Notre
proviseure, Fabienne D. nous réunit et nous informe qu’il n’y aura pas d’examen
cette année et que notre diplôme de BTS nous sera attribué sur dossier en
fonction des résultats obtenus tout au long de l’année.
La bonne
nouvelle est que sur l’ensemble des étudiants, le taux est de cent pour cent de
réussite pour Ste CROIX et elle nous félicite car nos efforts ont payé et Ste
CROIX est encore sacré meilleur établissement de la région. Par contre, la
mauvaise nouvelle est qu’aucun dossier n’a été retenu pour les étudiants ayant
demandé la prestigieuse université de TOULON pour faire leur mastère. La raison
en est le nombre de place limité et la préférence pour des étudiants déjà
scolarisés dans cette université. De plus, sur chacun de nos dossiers était
mentionné un critère de discipline et l’appréciation n’était pas en notre
faveur, même si par ailleurs le dossier était tout à fait élogieux. Pour ma
part, mes frasques avec Adilson et mes remarques blessantes vis-à-vis du
conseil de discipline de Ste CROIX ont été la cause de mon éviction. Je m’en
veux de ma légèreté de comportement, mais j’étais prévenue, je ne peux m’en
prendre qu’à moi-même de ne pas entrer à TOULON... Je me voyais déjà sortir
avec un mastère de cette école et, de fait, mon CV serait sorti du lot pour
postuler à un futur emploi. Il faudra que je me contente d’un mastère à Ste
CROIX... Le niveau sera très bon, certes, mais ce qui veut dire passer deux
années supplémentaires avec une épée de Damoclès, nommée fouet, au-dessus de la
tête, sans échappatoire.
Notre
professeur principal, François F. nous donne les axes à améliorer pour l’année
prochaine et en fonction de ça, nous pourrons prendre l’une des filières
disponibles, si nous voulons continuer après notre BTS. Pour ma part, ce sera
un mastère « Expert Digital d’Architecture du Web », section que
j’avais déjà repérée à TOULON. En fait, tous les étudiants sont dispatchés dans
leur spécialité de choix. Je vais perdre une grande partie de mes amies les
plus proches, mais nous nous retrouverons pour certains cours en tronc commun
et puis il y aura les intercours, la cantine et les « soirées
étudiantes », il faudra s’en contenter.
Pour mon
complément de formation, l’anglais étant ma matière en souffrance, ma
professeure d’anglais, Suzan W., choisit pour moi un stage en immersion dans
une petite ville anglaise, MAIDENHEAD à l’ouest de LONDRES, à St ANDREWS
Academy. Chaque année, un séjour linguistique est proposé en inter change « St
ANDREWS/Ste CROIX ». Suzan W. et François F. me disent que ce séjour me
fera du bien, car je dois absolument progresser sur certains points et l’éducation
anglaise étant très réputée, ce sera excellent dans mon cas !
Pas du tout
rassurée par les propos de mes professeurs et par cet échange en milieu presque
disciplinaire, je décide d’en parler à mes parents. ! En rentrant, Maman
me dit qu’elle a déjà acceptée que j’aille à MAIDENHEAD pour deux semaines. Je
serai logée à l’Academy avec d’autres étudiantes de Ste CROIX : Naia dix-neuf
ans, Coralie dix-neuf ans, Samantha vingt ans, Yang dix-huit ans et Kirsten
dix-huit ans.
Nous aurons
dans notre secteur de bâtiment à St ANDREWS des étudiantes anglaises, venues d’autres
villes, en renforcement pour d’autres disciplines : Amber dix-neuf ans,
Kaitlyn dix-huit ans et Ashley dix-huit ans et deux anglais, Darrel seize ans et
Ethan dix-sept ans.
Après le
voyage où nous avons papoté entre filles, nous arrivons, pas sans mal, à MAIDENHEAD,
puis à St ANDREWS où la proviseure Joana D. et notre professeur de langue,
Elizabeth G. nous accueillent.
