mercredi 6 mai 2020

Benoit chez Tatie - chapitre 8

Le reste des vacances à la mer se passa sans surprise. Toujours la même routine, les mêmes rituels humiliants.
Coucher à 20h30, sauf quand il y avait sieste et alors c’était l’autorisation de veiller jusqu’à 21 h, et les jours de plage où par contre le coucher était avancé à 20h sous le prétexte que les jeux sur la plage fatiguent les enfants.
On avait fêté fin juin les 15 ans de Bertrand; on fêta en juillet les 13 ans de Michel. On célébrera bientôt, en août, les 19 ans de Benoit.

Les séances de plage se déroulaient toujours de la même façon. Départ pour la plage le plus souvent dans ces ridicules salopettes courtes, arrivée sur la plage et déshabillage intégral par Tatie. Benoit passant souvent le premier devait rester tout nu le temps que ses cousins soient déshabillés. Puis Tatie leur enfilait leur petit slip de bain et les envoyait jouer dans le sable à côté d’elle. Un peu plus tard, l’autorisation d’aller à l’eau pour barboter, puis jeux de ballon ou avec leurs petites voitures.
Benoit rageait de ne pas pouvoir aller nager, mais c’était totalement interdit par Tatie. Le fait qu’il sache nager n’y changeait rien.
Un jour, Tatie estima que Bertrand était allé trop loin; elle se précipita vers lui, le ramena en le tirant par l’oreille, lui retira son slip de bain et lui administra, en public, une superbe fessée. Bertrand se débattait, criait, pleurait mais Tatie continuait à claquer les fesses déjà bien rouges. Avec la promesse du martinet en rentrant à la maison. Ce qui fut fait. Et ce qui n’incitait pas Benoit à désobéir lui aussi…

Les fessées étaient sévères. Le garçon puni s’allongeait sur les genoux, Benoit le plus grand avait les mains sur le sol ce qui l’empêchait de se protéger les fesses, et Tatie fessait longuement et fortement sur chaque fesse, les cuisses. Le garçon puni, y compris Benoit à 19 ans, ne pouvait s’empêcher de crier, pleurer, demander grâce mais rien n’y faisait. Une fois le garçon allongé sur ses genoux, Tatie avant et après la fessée lui faisait la morale et lui rappelait le motif de la punition. Le puni devait ensuite demander pardon quand il avait fini de sangloter. Tatie essuyait le visage du garçon et le mouchait comme un bébé.
Cela était en général suivi d’une mise au coin plus ou moins longue, mains sur la tête ou dans le dos, debout ou à genoux.
Cela pouvait aussi être suivi d’une fessée au martinet, cette fois debout, courbé sous les bras de Tatie et cela faisait mal ! Sans compter les traces sur les cuisses bien visibles pour un garçon en culotte courte.
En plus de ces corrections, il y avait souvent des lignes à copier. Et c’est fastidieux. Et la main devenait douloureuse. Pour les petites fautes, 100 lignes (4 pages) ou 200 lignes. Mais cela pouvait être beaucoup plus et priver le puni de « récréation » pendant plusieurs jours. En effet il n’était pas question de décaler l’heure du coucher pour finir une punition, qui se continuait le lendemain.

Le voyage de retour se prépara….par un envoi au lit avant 20 heures en prévision de la fatigue du voyage. Habillage classique avec chemisette, culotte courte, sandales en cuir. La famille s’installe dans le compartiment et Tatie leur sort petites voitures et livres.
Peu avant le départ du train deux jeunes gens, un garçon et une fille, s’installent du côté couloir. Ils ont probablement l’âge de Benoit, peut-être un peu plus jeunes. Tous les deux en jeans, vêtement totalement prohibé dans la famille.
Le jeune homme regarde avec surprise Benoit et sa culotte courte, mais après tout c’est les vacances. Les deux jeunes sont malgré tout surpris d’entendre Tatie:
« - Les petits, soyez sages pendant le voyage
- Oui maman, oui Tatie. »

