lundi 25 mai 2020

Les rebelles -chapitre 33 acte 2

Malgré notre discipline zélée de la semaine, le Jeudi soir, la veille de notre retour en France, alors que nous sommes toujours nues, Joana D. nous ordonne de nous rassembler dans la cour pour la fin de notre punition. Notre corps ayant retrouvé sa couleur d’origine, l’infirmière annonce que la flagellation peut être appliquée. Elle nous prend la tension et le pouls et constate que le rythme cardiaque est plus fort que de normal, mais elle estime que l’angoisse en est la raison et confirme l’autorisation de la punition. Le dernier espoir pour une grâce vient de s’envoler !
La headmistress nous dit que sur requête, pour ne pas dire un ordre, de la Duchesse Victoria H., Joana D. a autorisé Lady Eloyce H., sa sœur Lady Amy H. et quatre de leurs amies à appliquer elles-mêmes la correction, car il est dans la pure tradition du comté de DARTMOUTH que Lady Eloyce H. et Lady Amy H. prennent part à punir les indisciplinées de notre espèce. Cette information nous fait l’effet d’un coup de massue, car nous savons qu’il n’y aura aucune mansuétude de leur part et lorsque nous voyons les fouets qui vont être utilisés, il y a de quoi avoir peur.
Les trois filles qui partagent notre zone de l’Academy, Amber, Kaitlyn et Ashley, nous font un signe de la tête pour nous souhaiter bon courage. Je cherche Ethan du regard, mais je ne le vois nulle part, cette fois... Il est surement mêlé au milieu des autres élèves. Je n’aurais pas le soutien de son regard rempli de tendresse et réconfortant.
Chaque fesseuse choisit une punie et se dirige vers elle. Samantha, Yang et Kirsten ont déjà les yeux pleins de larmes. Elles implorent le pardon. Les élèves se moquent de leur évident manque de courage et les traitent de « Whiner bitches ». Joana D. demande aux fesseuses de nous attacher toutes les six en rang, les mains par-dessus notre tête. Nos liens sont attachés à une longue et grosse branche d’arbre et nos jambes restent libres, ce qui nous donnera la possibilité de gesticuler dans tous les sens. Le spectacle devrait être très excitant, sauf pour nous qui allons le subir.
Brittany choisit de me corriger. Ma gorge se serre, car de la façon dont je l’ai dégagée en l’insultant, l’autre jour, je suis sûre qu’elle ne va pas m’épargner ! Elle m’attache les mains avec une sourire sadique, qui en dit long sur ce qui va suivre, elle est ravie de me savoir à sa merci et me dit qu’elle va me faire danser, que je vais la supplier et qu’elle va bien s’amuser. Elle attache mes cheveux longs en chignon, pour que mon dos soit bien exposé, et elle me hisse presque en extension, car mes pieds effleurent le sol, puis elle inspecte mon corps qui va être son terrain de jeux, me tapote la croupe, me caresse la vulve, soupèse mes seins et trouve amusant que mes tétons soient déjà bien dressés. Lorsqu’elle a fini ses palpations intimes très déplacées, elle se place derrière moi, me laissant seule avec ma peur et mon cœur qui bat de plus en plus vite sous l’angoisse de l’imminence de la punition.
Avec la cacophonie que j’entends derrière moi, je devine que les élèves se bousculent pour avoir la meilleure place possible. Je devine que mon niveau de souffrance sera leur niveau de plaisir...
Lorsque nous sommes toutes en place, Pauline N. donne des recommandations précises à chaque fesseuse pour le maniement du fouet, afin qu’elles veillent que la morsure de la lanière de cuir ne nous blesse pas, sous peine de se retrouver à notre place. A part Lady Eloyce H. et Lady Amy H. qui, au cours de leur éducation, ont appris à manier « the whip » ( il leur arrive de punir les gens de maison de leurs parents ), les autres filles sont relativement novices en la matière...
