LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
LA REVANCHE DE BETTINA.
Claquant des talons et tortillant joyeusement du derrière,
Clarisse se dirigea vers la grille du jardin en faisant un petit signe de la main en direction de son
fils .
– « A tout à l'heure mon chéri... Avec, j'espère,
une paire de fesses bien rouges dans ton slip pour la fessée qui t'attend quand
tu vas rentrer ! ».
Elle marqua un temps d'arrêt avant de partir et lança un
clin d'œil
d'encouragement à la maîtresse des lieux.
--« Je compte sur vous Bettina ! Il n'y a rien de
plus excitant que de déculotter un derrière encore rouge d'une toute récente
fessée, pour lui en mettre une nouvelle bien cuisante à la suite... Vous ne
croyez pas Mesdames ? Ce sont les meilleures... celles qui claquent le
mieux ! »
De
toutes ces ferventes de discipline domestique, Clarisse était probablement la
plus intraitable. Bettina, tout aussi ardente à administrer les fessées avec ce
petit grain de folie qui n'appartenait qu'à elle, y ajoutait aussi sa petite
touche de perversité ;
Robin avait prémédité d’agonir Rodolphe des pires
injures vexantes qu'il pourrait .
Trouver. Il avait choisi : '' félon ''. Insulte, totalement désuète, qu'ils
s'amusaient parfois, avec Gérôme, à s'envoyer entre eux pour se rendre
intéressants. Plaisanteries d'adolescents attardés, qu'ils n'étaient pas très
loin d'être, malgré leur vingt ans bien passés.
Ne pouvant élever la voix, Robin s'approchant de lui, avec
une grimace de dégoût extrême, lui cracha presque dans l’oreille dans un
envolée théâtralisée.
– « FE-LON Rodolphe... Traître à tes amis... t’es pire que
Judas ! »
C'est à se demander comment en de telles circonstance les
deux lascars, pourtant conscients de ce qui les attendait, pouvaient encore s'offrir le luxe de jouer
la comédie.
Se cabrant sous l’insulte qui mettait en cause son
''honneur '', Rodolphe, ridicule, en slip, les fesses rouges débordant des
élastiques, répliqua à voix basse, mais sur le même ton empreint de solennité
et avec la plus parfaite mauvaise foi.
– « Noon... je n’ai pas trahi ! je ne trahirai
jamais les miens même sous la torture ...même sous la pire des fessées
.....je n’ai rien dit pour le martinet dont t'as coup... Paniqué , Robin lui
coupa la parole.
– « Ferme-la , imbécile ! Elles vont finir par
nous entendre ! »
Si cet idiot faisait allusion aux lanières du martinet
qu'il avait sabotées, c’était évidemment la pire catastrophe qui s’abattrait
sur lui ...et plus précisément sur son derrière. Il allait s'en prendre assez
comme ça ! Semblant avoir compris
la bêtise de plus qu’il allait faire, Rodolphe abandonna son ton de seigneur
outragé, et tenta de s'expliquer avec des tournures de phrases que lui seul
était capable de proférer avec autant de d'inconscience.
– « Tu m’avais pas dit qu’il fallait pas dire ce que tu m’as dit
et qu’il fallait pas que je dise , alors ....je ne savais pas ...et comme je
savais pas qu’il fallait pas que je le dise ....hé ben ...moi je l’ai dit ! je
savais pas qu’il fallait pas... »
Assommé par cette logorrhée incompréhensible, Robin y mis un terme, se contentant
d’ajouter à sa peur ;
– « Bon, de toute façon ...de ta faute ...on est
foutus ! »
Puis, jetant un
coup d'œil
de côté en direction de Bettina, il ajouta entre ses dents pour ne pas risquer
d'être entendu ; .
– « Tu vas voir ça avec cette mère Tapedur...On n'a
pas intérêt à faire les mariolles ...Il va falloir pleurer le plus tôt possible
parce qu’elle dit que la fessée ne commence vraiment qu'à partir de ce moment-là !
Avant, ça ne compte pas... de toutes façons on est cuits ! Alors
... »
La mère de Rodolphe repartie, Bettina s’approcha des deux
garçons, à pas lents, prenant tout son temps. La mine réjouie, le sourire
carnassier, elle fit semblant d’hésiter.
– « Alors jeunes gens, on fait moins les malins
maintenant... Hein ? Voyons, voyons... par qui je vais commencer ?
