lundi 11 mai 2020

Les rebelles -chapitre 32

Lors de notre rentrée à Ste CROIX, les retrouvailles sont heureuses entre copains copines où notre récent confinement et les punitions qui en ont découlées, sont les principaux sujets de conversation.
Notre proviseure, Fabienne D. nous réunit et nous informe qu’il n’y aura pas d’examen cette année et que notre diplôme de BTS nous sera attribué sur dossier en fonction des résultats obtenus tout au long de l’année.
La bonne nouvelle est que sur l’ensemble des étudiants, le taux est de cent pour cent de réussite pour Ste CROIX et elle nous félicite car nos efforts ont payé et Ste CROIX est encore sacré meilleur établissement de la région. Par contre, la mauvaise nouvelle est qu’aucun dossier n’a été retenu pour les étudiants ayant demandé la prestigieuse université de TOULON pour faire leur mastère. La raison en est le nombre de place limité et la préférence pour des étudiants déjà scolarisés dans cette université. De plus, sur chacun de nos dossiers était mentionné un critère de discipline et l’appréciation n’était pas en notre faveur, même si par ailleurs le dossier était tout à fait élogieux. Pour ma part, mes frasques avec Adilson et mes remarques blessantes vis-à-vis du conseil de discipline de Ste CROIX ont été la cause de mon éviction. Je m’en veux de ma légèreté de comportement, mais j’étais prévenue, je ne peux m’en prendre qu’à moi-même de ne pas entrer à TOULON... Je me voyais déjà sortir avec un mastère de cette école et, de fait, mon CV serait sorti du lot pour postuler à un futur emploi. Il faudra que je me contente d’un mastère à Ste CROIX... Le niveau sera très bon, certes, mais ce qui veut dire passer deux années supplémentaires avec une épée de Damoclès, nommée fouet, au-dessus de la tête, sans échappatoire.
Notre professeur principal, François F. nous donne les axes à améliorer pour l’année prochaine et en fonction de ça, nous pourrons prendre l’une des filières disponibles, si nous voulons continuer après notre BTS. Pour ma part, ce sera un mastère « Expert Digital d’Architecture du Web », section que j’avais déjà repérée à TOULON. En fait, tous les étudiants sont dispatchés dans leur spécialité de choix. Je vais perdre une grande partie de mes amies les plus proches, mais nous nous retrouverons pour certains cours en tronc commun et puis il y aura les intercours, la cantine et les « soirées étudiantes », il faudra s’en contenter.
Pour mon complément de formation, l’anglais étant ma matière en souffrance, ma professeure d’anglais, Suzan W., choisit pour moi un stage en immersion dans une petite ville anglaise, MAIDENHEAD à l’ouest de LONDRES, à St ANDREWS Academy. Chaque année, un séjour linguistique est proposé en inter change « St ANDREWS/Ste CROIX ». Suzan W. et François F. me disent que ce séjour me fera du bien, car je dois absolument progresser sur certains points et l’éducation anglaise étant très réputée, ce sera excellent dans mon cas !
Pas du tout rassurée par les propos de mes professeurs et par cet échange en milieu presque disciplinaire, je décide d’en parler à mes parents. ! En rentrant, Maman me dit qu’elle a déjà acceptée que j’aille à MAIDENHEAD pour deux semaines. Je serai logée à l’Academy avec d’autres étudiantes de Ste CROIX : Naia dix-neuf ans, Coralie dix-neuf ans, Samantha vingt ans, Yang dix-huit ans et Kirsten dix-huit ans.
Nous aurons dans notre secteur de bâtiment à St ANDREWS des étudiantes anglaises, venues d’autres villes, en renforcement pour d’autres disciplines : Amber dix-neuf ans, Kaitlyn dix-huit ans et Ashley dix-huit ans et deux anglais, Darrel seize ans et Ethan dix-sept ans.

