vendredi 8 mai 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 12

Elodie était rentrée à la maison sans culotte, c'était une sensation un peu bizarre de sentir l'air frais s'engouffrer sous sa jupe, ses fesses encore chaudes de la fessée de Sophie appréciaient cette caresse. Monique marchait à côté d'elle tenant son paquet cadeau, un martinet numéro 2 qui allait trouver sa place accroché dans la cuisine.
- j'ai contrôlé ton agenda, demain matin, tu n'as pas de rendez-vous, nous irons voir mademoiselle Hélène pour ton épilation.
Monique essaya de protester
- euh, tu es sûre que c'est nécessaire...
- ce n'est pas à toi de décider, ma chérie, tu sais bien que je déteste quand tu commences tes jérémiades, je vais immédiatement te donner l'occasion de te plaindre.
Elles étaient arrivées près de la voiture, garée dans une rue calme, il y avait un porche d'immeuble ouvert, Elodie y entraîna Monique, l'endroit était désert en milieu d'après-midi. Elle sortit le petit martinet de son sac et sans laisser à Monique le temps de réfléchir, elle la courba sous son bras, la jupe fut retroussée et la culotte descendue sous les fesses en quelques secondes. Le martinet commença son œuvre sur les fesses tendues. Madame Dumon recevait sa deuxième fessée en extérieur, celle-ci administrée en pleine rue même si c'était un peu à l'écart était encore plus humiliante que la première, heureusement une claquée avec le martinet était beaucoup moins bruyante qu'une correction manuelle, les lanières cinglaient les fesses énergiquement mais rien à voir avec le bruit d'une main claquant la peau nue. La croupe de Monique dûment châtiée, repris rapidement une belle couleur rouge. Elodie la relâcha, la jupe retomba cachant le derrière écarlate.
- j'espère que tu as compris, tu ne remontes pas ta culotte, tu seras prête pour aller au coin quand nous arriverons. Ce martinet est vraiment pratique, il cingle bien n'est-ce pas ?
Monique était rouge de honte et ses yeux étaient larmoyant, décidément il ne lui restait plus qu'à tout accepter de sa fille sous peine de se retrouver fesses à l'air. A leurs arrivée, comme prévu, elle se dirigea toute seule vers le coin qui lui était désormais réservé, elle retroussa sa jupe et croisa ses mains dans le dos pour la tenir.
- c'est bien, tu deviens obéissante, rien de mieux qu'une bonne fessée déculottée pour rendre mignonne les grandes filles, mets bien ton nez contre le mur, voilà c'est bien.
Elodie prit le téléphone pour avoir un rendez-vous avec cette esthéticienne recommandée par Sophie, elle lui expliqua qu'elle désirait faire épiler totalement sa "grande fille", mademoiselle Hélène était habituée aux demandes un peu spéciale, elle avait une clientèle "diversifiée", mais surtout dans le milieu bdsm et lesbien, elle ne fut pas surprise.
Pendant qu'elle discutait, elle était assise sur son canapé et le contact de sa peau nue encore un peu sensible de la fessée de Sophie lui fit un drôle d'effet, vraiment il fallait qu'elle revoie cette demoiselle et surtout il fallait qu'elle la déculotte.