Comme à l’aller, au bout de deux heures environ, Tatie appelle les deux cousins et les emmène aux WC. Benoit reste seul dans le compartiment. Le jeune homme ne peut s’empêcher de prendre contact:
« Bonjour, comment tu t’appelles ?
- Bonjour monsieur, je m’appelle Benoit »
Le jeune un peu amusé d’être appelé monsieur par un garçon de presque son âge.
« - Et quel âge as-tu ?
- J’ai 15 ans
- Ah je te croyais un peu plus vieux. Ta maman a l’air sévère.
- C’est ma tante. Oui un peu »
Benoit n’a pas osé donner son âge véritable et il espère que le jeune homme ne demandera pas l’âge des cousins, en présence de Tatie, ce qui ferait apparaître son mensonge.
Tatie revient et demande en désignant Benoit:
« - Le petit a été sage ?
-Tout à fait madame.
- Bien, Benoît, viens avec moi »
Les deux jeunes sourient en voyant Benoit être qualifié de petit.
Au retour des toilettes, Tatie remarque que Bertrand et Michel s’amusent à lancer sur la tablette leurs petites voitures l’une contre l’autre.
Elle tire Michel par l’oreille, le courbe et lui donne deux claques sur chaque cuisse.
Même punition pour Bertrand. Les deux garçons retournent s’asseoir en retenant leurs larmes.
Benoit rougit en se demandant si les deux jeunes gens savent qu’il est soumis aux mêmes punitions….

Peu avant l’arrivée en gare, Tatie :
« - Les enfants, ce soir coucher tôt.
- Oh non, maman, pas encore
- Ne discutez pas. Le voyage est fatiguant pour des enfants.
- Maman…
- Bertrand, tu veux une fessée ?
- Non, maman, pardon maman. »
Et à l’arrivée en gare, Tatie rectifie la tenue des enfants et:
« - Les garçons, dites au revoir poliment
- Au revoir monsieur, au revoir mademoiselle »

Et en effet ce soir-là, coucher avant 20 heures. Le lendemain matin, comme toujours deux heures de devoirs de vacances. Une nouveauté: Il leur est demandé de faire une rédaction sur leurs vacances à la mer.
La routine à la maison reprend.
On fête les 19 ans de Benoit. Mais c’est un jour de sieste et Benoit pleurniche dans son lit de voir qu’on lui impose la sieste à 19 ans. Quand cela va-t-il s’arrêter ?

Mademoiselle Paget vient un après-midi faire le point avec Tatie. Benoit a dû mettre sa blouse et réciter des leçons pendant que son « professeur » examinait ses devoirs de vacances. Ill fut ensuite envoyé jouer pendant que mademoiselle Paget et Tatie discutaient du programme scolaire pour lui. Pas du tout prévu qu’il participe à la discussion et donne son avis.

Un peu avant la rentrée des classes, Bertrand demanda puis supplia sa mère de le dispenser de la blouse pour aller au lycée. Il allait rentrer en seconde.
Sa mère restait inflexible. Bertrand insista plusieurs fois avec pour conséquence au début une paire de gifles, puis comme il continuait presque tous les jours, de bonnes fessées, des séances au coin et des quantités de lignes à copier du genre « un enfant bien élevé doit porter un tablier à l’école ».
Bertrand enrageait de devoir faire ce genre de punition écrite à plus de quinze ans…..

Les rendez-vous de pré-rentrée s'enchaînèrent.
Passage chez le coiffeur, bien entendu, Tatie laissa les trois garçons à la garde du coiffeur qui savait parfaitement ce qu’il avait à faire. Pour la première fois Benoit et Bertrand échappèrent à la planche posée sur le siège, mais pas Michel qui en fut mortifié. Une fois coiffés, les garçons retournèrent s’asseoir en attendant que Tatie vienne les chercher. Pas question qu’ils sortent dans la rue sans la supervision d’une grande personne. Benoit eut la mauvaise idée de chahuter un peu avec Michel juste au moment où Tatie revint. L’un et l’autre furent courbés sous les bras de Tatie pour recevoir deux bonnes claques sur chaque cuisse. Il y avait d’autres enfants, tous beaucoup plus jeunes, dans la pièce qui regardaient avec étonnement ou amusement ces « grands » recevoir une fessée.
Michel pleurnichait. Benoit se retenait de pleurer et évitait le regard des personnes présentes.

