Sylvie connaissait
depuis longtemps son goût pour la fessée, c'est d'ailleurs ce qui les avait rapprochées,
elle fessait régulièrement son mari Gérard et Isabelle, célibataire endurcie, claquait
aussi bien les fesses de ses amants que celles de ses amies où même subordonnées.
Elle était cadre infirmière dans un centre de rééducation et elle profitait de son
statut pour plier à ses volontés les jeunes infirmières ou les aides-soignantes,
plus d'une était ressortie de son bureau après son entretien annuel avec les yeux
rougis et une paire de fesses brûlantes sous la blouse.
Sylvie s'approcha du
portillon qui séparait leur jardin, les pleurs et les supplications étaient ceux
d'une dame, elle n'eut que quelques pas à faire pour jeter un œil à l'intérieur.
Le spectacle ne la surprit pas. Isabelle tenait couchée sur ses genoux une dame
d'un certain âge. la jupe était retroussée, le fond de la culotte à fessée avait
été rabattu, découvrant une plantureuse paire de fesses. La couleur de cette superbe
croupe ne laissait aucun doute sur la sévérité de la punition. La dame en question
malgré son âge, pleurait comme une gamine sur les genoux de sa Maman, elle promettait
de ne plus recommencer.
- j'espère bien que
vous ne recommencerez plus, c'est fait pour ça la fessée, pour faire rentrer les
bonnes résolutions par vos fesses, c'est la meilleure façon qu'elle y reste. Ah,
je vous y reprendrai à lire des magazines au lieu de travailler, aller encore quelques
claques et ces fesses seront à bonne température.
Pendant toute cette
tirade, la main n'avait pas cessé ses allers et retours sur le fessier bien tendu
par la position, soudain elle aperçut Sylvie.
- ah, c'est toi, entre
ma chérie, tu sais bien que je considère qu'il n'y a rien de mieux qu'une bonne
fessée déculottée en public pour corriger les fainéantes. Je te présente les fesses
de Madame Vallier, elles ont bonne mine n'est-ce pas. Bon cessez vos jérémiades,
je n'en ai pas encore fini avec votre derrière, en attendant vous allez faire un
petit séjour au coin, ça va les faire refroidir et ça vous permettra de réfléchir.
Madame Vallier n'était
plus une dame de cinquante ans, elle était une soubrette paresseuse corrigée par
sa patronne comme au siècle dernier. D'ailleurs elle en avait la tenue, une petite
robe noire avec un tablier blanc, des bas noirs et des chaussures à talons. La seule
différence était ses dessous, une culotte à fessée tout droit sortie de chez Madame
Rose, le fond avait été dégrafé et il pendait sous les fesses écarlates. Avant de
lui faire rejoindre le coin, Isabelle passa sans façon sa main entre les cuisses
pour dégrafer la dernière pression et le fond se détacha entièrement découvrant
parfaitement le volumineux fessier, elle coinça la jupe dans la ceinture et d'une
vigoureuse claque encouragea sa bonne à rejoindre le coin.
- les mains sur la tête
et le nez au mur et vite ! Et je ne veux plus vous entendre.
Elle invita ensuite
Sylvie à s'asseoir pour prendre un thé. Celle-ci était toujours admirative devant
la technique de son amie et sa capacité à administrer des fessées à quasiment toutes
les personnes qu'elle rencontrait.
- dis-moi, ça fait longtemps
que Madame Vallier travaille chez toi, je n'avais pas eu encore l'occasion de la
rencontrer, encore moins ses fesses d'ailleurs.
- oh, ça fait juste
15 jours, mais comme tu vois, elle connaît déjà les habitudes de la maison. En fait
Hortense m'a été recommandée par une association d'aide aux chômeurs en fin de droit,
tu connais mon grand cœur, j'ai accepté de l'embaucher avec un bon salaire, à une
seule condition, qu'elle accepte en cas de faute d'être corrigée comme on punissait
les bonnes au siècle dernier, c'est à dire par des châtiments corporels. Je ne l'ai
pas forcée, elle est logée, nourrie et en cas de besoin, fessée... Je pense que
nous y trouvons toutes les deux notre compte. Et puis si tu regardes sa belle paire
de fesses, ça serait dommage de ne pas s'en occuper.