Le lendemain, Monique ne travaillait pas, dès le matin, elle fut habillée en grande fille, culotte blanche, jupe courte, chemisier et socquette blanche et c'est dans cette tenue qu'elle se présenta accompagnée d'Elodie au salon de mademoiselle Hélène. Celle-ci était une petite brunette d'une trentaine d'années, elle les accueilli avec le sourire, elle eut vite compris que Monique était la soumise d'Elodie, la différence d'âge ne la surprit pas, c'était assez courant d'avoir un couple où une dame d'âge mûr était dominée par une jeune femme. Cependant quand Elodie lui expliqua calmement qu'elle ne formait pas un couple et que Monique était sa mère, dont elle avait repris l'éducation, elle ne put s'empêcher de marquer un peu de surprise.
- ah mais c'est très intéressant, si j'en juge par sa tenue, madame a beaucoup rajeuni, je comprends mieux la nécessité d'une épilation complète. Si vous le permettez, je dois d'abord examiner les zones à épiler pour voir comment je vais procéder, si vous voulez bien vous déshabillez.
Monique commençait à avoir l'habitude de ces petites humiliations du quotidien, aussi sans attendre un autre ordre qui aurait pu s'accompagner de claques sur son fessier, elle quitta, sa jupe et son chemisier et elle resta en culotte et soutien-gorge à attendre la suite. Hélène se mit à rire.
- il va falloir baisser votre culotte ma petite dame sinon je ne verrai rien.
 Comme Monique semblait hésiter, Elodie, se dirigea vers elle et sans un mot, elle la fit pivoter tournant ses fesses vers la jeune femme puis elle la courba sous son bras et d'un geste rapide elle la déculotta
- puisque tu ne veux pas obéir, je vais te rappeler ce qui arrive aux jeunes filles récalcitrantes.
Sa main se leva et elle appliqua une cinquantaine de claques sur les fesses bien présentées, Monique se mit à gémir mais elle ne chercha pas à éviter sa correction ce qui impressionna beaucoup mademoiselle Hélène. Son amie Sophie lui avait raconté les fessées qu'elle administrait avec vigueur sur des derrières déculottés d'adultes des deux sexes mais c'était resté au stade imaginaire, là elle assistait de visu à une véritable fessée et la dame qui la recevait aurait presque pu être sa mère. C'était une découverte, elle se surpris à aimer ce spectacle. La punition ne dura pas longtemps et Monique les larmes aux yeux, plutôt de honte que de douleur d'ailleurs, la culotte descendue aux genoux, s'allongea sur le lit d'examen. Hélène se pencha sur elle, lui fit écarter les cuisses et sans façon passa sa main sur sa toison
- bien, madame n'est pas trop fournie, ça sera vite fait, si vous voulez bien vous mettre sur le ventre, je dois examiner votre sillon inter fessier, quelques fois une petite épilation est nécessaire.
Monique se retourna, mais au moment où Hélène lui écartait les fesses, elle ne put s'empêcher de les resserrer, la jeune esthéticienne la gronda.
- ah, non madame, ce n'est pas le moment de faire la prude.
Elodie ne l'entendait pas de cette oreille, une petite rébellion valait sanction immédiate. Elle prit sa mère par l'oreille et la fit se relever, elle prit une chaise pour s'asseoir et elle la coucha en travers de ses genoux, puis calmement elle sortit sa brosse à cheveux de son sac à main. Hélène avait été surprise de la réaction de la jeune femme, mais maintenant elle était attentive à ce qui allait suivre. La dame d'âge mûr était maintenant dans une position de gamine, déculottée, attendant la punition de sa maman. Elodie ne se pressait pas, elle remit bien en place Monique de façon à ce que ses fesses soient en bonne position
- ma chérie, tu te rappelles ce que je t'ai dit avant de partir, à la première désobéissance, c'est la fessée cul nu et bien nous y voilà, et si tu recommences, je demanderai à mademoiselle Hélène de t'administrer elle-même la fessée. Ma brosse à cheveux va s'occuper de tes fesses.