Le deuxième rendez-vous fut pour le magasin de vêtements. Benoit n’avait pas grandi et n’avait pas de besoin particulier; Michel pouvait mettre les anciens vêtements de son frère. Par contre, Bertrand avait effectivement grandi depuis l’an dernier et il eut droit à deux trois nouvelles culottes courtes, pyjamas enfantins, chaussettes…..
La jeune vendeuse de l’an dernier n’était pas là au grand soulagement de Benoit qui redoutait une nouvelle humiliation.
La commerçante discutait avec Tatie pendant que celle-ci essayait à Bertrand ses vêtements.
« - Je vois que vos garçons ont grandi. Quel âge ça leur fait ?
- Répondez les enfants
- J’ai treize ans madame
- J’ai dix-neuf ans madame
- J’ai quinze ans madame.
- Oh ils deviennent des grands garçons. Des petits jeunes gens bientôt
- Non, pas encore, ce sont encore des enfants.
- Ils ont été sages pendant les vacances ?
- Pas toujours. Vous savez ce que c’est à cet âge-là. Ils ont encore besoin de bonnes fessées pour obéir. »

Le troisième rendez-vous fut la visite annuelle chez le médecin, pardon, le pédiatre.
Il y avait du monde dans la salle d’attente. Benoit et Bertrand restèrent sagement debout, mains dans le dos, alors que Michel fut d’autorité installé sur les genoux de maman. Pas très glorieux à son âge, et ça le faisait rougir.
Les personnes présentes étaient intriguées par l’âge des garçons et pensaient que seul Michel, à la rigueur, pouvait être concerné, mais à la surprise de tous ils rentrèrent tous les quatre dans le cabinet de consultation quand ce fut leur tour.
Après avoir salué la pédiatre et ordonné aux enfants de dire bonjour, Tatie entreprit de déshabiller les garçons. Elle commence par Benoit. Chemisette, chaussures, chaussettes, culotte courte, slip. Puis Bertrand, puis Michel. Les trois garçons se tenaient droit, nus tous les trois. Bertrand et Michel avaient les mains dans le dos alors que Benoit, par un réflexe stupide, avait ses mains croisées devant son sexe. Tatie, sans dire un mot, s’approcha de lui, lui repositionna ses mains derrière le dos et lui administra quatre claques bien sonores sur la cuisse.
Les enfants passèrent chacun leur tour sous la toise, sur la balance, et sur le lit pour une auscultation complète.
En s’occupant de Bertrand, la pédiatre :
« - Oh je vois qu’on n’a pas été un garçon sage »
Bertrand avait reçu la veille une nouvelle fessée au martinet en protestant de nouveau sur le port de la blouse au lycée.
Quand ce fut le tour de Benoit;
« - Voyons voir ce grand garçon. Je ne vois pas trace de punition récente. Il est plus sage maintenant ?
- Pas toujours, mais un peu plus prudent ces derniers temps. Vous avez vu tout à l’heure quand j’ai dû le corriger.
- C’est vrai. Peut-être comprend-il qu’il vaut mieux obéir. N’est-ce pas, mon grand ?
- Oui docteur »
Benoit rougissant pendant que la pédiatre l’examinait, lui tapotai les joues, les cuisses comme à ses cousins.
Après l’examen, les garçons se tenaient bien droit, mains dans le dos.
L’un après l’autre fut rhabillé, Tatie les faisant ensuite s’asseoir sur le lit de consultation pour leur mettre chaussettes et chaussures. Elle fut appelée par la pédiatre pour signer un document. Benoit eut la malheureuse idée de se pencher pour nouer ses lacets. Tatie fut immédiatement sur lui, avec une bonne paire de gifles, puis le fit lever, claqua plusieurs fois l’arrière de ses cuisses et fit rasseoir un Benoit mort de honte.
« - Benoit, tu devrais savoir maintenant que c’est Tatie qui habille, pas les enfants. Tu auras le martinet en rentrant. »
Elle lui laça ses chaussures et lui redonna deux claques sur l’avant des cuisses.

Retour à la maison, passage obligé aux toilettes et fessée au martinet pour Benoit.
Comme d’habitude, pleurs et supplications n’empêchent pas les lanières de cingler fesses et cuisses. Benoit est d’autant plus mortifié qu’il trouve la punition exagérée pour avoir simplement tenté de lacer ses chaussures tout seul !

