Durant cette fin de première semaine, je reçois deux appels téléphoniques, un de Maman qui prend tout d’abord gentiment de mes nouvelles, mais qui me glisse tout de même, que je me suis encore fait remarquer ( elle a reçu, via Ste CROIX, le rapport de notre faute et le film complet de notre punition )... et, sur le ton de la plaisanterie, elle me dit que je vais avoir une belle peau, car les orties sont excellentes pour la circulation ! Je lui raconte ma version des faits, tout en sachant que j’ai eu tort de faire ce que j’ai fait.
Le second est un appel beaucoup moins
agréable de la part de Fabienne D., notre proviseure, qui me sermonne en me
disant que je ne n’en fais vraiment qu’à ma tête et que je suis incorrigible.
La flagellation aux orties a dû m’être profitable pour me remettre les idées en
place. C’est une punition anglaise que Ste CROIX va ajouter à sa liste de châtiments
corporelles, grâce à moi !
Le
lendemain, l’infirmière nous appelle et nous annonce que nous allons avoir
droit à un lavement. Eberluées, nous demandons pourquoi et Pauline N. nous dit
que pour éliminer les toxines, c’est idéal et dans ce climat post crise
sanitaire, ce sera parfait. Tous les étudiants de St ANDREWS y passent obligatoirement
une fois par an. Dans la mesure où nous sommes nouvelles dans l’établissement,
nous allons profiter des bienfaits de cette méthode.
La
stupéfaction passée, nous nous mettons les fesses à l’air et Pauline N. prépare
les canules et remplit les poches à lavement de deux litres d’eau salée. Pour
aller plus vite et comme nous ne sommes pas des petites filles, elle choisit
des canules de vingt-cinq millimètres de diamètre. Nous ouvrons tout grand les
yeux lorsque nous voyons ce gros diamètre.
Elle
nous fait nous courber et de bien écarter les cuisses, puis elle nous enduit
l’anus et la canule de vaseline. Au moment de l’enfoncer, elle nous demande de
prendre une grande inspiration et de nous décontracter, puis elle enfonce la
canule sans ménagement. L’effet est immédiat, on s’accroche à la table, la
bouche grande ouverte, prêtes à crier, en attendant que la canule soit mise en
place. Puis Pauline N. ouvre le robinet et on se remplit d’eau petit à petit.
Tout d’abord ballonnées puis la sensation s’apaise. Lorsque le contenu de notre
poche est passé, Pauline N. nous retire la canule, ce qui nous fait le même
effet qu’à l’insertion. Elle nous demande de garder le liquide en nous durant
quinze minutes et d’aller nous soulager aux toilettes. Je sens que mon ventre
gargouille, ce qui n’est pas vraiment agréable, les autres sont dans le même
état que moi. Le délai passé, je me précipite aux toilettes en me disant
que rien ne nous aura été épargné !
Les
jours se suivent et se ressemblent, tout commence par la prise de température
rectale ( uniquement pour nous, car il parait que c’est plus précis, alors que
les étudiants anglais ont une prise de température frontale ). L’infirmière,
Pauline N. nous explique que notre nationalité explique ce
protocole particulier. Comme par hasard, c’est lorsque nous avons les
cuisses grandes ouvertes et le thermomètre bien enfoncé dans l’anus que des
étudiants débarquent à l’infirmerie pour demander quelque chose à Pauline N. ! Mais
lorsque je fais remarquer vertement que nous avons droit à de l’intimité, Pauline
N. me répond sans s’énerver, de ne pas faire ma « chochotte » car
lors de ma correction en public, j’en ai exhibé bien plus et que je suis restée
nue durant plusieurs jours à la vue de tout le monde... Elle est bien
consciente que ces humiliations sont difficiles à endurer, mais elle n’y peut
rien.
Puis
viennent la séance de sport, les repas et les cours intensifs. Nos activités sont
réglées comme un métronome, de ce fait, notre journée est entièrement utilisée.
