LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
GERALDINE EXPERIMENTE DE NOUVELLES SENSATIONS
Bon,
c’était prévisible. Rodolphe, rendu docile après la magistrale déculottée
administrée par sa mère, et ne voulant pas risquer une fessée supplémentaire,
se laisse sagement frictionner les fesses au Dolpic. Cette friction lui met le
postérieur en feu pour la soirée. Il danse d'un pied sur l'autre pendant que
Clarisse lui malaxe le derrière à pleine main.
sans ménagement
– « Aaaah
ça cuit, maman ! Ça cuit ! Ne frotte pas si fort s'il te
plaît... !!
– Evidemment
que ça cuit... C'est fait pour ça mon chéri... »
Ses
larmes redoublent quand, indifférente à ses supplications, elle écarte ses
fesses écarlates à deux doigts pour bien lui enduire la raie. Elle ironise
pendant l'opération.
– « Tu
la sens mieux ta fessée avec ça... hein ?
Une vraie pommade magique, elle augmente la cuisson et la fait durer au moins deux fois plus longtemps. Maintenant tu vas te mettre au coin... et,
interdiction de te reculotter, je veux pouvoir contempler tes fesses en train
de cuire ! Aller, file ! Tu y restes jusqu'au dîner;»
La
consigne était superflue. Etant donné l'état de son derrière, gonflé de claques
et enflammé
au Dolpic, il aurait eu bien du mal à le recaler dans un de ces maudits slips à
fessée, beaucoup trop serrés . Malgré la honte, rester les fesses à l'air
l'arrangeait plutôt.
Pendant
que Rodolphe se faisait transformer le derrière en incendie de forêt, Robin
cuvait sa fessée à plat ventre sur son lit, le slip baissé, un mouchoir humide
sur les fesses dans l’espoir d’en accélérer le refroidissement. Paradoxalement,
à l'inverse de son ami, il regrettait presque que Bettina ne lui ait pas
frictionné le derrière au Dolpic comme l’aurait fait sa mère. Au moins cela
aurait empêché, ou du moins atténué, la formation de “bleus”. Il redoutait en
effet, le retour à St Joseph le lundi suivant, (c'était encore samedi), sachant
qu'il avait peu de chances d’éviter quelques fessées dans la semaine. Il était angoissé de l’effet qu’aurait la main
de certaines surveillantes sur son derrière à ce point endolori. Elles
déculottaient sans pitié et tapaient vraiment fort.
Il se
remémorait le déroulé de l'après-midi. Il avait payé cher ses ragots sur
Bettina, relayés par cet abruti de Rodolphe. Il avait été impressionné par son
extrême sévérité, mais pas étonné de l’attitude toujours aussi cynique de sa
mère, satisfaite de le voir puni... Il repensait au comportement déplacé de Walter,
à l’humiliation d'Edouard à genoux à coté de Gladys, sous la menace d'une
fessée. Mais il retenait surtout, la chance dont avait bénéficié Rodolphe,
emberlificoté dans ses soi-disant astuces, au point d’y emberlificoter aussi les autres et de gagner ainsi du temps
...Ce qui l’avait “sauvé”. Provisoirement, du moins, il ne faisait aucun doute
qu'il n'échapperait pas à la déculottée que sa mère ne manquerait pas de lui administrer en rentrant. Ce en quoi il
ne se trompait pas.
La fin de l’après-midi s’écoula ainsi, Gladys l'appela pour qu'il
descende dîner. Toujours sans pantalon, il n'avait pas reçu l'autorisation d'en
remettre un, Il se reculotta avec d’infinies
précautions. Voulant témoigner de sa docilité après avoir reçu cette magistrale
fessée expiatoire, il prit soin de laisser ses fesses cramoisies apparentes en
ajustant les élastiques de son slip bien tendues dans la raie. Montrant ainsi
qu'il ne contestait pas la légitimité de sa punition. Il descendit lentement
l’escalier, en exagérant le mal qu'il ressentait, reniflant, faisant semblant
de retenir ses larmes et d’avoir du mal à se mouvoir. Ça n'aurait pas été pire
s'il avait attrapé un cancer du derrière !