Laquelle de ces deux postérieurs je vais corriger en premier ? »
Elle se mit à les
contourner en faisant ostensiblement claquer ses talons aiguille sur le dallage
de la terrasse.
– « Comme c'est agréable de voir des slips aussi bien remplis !
C'est qu'on commence à avoir de bons gros fessiers pour des garçons de votre âge ....! De belles paires de fesses comme ça, cela doit
être parfait pour recevoir toutes les fessées qu’on mérite ? Et pour en
avoir d'aussi développées, c’est sans doute parce que vous en recevez déjà
pas mal des bonnes fessées déculottées ? De votre brave Maman à qui vous en
faites voir de toutes les couleurs, hum ? »
Sous le regard amusé de Gladys, Bettina continue à tourner
autour d'eux, comme une prédatrice, prête à fondre sur ses proies. Prolongeant
à plaisir l'atroce attente des fessées et se régalait à sermonner les deux
jeunes gens qui ne pouvaient rien faire d'autre que de serrer les fesses. Elle les traite comme des enfants mal élevés
--« Alors qu’est-ce que ça mérite de vilains garnements de votre
âge ? Eh ben ! vous avez perdu votre langue ? Je croyais pourtant que vous aimiez
causer … A tort et à travers même....à baver sur mon compte ! Alors ! vous
me répondez, oui ou non ? Ou vous voulez me mettre un peu plus en
colère ? »
Robin se lance.
– « Euuh Non, M’dame on veut pas vous fâcher …
– Ah bon ! Parce que tu crois que je suis déjà fâchée ?
– Ben oui, M'dame... On dirait bien...
– Et alors ? J'attends... J’ai demandé ce que ça mérite des
sales petits morveux comme vous deux ?
– Ben .....la fessée, M’dame !
Elle reste
silencieuse , attendant une suite. C’est Rodolphe qui prend le relais...
Servile comme d'habitude. .
– La fessée déculottée, M’dame Bettina...Une bonne fessée
déculottée, devant tout le monde … »
Robin ne veut pas lui laisser le bénéfice de cette réponse,
meilleure que la sienne et intervient, un rien faux jeton lui aussi.
– « Ben ....une bonne fessée....c’est toujours
déculotté...cul tout nu , bien sûr ! »
Bettina savoure de les sentir entièrement à sa main et
reprend sur un ton très calme avec le sourire.
– « Eh bien moi, mes petits chéris, je vais vous flanquer
une-de-ces ''fessssées'' ... A vous en faire éclater le derrière !
Elle a commencé
cette phrase sur un ton presque doucereux et l’a terminé en criant, l’air
féroce en insistant bien sur chaque syllabe et en faisant longuement siffler
les ''S'' du mot ''fessée'' entre ses dents serrées. Ce qui rend l'annonce
encore plus impressionnante.
Robin, transi de trouille , sent une ligne de sueur lui dégouliner dans la raie des
fesses, qui se rétractent au fond de
son slip. L'idée qu'elle leur flanquer une fessée si sévère qu'elle serait
capable de leur éclater le derrière, le terrorise. Même s'il ne s'agit que
d'une expression, ça donne une idée de l'ampleur de la correction qu'elle a
l'intention de leur administrer. Heureusement qu'il a pris la précaution
d'aller aux toilettes avant de partir parce que, sinon, il n’aurait peut-être pas pu se retenir.
C’est à cet instant, peut-être en raison de l'atmosphère
ambiant autour de la préparation des fessées, que Gladys, agacée par la
conversation bruyante et alcoolisée entre Walter et son mari, interpelle
brusquement celui-ci.
– « Edouard ! Viens ici ! Tout de suite !
Il lui jette un regard inquiet ;
– Mais ... mais chérie pourquoi ? .. Je discute avec
Walter !
– C'est ça... Tu crois que je ne vous vois pas en train de
boire tous les deux ? Je t'ai fait venir ici pour assister à la punition
de Robin et Rodolphe... pas pour picoler !
– Ah...J'ai juste bu
un...
– Tais toi ! Ça suffit ! Baisse ton pantalon et
viens te mettre à genoux sur le banc à côté de moi, tes fesses bien en vue ! »
Il obéit immédiatement sans plus broncher et se dirige vers
le banc pour s’installer près d'elle du côté opposé à Bettina. Mais Gladys rectifie.