Et pour s'en occuper, elle s'en occupa, la brosse allait et venait claquant une fesse après l'autre, Monique, pleurait et suppliait, promettant d'être sage de ne plus recommencer etc... Enfin elle se comportait comme toute jeune fille recevant une sévère fessée. La croupe avait repris rapidement une belle couleur rouge. Les jambes battaient l'air au rythme de la correction, la culotte était descendue jusqu'aux chevilles. Quand elle fut remise sur ses pieds, Hélène lui fit enlever complètement son sous vêtement, elle prit la culotte et la posa sur une chaise.
- vous voilà en tenue, installez-vous et soyez sage, vous avez vu ce qui arrive quand on désobéit
Elle lui tapota les fesses pour la faire se mettre en position
- oula la, elles sont bien chaudes ces fesses.
Monique en reniflant après cette sévère correction, ne tergiversa pas et pris place sur le lit. Hélène utilisait la méthode classique à la cire, évidemment à cette endroit c'était très douloureux mais ses fesses rougies étaient également très sensibles donc Monique supporta l'épreuve au grand dam d'Hélène qui s'était promis de corriger cette dame. Heureusement il restait le sillon inter fessier comme disait les esthéticiennes mais que madame Rose et ses assistantes appelaient la raie des fesses. Elle fit mettre sa patiente sur le ventre après lui avoir mis un coussin pour bien lui relever les fesses. C'était une position humiliante mais Monique en avait vu d'autres.
- bien vous écartez les jambes et vous tenez vos fesses écartées avec vos mains et vous ne bougez pas.
Monique s'exécuta au comble de la confusion, quand Hélène appliqua la cire tiède, elle se retint de resserrer ses fesses mais quand elle tira sur la cire, elle ne put retenir un cri et elle relâcha ses fesses, c'était ce qu'attendait la jeune femme
- décidément quelle jeune fille désobéissante, vous permettez mademoiselle.
Elle s'adressait à Elodie, celle-ci en souriant lui répondit
- mais je vous en prie, j'avais prévenu Monique, elle n'aura que ce qu'elle mérite. Hélène saisi à son tour l'oreille de Monique et la fit se relever, elle n'avait jamais donné une fessée mais dans ses souvenirs ça ressemblait fortement à la façon de procéder d'Elodie donc elle adopta la position classique, la punie allongée sur ses genoux, elle n'avait plus de culotte c'était regrettable, elle aurait bien aimé déculotter cette dame, une fois Monique en position disciplinaire elle lui caressa la croupe encore rouge de la fessée à la brosse à cheveux.
- décidément votre momy, à raison mademoiselle, il n'y a que la fessée pour vous faire obéir, pourtant vos fesses sont encore chaudes, vous auriez dû réfléchir.
Elle leva la main et commença à administrer sa troisième fessée à Monique, son derrière commençait à s'habituer à ce genre de punition et Hélène bien qu'appliquée manquait un peu de technique, les fesses avaient repris malgré tout une jolie couleur, mais c'était insuffisant pour Elodie, elle sortit son petit martinet du sac à main et le tendit à Hélène.
- tenez, essayez cela, je pense que cette désobéissance mérite une correction un peu plus sévère.
Hélène, prit le martinet à courte lanières et en apprécia rapidement la maniabilité, Monique aussi car si elle était restée silencieuse depuis le début, elle se mit rapidement à crier et à pleurer sous la morsure du martinet.
- mais c'est très pratique cet instrument et ça m'a l'air de bien claquer, oh, vous pouvez gémir et battre des jambes jeune fille, je pense qu'après cette fessée vous réfléchirez deux fois avant de désobéir.
La fessée au martinet ne dura pas très longtemps, les fesses étaient écarlates et des traces rouges descendaient sur le haut des cuisses. Satisfaite de sa première expérience de fesseuse, Hélène laissa un instant sa punie allongée sur ses genoux, les fesses devaient la cuire car elles se serraient et se desserraient pour atténuer la brûlure, elle caressa les deux hémisphères rebondis, puis d'une petite claque elle invita madame Dumon redevenue une adolescente punie par une Tati sévère, à se relever. Elodie prit immédiatement les choses en main, elle ramassa la culotte et la tendit à Monique,
- remet la, mais tu la laisse en dessous des fesses, je crois qu'il faut qu'elles refroidissent un peu, bien maintenant tu te mets au coin les mains sur la tête, le temps que je discute avec mademoiselle Hélène.