En attendant l’ordre de nous fouetter, les six punisseuses s’amusent à faire claquer leur lanière dans l’air, ce qui provoque un long sifflement suivi d’un claquement sec, sonore et effrayant, pour la plus grande joie des spectateurs. D’entendre ces sinistres claquements derrière moi me provoquent la chair de poule. Je suis tremblante et au bord des larmes mais je vais tenter de supporter la douleur le plus possible pour ne pas donner à cette Brittany le plaisir de m’entendre hurler et de me voir m’effondrer. Pendant ce temps, les garçons exhortent Lady Eloyce H., sa sœur et leurs amies à nous faire hurler.
Joana D. demande aux fesseuses de nous cingler de bas en haut, de façon à nous marquer l’intégralité du corps. Les filles répondent en chœur par un « Yes, Mam, with pleasure ! » et Joana D. ordonne le début de la punition :
« Carry-on, young girls ! Be them scream ! ».
J’entends le premier sifflement de la lanière dans l’air et le claquement sur mes fesses, immédiatement suivi par une trainée de feu, je serre fort les dents avec une grimace, en fermant les yeux et en me raidissant. La seconde cinglée me fait tressaillir. Trois autres cinglées et mon courage vacille déjà, je me dis que je ne tiendrai pas toute la punition sans hurler. Je serre mes liens de toutes mes forces en contractant mes muscles pour résister. Mes camarades sont déjà en train de gémir. La cinglée sur le haut des hanches me fait trépigner et c’est à peine si je peux retenir le hurlement qui monte en moi. Je tente de me recroqueviller sur moi-même mais une nouvelle fouettée vient m’enflammer les flancs, je me détends d’un seul coup en poussant un hurlement et en me secouant pour tenter de calmer l’incendie qui se déclare sur mon corps. Une nouvelle cinglée de l’autre côté de mon corps et j’ai totalement perdu pied, je m’abandonne et je hurle et tant pis pour l’impression que je donne. Les spectateurs, ravis, applaudissent Brittany qui a brisé ma résistance, mais c’est à peine si je les entends, car je suis uniquement concentrée sur ma douleur fulgurante. Confiante de ses premiers résultats, Brittany continue sur sa technique, elle fait enrouler sa lanière autour de mon corps pour me cingler aussi bien l’arrière que l’avant de mon corps. Les brulures me font hurler à en perdre haleine, je donne des coups de pieds dans le vide, ce qui me fait tourner sur moi-même. Les claquements et la douleur n’en finissent pas de nous tourmenter. Brittany me cingle de façon aléatoire et de cette façon, je ne sais jamais où la fouettée suivante va claquer.
A la cinquantième cinglée, les claquements cessent, nous laissant en sanglots, car Pauline N. vient d’interrompre la punition pour venir voir notre état. Brittany s’approche également pour constater de près le résultat de son travail. En sueur, je respire en haletant et en gémissant, la vue brouillée par mes larmes. Mon corps n’est que brasier. Je sens que Brittany me caresse et ses mains sur mes zones enflammées réveillent la douleur. Lorsque je crois qu’elle va me détacher, je l’entends dire que la punition n’est pas finie et qu’il reste quelques parties de mon corps qui sont blanches et il faut qu’elle remédie à ça. Ayant perdu tout ce qui me restait de dignité, je l’implore de cesser, car je n’en peux plus, mon corps est en feu, j’urine sans pouvoir me retenir. On me traite de fille dégoutante, mais à présent, je me fiche éperdument de leurs remarques et de leurs moqueries... A ce moment, nous ne devons plus ressembler à rien.
Pauline N. s’approche de moi, me prend la tension et le pouls et annonce que nous allons avoir quelques minutes de repos pour reprendre nos esprits avant de terminer cette punition. Pauline N. donne un peu d’eau à chacune d’entre nous et un mot d’encouragement, « Courage girl ! It's almost over ! ». C’est bien une des rares personnes à être compatissante... Elle ajoute que les zébrures sont très rouges, mais ce n’est que superficiel, nous nous remettrons vite et il ne faut pas que l’on s’inquiète, car d’ici une semaine, il n’y paraitra plus rien.
