samedi 14 avril 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 39


S’il est un moment de solitude, c’est celui qu’on passe au coin. Passés les premiers temps où, parce qu’on y montre ses fesses nues, on a l’impression d’être à la convergence de toutes les attentions, on se rend très vite compte que la vie suit son cours sans s’occuper des punis qui cachent leur honte en dissimulant leur visage dans l’un des angles de la pièce.
La suite de l’après-midi dans la classe de Sœur Marie-Odette le montra encore une fois. La religieuse nous oublia et Justine eut bien d’autres sujets de préoccupation que les deux punis dans leur coin.
« Justine, vous devez avoir fini de recopier les règles de grammaire.
– Presque ma Sœur.
– Montrez voir. »

J’imaginais Sœur Marie-Odette se pencher par-dessus l’épaule de Justine.
« Je vous donne encore cinq minutes, puis nous commençons la dictée. »
Cinq minutes plus tard la dictée commença. Je la suivais jusqu’au bout, n’ayant rien de mieux à faire.
« Relisez ce que vous avez écrit, Justine. Faites bien attention aux règles de grammaire que vous avez recopiées il y a quelques instants. »
Il y eut quelques minutes de silence.
« Avez-vous terminé votre relecture ?
– Oui ma Sœur.
– Commençons la correction. »
Il y eut un petit blanc puis j’entendis nettement Sœur Marie-Odette pousser un long soupir.
« Pouvez-vous, jeune fille, corriger ces deux erreurs. »
Ne disposant pas de la vue sur ce que faisaient Justine et Sœur Marie-Odette, j’en étais réduit à deviner ce qui se passait pendant les moments où le silence me privait de toute source d’information.
« Voilà, ma Sœur.
– Effectivement, c’est maintenant correctement écrit. Et, là, … et encore là ? »
Justine devait se pencher sur son cahier et modifier ce qu’elle y avait écrit pendant la dictée. Le processus se répéta encore quatre ou cinq fois avant qu’elles n’arrivent au bout du texte.
« Si je compte bien : deux, quatre, cinq et six, … huit neuf et onze. Nous arrivons à un total de douze fautes dans votre dictée. Avez-vous compté comme moi, Justine ?
– Oui ma Sœur. »
Justine avait maintenant une toute petite voix. Elle voyait s’approcher à grand pas la conclusion de ce travail dont elle ne s’était pas sortie avec les honneurs.
« Si j’avais dû mettre une note à votre dictée, combien pensez-vous que vous auriez eu ? »
Justine hésita un peu, mais il n’y avait pas d’issue.
« Zéro, ma Sœur.
–.Au moins vous êtes lucide sur votre niveau. Vous auriez effectivement eu zéro, et de loin. Qu’arrive-t-il, à St Marie, aux jeunes filles qui ont un zéro à leur travail ?
–.Elles reçoivent la fessée, ma Sœur.
–Exactement ! »
Il y eut un bruit de déplacement précipité et d’étoffes froissées.
« Oh, pardon, ma Sœur, je vais faire attention, je vais mieux … aïe ! »
Une première claque venait d’atterrir sur des fesses nues. Il y en eut une deuxième, puis une troisième, chacune accompagnée d’une plainte de Justine. Puis, Sœur Marie-Odette accéléra le rythme et la jeune fille n’eut plus le temps de se geindre dans le temps que la religieuse mettait pour relever sa main et l’appliquer une nouvelle fois sur ses fesses. Elle avait commencé à pleurer quand la fessée s’arrêta.
« Continuons la correction de votre dictée. Je vois là quatre, cinq six et là trois autres, ça fait neuf fautes qui sont dues à une non application des trois règles de grammaire que vous aviez à copier. Est-ce exact ? »
Entre deux sanglots, Justine réussit à répondre.
« Oui, ma Sœur.
– De plus, vous avez su les corriger sans hésiter. C’est donc que vous connaissez ces règles. Vous avez donc la paresse de les appliquer ou bien vous prenez mes dictées avec dilettantisme.
– Oh, non ma Sœur.
– Comme je n’en suis pas bien certaine, je vais m’en assurer. »
Cette fois-ci, le déplacement fut un peu plus long. J’entendis Sœur Marie-Odette s’asseoir sur la chaise qui avait servi pour les fessées de Robin et la mienne. Justine émettait des petits cris aigus qui laissèrent place à un râle venu du fond de la gorge. Le son qui l’avait précédé était caractéristique : c’était celui de la règle plate sur les fesses dénudées de Justine.
Aux hurlements que poussait maintenant la jeune fille, on comprenait que la règle faisait son effet. Sœur Marie-Odette imprimait un tempo régulier, sans se précipiter. Justine émettait un hurlement continu, mais modulé qui montait en ton et en intensité après chaque claquement de la règle, puis redescendait un bref instant avant d’être de nouveau relancé quand la règle atteignait une nouvelle fois ses fesses.
Sœur Marie-Odette poursuivit la correction jusqu’à ce que les cris cessent presque totalement. Justine sanglotait et c’est à peine si la règle la faisait encore réagir, bien qu’il ne me semblât pas que la religieuse ait atténué la rigueur de la correction. Cela ne prit pas bien longtemps. Je n’avais que la bande sonore pour en juger, mais il me parut que c’est l’intensité de la fessée qui en fit une punition redoutable.
Sœur Marie-Odette trouva un coin libre pour y placer Justine, dont rapidement je n’entendis plus que des sanglots résiduels qui soulevaient encore périodiquement sa poitrine.