Cela amusait plutôt Edouard, pas mécontent de l'avoir vu prendre
une telle raclée, mais , l’air méfiant de sa mère et
le regard dubitatif de Patricia, qui était rentrée pour dîner, lui firent
comprendre qu’il ne fallait pas “ pousser trop loin le bouchon “. Il s' assit
donc à table en faisant une grimace qui, elle, n’était pas feinte.
Pendant le repas, Edouard encore méfiant, presque étonné de ne pas
avoir reçu une seule fessée de la journée, et s'attendant à s'en prendre une à
n'importe quel moment, se fit extrêmement discret. Robin les fesses encore
chaudes, écrasées sur sa chaise cannelée, s'efforçait de se tenir
convenablement, sans trop gigoter, pour éviter une nouvelle déculottée.
Patricia était rentrée de chez son amie Géraldine avec qui elle avait passé l'après-midi, en partie dans le magasin
de sa tante, madame Delaniaires où elles avaient assisté à trois démonstrations
de fessées au martinet. Géraldine avait d'ailleurs dû mettre sa plantureuse
paire de fesses à disposition de sa tante pour la dernière. Elle commençait à
s'habituer à ces fessées, destinées à montrer l'efficacité des instruments de
discipline, et s'y prêtait sans rechigner.
La conversation, à table, se déroula essentiellement entre
Patricia et sa mère qui lui raconta, en détail, les événements de l'après-midi. La magnifique fessée de
Robin, l’inconduite de Walter qui s'était saoulé tout seul au Genièvre et la
fuite épique de Rodolphe à coup de pieds au derrière, évitant ainsi sa
correction.
Gladys révéla à sa fille que Bettina avait glissé dans une
conversation, qu'elle utilisait souvent du Gingembre lorsqu'elle voulait
corriger sévèrement son mari. Patricia eu un moment d'étonnement, puis, croyant
à une plaisanterie, finit par éclater de rire.
– « Mais maman... comment ça...du Gingembre ?
... C'est pour faire la cuisine ça... Je ne vois pas le rapport avec la
fessée ?
– Mais si chérie, justement... C'est une épice qui relève les
plats... Tu ne vois pas ce que ça veut dire ?
Après quelques secondes de réflexion, le visage de la jeune femme
s'illumina.
– « Oui... je crois comprendre... Oh mais... non !.. Pas
quand même !!
– Si ! Tu connais
Bettina, toujours à la recherche de nouveauté pour augmenter la sévérité des corrections de
son mari. Et bien elle en trouvé un...Et un bon !..
Elle lui enfonce une racine épluchée de Gingembre dans le derrière pendant qu’elle
lui flanque ses fessées !
– Non !... Sans blague !.. Et bien...elle ne doute de
rien celle-là ! On a trop souvent
tort de la sous-estimer. Il n'y a qu'elle pour
penser à un truc pareil. SI ça fait
l'effet que tu dis, c'est encore mieux qu'un manche de martinet !
– Evidemment, cela doit chauffer et piquer sacrément fort.
– Et de cette manière, les fessées doivent être beaucoup plus
efficaces ! ».
Robin et Edouard, pétrifiés sur leur chaise, venaient, soudain, de
perdre l’appétit en
entendant la conversation. Rentrant la tête dans les épaules en se tassant
sur eux même, pour se faire le plus petit possible. Ils avaient réussi à
rétrécir de dix centimètres chacun avec de soudaines et irrépressibles
picotements au fond de la raie des fesses.
– « Et bien Messiers, qu'est-ce qu'il vous arrive ? On ne mange plus...
On boude ?
Ironise Gladys d'un air détaché.
– « Attention les garçons !.. Si, dans cinq minutes, vous n'avez pas fini
vos assiettes c’est la fessée ! Robin sur
les genoux de sa sœur et Edouard sur les miens ! »
Patricia qui ne peut jamais
s'empêcher de remettre une couche de finition.
