Il était bientôt l’heure de la messe. Nous étions dimanche matin
et cette matinée était à peine entamée que j’en avais fait de cuisants frais.
Pour m’être adonnée à l’onanisme, je venais d’être punie d’une bien cruelle
façon et c’était la directrice de Ste-Marie, Sœur Marie-Joseph qui avait pris
personnellement les choses en main.
Tout avait pourtant bien commencé la veille au soir. Dans notre
dortoir, avec toutes les filles, nous profitions de cette fin de consigne.
L’une de nous lança l’idée d’un concours de masturbation lorsque nous serions
au lit. Rien de bien méchant, ce n’était là que la suite logique de discussions
animées au sein d’un groupe de filles jeunes pour la plupart. Personne, ni Mlle
Mathilde ni même moi n’émit le moindre refus partant du principe que sous les
draps, chacune aurait son libre-arbitre de faire ou de ne pas faire...
L’éloignement de mon mari et des miens, le stress dû à la
rentrée et ma condition de femme guidèrent mes doigts une fois la lumière éteinte.
Je me laissai aller sur de furtives images vécues et enjolivées. Les vibrations
que je me procurais eurent bien vite raison de ma fatigue et je sombrais dans
un sommeil profond. Aux dires des filles, je fus la championne toutes
catégories de ce concours informel.
Mais toute médaille a malheureusement un revers. En venant nous
réveiller, Sœur Thérèse m’avait trouvée dans une position qui ne souffrait
aucune équivoque. J’étais restée figée par le plaisir, la nuisette
outrageusement remontée sur mes seins, une jambe lascivement repliée, mon
change impudiquement baissé et surtout les doigts de ma main droite toujours
fichés dans mon sexe. Plus que des mots, cette posture éloquente en avait
presque fait perdre la voix à notre maîtresse de dortoir qui s’en était remise
au Seigneur tout puissant en de pieuses invocations.
Revenue à elle et à la réalité, Sœur Thérèse s’en était ensuite
confiée à Sœur Marie-Joseph. On ne badine pas impunément avec les bonnes mœurs
à Ste-Marie. Les choses, tant qu’elles sont réalisées dans le secret, restent
propres ; du moment qu’elles sont divulguées, ce sont des saletés donc des
péchés. J’avais voulu protester pour la forme mais dans un établissement
religieux il est bien vain de vouloir normaliser ou même justifier le plaisir individuel.
Il est d’ailleurs remarquable qu’à Ste-Marie on ne désigne pas cette pratique
par son nom mais qu’on use d’aphorismes ou de métaphores, la prenant peut-être
pour un acte diabolique. Ainsi la directrice avait-elle paraphrasé Guillaume
Apollinaire en annonçant à tout le réfectoire que j’allais être punie pour
« avoir fait menotte ».
Je m’attendais en toute logique à recevoir une correction
exemplaire, peut-être une nouvelle fessée magistrale comme la veille, il ne fut
rien de tout cela sinon que ce fut une sanction peu ordinaire à laquelle je fis
face. Sœur Marie-Joseph souhaitait me faire payer mon erreur exactement par où
je l’avais commise. En conséquence elle procéda sur moi à une sorte de toilette
fort ardente. À l’aide d’un gant imprégné d’un liquide pimenté, la directrice
me frotta les muqueuses intimes. La chaleur induite fit rapidement place à une
sensation brûlante et insoutenable. Les lèvres de ma vulve, mon clitoris et
même mon anus étaient le siège d’un foyer incandescent me provoquant une
douleur fulgurante.
Je n’étais évidemment pas fière d’être ainsi corrigée en public
dans le réfectoire. Plaintes, cris et pleurs furent mes seules réponses à cette
singulière toilette. Même avec ma culotte remise en place, ma zone intime me
cuisait encore. Seule consolation, les marques d’estime que je reçus de toutes
les filles, Mlle Mathilde comprise, une fois retournée dans le dortoir.
Le week-end de consigne allait se terminer. Nous faisions toutes
notre sac et rangions avec application nos affaires.
