Chez Madame Anne Sophie - 3ème récit de Vincent

Après une mémorable série de corrections au pensionnat de  Madame Anne Sophie marquante à tout point de vue, j'ai de nouveau pris rendez-vous chez elle pour une bonne correction.

Mon expérience de jeune pensionnaire sévèrement recadré et puni de nombreuses raclées sur mon joli postérieur m’avait à la fois beaucoup plu mais avait été quand même assez cuisant. Pour ce nouveau rendez-vous il fallait pimenter un peu plus les choses, aller plus loin dans la honte et le ressenti.

Il fut décidé que je serai invité  en vacances chez Tante aristo (Madame Anne Sophie)  à l’initiative de ma mère qui se plaignait sans cesse de ma désobéissance et de mon arrogance. Ma tante qui était une institutrice très réputée  corrigeait les vilains garnements. 

A cet effet je reçus la veille un mail assez explicite sur notre prochain rendez-vous :

Cher Neveu, je t’invite chez moi pendant les vacances, j’en profiterai pour vérifier que tu as bien appris tes leçons de français. Révises bien l’imparfait tu seras interrogé dès ton arrivée. Ma sœur, ta mère m’a fait part de ton refus d’obéir et de ta paresse en ce qui concerne les leçons à apprendre. Tu me connais, je n’admets pas les mauvais comportements et donc tu seras corrigé comme tu le mérites.

A mercredi

Tatie

Puis dans la foulée un autre mail sur mes leçons à apprendre :

Bonjour Vincent.

Ta mère m’a dit que tu avais encore raté ton devoir de français.  

Mon cher neveu adoré tu n'échapperas pas à la fessée pour tes fautes de conjugaison. Je vais te faire comprendre que tu dois réviser tes verbes .Tu seras puni dès ton arrivée chez moi .Je baisserai ton pantalon ainsi que ta culotte et te donnerai la fessée en travers de mes genoux. Tu iras ensuite au coin ! Non mais !

Bonne journée 

Tante  Anne Sophie

On peut dire que les mails reçus ne laissaient pas le moindre doute sur la sévérité des corrections que tatie  avait prévues pour moi. Tout fébrile je lui répondis :

Ma chère tante aristo,

Qu'il est agréable de recevoir de vos nouvelles.

Je suis impatient de vous revoir et de passer des vacances chez vous. Maman m’a demandé de vous prévenir que j'aurai de grosses bêtises à vous avouer dès mon arrivée et connaissant votre sévérité je suis un peu inquiet de vous les confesser.

Bonne fin de journée

Vincent

Plus la date de mon départ se rapprochait et plus je repensais à mon dernier séjour l’année passée qui avait été marquant à tout point de vue. Jamais je n’aurai imaginé que ma tante si douce et attentionnée puisse se montrer aussi sévère et stricte en ce qui concerne les règles de bonne conduite à la maison. J’avais reçu quelques bonnes claques sur les cuisses et 2 mémorables fessées déculottées. Ma tante avec son tailleur chic et son air sévère avait la main leste et une fessée promise était toujours due.

Cher neveu je me réjouis de ta venue chez moi,

D'ici là tiens toi à carreau !!! La fessée ne va pas tarder à tomber

Le jour J arrive.

En arrivant je reçois un SMS

Monte mon garçon Tatie t’attend !! Ne sois pas en retard

Je sonne à sa porte. Ma tante Anne Sophie  me reçoit aimablement et me demande de déposer mon manteau et d'enlever mes chaussures. Elle me demande si j’ai fait un bon voyage. Je réponds que oui

Je ne l’avais pas vu depuis un an. Se tient devant moi une belle femme habillée d’une robe chic et stricte avec de jolis bas et des cuissardes noires qui renforcent l’impression de sévérité. Je suis tout ému et intimidé de revoir ma tatie adorée.