--« Et vous avez de la chance, on n'a pas encore de Gingembre
sous la main ! »
Les deux hommes finirent difficilement le repas en serrant les
fesses, muets comme des carpes aphones.
L'initiative de Bettina fit très vite le tour des chaises à
fessée, et ravirent toutes ces dames en quête d'idées originales susceptibles
d' apporter de nouvelles sensations à leurs séances de correction. Celle-ci en était une... et, si l'on
peut dire... une, de taille, en fonction du choix des utilisatrices quant à la
dimension des rondins de gingembre.
Une des premières à en saisir l'opportunité quand elle en prit
connaissance, fut Astrid Delaniaires qui faisait toujours preuve d'une
rigoureuse conscience
professionnelle. Chaque nouveauté dans le domaine de la pratique de la discipline
domestique, faisait l'objet d'une étude approfondie. Elle en informa évidemment
son mari dont le derrière était la destination naturelle, et bien entendu,
Géraldine sa nièce. Le plantureux fessier de la jeune femme, initialement employée par sa tante comme
simple vendeuse stagiaire, était peu à peu devenu et de son plein gré, le champ
d'expérimentation idéal des créations de la maison.
Un peu à l'image de
Bettina, à l'origine de l'idée du gingembre, Géraldine, était friande de
sensations fortes. Probablement en raison de ses origines anglaises et
généreusement pourvue par la nature côté postérieur, elle aimait, tout autant,
se faire sévèrement claquer le derrière qu'administrer elle-même des fessées. Elle ne
pouvait pas mieux tomber avec sa tante qui profitait à volonté de la belle
paire de fesses ainsi mise à sa disposition. Astrid, en bonne commerçante,
n'hésitait pas à multiplier les démonstrations de fessées en public, à la main
d'abord, pour faire apprécier sa maîtrise, puis surtout, au martinet ou au
battoir. Cela lui permettait de prouver la qualité de
fabrication et l’efficacité de ses instruments auprès
d'une clientèle féminine exigeante.
Lorsque Madame Delaniaires vanta, d'autorité, l'utilisation du Gingembre auprès de sa nièce, celle-ci, dans un premier temps,
écarquilla les yeux en faisant d’abord
la relation avec le Dolpic. Même si la pommade miracle empêchait
l'apparition de marques disgracieuses et permettait de garder les fesses bien
lisses après les fessées, elle n'en appréciait que moyennement l'usage. Astrid s’attendait à ce qu’elle tente d’une
manière ou d’une autre de trouver un argument pour éviter ce nouveau châtiment
supplémentaire. Mais la petite maline qui ne détestait pas, loin de là, de se
sentir le feu aux fesses, sembla plutôt attirée par la perspective de nouvelles
sensations.
Elle prit son
petit air ingénu pour minauder en tortillant du derrière.
– « Mais j’ignorais cela tantine... Le manche d'un martinet, c'est déjà pas mal, mais ça... une racine de
Gingembre... Oula la... Ça doit chauffer dur à l'intérieur ! Quelle drôle
d'idée ! Et... Pour mon oncle aussi ?
– Mais voyons, bien sûr, il ne va pas y échapper le petit
chéri ! La fessée au Gingembre ... ça c'est une trouvaille !
– Ah oui ! C’est sûr qu'une bonne fessée avec ça dans le
derrière, on doit encore mieux la sentir passer. Si vous pensez que cela rend
les punitions plus efficaces et que ça peut plaire à la clientèle, je veux bien
tenter l'expérience... »
Mais comme il lui faut bien tergiverser, elle ajoute avec une
petite mimique de capricieuse.
– « Mais pas trop gros quand
même...je veux dire... le gingembre. Si ça fait l'effet qu'elle dit madame
Bettina... »
Astrid confirme aussitôt.