Après une
brève installation dans nos chambres, nous descendons dans notre salle de
cours. Joana D. nous explique que tous les matins, nous devrons prendre notre
température avant le premier cours de la journée, qui sera suivie d’une remise
en condition physique, car elle trouve que notre confinement a été profitable « à
nos hanches » et il est temps que nous retrouvions notre taille de jeune
fille. Puis après la douche et le petit déjeuner, nous commencerons les cours.
Le programme est intensif, avec de rares sorties, très encadrées, dans la
mesure où en tant qu’étrangères, les mesures sanitaires sont plus que
renforcées.
Au niveau
de la discipline à St ANDREWS, les règles sont strictes et Joana D. nous
annonce que tout manquement donnera lieu à un châtiment corporel, en public,
pour que nous prenions la mesure de notre faute. Joana D. nous dit qu’elle sait
comment nous sommes punies à Ste CROIX et les règles seront les mêmes au sein
de l’Academy. Joana D. dit qu’Elizabeth G. a procuration pour appliquer
elle-même les punitions en cours, mais que pour les grosses fautes, c’est la « headmistress »
qui s’en chargera. En guise de démonstration, Joana D. décroche la badine
souple accrochée au-dessus du tableau et la fait siffler dans l’air, pour nous
impressionner. Elle ajoute, qu’avec cet instrument, nos fesses de petites « froggies »
seront suffisamment marquées et ardentes pour que notre discipline soit
irréprochable. Elle prendra plaisir à nous remettre dans le droit chemin, comme
toutes les étudiantes de l’Academy.
Après une
nuit où certaines de mes amies papotent jusqu’à plus d’heure, nous entamons
notre première journée par un footing de cinq kilomètres dans le parc de l’Academy.
Quelques internes anglais nous reluquent depuis leur fenêtre et certains nous
sifflent et nous leur répondons avec de grands signes amicaux. Notre professeur
de sport, un solide écossais, est obligé de faire usage de sa voix de stentor
pour ramener le calme, car il est hors de question que notre séjour soit
émaillé d’incidents avec les garçons.
Après la
séance de sport, nous allons prendre notre douche en commun, puis au moment où
nous allons prendre notre breakfast, Joana D. nous interpelle en nous disant
que nous avons été vues en train de nous pavaner devant les garçons, mais que
cette attitude est typique des françaises, qui se croient supérieures à tout le
monde. Pour cela, nous allons déjà être punies de cinq bons coups de badine sur
les fesses, de façon à nous rappeler les consignes. Elle savait bien qu’il lui
faudrait user de la badine, car notre indiscipline latine est bien connue. Dans
un anglais déplorable, nous tentons d’expliquer que ce sont les garçons qui ont
commencé et que nous leur avons simplement dit bonjour en retour, sans plus,
mais Joana D. nous répond que la version du professeur de sport est toute autre
et elle ne va surement pas croire de vulgaires « froggies » qui se
montrent « légères ».
Après
notre petit déjeuner pris sans appétit et dans un silence pesant, nous allons
dans notre salle de cours où se trouvent la « headmistress » Joana D.
et Elizabeth G.
Joana D.
nous ordonne de retirer complètement notre jupe et notre culotte et de nous
mettre en rang, car chacune notre tour, nous allons passer à la fessée. Nous
nous exécutons et retirons prestement tout le bas et nous nous mettons à
genoux, pour attendre notre tour. Joana D. note que nous sommes toutes bien
épilées, ressemblant à des petites filles et c’est à ce titre que nous allons
être punies. Je vais passer l’avant dernière, avec tout le temps d’entendre les
claquements sonores sur les fesses de mes copines et de les entendre crier et
pleurer.
Lorsque j’entends
hurler Yang, Coralie, Kirsten et Samantha, je me mets à regretter d’être ici. Le
cœur battant la chamade dans ma poitrine et l’angoisse me prenant à la gorge, je
suis appelée par la « headmistress » qui m’ordonne de me pencher sur
le bureau, tout en écartant bien les cuisses, en signe de totale soumission. En
observant mes grandes lèvres, Joana D. nous dit que je suis trempée, mais
j’aurai surement moins de plaisir lorsque mes fesses auront gouté à la badine
anglaise ! Toute rouge par cette remarque sur mon intimité, qui insinue
que j’ai pris du plaisir en entendant les autres crier de souffrance, je ferme
les yeux en attendant le premier coup.
