dimanche 31 mai 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 120ème tableau

La fessée au gingembre inaugurée par Mam'e Delaniaires fut l'attraction du moment. Et Maman faisait partie de ses détractrices. Tout comme Mam'e Organdi, son amie et couturière attitrée. Et tout ce petit monde gloussait d'amusement...

samedi 30 mai 2020

Fini la liberté - chapitre 3

Jérôme se réveille. Mais quel heure peut-il être ? Il fait complètement noir dans la chambre. Pourquoi ne lui laisse-t-elle pas un radio-réveil ! C'est pénible ! En plus il a une envie pressante. Bon, où sont les WC déjà.... Ah ben non ! Il ne peut pas ... il n'a pas le droit. S' il se fait prendre il va encore morfler. Oh et puis à quoi bon ! Il ne va quand même pas faire au lit... Il se dirige vers la porte bien décidé à braver l'interdit mais il se ravise et se recouche. L'attente n'est pas très longue.
Madame Lepand fait son apparition une dizaine de minutes plus tard. Elle ouvre les volets et la fenêtre en grand puis découvre totalement son pupille.

vendredi 29 mai 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 15

Caroline était une jeune femme d'une vingtaine d'années que Sylvie avait rencontré d'abord virtuellement par l'intermédiaire d'un forum où l'on discutait fessée. Au cours de ces discussions, elle lui avait avoué avoir depuis de nombreuses années un intérêt pour la fessée mais que son expérience était limitée à de rapides fessées administrée par sa mère, véritable punition cependant puisque donnée cul nu malgré son âge. Son fantasme était d'assister à une véritable fessée administrée à une adulte. Au bout d'un certain temps, Sylvie lui proposa de la rencontrer, elle avait une idée pour elle.

jeudi 28 mai 2020

Le journal d'Olga - chapitre 18

Victoire ! Ça y est ! J’ai enfin trouvé un stage en entreprise. Non sans mal, mais ça y est ! Chez Webstore, une société d’informatique spécialisée dans la mise à jour et le maintien de logiciels destinés aux établissements bancaires. Dans la foulée, ils ont aussi pris Elena. Mais pas Iourievna qui fait bien un peu la gueule, mais bon, pour être tout à fait franche, moi, ça m’arrange bien. Parce que c’est toute la journée qu’on est ensemble, elle et moi, en temps ordinaire. À Sainte-Croix. À la maison. Dans la chambre. Dans la salle de bains. Partout. Alors on a beau être jumelles, prendre un peu de champ, de temps en temps, l’une par rapport à l’autre, ça peut pas faire de mal. Au contraire. Ça permet de souffler. Non et puis il y a aussi autre chose.

mercredi 27 mai 2020

La loi est limpide sur ce point

Eh bien, mon garçon, c'est juste une nouvelle façon de faire rire vos camarades de classe. Vous qui aviez pris ce rôle et qui vous y teniez sans manquer une seule occasion. Je ne sais pas si je réussis parfaitement mon effet. Je ne vois ni n'en entends aucun qui s'esclaffe depuis que je vous ai placé ainsi. C'est même un silence absolu que je n'arrive pas toujours à obtenir pendant les cours.

mardi 26 mai 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 34

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

LA FESSEE AU GINGEMBRE.

Bien qu’elle soit tout de même en pleurs après la cuisante fessée administrée par sa tante, Géraldine s’empressa d’obéir en s’agenouillant, genoux écartés sur la chaise à fessées placée au milieu du magasin. L'heure n'était plus aux provocations, ni aux petites répliques ironiques, mais à défaut d'une réelle soumission, à l'acceptation de sa punition.
Elle s'efforça de présenter au mieux son postérieur déjà totalement enflammé et d’une flamboyante couleur écarlate répartie sur toute sa surface. Les traces rouges, visibles, de la fessée débordaient largement sur le haut de ses cuisses non couvertes par ses bas nylon, que les jarretelles tiraient pourtant au maximum. Satisfaite de ce que qu'elle estimait, malgré sa sévérité, une simple séance d'échauffement préparatoire, Astrid revint, toute joyeuse, avec le tube de Dolpic, qu’elle avait ouvert, et une racine de gingembre non épluchée. Elle appela son mari pour lui demander d'apporter un couteau et ordonna à sa nièce :

lundi 25 mai 2020

Les rebelles -chapitre 33 acte 2

Malgré notre discipline zélée de la semaine, le Jeudi soir, la veille de notre retour en France, alors que nous sommes toujours nues, Joana D. nous ordonne de nous rassembler dans la cour pour la fin de notre punition. Notre corps ayant retrouvé sa couleur d’origine, l’infirmière annonce que la flagellation peut être appliquée. Elle nous prend la tension et le pouls et constate que le rythme cardiaque est plus fort que de normal, mais elle estime que l’angoisse en est la raison et confirme l’autorisation de la punition. Le dernier espoir pour une grâce vient de s’envoler !