Après le voyage où nous avons papoté entre filles, nous arrivons, pas sans mal, à MAIDENHEAD, puis à St ANDREWS où la proviseure Joana D. et notre professeur de langue, Elizabeth G. nous accueillent.
Après une brève installation dans nos chambres, nous descendons dans notre salle de cours. Joana D. nous explique que tous les matins, nous devrons prendre notre température avant le premier cours de la journée, qui sera suivie d’une remise en condition physique, car elle trouve que notre confinement a été profitable « à nos hanches » et il est temps que nous retrouvions notre taille de jeune fille. Puis après la douche et le petit déjeuner, nous commencerons les cours. Le programme est intensif, avec de rares sorties, très encadrées, dans la mesure où en tant qu’étrangères, les mesures sanitaires sont plus que renforcées.
Au niveau de la discipline à St ANDREWS, les règles sont strictes et Joana D. nous annonce que tout manquement donnera lieu à un châtiment corporel, en public, pour que nous prenions la mesure de notre faute. Joana D. nous dit qu’elle sait comment nous sommes punies à Ste CROIX et les règles seront les mêmes au sein de l’Academy. Joana D. dit qu’Elizabeth G. a procuration pour appliquer elle-même les punitions en cours, mais que pour les grosses fautes, c’est la « headmistress » qui s’en chargera. En guise de démonstration, Joana D. décroche la badine souple accrochée au-dessus du tableau et la fait siffler dans l’air, pour nous impressionner. Elle ajoute, qu’avec cet instrument, nos fesses de petites « froggies » seront suffisamment marquées et ardentes pour que notre discipline soit irréprochable. Elle prendra plaisir à nous remettre dans le droit chemin, comme toutes les étudiantes de l’Academy.
Après une nuit où certaines de mes amies papotent jusqu’à plus d’heure, nous entamons notre première journée par un footing de cinq kilomètres dans le parc de l’Academy. Quelques internes anglais nous reluquent depuis leur fenêtre et certains nous sifflent et nous leur répondons avec de grands signes amicaux. Notre professeur de sport, un solide écossais, est obligé de faire usage de sa voix de stentor pour ramener le calme, car il est hors de question que notre séjour soit émaillé d’incidents avec les garçons.
Après la séance de sport, nous allons prendre notre douche en commun, puis au moment où nous allons prendre notre breakfast, Joana D. nous interpelle en nous disant que nous avons été vues en train de nous pavaner devant les garçons, mais que cette attitude est typique des françaises, qui se croient supérieures à tout le monde. Pour cela, nous allons déjà être punies de cinq bons coups de badine sur les fesses, de façon à nous rappeler les consignes. Elle savait bien qu’il lui faudrait user de la badine, car notre indiscipline latine est bien connue. Dans un anglais déplorable, nous tentons d’expliquer que ce sont les garçons qui ont commencé et que nous leur avons simplement dit bonjour en retour, sans plus, mais Joana D. nous répond que la version du professeur de sport est toute autre et elle ne va surement pas croire de vulgaires « froggies » qui se montrent « légères ».