En effet les deux globes
jumeaux, offraient aux deux amatrices de fessée un spectacle merveilleux, on aurait
dit deux tomates bien mûres séparées par le profond sillon de la raie fessière.
Elle appela sa bonne.
- bien, Hortense, allez
me chercher le martinet dans la cuisine !
- oh, non Madame, pardon,
pas le martinet, s'il-vous-plaît, pardon...
- qu'est-ce que c'est
que ces façons, ce n'est pas parce qu'il y a Sylvie que vous n'aurez pas la suite
de votre fessée, dépêchez-vous d'aller me chercher ce martinet, sinon je double
la punition et je demande à Sylvie de vous administrez la deuxième.
Cette menace finit de
convaincre Madame Vallier d'obéir et elle se dirigea vers la cuisine en exposant
ses fesses écarlates. Elle revint quelques instants plus tard, penaude, tenant dans
sa main l'instrument de sa correction, Isabelle lui indiqua un fauteuil.
- mettez-vous à genoux
et tendez-moi bien vos fesses, vous savez que si vous bougez, la correction est
doublée et je demanderai à Sylvie de vous faire goûter à sa brosse à cheveux.
Puis s'adressant à son
amie,
- tu vois, avec un bon
martinet numéro 2 de Madame Rose, c'est la meilleure position, regarde-moi ce fessier
bien tendu, il n'attend que ça, une bonne danse des fesses.
Effectivement, les fesses
d'Hortense se mirent à danser au rythme du martinet qui cinglait son derrière, elle
ne quittait pas la position, mais ses fesses joufflues, se serraient, s'ouvraient,
ses pieds trépignaient, elle laissait voir son intimité mais toute à la brûlure
qui lui enflammait la croupe elle n'en avait cure. Elle suppliait sa maîtresse de
cesser la punition mais Isabelle en fesseuse avertie n'arrêtait la punition que
quand les larmes coulaient sur les joues de la punie. Bientôt Madame Vallier ne
fut plus qu'une gamine sanglotante, Isabelle se recula pour contempler son œuvre,
le fessier rubicond présentait des traces plus sombres et entremêlées c’étaient
les lanières du martinet qui avaient laissés leurs signatures. Elle fit relever
sa bonne et s'asseyant sur une chaise, elle la fit basculer en travers de ses genoux.
- nous n'en avons pas
encore fini ma petite, Sylvie peux-tu me faire passer le coffret qui est sur le
meuble.
Sylvie lui apporta cette
petite boîte rose, Isabelle l'ouvrit et lui montra ce qu'elle contenait, une série
de 4 plugs de taille croissante.
- c'est ma dernière
acquisition chez Madame Rose, ce sont des plugs électroniques avec un compteur qui
permet de contrôler si la punie a essayé de toucher l'instrument punitif, Hortense
va avoir droit au numéro 2, hier elle a passé la soirée avec le numéro 1, apparemment
ça n'a pas suffi puisqu'elle a encore désobéi. Allez ma petite on me desserre ces
fesses et vite, vous savez que ma brosse à cheveux n'est pas loin, voilà c'est bien,
allez encore un peu, que je voie bien votre petit trou du cul...
Elle s'amusait de la
gêne de cette dame contrainte bien malgré elle d'exposer en public son intimité,
surtout qu'elle voyait bien que Sylvie n'en perdait pas une miette. Elle mit une
noisette de vaseline sur l'anus et le plug pénétra lentement sous les gémissements
d'Hortense, quand il arriva en butée, elle relâcha les fesses qu'elle tenait écartées
et la rondelle blanche du plug apparu serrée dans la raie fessière au milieu des
plantureuses fesses écarlates.
- vous voilà bien garnie
pour la soirée, vous allez retourner au travail avec les fesses à l'air, ça les
fera refroidir.