– Jeunes filles, dit Sœur Thérèse, je vous veux dans cinq
minutes en rang par deux.
Sœur Thérèse venait nous signifier qu’il était bientôt l’heure
de nous rendre à la chapelle pour y suivre la messe dominicale. Nous étions à
Ste-Marie, une institution religieuse et le dimanche matin, suivre l’office
était une condition incontournable et non négociable. À 9h15 précises notre
maîtresse de dortoir vint nous chercher.
– Jeunes filles, dit Sœur Thérèse, vous précèderez les garçons
pour l’entrée dans la chapelle. Vous vous installerez aux premiers rangs à
gauche. Vous, Christine, en qualité de « capitaine de dortoir » vous
veillerez au bon placement de vos camarades et vous prendrez place au premier
rang juste au bord de l’allée centrale ; et vous ferez la quête pour toute
la partie gauche.
– Oui ma Sœur, répondis-je.
Suivre la messe ne m’intéressait pas plus que cela mais il
fallait en passer par là. L’idée de servir la quête me donna un objectif, la
curiosité de découvrir qui serait présent. Car Sœur Thérèse nous avait fait
quelques recommandations quant à notre conduite à tenir durant l’office. Nous
serions aux premiers rangs et arriverions avant l’ouverture des portes. Nous
avions interdiction formelle de nous retourner, autant dire que ne pas obéir vaudrait
à celle ou celui qui contreviendrait une correction et cette correction se
traduirait immanquablement en une nouvelle consigne… un effet « boule de
neige » qu’aucun élève ne souhaitait voir prendre forme.
La chapelle de Ste-Marie était assez vaste pour un lieu de culte
rattaché à un établissement religieux. Nous y pénétrâmes avec le silence qui
sied au respect d’un tel endroit. Même les garçons, jugés plus turbulents, ne
firent entendre que leurs pas glissés, c’est dire si le sermon de Sœur Gabrielle
quant à leur conduite avait été entendu. Une fois toutes et tous à nos places,
Sœur Gabrielle d’un simple mouvement de tête nous engagea à nous asseoir, ce
que nous fîmes de concert et sans aucun bruit.
À 9h25 les portes de la chapelle s’ouvrirent et nous entendîmes
entrer une assistance dont nous ne pûmes évaluer le nombre mais qui semblait
assez fournie. À 9h30 et sur fond d’orgue le prêtre fit son apparition dans la
chapelle, précédant le cortège des Sœurs. Les religieuses s’installèrent dans
leurs stalles situées dans le chœur, tout autour de l’autel. Personnellement je
trouvai ce cérémonial séculaire captivant, comme si le temps était
suspendu ; une bien belle manière de faire le vide dans ma tête, comme si
je remettais le compteur à zéro en faisant là mon examen de conscience sur ma
semaine écoulée. Je me dis alors que cette petite heure avait du bon et louais
presque les Sœurs de cette obligation.
La messe se terminait doucement et je me sentais comme apaisée
intérieurement, en phase avec moi-même. Sur un signal subtil du prêtre, je me
levai avec Nathan pour aller faire la quête. Je pris une grande corbeille et
commençais à passer dans les rangs afin de récolter les offrandes. J’osais à
peine relever la tête et soutenir le regard de l’assistance. Malgré cela je
reconnus le docteur Wagner, la pédiatre attaché à Ste-Marie. À la rangée de
banc suivante ce fut la maman de Magali qui laissa quelques pièces dans la
corbeille. Je m’étonnais de voir autant de fidèles extérieurs à Ste-Marie
présents à cette messe, d’autant qu’il ma paraissait que ces personnes avaient
toutes un lien avec les élèves de l’école.