Vint le jour de la rentrée des classes. Pour Benoit, Mademoiselle Paget ne devait venir qu’en début d’après-midi; il accompagna donc Tatie et ses cousins au lycée. Et bien entendu, Bertrand et Michel portaient leur habituelle blouse d’écolier.
Bertrand eu droit de nouveau à quelques moqueries au sujet de ses éternelles culottes courtes et de sa blouse si humiliante. Dans son malheur, il eut le surprise de voir dans sa classe un garçon venant d’un autre établissement lui aussi en culottes courtes. Pas de blouse, mais en culottes courtes.
Deux garçons habillés ainsi en classe de seconde, c’était inattendu !
Les moqueries ne durèrent que quelques jours, ses camarades de classe étant plus enclins à le plaindre. Seuls des garçons plus jeunes, des sixième en pantalon, venaient voir à la récréation ces deux « grands » en culottes courtes.
Et un professeur de sciences sadique qui s’amusait à faire venir au tableau l’un de ces deux garçons ce qui provoquait généralement quelques commentaires dans la classe:
« - Oh les belles cuisses ! Il a les genoux sales ! Tu crois qu’il aura une fessée en rentrant à la maison ? « 

De retour à la maison, Benoit fut à son tour habillé de sa blouse et installé pour copier une leçon d’histoire, en attendant sa première leçon.
Lui et Tatie retournèrent chercher les cousins et Bertrand durant tout le trajet ne cessa de se plaindre se sa blouse et fit remarquer qu’il était de nouveau le seul à en porter. Celui lui valut une claque sur les cuisses dans la rue, et une fessée à la maison. Et informé que le soir il aurait encore à écrire 200 fois « un enfant bien élevé doit porter un tablier à l’école ».

Mademoiselle Paget arriva juste à temps pour permettre à Tatie d’emmener les plus jeunes au lycée.
« - Alors mon grand, en forme pour ce premier jour d’école ? Tu as été sage pendant les vacances ? Tu as bien fait tes devoirs de vacances ? Je vois que tu continues à mettre une blouse, c’est très bien »
Tout ce qu’il fallait pour humilier Benoit et lui rappeler qu’il n’était, malgré ses 19 ans, qu’un écolier en culotte courte. Et Tatie amplifia l’humiliation à la « récréation »:
« - Benoit, viens faire pipi. Ta culotte est propre ? Montre àTatie »

Benoit s’aperçut vite à son grand désarroi que le programme concocté par Tatie et son professeur, ou plutôt son institutrice, n’était guère différent de celui de l’an passé et avait beaucoup à voir avec des leçons de fin d’école primaire ou à la rigueur d’entrée en sixième. Et il n’avait rien à dire.
Quand quelques jours plus tard il s’en plaint à Tatie, celle-ci le gronda, le fessa et lui fit copier 100 fois: « Quand je saurai parfaitement mes leçons, je pourrai passer à un programme scolaire plus difficile ».

La routine des trois écoliers s’installa comme l’année précédente. Coucher à 20 heures sauf le samedi, Bonne nuit les petits tous les soirs, toujours lavés, habillés, déshabillés, emmenés aux WC…. et fessés à la moindre occasion.