Elle avait fait relever
sa bonne et lui avait claqué vigoureusement la croupe pour lui signifier que c'était
l'heure de travailler. Et c'est en marchant à petit pas, gênée par le plug planté
dans son fondement, la jupe épinglée dans le dos pour bien montrer ses fesses rouges
dégagées par l'absence de fond de culotte que Madame Vallier se dirigea vers la
cuisine.
Sylvie était émerveillée
par l'imagination perverse de son amie, elle applaudit au spectacle.
- super, il faut absolument
que je fasse goûter ça à mon petit chéri, c'est chez Madame Rose que tu as trouvé
ça, je vais y aller dès demain.
Isabelle lui sourit
mais elle ajouta
- je crois que Madame
Rose s'occupe personnellement de la vente de cet accessoire.
Le lendemain, Sylvie se présenta à l'institut,
c'est Aurélie qui la reçu, dès qu'elle lui eut fait part de sa demande elle lui
dit.
- pour cet instrument,
il faut voir avec Madame Rose, c'est un peu particulier, il faut une démonstration.
Un peu surprise, Sylvie
alla s'asseoir et contempla le spectacle, à savoir trois paires de fesses bien rouges,
deux masculines et une féminine, ce fut celle-ci qui eut les faveurs d'Aurèlie,
- Madame De Nouvel,
reculottez-vous et venez me voir.
Élisabeth s'exécuta
et se présenta à sa jeune maîtresse, celle-ci lui saisit la main et la fit basculer
en travers de ses genoux, elle fut surprise car elle pensait en remontant sa culotte
en avoir fini avec sa punition mais c'était sans compter sur la perversion d'Aurélie,
ce qu'elle appréciait le plus dans la fessée, c'était le déculottage, ce moment
où ces bourgeoises perdaient toute leur superbe en sentant le fin tissu de leur
culotte descendre sur leurs fesses, ce moment où elles redevenaient des gamines
allongées sur les genoux de leur Maman. Elle prenait toujours son temps et elle
accompagnait ce déculottage de commentaires pour augmenter la confusion de ces dames.
- et oui Madame, une
bonne fessée déculottée, voilà ce que vous méritez, c'est encore rouge, mais j'ai
peur que vous n'attrapiez froid, allez une petite fessée de Tatie Aurélie et vous
aurez une paire de fesses bien chaudes.
Elle se régalait du
spectacle de cette dame qui avait l'âge de sa grand-mère couchée sur ses genoux,
la culotte baissée prête à recevoir un châtiment enfantin. Elle ne perdit plus de
temps et levant la main, elle se mit en devoir d'administrer une magnifique fessée
à la baronne De Nouvel. Elle préférait également la bonne vieille fessée à la main,
même si elle ne rechignait pas à utiliser des instruments pour des corrections sévères,
mais la fessée déculottée manuelle ramenait vraiment ces dames à l'enfance. Effectivement
Élisabeth se comporta rapidement en mauvaise élève réclamant la clémence de sa maîtresse
mais elle reçut malgré tout l'intégralité de la fessée prévue. C'est à ce moment-là
que le bureau de Madame Rose s'ouvrit et qu'elle appela Sylvie.
- bonjour Madame, alors
comme ça, vous désirez acheter des plugs électroniques, il faut savoir que la mise
en place de cet instrument nécessite une certaine technique, je dois vous la montrer
et vous devez également l'essayer.
Sylvie fit une légère
grimace
- euh, vous voulez dire
que vous allez me mettre un plug, je ne suis pas d'accord, non ce n'est pas possible..
- mais ma chère, je
ne vous demande pas votre avis, c'était juste une information, à partir du moment
où vous êtes entrée dans ce bureau avec cette demande, c'est moi qui décide.
- mais, enfin, ce n'est
pas possible, vous n'y pensez pas.
Madame Rose s'était
levée et s'approchait de Sylvie, celle-ci subjuguée par le regard sévère de la maîtresse
des lieux, protestait de plus en plus faiblement, mais elle reculait un peu. Madame
Rose lui saisit la main et l'attira à elle.
- Madame, vous devriez
savoir qu'ici, on ne désobéi pas, je suppose que votre mari vous l'a dit.
