S’il est un moment de solitude,
c’est celui qu’on passe au coin. Passés les premiers temps où, parce qu’on y
montre ses fesses nues, on a l’impression d’être à la convergence de toutes les
attentions, on se rend très vite compte que la vie suit son cours sans
s’occuper des punis qui cachent leur honte en dissimulant leur visage dans l’un
des angles de la pièce.
La suite de l’après-midi dans la
classe de Sœur Marie-Odette le montra encore une fois. La religieuse nous
oublia et Justine eut bien d’autres sujets de préoccupation que les deux punis
dans leur coin.
« Justine, vous devez avoir
fini de recopier les règles de grammaire.
– Presque ma Sœur.
– Montrez voir. »
J’imaginais Sœur Marie-Odette se
pencher par-dessus l’épaule de Justine.
« Je vous donne encore cinq
minutes, puis nous commençons la dictée. »
Cinq minutes plus tard la dictée
commença. Je la suivais jusqu’au bout, n’ayant rien de mieux à faire.
« Relisez ce que vous avez
écrit, Justine. Faites bien attention aux règles de grammaire que vous avez
recopiées il y a quelques instants. »
Il y eut quelques minutes de
silence.
« Avez-vous terminé votre
relecture ?
– Oui ma Sœur.
– Commençons la
correction. »
Il y eut un petit blanc puis
j’entendis nettement Sœur Marie-Odette pousser un long soupir.
« Pouvez-vous, jeune fille,
corriger ces deux erreurs. »
Ne disposant pas de la vue sur ce
que faisaient Justine et Sœur Marie-Odette, j’en étais réduit à deviner ce qui
se passait pendant les moments où le silence me privait de toute source
d’information.
« Voilà, ma Sœur.
– Effectivement, c’est maintenant
correctement écrit. Et, là, … et encore là ? »
Justine devait se pencher sur son
cahier et modifier ce qu’elle y avait écrit pendant la dictée. Le processus se
répéta encore quatre ou cinq fois avant qu’elles n’arrivent au bout du texte.
« Si je compte bien :
deux, quatre, cinq et six, … huit neuf et onze. Nous arrivons à un total de
douze fautes dans votre dictée. Avez-vous compté comme moi, Justine ?
– Oui ma Sœur. »
Justine avait maintenant une
toute petite voix. Elle voyait s’approcher à grand pas la conclusion de ce
travail dont elle ne s’était pas sortie avec les honneurs.
« Si j’avais dû mettre une
note à votre dictée, combien pensez-vous que vous auriez eu ? »
Justine hésita un peu, mais il
n’y avait pas d’issue.
« Zéro, ma Sœur.
–.Au moins vous êtes lucide sur
votre niveau. Vous auriez effectivement eu zéro, et de loin. Qu’arrive-t-il, à
St Marie, aux jeunes filles qui ont un zéro à leur travail ?
–.Elles reçoivent la fessée, ma
Sœur.
–Exactement ! »
Il y eut un bruit de déplacement
précipité et d’étoffes froissées.
« Oh, pardon, ma Sœur, je
vais faire attention, je vais mieux … aïe ! »
Une première claque venait
d’atterrir sur des fesses nues. Il y en eut une deuxième, puis une troisième,
chacune accompagnée d’une plainte de Justine. Puis, Sœur Marie-Odette accéléra
le rythme et la jeune fille n’eut plus le temps de se geindre dans le temps que
la religieuse mettait pour relever sa main et l’appliquer une nouvelle fois sur
ses fesses. Elle avait commencé à pleurer quand la fessée s’arrêta.
« Continuons la correction
de votre dictée. Je vois là quatre, cinq six et là trois autres, ça fait neuf
fautes qui sont dues à une non application des trois règles de grammaire que
vous aviez à copier. Est-ce exact ? »
Entre deux sanglots, Justine
réussit à répondre.
« Oui, ma Sœur.
– De plus, vous avez su les
corriger sans hésiter. C’est donc que vous connaissez ces règles. Vous avez
donc la paresse de les appliquer ou bien vous prenez mes dictées avec
dilettantisme.
– Oh, non ma Sœur.