--« Non ! entre Bettina et moi ! »
Il s’agenouille les coudes appuyés sur le dossier du banc
en creusant les reins comme elle l'a dressé à le faire, exposant ainsi un
superbe postérieur, solidement culotté dans un slip à fessée du meilleur effet. Dans cette
position, son large fessier bien épanoui, en devient fortement attractif.
Pendant quelques instants, Bettina, comblée, passe tour à
tour des fesses des deux garçons à celles d' Edouard. N'ayant jusqu'alors
jamais eu l'occasion de les voir de si près, elle jubile en les enveloppant
d'un regard admiratif.
– « Aaah Gladys... il a un de ces culs, votre mari ! Alors
ça !...Pour une belle paire de fesses, c’est une sacrée belle paire ! Le
mien en a une bonne aussi... mais celle-là !»
Walter, qui a entendu l'allusion comparative à son anatomie
et voit Edouard à moitié déculotté, le derrière en dangereuse posture,
s'inquiète à son tour. Du coup, il se ressert une rasade de Genièvre, pendant
que son épouse continue de s'extasier sur le plantureux postérieur de son ami,
sans faire attention à lui .
– « Et bien !...Vous en avez de la chance, Gladys !
Un fessier comme celui-là, ça doit demander qu'on s'en occupe souvent. Il a besoin
de se faire dresser non ? Il faut pas lui en promettre dites
donc ! »
– Oh que si ! D'ailleurs, vous ratez rarement une
occasion de le vérifier par vous-même. Des déculottées, je lui en promets, et
je lui en mets... Je tiens toujours mes promesses, et plutôt deux fois qu'une,
quand il s'agit de ses fesses ! »
Les deux femmes éclatent de rire en même temps. Puis,
Bettina, reprenant un air sévère,
reporte son attention sur Robin et Rodolphe qui attendent leur fessée,
en slip, debout devant elle. De plus en
plus menaçante, elle se remet à tourner autour de ses proies en continuant à
les sermonner, sans chercher à
dissimuler son plaisir. Elle jubile même.
– « Alors ! comme ça je suis folle ! Bonne à enfermer ! Une pauvre
débile qui ne sait plus ce qu’elle fait ! Qui a perdu la tête ! Qui n’en
a peut-être jamais eu d’abord ? Ou alors toute vide , toute
creuse ! »
Robin croit que c’est le moment de tenter de minimiser leur
faute , le moment ou jamais ....
--« Ooh non, M’dame Bettina, on n'a jamais dit ça …
Euuh, c’est pas ce qu’on a dit ... »
Elle l'interrompt, les mains sur les hanches.
– « Ah bon ? c’est une invention alors ...de la pauvre dingue que
je suis ? Ou alors c’est la mère de ton copain qui est une menteuse ?
– Ah ça,
non !.. »
Rodolphe monte au créneau pour défendre sa mère.
– « Non M’dame ! ma mère c’est pas une
menteuse ! Mais on n’a jamais dit tout ce que vous avez dit qu’on a
dit, et même, qu’on l’a pas dit puisqu’on n' a pas dit ce qu’on a dit que
vous croyez qu’on a dit !... »
Malgré leur situation critique, Robin se retient de
sourire. C'est du Rodolphe dans le texte. Un embrouillamini de mots et de
phrases sans queue ni tête pour jeter la confusion et gagner du temps pour
reculer l'échéance de la fessée.
Bettina en reste un
instant ébahie. Aussi incrédule qu'après une soudaine apparition de Bernadette
Soubirou en petite culotte sur la table de jardin.
Robin essaie d’employer un argument plus compréhensible.
– « C’était pour rigoler, M’dame Bettina... C’était
dans un jeu où on inventait des histoires ...je lui avais dit qu’il fallait pas
répéter cela... à personne ! »
Mais Rodolphe s'entête à vouloir se disculper.
– « Ah mais ça c’est pas vrai M’dame ! Il m’avait dit de ne pas
dire ce que j’ai pas dit, mais il m’a pas dit... de pas dire ce que j’ai
dit ! »
Robin s'inquiète de le voir en rajouter. A part lui, il ne
sait pas si quelqu’un d’autre sur terre peut comprendre le Rodolphe. En tout cas, pas Bettina, interloquée qui
essaye de démêler et de remettre en ordre tous ces bouts de phrases décousues
pour leur donner un sens. Elle lance un coup d'œil interrogateur à Gladys plutôt amusée de
la manière dont les garçons continuent de se ridiculiser en s'enfonçant
dans le mensonge. D'un hochement de tête significatif, elle lui fait comprendre
que leur comédie a assez duré.