A peine arrivé, elle se montre tout de suite très sévère et en entrant dans le salon se met à me gronder sur ma conduite impardonnable à la maison.

« Alors comme ça tu désobéi souvent à maman et tu n’apprends pas tes leçons de conjugaison. J’espère que tu as révisé ton imparfait. Nous verrons cela plus tard ; en attendant tu sais ce que ton mauvais comportement mérite ? »

– Non tatie pas çà,  »

– Tu parles de la fessée, n’est ce pas cher neveu ? »

- Oh non ma tante, maman ne me donne pas la fessée pourquoi vous ? »

- Tu mérites une bonne fessée et c’est parce que maman ne sait plus se faire obéir qu’elle a fait appel à moi. »

– Non pas question »

Je suis interrompu par une volée de claques sur mon pantalon. Cela a le mérite de me recadrer vite fait, je n'en mène pas large. Puis elle poursuit avec un ton encore plus sévère

- Vincent, regarde-moi bien, et joignant le geste à la parole elle me décoche une formidable paire de claque qui me prend au dépourvu me laissant une trace rouge sur la joue. Vincent, tu vas vite te rappeler qu’avec moi désobéissance rime avec fessée ! Baisse ton pantalon que je corrige tes mauvaises manières »

Je ne bouge pas, je tremble de peur. Tatie aristo se rue sur moi m’immobilise et me coince sous son bras. Elle me claque les fesses et déboutonnant mon pantalon elle me le  baisse en vitesse. Elle me donne une formidable série de claque sur mon slip, je gesticule, j’essaye d’échapper à sa poigne.

Vient l’heure de m’interroger sur ma leçon de conjugaison

-Vincent conjugue moi le verbe punir à l’imparfait »

Mes longues hésitations me valent quelques claques supplémentaires sur la culotte. J’écris sous la dictée. J’ai remis mon pantalon. Je suis tout fébrile. Je sais que mon postérieur est  à portée de main et que si je me trompe j’aurai droit à une bonne volée. Je fais 13  fautes ce qui provoque la colère de ma tante. Une magistrale série de claques atterrit sur mon pantalon .Je sautille sur place encaissant les coups.

Elle se dirige vers sa chaise et d'un mouvement énergique me baisse le pantalon et me bascule en travers de ses cuisses. Je suis surpris par la poigne de ma tante et je pose mes mains tendues sur le sol. Elle me donne une bonne raclée sur ma culotte.

« Je vais t'apprendre à m’obéir. Tu vas recevoir une fessée déculottée comme je la donne à tes cousines Marie Amélie et Anne Charlotte »

Elle me baisse la culotte et me donne la fessée. Ses mains claquent mes fesses de plus en fort. Je crie, me tortille, essaye de me dégager alors elle accélère les claques et sa correction devient très cuisante. J'ai les fesses en feu, je suis puni comme un sale garnement. Après une cinquantaine de claques, elle me relève, je remonte mon slip et elle me met au coin. A peine arrivé au coin elle me baisse à nouveau le slip, J’y reste pendant quelques minutes. Elle me gronde et me demande de réfléchir à ma punition en silence. J’ai les fesses toutes rouges et j'ai honte d'être traité ainsi.

Pendant que je suis au coin je ne me tiens pas correctement. Ma tante se rue sur moi, me cambre légèrement sous son bras et me fesse avec vigueur, je suis surpris par la force de ma tante qui semble inépuisable, mes fesses virent au rouge vite fait, je sens la chaleur de la cuisson.

Ma tante me reculotte me tire par le bras me fait agenouiller sur la chaise bras tendu reposant sur le meuble. Elle baisse à nouveau ma culotte. J’attends ma correction, fébrile, le cul nu.