Celui-ci
vient assez rapidement et enflamme ma croupe. Je pousse un cri, car la douleur
est intense et rayonne dans tout mon bassin. Je devine qu’elle y met tout son
cœur, pour nous imposer son autorité. Les quatre autres cinglées sont tout
aussi puissantes et me laisse en pleurs. Les fesses en feu, je rejoins les
autres élèves, à genoux, en attendant que la dernière élève, Naia, se fasse corriger
et que nous puissions nous rhabiller.
Lorsque
toutes les punitions ont été administrées, en nous regardant à genoux, Joana D.
nous dit que nous sommes de bonnes petites françaises qui viennent d’être
remises à leur place. Elle nous laisse à notre professeur, qui nous dit de
remettre uniquement notre jupe, car nous resterons sans culotte jusqu’au soir.
Avec notre jupe qui arrive à mi-cuisses, s’il y a un coup de vent, nous sommes
bonnes pour exhiber nos fesses et notre intimité...
Nous nous
asseyons et c’est avec des gémissements, des grimaces et des contorsions que
nous parvenons à poser nos fesses brûlantes sur le bois de la chaise. Elizabeth
G. nous dit de ne pas faire les douillettes, car ce ne sera peut-être pas la
dernière fessée que nous recevrons.
Le cours
d’anglais débute avec six élèves qui se dandinent d’une fesse sur l’autre pour
tenter de soulager tantôt l’une, tantôt l’autre. Inutile de dire que notre
attention n’est pas à l’optimum. Elizabeth G. passe dans les rangs, la badine à
la main et regarde nos exercices, par moment, elle fait siffler la badine dans
l’air et aussitôt, nous sommes transies en nous demandant ce qu’il va nous
arriver. Aucune de nous supporterait une seconde punition.
Durant la
pause repas pris dans la cour, debout et au milieu des autres élèves, nous
mangeons notre traditionnel lunch qui se compose de deux sandwiches, de chips,
d’un fruit et d’une boisson. Le fait d’être debout nous fait être à part, car tous
les autres étudiants sont assis soit dans l’herbe, soit sur un banc.
Une anglaise,
dans son réglementaire uniforme du lycée, vient vers nous et nous agresse plus
qu’elle ne nous parle. A priori, elle sait que l’on s’est pris une punition,
car elle tente à plusieurs reprises de soulever la jupe de l’une d’entre nous
pour se délecter de la vision de nos fesses marquées, avant que nous ne
parvenions in extremis à esquiver le troussage, en déclarant qu’il n’y a aucune
raison pour laquelle nous devrions montrer nos fesses, ni pour avoir été corrigées.
Nous
n’avions pas prévu que d’autres filles, des amies de notre agresseuse, viennent
l’aider et Kirsten, Samantha et moi, nous nous retrouvons avec la jupe relevée.
Sentant notre intimité dénudée, nous crions de surprise ce qui attire les
spectateurs. Les rires se font entendre à côté de nous.
Notre
agresseuse confirme devant tout le monde que nous avons bel et bien été
corrigées, elle s’en réjouit et elle nous qualifie de « french bitches »,
car nous ne portons pas de culotte, ce qui est pour elle, une offense à la bienséance.
Après
cette mise à l’air qui nous a fortement humiliées et nous a fait passer pour ce
que nous ne sommes pas, toutes rouges de honte, nous allons nous isoler pour ne
plus avoir à subir les insultes de ces étudiantes, hilares.
Des
filles qui sont aussi en étude/échange dans notre zone de l’Academy, Amber,
Kaitlyn et Ashley viennent nous trouver et nous disent que notre agresseuse se
prénomme Lady Eloyce H. Elle n’a que dix-sept ans et en tant qu’aristocrate,
elle porte déjà le titre de Lady du comté de DARTMOUTH, tout comme sa jeune
sœur Lady Amy H. quinze ans. Leur famille est la plus illustre de la région,
dont leur mère, la Duchesse Victoria H. qui est reçue à BUCKINGHAM PALACE, avec
les honneurs dus à son rang.