Ayant repris notre souffle, Pauline N. donne son feu vert pour la fin de la correction. Brittany s’applique à me cingler les parties de mon corps qui portaient le moins de traces. La bouche grande ouverte, je m’égosille en me contorsionnant, car elle me cingle à nouveau les seins, le bas ventre et d’autres parties sensibles de mon corps.
Lorsque la centième cinglée a été donnée, cette fois, c’est bel et bien fini. Joana D. nous demande si nous avons bien compris la leçon ? Sanglotant, en nage et tremblantes de douleur, nous répondons que oui, nous avons compris et que nous allons être de bonnes filles dociles. En fait, dans notre état, nous sommes prêtes à promettre tout ce que la headmistress voudra.
Joana crie « That’s all, dismissed ! »
Pauline N. fait un rapide contrôle de notre corps et demandent à Amber, Kaitlyn et Ashley de venir prêter mains fortes aux fesseuses pour retirer nos liens. Lorsque nous sommes libres, en nous aidant à marcher à petits pas, les filles nous remontent à notre étage à l’Academy. Le trajet nous parait interminable, surtout pour monter les escaliers, le tout sous les rires des spectateurs qui ont bien pris leur plaisir. J’en veux terriblement à ces jeunes, car nous avons terriblement payé le prix de leur plaisir et c’est ignoble. Les filles nous déposent à genoux dans la douche commune des filles et font couler l’eau fraiche sur nous, ce qui réveille nos douleurs.
Brittany est la seule fesseuse à rester avec Amber, Kaitlyn et Ashley. Ethan fait son apparition à l’entrée des douches des filles et souhaite entrer pour prendre de mes nouvelles, mais l’infirmière le renvoie séance tenante, car il n’a rien à faire dans ce secteur exclusivement féminin. Déçu, Ethan est obligé de repartir.
Brittany prend les choses en main pour ma toilette et c’est elle qui me savonne bien partout, intimité comprise, avec extrême douceur cette fois et me rince, puis m’enveloppe dans mon drap de bain pour me sécher délicatement et me prend dans ses bras. Je suis très étonnée de cette très inattendue marque d’affection, car durant la punition elle a mis un point d’honneur à me faire souffrir intensément. L’esprit encore embrumé et le corps en feu par la raclée que je viens de prendre, je n’ai plus la force ni la volonté de la rejeter, mais ce n’est pas l’envie qui m’en manque, mais, vaincue et soumise, je finis par poser ma tête sur son épaule. En me caressant les cheveux et le visage, elle dépose un long et doux baiser sur mes lèvres que j’accepte.
Après ce tendre moment de complicité féminine, elle me ramène dans notre dortoir et m’aide à m’allonger sur mon lit le plus confortablement possible. Bouleversée par ce baiser partagé, c’est sous ses tendres caresses que je ferme les yeux et ne tarde pas à sombrer dans un sommeil agité où j’enchaine les brusques réveils dus à la douleur, aux plaintes de mes amies et la somnolence.
Dès le lendemain matin, après avoir mis un certain temps à nous mettre debout, le corps perclus de douleurs, nous tentons de nous habiller pour être prêtes et prendre le train pour rentrer en France, via LONDRES. Après plusieurs essais, j’abandonne l’idée de porter une culotte et un soutien-gorge, trop serré et donc qui sera trop douloureux. J’enfile ma jupe la plus longue possible pour tenter de masquer les traces de mes cuises et un chemisier léger pour que le frottement du tissu sur mon corps, devenu hypersensible, soit minime. Par contre, le revers de la médaille est que sans soutien-gorge, le foncé de nos larges tétons se voit par rapport à la blancheur du chemisier. Nous avons une journée à passer en voyage ce qui n’augure rien de bon. Il faudra tenter de toujours mettre quelque chose devant notre buste pour cacher quelque peu notre féminité.
