- j'ai contrôlé ton agenda, demain matin, tu n'as pas
de rendez-vous, nous irons voir mademoiselle Hélène pour ton épilation.
Monique essaya de protester
- euh, tu es sûre que c'est nécessaire...
- ce n'est pas à toi de décider, ma chérie, tu sais
bien que je déteste quand tu commences tes jérémiades, je vais immédiatement te
donner l'occasion de te plaindre.
Elles étaient arrivées près de la voiture, garée dans
une rue calme, il y avait un porche d'immeuble ouvert, Elodie y entraîna Monique,
l'endroit était désert en milieu d'après-midi. Elle sortit le petit martinet de
son sac et sans laisser à Monique le temps de réfléchir, elle la courba sous son
bras, la jupe fut retroussée et la culotte descendue sous les fesses en quelques
secondes. Le martinet commença son œuvre sur les fesses tendues. Madame Dumon recevait
sa deuxième fessée en extérieur, celle-ci administrée en pleine rue même si c'était
un peu à l'écart était encore plus humiliante que la première, heureusement une
claquée avec le martinet était beaucoup moins bruyante qu'une correction manuelle,
les lanières cinglaient les fesses énergiquement mais rien à voir avec le bruit
d'une main claquant la peau nue. La croupe de Monique dûment châtiée, repris rapidement
une belle couleur rouge. Elodie la relâcha, la jupe retomba cachant le derrière
écarlate.
- j'espère que tu as compris, tu ne remontes pas ta
culotte, tu seras prête pour aller au coin quand nous arriverons. Ce martinet est
vraiment pratique, il cingle bien n'est-ce pas ?
Monique était rouge de honte et ses yeux étaient larmoyant,
décidément il ne lui restait plus qu'à tout accepter de sa fille sous peine de se
retrouver fesses à l'air. A leurs arrivée, comme prévu, elle se dirigea toute seule
vers le coin qui lui était désormais réservé, elle retroussa sa jupe et croisa ses
mains dans le dos pour la tenir.
- c'est bien, tu deviens obéissante, rien de mieux
qu'une bonne fessée déculottée pour rendre mignonne les grandes filles, mets bien
ton nez contre le mur, voilà c'est bien.
Elodie prit le téléphone pour avoir un rendez-vous
avec cette esthéticienne recommandée par Sophie, elle lui expliqua qu'elle désirait
faire épiler totalement sa "grande fille", mademoiselle Hélène était habituée
aux demandes un peu spéciale, elle avait une clientèle "diversifiée",
mais surtout dans le milieu bdsm et lesbien, elle ne fut pas surprise.
Pendant qu'elle discutait, elle était assise sur son
canapé et le contact de sa peau nue encore un peu sensible de la fessée de Sophie
lui fit un drôle d'effet, vraiment il fallait qu'elle revoie cette demoiselle et
surtout il fallait qu'elle la déculotte.
Le lendemain, Monique ne travaillait pas, dès le matin,
elle fut habillée en grande fille, culotte blanche, jupe courte, chemisier et socquette
blanche et c'est dans cette tenue qu'elle se présenta accompagnée d'Elodie au salon
de mademoiselle Hélène. Celle-ci était une petite brunette d'une trentaine d'années,
elle les accueilli avec le sourire, elle eut vite compris que Monique était la soumise
d'Elodie, la différence d'âge ne la surprit pas, c'était assez courant d'avoir un
couple où une dame d'âge mûr était dominée par une jeune femme. Cependant quand
Elodie lui expliqua calmement qu'elle ne formait pas un couple et que Monique était
sa mère, dont elle avait repris l'éducation, elle ne put s'empêcher de marquer un
peu de surprise.
- ah mais c'est très intéressant, si j'en juge par
sa tenue, madame a beaucoup rajeuni, je comprends mieux la nécessité d'une épilation
complète. Si vous le permettez, je dois d'abord examiner les zones à épiler pour
voir comment je vais procéder, si vous voulez bien vous déshabillez.
Monique commençait à avoir l'habitude de ces petites
humiliations du quotidien, aussi sans attendre un autre ordre qui aurait pu s'accompagner
de claques sur son fessier, elle quitta, sa jupe et son chemisier et elle resta
en culotte et soutien-gorge à attendre la suite. Hélène se mit à rire.
- il va falloir baisser votre culotte ma petite dame
sinon je ne verrai rien.