Lady
Eloyce H. fait à sa guise, car ses parents financent les bonnes œuvres de
l’Academy St ANDREWS. Quoi qu’il arrive, Lady Eloyce H. aura son diplôme avec
mention et le personnel de l’Academy lui passe tous ses caprices, car il ne
peut en être autrement. Amber nous conseille de ne pas faire de vagues, ni de
nous plaindre, car nous le regretterions.
Les jours
suivants, la bande de Lady Eloyce H. vient nous narguer en nous traitant de
tous les noms ( « sluts », « bitches », « bare ass »,
etc. ). Nous devenons leur tête de turc. Certaines filles viennent nous mettre
des mains aux fesses pour tester notre sensibilité suite à notre fessée. Nous
en rembarrons certaines, ne voulant pas nous montrer trop dociles avec ces
filles qui se croient sorties de la cuisse de Jupiter.
Le
lendemain, je repère un garçon qui me sourit avec insistance qui finit par
venir me parler. Ethan, un peu plus jeune que moi, me dit qu’il est désolé pour
l’agression des filles, mais l’Academy est gangrenée par la mainmise de
quelques familles de la région et tout tourne autour d’elles, surtout la
famille de la Duchesse de DARTMOUTH. A force de parler, je le trouve sympa, car
il fait des efforts, se rendant compte que l’anglais n’est pas aisé pour moi.
Nous finissons par flirter ensemble, en cachette, car les relations
hommes-femmes ne sont pas autorisées au sein de l’établissement et je suis
consciente de transgresser une des règles. Mais je me dis qu’en faisant
attention, il ne se passera rien, et puis nous ne faisons que discuter et
d’échanger quelques bisous.
Un peu
plus tard, ayant repéré notre manège, Lady Eloyce H. ordonne à Ethan de
s’éloigner des « bare ass », il n’est pas question qu’il se mêle à
nous, car il fait partie de la brillante Academy et le groupe des « french
froggies » n’y est que toléré pour une très courte période.
Ethan ne
se laisse pas donner des ordres et continue de me fréquenter, jusqu’au jour où Lady
Eloyce H. nous dénonce à la headmistress. Celle-ci n’en demandait pas autant
pour venir nous punir.
Sans
aucune preuve tangible, mais simplement sur les dires d’une étudiante, Joana D.
nous appelle, Ethan et moi et nous dit que nous avons enfreint une des règles
de l’établissement, c’est-à-dire que nous avons eu des rapports allant au-delà
de la camaraderie. Nous avons beau nous défendre et dire que nous ne faisions
que discuter, Joana D. nous répond qu’une personne dont le mensonge ne fait pas
partie de sa personnalité, lui a rapporté que notre conduite est inqualifiable.
Joana D. est outrée d’avoir su ce que nous avions fait. Nous savons que notre
défense est vaine, car non seulement Joana D. ne veut pas dire ce qu’elle a
entendu, mais d’autre part, nous soupçonnons Lady Eloyce H. d’être à l’origine
de cette dénonciation calomnieuse.
Joana D.
nous condamne à être fouetté en public, avec des orties et de cette façon, nous
allons apprendre à calmer nos ardeurs d’adolescent. La flagellation aura lieu à
midi, dans le parc de l’Academy durant la pause déjeuner. Ça fera une belle
animation lors du repas.
Résignés,
nous retournons chacun dans notre classe. En entrant, Elizabeth G. me demande
comment ça s’est passé avec la headmistress et je suis obligée de lui dire
qu’elle nous a condamnée à être fouettés avec des orties devant tout le monde,
ce midi. C’est avec un grand sourire que Elizabeth G. apprend ma punition. Elle
me dit que ça nous fera du bien à tous les deux, mais que nous devrions le
sentir durant plusieurs jours.