Après notre petit déjeuner pris sans appétit et dans un silence pesant, nous allons dans notre salle de cours où se trouvent la « headmistress » Joana D. et Elizabeth G.
Joana D. nous ordonne de retirer complètement notre jupe et notre culotte et de nous mettre en rang, car chacune notre tour, nous allons passer à la fessée. Nous nous exécutons et retirons prestement tout le bas et nous nous mettons à genoux, pour attendre notre tour. Joana D. note que nous sommes toutes bien épilées, ressemblant à des petites filles et c’est à ce titre que nous allons être punies. Je vais passer l’avant dernière, avec tout le temps d’entendre les claquements sonores sur les fesses de mes copines et de les entendre crier et pleurer.
Lorsque j’entends hurler Yang, Coralie, Kirsten et Samantha, je me mets à regretter d’être ici. Le cœur battant la chamade dans ma poitrine et l’angoisse me prenant à la gorge, je suis appelée par la « headmistress » qui m’ordonne de me pencher sur le bureau, tout en écartant bien les cuisses, en signe de totale soumission. En observant mes grandes lèvres, Joana D. nous dit que je suis trempée, mais j’aurai surement moins de plaisir lorsque mes fesses auront gouté à la badine anglaise ! Toute rouge par cette remarque sur mon intimité, qui insinue que j’ai pris du plaisir en entendant les autres crier de souffrance, je ferme les yeux en attendant le premier coup.
Celui-ci vient assez rapidement et enflamme ma croupe. Je pousse un cri, car la douleur est intense et rayonne dans tout mon bassin. Je devine qu’elle y met tout son cœur, pour nous imposer son autorité. Les quatre autres cinglées sont tout aussi puissantes et me laisse en pleurs. Les fesses en feu, je rejoins les autres élèves, à genoux, en attendant que la dernière élève, Naia, se fasse corriger et que nous puissions nous rhabiller.
Lorsque toutes les punitions ont été administrées, en nous regardant à genoux, Joana D. nous dit que nous sommes de bonnes petites françaises qui viennent d’être remises à leur place. Elle nous laisse à notre professeur, qui nous dit de remettre uniquement notre jupe, car nous resterons sans culotte jusqu’au soir. Avec notre jupe qui arrive à mi-cuisses, s’il y a un coup de vent, nous sommes bonnes pour exhiber nos fesses et notre intimité...
Nous nous asseyons et c’est avec des gémissements, des grimaces et des contorsions que nous parvenons à poser nos fesses brûlantes sur le bois de la chaise. Elizabeth G. nous dit de ne pas faire les douillettes, car ce ne sera peut-être pas la dernière fessée que nous recevrons.
Le cours d’anglais débute avec six élèves qui se dandinent d’une fesse sur l’autre pour tenter de soulager tantôt l’une, tantôt l’autre. Inutile de dire que notre attention n’est pas à l’optimum. Elizabeth G. passe dans les rangs, la badine à la main et regarde nos exercices, par moment, elle fait siffler la badine dans l’air et aussitôt, nous sommes transies en nous demandant ce qu’il va nous arriver. Aucune de nous supporterait une seconde punition.