Comme Sylvie faisait
mine de reculer, Madame Rose mis son pied sur un petit tabouret et d'un geste brusque,
la fit basculer sur sa cuisse surélevée. La manœuvre avait été si rapide que Sylvie
ne put résister, en quelques instants elle avait compris la situation, elle se retrouvait
en fâcheuse posture, prête à recevoir une bonne fessée, elle essaya de se dégager
mais Madame Rose depuis le temps qu'elle administrait des fessées possédait une
technique remarquable, la taille de Sylvie était bien tenue, ses pieds étaient décollés
du sol, elle s'agrippa au tabouret et se mit à protester.
- arrêtez, c'est ridicule,
vous n'avez pas le droit.
Mais ses plaintes étaient
inutiles, elle sentit sa jupe se relever et immédiatement l'air frais sur ses fesses,
signe de leurs mises à nu. La brûlure qui suivi fut intense, Sylvie était une fesseuse,
Gérard goûtait souvent à ses redoutables déculottées, mais sa dernière fessée remontait
à l'enfance, ce retour en arrière fut brutal, Madame Rose détestait qu'on lui résiste
et une première fessée devait marquer la punie, donc la fessée fut sévère et quand
elle relâcha Sylvie, les fesses de celle-ci étaient écarlates, elle fit mine de
les frotter, ce qui lui valut une réprimande immédiate.
- on ne frotte pas ses
fesses après la fessée ! Bien alors on est décidée à prendre un petit plug dans
son joli derrière ?
Sylvie les yeux rougis
fit signe que oui. Madame Rose appela Aurélie.
- je vais mettre un
plug à cette dame, elle va le garder tout l'après-midi, vous lui faites un lavement.
Sylvie grimaça à cette
annonce, elle tenta une négociation
- euh, le lavement,
c'est obligatoire ?
- tout à fait Madame,
si vous n'aviez pas fait ces manières, je vous aurais mis le plug pendant 2h et
il n'aurait pas été utile de vous faire un lavement, mais là vous êtes punie et
vous allez me le garder au moins 4h, donc lavement obligatoire, bon assez discuté,
vous suivez cette demoiselle et si Madame n'est pas sage, je compte sur vous Aurélie.
La jeune femme acquiesça
avec un grand sourire et comme si c'était naturel elle prit Sylvie par l'oreille
comme une mauvaise élève punie.
- allez Madame, en piste
pour le lavement.
Sylvie ressentait encore
la cuisson sur ses fesses aussi elle ne protesta pas. Dix minutes plus tard elle
était de retour dans le bureau de Madame Rose, les joues rouges et les yeux larmoyants,
laissaient deviner que la séance avec Aurélie avait dut être cuisante. La maîtresse
femme s'en rendit compte.
- alors ça s’est bien
passé ?
Aurélie fit pivoter
Sylvie, sa jupe était épinglée dans le dos, sa culotte descendue aux genoux et ses
fesses étaient d'un rouge éclatant du bas du dos à la racine des cuisses.
- Madame a eu un peu
de mal à écarter les fesses, j'ai dû l'aider avec mademoiselle Claquefesse.
Aurélie souriait, fier
du résultat de son travail, elle tenait à la main l'instrument dénommé mademoiselle
Claquefesse, c'était une petite raquette en bois de la taille approximative d'une
fesse, percée de petits trous.
- eh bien Madame, je
vous avais demandé d'être sage, décidément il y a encore du travail, bon en position.
Elle s'était assise
sur une chaise, elle bascula Sylvie en travers de ses cuisses et lui fit écarter
les jambes, avec sa main gauche elle écarta les deux globes fessiers puis elle déposa
une noisette de vaseline sur l'anus.
- on se détend et on
ne serre pas les fesses, sinon mademoiselle Claquefesse va reprendre du service.
Elle avait pris un plug
de petite taille et elle le déposa sur l'orifice.
- voilà un bon petit
suppositoire, comme votre Maman vous en mettait, allez on se relâche.
Sylvie gémissait doucement
au viol de son intimité mais instruite par la fessée administrée par Aurélie elle
se laissait faire. L'instrument punitif disparut complètement, ne dépassait plus
que la petite rondelle blanche. Madame Rose lui tapota les fesses brûlantes.