dimanche 24 mai 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 119ème tableau

Une nouvelle préceptrice  fut recrutée au Pensionnat Ste-Geneviève pour suppléer aux religieuses.
Moiselle Bellklack était une redoutable enseignante pour laquelle l'hygiène morale comptait tout autant que l'hygiène vestimentaire. Une fois par semaine, elle désignait l'un de nous pour une inspection... Mazette !

samedi 23 mai 2020

Fini la liberté - chapitre 2

Madame Lepand se lève alors et se saisit de la règle plate en bois. Elle la tapote contre sa main.
- Mon garçon, nous avons encore un compte à régler maintenant dit-elle en allant s'assoir sur la chaise en bois placée devant une table et qui servira de bureau à Jérôme.
- Approche, viens ici !

vendredi 22 mai 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 14

Elodie désormais gérait l'agenda de sa mère, elle s'aperçut que celle-ci avait rendez-vous chez sa gynécologue le lendemain.
- tu es au courant que tu as rdv demain avec le Dr Durupt
- oui, oui c'est à 10h, pas de problème
- c'est bien, je suis libre, je t'accompagnerai.
Monique marqua un moment d'hésitation.
- ce n'est pas la peine, tu sais je peux très bien y aller toute seule.
Elodie la regarda avec cet air sévère dont elle avait le secret depuis qu'elle s'occupait de Monique et qui en général n'annonçait rien de bon pour ses fesses.

jeudi 21 mai 2020

Le journal d'Olga - chapitre 17

L’été jouait les prolongations. Et l’envie nous est venue, ce samedi-là, d’aller faire à nouveau un saut toutes les six, Lyana, Moana, Elena, Ekaterina, Iourievna et moi, à la plage naturiste de l’Argens.
Le temps de s’installer. D’étaler les nattes de plage. De s’enduire mutuellement de crème solaire et Moana a constaté.
« Ils sont pas là.
 Qui ça ?
 Ben, les jeunes de l’autre fois, tiens ! Ceux qu’avaient mis la pagaille.

mercredi 20 mai 2020

Afin que les choses soient claires

Je t'assure, mon garçon, que cela va te faire beaucoup de bien. Tu peux me faire confiance, j'ai une longue expérience en la matière. Tu n'es pas le premier jeune homme qui loue une chambre chez moi, à qui je doive appliquer ce genre de traitement.
A chaque fois, cela a été salutaire et nos cohabitations se sont déroulées au mieux. Il s'agit juste de te faire comprendre qu'avoir un premier emploi et être indépendant, financièrement s'entend, ne signifie pas qu'il n'y ait pas des règles à respecter.

mardi 19 mai 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 33

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

GERALDINE EXPERIMENTE DE NOUVELLES SENSATIONS


Bon, c’était prévisible. Rodolphe, rendu docile après la magistrale déculottée administrée par sa mère, et ne voulant pas risquer une fessée supplémentaire, se laisse sagement frictionner les fesses au Dolpic. Cette friction lui met le postérieur en feu pour la soirée. Il danse d'un pied sur l'autre pendant que Clarisse lui malaxe le derrière à pleine main.  sans ménagement
– « Aaaah ça cuit, maman ! Ça cuit ! Ne frotte pas si fort s'il te plaît... !!
– Evidemment que ça cuit... C'est fait pour ça mon chéri... »

lundi 18 mai 2020

Les rebelles -chapitre 33 acte 1

Depuis ma fessée aux orties de la part de Lady Eloyce H., je ne me confronte plus à elle, ni même à ses amies, qui n’hésitent pas à nous rabaisser dès qu’elles le peuvent, se sachant intouchables à contrario de nous. On ne compte plus les mains aux fesses, ni les réflexions désobligeantes ou injures. Nous nous contentons de baisser les yeux sans répliquer.

dimanche 17 mai 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 118ème tableau

Maman multipliait les séances  comportementales chez Moiselle Tarmack, collègue et amie de Moiselle Grossmiche dans l'espoir d'une amélioration de ma situation. Mais ce n'était pas gagné... Loin de là !

samedi 16 mai 2020

Fini la liberté - chapitre 1


Jonas, un nouvel auteur publiant dans ce blog et j'espère pour longtemps. C'est le premier chapitre. Il y en a quatre d'écrits. N'hésitez pas à faire savoir à Jonas, dans vos commentaires, si vous souhaitez lire le cinquième, puis le sixième... JLG