Un petit incident surprenant malgré tout. Bertrand amena à la maison un mot de son professeur principal demandant un entretien à sa maman. Bertrand fut questionné:
« - Qu’as-tu encore fait ?
- Mais rien maman »
Une gifle
« - Tu crois que ton professeur me convoquerait pour rien ? »
Une autre gifle. Bertrand se mit à pleurer. Il ne comprenait pas ce qui se passait. Ce professeur était plutôt gentil avec lui et il avait de bonnes notes.
Le lendemain après-midi, Tatie rencontra le professeur principal. Benoit et Michel furent envoyés s’asseoir dans le couloir et Tatie entra avec Bertrand.
« - Bonjour monsieur. Que se passe-t-il avec Bertrand ? Il est dissipé en classe ? Il vous pose des problèmes ?
- Pas du tout, madame. Bertrand est un élève attentif et sait bien ses leçons.
- Alors quoi d’autre ?
- Comment vous dire; c’est un peu particulier. Voyez-vous, Bertrand est maintenant un jeune homme de quinze ans et demi, si je ne me trompe pas, et je suis persuadé qu’il serait encore un meilleur élève si, comment dire…
- Je ne comprends pas. A-t-il besoin de cours particuliers ?
- Non ce n’est pas du tout cela. Voilà, je crois qu’il serait beaucoup plus à l’aise en classe et avec ses camarades s’il pouvait éviter de porter cette bouse comme aujourd’hui, comme tous les jours en fait.
- Vous pensez qu’il travaillerait mieux sans son tablier ??
- Oui je le crois sincèrement. Vous ne l’avez pas vu grandir, ce qui est normal pour une maman attentionnée, mais c’est un grand maintenant »
Bertrand n’en croyait pas ses oreilles. Voilà que son professeur conseillait, non réclamait à sa mère de le dispenser de cette horrible blouse ! Il en avait les larmes aux yeux de reconnaissance.
Mais pour sa mère, c’était bien différent. C’était une demande parfaitement incongrue. De quoi se mêlait il ? L’éducation est du domaine des parents, les professeurs devaient se limiter à enseigner. Et qui connaissait mieux son enfant qu’elle-même ?
Elle promit…d’étudier la question.
Le professeur reprit:
« - Il y a peut -être aussi un autre problème….
- De quoi s’agit-il ? »
Le professeur ne répondit pas, mais regarda successivement et plusieurs fois cette mère d’élève et les genoux nus de Bertrand.
Tatie finit par comprendre.
« - Ah non, ça ce n’est pas possible! Il est encore bien trop jeune. Il reste en culottes courtes tant que je l’aurai décidé. Il serait ridicule en pantalon long! »

Le professeur soupira et ce fut la fin de l’entretien.

Au retour, Bertrand tenta de nouveau
« - Maman, je peux aller au lycée sans blouse ? »
Une claque
« - Bertrand, tu dois demander la permission pour parler à une grande personne. Je ne veux plus t’entendre parler de ton tablier. Je verrai plus tard. Va faire tes devoirs. »

A SUIVRE


Voyons, voyons...

Si nous n'en sommes plus au premier chapitre, c'est qu'il y en a eu un autre avant. Mais où est-il ? Ah oui, le voilà : chapitre 7

La suite ? Eh bien elle est annoncée

Il y aura un prochain épisode.

Alors ? Vos impressions ?

Si je vous dis que Bruno les attend avec impatience, ça vous étonnera vraiment ? Vous pouvez également lui en faire part directement : Bruno

6 commentaires:

  1. Henriette, Ramina, Jojobonno,
    Merci de vos appréciations. Auriez vous vécu ou connu une éducation similaire à celle donnée par Tatie ?
    Bruno

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  2. Moi j'ai bien connu le port de la blouse , en primaire tout le monde portai une blouse , mais vers l'adolescence j'avais honte de porter la blouse puisque mai 68 avais passer par là et un vent de liberté avec , et après un élève sur deux portait la blouse et moi ma mère me l'imposais toujours
    La honte pour moi c'était de porter des anciennes blouse de ma sœur ainée
    L'été je portais aussi des culottes courte et avec des longues blouses de ma sœur j'avais l'air d'une fille ho la honte
    Pour la fessée je l'ai connu à l'école avec une maitresse d'école sévère
    Depuis j'ai pris gout d'être puni en blouse et culotte courte , mais dur de trouver une bonne fesseuse , c'elle que j'ai connu aime inverser les rôles

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  3. Moi, j'ai porté des culottes courtes jusqu'à 16 ans passés et j'étais puni au martinet sur les cuisses nues. C'était dans les années "1960-début 1970" ; par contre, je n'ai porté la blouse en classe que jusqu'en 5°.

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  4. Bonjour Bruno
    Si tu veut dialoguer directement avec moi voici mon mail bcr5955@yahoo.fr et je peut même t'envoyer des photos de mes blouses
    JOJO

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  5. Bonjour ou bonsoir, c'est selon...
    T'attends,j'aimerais pouvoir venir vivre chez Vous.
    Est-ce possible pensez Vous Tatie?

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  6. Dans les années "1960", on trouvait encore des garçons de 14-15 ans en culottes courtes en classe de seconde même s'ils étaient très minoritaires ; mais c'était dans des classes non mixtes dans des établisements confessionnels privés

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