que je prête d’autant plus d’attention à ce qu’elle me disait- que dans une symphonie et notamment dans celles de Beethoven il y a beaucoup d’instruments et de surcroît très différents.
Par exemple, « les violons » et elle se saisit d’un martinet et déclenche une nouvelle salve –après toutes celles déjà encaissées- de ses lanières sur les fesses. J’étais de nouveau dans la position où, les bras sur le haut de commode, je devais regarder le miroir fixé sur la porte de l’armoire.
Et il y a aussi « les altos » et elle prit un martinet plus long que le premier et recommença à me fouetter les fesses. « Passons aux violoncelles », se saisissant d’un martinet qui, outre le fait d’avoir des lanières plus épaisses, avaient une extrémité en forme qui faisait une boucle. Et donc en quelque sorte je recevais « deux lanières pour le prix d’une «. Ce martinet, que je ne connaissais pas avant, possédait pas mal de lanières, songez au choc ressenti quand mes fesses furent fouettées avec.

« Et dans les symphonies de Beethoven il y a aussi les bois ». Et Beethoven avait une affection particulière pour le hautbois. Anne-Sophie s’est alors saisie de la canne en bambou et j’eus droit à dix bons coups de cet instrument sur mes fesses.

« Et il y a aussi les percussionsn’est-ce pas ? Oui aussi Madame ». J’eus droit de nouveau à ses mains nues. Je ne savais plus très bien où j’étais, plongé que j’étais dans un brouillard euphorisant qui m’avait fait perdre tous mes repères. La tête me tournait quelque peu. J’eus droit à un verre d’eau bien fraiche pour reprendre mes
esprits, me rhabillai et après avoir salué en la remerciant, Anne-Sophie, et échangé quelques mots sur la fessée bien entendu, je suis sorti.

Sans doute, c’est même certain, pour revenir.

Hervé


Le premier RdV raconté par Hervé

Un autre récit d'une visite chez Madame Anne-Sophie accompagné de quelques commentaires, et là celle de Georges, ici celle de Paul et enfin celle de J. Puis ce fut le tour de Pierre, pour finir par le premier passage de Vincent qui est venu une deuxième fois

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2 commentaires:

  1. Bonjour Hervé.
    Quelle excitante séance! ça déculotte, ça fesse ça claque et ça décoiffe avec imagination. Expérience de fessées punitives et créatives! !
    Nouveau récit aussi sensible, expressif et même un peu plus lyrique encore que le premier. Les fessées sont variées, magistrales et ... spectaculaires. Mais la valeur ajoutée du témoignage repose sur la troublante description, en profondeur, des sensations et impressions des deux " partenaires" avant et pendant les fessées. Au fur et à mesure du déroulement de la séance, on voit se réduire progressivement la distance entre le fessé et sa fesseuse avec l'émergence, entre eux, d'une réelle complicité. Jusque dans l'expression de leur ressenti:
    Elle: "J’ai pris un plaisir inouï à te fesser, Hervé ". Lui, en réponse: " venant d’une fesseuse avérée et dotée d’un tel savoir-faire… J’ai vécu d’énormes sensations, d’où mes titubations ».
    Ce récit de fessées se singularise de beaucoup d'autres et me séduit particulièrement car il pénètre le mental des deux protagonistes et en souligne la relation pratiquement intime. Les fessées sont détaillées autant dans le ressenti physique que l'impact psychologique.
    Et, couleur de cerise sur le gâteau fessier, une charmante petite touche de malice : l'effet miroir du puni, obligé de regarder sa fesseuse le corriger dans la glace... pendant qu'il contemple ses fesses à elle durant sa fessée!... Joliment pervers. Dans le précédent récit, au contact de son corps, il avait envie de la caresser pendant qu'elle le fessait. Subtile sensualité.
    Là aussi : "les mains derrière le dos, fesses et jambes bien serrées, bien exposées au regard sévère –et peut-être lubrique- d’Anne-Sophie". Intéressant le regard sur le supposé plaisir " lubrique" que peut éprouver Anne Sophie à dominer et claquer la paire de fesses à sa disposition.
    Ah les belles fessées déculottées, cuisantes, claquantes, cinglantes! Administrées en accord, avec sévérité et plaisir partagés, loin de l'exécution froide de simples corrections punitives.
    En bouquet final, pour la dégustation, la fessée claquée au rythme de la musique de Beethoven avec concordance des instruments de musique avec les instruments de discipline! Quel à propos intelligent! Fallait le faire, Anne Sophie s'en offre le luxe. Elle le fait,en rythme et en esthète, alors qu'elle fesse...un musicien!

    Chapeau, Madame Anne Sophie et Monsieur Hervé d'élever la fessée déculottée au rang de noble art, haut en couleur et de nous en faire partager les flamboyants moments.!...Pour le plus grand plaisir des amateurs que nous sommes.
    Cordialement
    R.

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