Elle expliqua à la jeune femme, qu'après une fessée, le passage au coin était indispensable et que la culotte descendue sous les fesses était beaucoup plus humiliante que pas de culotte du tout. Hélène appréciait le spectacle offert bien malgré elle par Monique, la sonnette retentit, signe qu'une cliente arrivait, elle laissa la porte du box ouverte pendant qu'elle allait à l'accueil. C'était une cliente bien connue qui venait prendre un rendez-vous. Depuis le hall, elle avait une vue parfaite sur le derrière écarlate de Monique, la culotte blanche baissée sous les fesses en soulignait la rougeur. Madame Clément jeta un regard interrogateur à Hélène, celle-ci lui répondit dans un sourire.
- voilà ce qui arrive quand on désobéit, jolie paire de fesses, n'est-ce pas ?
- et bien, ma chère, je ne vous connaissais pas ce talent, ça a dû chauffer pour cette dame, mais je pensais que les châtiments corporels étaient interdits ?
- pour les enfants bien sûr, mais pas pour les dames, il n'y a pas d'âge pour la fessée, je crois même que plus on vieillit plus elle est efficace. D'ailleurs si vous êtes vilaine, peut-être que ça vous arrivera.
Hélène avait dit ça en riant, madame Clément avait rougi légèrement et elle avait changé de conversation tout en jetant un œil sur la croupe de Monique. Quand elle quitta le salon de beauté, Hélène se prit à contempler ses fesses moulées dans un pantalon, elles devraient être agréable à claquer pensa-t-elle.
Elle revint vers ses deux clientes, Elodie lui demanda si elle pouvait bénéficier d'une épilation elle aussi, le temps de la pénitence de Monique. Avec un sourire malicieux, Hélène lui demanda.
- je vous fais également le sillon inter fessier mademoiselle, vous avez vu que c'est facile, par contre on peut finir au coin avec les fesses brûlantes.
Elodie se mit à rire et lui répondit que ce serait peut-être pour une autre fois, aujourd'hui c’étaient seulement les jambes. Elle s'installa et se fit épiler en contemplant les fesses bien serrées et rouges de sa mère. Hélène tout en travaillant, jetait de temps en temps elle aussi un œil sur la croupe et elle discutait des bienfaits de la fessée pour les adultes. Quand ce fut fini, Elodie fit venir Monique, gênée par sa tenue elle se dirigea vers les deux jeunes femmes, elle avait gardé ses mains sur la tête, Elodie passa la main sur son pubis,
- parfait, une vraie jeune fille, c'est tout doux, bravo mademoiselle, tourne-toi que je voie tes fesses, penche-toi un peu.
Elle caressa les fesses encore rouge et les écarta pour parfaire l'humiliation et voir le résultat.
- le côté pile n'est pas mal non plus, une raie des fesses toute douce aussi, et des fesses encore bien chaudes, j'espère que tu as compris maintenant. Bon reculotte toi.
Monique ravie de cacher son intimité se dépêcha de remonter sa culotte. Mais Hélène l'arrêta
- attendez ce n'est pas tout à fait fini, pour qu'il n'y ait pas d'irritation il faut mettre un peu de talc, venez ici.
Elle s'était assise sur une chaise, elle fit basculer Monique en travers de ses cuisses comme si elle allait lui donner une fessée, puis elle prit le pot de talc et poudra largement la raie fessière, puis elle écarta les fesses pour que la poudre soit bien répartie et elle massa un peu le fessier. Comme si la dame qui était sur ses genoux était une fillette.
- c'est la première fois que j'utilise cette position pour talquer les fesses de mes clientes après l'épilation du sillon fessier mais ça me paraît très pratique, évidemment la dame qui se retrouve dans cette position peut être un peu gênée mais j'ai une collègue qui utilise une autre position tout aussi gênante, elle fait mettre ses patientes sur le dos et elle leur relève les jambes pour avoir un bon accès à la raie, là elles ont vraiment l'impression d'être redevenue des fillettes. Enfin moi c'est décidé, je les prendrai sur mes genoux. Bon c'est bien vous avez été sage, il n'y a rien de mieux qu'une bonne fessée pour rendre sage les dames.
Elle tapota les fesses de cette dame redevenue grande fille et la fit se relever.
Une fois Monique rhabillée, Hélène leur donna les conseils, encore un peu de talc ce soir et revenir dans un mois pour que ça reste nickel.