- c'est bien, vous avez
été sage, mais comme Aurélie a été obligée de sévir, vous allez faire un petit séjour
au coin dans le hall, ça vous fera réfléchir.
Elle la fit se relever
et Aurélie qui n'attendait que cela, la prit à nouveau par l'oreille pour la conduire
au coin, endroit qu'elle faisait souvent découvrir à son mari, mais cette fois ci,
c'était son tour d'exposer sa croupe écarlate, avec la culotte descendue à mi-cuisse,
Aurélie lui fit mettre les mains sur la tête et accompagna la dernière consigne
d'une vigoureuse claque sur les fesses.
- on colle bien son
nez contre le mur et on ne bouge pas.
Sylvie resta en pénitence
pendant une demi-heure, puis Aurélie l'appela.
- bien, vous connaissez
le principe de ce plug, toute manœuvre pour y toucher ou l'enlever est notée sur
le compteur donc je vous déconseille de mettre votre main dessus. Madame Rose en
raison de votre indiscipline a décidé que vous le garderiez jusqu'à dix-neuf
heures, l'institut sera fermé, j'ai appelé votre amie Isabelle, c'est elle qui se
chargera de vous l'enlever et de vérifier le compteur. Tournez-vous que je voie
un peu vos fesses, bon elles ont un peu refroidi, je ne voudrais pas que vous attrapiez
froid.
Elle s'assit et fit
basculer une nouvelle fois la pauvre Sylvie dans cette position enfantine et elle
se mit en devoir de lui administrer une vigoureuse fessée. Elle ne put s'empêcher
de pleurer et d'implorer la clémence de la jeune femme qui bien sûr n'en eu cure
et continua la correction jusqu'à son terme. Elle la fit se relever mais ne lui
remonta pas la culotte et c'est donc fesses à l'air qu'elle régla l'achat de la
boîte de plug sous le regard narquois d'Aurélie. Une jeune femme attendait son tour,
elle ne souriait pas au spectacle signe qu'elle savait que dans quelques instants
ce serait son tour d'exposer ses fesses rougies.
- bien, vous savez maintenant
comment on met en place un plug, faites-en bon usage. Vous pouvez vous reculottez.
Une fois assise dans
sa voiture, Sylvie se rendit compte de la sévérité de la correction reçue, le contact
du tissu de sa culotte sur l'épiderme était déjà douloureux mais la position assise
était très inconfortable, il fallait y rajouter le plug planté bien profondément
au milieu de ses fesses pour rendre le voyage jusqu'à chez elle très pénible.
Elle regarda sa montre,
il était 16h, il lui fallait garder ce plug pendant encore 3h, peut-être qu'en discutant
avec Isabelle, elle pourrait raccourcir la pénitence, après tout elles étaient amies
depuis longtemps. Elle franchit le portillon du jardin, cette fois ci pas de bruit
de fessée. Isabelle l'accueilli avec un grand sourire.
- coucou ma chérie,
alors cet essayage, pas trop douloureux ? Mais je ne t'attendais pas si tôt, Aurélie
m'a dit que tu devais garder le plug jusqu'à dix-neuf heures, ma pauvre tu as dû
déguster avec cette petite peste, mais si Madame Rose t'a puni de la sorte c'est
que tu n'as pas dû être sage.
Elle avait pris un air
plus sérieux, comme si elle s'adressait à sa fille rentrant de l'école avec une
mauvaise note. Sylvie rougit légèrement et bafouilla. Isabelle la regarda droit
dans les yeux.
- dis-moi, tu n'es pas
venue me demander de t'enlever le plug plus tôt j'espère, tu sais que je suis intransigeante
sur le respect des règles.
- non, non, je, euh,
enfin....
Sylvie était de plus
en plus mal à l'aise.
- je ne sais pas si
Madame Rose va apprécier quand je vais lui en parler.
- oh, non, s'il te plaît,
ne dit rien à Madame Rose.
- ça ne me paraît pas
très clair, tout ça, je commence à comprendre pourquoi tu as été punie, je n'aime
pas les petites menteuses. Bon je veux bien passer l'éponge et ne pas téléphoner
à l'institut mais je crois que tu mérites quand même une punition, viens un peu
ici me montrer tes fesses.