Comme Monique
semblait hésiter, Elodie, se dirigea vers elle et sans un mot, elle la fit pivoter
tournant ses fesses vers la jeune femme puis elle la courba sous son bras et d'un
geste rapide elle la déculotta
- puisque tu ne veux pas obéir, je vais te rappeler
ce qui arrive aux jeunes filles récalcitrantes.
Sa main se leva et elle appliqua une cinquantaine de
claques sur les fesses bien présentées, Monique se mit à gémir mais elle ne chercha
pas à éviter sa correction ce qui impressionna beaucoup mademoiselle Hélène. Son
amie Sophie lui avait raconté les fessées qu'elle administrait avec vigueur sur
des derrières déculottés d'adultes des deux sexes mais c'était resté au stade imaginaire,
là elle assistait de visu à une véritable fessée et la dame qui la recevait aurait
presque pu être sa mère. C'était une découverte, elle se surpris à aimer ce spectacle.
La punition ne dura pas longtemps et Monique les larmes aux yeux, plutôt de honte
que de douleur d'ailleurs, la culotte descendue aux genoux, s'allongea sur le lit
d'examen. Hélène se pencha sur elle, lui fit écarter les cuisses et sans façon passa
sa main sur sa toison
- bien, madame n'est pas trop fournie, ça sera vite
fait, si vous voulez bien vous mettre sur le ventre, je dois examiner votre sillon
inter fessier, quelques fois une petite épilation est nécessaire.
Monique se retourna, mais au moment où Hélène lui écartait
les fesses, elle ne put s'empêcher de les resserrer, la jeune esthéticienne la gronda.
- ah, non madame, ce n'est pas le moment de faire la
prude.
Elodie ne l'entendait pas de cette oreille, une petite
rébellion valait sanction immédiate. Elle prit sa mère par l'oreille et la fit se
relever, elle prit une chaise pour s'asseoir et elle la coucha en travers de ses
genoux, puis calmement elle sortit sa brosse à cheveux de son sac à main. Hélène
avait été surprise de la réaction de la jeune femme, mais maintenant elle était
attentive à ce qui allait suivre. La dame d'âge mûr était maintenant dans une position
de gamine, déculottée, attendant la punition de sa maman. Elodie ne se pressait
pas, elle remit bien en place Monique de façon à ce que ses fesses soient en bonne
position
- ma chérie, tu te rappelles ce que je t'ai dit avant
de partir, à la première désobéissance, c'est la fessée cul nu et bien nous y voilà,
et si tu recommences, je demanderai à mademoiselle Hélène de t'administrer elle-même
la fessée. Ma brosse à cheveux va s'occuper de tes fesses.
Et pour s'en occuper, elle s'en occupa, la brosse allait
et venait claquant une fesse après l'autre, Monique, pleurait et suppliait, promettant
d'être sage de ne plus recommencer etc... Enfin elle se comportait comme toute jeune
fille recevant une sévère fessée. La croupe avait repris rapidement une belle couleur
rouge. Les jambes battaient l'air au rythme de la correction, la culotte était descendue
jusqu'aux chevilles. Quand elle fut remise sur ses pieds, Hélène lui fit enlever
complètement son sous vêtement, elle prit la culotte et la posa sur une chaise.
- vous voilà en tenue, installez-vous et soyez sage,
vous avez vu ce qui arrive quand on désobéit
Elle lui tapota les fesses pour la faire se mettre
en position
- oula la, elles sont bien chaudes ces fesses.
Monique en reniflant après cette sévère correction,
ne tergiversa pas et pris place sur le lit. Hélène utilisait la méthode classique
à la cire, évidemment à cette endroit c'était très douloureux mais ses fesses rougies
étaient également très sensibles donc Monique supporta l'épreuve au grand dam d'Hélène
qui s'était promis de corriger cette dame. Heureusement il restait le sillon inter
fessier comme disait les esthéticiennes mais que madame Rose et ses assistantes
appelaient la raie des fesses. Elle fit mettre sa patiente sur le ventre après lui
avoir mis un coussin pour bien lui relever les fesses. C'était une position humiliante
mais Monique en avait vu d'autres.
- bien vous écartez les jambes et vous tenez vos fesses
écartées avec vos mains et vous ne bougez pas.
Monique s'exécuta au comble de la confusion, quand
Hélène appliqua la cire tiède, elle se retint de resserrer ses fesses mais quand
elle tira sur la cire, elle ne put retenir un cri et elle relâcha ses fesses, c'était
ce qu'attendait la jeune femme
- décidément quelle jeune fille désobéissante, vous
permettez mademoiselle.