Lorsque l'on sonne à la porte, Jérôme, passe timidement sa tête à travers la porte après l'insistance de la personne derrière la porte. C'est sa propriétaire Madame Lepand qui lui rend une visite surprise.
- Bonjour jeune homme comment allez-vous ? Puis je entrer, s'il vous plait ?
- C'est que ... Je ... je... je viens de me lever bredouille Jérôme.

vendredi 15 mai 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 13

Sylvie était dans son jardin quand elle perçut un bruit qui lui était familier, un son qu'elle aurait reconnu entre mille, celui d'une main qui claque sur un derrière déculotté. Cela venait de chez sa voisine et amie Isabelle, ce n'était pas surprenant.
Sylvie connaissait depuis longtemps son goût pour la fessée, c'est d'ailleurs ce qui les avait rapprochées, elle fessait régulièrement son mari Gérard et Isabelle, célibataire endurcie, claquait aussi bien les fesses de ses amants que celles de ses amies où même subordonnées. Elle était cadre infirmière dans un centre de rééducation et elle profitait de son statut pour plier à ses volontés les jeunes infirmières ou les aides-soignantes, plus d'une était ressortie de son bureau après son entretien annuel avec les yeux rougis et une paire de fesses brûlantes sous la blouse.

jeudi 14 mai 2020

Le journal d'Olga - chapitre 16

C’est toujours un moment très particulier, la rentrée de septembre. D’abord, parce qu’il y a des nouveaux. Qui sont dans leurs petits souliers. Si, en effet, on les a inscrits à Sainte-Croix, c’est qu’ils avaient besoin d’être repris en mains. C’est que leurs parents n’arrivaient plus à en venir à bout. Ou que leurs résultats scolaires étaient calamiteux. Alors ils ont la boule au ventre. Ils savent à quoi ils s’exposent, s’ils dérapent. Ils en ont suffisamment entendu parler : au moindre faux pas, à la moindre incartade, ils auront droit à une correction en règle. Et, dans la grande majorité des cas, tout nus. Devant tout le monde. Profs, élèves, personnel administratif et personnel de service réunis pour la circonstance. Vraiment pas de quoi pavoiser.

mercredi 13 mai 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 32

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

CUISANT RETOUR A LA MAISON POUR RODOLPHE .

 Cette intervention inattendue et explosive sidère tout le monde, et Robin en particulier. Il était loin de s'attendre à ce que Walter soit son sauveur et se demandait quelle pouvait bien être la raison de son intervention éruptive. Certainement pas un geste de clémence à son égard, les fessées chez eux claquaient à tour de bras sur les fesses de l'une comme sur celles de l'autre... En fait, il s’en fichait pas mal. Le mari si calme et posé d'habitude, devait être agacé de ne pas pouvoir cuver tranquillement son genièvre, et de voir sa femme “s’amuser”, comme il disait, sans se soucier de lui.

mardi 12 mai 2020

Benoit chez Tatie - chapitre 9

Et toujours les mêmes humiliations. Pour Bertrand en blouse et culotte courte en classe de seconde et surtout sans espoir de changement prochain. Jusqu’à l’an dernier il pouvait espérer que quand il aurait quinze ans, ou seize ans, ou dix-sept ans, sa situation évoluerait et que sa mère reconnaisse enfin qu’il n’était plus un enfant.
Mais, avec Benoit à la maison soumis aux mêmes contraintes à plus de dix-neuf ans, culotte courte, fessée, coucher à 20h, incapable ou plutôt interdit de se laver ou s’habiller seul, aucun espoir que pour lui Bertrand cela soit différent. Devra-t-il aussi porter des culottes courtes et recevoir la fessée à vingt ans ? 

lundi 11 mai 2020

Les rebelles -chapitre 32

Lors de notre rentrée à Ste CROIX, les retrouvailles sont heureuses entre copains copines où notre récent confinement et les punitions qui en ont découlées, sont les principaux sujets de conversation.
Notre proviseure, Fabienne D. nous réunit et nous informe qu’il n’y aura pas d’examen cette année et que notre diplôme de BTS nous sera attribué sur dossier en fonction des résultats obtenus tout au long de l’année.

dimanche 10 mai 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 117ème tableau

Mes facéties continuaient. Et les fessées aussi ! "Les Trois Grâces" se réunirent en triumvirat  pour statuer sur notre avenir scolaire. Sans appel et le verdict fut cuisant. Pensez donc ! L'occasion était trop belle. "Alea jacta est" comme dirait l'autre.

samedi 9 mai 2020

Madame Caroni - chapitre 45

« Es-tu sûre ? Il y a peut-être une raison qui m’a échappée ?
– Oh non Madame, je vous l’assure, j’ai été sage. J’ai obéi »
Il y avait de la crainte dans la voix de Maïlis. Madame Farette ne voulait pas continuer à faire inutilement pression. Il ne fallait pas que la jeune femme ait peur de recevoir la fessée quand il n’y avait pas de raison.
« Ne crains rien. Tant qu’il n’y a pas de motif évident, tu ne risques pas de recevoir une fessée. Non, si je t’ai faite attendre, c’est pour la lettre.