- Puisque tu as fait 13 fautes à la dictée et que chaque faute équivaut à 10 coups de martinet combien dois-je te donner de coups mon enfant ? »

- 130 ma tante » dis je tout effrayé

Elle brandit le premier martinet et me cingle les fesses. Je crie de douleur, les lanières fouettent mes fesses nues. Elle compte 40 coups

« Puisque tu continues à me désobéir, je te fesse avec mon autre martinet »

Une trentaine de coups supplémentaires claque mon fessier. Je suis rouge de honte et j'ai très mal aux fesses.

Elle change de martinet et continue à me fouetter les fesses avec une précision digne d’un tireur d’élite tout en  modérant sa force ce qui fait que les coups restent supportables. A chaque série, elle change de coté un coup fesse gauche, un coup fesse droite. Ce qui prouve qu’elle est une vraie experte de l’utilisation du martinet.

Elle finit avec le martinet du grand père, le plus cinglant. J’ai du mal à supporter les derniers coups j’ai failli crier le mot de passe mais je me suis retenu et finalement je suis soulagé quand le martinet cesse son action. Ma chère Tante Anne Sophie finit de me corriger avec ses mains, une bonne fessée après le martinet cela soulage presque la douleur. Elle me reculotte et me dirige vers le coin, elle me demande de m’agenouiller sur le coussin.

Je ne m’exécute pas assez vite du coup elle change d’avis. Me tirant par l’oreille, elle me dirige vers sa chaise puis levant sa cuissarde bien haut sur la chaise, elle me bascule en travers de sa cuisse levée. En quelques secondes je me retrouve les fesses collée à sa cuisse, culotte baissée.

- Mon cher Vincent quand je dis d’aller au coin, on y va vite sans trainer. Ta non réaction te vaut une bonne fessée cul nu mon cher enfant »

Je ne compte plus les claques, ni le nombre de correction reçues je retourne en silence au coin.

Après quelques minutes qui servent de sas de décompression, ma tatie me fait signe de la rejoindre près du canapé où elle s’est confortablement assise.

- Vincent, tu es un vilain garçon, je t’aime beaucoup mais ma sœur n’est pas assez sévère avec toi, il faut donc que je rattrape les corrections que tu n’as pas reçues. Lève les bras »

Elle me baisse le slip à la pliure des fesses et me bascule en travers de ses jolies cuisses. J’ai le temps d’apercevoir sa belle poitrine. Je pose mes mains tendues sur le canapé et attend fébrile ma correction. Cette position est idéale pour ma fesseuse qui a un accès facile à mon fessier et aussi pour moi qui suis confortablement allongé en travers du canapé.

Tatie commence par quelques douces caresses sur mon fessier puis levant la main bien haute, elle se met à me claquer chaque hémisphère en cadence à la façon d’un métronome. La correction s’intensifie à mesure que mes fesses rougissent. J’ai du mal à supporter la cuisson. Tatie Aristo m’explique qu’elle vient de me donner une fessée exemplaire dont je me souviendrais longtemps. Après m’avoir relevé et conduit au coin, elle m’annonce

- Puisque tu as fait 13 fautes à la dictée et que chaque faute équivaut à un coup de canne et que je n’aime pas le chiffre 13, tu vas recevoir 14 coups  mon cher enfant  »

Ma tante me reculotte me tire par le bras me fait agenouiller sur la chaise bras tendu reposant sur le meuble. Elle me baisse à nouveau ma culotte. J’attends à nouveau fébrile ma correction fesses nues.

Et que la canne fait mal, il y a le bruit d’impact sur les fesses, la chaleur du coup qui se propage pendant de longues secondes sur toute la surface. C’est pour cela que ma correctrice attend 1 minute entre chaque coup pour laisser la douleur se calmer. J’ai reçu 14 coups et je suis presque félicité par

Ma jolie fesseuse de les avoir enduré sans broncher.