Elle s'adressait à Elodie, celle-ci en souriant lui
répondit
- mais je vous en prie, j'avais prévenu Monique, elle
n'aura que ce qu'elle mérite. Hélène saisi à son tour l'oreille de Monique et la
fit se relever, elle n'avait jamais donné une fessée mais dans ses souvenirs ça
ressemblait fortement à la façon de procéder d'Elodie donc elle adopta la position
classique, la punie allongée sur ses genoux, elle n'avait plus de culotte c'était
regrettable, elle aurait bien aimé déculotter cette dame, une fois Monique en position
disciplinaire elle lui caressa la croupe encore rouge de la fessée à la brosse à
cheveux.
- décidément votre momy, à raison mademoiselle, il
n'y a que la fessée pour vous faire obéir, pourtant vos fesses sont encore chaudes,
vous auriez dû réfléchir.
Elle leva la main et commença à administrer sa troisième
fessée à Monique, son derrière commençait à s'habituer à ce genre de punition et
Hélène bien qu'appliquée manquait un peu de technique, les fesses avaient repris
malgré tout une jolie couleur, mais c'était insuffisant pour Elodie, elle sortit
son petit martinet du sac à main et le tendit à Hélène.
- tenez, essayez cela, je pense que cette désobéissance
mérite une correction un peu plus sévère.
Hélène, prit le martinet à courte lanières et en apprécia
rapidement la maniabilité, Monique aussi car si elle était restée silencieuse depuis
le début, elle se mit rapidement à crier et à pleurer sous la morsure du martinet.
- mais c'est très pratique cet instrument et ça m'a
l'air de bien claquer, oh, vous pouvez gémir et battre des jambes jeune fille, je
pense qu'après cette fessée vous réfléchirez deux fois avant de désobéir.
La fessée au martinet ne dura pas très longtemps, les
fesses étaient écarlates et des traces rouges descendaient sur le haut des cuisses.
Satisfaite de sa première expérience de fesseuse, Hélène laissa un instant sa punie
allongée sur ses genoux, les fesses devaient la cuire car elles se serraient et
se desserraient pour atténuer la brûlure, elle caressa les deux hémisphères rebondis,
puis d'une petite claque elle invita madame Dumon redevenue une adolescente punie
par une Tati sévère, à se relever. Elodie prit immédiatement les choses en main,
elle ramassa la culotte et la tendit à Monique,
- remet la, mais tu la laisse en dessous des fesses,
je crois qu'il faut qu'elles refroidissent un peu, bien maintenant tu te mets au
coin les mains sur la tête, le temps que je discute avec mademoiselle Hélène.
Elle expliqua à la jeune femme, qu'après une fessée,
le passage au coin était indispensable et que la culotte descendue sous les fesses
était beaucoup plus humiliante que pas de culotte du tout. Hélène appréciait le
spectacle offert bien malgré elle par Monique, la sonnette retentit, signe qu'une
cliente arrivait, elle laissa la porte du box ouverte pendant qu'elle allait à l'accueil.
C'était une cliente bien connue qui venait prendre un rendez-vous. Depuis le hall,
elle avait une vue parfaite sur le derrière écarlate de Monique, la culotte blanche
baissée sous les fesses en soulignait la rougeur. Madame Clément jeta un regard
interrogateur à Hélène, celle-ci lui répondit dans un sourire.
- voilà ce qui arrive quand on désobéit, jolie paire
de fesses, n'est-ce pas ?
- et bien, ma chère, je ne vous connaissais pas ce
talent, ça a dû chauffer pour cette dame, mais je pensais que les châtiments corporels
étaient interdits ?
- pour les enfants bien sûr, mais pas pour les dames,
il n'y a pas d'âge pour la fessée, je crois même que plus on vieillit plus elle
est efficace. D'ailleurs si vous êtes vilaine, peut-être que ça vous arrivera.
Hélène avait dit ça en riant, madame Clément avait
rougi légèrement et elle avait changé de conversation tout en jetant un œil sur
la croupe de Monique. Quand elle quitta le salon de beauté, Hélène se prit à contempler
ses fesses moulées dans un pantalon, elles devraient être agréable à claquer pensa-t-elle.
Elle revint vers ses deux clientes, Elodie lui demanda
si elle pouvait bénéficier d'une épilation elle aussi, le temps de la pénitence
de Monique. Avec un sourire malicieux, Hélène lui demanda.