Le calme revint dans la classe. Sœur Marie-Odette avait repris sa place à son bureau et elle se livrait à une activité qui ne faisait pas de bruit. Comme mes deux camarades ne faisaient pas plus de bruit que moi, j’aurai pu me croire seul dans la pièce. Je savais qu’il n’en était rien. Je me tenais donc rigoureusement immobile dans mon coin, sachant que tout mouvement, même infime, attirerait l’attention de Sœur Marie-Odette, ce qui n’aurait pas été une bonne idée. J’étais suffisamment conscience des risques encourus pour réussir à rester au coin sans bouger d’un poil, pendant plusieurs minutes, même si elles me paraissaient des heures.
Je fus le premier à être rappelé. Elle me mit à genoux devant elle, entre ses pieds. C’était inquiétant de me retrouver de nouveau dans la position dans laquelle j’avais reçu la fessée. Cependant, Sœur Marie-Odette n’avait pas l’attitude de celle qui s’apprêtait à me punir une nouvelle fois.
« Montrez-moi vos fesses ! »
Sœur Marie-Odette me coucha sur son genou, comme elle l’avait fait pour me punir. Je ne m’attendais pas à une nouvelle fessée, mais la position dans laquelle j’étais laissait un doute. Je sentis la main de la religieuse venir caresser mes fesses/
« Je pensais bien, qu’après une si petite fessée, une dizaine de minutes au coin suffiraient pour en faire disparaître toute trace. »
Elle me tapota le sommet de mon postérieur, puis elle me remit sur mes genoux. Elle posa alors ma tête sur son ventre et entoura mes épaules de ses deux bras. Je passais mes deux bras autour de ses hanches et je me serrais contre elle.
« Avez-vous mérité ce câlin, petit garçon paresseux ? »
Elle claqua sèchement mes fesses, puis elle posa sa main sur ma joue, enfouissant plus profondément mon visage dans sa robe. Je n’avais pu retenir un petit cri. La claque était bien réelle et elle me ramenait à mon statut précaire avec mes fesses nues à portée de la main de Sœur Marie-Odette. Il n’y avait besoin d’un rien pour passer du câlin à la fessée.
« Expliquez-moi comment se fait-il que vous vous êtes autorisé ce moment de désœuvrement alors que je vous avais donné un travail à faire ? »
Je ne savais pas trop ce qu’il fallait répondre pour m’éviter une prochaine fessée. Dans le doute, j’optais pour dire la vérité.
« Je ne savais pas quoi écrire, ma Sœur.
– Comment cela ?
– Je ne savais pas ce qu’il fallait améliorer dans la commande, comme vous me l’aviez demandé.
– Si je comprends bien, vous étiez bloqué, sans savoir comment avancer.
– Oui, ma Sœur.
– Et que fait-on dans ces cas-là ?
– Je ne sais pas ma Sœur.
– Reste-t-on à bayer aux corneilles en attendant que le temps passe ?
Sœur Marie-Odette releva ma chemise qui était tombée sur mes fesses et elle m’administra une dizaine de claques bien fortes sur les fesses.
« Aïe, … aïe, … non ma Sœur, aïe, … non ma Sœur, …aïe…
– Alors, que fait-on ? »
Je ne savais vraiment pas quoi répondre.
« On … vient … de … man … der … de … l’aide ! »
Sœur Marie-Odette ponctuait chacun de ses syllabes par une claque sur mes fesses et elle ne faisait pas semblant de me fesser. Je crispais les mâchoires pour résister à la brûlure qui envahissait doucement mes fesses et je me serrais encore plus étroitement contre elle.
Elle posa la main, avec laquelle elle venait de me fesser, sur ma joue. Puis, en faisant basculer ma tête en arrière, elle me regarda droit dans les yeux.
« J’espère que je n’aurai plus à vous le redire, Axel !
– Non, ma Sœur.
– Reprenons le travail là où vous l’avez laissé. »
En un tour de main, je fus remis sur pieds, reculotté, reconduit à ma place et réinstallé sur ma chaise. Patiemment, elle reconstruisit avec moi le raisonnement qui permettait de questionner la problématique.
« Refaites-moi tout le plan de travail qui va vous permettre de recueillir les éléments dont vous avez besoin. »
Je m’attelais au travail, certain maintenant de savoir où j’allais.