vendredi 8 mai 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 12

Elodie était rentrée à la maison sans culotte, c'était une sensation un peu bizarre de sentir l'air frais s'engouffrer sous sa jupe, ses fesses encore chaudes de la fessée de Sophie appréciaient cette caresse. Monique marchait à côté d'elle tenant son paquet cadeau, un martinet numéro 2 qui allait trouver sa place accroché dans la cuisine.
- j'ai contrôlé ton agenda, demain matin, tu n'as pas de rendez-vous, nous irons voir mademoiselle Hélène pour ton épilation.
Monique essaya de protester
- euh, tu es sûre que c'est nécessaire...

jeudi 7 mai 2020

Le journal d'Olga - chapitre 15

Le naturisme ? On n’était pas franchement motivées, Elena, Iourievna et moi.
« Parce que se faire reluquer pendant des heures par de vieux pervers…
Ekaterina éclatait de rire.
‒ Mais c’est pas ça du tout !
Ce que confirmait sa copine Lyana.
‒ Personne s’occupe de toi.
Et sa sœur Moana enfonçait le clou.
‒ Essayez ! Au moins une fois ! Faites-vous votre opinion par vous-mêmes. » 

mercredi 6 mai 2020

Benoit chez Tatie - chapitre 8

Le reste des vacances à la mer se passa sans surprise. Toujours la même routine, les mêmes rituels humiliants.
Coucher à 20h30, sauf quand il y avait sieste et alors c’était l’autorisation de veiller jusqu’à 21 h, et les jours de plage où par contre le coucher était avancé à 20h sous le prétexte que les jeux sur la plage fatiguent les enfants.
On avait fêté fin juin les 15 ans de Bertrand; on fêta en juillet les 13 ans de Michel. On célébrera bientôt, en août, les 19 ans de Benoit.

mardi 5 mai 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 31

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

LA REVANCHE DE BETTINA.

Claquant des talons et tortillant joyeusement du derrière, Clarisse se dirigea vers la grille du jardin en faisant un petit signe de la main en direction de son fils .
– « A tout à l'heure mon chéri... Avec, j'espère, une paire de fesses bien rouges dans ton slip pour la fessée qui t'attend quand tu vas rentrer ! ».
Elle marqua un temps d'arrêt avant de partir et lança un clin d'œil d'encouragement à la maîtresse des lieux.

lundi 4 mai 2020

Rééducation d'une jeune fille au pair

Sachez, Mademoiselle, que j'en ai assez de vos insolences. Quand Madame votre mère vous a confiée à moi durant votre apprentissage, je vous avais prévenue que je serai très exigeante quant à votre comportement.
Je crois pourtant que votre éducation vous avais appris la déférence que vous devez à vos aînés mais, sans doute, avez-vous décidé que vos vingt-trois ans passés vous donnaient le droit d'oublier les bonnes manières qu'on vous avait inculquées. Avec moi, vous allez les réapprendre sans délai.

dimanche 3 mai 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 116ème tableau

Sur les conseils d'une amie, Maman prit rendez-vous avec Mademoiselle Grossmiche, une spécialiste du comportement juvénile pour remédier à ma paresse. La première séance, après les présentations d'usage, débuta de façon cuisante et inattendue. En deux temps, trois mouvements, la doctoresse me positionna sur ses genoux et débuta... la leçon ! Quelle poigne.

samedi 2 mai 2020

Madame Caroni - chapitre 44

Quand la règle entra en action, Marlène se débattit assez fortement pour libérer sa main que Madame Farette tenait sous son ventre. Elle en protégea son postérieur, ce qui finit d’exaspérer sa cheffe d’atelier. Sa main fut replacée sous son ventre et Madame Farette referma plus fermement sa poigne sur le bras.

vendredi 1 mai 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 11

L'éducation de Monique

Elodie avait eu le temps de réfléchir pendant que sa mère était en retenue chez madame Costa. Il lui fallait reprendre l'éducation de sa mère et les méthodes de madame Rose et de madame Costa semblaient appropriée à la situation en plus son caractère dominateur et intransigeant collait bien avec une éducation stricte. Elle regarda sa mère exposant ses fesses rougies, cette situation qui aurait pu paraître bizarre à un inconnu pénétrant dans la pièce lui semblait naturelle, Monique avait accepté sans beaucoup de résistance de recevoir une fessée déculottée et elle se surprenait à aimer donner la fessée, que la punie fut sa mère, une dame de 45 ans ne changeait rien à l'affaire, cela donnait même du piquant à la correction. Le repas était prêt, elle appela Monique