Elle s'était assise
sur une chaise et elle faisait un signe très explicite à Sylvie, son doigt indiquait
ses cuisses, c'est à dire l'endroit où elle voulait voir son amie s'installer. Sylvie
se maudissait d'avoir eu cette idée idiote, elle connaissait la perversité d'Isabelle
et sa propension à déculotter toute personne en situation d'infériorité, cette fois
c'était son tour et pour la quatrième fois de la journée elle se retrouvait en position
disciplinaire, les fesses bien présentées pour recevoir ce châtiment enfantin qu'elle
réservait habituellement à son mari.
Isabelle prenait son
temps, en fesseuse avertie, elle savait que l'attente dans cette position humiliante
était très pénible, le ou la punie savait que ses fesses bien qu'encore dissimulées
aux regards, étaient à disposition. Le moment où la jupe se retroussait était le
signal du début de la punition. Sylvie le sut également, elle sentit l'air sur ses
cuisses et immédiatement les doigts d'Isabelle qui s'insinuent sous l'élastique
de sa culotte puis celle-ci qui inexorablement descend. Cette fois ce sont ses fesses
qui sont à l'air et désormais à disposition de sa maîtresse.
- eh bien dis-moi, tu
as dû être vraiment vilaine pour que tes fesses soient encore rouges mais elles
ne sont plus très chaudes.
Elle passait sa main
sur l'épiderme fessier, insinuant même ses doigts entre les globes que Sylvie serrait
inconsciemment, puis soudain elle leva la main et commença la fessée. Sylvie avait
déjà assisté à des fessées administrées par Isabelle mais elle n'avait jamais pensé
être à la place de la punie. Son amie était une redoutable fesseuse, elle savait
surprendre sa victime, elle alternait des séries de claques très rapides avec des
séries plus lentes mais très fortes puis elle caressait la croupe et quand Sylvie
détendait ses fesses elle repartait de plus belle, claquant une seule fesse pendant
un moment puis rougissant l'autre. Sylvie maintenant criait et suppliait, elle battait
des jambes sous la cuisson, laissant entrevoir son intimité.
- c'est ce que j'appelle
une bonne fessée, ma chérie, tu la sens bien la main de Maman Isabelle, oh tu peux
bien serrer les fesses et battre des jambes, tu auras un très joli derrière quand
j'aurai fini. Ah, nous y voilà.
En effet, Isabelle attendait
le moment où la punie, vaincue, ne suppliait plus, mais ce mettait à pleurer, Sylvie
n'y avait pas échappé et malgré son désir d'être courageuse, elle pleurait à chaudes
larmes toujours allongée sur les genoux de son amie. Celle-ci avait cessé la correction
et elle contemplait la croupe écarlate avec satisfaction. La culotte était arrivée
aux chevilles sous les mouvements désordonnés des jambes, Isabelle écarta les fesses
pour vérifier la bonne position du plug.
- Madame Rose a été
gentille, elle ne t'a mis qu'un tout petit numéro 2, tu verras quand je te mettrai
un numéro 4, ça sera moins confortable, on va un peu remonter cette culotte et tu
vas aller faire un petit tour au coin, ensuite on verra si tu as été sage ou pas,
peut-être que tu goûteras au martinet, je vais appeler Aurélie.
Sylvie se retrouva dans
la même position et la même tenue que l'après-midi, ses fesses la brûlaient mais
impossible de les frotter, ses mains étaient sur sa tête. Isabelle plaisantait avec
Aurélie au téléphone lui décrivant la couleur des fesses de la dame en pénitence
le nez collé contre le mur. Puis elle raccrocha.
- tu n'as pas été très
coopérative pour le lavement à ce que m'a dit Aurélie, tu as goûté à mademoiselle
Claquefesse ? Elle porte bien son nom tu ne trouves pas ? En attendant tu vas rester
au coin pendant 1h, ça te fera le plus grand bien.