– « Vous voyez bien qu'ils essayent de gagner du temps... Aller, la
fessée ! Tout de suite I
»
Bettina se reprend vite et c’est Robin qui en fait les
frais.
– « Toi qui fait le malin ! C’est toi qui vas l’avoir la première fessée ! Allez
! Déculotte-toi et viens sur mes genoux... tout de
suite ! »
Robin sent qu'il n’a plus rien d'autre à
faire qu’obéir. Il saisit l'élastique de son slip, et se déculotte, sans regret
car il lui entrait entre les fesses et ne les protégeait nullement, mais tout
de même apeuré par ce qui l'attend. Mais ce n’est pas suffisant pour Bettina.
– « Toi aussi Rodolphe, tu te déculottes, le slip aux
cuisses, et à genoux, là, devant moi ! Comme ça tu vas bien regarder comment
ton copain reçoit sa fessée, parce qu’après, ce sera ton tour et tu auras droit
à la même ! »
Rodolphe s’exécute mais ne peut s’empêcher de protester
encore.
– « Mais là , M’dame... Il y a plein de cailloux !
Bettina lui répliqua en retroussant sa courte jupe sur ses
cuisses, au-dessus de ses jarretelles.
– « Ces cailloux cela s’appelle des graviers, petit
imbécile ! Et c’est excellent pour les genoux des petits voyous de ton espèce ...tu
vas voir ! »
Il n’insiste pas et s’agenouille à l’endroit désigné,
tandis que Robin se présente devant elle, le pantalon sur les chevilles, les
petits doigts sur l'élastique de son slip, tendu au milieu des cuisses. Le ventre noué, il est
prêt pour sa fessée. Sans espoir, il tourne machinalement la tête vers sa mère.
Gladys imperturbable, regarde la scène avec un petit sourire en coin, la main
posée sur les fesses d'Edouard, dont elle tapote négligemment les rondeurs
débordant de son slip en signe de possession. Quant à lui, toujours à
genoux, sagement calée sous le bras de son épouse, il sait qu'elle peut lui en claquer une aux fesses à n'importe quel moment
si l'envie lui en prend. Walter, semble parfaitement indifférent. Il somnole à
moitié, en tête à tête avec sa bouteille qu’il
surveille d’un air attendri.
Résigné, Robin s'installe sur les genoux de Bettina et, en
appuis sur les mains posées à plat parterre, lui tend son derrière déculotté,
comme il sait qu'il doit le positionner pour recevoir une fessée. Il le soulève
docilement et l’arrondit au maximum afin de le lui présenter, parfaitement exposé à sa main. Il sent
alors son bras gauche s’enrouler autour de sa taille et le lui monter encore plus haut, l'obligeant à l'épanouir au maximum.
Il sait, par expérience, et elle aussi, que plus le postérieur est tendu, plus
la fessée claque fort et devient vite cuisante.
Cette idée fut immédiatement confirmée par une formidable
claque qui lui fit sauter le derrière tout entier. Tout en le sermonnant,
Bettina avait commencé à lui flanquer sa fessée qu’elle lui balançait sur le derrière à
toute volée ;
– « Prépare tes fesses à s'en prendre une sévère
mon mignon, comme elles ont encore jamais n’en reçu. Et je te garantis que celle-là, elles ne seront pas prêtes de
l'oublier ! »
-
Robin serre les dents. Les larmes commencent déjà à lui
monter aux yeux. Bettina lui semblait avoir une force extraordinaire et sa main
était dure et cinglante. La fessée crépitait sans relâche. Contrairement à sa
mère, elle ne s’embarrassait ni de progressivité ni de varier la cadence des
claques. Elle claquait rageusement, à toute vitesse et de toutes ses forces, comme si elle
voulait lui aplatir le derrière que néanmoins elle l’obligeait à bomber au
maximum. Il était tellement tendu, qu'il semblait renvoyer sa main en l’air en lui redonnant à chaque fois un nouvel
élan pour claquer toujours plus fort dessus.
Tout en fessant, elle lui fait la leçon.
– « Alors, mon petit ami, comme ça on raconte partout que Bettina
aime la fessée ! Hein ?
– Euuh non... Aiiiie ! Noon... Madame !
– Comment ça non !... Tu mens en plus !!
– Aiiiie ! Non Mad... Raiiiie ! Euh si …
non !! Rahhhh, Pas si fort !!! Aouiiiile !