- je vous fais également le sillon inter fessier mademoiselle,
vous avez vu que c'est facile, par contre on peut finir au coin avec les fesses
brûlantes.
Elodie se mit à rire et lui répondit que ce serait
peut-être pour une autre fois, aujourd'hui c’étaient seulement les jambes. Elle
s'installa et se fit épiler en contemplant les fesses bien serrées et rouges de
sa mère. Hélène tout en travaillant, jetait de temps en temps elle aussi un œil
sur la croupe et elle discutait des bienfaits de la fessée pour les adultes. Quand
ce fut fini, Elodie fit venir Monique, gênée par sa tenue elle se dirigea vers les
deux jeunes femmes, elle avait gardé ses mains sur la tête, Elodie passa la main
sur son pubis,
- parfait, une vraie jeune fille, c'est tout doux,
bravo mademoiselle, tourne-toi que je voie tes fesses, penche-toi un peu.
Elle caressa les fesses encore rouge et les écarta
pour parfaire l'humiliation et voir le résultat.
- le côté pile n'est pas mal non plus, une raie des
fesses toute douce aussi, et des fesses encore bien chaudes, j'espère que tu as
compris maintenant. Bon reculotte toi.
Monique ravie de cacher son intimité se dépêcha de
remonter sa culotte. Mais Hélène l'arrêta
- attendez ce n'est pas tout à fait fini, pour qu'il
n'y ait pas d'irritation il faut mettre un peu de talc, venez ici.
Elle s'était assise sur une chaise, elle fit basculer
Monique en travers de ses cuisses comme si elle allait lui donner une fessée, puis
elle prit le pot de talc et poudra largement la raie fessière, puis elle écarta
les fesses pour que la poudre soit bien répartie et elle massa un peu le fessier.
Comme si la dame qui était sur ses genoux était une fillette.
- c'est la première fois que j'utilise cette position
pour talquer les fesses de mes clientes après l'épilation du sillon fessier mais
ça me paraît très pratique, évidemment la dame qui se retrouve dans cette position
peut être un peu gênée mais j'ai une collègue qui utilise une autre position tout
aussi gênante, elle fait mettre ses patientes sur le dos et elle leur relève les
jambes pour avoir un bon accès à la raie, là elles ont vraiment l'impression d'être
redevenue des fillettes. Enfin moi c'est décidé, je les prendrai sur mes genoux.
Bon c'est bien vous avez été sage, il n'y a rien de mieux qu'une bonne fessée pour
rendre sage les dames.
Elle tapota les fesses de cette dame redevenue grande
fille et la fit se relever.
Une fois Monique rhabillée, Hélène leur donna les conseils,
encore un peu de talc ce soir et revenir dans un mois pour que ça reste nickel.
Dès qu'elles furent dehors, Elodie consulta ses messages,
il y en avait un de Sophie, l'invitant à venir récupérer sa culotte chez elle cet
après-midi car elle ne travaillait pas. Elodie sourit à cette invitation on ne peut
plus explicite, surtout que Sophie avait rajouté, "je vous veux sans culotte
!"
Elle avait quand même mis une culotte quand elle sonna
à la porte de la jeune femme. Celle-ci lui ouvrit et l'invita à entrer, comme elle
la suivait dans le couloir, elle saisit l'arrière de la jupe et la retroussa, découvrant
une très jolie culotte rose.
- encore une insolence qui va vous valoir une fessée
mademoiselle.
Elodie tout en rabattant sa jupe se retourna et souriante
s'adressa à Sophie.
- je ne crois pas jeune fille, que dirait madame Rose
si elle savait que vous détournez la clientèle de l'institut.
Sophie pâli surtout que Elodie enfonça le clou,
- je pourrais aussi lui raconter que vous m'avez fait
essayer un martinet sur les fesses d'un client, je ne pense pas que cela soit autorisé....
Sophie avait parfaitement compris
- bien, vous avez raison, oublions votre impertinence,
vous voulez boire quelque chose.
En entrant dans le salon, Elodie aperçu son sous vêtement
sur la table du salon.
- je pense que si madame Rose savait tout cela, vos
fesses resteraient rouges pendant au moins une semaine n'est-ce pas ? Je vais être
magnanime, avec moi ce sera juste la soirée.
Sophie se rendait compte que le piège qu'elle avait
pensé tendre à Elodie se refermait sur elle. Celle-ci prit une chaise et l'installa
au milieu du salon.