Dès qu'elles furent dehors, Elodie consulta ses messages, il y en avait un de Sophie, l'invitant à venir récupérer sa culotte chez elle cet après-midi car elle ne travaillait pas. Elodie sourit à cette invitation on ne peut plus explicite, surtout que Sophie avait rajouté, "je vous veux sans culotte !"
Elle avait quand même mis une culotte quand elle sonna à la porte de la jeune femme. Celle-ci lui ouvrit et l'invita à entrer, comme elle la suivait dans le couloir, elle saisit l'arrière de la jupe et la retroussa, découvrant une très jolie culotte rose.
- encore une insolence qui va vous valoir une fessée mademoiselle.
Elodie tout en rabattant sa jupe se retourna et souriante s'adressa à Sophie.
- je ne crois pas jeune fille, que dirait madame Rose si elle savait que vous détournez la clientèle de l'institut.
Sophie pâli surtout que Elodie enfonça le clou,
- je pourrais aussi lui raconter que vous m'avez fait essayer un martinet sur les fesses d'un client, je ne pense pas que cela soit autorisé....
Sophie avait parfaitement compris
- bien, vous avez raison, oublions votre impertinence, vous voulez boire quelque chose.
En entrant dans le salon, Elodie aperçu son sous vêtement sur la table du salon.
- je pense que si madame Rose savait tout cela, vos fesses resteraient rouges pendant au moins une semaine n'est-ce pas ? Je vais être magnanime, avec moi ce sera juste la soirée.
Sophie se rendait compte que le piège qu'elle avait pensé tendre à Elodie se refermait sur elle. Celle-ci prit une chaise et l'installa au milieu du salon.
- bien, pour commencer une petite fessée déculottée classique, quand pensez-vous ?
Sophie essaya de protester.
- attendez, je plaisantais pour la culotte, je...enfin... on peut discuter.
Elodie tapotait ses cuisses pour indiquer à la jeune femme l'endroit où elle la voulait rapidement, elle souriait toujours.
- je ne vais pas attendre longtemps mademoiselle, je vais compter jusqu'à trois
Elodie se souvenait de la petite humiliation que lui avait fait subir Sophie en la forçant à venir rapidement se coucher sur ses genoux comme signe de soumission et elle tenait à lui rendre la monnaie de sa pièce.
- un... deux... Eh bien voilà une jeune femme bien docile, ça ne vous évitera pas la fessée mais elle aurait été plus sévère si vous n'aviez pas obéi.
Dès le début du décompte, Sophie avait abandonné toute protestation et elle s'était dépêchée de venir s'allonger en travers des cuisses de sa nouvelle maîtresse. Elodie profitait de la situation, elle caressait la croupe rebondie, moulée sous la jupe.
- alors mademoiselle, ça vous fait quel effet de vous retrouver dans votre salon en position disciplinaire, ce n'est pas très agréable et maintenant, je vais vous déculotter, comme vous savez si bien le faire, oui, mademoiselle, cul nu, comme une sale gamine...
Elle prit son temps pour bien retrousser la jupe sur les reins de sa victime, puis lentement elle tira sur la ceinture de la culotte pour lui faire franchir la courbe des fesses, Sophie avait une paire de fesses magnifique, rondes et bien potelées, séparées par un sillon profond qui était contracté dans l'attente de la première claque, Elodie voulait faire durer le plaisir, elle avait atteint son premier objectif, déculotter cette jeune impertinente, maintenant elle admirait sa plastique et elle n'était pas indifférente au spectacle, elle était bisexuelle et profiter de sa position de dominatrice n'était pas pour lui déplaire, Sophie s'agitait un peu dans l'attente de la punition.
- mademoiselle est impatiente de recevoir la fessée ? Qu'à cela ne tienne, elle va être servie.
La fessée se mit à retentir dans le salon, Elodie avait moins d'expérience que madame Rose en matière de fessée, mais elle progressait vite et Sophie s'en rendit vite compte, pas moins de 300 claques s'abattirent sur sa croupe tendue et c'est avec un derrière écarlate qu'elle fut conduite au coin en pleurnichant et humiliation suprême tenue par l'oreille comme elle aimait le faire aux clientes de l'institut. Elodie s'installa confortablement sur le canapé, prit son téléphone et appela une amie. Elle avait une vue parfaite sur le fessier rougi de Sophie qui ne bougeait pas, une légère contraction des muscles fessiers laissait deviner la cuisson qui lui embrasait le bas du dos. La conversation se prolongea jusqu'à ce qu'Elodie juge la pénitence suffisante. Elle prit son petit martinet dans son sac et appela Sophie, celle-ci docilement approcha, tenant toujours ses mains sur sa tête. Quand elle vit le martinet elle sut que sa punition n'était pas terminée.
- eh oui mademoiselle, je t'ai dit que tu garderais les fesses rouges tout l'après-midi, une seule fessée ne suffit pas, le martinet va faire danser tes petites fesses.
Quelques instants plus tard, la jeune femme couchée sur les genoux d'Elodie faisait danser ses fesses, la musique d'accompagnement était les pleurs de Sophie et les cinglades du martinet. Elle fit à nouveau un petit séjour au coin, puis Elodie lui demanda de leurs préparer un thé, mais elle ne l'autorisa pas à remonter sa culotte. C'est donc fesses à l'air que la jeune femme se déplaça entre la cuisine et le salon. Elodie se régalait du spectacle. Quand elles furent assises, l'une habillée et l'autre les fesses nues posées directement sur le cuir du fauteuil, Elodie lui expliqua la situation, Sophie avait remarqué que désormais elle la tutoyait.
- à partir de maintenant, quand je jugerai que tu mérites une punition c'est la fessée déculottée, c'est bien compris, tu m'appelleras mademoiselle. Je veux que tu ramènes un martinet numéro 2, tu l'accrocheras au mur dans la cuisine pour qu'il soit toujours disponible. Si tu es sage, tu auras des câlins, si tu es vilaine, tu auras la fessée. En attendant viens ici.
Un peu inquiète Sophie s'approcha, Elodie la bascula sur ses genoux et entrepris de lui caresser les fesses.
- allons, détends-toi. Tes fesses sont très douces tu sais. Elle massait doucement les deux globes jumeaux. La fessée il n'y a rien de mieux pour avoir de belles fesses. Bon une dernière fessée et nous serons quitte pour aujourd'hui.
Elle avait pris sa brosse à cheveux et Sophie reçu à nouveau une sévère déculottée. Les fesses brûlantes elle fut à nouveau conduite au coin. Puis Elodie ramassa ses affaires et lui annonça.
- tu restes au coin jusqu'à ce que je t'appelle, n'essaie pas de tricher, je garde la clé de ton appartement, si je rentre à l'improviste et que tu n'es pas au coin, il t'en cuira.
Sophie savait par expérience que les fesseuses sont très perverses et ne voulant pas prendre de risque, attendit sagement, le nez au mur et les mains sur la tête le coup de téléphone, celui-ci arriva 1h plus tard.
- c'est bien ma chérie, tu es obéissante, n'oublie pas de ramener un martinet demain, je passerai dans la semaine pour vérifier et l'essayer sur tes petites fesses.


Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.

Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invités

Et celui-ci comporte un épisode précédent

Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 11
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1

Et il y a une suite...

... la semaine prochaine, c'est assez probable.

Et toujours les commentaires

Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.

10 commentaires:

  1. J'avais déjà deviné la bisexualité de "mommy" quand elle évoquait ses premières approches en matière de fessée avec une amie mais là, c'est clair, que la fessée risque de déraper. Également, je ne fais aucune illusion sur le fait que tôt ou tard, cela reviendra aux oreilles de Mme Rose. .'

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  2. Je pense comme vous Caroline, vous feriez une bonne scénariste, mais ne soyez pas trop impatiente. Votre commentaire à été plus tardif que d'habitude, trop occupée?
    Sylvie

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    1. Bonjour Sylvie.
      Je note que dans vos récits, seules des femmes s'y trouvent. Serait-ce fait exprès ou la gente masculine vous fait horreur ? Je verrais bien dans vos fictions quelques hommes y tenir des rôles principaux.
      Amitiés.
      Elena.

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    2. Ma chère elena, si vous avez bien suivi le premier épisode, il y a bien un homme, mon mari Gérard y tient le rôle peu enviable du monsieur redevenu collégien et qui se retrouve fessé et déculotté à la fois par madame Rose et Sophie. C'est vrai que depuis quelques temps les hommes jouent des rôles secondaires mais ils sont bien là.
      Amicalement
      Sylvie

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    3. Ma belle mère me cessait tout le temps et partout comme dans votre récit je me demande si vous ne vous étés pas inspiré de ces méthodes

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  3. L'attendriez vous avec impatience ?

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    1. Vos commentaires sont toujours précieux même quand ils sont impertinent ma chère Caroline
      Sylvie

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    2. Sachez que la barboteuse est bien plus dur a porter que la culotte a boutons. Pour moi ce fut tous les dimanche !

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  4. Amis de la poésie et du lissage de la raie des fesses après la fessée... Bonjour.

    Oula... ça cartonne ! Les fessées se suivent à cadence régulière, comme les claques sur les derrières en pénitence. Les "sérial fesseuses" ne font pas de cadeau mais, en esthète du travail bien fait, prennent le temps de la contemplation et celui d'apprécier la plastique des magnifiques paires de fesses après chaque déculottée.
    Le petit côté pervers des situations apporte aussi beaucoup de piment aux nombreuses tournées de fessées. On savoure l'idée de l'humiliation des punies, avec le reculottage systématique à mi-cuisses pendant les mises au coin.
    Séance d'épilation de la raie des fesses, pile poil, avec fessées au quart de tour au moindre faux mouvement. L'inversion des rôles, Mère / Fille ajoute un poil de viciosité tout à fait amusante.

    L'auteure semble prendre autant de plaisir à écrire ses récits que les lecteurs à les suivre. Dommage qu'on y trouve peu d'hommes à passer sur les genoux de ces dames... Et pourtant, madame à l'expérience dans ce domaine!
    Cordialement
    Ramina
    ;

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  5. Culotte courte culotte a bouton j ai aussi eu le bonheur de la barboteuse tous les dimanche

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