– Comme je n’en suis pas bien
certaine, je vais m’en assurer. »
Cette fois-ci, le déplacement fut
un peu plus long. J’entendis Sœur Marie-Odette s’asseoir sur la chaise qui
avait servi pour les fessées de Robin et la mienne. Justine émettait des petits
cris aigus qui laissèrent place à un râle venu du fond de la gorge. Le son qui
l’avait précédé était caractéristique : c’était celui de la règle plate
sur les fesses dénudées de Justine.
Aux hurlements que poussait
maintenant la jeune fille, on comprenait que la règle faisait son effet. Sœur
Marie-Odette imprimait un tempo régulier, sans se précipiter. Justine émettait
un hurlement continu, mais modulé qui montait en ton et en intensité après
chaque claquement de la règle, puis redescendait un bref instant avant d’être
de nouveau relancé quand la règle atteignait une nouvelle fois ses fesses.
Sœur Marie-Odette poursuivit la
correction jusqu’à ce que les cris cessent presque totalement. Justine
sanglotait et c’est à peine si la règle la faisait encore réagir, bien qu’il ne
me semblât pas que la religieuse ait atténué la rigueur de la correction. Cela
ne prit pas bien longtemps. Je n’avais que la bande sonore pour en juger, mais
il me parut que c’est l’intensité de la fessée qui en fit une punition
redoutable.
Sœur Marie-Odette trouva un coin
libre pour y placer Justine, dont rapidement je n’entendis plus que des
sanglots résiduels qui soulevaient encore périodiquement sa poitrine.
Le calme revint dans la classe.
Sœur Marie-Odette avait repris sa place à son bureau et elle se livrait à une
activité qui ne faisait pas de bruit. Comme mes deux camarades ne faisaient pas
plus de bruit que moi, j’aurai pu me croire seul dans la pièce. Je savais qu’il
n’en était rien. Je me tenais donc rigoureusement immobile dans mon coin,
sachant que tout mouvement, même infime, attirerait l’attention de Sœur
Marie-Odette, ce qui n’aurait pas été une bonne idée. J’étais suffisamment
conscience des risques encourus pour réussir à rester au coin sans bouger d’un
poil, pendant plusieurs minutes, même si elles me paraissaient des heures.
Je fus le premier à être rappelé.
Elle me mit à genoux devant elle, entre ses pieds. C’était inquiétant de me
retrouver de nouveau dans la position dans laquelle j’avais reçu la fessée.
Cependant, Sœur Marie-Odette n’avait pas l’attitude de celle qui s’apprêtait à
me punir une nouvelle fois.
« Montrez-moi vos
fesses ! »
Sœur Marie-Odette me coucha sur
son genou, comme elle l’avait fait pour me punir. Je ne m’attendais pas à une
nouvelle fessée, mais la position dans laquelle j’étais laissait un doute. Je
sentis la main de la religieuse venir caresser mes fesses/
« Je pensais bien, qu’après
une si petite fessée, une dizaine de minutes au coin suffiraient pour en faire
disparaître toute trace. »
Elle me tapota le sommet de mon
postérieur, puis elle me remit sur mes genoux. Elle posa alors ma tête sur son
ventre et entoura mes épaules de ses deux bras. Je passais mes deux bras autour
de ses hanches et je me serrais contre elle.
« Avez-vous mérité ce câlin,
petit garçon paresseux ? »
Elle claqua sèchement mes fesses,
puis elle posa sa main sur ma joue, enfouissant plus profondément mon visage
dans sa robe. Je n’avais pu retenir un petit cri. La claque était bien réelle
et elle me ramenait à mon statut précaire avec mes fesses nues à portée de la
main de Sœur Marie-Odette. Il n’y avait besoin d’un rien pour passer du câlin à
la fessée.
« Expliquez-moi comment se
fait-il que vous vous êtes autorisé ce moment de désœuvrement alors que je vous
avais donné un travail à faire ? »
Je ne savais pas trop ce qu’il
fallait répondre pour m’éviter une prochaine fessée. Dans le doute, j’optais
pour dire la vérité.
« Je ne savais pas quoi
écrire, ma Sœur.
– Comment cela ?
– Je ne savais pas ce qu’il
fallait améliorer dans la commande, comme vous me l’aviez demandé.
– Si je comprends bien, vous
étiez bloqué, sans savoir comment avancer.
– Oui, ma Sœur.
– Et que fait-on dans ces
cas-là ?
– Je ne sais pas ma Sœur.