Nous n’avons guère de loisirs, à part quelques sorties dans le faubourg de
MAIDENHEAD. Avec notre tenue très française, nous ne passons pas inaperçues
auprès des habitants par rapport aux anglaises dans leur uniforme aux couleurs
de St ANDREWS.
En
ville, notre distraction est d’aller au « MAIDENHEAD crown pub » pour
y consommer de l’alcool et faire la fête. N’étant plus à l’Academy, nous
pouvons enfin nous laisser aller et faire retomber la pression des cours et de
l’atmosphère pesante. Le barman nous aime bien car nous sommes rigolotes et
nous mettons de l’ambiance dans son établissement. Nous nous lions de sympathie
avec des habitués et notre anglais s’améliore autour d’une chope.
Après
une de nos virées au pub, nous rentrons à St ANDREWS un peu éméchées.
L’ambiance était telle que quelques personnes ont payé leur tournée et de ce
fait, nous avons bu plus que de raison. Il était grand temps de partir, car
nous aurions pu y passer toute la nuit, tant chacun y allait de « payer sa
tournée ».
Le
chemin du retour fut assez long, car chacune notre tour, nous fumes prises
d’envies pressantes d’uriner et plusieurs fois sur le trajet.
En
arrivant à St ANDREWS, nous nous rajustons un peu, pour ne pas avoir l’air trop
débraillées en passant la loge du gardien et une dernière fois, nous urinons
toutes ensembles contre le mur d’enceinte de l’école, en rigolant. Au moins,
nous laisserons notre « empreinte » en ce lieu. Tout en urinant, nous
faisons « coucou » aux automobilistes qui passent et nous les
voyons vraiment outrés et lorsque nous avons des remarques acerbes de leur
part, nous leur faisons un signe très obscène, jusqu’au moment où une ROVER
ralentit puis s’arrête à notre hauteur et comme aux autres, nous faisons un
bras d’honneur mais lorsque nous voyons Joana D. à l’intérieur, notre sang se
glace dans nos veines !
La
headmistress sort de sa voiture et nous intime l’ordre de retirer notre jupe et
notre culotte pour rentrer les fesses à l’air à l’Academy puis elle constate
que nous sentons l’alcool. Scandalisée par notre comportement de
« sluttish », elle nous prédit une cuisante correction pour nous apprendre
les règles élémentaires du savoir-vivre.
Nous
tentons de nous justifier en disant que nous avions une envie qui ne pouvait
pas attendre, mais Joana D. ne l’entend pas de cette oreille. Elle nous fait
taire en hurlant, presque de façon hystérique. Là, nous comprenons que nous
avons réellement été trop loin et qu’il va nous en cuire. Nous nous en voulons
d’avoir fait ça, mais l’alcool aidant, l’idée nous paraissait drôle sur le
moment. A présent, ça l’est nettement moins ! Pour ma part, j’enrage
intérieurement car j’ai déjà été fessée il n’y a que quelques jours et ça va
recommencer...
Joana
D. nous prend nos affaires et nous laisse rentrer seules, cul nu. Inutile de
dire que nous ne traînons pas sur la route. Nous sommes obligées de pointer à
l’entrée et le concierge nous regarde d’un air offusqué, car il se doute qu’il
s’est passé quelque chose de grave en ville, mais intérieurement, il se réjouit
de notre malheur, car en plus de se rincer l’œil, nous allons encore une fois
être corrigées en public et il ne régale déjà d’assister à ça.