Après le petit déjeuner, nous sommes convoquées par Joana D. qui nous fait le bilan de notre séjour. De bons points nous sont attribués pour nos résultats scolaires, mais la discipline n’a pas du tout été au rendez-vous ( et c’est un euphémisme que de dire ça ) et nous devons nous attendre à des remontées de bretelles lorsque nous serons rentrées à Ste CROIX. Joana D. nous annonce que les films de nos punitions ont été envoyées à l’annexe du ministère de l’éducation pour qu’ils voient la façon dont nous avons été punies et pourquoi.
En sortant du bureau de la headmistress, je croise Brittany qui veut me dire au revoir. Me prenant à part, elle m’enlace et me dit qu’elle sera heureuse si elle pouvait venir en France pour me rendre visite. Je lui dis que oui, elle pourra venir me rendre visite, je l’accueillerai volontiers. Super heureuse de ma réponse, elle m’embrasse de façon passionnée, baiser que je lui rends. Elle me donne son email perso pour s’écrire, en attendant de se voir. Mes amies me disent que je suis complètement folle d’avoir accepté, comme si ça ne suffisait pas qu’elle m’ait marqué le corps et fait souffrir à ce point. Ce sentiment ambigüe m’étonne, moi-aussi, mais son extrême douceur après la correction m’a bouleversée.
Le trajet du retour est particulièrement pénible avec notre lourde valise. En ne portant pas de sous-vêtements, il faut faire attention à tout et puis nous avons encore le corps brulant et chaque mouvement brusque réveille la douleur, nous faisant grimacer. Nous évoquons des courbatures pour expliquer nos grimaces lorsqu’on nous questionne. Durant le voyage, nous sommes très souvent debout, car la position assise est très douloureuse.
Dans la soirée, lorsque nos parents viennent nous récupérer à la gare, nous sommes heureuses de les revoir et que tout ça soit fini, hormis les reproches que nous nous prenons à propos de notre inqualifiable comportement. En me serrant tendrement dans ses bras, Maman me dit qu’elle a regardé les deux films de mes deux punitions et que nous avons mérité ce qui nous est arrivé, mais à présent c’est fini, j’ai payé ma dette et il va falloir que je reparte du bon pied.
Maman ajoute que les films seront projetés à Ste CROIX aux élèves afin de montrer la façon dont on punit outre-manche. Lorsque je dis qu’en principe ces films ne peuvent pas être diffusés au grand public, Papa me répond qu’en vertu de l’ordonnance de loi numéro 1995-1278, ils peuvent être visionnés sur simple demande accompagné d’un justificatif. Avec accord, lorsque l’école l’aura en sa possession, la proviseure peut tout à fait le projeter à tous les élèves et le corps enseignant, sans que je puisse m’y opposer. Maman ajoute, qu’à la maison, ils possèdent tous les films de mes punitions et ils en ont fait profiter à certains de leurs amis, afin qu’ils voient la façon dont je suis corrigée et éduquée. Nos frasques passées ayant faits le tour du quartier, la projection de ces films montrent que mes parents ne sont pas laxistes et le prouvent en montrant ces films à leurs amis et nos voisins. En entendant ça, je deviens toute rouge, car ça veut dire que beaucoup de monde m’a vu toute nue, en train de me contorsionner de façon très impudique ! Situations dont je ne peux pas être fière ! Ça restera comme un boulet qui me suivra longtemps, car les personnes que devais croiser se rappelleront de moi telle qu’ils m’ont vu sur ces films et pas telle que je suis.
Pour le moment, nous allons pouvoir nous reposer durant ces deux jours de weekend. Pour ma part, avec l’autorisation de mes parents, je reste nue, sans vêtement sur ma chair enflammée. Mais j’appréhende déjà Lundi matin et les reproches de Fabienne D. et que dire des films qui seront projetés pour les professeurs et les étudiants de Ste CROIX. Nous allons encore être largement humiliées et pour un bon moment ! Je vois bien le sourire ravi que va faire Adilson et certains autres garçons...