- bien, pour commencer une petite fessée déculottée
classique, quand pensez-vous ?
Sophie essaya de protester.
- attendez, je plaisantais pour la culotte, je...enfin...
on peut discuter.
Elodie tapotait ses cuisses pour indiquer à la jeune
femme l'endroit où elle la voulait rapidement, elle souriait toujours.
- je ne vais pas attendre longtemps mademoiselle, je
vais compter jusqu'à trois
Elodie se souvenait de la petite humiliation que lui
avait fait subir Sophie en la forçant à venir rapidement se coucher sur ses genoux
comme signe de soumission et elle tenait à lui rendre la monnaie de sa pièce.
- un... deux... Eh bien voilà une jeune femme bien
docile, ça ne vous évitera pas la fessée mais elle aurait été plus sévère si vous
n'aviez pas obéi.
Dès le début du décompte, Sophie avait abandonné toute
protestation et elle s'était dépêchée de venir s'allonger en travers des cuisses
de sa nouvelle maîtresse. Elodie profitait de la situation, elle caressait la croupe
rebondie, moulée sous la jupe.
- alors mademoiselle, ça vous fait quel effet de vous
retrouver dans votre salon en position disciplinaire, ce n'est pas très agréable
et maintenant, je vais vous déculotter, comme vous savez si bien le faire, oui,
mademoiselle, cul nu, comme une sale gamine...
Elle prit son temps pour bien retrousser la jupe sur
les reins de sa victime, puis lentement elle tira sur la ceinture de la culotte
pour lui faire franchir la courbe des fesses, Sophie avait une paire de fesses magnifique,
rondes et bien potelées, séparées par un sillon profond qui était contracté dans
l'attente de la première claque, Elodie voulait faire durer le plaisir, elle avait
atteint son premier objectif, déculotter cette jeune impertinente, maintenant elle
admirait sa plastique et elle n'était pas indifférente au spectacle, elle était
bisexuelle et profiter de sa position de dominatrice n'était pas pour lui déplaire,
Sophie s'agitait un peu dans l'attente de la punition.
- mademoiselle est impatiente de recevoir la fessée
? Qu'à cela ne tienne, elle va être servie.
La fessée se mit à retentir dans le salon, Elodie avait
moins d'expérience que madame Rose en matière de fessée, mais elle progressait vite
et Sophie s'en rendit vite compte, pas moins de 300 claques s'abattirent sur sa
croupe tendue et c'est avec un derrière écarlate qu'elle fut conduite au coin en
pleurnichant et humiliation suprême tenue par l'oreille comme elle aimait le faire
aux clientes de l'institut. Elodie s'installa confortablement sur le canapé, prit
son téléphone et appela une amie. Elle avait une vue parfaite sur le fessier rougi
de Sophie qui ne bougeait pas, une légère contraction des muscles fessiers laissait
deviner la cuisson qui lui embrasait le bas du dos. La conversation se prolongea
jusqu'à ce qu'Elodie juge la pénitence suffisante. Elle prit son petit martinet
dans son sac et appela Sophie, celle-ci docilement approcha, tenant toujours ses
mains sur sa tête. Quand elle vit le martinet elle sut que sa punition n'était pas
terminée.
- eh oui mademoiselle, je t'ai dit que tu garderais
les fesses rouges tout l'après-midi, une seule fessée ne suffit pas, le martinet
va faire danser tes petites fesses.
Quelques instants plus tard, la jeune femme couchée
sur les genoux d'Elodie faisait danser ses fesses, la musique d'accompagnement était
les pleurs de Sophie et les cinglades du martinet. Elle fit à nouveau un petit séjour
au coin, puis Elodie lui demanda de leurs préparer un thé, mais elle ne l'autorisa
pas à remonter sa culotte. C'est donc fesses à l'air que la jeune femme se déplaça
entre la cuisine et le salon. Elodie se régalait du spectacle. Quand elles furent
assises, l'une habillée et l'autre les fesses nues posées directement sur le cuir
du fauteuil, Elodie lui expliqua la situation, Sophie avait remarqué que désormais
elle la tutoyait.
- à partir de maintenant, quand je jugerai que tu mérites
une punition c'est la fessée déculottée, c'est bien compris, tu m'appelleras mademoiselle.
Je veux que tu ramènes un martinet numéro 2, tu l'accrocheras au mur dans la cuisine
pour qu'il soit toujours disponible. Si tu es sage, tu auras des câlins, si tu es
vilaine, tu auras la fessée. En attendant viens ici.