Peu avant
midi, la headmistress Joana D. nous fait venir, Ethan et moi dans son bureau et
nous ordonne de nous mettre entièrement nus, car c’est comme ça que nous allons
être punis. Nous protestons, car notre pudeur va être mise à rude épreuve. Joana
D. nous dit qu’elle s’en moque et que ça nous fera une belle leçon. Ne pouvant
lutter, nous nous déshabillons.
La
headmistress nous attache les mains dans le dos, afin que notre intimité soit
largement exhibée tout au long de notre défilé. Tout rouge de honte, nous
défilons à travers les couloirs de l’Academy où nous croisons les élèves qui
sortent de leur classe pour aller manger, pour rejoindre la cour. Les rire et
autres quolibets fusent sur notre passage. Je ne comprends pas tout, mais à
leur intonation de voix, je me doute que ce qu’ils nous disent n’est pas pour
nous complimenter... Je vois qu’Ethan est en plein érection, car ce qu’il
entend l’humilie grandement.
Lorsque
nous sommes dans la cour, remplie d’élèves qui se moquent de notre nudité, nous
voyons la bande de Lady Eloyce H. aux anges de nous voir passer de cette façon.
J’ai la chair de poule et mes tétons se dressent sous l’émotion d’être nue et
humiliée par autant de monde. Le seul réconfort que j’ai c’est quand je passe
au niveau de mes amies qui nous souhaitent bon courage.
Notre
professeur de sport nous attache solidement les poignets et les chevilles, de
façon à ce que nous ne puissions pas bouger. Légèrement inclinée vers l’avant
et les cuisses écartées, je sais que mon intimité est totalement exhibée et mes
efforts pour serrer les cuisses sont vains.
Du coin
de l’œil, je vois Lady Eloyce H. aller parler à la headmistress. Je me demande
ce qu’elle a à lui demander ?
Joana D.
annonce à tout le monde qu’elle va punir Ethan et que je serai flagellée par Lady
Eloyce H. Je proteste contre ce fait car ce n’est pas son rôle de me corriger. Elle
est élève et non pas professeur. Mais je me souviens que personne n’ose lui
refuser quoi que ce soit.
Munie
d’un gant de cuir, Joana D. prend un gros bouquet d’orties récemment coupées et
flagelle les fesses, les cuisses et le dos d’Ethan qui ne tarde pas à
s’égosiller en se trémoussant, sous les brûlures cuisantes des orties. Des petites
cloques apparaissent sur son épiderme qui devient très rouge. Sous l’effet des
brûlures, je vois que son érection est renforcée et son pénis ballote sous ses
contorsions frénétiques. Je préfère ne pas regarder l’état de sa peau, car
j’angoisse déjà assez comme ça et ses hurlements ne me rassure pas non plus. Je
ne peux qu’attendre ma punition en sentant mes tétons se dresser au fur et à
mesure que ma correction approche.
Lorsque Joana
D. en a fini avec Ethan, celui-ci est en pleurs, gémissant et tremblant. Joana
D. donne le gant de cuir à Lady Eloyce H. et lui donne le seau avec d’autres
orties. Toute fière, Lady Eloyce H. enfile le gant, prend les orties et vient
me dire que je vais regretter d’avoir enfreint les règles, qu’elle va me
dresser et qu’après cette punition, je serai bien docile. Elle voit que mes
tétons sont bien dressés et elle me dit qu’elle leur réserve un traitement
spécial à mes « bitche nipples ». Elle se met à me soupeser les seins
pour m’humilier davantage et ce n’est pas mes grognements d’indignation qui
l’arrêtent. Elle me gifle en me disant qu’elle fait ce qu’elle veut et qu’elle
va me soumettre, sous les hourras des autres élèves. Les garçons paieraient
cher pour être à sa place !
De toutes
ses forces, Lady Eloyce H. me cingle avec les branches d’orties fraichement
cueillies et donc très urticantes. Les brûlures sont instantanées, je me
convulse, me secoue, me contorsionne en hurlant de toutes mes forces. Je la
supplie en vain et mes cris ne l’attendrissent pas. Lorsqu’elle juge que le
bouquet d’orties ne fait plus assez d’effet, Lady Eloyce H. en prend un autre
et continue. Elle en profite pour me fouetter le devant de mon corps, ventre,
bas ventre et seins. Mes hurlements sont stridents. En guise de « bouquet
final », Lady Eloyce H. me dit qu’elle va calmer mes chaleurs et me cingle
l’intérieur des cuisses et la vulve, ce qui me fait bondir. J’ai le corps en
feu. Je ne cesse plus de hurler en me débattant, tant la cuisson est intense.