Sylvie imposait souvent
de longs séjours au coin à son mari mais elle trouva interminable cet heure passée
à ne pas bouger alors que son amie vaquait à ses occupations. Quand elle fut autorisée
à quitter son coin ce ne fut qu'un soulagement de courte durée.
- tu vas voir Hortense
à la cuisine et tu lui demandes de te donner le martinet.
Sylvie morte de honte
de devoir aller chercher l'instrument qui sans nul doute allait lui cingler le derrière
s'exécuta. Arrivée dans la cuisine elle vit la bonne qui s'affairait.
- euh, pardon, pourriez-vous
me donner le....euh, le martinet.
Cette demande lui coûtait
mais elle n'avait pas le choix, elle était toujours déculottée, la jupe épinglée
dans le dos et elle connaissait la sévérité d'Isabelle.
- mais avec plaisir,
c'est pour vos petites fesses, vous allez voir comme il claque bien.
Madame Vallier savourait
sa revanche, cette dame avait assisté à son humiliante punition, une fessée déculottée
en public assortie de la mise en place d'un plug, c'était à son tour d'y goûter.
Sylvie prit l'instrument
et revint vers le salon, elle savait qu'elle exposait à Hortense sa paire de fesses
bien rouge. Isabelle avait entendu la conversation
- Hortense, venez donc
me voir.
La bonne franchit la
porte un peu inquiète.
- alors comme ça on
se moque de ses petites camarades, approchez et tournez-vous.
Quand sa bonne fut à
sa portée, elle retroussa sa jupe et la coinça dans la ceinture puis elle descendit
la culotte jusqu'à mi-cuisse et claquant le plantureux derrière
- allez vous mettre
au coin, je vais m'occuper de vos fesses tout à l'heure, et vous mettez vos mains
sur la tête! Vite...
Elle prit ensuite une
règle plate de 50 cm de long puis écartant les larges fesses, elle la posa au fond
de la raie fessière.
- vous serrez bien vos
fesses, si la règle tombe, je double la fessée.
Sylvie n'avait pas bougé,
elle était au milieu du salon tenant le martinet à la main.
- bien, ma petite Sylvie
tu vas maintenant goûter à ce joli martinet qui vient directement de chez Madame
Rose, tu l'utilises souvent sur les fesses de Gérard mais les tiennes ne connaissent
pas ses qualités, on va rester classique, tu te mets à genoux sur le fauteuil et
tu me tends bien tes fesses, voilà c'est bien, je vois qu'un petit séjour chez Madame
Rose t'a rendu obéissante.
Sylvie en effet s'était
mis docilement dans la position requise et elle s'était courbée sur le dossier pour
bien présenter son derrière, elle était maintenant totalement soumise à son amie.
Les deux belles fesses rouges étaient bien mises en valeur par la posture qui en
les écartant un peu laissait voir la rondelle du plug au milieu du sillon fessier
et plus bas l'intimité de cette dame désormais soumise à la rude discipline d'Isabelle.
Celle-ci ne fut pas
trop sévère, les fesses de Sylvie avaient été suffisamment corrigées au cours de
l'après-midi, une trentaine de cinglées du martinet suffirent à leur redonner une
belle couleur et à tirer à nouveau des larmes à Sylvie. Elle retourna au coin, Isabelle
lui fit tenir le martinet avec les mains croisées dans le dos, les lanières pendaient
sur les fesses écarlates.
C'était maintenant au
tour d'Hortense de battre des jambes et de crier aux rythmes des claquements de
la règle qui retentissaient sur ses fesses bien exposées, Isabelle l'avait couchée
comme une fillette en travers de ses genoux et à cinquante ans elle ne se comportait
pas autrement qu'une gamine troussée et déculottée par sa Maman. Dès la fin de la
fessée elle put repartir au travail mais Isabelle avait pris soin de lui épingler
la jupe dans le dos et de remonter la culotte juste sous les fesses pour qu'elles
restent disponibles. Elle appela Sylvie.
- bien ma chérie, j'espère
que cette petite punition te servira de leçon, tu vas aller remettre ce martinet
à sa place, ensuite tu viens me voir.