Durant la pause repas pris dans la cour, debout et au milieu des autres élèves, nous mangeons notre traditionnel lunch qui se compose de deux sandwiches, de chips, d’un fruit et d’une boisson. Le fait d’être debout nous fait être à part, car tous les autres étudiants sont assis soit dans l’herbe, soit sur un banc.
Une anglaise, dans son réglementaire uniforme du lycée, vient vers nous et nous agresse plus qu’elle ne nous parle. A priori, elle sait que l’on s’est pris une punition, car elle tente à plusieurs reprises de soulever la jupe de l’une d’entre nous pour se délecter de la vision de nos fesses marquées, avant que nous ne parvenions in extremis à esquiver le troussage, en déclarant qu’il n’y a aucune raison pour laquelle nous devrions montrer nos fesses, ni pour avoir été corrigées.
Nous n’avions pas prévu que d’autres filles, des amies de notre agresseuse, viennent l’aider et Kirsten, Samantha et moi, nous nous retrouvons avec la jupe relevée. Sentant notre intimité dénudée, nous crions de surprise ce qui attire les spectateurs. Les rires se font entendre à côté de nous.
Notre agresseuse confirme devant tout le monde que nous avons bel et bien été corrigées, elle s’en réjouit et elle nous qualifie de « french bitches », car nous ne portons pas de culotte, ce qui est pour elle, une offense à la bienséance.
Après cette mise à l’air qui nous a fortement humiliées et nous a fait passer pour ce que nous ne sommes pas, toutes rouges de honte, nous allons nous isoler pour ne plus avoir à subir les insultes de ces étudiantes, hilares.
Des filles qui sont aussi en étude/échange dans notre zone de l’Academy, Amber, Kaitlyn et Ashley viennent nous trouver et nous disent que notre agresseuse se prénomme Lady Eloyce H. Elle n’a que dix-sept ans et en tant qu’aristocrate, elle porte déjà le titre de Lady du comté de DARTMOUTH, tout comme sa jeune sœur Lady Amy H. quinze ans. Leur famille est la plus illustre de la région, dont leur mère, la Duchesse Victoria H. qui est reçue à BUCKINGHAM PALACE, avec les honneurs dus à son rang.
Lady Eloyce H. fait à sa guise, car ses parents financent les bonnes œuvres de l’Academy St ANDREWS. Quoi qu’il arrive, Lady Eloyce H. aura son diplôme avec mention et le personnel de l’Academy lui passe tous ses caprices, car il ne peut en être autrement. Amber nous conseille de ne pas faire de vagues, ni de nous plaindre, car nous le regretterions.
Les jours suivants, la bande de Lady Eloyce H. vient nous narguer en nous traitant de tous les noms ( « sluts », « bitches », « bare ass », etc. ). Nous devenons leur tête de turc. Certaines filles viennent nous mettre des mains aux fesses pour tester notre sensibilité suite à notre fessée. Nous en rembarrons certaines, ne voulant pas nous montrer trop dociles avec ces filles qui se croient sorties de la cuisse de Jupiter.
Le lendemain, je repère un garçon qui me sourit avec insistance qui finit par venir me parler. Ethan, un peu plus jeune que moi, me dit qu’il est désolé pour l’agression des filles, mais l’Academy est gangrenée par la mainmise de quelques familles de la région et tout tourne autour d’elles, surtout la famille de la Duchesse de DARTMOUTH. A force de parler, je le trouve sympa, car il fait des efforts, se rendant compte que l’anglais n’est pas aisé pour moi. Nous finissons par flirter ensemble, en cachette, car les relations hommes-femmes ne sont pas autorisées au sein de l’établissement et je suis consciente de transgresser une des règles. Mais je me dis qu’en faisant attention, il ne se passera rien, et puis nous ne faisons que discuter et d’échanger quelques bisous.
Un peu plus tard, ayant repéré notre manège, Lady Eloyce H. ordonne à Ethan de s’éloigner des « bare ass », il n’est pas question qu’il se mêle à nous, car il fait partie de la brillante Academy et le groupe des « french froggies » n’y est que toléré pour une très courte période.
Ethan ne se laisse pas donner des ordres et continue de me fréquenter, jusqu’au jour où Lady Eloyce H. nous dénonce à la headmistress. Celle-ci n’en demandait pas autant pour venir nous punir.
Sans aucune preuve tangible, mais simplement sur les dires d’une étudiante, Joana D. nous appelle, Ethan et moi et nous dit que nous avons enfreint une des règles de l’établissement, c’est-à-dire que nous avons eu des rapports allant au-delà de la camaraderie. Nous avons beau nous défendre et dire que nous ne faisions que discuter, Joana D. nous répond qu’une personne dont le mensonge ne fait pas partie de sa personnalité, lui a rapporté que notre conduite est inqualifiable. Joana D. est outrée d’avoir su ce que nous avions fait. Nous savons que notre défense est vaine, car non seulement Joana D. ne veut pas dire ce qu’elle a entendu, mais d’autre part, nous soupçonnons Lady Eloyce H. d’être à l’origine de cette dénonciation calomnieuse.
Joana D. nous condamne à être fouetté en public, avec des orties et de cette façon, nous allons apprendre à calmer nos ardeurs d’adolescent. La flagellation aura lieu à midi, dans le parc de l’Academy durant la pause déjeuner. Ça fera une belle animation lors du repas.