Epuisée de
m’être débattue et d’avoir hurler à plein poumons, je me calme peu à peu et je
sens à peine que je viens d’être détachée par le professeur de sport, aidé par l’infirmière
Pauline N., à peine plus âgée que nous. Je ne sais plus comment me mettre pour
ne plus avoir mal. J’entends les élèves qui se moquent et la headmistress qui
nous dit que notre correction est finie. Le visage inondé de larmes, je rejoins
en titubant, les cuisses largement écartées l’infirmerie. Ma démarche en canard
fait pouffer de rire les élèves sur mon passage qui me trouve parfaitement
ridicule.
Après le
trajet vers l’infirmerie qui m’a paru une éternité, Pauline N. nous fait mettre
à genou et nous enduit le corps d’une mixture à base de bicarbonate et de
vinaigre. Cette pâte est sensée retirer les aiguillons urticants des orties
logées dans notre épiderme. J’en ai partout sur le corps. Lady Eloyce H. ne m’a
vraiment pas ratée. Je garderai des plaques rouges et des boursouflures durant
quelques jours. Le vinaigre sur notre chair nous fait crier de plus belle.
L’heure de
notre pause est passée à l’infirmerie et Pauline N. nous frotte encore et
encore avec sa mixture pour retirer tous les aiguillons. Elle nous dit que ça
va cuire durant quelques jours, mais qu’après, nous nous sentirons mieux. Par
contre, en attendant, nous devrons rester nus, car le contact des vêtements sur
notre corps sera insupportable.
Après
mettre passer de l’eau sur la figure et sur les cheveux pour me rafraichir, je
regagne ma classe en traversant la cour, en grimaçant et les mains en
protection sur mon intimité, les jambes écartées. Quelques garçons que je
croise, me font remarquer que ce n’est pas la peine de me cacher, car ils m’ont
très bien vue tout à l’heure et sous toutes les coutures. C’est en les ignorant
que j’entre dans ma classe, sanglotant de honte. Je passe tout le cours,
debout, ne pouvant m’assoir, mais le plus dur sera de trouver une position dans
mon lit, qui ne me fasse pas gémir et bondir.
Les jours
qui suivent ne sont que moqueries et humiliations de la part des élèves à mon
égard. Mes crises de larmes sont fréquentes, car ma nudité permanente me pèse.
Je ne vois plus Ethan, qui ne tente plus de bafouer les règles.
Chaque
matin, lors de la séance de footing, les garçons sont à leur fenêtre pour me
regarder courir, entièrement nue. Avec mes seins généreux qui tressautent au
rythme de mes foulées, ils sont nombreux à me reluquer et notre professeur de
sport n’est pas le dernier. Certains garçons se renseignent sur nos horaires et
s’arrangent pour nous croiser et me regarder des pieds à la tête. Il me tarde
que mes plaques rouges s’estompent pour que je puisse remettre mes vêtements,
ne plus avoir mal et cesser d’être considérée comme la « bitche » de
service ! Je me serais bien passée de cette renommée ! Je pense
qu’avec le rapport que Joana D. va faire à Fabienne D., je vais encore subir
une sacrée remontée de bretelles de sa part et de la part de mes parents, pour
mon comportement.
Par
contre, cette punition salvatrice me fait être plus consciencieuse et mes
progrès dans la langue de Shakespeare ne se font pas attendre. Les notes que
j’obtiens lors de cette première semaine sont correctes.
Glossaire
·
Bare ass : Cul nu
·
Bitches : Chienne
·
Froggies : Grenouilles
·
Headmistress :
Directrice
·
Nipple : Téton/Tétine
·
Sluts : Garce
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 31
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Très beau récit, merci
RépondreSupprimerAmis de la poésie et de la pédagogie urticante sur les fesses... bonjour!