– Reste-t-on à bayer aux
corneilles en attendant que le temps passe ?
Sœur Marie-Odette releva ma
chemise qui était tombée sur mes fesses et elle m’administra une dizaine de
claques bien fortes sur les fesses.
« Aïe, … aïe, … non ma Sœur,
aïe, … non ma Sœur, …aïe…
– Alors, que
fait-on ? »
Je ne savais vraiment pas quoi
répondre.
« On … vient … de … man …
der … de … l’aide ! »
Sœur Marie-Odette ponctuait
chacun de ses syllabes par une claque sur mes fesses et elle ne faisait pas
semblant de me fesser. Je crispais les mâchoires pour résister à la brûlure qui
envahissait doucement mes fesses et je me serrais encore plus étroitement
contre elle.
Elle posa la main, avec laquelle
elle venait de me fesser, sur ma joue. Puis, en faisant basculer ma tête en
arrière, elle me regarda droit dans les yeux.
« J’espère que je n’aurai
plus à vous le redire, Axel !
– Non, ma Sœur.
– Reprenons le travail là où vous
l’avez laissé. »
En un tour de main, je fus remis
sur pieds, reculotté, reconduit à ma place et réinstallé sur ma chaise.
Patiemment, elle reconstruisit avec moi le raisonnement qui permettait de
questionner la problématique.
« Refaites-moi tout le plan
de travail qui va vous permettre de recueillir les éléments dont vous avez
besoin. »
Je m’attelais au travail, certain
maintenant de savoir où j’allais.
Sœur Marie-Odette se rendit dans
le coin où Robin se tenait depuis un long moment. Elle le prit par la main et
elle l’emmena derrière elle jusqu’à la chaise du milieu de l’estrade. Robin se
retrouva à genoux entre ses jambes. Sœur Marie-Odette passa ses bras autour des
épaules du jeune homme dans le dos duquel elle noua ses mains. Puis elle le
rapprocha d’elle.
« Avez-vous encore quelques
velléités d’insolence envers les adultes, mon garçon ou bien la fessée que je
vous ai donnée, vous a-t-elle rendu raisonnable ? »
Robin baissa la tête, puis il
fondit en larmes. Sœur Marie-Odette le rapprocha encore d’elle et elle posa,
sur sa cuisse la tête du jeune homme qui pleurait, le visage caché dans le pli
que formait son bassin et sa cuisse. Elle posa une main sur les cheveux de
Robin et elle se mit à jouer avec les boucles qui descendaient sur sa nuque.
Son autre main était posée sur
les fesses du garçon. Elle les massait tout doucement. Aux petits
tressaillements qui parcouraient sa peau, je comprenais combien cette zone
était encore sensible et combien la main de Sœur Marie-Odette, juste en
effleurant sa peau, ravivait la douleur. Robin n’émettait cependant aucune
plainte.
Sœur Marie-Odette le berça
lentement dans cette position durant plusieurs minutes. Elle faisait osciller
la jambe sur laquelle reposait la tête de Robin, en un léger mouvement qui
gagnait tout le corps du garçon. Finalement, il se calma et ses sanglots
cessèrent.
Sœur Marie-Odette le redressa,
mais elle le laissa à genoux, tout contre elle. Elle sortit un mouchoir de sa
poche puis elle essuya les larmes qui emplissaient encore les yeux de Robin et
qui coulaient sur ses joues. Enfin, elle le moucha. Lorsque je m’étais trouvé
dans cette même situation, je ne m’étais pas aperçu combien se faire moucher
m’avait contenu dans le rôle d’un petit garçon qu’un adulte prenait en charge.
A ces moments-là, cela m’était indifférent et je voyais bien que Robin s’en
contrefichait également.
« Pensez-vous que vous serez
encore insolent avec un professeur ?
– Oh non, ma Sœur.
– J’espère bien. Si j’apprends
que vous avez manqué de respect une seule fois à un adulte quel qu’il soit, je
vous donnerai une fessée à côté de laquelle celle d’aujourd’hui vous semblera une
douceur. Est-ce bien compris ?
– Oui, ma Sœur. »
Sœur Marie-Odette posa la tête de
Robin sur son ventre. Après quelques instants dans cette position, le jeune
homme poussa un long soupir.