Résignés, nous retournons chacun dans notre classe. En entrant, Elizabeth G. me demande comment ça s’est passé avec la headmistress et je suis obligée de lui dire qu’elle nous a condamnée à être fouettés avec des orties devant tout le monde, ce midi. C’est avec un grand sourire que Elizabeth G. apprend ma punition. Elle me dit que ça nous fera du bien à tous les deux, mais que nous devrions le sentir durant plusieurs jours.
Peu avant midi, la headmistress Joana D. nous fait venir, Ethan et moi dans son bureau et nous ordonne de nous mettre entièrement nus, car c’est comme ça que nous allons être punis. Nous protestons, car notre pudeur va être mise à rude épreuve. Joana D. nous dit qu’elle s’en moque et que ça nous fera une belle leçon. Ne pouvant lutter, nous nous déshabillons.
La headmistress nous attache les mains dans le dos, afin que notre intimité soit largement exhibée tout au long de notre défilé. Tout rouge de honte, nous défilons à travers les couloirs de l’Academy où nous croisons les élèves qui sortent de leur classe pour aller manger, pour rejoindre la cour. Les rire et autres quolibets fusent sur notre passage. Je ne comprends pas tout, mais à leur intonation de voix, je me doute que ce qu’ils nous disent n’est pas pour nous complimenter... Je vois qu’Ethan est en plein érection, car ce qu’il entend l’humilie grandement.
Lorsque nous sommes dans la cour, remplie d’élèves qui se moquent de notre nudité, nous voyons la bande de Lady Eloyce H. aux anges de nous voir passer de cette façon. J’ai la chair de poule et mes tétons se dressent sous l’émotion d’être nue et humiliée par autant de monde. Le seul réconfort que j’ai c’est quand je passe au niveau de mes amies qui nous souhaitent bon courage.
Notre professeur de sport nous attache solidement les poignets et les chevilles, de façon à ce que nous ne puissions pas bouger. Légèrement inclinée vers l’avant et les cuisses écartées, je sais que mon intimité est totalement exhibée et mes efforts pour serrer les cuisses sont vains.
Du coin de l’œil, je vois Lady Eloyce H. aller parler à la headmistress. Je me demande ce qu’elle a à lui demander ?
Joana D. annonce à tout le monde qu’elle va punir Ethan et que je serai flagellée par Lady Eloyce H. Je proteste contre ce fait car ce n’est pas son rôle de me corriger. Elle est élève et non pas professeur. Mais je me souviens que personne n’ose lui refuser quoi que ce soit.
Munie d’un gant de cuir, Joana D. prend un gros bouquet d’orties récemment coupées et flagelle les fesses, les cuisses et le dos d’Ethan qui ne tarde pas à s’égosiller en se trémoussant, sous les brûlures cuisantes des orties. Des petites cloques apparaissent sur son épiderme qui devient très rouge. Sous l’effet des brûlures, je vois que son érection est renforcée et son pénis ballote sous ses contorsions frénétiques. Je préfère ne pas regarder l’état de sa peau, car j’angoisse déjà assez comme ça et ses hurlements ne me rassure pas non plus. Je ne peux qu’attendre ma punition en sentant mes tétons se dresser au fur et à mesure que ma correction approche.
Lorsque Joana D. en a fini avec Ethan, celui-ci est en pleurs, gémissant et tremblant. Joana D. donne le gant de cuir à Lady Eloyce H. et lui donne le seau avec d’autres orties. Toute fière, Lady Eloyce H. enfile le gant, prend les orties et vient me dire que je vais regretter d’avoir enfreint les règles, qu’elle va me dresser et qu’après cette punition, je serai bien docile. Elle voit que mes tétons sont bien dressés et elle me dit qu’elle leur réserve un traitement spécial à mes « bitche nipples ». Elle se met à me soupeser les seins pour m’humilier davantage et ce n’est pas mes grognements d’indignation qui l’arrêtent. Elle me gifle en me disant qu’elle fait ce qu’elle veut et qu’elle va me soumettre, sous les hourras des autres élèves. Les garçons paieraient cher pour être à sa place !
De toutes ses forces, Lady Eloyce H. me cingle avec les branches d’orties fraichement cueillies et donc très urticantes. Les brûlures sont instantanées, je me convulse, me secoue, me contorsionne en hurlant de toutes mes forces. Je la supplie en vain et mes cris ne l’attendrissent pas. Lorsqu’elle juge que le bouquet d’orties ne fait plus assez d’effet, Lady Eloyce H. en prend un autre et continue. Elle en profite pour me fouetter le devant de mon corps, ventre, bas ventre et seins. Mes hurlements sont stridents. En guise de « bouquet final », Lady Eloyce H. me dit qu’elle va calmer mes chaleurs et me cingle l’intérieur des cuisses et la vulve, ce qui me fait bondir. J’ai le corps en feu. Je ne cesse plus de hurler en me débattant, tant la cuisson est intense.