RépondreSupprimerBon, on est habitué aux récits d'Elena où en général on n'y va pas avec le dos de la cuillère en bois! Les corrections genre féroce, se prennent, la plupart du temps, dans la tenue d'Adam et Eve au paradis... Sauf que dans ces cas de figure, c'est plutôt l'enfer pour les punis, qui s'en prennent plein les fesses, souvent en public, dans les cours des Instituts. Les garçons se font sérieusement secouer les boules au martinet et les filles débroussailler le buisson ardent à coup de fouet... avec poignées de bonheur à la clé.
Dans cette dernière livraison, à St Andrews au pays des merveilles de la fessée, on est plutôt porté sur la poignée d'ortie en guise de petite douceur disciplinaire.
Notre frenchie's girls préférée se fait mettre le cuir en feu continu par une petite "Sluts" ( merci le glossaire) tyrannique qui se croit tout permis parce qu'on la laisse faire. Lutte des classes à l'anglaise.
On attend évidemment, dans un prochain épisode incendiaire, que la petite Lady Pétasse, s'en prenne autant en retour, histoire de venger notre Jeanne d'Arc nationale déjà grillée, mais au bûcher.
Aller, la fessée avec une bonne poignée d'Orties coincée dans la raie des fesses! Après la pédagogie urticante, la vengeance décapante. Un petit coup de Dolpic par la dessus et l'honneur est sauf!
Oh My gode... dans le derrière...(rire, forcément!) Vous reprendrez bien un petite dose de tisane aux orties sur les fesses ! On s'amuse, n'est-il pas ?
Amicalement.
Ramina.
Bonjour cher Ramina,
SupprimerToujours fidèle à vos commentaires chirurgicaux ( bas les masques ). Effectivement, nos héros commettent des fautes lourdes et doivent en payer le prix et une bonne correction se donne avec le maximum d'effet. La nudité et l'humiliation est l'un de ces effets qui font retenir la correction. Ce ne sont plus des enfants, donc, il n'y a aucune raison qu'ils reçoivent un "pan pan cul cul". Ils peuvent en supporter beaucoup plus et puis, quelques cinglées n'a jamais fait de mal à personne, au contraire, ça fait circuler le sang. Je n'irais pas jusqu'à dire que c'est bon pour la santé, mais ça ne nuit pas et ça forge le caractère pour ne pas réitérer la faute commise. Dans tous mes récits, toutes les corrections servent à punir, surement pas blesser.
Le prochain épisode sera tout aussi incendiaire.
J'espère que les lecteurs prennent autant de plaisir à lire mes fictions que moi de les écrire.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Elena. Et bonjour tout le monde.
RépondreSupprimerUne petite incursion en Angleterre, la patrie, avec la Russie, des châtiments corporels. Pour Elena, qui a pris de l'âge puisqu'elle vient d'obtenir son BTS, il est humiliant de devoir accepter d'être punie par une aristocrate arrogante et plus jeune qu'elle qui ne cache absolument le plaisir qu'elle éprouve à la punir aux orties. Dont la brûlure est si particulière et si persistante. Sans doute va-t-elle avoir hâte, vu la façon dont elle est traitée là-bas de rentrer rapidement en France.
C'est un texte très parlant. Qui fourmille de détails mettant la punition reçue en valeur.
Amicalement.
François
Merci cher partenaire de ce beau commentaire !
SupprimerIl y aura 2 autres textes sur ce thème, ce sera tout aussi cuisant pour les froggies que nous sommes et qui n'en font qu'à leur tête. L'âge devrait nous raisonner et bien non, ce n'est pas le cas.
Amitiés
Elena.
Bonjour Caroline et merci pour ce compliment, qui me touche vraiment.
RépondreSupprimerAmitiés.
Elena.
Bonjour très beau récit avec ambiance scolaire comme autrefois j'adore
RépondreSupprimerC'est super gentil Jojobonno,
SupprimerPortez vous bien !
Amitiés.
Elena.