Sylvie s'exécuta toujours
fesses à l'air, Isabelle la fit se tourner et examina soigneusement ses fesses,
insinuant comme elle en avait l'habitude ses doigts dans les recoins les plus intimes.
Quelques petites claques ponctuèrent cet examen à chaque serrement de fesses intempestif.
- bien, ces petites
fesses sont bien rouges, mais aucune marques disgracieuses, demain elles seront
encore un peu rouges et sensibles, à toi de ne pas mériter une autre fessée. Tu
peux te reculotter, je ne t'enlève le plug que dans 1h, on a le temps de boire un
thé.
Sylvie sut à ce moment
qu'elle était passée du côté des fessées, ces dames qui à la moindre occasion peuvent
se retrouver déculottée sur les genoux d'une autre dame. Heureusement il lui restait
Gérard dont les fesses allaient certainement payer le prix de cette après-midi cuisante.
Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.
Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invitésEt celui-ci comporte un épisode précédent
Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 12
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1
Et il y a une suite...
... la semaine prochaine, c'est assez probable.
Et toujours les commentaires
Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.
On dirait que notre auteure a eu le droit à quasiment tout le catalogue de Mme Rose, très beau récit. Merci
RépondreSupprimerVous savez bien Caroline que pour être une bonne fesseuse, il faut avoir goûté à la fessée.
SupprimerSylvie
huuuummm une fesseuse ,les fesses en feu le petit trou garni , oui quand ont à connu la fessée , être de l'autre coté du manche c'est bon et les servantes punie en tablier quel beau spectacle toute une époque la blouse et le tablier
RépondreSupprimerDésolé Sylvie pour le malentendu de mon précédent commentaire où je critiquais vos fautes. La démarche se voulait purement ludique. Effet raté et je vous présente mes excuses.
RépondreSupprimerBravo pour ce récit, j'adore quand les rôles s'inversent et que les dominant(e)s exigeant(e)s deviennent puni(e)s à leur tour...
Doumik
Amis de la poésie et de l'entretien de la tuyauterie postérieure... Bonjour !
RépondreSupprimerBonjour Sylvie.
Amusant, et assez original, de voir à quel point l'auteur implique directement les moments et les personnages de son propre entourage... Gilbert,le mari, Amélie la voisine amie, et peut être d'autres..
Le récit est toujours alerte, les fessées, nombreuses et vigoureuses se succèdent à feu continu. Le plaisir de la fessée, de positionner, déculotter et claquer des derrières, en abondance, transpire à chaque ligne. Tout autant que les paires fesses, que ces dames entretiennent aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur. La vaseline est comme le chocolat... aux noisettes, et les garnitures anales ne cessent d'entrer et sortir entre des fesses écarlates et cuisantes! La douceur de vivre selon l'institut de madame Rose...
On devine, derrière chaque épisode, un peu du vécu de l'auteure, et sa jouissive satisfaction à l'écriture de ses récits.
Comme il est dit dans son commentaire... Il faut y avoir gouté... Oui, pour bien en parler, et communiquer son plaisir. Vous reprendrez bien une petite fessée avec un n°4 dans le derrière... pour la route!
Cordialement
Ramina.
Je trouve vraiment que c'est une très bonne histoire ! J'espère que ce n'est pas terminé et qu'il y aura une suite. Au plaisir de vous lire.
RépondreSupprimerQue dire de plus de cette cuisante histoire, ou des personnages divers apparaissent au gré du récit, leurs histoires individuelles se télescopent avec celles d'autres protagonistes. Je trouve cela excellent ! C'est un récit très claquant, facile à lire et très intéressant. Les aventures de Monique, Elodie, Sophie...et tous les autres. Il y a encore tellement de scénarios possibles avec ces différents personnages. Au plaisir de vous lire
RépondreSupprimerMerci à tous pour vos commentaires élogieux, mes joues sont presque aussi rouges que mes fesses en sortant de l'institut de madame Rose...
SupprimerJe vais essayer de continuer à vous faire rêver à des jupes troussées et des culottes baissées à des fesses écarlates...
Merci.
Sylvie
ce récit me réjouit tant j'aime la fessée et les dames fesseuses!
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