Lorsque
nous sommes dans la cour, nous croisons des élèves qui nous regardent en se
moquant, car ça commence à devenir une habitude pour nous d’être le cul à
l’air. Evidemment, la nouvelle de l’arrivée des « froggies bare ass »
se répand dans les dortoirs, comme une trainée de poudre. Nous sommes en train
de remonter dans notre chambre, sans demander notre reste, lorsque Brittany, la
meilleure amie de Lady Eloyce H., nous intercepte et nous dit que nous sommes
attendues chez la headmistress, tout de suite. Brittany nous dit en souriant
qu’évidemment, nous devons y aller les fesses à l’air. Elle ajoute qu’elle sera
ravie si nous étions punies et souhaite que, si ça arrive, qu’elle soit
vraiment salée, cette future correction. Lorsque je passe à sa portée, Brittany
me met une grande claque très sonore sur les fesses, afin de bien affirmer son
statut de dominante par rapport à nous. Me massant les fesses, je l’envoie
paitre avec un « Fuck » mais, à sa mine, je perçois qu’elle est plus
intéressée par les filles que par les garçons...
Têtes
basses et toutes penaudes, lorsque nous sommes dans le bureau, Joana D. nous
dit que jamais dans l’histoire de St ANDREWS, des étudiants n’avaient fauté
deux fois en si peu de temps. Il fallait que ce soit des françaises qui outrepassent
les règles de cette façon. Décidément, nous avons mauvaise réputation, mais
c’est complètement justifié, car déjà l’année passée, les français qui avaient
été reçus ont démontré un talent à désobéir. Joana D. nous dit qu’elle a déjà
averti Fabienne D. et celle-ci lui a donné carte blanche pour nous punir. Elle
a même ajouté que celle-ci devait nous être profitable et que la rubrique
discipline de notre dossier scolaire allait être enrichie. Dès notre retour,
nous allons être suivies de près pour remettre les points sur les
« i ».
Joana
D. nous dit qu’à Ste CROIX, il y a tout un rituel inutile de passage dans un
conseil de discipline plus ou moins indulgent, mais en Angleterre, c’est
différent et que c’est elle qui juge et prononce le verdict. Ici, pas de possibilité
de complaisance vis-à-vis des fauteurs de troubles, la discipline et la
sévérité avant tout.
Puisque
nous ne comprenons pas le mot discipline et bien, Joana D. va nous l’enseigner,
bon gré mal gré. La punition sera exemplaire, car elle sera en trois parties
:
·
En
premier, nous allons subir le « hair shirt », ce qui veut dire porter
une couche et un bustier remplis d’orties fraîchement cueillies, avec les mains
attachées dans le dos, devant toute l’Academy. Les spectateurs devraient
apprécier le spectacle de « danse » que nous allons donner !
·
Nous
resterons entièrement nues le restant de la semaine, ce qui rabaissera notre
caquet et nous empêchera de sortir en ville. Elle nous dit que nous la
remercierons par cette nudité imposée, car le port de vêtements, après avoir
été soumises à la « Hair shirt », sera très douloureux. Nous pouvons
considérer que c’est un cadeau... de sa part !
·
En
dernier, la veille de notre retour en France, nous serons fouettées, nues et en
public. Notre trajet de retour en France avec le corps en feu devrait nous
laisser un souvenir impérissable...
Nous
sommes choquées par la sévérité de la punition, car en fait, elle nous parait
bien disproportionnée par rapport à notre faute. Joana D. nous dit que la
réputation de l’Academy ne peut pas être bafouée et les dérives doivent être
sanctionnées. Joana D. nous rappelle qu’elle fait ça pour notre bien et puis
les orties et le fouet sur la peau nue sont excellents pour la circulation
sanguine.
Abasourdies,
nous regagnons notre dortoir et en pleurs de savoir ce qui va nous arriver,
nous allons nous doucher puis nous coucher sans prononcer un mot.
Le
lendemain soir, à la fin des cours, Joana D. rassemble les élèves et
professeurs dans la cour et à haute voix, elle énumère les griefs qu’elle a
contre nous puis décrit en détail les punitions qui nous seront appliquées.
Avec le brouhaha qui s’élève, nous savons que les élèves sont ravis d’entendre
ce qui va nous arriver. Les remarques faites sont unanimes, c’est bien fait
pour nous et nous l’avons bien cherché.