– « Oui ! Elle assure que cela donne du piment aux fessées,
plus d’efficacité et que cela incite encore mieux à l'obéissance. Toi qui aimes bien les sensations fortes, ça devrait
t'intéresser d'essaye. »
Géraldine, qui se demande tout de même si elle ne présume pas un
peu des capacités d'accueil de son derrière, si gourmand soit-il, sent ses fesses se serrer
sur les élastiques de son slip enfoncées dans la raie. Ce n'est que le début de
l'après-midi et elle s'est déjà ramassé
deux fessées devant deux clientes, dont la dernière récemment, avec un gros
martinet à vint quatre lanières. Ses fesses lui cuisent encore entre les
jarretelles. Partagée entre la curiosité de découvrir de nouvelles sensations
et une certaine appréhension, elle se risque.
– « C’est vrai, mais je prends
tellement de fessées et même si je les prends bien. Je vous assure, celles que
vous me donnez, cela me déjà corrige bien ,...vous le
savez ....mais … Mais ça s’achète où ce truc-là ?, »
Astrid réplique avec l'assurance et l'autorité des personnes aux
capacités de ressources illimitées.
« Oh mais, s'il n'y a
que ça, on en va trouver … Il y a une boutique de produits de cuisine exotique
deux rues plus loin. Je suis certaine qu'on en trouve. Je vais envoyer ton
oncle en chercher. Il va bien falloir qu'il se débrouille... Après tout, c'est aussi pour en faire
profiter son derrière ! »
Claquant du
talon aiguille, elle se dirige aussitôt vers l'atelier de son mari. Elle l'interpelle avant même d'y être
entrée.
– « Norbert !
Remue tes fesses, j'ai besoin de toi... ! »
Le bruit de la conversation filtre à peine à travers la porte vitrée. Quelques éclats de
voix peu compréhensibles, et celle soudain, parfaitement claire et menaçante
d'Astrid.
– « Sinon, c'est la fessée
déculottée... Tout de suite dans le magasin, devant ta nièce !... »
Elle ressort, suivie de son mari qui marmonne entre ses dents,
visiblement contrarié de devoir interrompre son travail pour aller acheter un
produit exotique... N'importe quoi! Il sort en maugréant sous un nouvel
avertissement de sa femme.
– « Continue à râler
et tu as ta fessée immédiatement en rentrant ! Et ne traîne pas... dépêche-toi ! » ;
– Quand même,
Astrid,... Du gingembre !... Qu'est-ce que tu peux bien vouloir faire avec
ça ? »
– Fais ce que je te dis, et sans discuter... Sinon !...
– Oui... Oui, je sais … la fessée ! »
Géraldine est repassée derrière le comptoir où
toute une variété de martinets sont accrochés à des présentoirs. Une agréable
odeur de cuir neuf flotte tout autour . Tout en poursuivant la conversation
avec sa tante, elle retrousse sa jupe serrée en tortillant des hanches, et, le
plus naturellement du monde, se déculotte pour s'aérer un peu le derrière avant
la prochaine fessée de démonstration. Elle a
beau maintenant être habituée à se déplacer les fesses en feu dans la boutique,
il lui faut les remettre en forme qu’elles soient présentables à chaque
séance. Tantine a tapé très fort lors de la fessée précédente, pour bien
montrer la qualité de claquant du cuir de ses battoirs. Elle a même dû en
essayer plusieurs sur ses fesses, pour aider une Dame, indécise, à trouver
l'instrument le mieux adapté au fessier récalcitrant de son mari.
Cela ne l'empêche pas pour autant de continuer à discuter avec sa
tante, comme si de rien était. Elle poursuit en tenant son slip par
l'élastique, tendue juste en dessous de ses fesses.
– « C’est certain qu’avec ça, les fessées sont encore plus
cuisantes. Une bonne déculottée avec le
Dolpic sur les fesses et un gros rondin de gingembre qui pique et chauffe, bien
enfoncé dans le derrière... avec un
solide martinet fabriqué maison......ouille ,ouille ,ouille ! Voilà qui doit sacrément pimenter les
punitions.