Quelle ne fut pas ma stupeur lorsque je découvris au rang
d’après ma belle-mère assise aux côtés de Christelle ma voisine et de son fils
Lucas. À l’évidence le secrétariat de Ste-Marie, en la personne de Sœur
Marie-Madeleine, avait convié parents et tuteurs pour cet office dominical de
9h30. J’esquissais un sourire de circonstance à ma belle-mère ainsi qu’à ma
voisine et son rejeton, non pas que leur présence me déplût mais c’était plutôt
la surprise qui me guidait. Au fond de moi j’étais quand même fière de
participer activement au bon déroulement de cette messe. La seule petite ombre
était peut-être la présence de ma belle-mère car cela était synonyme de repas
avec elle le midi. Je n’allais pas pouvoir être seule pour la suite de ce
dimanche mais j’y gagnais la quasi garantie de me faire inviter.
Avant de clore l’office le prêtre fit quelques annonces à but
exclusivement religieux et réserva quelques prières spéciales.
– Nous prierons spécialement, dit le prêtre, pour Mlle Mathilde.
Elle a failli dans sa tâche. Que Dieu tout puissant lui accorde sa miséricorde.
Nous prierons aussi pour Christine Farell. Elle est entrée en tentation. Que
Dieu tout puissant ait pitié d’elle dans son chemin de rédemption.
Si Mlle Mathilde ne pensait pas être citée par le prêtre, je
m’attendais encore moins à me voir jetée en pâture pour une faute dont personne
ne comprenait la cause, donc la gravité, tant l’ambiguïté de la formulation
était réelle. De plus, les présences conjuguées de ma belle-mère, de Christelle
et de Lucas me gênaient. J’en étais aux sentiments qu’on ne mélangeait pas les
genres et que ce qui s’était passé dans le secret du dortoir des filles ne
saurait être mêlé à mes affaires de famille ou de voisinage.
Le coup de grâce fut donné par Sœur Marie-Joseph elle-même. La
messe était dite et le prêtre s’en était reparti dans sa sacristie. La
directrice n’était plus donc tenue par le déroulement immuable et strict de la
liturgie. Elle s’avança devant l’autel et commença à remercier l’assistance,
principalement composée de parents, d’être venue.
– Je voudrais citer notre jeune professeure Mlle Mathilde,
annonça Sœur Marie-Joseph. Certains d’entre vous qui la connaissent ont pu
s’étonner de sa présence dans les rangs parmi nos élèves. Ce n’était là que la
conséquence logique de la sanction qui l’a visée hier. Mlle Mathilde n’a pas su
se maîtriser ni maîtriser ses nerfs. Elle en a été donc quitte à partager
l’ordinaire des élèves dont elle se pensait supérieure. Mlle Mathilde s’est
bien conduite durant cette leçon de modestie et a traversé l’épreuve avec
courage et dignité.
En quelques mots, tous ceux qui connaissaient les usages en
vigueur à Ste-Marie avaient compris par où était passée la jeune professeure.
Les plus initiés savaient même qu’elle avait forcément été déculottée et
fessée.
– Mlle Mathilde, continua Sœur Marie-Joseph, vous avez bien
mérité. Vous pouvez reprendre la place qui est la vôtre et que vous n’auriez
jamais dû quitter.
Mlle Mathilde sortit du banc des élèves et alla s’asseoir deux
rangées derrière en compagnie du personnel non religieux de Ste-Marie, sa
présence était désormais admise à nouveau au sein des adultes et grandes
personnes.
– Je voudrais également citer Christine Farell, enchaîna Sœur
Marie-Joseph.
Ma citation n’augurait rien de bien bon. La directrice venait de
faire un résumé de la situation de Mlle Mathilde, elle risquait de balayer des
pans entiers de mon intimité.
– Cette jeune fille a été surprise pas plus tard que ce matin en
train de se donner du plaisir.
Ce disant Sœur Marie-Joseph se signa comme si ce qu’elle nommait
était une chose impie et pouvait la perdre.
– J’ai moi-même ôté le mal qu’elle se faisait en elle et bloqué
toute propagation en lui appliquant un traitement de choc. Il ne lui reste plus
qu’à demander le pardon de notre Dieu tout puissant.