– Et bien non...Je n'aime pas la fessée.... Je l'adore...
J'adore l'administrer ! Surtout quand j'ai une aussi belle paire de
fesses que les tiennes sous la main !!...
Et tu la sens ma main, là, comme elle claque sur tes fesses ! Tiens
! tiens ! tiens ! Tu sens comme elle claque bien ?
– Raaaah oui madame ! Oui !.. Elle claque
bien... Ouille ! trop...trop fort même ! Pitié ! !
– Aaaah , on fait moins l'arrogant,
maintenant qu'on se la prend sa fessée, hein ! Maintenant que je te
les chauffe bien tes grosses fesses d'insolent personnage. Menteur, hypocrite !
Je vais te montrer, à toi et ton petit copain, à quel point j'aime la
fessée ! »
Robin s’était mis à hurler alors que les larmes avaient jailli de ses yeux et que leur goût salé lui
emplissait la bouche. Il avait beau ruer du derrière comme un forcené, Bettina femme le tenait
fermement plaqué sur ses cuisses et maîtrisait, sans difficulté, les sursauts
de son lourd fessier qu'elle claquait à pleine main en cuisants allers et
retours.
Depuis le temps qu'elle en avait envie, les yeux rivés sur
la cible charnue, elle s'en gavait de ces belles fesses fermes qu'elle faisait
tressauter et chauffer sous sa paume bien enveloppante. Elle sentait, avec une
délicieuse émotion, le ventre de sa victime rebondir en cadence sur ses jarretelles dont elle
savait que les boucles métalliques lui marquaient douloureusement la peau.
Démarrée sur les
chapeaux de roue, sans échauffement préalable,
la magistrale fessée se poursuivait sans répit au même rythme infernal
et avec une puissance qui semblait s’accroître sans arrêt. Et cela durait, durait sans qu’elle arrête de tourmenter sa
victime, en lui annonçant les pires souffrances.
– « Aaah, tu vas t'en souvenir de cette fessée !
Je te promets que ça va te chauffer dur dans le slip quand tu vas te
reculotter ! Les fesses vont te cuire tellement longtemps que tu ne pourras pas t'asseoir pendant
plusieurs jours !! »
Robin, n'essayait
même plus de résister. Effondré sur ses genoux, il s'efforçait cependant de lui présenter une rebondissante paire de fesses bien
positionnée et parfaitement tendue, dont elle profitait sans vergogne pour s'en
mettre plein la main. Les larmes qui emplissaient ses yeux l'empêchaient de
voir quoi que ce soit et ses cris l’empêchaient de prononcer un seul mot. Il
réalisait seulement que ses fesses ne lui appartenaient plus.
Cette interminable fessée, lui avait fait
perdre la notion exacte du temps, de son environnement et même de tout ce qui n’était
pas le bas de son corps. Il n’était plus qu’une
cuisante paire de fesses sur laquelle s’abattaient sans cesse des claques de
plus en plus fortes et qui faisaient de plus en plus mal. La chaleur de son
postérieur était si intense qu’elle lui semblait être une fatalité, comme si
elle était devenue naturelle et devrait être supportée, sans rémission, ni
atténuation... La seule chose qu'il ruminait c'est que viendra
le tour” de Rodolphe, et donc plus le sien...mais quand ?
De temps en temps, il tournait
la tête en direction de sa mère et essayait
de distinguer son visage à travers l’écran de ses larmes...Mais pas
de secours en vue de ce côté. Elle
savourait le déroulement de sa fessée, tout en gardant Edouard à genoux
sous son bras. De temps en temps, sans doute excitée par le spectacle, elle
plongeait la main dans son slip et lui tapotait les fesses sous le nylon, tout
en stimulant Bettina de la voix. Celle-ci mettait tant de cœur à l'ouvrage qu'elle n'en
avait pas vraiment besoin, mais c'était une façon de participer à la
punition.
– « Vous pouvez y aller Bettina... plus
fort ! Fessez le dur ! Il a un derrière très endurant qui a besoin de
solides fessées pour être bien corrigé... Comme il le mérite ! ».
-
Walter,
assommé par les petits verres de Genièvre qu’il avait ingurgité commençait à
sombrer dans le néant.
La fessée continuait, implacablement ...Robin
les fesses écarlates et cuisante sous les claquées, braillait
sans espoir ! Rodolphe, à genoux devant lui, le slip sur les cuisses,
le regardait prendre sa déculottée d’un air effaré, se dandinant d’un genou sur
l’autre en attendant son tour.