Sœur Marie-Odette se rendit dans le coin où Robin se tenait depuis un long moment. Elle le prit par la main et elle l’emmena derrière elle jusqu’à la chaise du milieu de l’estrade. Robin se retrouva à genoux entre ses jambes. Sœur Marie-Odette passa ses bras autour des épaules du jeune homme dans le dos duquel elle noua ses mains. Puis elle le rapprocha d’elle.
« Avez-vous encore quelques velléités d’insolence envers les adultes, mon garçon ou bien la fessée que je vous ai donnée, vous a-t-elle rendu raisonnable ? »
Robin baissa la tête, puis il fondit en larmes. Sœur Marie-Odette le rapprocha encore d’elle et elle posa, sur sa cuisse la tête du jeune homme qui pleurait, le visage caché dans le pli que formait son bassin et sa cuisse. Elle posa une main sur les cheveux de Robin et elle se mit à jouer avec les boucles qui descendaient sur sa nuque.
Son autre main était posée sur les fesses du garçon. Elle les massait tout doucement. Aux petits tressaillements qui parcouraient sa peau, je comprenais combien cette zone était encore sensible et combien la main de Sœur Marie-Odette, juste en effleurant sa peau, ravivait la douleur. Robin n’émettait cependant aucune plainte.
Sœur Marie-Odette le berça lentement dans cette position durant plusieurs minutes. Elle faisait osciller la jambe sur laquelle reposait la tête de Robin, en un léger mouvement qui gagnait tout le corps du garçon. Finalement, il se calma et ses sanglots cessèrent.
Sœur Marie-Odette le redressa, mais elle le laissa à genoux, tout contre elle. Elle sortit un mouchoir de sa poche puis elle essuya les larmes qui emplissaient encore les yeux de Robin et qui coulaient sur ses joues. Enfin, elle le moucha. Lorsque je m’étais trouvé dans cette même situation, je ne m’étais pas aperçu combien se faire moucher m’avait contenu dans le rôle d’un petit garçon qu’un adulte prenait en charge. A ces moments-là, cela m’était indifférent et je voyais bien que Robin s’en contrefichait également.
« Pensez-vous que vous serez encore insolent avec un professeur ?
– Oh non, ma Sœur.
– J’espère bien. Si j’apprends que vous avez manqué de respect une seule fois à un adulte quel qu’il soit, je vous donnerai une fessée à côté de laquelle celle d’aujourd’hui vous semblera une douceur. Est-ce bien compris ?
– Oui, ma Sœur. »
Sœur Marie-Odette posa la tête de Robin sur son ventre. Après quelques instants dans cette position, le jeune homme poussa un long soupir.
« N’oubliez pas que votre punition est loin d’être terminée. Vous n’en êtes qu’à votre cinquième jour de punition. Sans compter aujourd’hui, il en restera encore deux. Dans quelques instants, votre punition continuera par des lignes à copier. »
Robin émit un grognement afin de signaler son mécontentement. Il fut interrompu par une claque sur ses fesses.