« N’oubliez pas que votre
punition est loin d’être terminée. Vous n’en êtes qu’à votre cinquième jour de
punition. Sans compter aujourd’hui, il en restera encore deux. Dans quelques
instants, votre punition continuera par des lignes à copier. »
Robin émit un grognement afin de
signaler son mécontentement. Il fut interrompu par une claque sur ses fesses.
« Plus de protestations
intempestives ! Surtout quand une grande personne parle de vous punir.
C’est, au contraire, le moment de se montrer très obéissant. Encore un
grognement comme celui-là et c’est une fessée ! »
La menace n’était pas à prendre à
la légère. Robin se le tint pour dit. Il cacha son visage dans la robe de la
religieuse. Sœur Marie-Odette lui releva la tête en le tenant sous le menton.
« J’espère qu’à la maison
vous avez été également puni. Est-ce bien le cas ?
– Oui, ma Sœur.
– Avez-vous reçu la fessée ?
– Oui ma Sœur.
– Qui vous a l’a donnée ?
– C’est Maman.
– A-t-elle baissé la
culotte ?
– Oui, ma Sœur.
– C’est exactement ce dont a
besoin un petit garçon irrespectueux comme vous l’avez été. A-t-elle prévu de
vous en donner une autre ce soir ?
– Oh non ma Sœur, pas ce soir.
– Et pourquoi n’auriez-vous donc
pas de fessée ce soir ?
– Si ma Sœur, mais pas par Maman.
– Si ce n’est votre Maman qui va
vous fesser, qui est-ce ?
– Ma grande sœur. Maman ne sera
pas là, elle a demandé à ma grande sœur de me donner la fessée à sa place.
– Votre grande sœur est-elle
capable de vous donner une vraie fessée ?
– Oh oui, ma Sœur. Elle donne de
grosses fessées, aussi fortes que celles de Maman.
– Je vois que ce ne sera pas la
première fois qu’elle vous punira.
– Non, ma Sœur.
– C’est très bien. Je suis
certaine qu’entre votre Maman et votre Sœur à la maison et mes consœurs ici,
nous n’aurons pas de difficulté à vous inculquer le respect que vous devez aux
grandes personnes. »
Robin hocha la tête, acquiesçant
aux propos de Sœur Marie-Odette.
« A ce propos, votre
punition de cet après n’est pas terminée, il vous reste les lignes à copier.
Levez-vous ! »
Robin se remit sur ses pieds et
son premier réflexe fut de frotter ses fesses qui devaient représenter une gêne
pour lui. Sœur Marie-Odette devait s’y attendre. Elle donna une claque sèche
sur la main qui s’apprêtait à soulager la douleur du postérieur de Robin.
« Les mains,
gronda-t-elle ! »
Rappelé à l’ordre, Robin stoppa
son geste. Puis il se baissa pour se reculotter. Sa culotte était à mi-cuisses
quand il s’arrêta. Il regarda Sœur Marie-Odette, guettant son approbation avec
un peu d’angoisse dans son regard.
« Vous pouvez vous
reculotter. »
Robin prit de grandes précautions
pour poser ses fesses sur sa chaise. Cela ne se fit pas sans de nombreuses
grimaces.
« Ecrivez ce que je vous
dicte : Je serai respectueux de toutes les grandes personnes. Je ne
répondrai plus et je ne serai plus insolent. Copiez-moi cinq cents fois cette
phrase. Je veux chacune d’entre elle bien écrite et pas de faute
d’orthographe ! »
Robin se mit à sa punition. Il se
concentrait visiblement sur sa tâche mais de temps en temps, une grimace de
douleur déformait son visage. Il portait sa main à ses fesses puis la remettait
sur sa table de travail aussi vite qu’il l’en avait ôtée en jetant un œil
craintif vers Sœur Marie-Odette.
Le silence reprit ses droits pour
quelques instants. Puis, Justine eut, à son tour, son moment d’intimité avec
Sœur Marie-Odette. Assise sur les genoux de la religieuse, elle subit une leçon
de morale sur l’attention à porter à son travail. La religieuse la grondait,
mais en la tenant dans ses bras et en caressant ses fesses encore colorées d’un
rouge soutenu.
Justine s’était nichée le plus
étroitement possible contre Sœur Marie-Odette. Elle avait posé son visage sur
la poitrine de la religieuse et elle répondait à ses questions par des
hochements de tête dont l’orientation dépendait du sens de la réponse à donner.