– Je ne te le fais pas dire ! Cela devrait intéresser toutes
mes clientes en recherche de nouvelles méthodes pour discipliner plus sévèrement leur maris. Je connais un
certain nombre de messieurs qui n'ont pas fini de se faire corriger avec du
gingembre dans le derrière pour remplacer avantageusement les manches de
martinet. On peut compter sur
une augmentation de la fréquence des fessées qui devrait faire
grimper les ventes de martinets et de Dolpic . »
– « On dira d'elle ce qu'on voudra, mais on ne remerciera jamais
assez Bettina ... » Ajoute Géraldine, en tortillant nonchalamment du
derrière à la caisse. Elle a fini par se reculotter en prenant soin d'étirer
son slip dans la raie des fesses pour bien les dégager et les laisser refroidir
à l'air libre. Elle mettait à profit ce bref moment de répit en attendant
l'arrivée de nouvelles clientes.
Madame Delaniaires a repris son allure sévère en s'approchant du
comptoir où sa nièce finit de digérer sa dernière fessée dont la cuisson
s'estompe progressivement. Elle se campe devant elle, comme elle aime le faire,
pour toiser ses victimes de toute la hauteur de ses quinze centimètres de
talons aiguille. Les narines frémissantes, le regard noir, lourd de menace,
elle croise les bras sous son imposante poitrine qui en profite pour
s'émanciper de son bustier outrageusement décolleté. Son allure impérieuse et
son physique impressionnant, inspirent la crainte de la fessée...
.
–« Quant à toi, ma petite chéries, il va falloir que
tu sois à la hauteur pour les démonstrations. Tu vas avoir intérêt à bien
préparer tes fesses parce qu'elles vont te chauffer encore plus dur que
d'habitude.
– Mais c'est ce que je suis déjà en train de faire tantine...
»
.Répond Géraldine d'une petite voix mutine, pas vraiment
impressionnée.
« Je les
prépare mes fesses... Mes grosses fesses comme vous dites – Elle rit –
D'ailleurs, vous l'avez bien remarqué, elles sont toujours prêtes pour la
fessée...
– «
Effectivement, tu es une aide précieuse pour le bon fonctionnement de la
boutique. Je me demande bien comment je ferais si je n'avais pas une aussi
belle paire de fesses sous la main pour mes démonstrations... »
La jeune femme,
s'en trémousse d'aise et profite du compliment pour s'offrir une pointe
d'insolence déguisée en compliment.
– « Eh
oui ! Mais, côté postérieur, la nature vous a bien gâtée, vous aussi, ma
tante... Vous n'avez pas à vous plaindre avec un pareil fessier !
– C'est un
derrière qui a pris son ampleur sous les fessées ma chère. Les beaux derrières,
c'est de famille... Ta mère, a le même … En attendant le tiens va avoir
l'honneur d' inaugurer la fessée au gingembre.
– Rooooh... Ma
tante... Oui... mais pas trop gros le... et pas trop forte la fessée … s'il
vous plaît...
– Ah ça ma
mignonne, les fessées, c'est mon rayon ! L'intensité, la durée, la
puissance, le claquant, la cuisson... tout ça, c'est moi qui décide... Pour le
reste aussi d'ailleurs ! On est en
fin d'après-midi, dès que Norbert sera renté de l'épicerie, je ferme la
boutique et en avant pour un beau feu d'artifice au Gingembre... une
première ! »
-
Bettina,
soucieuse de transmission des savoir, avait fortement conseillé à ses amies fesseuses,
d’employer cette méthode d’aggravation des fessées que ne manqueraient pas de
mériter leur maris, en bon repentants de leurs méfaits divers. Dans
ses recommandations, elle avait garanti
que, bien épluchées et taillées comme il se devait, les racines de Gingembre
enfoncées profondément dans le derrière, en mettait progressivement l’intérieur
en feu autant que la fessée le faisait à l’extérieur. Forte de ces conseils,
Madame Delaniaires, toujours à la pointe des innovation en matière de
discipline, avait décidé d'en expérimenter l'efficacité sur les fesses de sa
nièce. Elle le méritait bien pour son impertinence récurrente.
Soucieux
d'éviter une fessée déculottée en public, Norbert ne mit pas longtemps à faire
l'aller et retour et, sans avoir encore bien compris leur utilisation, ramena
une petite provision de ces racines biscornues et retourna dans son atelier
sans poser de questions.