Joana
nous ordonne de nous mettre complètement nues. Pendant que nous retirons
timidement nos vêtements, le concierge apporte des cordes, six paires de
« Hair shirt », un gros sac d’orties juste cueillies et des gants
pour les manipuler, car en cette saison, elles sont vraiment très urticantes.
Sous
les rires et les huées des élèves, humiliées, nous retirons avec peine nos
sous-vêtements en tentant de cacher ce qui peut encore l’être. Juste devant moi
se tient Ethan qui me sourit et a le regard plein de compassion, ce qui me
touche énormément et me redonne une once de courage. J’aimerais courir et me
réfugier dans ses bras, mais ça aurait d’épouvantables conséquences pour nous
deux et je n’arrive même pas à lui sourire en retour.
Lorsque
le concierge a généreusement bourré d’orties les couches et les bustiers, aidé
par le professeur de sport, ils nous saisissent par les bras et nous attachent
les mains dans le dos pour que nous ne puissions pas retirer les « hair
shirt » par nous-même. De ce fait, nous exhibons notre intimité à toute
l’école. En larmes, chacune notre tour, fermement maintenue par deux professeurs,
le concierge nous place et fixe la couche et le bustier. A peine posés, nous
sentons des brulures intenses rayonner autour du bassin et sur notre buste.
Nous nous mettons à trépigner en hurlant de douleur, mais chaque mouvement
accentue les piqures des poils urticants des orties. Nous donnons un véritable
ballet de contorsions et de trépignements, tout en hurlant et en demandant
grâce. Nous sommes comme six damnées en pleine démence. Etant intégralement
épilées, les orties nous piquent jusque dans les moindres recoins de notre
intimité, dans la mesure où nous gesticulons dans tous les sens. La chaleur des
piqures et nos sauts de cabri nous couvre de transpiration. Nos hurlements
doivent s’entendre de loin. Ma vision est totalement brouillée par les larmes
qui ne cesse de couler. Par moment, je perçois des élèves applaudir, rire et siffler.
Au
bout de quinze minutes qui nous paraissent une éternité, les professeurs et le
concierge viennent nous retirer nos « hair shirt », nous laissant
nues, en sueur, le corps secoué de sanglots et la chair recouverte de plaques
rouges qui nous démangent et nous cuisent affreusement.
Nous
regagnons à petits pas et en gémissant l’infirmerie pour nos soins, sous les
moqueries des élèves qui commencent à se disperser, enchantés de nous avoir vu
souffrir. Certains nous accompagnent, pour accentuer notre humiliation et leur
sentiment de toute puissance par rapport à nous.
Pauline
N. nous installe à genoux et prépare sa mixture. Sur ces entrefaites, Brittany
entre à l’infirmerie et propose ses services à l’infirmière qui accepte bien
volontiers, heureuses d’être aidée, car nous sommes six et il y a pas mal de
travail pour retirer tous les poils urticants des orties de notre épiderme. En
la voyant, je me doute qu’elle n’est pas là pour aider, mais pour assouvir son
fantasme et se rincer l’œil. Mais résignée après ce que je viens de vivre, je me
garde bien de protester.
Brittany
vient vers moi et étale la mixture sur mes parties rougies, ce qui me fait
crier. Brittany fait remarquer à Pauline N. que cette première partie nous a
bien calmées, puis annonce que nous avons le « pussy » complètement
trempée et que même nos « nipples » sont bien dressés, ça a dû nous
faire un sacré effet et elle trouve que nous sommes bien des « bitches », comme
elle l’avait supposé. Pauline N. essaie de tempérer Brittany, car elle trouve
que notre punition d’aujourd’hui a été très sévère et que nos tourments ne sont
pas finis. Brittany termine mes soins en me tapotant les seins, la croupe, me titillant
les tétons, le clitoris et en mettant deux doigts dans mon vagin, ce qui me
fait sursauter et gémir, mais je n’ose pas m’opposer à ce traitement qui
dépasse de loin les seuls soins ! Rouge de honte, je me sens mortifiée, ce
qui était bien son intention...