Epuisée de m’être débattue et d’avoir hurler à plein poumons, je me calme peu à peu et je sens à peine que je viens d’être détachée par le professeur de sport, aidé par l’infirmière Pauline N., à peine plus âgée que nous. Je ne sais plus comment me mettre pour ne plus avoir mal. J’entends les élèves qui se moquent et la headmistress qui nous dit que notre correction est finie. Le visage inondé de larmes, je rejoins en titubant, les cuisses largement écartées l’infirmerie. Ma démarche en canard fait pouffer de rire les élèves sur mon passage qui me trouve parfaitement ridicule.
Après le trajet vers l’infirmerie qui m’a paru une éternité, Pauline N. nous fait mettre à genou et nous enduit le corps d’une mixture à base de bicarbonate et de vinaigre. Cette pâte est sensée retirer les aiguillons urticants des orties logées dans notre épiderme. J’en ai partout sur le corps. Lady Eloyce H. ne m’a vraiment pas ratée. Je garderai des plaques rouges et des boursouflures durant quelques jours. Le vinaigre sur notre chair nous fait crier de plus belle.
L’heure de notre pause est passée à l’infirmerie et Pauline N. nous frotte encore et encore avec sa mixture pour retirer tous les aiguillons. Elle nous dit que ça va cuire durant quelques jours, mais qu’après, nous nous sentirons mieux. Par contre, en attendant, nous devrons rester nus, car le contact des vêtements sur notre corps sera insupportable.

Après mettre passer de l’eau sur la figure et sur les cheveux pour me rafraichir, je regagne ma classe en traversant la cour, en grimaçant et les mains en protection sur mon intimité, les jambes écartées. Quelques garçons que je croise, me font remarquer que ce n’est pas la peine de me cacher, car ils m’ont très bien vue tout à l’heure et sous toutes les coutures. C’est en les ignorant que j’entre dans ma classe, sanglotant de honte. Je passe tout le cours, debout, ne pouvant m’assoir, mais le plus dur sera de trouver une position dans mon lit, qui ne me fasse pas gémir et bondir.
Les jours qui suivent ne sont que moqueries et humiliations de la part des élèves à mon égard. Mes crises de larmes sont fréquentes, car ma nudité permanente me pèse. Je ne vois plus Ethan, qui ne tente plus de bafouer les règles.
Chaque matin, lors de la séance de footing, les garçons sont à leur fenêtre pour me regarder courir, entièrement nue. Avec mes seins généreux qui tressautent au rythme de mes foulées, ils sont nombreux à me reluquer et notre professeur de sport n’est pas le dernier. Certains garçons se renseignent sur nos horaires et s’arrangent pour nous croiser et me regarder des pieds à la tête. Il me tarde que mes plaques rouges s’estompent pour que je puisse remettre mes vêtements, ne plus avoir mal et cesser d’être considérée comme la « bitche » de service ! Je me serais bien passée de cette renommée ! Je pense qu’avec le rapport que Joana D. va faire à Fabienne D., je vais encore subir une sacrée remontée de bretelles de sa part et de la part de mes parents, pour mon comportement.
Par contre, cette punition salvatrice me fait être plus consciencieuse et mes progrès dans la langue de Shakespeare ne se font pas attendre. Les notes que j’obtiens lors de cette première semaine sont correctes.