Un peu inquiète Sophie s'approcha, Elodie la bascula
sur ses genoux et entrepris de lui caresser les fesses.
- allons, détends-toi. Tes fesses sont très douces
tu sais. Elle massait doucement les deux globes jumeaux. La fessée il n'y a rien
de mieux pour avoir de belles fesses. Bon une dernière fessée et nous serons quitte
pour aujourd'hui.
Elle avait pris sa brosse à cheveux et Sophie reçu
à nouveau une sévère déculottée. Les fesses brûlantes elle fut à nouveau conduite
au coin. Puis Elodie ramassa ses affaires et lui annonça.
- tu restes au coin jusqu'à ce que je t'appelle, n'essaie
pas de tricher, je garde la clé de ton appartement, si je rentre à l'improviste
et que tu n'es pas au coin, il t'en cuira.
Sophie savait par expérience que les fesseuses sont
très perverses et ne voulant pas prendre de risque, attendit sagement, le nez au
mur et les mains sur la tête le coup de téléphone, celui-ci arriva 1h plus tard.
- c'est bien ma chérie, tu es obéissante, n'oublie
pas de ramener un martinet demain, je passerai dans la semaine pour vérifier et
l'essayer sur tes petites fesses.
Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.
Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invitésEt celui-ci comporte un épisode précédent
Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 11
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1
Et il y a une suite...
... la semaine prochaine, c'est assez probable.
Et toujours les commentaires
Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.
J'avais déjà deviné la bisexualité de "mommy" quand elle évoquait ses premières approches en matière de fessée avec une amie mais là, c'est clair, que la fessée risque de déraper. Également, je ne fais aucune illusion sur le fait que tôt ou tard, cela reviendra aux oreilles de Mme Rose. .'
RépondreSupprimerJe pense comme vous Caroline, vous feriez une bonne scénariste, mais ne soyez pas trop impatiente. Votre commentaire à été plus tardif que d'habitude, trop occupée?
RépondreSupprimerSylvie
Bonjour Sylvie.
SupprimerJe note que dans vos récits, seules des femmes s'y trouvent. Serait-ce fait exprès ou la gente masculine vous fait horreur ? Je verrais bien dans vos fictions quelques hommes y tenir des rôles principaux.
Amitiés.
Elena.
Ma chère elena, si vous avez bien suivi le premier épisode, il y a bien un homme, mon mari Gérard y tient le rôle peu enviable du monsieur redevenu collégien et qui se retrouve fessé et déculotté à la fois par madame Rose et Sophie. C'est vrai que depuis quelques temps les hommes jouent des rôles secondaires mais ils sont bien là.
SupprimerAmicalement
Sylvie
Ma belle mère me cessait tout le temps et partout comme dans votre récit je me demande si vous ne vous étés pas inspiré de ces méthodes
SupprimerL'attendriez vous avec impatience ?
RépondreSupprimerVos commentaires sont toujours précieux même quand ils sont impertinent ma chère Caroline
SupprimerSylvie
Sachez que la barboteuse est bien plus dur a porter que la culotte a boutons. Pour moi ce fut tous les dimanche !
SupprimerAmis de la poésie et du lissage de la raie des fesses après la fessée... Bonjour.
RépondreSupprimerOula... ça cartonne ! Les fessées se suivent à cadence régulière, comme les claques sur les derrières en pénitence. Les "sérial fesseuses" ne font pas de cadeau mais, en esthète du travail bien fait, prennent le temps de la contemplation et celui d'apprécier la plastique des magnifiques paires de fesses après chaque déculottée.
Le petit côté pervers des situations apporte aussi beaucoup de piment aux nombreuses tournées de fessées. On savoure l'idée de l'humiliation des punies, avec le reculottage systématique à mi-cuisses pendant les mises au coin.
Séance d'épilation de la raie des fesses, pile poil, avec fessées au quart de tour au moindre faux mouvement. L'inversion des rôles, Mère / Fille ajoute un poil de viciosité tout à fait amusante.
L'auteure semble prendre autant de plaisir à écrire ses récits que les lecteurs à les suivre. Dommage qu'on y trouve peu d'hommes à passer sur les genoux de ces dames... Et pourtant, madame à l'expérience dans ce domaine!
Cordialement
Ramina
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Culotte courte culotte a bouton j ai aussi eu le bonheur de la barboteuse tous les dimanche
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