Lorsque
tous les soins sont terminés, nous sommes autorisées à monter nous coucher,
après être passées à la douche. Nous remercions humblement pour les soins
reçus. L’eau fraiche sur notre corps en feu nous fait un bien fou, mais malgré
cela, nous ne parvenons pas à trouver le sommeil, l’esprit trop encombré d’images,
de sentiments négatifs et le feu se réveillant au moindre mouvement.
Dès
le lendemain matin, nous sommes rapidement prêtes puisque nous ne portons,
comme unique vêtement, que notre paire de chaussures et nous descendons au
réfectoire où nous sommes accueillies par des huées et des moqueries des
internes : Les « Naked bitches » sont là ! Rougissant de
honte et les larmes aux yeux, dès que nous avons passé la porte d’entrée, nous
tentons de masquer notre intimité, mais sans résultat, car lorsque nous avons
notre plateau en main, nous devons bien tout dévoiler... et les élèves se
régalent en reluquant notre corps et nos marques bien visibles. Les
surveillantes du réfectoire nous appellent et nous font manger, debout, au
premier rang, face à l’assistance qui ne nous lâche pas du regard.
La
semaine passe à un rythme affreusement lent, car nous devons en permanence
faire attention à ne croiser qu’un minimum de personnes, afin ne pas être la
proie d’une énième crise de larmes sous l’oppression des moqueries et des insultes.
Depuis
notre mise en « Hair shirt », notre discipline est devenue exemplaire,
mais le mal étant fait, nous devons assumer les conséquences de nos actes. Nous
avons le secret espoir, qu’avec le zèle évident de notre parfaite conduite, la
troisième partie de notre punition sera peut-être annulée ?
To
be continued...
Glosssaire
·
Bare
ass : Cul nu
·
Bitches
: Chiennes
·
Froggies
: Grenouilles
·
Fuck
: Va te faire voir
·
Hair
shirt : Vêtements de pénitence
·
MAIDENHEAD
crown pub : Pub de la couronne de MAIDENHEAD
·
Naked/Nude :
Nu
·
Nipples
: Tétons/Tétines
·
Pussy :
Sexe féminin
·
Sluttish
: Dépravé
·
To be continued : A suivre
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 32
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Très beau récit, merci
RépondreSupprimerBonjour et merci beaucoup Caroline.
SupprimerUne suite à ce chapitre 33 va arriver, je suis en train de le rédiger. Le prochain épisode sera la fin de cette parenthèse anglaise à l'Academy St ANDREWS. Les filles ne regretteront pas le retour en France, enfin... En lisant le prochain épisode, vous comprendrez.
Amitiés.
Elena.
Je le lirais avec plaisir
RépondreSupprimerBonjour Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerHou là! Notre héroïne va conserver un souvenir particulièrement cuisant de son séjour en Angleterre où les punitions tranchent un peu avec celles qui se pratiquent sur le continent. En tout cas étudiants et étudiantes britannique ne boudent pas leur plaisir en voyant les frenchies soumises à rude épreuve. Jusque là, à Sainte-Croix, Elena n'avait eu que des rapports de bonne camaraderie avec celles qui ont été choisies pour l'accompagner en Angleterre. Gageons que cette épreuve va les avoir rapprochées.
Amicalement.
François
Bonjour Elena
RépondreSupprimerTrès beau récit avec lavement , c'est du vécu ??
Je connais le lavement pour être bien propre , pour ensuite recevoir le manche du martinet dans le petit trou et oui ont ne sali pas sont martinet sinon re fessée
Jojo
Bonjour Jojobonno,
SupprimerTous mes textes sont des fictions.
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie et de la canule, calibre 25, dans le derrière... Bonjour!
RépondreSupprimerOula la !! C'est de pire en mieux et ça rigole de moins en moins !