Glossaire

·        Bare ass : Cul nu
·        Bitches : Chiennes
·        Carry-on, young girls ! Be them scream ! : Allez-y, Mesdemoiselles ! Faites les hurler !
·        Fuck : Va te faire voir
·        Hair shirt : Vêtements de pénitence
·        Headmistress : Directrice
·        It's almost over : C’est bientôt fini
·        Naked/Nude : Nu
·        Nipples : Tétons/Tétines
·        Sluttish : Dépravé
·        That’s all, dismissed : C’est terminé, dispersez-vous
·        Whiner : Pleurnicheuse
·        Whip : Fouet/Martinet
·        Yes, Mam, with pleasure : Oui, Madame, avec plaisir

Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 33 acte 1

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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6 commentaires:

  1. Bonjour Elena. Et bonjour à tous.

    Cette dernière punition anglaise est particulièrement "appuyée" et les longs préparatifs qui la précèdent mettent en condition aussi bien le lecteur que les coupables. J'aime beaucoup, pour ma part, l'extrême complexité de la relation entre Elena et Britanny. Relation dont on peut déjà soupçonner qu'elle va connaître un certain nombre de prolongements. Pour notre plus grand plaisir. Reste qu'Elena découvre avec inquiétude en rentrant que des films ont été tournés de toutes les corrections qu'elle a reçues. Et, d'une façon ou d'une autre, ils circulent forcément. Mais le pire moment pour elle, celui où elle sera anéantie par la honte, sera sans doute celui où elle se reverra elle-même gigotant et hurlant sous les claquées.
    Amicalement.
    François

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    1. Bonjour François,
      Dans cet épisode troublant par le contexte, 2 thèmes sont abordés, le premier, celui des relations ambiguës entre mon personnage et Brittany, mêlées entre un univers de domination de l'une et la résistance brisée de l'autre. Le mélange entre amitié et amour où à cet âge, tout est un peu confondu.
      Le second thème sur le fait de savoir que les films vont être projetés à l'ensemble des élèves de St CROIX, va surement être éprouvant pour nos 6 personnages, qui s'en voudront surement d'avoir fauté en terre britannique.
      Notre proviseure n'en a que faire de notre humiliation, peu importe les moyens, seul le résultat compte. Avec 100% de réussite au BAC, Fabienne D. est heureuse, mais souhaite que ces bons résultats continuent, car son image de marque est dépend. Nous dirions une course au pouvoir. Une notion qui fait courir les carriéristes.
      Amitiés.
      Elena.

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  2. Réponses
    1. Bonjour Caroline,
      Merci de votre sympathique petit mot d'encouragement. Ce fut la suite et fin des aventures de nos héroïnes outre-Manche. La suite sera sur le sol français, avec encore pas mal de péripéties.
      Amitiés.
      Bonne journée.
      Elena.

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  3. Amis de la poésie et de la crème fouettée à l'anglaise... Bonjour,
    Bonjour Elena.
    Ce qu'il y a de bien avec ces récits c'est qu'après deux mois et demi de confinement, ça vous donne un bon coup de fouet pour repartir du bon pied! Un coup de fouet c'est peu dire .
    Heureusement que la "douce" Pauline veille à ce que " la morsure de la lanière de cuir ne nous blesse pas"... Vu ce que leur mettent les deux Ladys Pétasse, et les autres, le principe de précaution n'est qu'un faux semblant. ( Ah la perfide Albion!)
    La description détaillée des corrections est impressionnante et ferait presque froid dans le dos... Ce qui est loin d'être le cas pour les suppliciées. On se demande ce que serait le niveau des punitions si en plus les "Frenchies" avaient de mauvais résultats scolaires!
    Ah ces Anglais! Non content d'avoir brûlé Jeanne D'arc, maintenant il s'attaquent aux cuisses des grenouilles française !!
    Adieu monde cruel... retour à la maison sans culotte! Avec de quoi agrémenter les longues soirées d'hiver en regardant, en famille, les films du joli séjour linguistique en Angleterre. Avec, en prime, l'initiation à la langue de feu! Le cuir à su vous séduire...
    Amicalement
    Ramina

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    Réponses
    1. Bonjour Ramina,
      Avec vos commentaires d’orfèvres, que puis-je rajouter !
      Vous avez magnifiquement cerné le coeur du sujet. En effet, les préconisations de l'infirmière vont de soi, car le but est de corriger, pas de blesser, les consignes sont claires dans le règlement des établissements comme Ste CROIX ou St ANDREWS, d'ailleurs les films transmis au ministère sont fait pour prouver qu'aucune torture n'est appliquée et que tout est fait dans les règles de l'art... Les instruments employés doivent être maniés avec tact, si je puis dire.
      L'éducation anglaise perdure dans le temps. Ste CROIX en a pris de la graine, pour rajouter la "hair shirt" à sa une panoplie déjà bien complète d'instruments de Mme DELANIERES.
      J'ai trouvé marrant de rajouter quelques terme anglais dans le texte, pour parfaire l'atmosphère, dont certains mots n'ont rien à faire dans la bouche d'étudiants guindés de cette brillante academy. Mais bon, dans les cours, il s'en passe de bonnes. Au moins, nos petites françaises auront mis de l'ambiance dans cet univers un peu trop sérieux.
      Amitiés.
      Elena.

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