« Plus de protestations intempestives ! Surtout quand une grande personne parle de vous punir. C’est, au contraire, le moment de se montrer très obéissant. Encore un grognement comme celui-là et c’est une fessée ! »
La menace n’était pas à prendre à la légère. Robin se le tint pour dit. Il cacha son visage dans la robe de la religieuse. Sœur Marie-Odette lui releva la tête en le tenant sous le menton.
« J’espère qu’à la maison vous avez été également puni. Est-ce bien le cas ?
– Oui, ma Sœur.
– Avez-vous reçu la fessée ?
– Oui ma Sœur.
– Qui vous a l’a donnée ?
– C’est Maman.
– A-t-elle baissé la culotte ?
– Oui, ma Sœur.
– C’est exactement ce dont a besoin un petit garçon irrespectueux comme vous l’avez été. A-t-elle prévu de vous en donner une autre ce soir ?
– Oh non ma Sœur, pas ce soir.
– Et pourquoi n’auriez-vous donc pas de fessée ce soir ?
– Si ma Sœur, mais pas par Maman.
– Si ce n’est votre Maman qui va vous fesser, qui est-ce ?
– Ma grande sœur. Maman ne sera pas là, elle a demandé à ma grande sœur de me donner la fessée à sa place.
– Votre grande sœur est-elle capable de vous donner une vraie fessée ?
– Oh oui, ma Sœur. Elle donne de grosses fessées, aussi fortes que celles de Maman.
– Je vois que ce ne sera pas la première fois qu’elle vous punira.
– Non, ma Sœur.
– C’est très bien. Je suis certaine qu’entre votre Maman et votre Sœur à la maison et mes consœurs ici, nous n’aurons pas de difficulté à vous inculquer le respect que vous devez aux grandes personnes. »
Robin hocha la tête, acquiesçant aux propos de Sœur Marie-Odette.
« A ce propos, votre punition de cet après n’est pas terminée, il vous reste les lignes à copier. Levez-vous ! »
Robin se remit sur ses pieds et son premier réflexe fut de frotter ses fesses qui devaient représenter une gêne pour lui. Sœur Marie-Odette devait s’y attendre. Elle donna une claque sèche sur la main qui s’apprêtait à soulager la douleur du postérieur de Robin.
« Les mains, gronda-t-elle ! »
Rappelé à l’ordre, Robin stoppa son geste. Puis il se baissa pour se reculotter. Sa culotte était à mi-cuisses quand il s’arrêta. Il regarda Sœur Marie-Odette, guettant son approbation avec un peu d’angoisse dans son regard.
« Vous pouvez vous reculotter. »
Robin prit de grandes précautions pour poser ses fesses sur sa chaise. Cela ne se fit pas sans de nombreuses grimaces.
« Ecrivez ce que je vous dicte : Je serai respectueux de toutes les grandes personnes. Je ne répondrai plus et je ne serai plus insolent. Copiez-moi cinq cents fois cette phrase. Je veux chacune d’entre elle bien écrite et pas de faute d’orthographe ! »
Robin se mit à sa punition. Il se concentrait visiblement sur sa tâche mais de temps en temps, une grimace de douleur déformait son visage. Il portait sa main à ses fesses puis la remettait sur sa table de travail aussi vite qu’il l’en avait ôtée en jetant un œil craintif vers Sœur Marie-Odette.