C’était le tableau qu’on aurait pu peindre pour décrire une scène montrant une
petite fille cherchant le pardon après avoir reçu une fessée, si ce n’était la
taille de Justine, un peu grande pour jouer le rôle d’une fillette. Le décalage
était toutefois moins important que quand Robin s’était trouvé dans une
position analogue. Je n’osais pas songer à ce qu’aurait pu songer un spectateur
lorsque c’était moi qui, la culotte aux genoux, je me blottissais contre le
ventre de Sœur Marie-Odette.
L’après-midi suivit son cours.
Chacun de nous trois suivait son programme de travail et les phases de contrôle
de ce que nous avions fait s’achevaient le plus souvent par une fessée. Sœur
Marie-Odette ne se servit plus que de sa main pour nous punir, ce qui nous
amenait tout de même à chaque fois à fondre en larmes. Après avoir
invariablement passé un temps au coin, c’était le moment du pardon pendant
lequel Sœur Marie-Odette nous réprimandait en même temps qu’elle nous
consolait.
Les Sœurs maintinrent
l’atmosphère studieuse pendant tout le week-end. Elles ne manquaient pas une
occasion de nous rappeler que nous étions punis. Cela se traduisait, bien
entendu, par la fessée qui était généreusement distribuée, ce qui était à peu
près habituel à St Marie. Pendant ces deux jours, le plus petit écart était
sanctionné, sans doute un peu plus systématiquement qu’habituellement. Il y
avait aussi la fessée à l’heure du coucher à laquelle nous n’échappâmes pas.
La nouveauté vint de l’obligation
qui nous fut donnée de passer chacun des temps d’attente, quel qu’en soit le
lieu, le nez contre le mur le plus proche et les mains croisées sur la tête.
Sœur Marie-Odette en avait lancé la mode, elle se propagea à la vitesse d’une
épidémie auprès des autres Religieuses.
Quand je fis le bilan de ces deux
jours, j’étais plutôt satisfait. Il fallait, bien sûr, mettre les fessées de
côté et j’en avais reçues plusieurs chaque jour, certaines fort douloureuses.
J’avais, par contre, fait de grands progrès en mathématiques et mon rapport
d’étude avait avancé à grands pas.
Notre ami Robin s'en prend décidément plein les fesses! Avec quelques alternatives de câlins! Les soeurs sont redoutables d'efficacité et manient la punition et le pardon, la claque et la caresse d'une même main. Belle continuité entre les fessées à Ste marie et celles à la maison,où on n'est pas étonné d'apprendre que la soeur du jeune dissipé fesse aussi fort que la mère. Peut-être aurons nous droit à une séance de fessées à la maison, pour le plus grand bien de ce garnement de Robin!
RépondreSupprimerMerci à l'auteur. Ce récit, très pédagogique, ne manque pas de
situations piquantes!
Cordialement
R.
Ah Ramina, Ramina, Ramina ...
RépondreSupprimerVous êtes décidément incorrigible ! Quand prendrez-vous en main les écrits que vous réclamez aux autres ? Vous avez suggéré, à plusieurs reprises, de rédiger les aventures de quelques personnages secondaires. Faites-en des personnages principaux ! Nous ne sommes pas assez nombreux aujourd'hui, pour répondre à toutes vos commandes.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Cher JLG,
RépondreSupprimerje comprends votre impatience. J'y pense sérieusement... ça va venir. Ce ne sont pas des commandes mais des suggestions. Que je pourrais bien effectivement prendre en charge moi-même.
Avant cela il se pourrait que je vous envoie quelques dessins...à mon retour de vacances.Fin du mois
Cordialement.
R.
Ramina,
SupprimerVous avez compris que mon impatience n'est que feinte. Je suis tout à fait persuadé que vous êtes au cœur d'un processus de production qui nous livrera bientôt ses réalisations.
Prenez votre temps, mais sachez que nous vous attendons avec fébrilité.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Cher JLG,
RépondreSupprimerje vous devinais malicieusement pédagogue et probablement habile négociateur. Merci de ces encouragements "pré-production". Et comme le dit si drôlement notre ami Peter Pan, il est probable que : "ça va chauffer!"
Cordialement
Ramina.
Il va me falloir être à la haueur