Walter, la tête dans son coude, maintenant
écroulée sur sa table de jardin, dormait profondément. Edouard, humilié devant tout le monde, s'inquiétait de
sentir la main enveloppante de sa femme lui caresser les fesses avec
insistance. Celles de
Robin continuaient à retentir dans le jardin sans que Bettina ne manifeste
aucun signe de fatigue ...pas plus que de pitié . Personne d’ailleurs n’avait
pitié de lui en cette circonstance ! Certainement pas sa mère, qui ne cachait
pas sa satisfaction de voir les grosses fesses de son fils aussi bien
corrigées, tressauter en cadence sous la main ferme de Bettina. Sa
démonstration de sévérité se révélait à la hauteur de ses provocantes
déclarations.
Brusquement,
toutefois, sa belle main claqueuse resta en l’air et retomba un peu moins fort sur les fesses de sa victime. Sans doute
réveillé par le claquement assourdissant de la fessée, Walter tonnait en
s’adressant à elle.
– « Bon, ça suffit comme ça. T'es pas obligée de taper aussi fort, ça fait un boucan d'enfer !
Tu lui as
mis sa fessée, tu t’es bien amusée avec ses fesses, alors t’arrêtes maintenant
, t’as assez rigolé ! Tout le monde sait que tu aimes ça, mais tu ne vas pas lui
claquer le derrière jusqu'à ce soir !»
La main en l'air, prête à retomber sur le fessier en
feu, Bettina proteste.
– « Non mais Walter, de quoi tu te mêles ? Des fessées j'en
mets comme je veux et aussi longtemps que j'en ai envie ! Et tu t'es vu
quand t'as bu ? Tu mériterais que je t'en mette une aussi de fessée...
Tiens ! »
Mais Walter, mal réveillé, encore embrumé et enhardi par
l'alcool, n'est pas d'humeur. Pour une
fois, il ne se laisse pas impressionner par sa femme.
. “ T’arrêtes oui ! Ou c'est moi qui t'en colle une, sur
tes grosses fesses... Et devant tout le monde ! »
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons
des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais
nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée
est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 30
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
la position fessée sur les genoux est une tuerie.on dirait moi quand je reçois une bonne fessée.kelly payne excelle dans cette façon de fesser.je me demande si Anne-Sophie a main nue est capable de fesser un garnement de cette manière.(fessée rouge écarlate bien sur)
RépondreSupprimerserge
Bonjour Serge,
RépondreSupprimerVous parlez en connaisseur avec l'expérience d'une bonne pratique. C'est sans doute votre position favorite! Je ne sais pas si elle est "une tuerie" en tout cas elle est efficace pour se prendre une magistrale fessée. C'est vrai qu'ainsi présenté un fessier est particulièrement attractif. (J'aime bien représenter ces beaux gros derrières en pleine "activité" ! rire ) Bettina peut tout à loisir le monter à l'écarlate...
Quant à Anne Sophie, d'après les récits de ceux qui sont passés entre ses mains, elle en serait peut être bien capable.
Cordialement
Ramina
Bonsoir messieurs,
SupprimerCe récit m'a bien fait rire. Non pas de la déveine de ces quatre mousquetaires de la fessée mais de cet espèce de sketch que nous ont servi Castor et Pollux. Du Devos pur et simple.
Mam'e Térèze a raté une belle occasion de tenir la baquette et de faire chanter ces oiseaux-là0 A charge de revanche comme on dit. Courage, les champions.
Amicalement. Peter.
Anne sophie a l'air de beaucoup utiliser des instruments.c'est pourquoi j'ai précisé a main nue.
RépondreSupprimerIl semblerait oui... après une bonne préparation des fesses à la main. Un derrière, ça se prépare...
RépondreSupprimerMais personnellement je pense que les fessées à la main doivent procurer de meilleures sensations dans un contact physique direct... corps à corps. Sentir une main claquer sur ses fesses et pour celui qui donne, leurs vibrations et la chaleur monter progressivement...
Plus sensuel qu'un morceau de cuir non ?
entièrement d'accord avec vous ramina.rien ne vaut une bonne fessée manuelle!c'est tellement plus chaleureux et maternel.la difficulté est qu'il faut avoir une main solide et un bras endurant.c'est pourquoi la plupart des fesseurs(ses)utilisent des instruments,c'est pour reposer leurs mains endolories.
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