De retour au coin, même cérémonial, une pause de quelques minutes pour soulager mes fesses. Tatie aristo revient et me gronde à nouveau. J'ai le malheur de lui répondre. Très mauvaise idée... Madame Anne Sophie fond sur moi me tire en avant et avec une grande dextérité profitant de la chaise à proximité elle pose sa cuissarde sur celle-ci et me bascule en travers de sa cuisse. Elle me baisse à la volée ma culotte

«Tu continues à me défier Vincent, Je vais te donner la fessée déculottée la plus cinglante de ta vie »

Elle prend son élan et me claque vigoureusement les fesses. Cela fuse sur mon fessier, je reçois une bonne cinquantaine de claques. Je hurle, je demande pardon. Rien n'y fait. Quand elle a décidé de fesser, elle fesse et ne s'arrête que quand elle le juge nécessaire.

Jugeant sans doute que ma correction n’est pas suffisante, elle m’amène dans sa chambre, elle me tire derrière elle, s'assied sur le lit et me bascule sur ses genoux.

D'un geste précis elle baisse mon slip. Me voilà en travers de ses genoux, les fesses à l'air. Elle me gronde et me donne une raclée mémorable, de plus en plus fort et de plus en plus vite, une fessée retentissante, interminable et cuisante. Je crie, je supplie, je demande pardon et au bout de longues minutes, n'en pouvant plus je prononce le safe word qui stoppe immédiatement les claques. Je me relève les fesses me brûlent, je rougis d'être puni de cette façon.

« Remonte ton slip et retourne au coin en silence.

– Oui Madame »

Comme après chaque correction, je retourne au coin méditer sur ma conduite.

« Tu n'as pas appris tes leçons, je vais encore devoir sévir et les petits garçons qui ne m’obéisse pas je leur donne une bonne fessée. »

Me tirant par l'oreille, elle me bascule en travers de sa cuisse et me déculotte. J’attends résigné ma nouvelle punition.

« Tiens tu vas la prendre ta fessée déculottée mon cher enfant. »

Joignant le geste à la parole elle me donne une volée retentissante. J’entends le bruit de sa main qui claque mes fesses. Je trépigne et je ne peux retenir mes larmes. Elle me fesse pendant de longues minutes, je me demande comment elle fait pour avoir une telle endurance.

La correction se termine, je me change et je remets ma tenue de ville.

Puis son ton change elle redevient charmante et plaisante

 « Alors cela t'a plu mes bonnes fessées ? »

– Oui Madame, vous avez été très sévère et m’avez fessé encore plus durement que la dernière fois »

– Oui je te connais bien et je sais ce que tu peux endurer, je te ménage je peux fesser beaucoup plus fort. » 

Elle m’explique que j’ai reçu une fessée de niveau 4/10 ce  qui veut dire qu’elle peut largement augmenter la force et la puissance de ses mains pour fesser beaucoup plus fort. Chaque personne est différente et peut plus ou moins supporter un certain niveau de sévérité.

« J’ai beaucoup de force dans les mains, je suis sportive et endurante, regarde je n’ai même pas mal à la main. Regarde tes fesses dans le miroir, toutes rouges mais pas de trace. Contrat rempli. J’ai bien aimé notre scénario. J’ai aimé te corriger comme un parent. J’ai senti une certaine gêne et j’ai bien  aimé tes tentatives de rébellion. »

« Chère tante pourrais-je avoir une dernière fessée ?

- Non désolé mon cher, je dois aller faire mes courses »

 Moi je repars, marqué par cette nouvelle  expérience, les fesses bien chaudes et rouges Elle me raccompagne sur le palier avec un air espiègle.

« Repose bien tes fesses, et réfléchit à un nouveau scénario  pour la prochaine fois.

- Au revoir Madame Anne Sophie je me souviendrai longtemps de vos bonnes fessées ! »

Un récit d'une autre visite chez Madame Anne-Sophie accompagné de quelques commentaires, et là celle de Georges, ici celle de Paul et enfin celle de J. Puis ce fut le tour de Pierre, pour finir par le premier passage de Vincent, et son deuxième

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