Sœur Marie-Joseph était en train de me faire un procès en règle
d’exorcisme ou ça avait tout l’air de lui ressembler. Seul le prêtre qui avait
pris ses distances rappelait que les méthodes séculaires de Ste-Marie n’avaient
pas encore connu la rénovation du Concile Vatican II.
Ce fut à ce moment-là que je pris réellement conscience de la
grave faute que j’avais commise. Si pour moi la masturbation était une chose
admise pour la femme adulte que j’étais, je reconnaissais en avoir un peu abusé
dans le dortoir mais cela restait tout de même confiné à l’intimité de notre
chambrée et entre filles. Par contre, aux yeux des religieuses, l’onanisme
était considéré comme une sorte de luxure, donc un péché capital. Autant dire
que nous n’étions pas dans le même monde et ne le serions jamais.
– Jeune fille ! intima Sœur Marie-Joseph. Veuillez sortir
du banc et vous approcher.
Timidement j’obéissais à la directrice. Sans doute
souhaitait-elle que je fasse pénitence publique en réclamant le pardon. Ce
serait une chose vexante mais un moindre mal en rapport avec tout ce que je
venais de penser quant aux approches de Ste-Marie sur la question de la
masturbation. Sœur Marie-Joseph saisit un prie-Dieu et l’installa devant
l’autel, là où nous nous trouvions. Elle me positionna de dos à l’assemblée.
« Au moins je prierai et demanderai pardon sans faire
face », me dis-je, « Ce sera là un moindre mal ».
Alors que je me conditionnais à bêtement répéter des phrases
toutes faites de pénitence, Sœur Marie-Joseph me courba un peu plus sur le
prie-Dieu de sorte que mes coudes y prissent appui. D’un geste la religieuse me
souleva la jupe et m’en fit comme une capuche sur le dos. En un instant il ne
fut plus un mystère, ni pour moi ni pour l’assemblée, que ma repentance passait
par tout autre chose que des mots pieux ou suppliques.
Calée comme j’étais, je présentais mes cuisses et ma culotte à
tout le monde. Si jusqu’alors seules les filles ou mêmes les garçons avaient pu
me voir, ils étaient mes alter ego. Mais là, il y avait des parents, hommes et
femmes, qui étaient même des contemporains. Il y avait aussi Lucas et peut-être
même d’autres frères ou sœurs d’élèves. De vexante ma situation devenait
subitement et réellement humiliante. Et Sœur Marie-Joseph qui ne cessait de
m’appeler « jeune fille », c’était rabaissant.
– Jeune fille, renchérit Sœur Marie-Joseph, le moment est venu
de faire sortir le Mal qui est encore en vous.
Je sentis les pouces de la directrice s’infiltrer sous
l’élastique de ma culotte. L’évidence était inéluctable, j’allais être fessée
après avoir été déculottée en public. Sœur Marie-Joseph pesa afin de faire
passer mes fesses au tissu qui résista et resta collé à mon entrejambes, sans
doute l’effet du produit pimenté. Lentement le dernier rempart de mon intimité
glissa le long de mes cuisses et s’arrêta au niveau de mes genoux.
Je montrais à présent à toute l’assemblée mes fesses découvertes
qui devaient garder des traces des dernières claques reçues. J’espérais
seulement que le produit orangé utilisé en guise de « désinfectant
spirituel » n’avait pas laissé de marques visibles mais ça, je ne pouvais
malheureusement le vérifier. En pensant à tous les yeux qui devaient être rivés
sur moi à cet instant, j’en eus une montée de larmes ponctuée par de petits
hoquets. Je commençais à pleurer silencieusement et je m’en rendais à peine
compte.
– Par la grâce de Dieu ! invoqua simplement Sœur
Marie-Joseph.
Aussitôt après, une première claque s’abattit sur moi. À la
perception que j’en eus et au bruit qui résonna j’en conclus amèrement qu’il
s’agissait du martinet dont s’était doté la directrice pour me corriger. La
morsure éparpillée des lanières m’atteignit sèchement. La douleur vint
instantanément. Mes chairs étaient tellement meurtries depuis ces deux derniers
jours que j’en avais presque comme les nerfs à vif.