Et bien si figurez vous... ça rigole! On voit apparaître de ci-de là quelques situation drôlatiques et autres traits d'humour bienvenus, dans un univers "dallasien" impitoyable, âpre et sans concession. Les punitions y sont toujours féroces et notre "écrivine" euuuh...non, "écrivaine"...non plus ... tiens: poétesse de la déculottée...( voilà, c'est mieux !)Notre poétesse donc, doit vraiment aimer ses personnages pour les châtier aussi bien... qu'ils doivent le mériter. Au point, pour certains, de devoir s'accrocher à la table au moment du passage de la canule géante à lavement dans le derrière! En Angleterre, on roule à gauche et les voix du seigneur passent au milieu du fondement pour purifier l'âme du pécher de désobéissance, C'est pas drôle ça ?
Les girls frenchies ne dérogent pas à leur réputation d'indisciplinées chroniques. L'imagination de notre auteure est féconde et végétalise les sanctions avec la couche aux orties qui ne manque pas d'urticant!
Avec ça tu peux être en cloque sans avoir eu de rapports!
On se demande toujours comment ça peut être pire... et ben Elena, elle y arrive à chaque fois! Etoning not?
On serre les fesses en attendant le prochain chapitre!
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerMerci de votre commentaire, toujours teinté de poésie "drôlesque" qui réchauffe le coeur et l'esprit, comme mes textes qui réchauffent les fesses et le reste aussi, par la même occasion.
Vous commencez à être habitué à mon style si particulier, j'en suis consciente, et je vois qu'il plait. Les femmes qui publient ne sont pas légion et je remercie celles qui osent le faire. Ce n'est pas un exercice facile. Un remerciement également pour celles qui postent un petit commentaire sympa, c'est toujours agréable de les lire.
J'aime faire évoluer mes personnages dans des situations/lieux divers et variés, pour un enrichissement constant de ma chronique.
Amitiés.
Elena.
Re...
RépondreSupprimerQuand on lit les commentaires de JOJOBONNO, on se dit qu'il aurait certainement beaucoup de choses pittoresques à raconter.
Non?
Ramina
Bonjour Mr Ramina
RépondreSupprimerOui je pourrai raconter du vécu , mais pour être honnête , j'inverse les rôles
et toute les fesseuses que j'ai connu on commencé sur mes genoux déculottée les fesses en feu
En effet les vraies fesseuses sont dur a trouver ou alors des vénales , donc j'ai commencé par être fesseur et quand je sens que l'ont peux inverser je propose à ma partenaire de que je devienne un chenapan en culote courte et blouse et certaine ce venge et je prend chez avec certaine
Je suis célibataire depuis vingt ans , après avoir vécu plusieurs histoires vanille , mais maintenant je reste célibataire pour pouvoir vivre toute expérience lié à la fessée , visite médicale
Je vie en pavillon discret et donc peut recevoir pour mettre en scène divers scénarios , j'ai une chambre transformé en mini salle de classe avec pupitre tableau noir et blouses écolière ou écolier boutons dos ou coté comme ont à connu dans les années 60 /70 ma terrasse peut être transformée en cour de récréation , j'ai aussi du matériel à lavement
Ce forum est destiné au histoire de fesseuse sévère ou fesseuse qui inverse les rôles
Je peux raconter uniquement ce que j'ai vécu comme chenapan si JLG est d'accord , mais pas très doué pour l'écriture
JOJOBONNO
Bonjour, Jojobonno.
RépondreSupprimerC'est bien ce qu'il semblait...
Vous allez loin dans les mises en scène de fessées à l'ancienne qui, si on comprend bien, déterminent un peu votre choix vie et son environnement immédiat... Etonnante, mais sans doute passionnante, cette cuisante nostalgie de l'époque des fessées en classe.
Pour ce qui est de la publication de votre vécu, le mieux est d'en référer directement à JLG, notre "maître de cérémonie" qui gère ce blog avec rigueur et ouverture d'esprit.
Cordialement
Ramina