Le silence reprit ses droits pour quelques instants. Puis, Justine eut, à son tour, son moment d’intimité avec Sœur Marie-Odette. Assise sur les genoux de la religieuse, elle subit une leçon de morale sur l’attention à porter à son travail. La religieuse la grondait, mais en la tenant dans ses bras et en caressant ses fesses encore colorées d’un rouge soutenu.
Justine s’était nichée le plus étroitement possible contre Sœur Marie-Odette. Elle avait posé son visage sur la poitrine de la religieuse et elle répondait à ses questions par des hochements de tête dont l’orientation dépendait du sens de la réponse à donner. C’était le tableau qu’on aurait pu peindre pour décrire une scène montrant une petite fille cherchant le pardon après avoir reçu une fessée, si ce n’était la taille de Justine, un peu grande pour jouer le rôle d’une fillette. Le décalage était toutefois moins important que quand Robin s’était trouvé dans une position analogue. Je n’osais pas songer à ce qu’aurait pu songer un spectateur lorsque c’était moi qui, la culotte aux genoux, je me blottissais contre le ventre de Sœur Marie-Odette.

L’après-midi suivit son cours. Chacun de nous trois suivait son programme de travail et les phases de contrôle de ce que nous avions fait s’achevaient le plus souvent par une fessée. Sœur Marie-Odette ne se servit plus que de sa main pour nous punir, ce qui nous amenait tout de même à chaque fois à fondre en larmes. Après avoir invariablement passé un temps au coin, c’était le moment du pardon pendant lequel Sœur Marie-Odette nous réprimandait en même temps qu’elle nous consolait.
Les Sœurs maintinrent l’atmosphère studieuse pendant tout le week-end. Elles ne manquaient pas une occasion de nous rappeler que nous étions punis. Cela se traduisait, bien entendu, par la fessée qui était généreusement distribuée, ce qui était à peu près habituel à St Marie. Pendant ces deux jours, le plus petit écart était sanctionné, sans doute un peu plus systématiquement qu’habituellement. Il y avait aussi la fessée à l’heure du coucher à laquelle nous n’échappâmes pas.
La nouveauté vint de l’obligation qui nous fut donnée de passer chacun des temps d’attente, quel qu’en soit le lieu, le nez contre le mur le plus proche et les mains croisées sur la tête. Sœur Marie-Odette en avait lancé la mode, elle se propagea à la vitesse d’une épidémie auprès des autres Religieuses.
Quand je fis le bilan de ces deux jours, j’étais plutôt satisfait. Il fallait, bien sûr, mettre les fessées de côté et j’en avais reçues plusieurs chaque jour, certaines fort douloureuses. J’avais, par contre, fait de grands progrès en mathématiques et mon rapport d’étude avait avancé à grands pas.


Peter Pan est en villégiature, nous n'aurons pas de ses dessins pour le moment.

Pour suivre le fil de cette histoire :

Comprendre le contexte : l'introduction
Le premier épisode : chapitre 1

L'épisode précédent : chapitre 38
L'épisode suivant : chapitre 40.

5 commentaires:

  1. Notre ami Robin s'en prend décidément plein les fesses! Avec quelques alternatives de câlins! Les soeurs sont redoutables d'efficacité et manient la punition et le pardon, la claque et la caresse d'une même main. Belle continuité entre les fessées à Ste marie et celles à la maison,où on n'est pas étonné d'apprendre que la soeur du jeune dissipé fesse aussi fort que la mère. Peut-être aurons nous droit à une séance de fessées à la maison, pour le plus grand bien de ce garnement de Robin!
    Merci à l'auteur. Ce récit, très pédagogique, ne manque pas de
    situations piquantes!
    Cordialement
    R.

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  2. Ah Ramina, Ramina, Ramina ...
    Vous êtes décidément incorrigible ! Quand prendrez-vous en main les écrits que vous réclamez aux autres ? Vous avez suggéré, à plusieurs reprises, de rédiger les aventures de quelques personnages secondaires. Faites-en des personnages principaux ! Nous ne sommes pas assez nombreux aujourd'hui, pour répondre à toutes vos commandes.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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  3. Cher JLG,
    je comprends votre impatience. J'y pense sérieusement... ça va venir. Ce ne sont pas des commandes mais des suggestions. Que je pourrais bien effectivement prendre en charge moi-même.
    Avant cela il se pourrait que je vous envoie quelques dessins...à mon retour de vacances.Fin du mois
    Cordialement.
    R.

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    1. Ramina,
      Vous avez compris que mon impatience n'est que feinte. Je suis tout à fait persuadé que vous êtes au cœur d'un processus de production qui nous livrera bientôt ses réalisations.
      Prenez votre temps, mais sachez que nous vous attendons avec fébrilité.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  4. Cher JLG,
    je vous devinais malicieusement pédagogue et probablement habile négociateur. Merci de ces encouragements "pré-production". Et comme le dit si drôlement notre ami Peter Pan, il est probable que : "ça va chauffer!"
    Cordialement
    Ramina.
    Il va me falloir être à la haueur

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