Le deuxième coup de martinet suivit de très près. Je me cambrai
sous le choc.
– Aïe ! criai-je.
Les troisièmes, quatrièmes, cinquièmes et autres coups
s’enchaînèrent sur un rythme soutenu et d’égale puissance.
– Aïe ! Aïe ! Aïe ! répondis-je en cadence.
Sœur Marie-Joseph pouvait être fière. Mes cordes vocales
expiaient fortissimo mes péchés comme si je vomissais le Diable. Ce n’était
peut-être pas le même point de vue que partageait le reste de l’assistance.
Les coups de martinet pleuvaient toujours aussi fort et dru.
J’avais même l’impression que la morsure des lanières avait réveillé ma brûlure
intérieure. Mon anus me piquait, mes lèvres et mon clitoris pesaient lourd.
– Aïeeeee ! émis-je en un long et interminable cri de
plainte.
Sitôt mon cri entendu, ma fessée s’arrêta comme si pour Sœur
Marie-Joseph je m’étais libérée de ma tourmente intérieure en l’éructant.
– Seigneur ! ajouta Sœur Marie-Joseph, ayez pitié.
Si les coups avaient cessé, la douleur que je ressentais n’en
était pas moins vive et tenace. Je crispais encore mes fesses, m’affolant et
jouant impudiquement de mes sphincters malgré moi. J’étais secouée et pourtant
la directrice ne me portait plus aucun coup de martinet. C’était seulement le
mouvement de mes hoquets qui ébranlait mon corps tout entier. Je pleurais à
chaudes larmes, continuant à supplier et ravalant mes larmes.
– Allons dans la paix du tout puissant, dit simplement Sœur
Marie-Joseph en guise de conclusion.
La directrice s’adressait à l’assemblée et signifiait là que
tout était à présent terminé et que surtout, ce week-end de consigne s’achevait.
Pour ma part, je dus rester debout les mains sur la tête avec la jupe toujours
relevée et la culotte aux genoux. Heureusement je ne faisais face à personne.
– Eh bien Christine, vous êtes de loin la plus âgée mais il faut
que vous vous distinguiez !
C’était la voix de ma belle-mère qui me rattrapait.
– Moi qui avais de bonnes nouvelles à vous annoncer,
poursuivit-elle, je crois qu’il faudra les différer.
Ma belle-mère m’entourait en compagnie de Christelle et de
Lucas. Je pleurais toujours silencieusement. J’avais du mal à me remettre de
cette fessée vraiment publique pour deux bonnes raisons. La première en était
évidemment l’accumulation de douleur sur mes fesses depuis deux jours. La
seconde était bien plus sournoise mais réelle, la présence, outre ma
belle-mère, de ma voisine et de son fils. Jamais plus je ne pourrai soutenir
leurs regards comme avant lorsque je les croiserai.
Sœur Marie-Joseph vint heureusement mettre fin à mon supplice.
Elle m’autorisa à me reculotter et à rajuster ma jupe. Curieusement, elle fit
compliment de mon intégration à Ste-Marie et de mon travail fourni durant la
semaine écoulée.
Pour les religieuses la fin justifiait les moyens et seul
comptait le résultat. Mes fautes s’effaçaient puisqu’elles avaient été soldées.
Seul mon avenir semblait compter. Pour moi, l’aventure à Ste-Marie continuait.
Pour suivre le fil de ce récit
Lire ou relire le premier épisode : introduction
Et l'épisode précédent : chapitre 26
La suite, c'est dans quelques temps, Jeancla fait une pause dans l'écriture de ce récit. Il reprendra dans quelques mois.
Des encouragements, des réactions, des appréciations ?
Vous pouvez rédiger un commentaire et le poster sur le site si vous souhaitez que la communauté des lecteurs en ait connaissance.