Astrid
pris aussitôt la direction des opérations avec son autorité habituelle.
– « Géraldine,
c'est maintenant ! Tes fesses... Tout de suite ! »
-
Tantine
est peu patiente. Avant que sa nièce réagisse, elle fonce sur elle et, sans lui
permettre d’essayer de dire quoi que ce soit, l’entraîne vers la “chaise à
fessées” au milieu de la boutique, où elle la bascule sur ses genoux. Géraldine
portait une courte jupe très serrée qu'il était illusoire de pouvoir retrousser
par-dessus
ses fesses proéminentes.
–«
Relève toi, et tourne toi ! La prochaine fois tu mettras une jupe plissée,
c'est plus facile d’accéder aux fesses ! »
Elle
entreprend nerveusement de faire descendre la fermeture éclair pour libérer la
taille . Docile, Géraldine le fait elle-même, rapidement, en soupirant
néanmoins.
– « Attendez
ma tante, vous allez tout faire craquer... »
Puis,
soumise, elle se recouche en travers de ses cuisses, en position de fessée,
exhibant un slip de nylon noir transparent qui ne laissait rien ignorer des
plantureuses rotondités postérieures qu’il était censé protéger. Il semblait prêt à craquer,
tellement gonflé par le volumineux derrière qu’il enserrait.
– « C'est
bien ma chérie, je vois que tu y mets du tien.... Toujours agréable de
voir ta belle paire de fesses aussi
bien présentée »
Dit la
tante, en tapotant son derrière rebondi, fermement, mais encore sans sévérité.
A travers le fin nylon du slip à fessée tendu à craquer, les claques avaient
quand même une sonorité qui prouvait la fermeté des rondeurs postérieures de la
jeune femme qui devaient suffisamment bien les sentir. Mais tout en mouvant
doucement ses fesses ,elle ne cherchait pas à se dérober mais, au contraire,
bombait le derrière en mimant la douleur, avec un petit rire provocateur.
–« Aïe !
Ouille, ouille mes fesses ! Oh là, là, tantine... pas si fort la
fessée ! »
Bien
obéissante, et aussi par bravade, dans le genre : '' la fessée même pas
peur'‘ la
petite dévergondée, s’était, d'elle-même, positionnée au mieux. Les reins
creusés , fessier développé au maximum possible, bien arrondi et bien tendu,
les pieds levés prêts à battre l’air, attendant ainsi la fessée annoncée.
Astrid la déculotta dans la foulée , faisant glisser le petit slip jusqu’à mi-cuisses et dans une deuxième temps jusqu’au creux
de ses genoux pour bien lui dégager les cuisses . Le volumineux postérieur
apparut, tout nu, semblant prendre toutes ses aises maintenant qu’il était
entièrement déculotté. Il offre à la correction, la surface charnue de ses
sphères parfaites, encore un peu rouges des fessées précédentes.
– « Présente bien tes fesses Géraldine ! – Dit
la tante en ajustant sa position sur ses genoux -- Je vais d'abord te chauffer
le derrière pour bien le préparer à la petite gâterie qui va
suivre ! »
– Oooh
ma tante, pas trop fort ...S'il vous plaît ...»
Fait
semblant de supplier la nièce en tortillant du derrière, comme une ultime
provocation à démarrer la fessée.
Vigoureusement
mais calmement, Astrid commence à la fesser systématiquement , attentive à
claquer d’une main forte la totalité du derrière charnu qui rebondit déjà à
bonne hauteur. Sa technique est bien au point, avec une belle maîtrise du
derrière qu'elle corrige. Elle prend
soin de n’épargner aucune partie des grosses fesses qu'elle fait rougir en débordant largement sur le haut des cuisses,
maniant de sa main gauche la croupe obéissante. Elle lui écarte les fesses afin
que sa main droite puisse claquer dans la raie, tire le fessier vers le haut pour mieux en
claquer le dessous, puis le tire vers la droite ou la gauche afin de bien
claquer le flanc des fesses. Rapidement ,l’ensemble du postérieur et le
haut des cuisses est devenu uniformément écarlate et Géraldine, perdant toute
superbe, s’est mise à pleurer à chaudes larmes, tandis que ses pieds pédalent
dans le vide à toute vitesse.
Au bout
d’une bonne dizaine de minutes, madame Delaniaires triomphante, laisse sa main
sur le derrière écarlate et cuisant que sa nièce maintient en “bonne position”
comme elle sait qu’elle doit le faire.
– « Alors,
tu la sens ta fessée ! Je te l'ai bien claqué ton gros derrière, pour une
entrée en matière ?
Géraldine en larmes, répond encore par-dessus son épaule, avec un petit sourire
navré.
– « Oh oui ma tante, vous me l'avez bien
claqué... j’ai les fesses qui chauffent dur déjà... Mais, vous savez, pas plus
que d'habitude. »
Clac ! clac ! un énergique aller-retour en
plein milieu des fesses la rappelle à l’ordre.
– « Ah
oui ! Tu fais encore la fière... Mais attends la suite. Ça c'était
simplement une petite fessée d'échauffement. Maintenant la fessée suivante
c'est au martinet, avec les fesses frictionnées au Dolpic et le gingembre dans
le derrière ! Tu vas voir si ça ne te chauffe pas plus que
d'habitude ! Allez ! à genoux sur la chaise ! Tes fesses en l’air bien présentées ! »
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 32
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerRiche idée de jouer les prolongations de fessées avec le DOLPIC et le Gingembre. Me feriez vous concurrence, cher ami ? Le slip retiré et les attributs à l'air parachèvent le tout. Juste histoire que les 2 jeunes hommes se rappellent qu'ils doivent être obéissants. Et Mme DELANIAIRES qui n'a pas son pareil pour expérimenter de nouvelles techniques, au grand dam de sa nièce, à moins qu'elle ne commence à s'y habituer et à apprécier.
Amitiés.
Elena.
Bonsoir Elena,
RépondreSupprimerPlutôt que concurrence je dirais une saine et réjouissante émulation. L'obtention de l'obéissance nécessite parfois d'employer des moyens radicaux, pourquoi pas inspirés de l'ère du temps. Alors, l'utilisation d'un condiment naturel de culture artisanale, pour augmenter l'efficacité des fessées semble bien en adéquation avec la tendance actuelle "cultivons notre jardin". L'histoire ne dit pas encore s'il s'agit de gingembre bio pour fessée écologique !! (rire)
Quant à Géraldine, il semblerait bien que la petite ingénue perverse friande de sensations fortes, qui ne déteste pas se faire chauffer le derrière, ne reste pas indifférente aux innovations épicées de sa tante .
Quelle famille!
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina, bonjour Elena,
SupprimerWahou !! C'est la fête... des Nerfs !!! Rires.
Fessera bien qui fessera le premier ! Ces dames sont déchaînées : Robin, Rod', Walter, Ed' : les quatre Mousquetaires de la Distribution (...de fessées !) passent à la caisse: points gagnants sur ticket présenté ! Les services ne ont repris, ni échangés !!
"La Direction informe son aimable clientèle qu'elle renouvelle encore ce moi-ci son opération commerciale : un point pour une
réclamation !". Rires.
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter
RépondreSupprimerBravo pour la "fête des nerfs" et les "quatre Mousquetaires" de la distribution! Pas besoin de tickets de réservation il y a de la fessée pour tout le monde. Prochain épisode aux fruits et légumes... légume exotique pour Géraldine...Et ça va piquer!
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
Supprimer"Salade de fruiiiits ! Jolie, jolie, joliiiie !"
Tu plais à mon père, tu plais à ma mère..."
Mais elle peut s'accommoder selon les latitudes : salade niçoise, salade russe, salade... avec ce que l'on aime. Au choix
A taaaaable ! La vinaigrette, SVP ! Bon appétit.
Amicalement. Peter.
Il est drôle lui!... M'enfin! Moiselle Géraldine...
RépondreSupprimerRamina