Glossaire

·        Bare ass : Cul nu
·        Bitches : Chienne
·        Froggies : Grenouilles
·        Headmistress : Directrice
·        Nipple : Téton/Tétine
·        Sluts : Garce


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 31

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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8 commentaires:

  1. Amis de la poésie et de la pédagogie urticante sur les fesses... bonjour!

    Bon, on est habitué aux récits d'Elena où en général on n'y va pas avec le dos de la cuillère en bois! Les corrections genre féroce, se prennent, la plupart du temps, dans la tenue d'Adam et Eve au paradis... Sauf que dans ces cas de figure, c'est plutôt l'enfer pour les punis, qui s'en prennent plein les fesses, souvent en public, dans les cours des Instituts. Les garçons se font sérieusement secouer les boules au martinet et les filles débroussailler le buisson ardent à coup de fouet... avec poignées de bonheur à la clé.
    Dans cette dernière livraison, à St Andrews au pays des merveilles de la fessée, on est plutôt porté sur la poignée d'ortie en guise de petite douceur disciplinaire.
    Notre frenchie's girls préférée se fait mettre le cuir en feu continu par une petite "Sluts" ( merci le glossaire) tyrannique qui se croit tout permis parce qu'on la laisse faire. Lutte des classes à l'anglaise.

    On attend évidemment, dans un prochain épisode incendiaire, que la petite Lady Pétasse, s'en prenne autant en retour, histoire de venger notre Jeanne d'Arc nationale déjà grillée, mais au bûcher.
    Aller, la fessée avec une bonne poignée d'Orties coincée dans la raie des fesses! Après la pédagogie urticante, la vengeance décapante. Un petit coup de Dolpic par la dessus et l'honneur est sauf!

    Oh My gode... dans le derrière...(rire, forcément!) Vous reprendrez bien un petite dose de tisane aux orties sur les fesses ! On s'amuse, n'est-il pas ?
    Amicalement.
    Ramina.

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    1. Bonjour cher Ramina,
      Toujours fidèle à vos commentaires chirurgicaux ( bas les masques ). Effectivement, nos héros commettent des fautes lourdes et doivent en payer le prix et une bonne correction se donne avec le maximum d'effet. La nudité et l'humiliation est l'un de ces effets qui font retenir la correction. Ce ne sont plus des enfants, donc, il n'y a aucune raison qu'ils reçoivent un "pan pan cul cul". Ils peuvent en supporter beaucoup plus et puis, quelques cinglées n'a jamais fait de mal à personne, au contraire, ça fait circuler le sang. Je n'irais pas jusqu'à dire que c'est bon pour la santé, mais ça ne nuit pas et ça forge le caractère pour ne pas réitérer la faute commise. Dans tous mes récits, toutes les corrections servent à punir, surement pas blesser.
      Le prochain épisode sera tout aussi incendiaire.
      J'espère que les lecteurs prennent autant de plaisir à lire mes fictions que moi de les écrire.
      Amitiés.
      Elena.

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  2. Bonjour Elena. Et bonjour tout le monde.

    Une petite incursion en Angleterre, la patrie, avec la Russie, des châtiments corporels. Pour Elena, qui a pris de l'âge puisqu'elle vient d'obtenir son BTS, il est humiliant de devoir accepter d'être punie par une aristocrate arrogante et plus jeune qu'elle qui ne cache absolument le plaisir qu'elle éprouve à la punir aux orties. Dont la brûlure est si particulière et si persistante. Sans doute va-t-elle avoir hâte, vu la façon dont elle est traitée là-bas de rentrer rapidement en France.
    C'est un texte très parlant. Qui fourmille de détails mettant la punition reçue en valeur.
    Amicalement.
    François

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    1. Merci cher partenaire de ce beau commentaire !
      Il y aura 2 autres textes sur ce thème, ce sera tout aussi cuisant pour les froggies que nous sommes et qui n'en font qu'à leur tête. L'âge devrait nous raisonner et bien non, ce n'est pas le cas.
      Amitiés
      Elena.

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  3. Bonjour Caroline et merci pour ce compliment, qui me touche vraiment.
    Amitiés.
    Elena.

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  4. Bonjour très beau récit avec ambiance scolaire comme autrefois j'adore

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    Réponses
    1. C'est super gentil Jojobonno,
      Portez vous bien !
      Amitiés.
      Elena.

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