Vous pouvez également joindre directement Jeancla, par courriel : jeancla@netcourrier.com
Avec ce présent chapitre 27 je me vois malheureusement contraint de mettre un terme à ce qu'on appellera la "saison 1" de la série "Christine". Des impératifs professionnels et saisonniers vont me tenir à l'écart de la quiétude nécessaire à la bonne rédaction des prochains épisodes. Même si j'en ai quelques uns d'avance, je m'oblige à les relire en dernière minute afin de les compléter. Chose que je ne pourrai plus tenir dans les semaines à venir au risque de m’essouffler et d'arrêter la production en plein suspense. J'ai donc préféré conclure la première semaine de Christine... en attendant la suite.
RépondreSupprimerJe devrais être à nouveau actif à la fin de l'été et reprendre un nouvel élan.
De vous lire.
Jeancla
Jeancla,
SupprimerMerci pour cette première saison dont le succès auprès des lecteurs ne s'est pas démenti jusqu'à aujourd'hui.
Nous attendons tous impatiemment la deuxième saison.
Bonne activité estivale.
Bonjour.
SupprimerJ'espère que les lecteurs auront trouvé autant de plaisir à découvrir ces lignes que j'ai eu à les rédiger.
Jeancla
Bravo
RépondreSupprimerVivement la suite
à la rentrée ....!!!!
bonjour Jeancla, ton imagination est débordante. mais il est vrai qu'il est arrivé en une semaine à cette pauvre Christine plus de malheur qu'à Sophie dans tous les romans
RépondreSupprimerde la comtesse de Ségur ! que vont donc bien pouvoir trouver les soeurs de St Marie allié à la belle mère pour fesser à nouveau Christine. Bon été
Merci Georges.
SupprimerDes pistes sont en vue pour la saison 2 et certains paragraphes sont déjà rédigés...
Jeancla
Cette saison une m'a plu. merci à l'auteur. J'attends avec impatiente la saison deux. bonne vacance, et vivement la rentrée!
RépondreSupprimerUn compliment qui fait toujours plaisir, merci.
SupprimerQuant à la saison 2, elle avance...
Bonjour
RépondreSupprimeril y a une date pour le début de la saison 2 , la saison 1 a été super
Merci
Heureux de vous avoir donné satisfaction durant cette saison.
SupprimerQuant à la suivante, la date n'est pas encore arrêtée mais ce ne sera pas avant le mois d'octobre.
Jeancla
Bonjour ,
RépondreSupprimerd'autres épisodes à Ste Marie , avant la rentrée scolaire , épisode vacances peut être pour le début de la saison 2
Saison 1 très très bonne
Bonjour.
SupprimerLa saison 2 commencera exactement là où la saison 1 se termine.
A vos pronostics...
Jeancla
Bonjour ,
Supprimerle retour a la maison va être chaud pour les fesses de Christine et encore vues par Christelle et Lucas
Bonne suite et bon début saison 2
Quand sera la rentrée pour Christine ?
RépondreSupprimerBonjour.
SupprimerLa rentrée (littéraire) pour Christine (le feuilleton) n'est pas prévue avant octobre.
Quant au fil du récit, il me semble que nous sommes à la veille du 15 août... donc assez loin de la rentrée des classes.
Jeancla
Merci
SupprimerJérôme,
RépondreSupprimerVous auriez peut-être dû poser la question directement à Jeancla (voir adresses courriel ci-dessus).
Au plaisir de vous lire,
JLG.
c'est bandan
RépondreSupprimerOui c’est vrai. On se prend à avoir envie d’une bonne fessée. Et au besoin de s’administrer une auto fessée…pan pan cucu. Oui c’est possible je le fais parfois. Tu peux essayer…
SupprimerOui je t’assure on peut se donner tout seul une bonne fessée déculottée et même se donner une correction au martinet.
SupprimerJ'ai adoré cette avalanche de fessées diverses de la part de plusieurs femmes.
RépondreSupprimerBien sur ça n'est qu'une fiction mais elle est très prenante: