samedi 23 mai 2020

Fini la liberté - chapitre 2

Madame Lepand se lève alors et se saisit de la règle plate en bois. Elle la tapote contre sa main.
- Mon garçon, nous avons encore un compte à régler maintenant dit-elle en allant s'assoir sur la chaise en bois placée devant une table et qui servira de bureau à Jérôme.
- Approche, viens ici !
Jérôme fait quelques pas hésitants vers sa tutrice. Il sait très bien ce qui l'attend. Pour le faire accélérer, elle l'attrape pas le bras et le fait venir à elle. Elle lui déboutonne sa culotte courte et la fait descendre aux pieds. Elle renouvelle l'opération avec le slip qu'elle descend jusqu'aux genoux. Elle oblige ensuite Jérôme à se coucher sur ses genoux.
Ce dernier ne tente aucune résistance. il sait pertinemment que cela ne ferait que durcir le châtiment qui l'attend. Après l'avoir aidé à parfaitement s'installer, Elle passe son bras autour de sa taille et sa main sous ventre pour le maintenir fermement. Madame Lepand commence à le fesser sérieusement avec la règle. Elle monte assez haute son bras et claque fortement les fesses et les cuisses du jeune homme. C'est une véritable experte. Les coups arrivent rapidement et chacun fait tressaillir et hurler Jérôme. Les fesses déjà bien meurtries de la fessée précédente, il ne peut résister et tente de se protéger l'arrière-train avec ses mains.
- Retire-moi tes mains ! Ordonne Martine Lepand. Cependant, Jérôme n'y parvient pas. La douleur est trop forte. De ce fait, Tante Martine le relève le fait s'agenouiller devant elle. Elle se saisit de sa main gauche pour commencer.
- Tends-moi ta main bien à plat.
C'est maintenant sur la paume de sa main et sur ses doigts que la règle s'abat avec force. La main est écarlate quand Madame Lepand exige que maintenant Jérôme plie les doigts et c'est avec l'arête de la règle qu'elle le punit. Une fois l'opération terminée et le recommence. Cette fois pour la main droite. Main à plat puis sur le bout des doigts.
- Maintenant es-tu disposé à te laisser corriger comme il se doit ? L'interroge Martine Lepand
D'un signe de tête, en pleurs, Jérôme fait signe que oui. Cela ne satisfait guère Madame Lepand qui lui envoie un magistrale coup de règle sur les cuisses
- Je repose la question ! Es-tu disposé à recevoir ta fessée ?
- Oui.
Et vlan ! 2 nouveaux coups atterrissent sur ses cuisses
- Oui Madame !
C'est maintenant 3 bons coups de règle qui rappellent à l'ordre le jeune homme
- Oui ma tante !
- A la bonne heure !
Elle soulève son neveu adoptif et le replace sur ses genoux. Ce dernier toujours sanglotant se laisse faire. Il aide même à se placer comme il faut. Il sait qu'il ne peut de toute façon y échapper. Toujours avec la même dextérité, elle applique la règles sur les fesses et les cuisses déjà en feu. sans ménagement elle alterne d'une fesse à l'autre, intérieur ou extérieur des cuisses. Parfois elle insiste au même endroit. Jérôme ne cherche plus à se protéger. Il crie à chaque coup. Il pleure, il suffoque et gigote les pieds.
Après 2 minutes de fessée, Madame Lepand accélère encore le rythme. La peau du jeune garçon est cramoisie et même violette à certains endroits. Satisfaite, elle pose sa main sur ses fesses. Elles sont brûlantes. Jérôme ne bouge pas et attend les consignes. Il ne sait plus où il en est. Il n'ose surtout pas raviver le courroux de celle qui a désormais toute autorité sur lui.
Après l'avoir laissé récupérer quelques secondes, Madame Lepand relève Jérôme. Elle l'attrape par l'oreille et le conduit au salon. Les pieds entravés par sa culotte et souffrant du pincement sur son oreille, il a bien du mal à suivre le pas décidé de sa correctrice. Elle le place dans un coin et de sa main libre appuie sur sa nuque pour lui coller le nez contre le mur. Elle lâche enfin le pinçon sur son oreille. Elle remonte la chemise et ordonne à Jérôme de placer ses mains croisées dans le dos pour la maintenir. Avant de l'abandonner à son sort, elle lui mouche le nez avec un mouchoir en papier.
- Tu restes ici sans bouger et en silence ! Je ne veux même pas t'entendre pleurnicher. Quand un vilain garçon est puni au coin c'est pour se faire oublier et réfléchir.
Le jeune homme n'ose pas bouger d'un cil, ses fesses et ses cuisses le font souffrir et le brûlent. Il aimerait qu'on lui appose de la glace. Ses pensées s'entrechoquent par moments il rage contre cette femme qui vient de le fesser si sévèrement comme un enfant.
- Cette folle ne me touchera plus. Non mais elle se prend pour qui celle-là. Je vais me rhabiller et aller chercher mes affaires !
Puis très vite il se ressaisit et se jure d'être soumis et obéissant. Il se dit que Madame Lepand est sa bienfaitrice.

Pendant ce temps, Madame Lepand s'est installée sur le canapé. Elle passe quelques coups de téléphone. Pour commencer, c'est à sa coiffeuse que le premier est destiné.
- Bonjour Véronique, c'est Martine Lepand à l'appareil... Non, rassurez-vous. Je voudrais prendre un rendez-vous mais pour un jeune homme dont j'ai maintenant la charge. Cet après-midi si possible.... Oui parfait, à tout à l'heure.
Puis elle téléphone à son esthéticienne. Elle explique la situation et fait une demande "spéciale" qui est acceptée. Jérôme n'en croit pas ses oreilles. Il comprend très bien ce qui l'attend et redoute ce moment.
Après ses prises de rendez-vous, Madame Lepand vaque à ses occupations. Elle navigue dans tout l'appartement avec discrétion. De ce fait, Jérôme ne sait jamais s' il est sous surveillance ou pas. Il n'ose toujours pas bouger. Pourtant ce n'est pas l'envie qui lui en manque. Il a envie de se gratter, mettre les mains sur ses fesses qui le font souffrir ou encore essuyer ses larmes qui lui coulent encore sur le visage. Il n'a aucune idée sur le temps qu'il a déjà passé en pénitence. Il a bien repéré une horloge dans ce salon mais elle est placée derrière lui et il serait dangereux de tenter de se retourner. Il ne sait depuis combien de temps il est là. Il commence à trouver le temps très long. Il commence aussi à avoir des crampes et ses muscles à se tétaniser.
Après un peu plus d'une heure en pénitence, Madame Lepand libère enfin son nouveau protégé. Elle lui essuie ses larmes, le remouche, puis lui remonte son slip et son pantalon et le réajuste.
- Viens dans la cuisine, tu vas m'aider à préparer le repas, décide Madame Lepand.
Jérôme doit s'installer à la table et éplucher des carottes. Il a bien du mal à rester assis sur sa chaise. Les effets de la fessée se font ressentir.
- Cesse donc de gesticuler ainsi, gronde sa tante adoptive !
Jérôme résiste tant bien que mal et termine sans encombre sa corvée. La préparation du déjeuner terminé, c'est à la droite de Madame Lepand que Jérôme prend le repas. Là aussi aucun incident n'est à déplorer. Il respecte scrupuleusement les consignes de sa tutrice.
A la fin du repas, il débarrasse la table, il met la vaisselle dans le lave-vaisselle et passe un coup de balai dans la cuisine comme il lui est demandé.
- Bon allez, direction les WC décrète Madame Lepand. Elle lui déboutonne sa culotte courte, lui baisse. Le slip suit à son tour la même direction.
- Tu fais assis. Et s'il le faut tu fais aussi la grosse commission. Dépêche-toi.
Martine Lepand reste devant le jeune homme les bras croisés et attend qu'il ait terminé. Elle lui essuie le pénis puis le relève et le courbe sous son bras pour lui torcher le derrière.
Une fois rhabillé, direction la salle de bain. Jérôme doit se brosser les dents, toujours sous contrôle puis Martine Lepand lui lave les mains et lui débarbouille et le visage.

Il est temps de partir en ville. Jérôme est toujours vêtu de ses vêtements enfantins qui le boudine. N'ayant pas d'autres chaussures, Madame Lepand lui a fait mettre ses baskets. Idem pour le manteau. Il a la chance de pouvoir porter sa veste sportswear.
Dans la rue, Jérôme respecte parfaitement les consignes. il marche à la droite de sa tutrice et accepte sans souci de donner la main pour traverser. Il subit quand même la honte mais il n'est pas au bout de ses peines.
Le premier arrêt se fait dans un magasin de chaussures. Ce passage se fait rapidement. Achat d'une paire de bottines en cuir noir avec fermeture éclair sur le côté, une paire de mocassins à lacets en cuir noir également et une paire de sandales en cuir également de couleur bleue. Ensuite direction un magasin de vêtements situé à côté.
Dès leur entrée dans le magasin, ils sont accueillis par une dame d'environ 60 ans. C'est la propriétaire. Visiblement les 2 femmes se connaissent.
- Bonjour Madame Lepand. Que puis-je faire pour vous aujourd'hui ?
- Bonjour, nous venons vous voir pour renouveler complètement la garde-robe de ce jeune homme dont j'ai maintenant la charge. Il nous faut bien sur des sous-vêtements mais aussi pantalons, pulls, cardigans et des culottes courtes s'il vous plait. Des tenues extrêmement classiques, je vous prie.
- Très bien venez, suivez - moi. Voici d'abord un lot de 7 slips blancs des plus traditionnels. Vu la morphologie du garçon je pense que du 16 ans serait parfait.
- Oui très bien. Pouvez-vous m'en donner un s'il vous plaît. J'ai dû lui mettre un 14 ans ce matin et il est vraiment trop serré.
- Oui bien entendu. Allez-vous mettre dans la cabine si vous le souhaitez.
Madame Lepand entraine Jérôme dans la cabine en le poussant dans le dos. Elle le déshabille complétement alors que la commerçante arrive avec des "Marcel" blanc.
- Voici des maillots de corps. Comme je vous disais je crois que le 16 ans est parfait. Ce slip lui va parfaitement
- Effectivement ! Je vais lui changer son tricot de corps. Jérôme lève les bras.
La dame du magasin appelle ensuite Martine Lepand pour lui montrer des chemises. Elle choisit quatre chemises. une blanche, une bleue, une vichy bleu vert et une vichy rose. Elle prend également les mêmes sous forme de chemisettes. S'ensuit le choix des pantalons. Là aussi " tante Martine" opte pour quatre achats. Le premier en coton beige, le même couleur ocre, un en flanelle gris et un en velours marron. Martine Lepand les fait essayer à Jérôme tandis que la vendeuse prend les mesures pour les ourlets. Jérôme commence à manifester son impatience ce qui lui vaut quelques remarques de la part de sa tante adoptive.
Le choix se fait ensuite sur les culottes courtes. Madame Lepand prend l'option de deux knickers, un en velours bleu marine et un autre en flanelle grise. Les autres propositions ne la satisfont guère. La commerçante lui conseille alors d'autres choix qu'elle suggère de raccourcir. Cela comble Martine. Elle tranche alors pour des bermudas qui seront raccourcis à mi-cuisse pour la fin de l'après-midi. Ce sera deux en velours. un gris et un bleu. Elle prend aussi deux en coton. Un rouge et un vert pomme. La dame continue de prendre les mesures et le garçon continue à montrer son mécontentement. Du coup Madame Lepand se fâche.
- Bon ça suffit gronde-t-elle en lui baissant la culotte et le slip. Je t'ai dit déjà dit de te calmer et de montrer un peu plus de bonne volonté. Elle détache chaque syllabe en lui assenant à chaque fois une claque magistrale sur les fesses. Si la douleur est bien moins vive qu'avec les fessées du matin, le mal se réveille tout même. Mais c'est aussi l'humiliation d'être fessé devant cette inconnue qui gêne Jérôme. Et encore le pire vient après avoir été reculotté. De dos il n'a pas vu qu'une dame et sa petite fille étaient entrées dans le magasin. Près des cabines, la gamine essayait une jupe et c'est quand il entend la maman dire à sa petite fille : " Tu vois si tu ne me laisses pas t'essayer cette jupe correctement , je vais faire comme pour le petit garçon avec toi". En tournant la tête, il croise le regard de la fillette qui lui sourit. Il est rouge pivoine et son visage doit ressembler à ses fesses.
La suite des achats se passe plus sereinement. la fessée a été salutaire. quatre pulls sont achetés. Deux à cols ronds, un bleu marine et un bleu plus clair. Deux à cols V avec des couleurs identiques. Le choix se porte aussi sur un cardigan à boutons bleu marine lui aussi La panoplie des achats est complétée par un duffle coat bleu marine, un blouson zippé plus légé et de la même couleur, deux pyjamas classiques veste et pantalon, un rose vichy et un bleu. Enfin Madame Lepand demande à la commerçante si elle fait encore des blouses d'écolier. La réponse est positive.
- Vous savez, il y a encore quelques bonnes familles dans les alentours et j'en vends aussi par correspondance.
- Formidable ! Nous en prendrons deux ! Une marine et un bleu plus clair à carreaux comme je prenais pour mon fils Pierre, s'il vous plaît. Comme convenu nous repassons prendre tout cela tout à l'heure. Merci.

Ils quittent la boutique et Jérôme n'oublie pas de remercier également la vendeuse. Il est maintenant vêtu du knicker - gris en flanelle,  de la chemise vichy rose, du cardigan. Il porte des chaussettes hautes, ses bottines et le blouson. Avec cette allure juvénile, on lui donnait à peine 14 ans.
Ils reviennent sur leurs pas et rentrent dans un salon de coiffure. là il semble que le temps se soit arrêté. Aucune modernité. Le carrelage à damier, les fauteuils en cuir rouge ou vert. La coiffeuse porte une blouse blanche qui lui arrive aux fesses. Madame Lepand donne ses consignes à la coiffeuse qu'elle semble bien connaitre. Après le shampoing, c'est donc une coupe courte avec la raie sur le côté gauche que la coiffeuse exécute. Une fois terminé, Madame Lepand et son filleul remercient la coiffeuse et vont quelque pas plus loin pour rentrer chez l'esthéticienne.

La patronne est visiblement au courant de la situation. Elle confie à une de ses employées le travail. Cette dernière les invite à prendre place dans une pièce de l'institut. Madame Lepand retire ses habits à Jérôme. Nu comme un ver il se retrouve allongé sur la table de soins. La faible pilosité de Jérôme facilite le travail. Très vite, il est débarrassé de ses poils sous les aisselles. Le dos, le torse, les jambes et les bras étant imberbes, elle épile entre ses fesses. Peu de poils à cet endroit aussi. Mais l'épilation lui fait tout de même pousser de petits cris.
Passage ensuite sur le dos pour les poils pubiens. Quand elle se saisit de son pénis ne peut retenir une réaction masculine. C'est très gênant pour la jeune esthéticienne. Elle en fait part à Mme Lepand.
- Eh bien je ne vois qu'une solution Mademoiselle. La fessée. Etant donné que c'est vous qu'il a offusqué par son attitude, je vous invite à lui donner vous - même.
- Mais je ne sais pas si je ...
- Mademoiselle, Ce jeune homme à une réaction inappropriée. Vous devez le corriger pour cela. Allez-vous installez sur ma chaise. Cela facilitera l'ampleur de vos gestes. Quant à toi Jérôme en position sur les genoux de Mademoiselle.
Madame Lepand aide la jeune fille à placer correctement Jérôme sur ses genoux. Une fois en place, la jeune employée commence à fesser timidement Jérôme. Elle est un peu empotée au début mais trouve assez vite son rythme. L'érection du jeune homme est maintenant passée et ses fesses commencent à cuire. Elle est maintenant très sûre d'elle. Sous le regard de Madame Lepand elle a réussi à extraire des larmes à Jérôme. La correction terminée, pleine d'assurance elle reconduit Jérôme à la table et termine son travail. Ce dernier contrôle maintenant sans problème ses pulsions.
- Soyez assurée qu'il recevra ce soir une nouvelle correction selon le principe qu'une fessée reçue par un tiers vaut une seconde de ma part à la maison.
Une fois la zone totalement nette, Martine Lepand passe sa main et montre sa satisfaction
- C'est parfait et c'est nettement plus hygiénique.
Elle rhabille son pupille et fait l'acquisition d'une crème épilatoire pour entretenir tous les 15 jours.

Avant de repasser par la boutique de vêtements, une nouvelle halte intervient. Chez un vieux cordonnier.
- Bonjour monsieur Périchon. Avez-vous encore en stock l'un de vos bons vieux martinets ?
- Bonjour Madame. Il y' a bien longtemps que l'on ne m'en a pas demandé mais il doit m'en rester 3 ou 4, répond le cordonnier en partant dans son arrière-boutique.
Il en revient avec un martinet bien plus impressionnant que ceux que l'on trouve dans les animaleries
- Avec ça mon garçon tu vas filer droit dit-il en revenant.
Jérôme baisse les yeux. Il a envie de disparaître sous le sol. Madame Lepand règle son achat et après avoir récupéré les achats à la boutique de vêtements, c'est le retour à la maison les bras bien chargés.
- Pose les paquets ici et viens là.
" Tante Martine'" lui retire son blouson et ses bottines.
- Mets tes pantoufles et va te mettre en coin pour réfléchir aux deux fessées que tu as reçues cet après-midi.
Tête basse, Jérôme s' exécute. il regagne le même coin que ce matin. Comme sa tutrice vient de lui préciser il place ses mains croisées sur sa tête. C'est une étrange sensation pour lui de ne plus sentir son épaisse chevelure à laquelle il s'était tant habitué. Il n'avait pas coupé ses cheveux depuis que ses parents avaient cru bon de le laisser prendre son envol. Après son bac, pensant qu'il était mûr, ils l'avaient laissé prendre un studio près de la faculté. Depuis il allait d'échec en échec et de déception en déception. Pourtant il avait reçu une éducation stricte et sévère. Oh bien sûr pas aussi sévère que cette Madame Lepand. Ce fut une journée très difficile et la suite ne s'annonçait guère plus réjouissante. Mais avait-il le choix ? Non et il le savait.
Madame Lepand fait des va viens entre l'entrée, où ont été déposés les paquets et la chambre de Jérôme, où elle range soigneusement ses nouvelles affaires. Jérôme poursuit ses pensées dans son coin. Mais qu'il est ridicule dans cette tenue ... Et les autres habits ne sont pas mieux. Aucune modernité... Mais que vont penser les autres ? Faut dire que sa tutrice n'est pas très moderne non plus. Avec sa blouse à fleurs qu'elle porte à la maison sur sa jupe et son chemisier. Ah oui les blouses... Elle ne pas quand même pas m'en faire porter à l'école ? Ah ça non je les enlèverai !

Cela fait à peine 15 minutes qu'il est en pénitence, que déjà ses bras le font souffrir et qu'il commence à tétaniser.  En plus ça le démange au niveau de la jambe. Si je bouge et qu'elle me voit, ça va encore être ma fête. Mes fesses ne le supporteront pas...
- Viens me rejoindre dans la cuisine Jérôme !
Toujours les mains en place, il rejoint sa tutrice. Il observe que la fameuse règle est placée sur la table. Il remarque également que Madame Lepand a accroché à un clou la ceinture et le nouveau martinet. Une baguette en bambou est aussi accrochée grâce à un élastique.
- Mon garçon tu le sais, je l'ai dit tout à l'heure que toute fessée que tu reçois par un tiers est automatiquement sanctionnée par une autre de ma part. Il est l'heure de cette fessée. Nous allons donc retarder l'heure de ta douche exceptionnellement. Baisse immédiatement ta culotte courte et ton slip et viens te placer sur mes genoux. Ne t’avise pas de chercher à te protéger, sinon tu sais ce qu'il t'en coûtera !
Couché sur le genou droit de sa tutrice, bien bloqué par la jambe gauche, Jérôme reçoit une brève mais cuisante correction d'une vingtaine de claques avec la règle.
- Va au coin près de la fenêtre !
Madame Lepand s'affaire à préparer le dîner. Elle a à l'œil son pupille dans son coin. La chemise relevée, mains croisées dans le dos et le nez au mur, Jérôme retrouve ce moment de pénitence. Seul il a tout loisir de réfléchir à sa situation. Depuis la fenêtre seul les passants dans la cour de l'immeuble peuvent le remarquer. Et encore s’ils lèvent la tête seulement. Cela le rassure un petit peu.

30 minutes plus tard, nouvelle injonction de "tante Martine"
- Allez à la douche vilain garçon !
Dans la chambre, elle commence par le dévêtir. Elle replie parfaitement les habits mets la chemise et le gilet sur un cintre.
- Ils ne sont pas sales tu pourras les remettre demain.
Tout nu, Jérôme est conduit dans la salle de bain et comme ce matin, sa tutrice le lave minutieusement. Une fois séché retour dans la chambre. Assise sur le lit, Madame Lepand le fait se courber sur son genou. Il serre les fesses et se crispe, mais ce n'est pas pour le corriger.
- Détends-toi, je regarde juste l'état de tes fesses et cuisses. Force est de constater que si tu ne te calmes pas tu vas finir par ne plus pouvoir t'asseoir ou te coucher sur le dos. Il va falloir faire des efforts mon chéri et être obéissant. Je ne veux plus que tu sois un vilain petit garçon. C'est bien compris.
- Oui ma tante, promis !
- Tu sais que je resterai intransigeante Jérôme. C'est à toi de respecter les règles.
- Oui je sais ma tante
"Allez, on met le pyjama mon grand".
Elle opte pour le rose Vichy. elle lui enfile d'abord la veste puis le pantalon et enfin les pantoufles.
- Assieds -toi que je te coiffe, sinon tu vas avoir des épis demain.
Elle lui maintient la tête en le tenant par le menton et le coiffe avec une brosse et un peigne.
C'est ensuite le moment du repas. Il est 18 h 30. Serviette autour du cou, Jérôme doit manger à coté de sa tante adoptive. Soupe de légumes, fromage et yaourt nature. Tout se passe très bien. Après avoir aidé "tante Martine" à débarrasser la table, il est envoyé dans le bureau pour ranger ses affaires scolaires pendant qu'elle termine de ranger la cuisine.

Arrivé dans le bureau, Jérôme peut constater que Martine Lepand a déposé sur la table toutes les affaires scolaires qu'elle a été cherchée dans son studio. Elle a également libéré 3 étagères au-dessus de ce qui va devenir sa table de travail.
Jérôme s'applique à tout ranger. Les cahiers d'un côté, les classeurs de l'autre. Les livres et le reste du matériel sont parfaitement ordonnés eux aussi. Cela lui vaut les félicitations, pour changer, de tante Martine.
- C'est très bien mon grand. Tu vois quand tu veux. Continue comme ça. Cela évitera à tante Martine de sévir. Allez, maintenant, on va brosser les dents
Retour dans la salle de bain, où sous le contrôle strict de sa tutrice, Jérôme se brosse les dents. Elle lui essuie la bouche. Ensuite il doit passer par la case toilettes. Pipi, essuyage du pénis et zou, au lit !
Il est 20 heures. Jérôme se risque à demander s' il peut lire un peu. Mais la réponse est catégorique. C'est non.
- Quand on reçoit cinq fessées dans une journée, on ne mérite pas ses privilèges après, déclare Martine Lepand.
Cependant le coucher se fait avec tendresse. Et avant de le mettre au lit, elle s’assoit sur le bord du lit et l’assit sur ses genoux .
- ça n'a pas été une journée facile aujourd'hui mon grand garçon. J'espère que cela ira en s'améliorant. Cela me rendra très fière tu sais.
Jérôme se blottit contre son épaule. Madame Lepand l'enlace et lui fait un bisou sur le front.
Jérôme a retrouvé ses manières infantiles. Il ne sait pas pourquoi mais cette nouvelle situation le rassure. Il se sent allégé d'un poids.
- Allez , il est l'heure pour les enfants sages de se mettre au dodo. Surtout quand ils ont été vilains toute la journée comme toi.
Elle tire les draps et la couverture, fait redescendre Jérôme et lui ordonne de se coucher. Un dernier baiser sur le front, Elle le borde parfaitement et quitte la pièce en éteignant la lumière. Elle laisse toutefois la porte entre ouverte.

Jérôme a bien du mal à trouver le sommeil. Il apprécie de se retrouver dans ce lit qui sent bon la soupline. Cela le change de ce qu'il a connu depuis quelque temps. Il se dit que finalement c'est un mal pour un bien ce qu'il lui arrive. Qu'il est temps de réagir. Ses fesses le font souffrir et c'est finalement sur le ventre qu'il s'endort.


Vous n'avez pas lu ce qui a précédé ?

Eh bien voici le début : le chapitre 1

Une suite à cet épisode ?

Elle va venir, la semaine prochaine.

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Vous voulez les lui adresser directement ? Pas de problème ! Voici son adresse courriel : Jonas
Dans tous les cas, il vous répondra.

7 commentaires:

  1. Amis de la poésie et de la fessée en "Knikers"... bonjour!
    Bonjour Jonas.

    Inventaire à la Prévert, revu et corrigé par une madame Lepand bouillonnante d'activité. Et ça bouillonne aussi sur les fesses de Jérôme qui se prend quand même cinq fessées successives dans la journée. ça fait tout de même un bon score pour un débutant

    Etonnant récit, extrêmement descriptif, ou chaque détail de l'emploi du temps des personnages est soigneusement décortiqué et rapporté avec la précision d'une montre en chocolat suisse. A la fin du chapitre on n'ignore plus rien de la garde robe du jeune homme, transformé en Stroumpf géant en culotte courte.
    Martine, impitoyable et rigoureuse, est hyper organisée. Y compris dans la programmation des fessées... qui claquent bien, sec et souvent, comme on aime les entendre sur le papier.
    Alors, que demande le petit peuple du Blog...? Ben... Le prochain épisode tiens ! L'est marrant lui!
    Cordialement.
    Ramina

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  2. Bonjour bon début, encor un qui vat porter la blouse d'écolier

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  3. La suite va arriver ramina... Même si je manque un peu de temps en ce moment

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  4. Il voulais partir parce que elle lui a donne une fessée , même a 24 ans si la fessée est mérité il dois la recevoir , je trouve que c'est aussi très bien quelle le lavé

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  5. Je prends ce récit ancien au vol. Encore un grand garçon (24 ans) qui est ramené à la qualité d'enfant. Rien ne lui est épargné, notamment des vêtements de gamin. Les fessées à la main ne lui sont pas épargnées. Et pour couronner le tout, achat d'un martinet chez un cordonnier ! On sent que Madame Lepand va le gâter !
    Oliver Twist

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  6. c'est sur que ça taille ne l'aide pas 1m55 pour 45 kg il peux encore être lavé et recevoir la fessée même a 24 ans , il reste encore un petit garçon physiquement

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  7. Ce que je serais heureux d'être conduit chezcla coiffeuse par Tante Martine,puis chez l'esthéticienne et enfin passer prendre les vêtements réservés...et vivre aux pieds de Tante Martine comme un petit garçon de 5-6 ans...

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