vendredi 29 mai 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 15

Caroline était une jeune femme d'une vingtaine d'années que Sylvie avait rencontré d'abord virtuellement par l'intermédiaire d'un forum où l'on discutait fessée. Au cours de ces discussions, elle lui avait avoué avoir depuis de nombreuses années un intérêt pour la fessée mais que son expérience était limitée à de rapides fessées administrée par sa mère, véritable punition cependant puisque donnée cul nu malgré son âge. Son fantasme était d'assister à une véritable fessée administrée à une adulte. Au bout d'un certain temps, Sylvie lui proposa de la rencontrer, elle avait une idée pour elle.
- je connais bien madame Costa, cette professeur de français à la retraite qui donne des cours particuliers, je peux lui demander si vous pouvez assister à un de ses cours, ça vous plairait ?
Caroline connaissait par ouï-dire cette madame Costa chez qui les culottes restaient rarement sur les fesses, elle se demanda si c'était bien prudent d'accepter la proposition, mais Sylvie balaya ses doutes.
- c'est vrai que Florence est une fesseuse redoutable, mais elle est juste et ne punit qu'à bon escient et puis vous serez spectatrice, elle adore l'humiliation de la fessée en public, ça va beaucoup lui plaire de déculotter ses élèves devant vous.
Convaincue et surtout tellement curieuse la jeune femme accepta, rendez-vous fut pris pour le samedi.
Sylvie l'accompagna pour faire les présentations, dans l'ascenseur une dame d'un certain âge mais habillée en jeune fille, jupe courte et socquette blanche les salua en rougissant. Florence Costa les accueillit avec un grand sourire
- ah, c'est donc vous Caroline, je vous présente Monique, elle a quelques lacunes en orthographe et je lui donne régulièrement des cours.
Sylvie, les présentations faites, s'éclipsa non sans avoir dit à sa protégée
- à tout à l'heure Caroline, on se retrouve au bar en face.
Madame Costa s'adressa à Monique pour lui annoncer le programme du jour
- bien, aujourd'hui, dictée, j'espère que vous allez être plus attentive que la semaine dernière, à ce propos, vous m'avez ramené votre carnet signé.
Rougissante d'être traitée à son âge comme une mauvaise élève, Monique lui tendit son carnet de liaison.
- voyons les commentaires d'Elodie, ah c'est très bien 3 fessées ici donc 3 fessées à la maison, j'espère que ça vous a servi de leçon.
Puis se tournant vers Caroline.
- vous n'allez pas rester là sans rien faire que diriez-vous de faire la dictée avec Monique.
Sentant vaguement le piège, Caroline essaya de se récrier.
- euh, c'est à dire je n'étais pas venu là pour ça.
Madame Costa la regarda en souriant.
- oui mais c'est moi qui décide, de toute façon une dictée à votre âge ça ne peut que vous être profitable. Bien assez discuté, asseyez-vous chacune à votre table et prenez vos feuilles et vos crayons.
Le ton était sans réplique, Caroline et Monique s'installèrent devant leur pupitre. Aux premières phrases, Caroline eut des sueurs froides, la dictée était particulièrement difficile, elle regarda Monique, celle-ci ne semblait pas plus à l'aise.
Quand elles eurent fini, madame Costa ramassa les feuilles.
- la correction ne va pas durer longtemps, j'espère que vous vous êtes appliquées sinon gare à vos fesses !
Caroline avait remarqué que la phrase s'appliquait à elle deux, elle essaya de se rassurer en se disant qu'elle était venue comme spectatrice et qu'il n'était pas question de se laisser déculotter.

Effectivement l'attente fut de courte durée, l'air sévère, madame Costa les fit se lever pour leur rendre leur copie.
Je ne vous félicite pas, Monique 10 fautes, c'est donc zéro quant à Caroline c'est un peu mieux mais 6 fautes c'est également zéro, bien Monique vous connaissez le tarif, venez ici.
Les joues écarlates, Monique s'approcha. Florence avait déplacé sa chaise et s'était assise. La dame de cinquante ans redevenue une mauvaise élève était maintenant contre ses genoux.
- qu'est ce qui arrive quand on a zéro, madame ?
- euh, aïe, aïe.
La main de Florence avait claqué fermement les fesses sur la jupe
- euh, oui, pardon, on a la fessée.
- la fessée ? Comment ?
- la fessée déculottée....
- c'est bien ça, oui une bonne fessée déculottée avant toute chose.
En disant ces paroles, elle avait basculé son élève en travers de ses cuisses et entreprit immédiatement la préparation à la fessée, à savoir le retroussage de la jupe et le déculottage.
Caroline regardait le spectacle fascinée, oui devant elle, une dame adulte s'apprêtait à recevoir ce châtiment enfantin, une fessée déculottée. Elle n'eut pas longtemps à attendre, la main de madame Costa faisait son œuvre et rapidement comme d'habitude, Monique ne put retenir ses cris puis ses supplications et enfin ses pleurs sous la brûlure de la correction, ses fesses étaient maintenant écarlates, elle fut relevée et tenue par l'oreille conduite au coin.
C'est alors que Caroline se rendit compte du piège dans lequel elle était tombée, car madame Costa se tourna vers elle
- bien, à nous mademoiselle, que pensez-vous que mérite vos 6 fautes et donc votre zéro ?
Caroline rougit et balbutia.
- euh, c'est à dire, je ne sais pas, enfin je n'étais pas venue pour faire une dictée, elle était très difficile.
- vous ne répondez pas à ma question, mademoiselle, et bien je vais vous le dire, ici un zéro signifie un petit passage sur mes genoux, la culotte baissée.
Caroline protesta.
- non, non, vous n'avez pas le droit, non.
Elle reculait vers la porte.
- mademoiselle, cessez ces enfantillages, vous avez mérité une bonne fessée et vous allez la recevoir, de toute façon la porte est fermée, vous allez bien gentiment venir vous coucher sur mes genoux pour recevoir votre punition. Je ne suis pas très patiente.
Comme Caroline ne bougeait pas, elle ajouta.
- bien, je vais commencer à compter, à 5, la fessée sera doublée, à 10 triplée et ainsi de suite, 1... 2... 3... 4... 5 ! Vous recevrez deux fessées mademoiselle, je continue 6
Se rendant compte qu'elle avait perdu, Caroline s'approcha
- non, non, c'est bon, oui, je viens.
Elle était maintenant contre les genoux de Florence Costa, celle-ci la regarda en souriant
- vous allez vous mettre toute seule en position mademoiselle et vite, je continue 7, 8 bientôt c'est trois fessées...
Vaincue et honteuse, Caroline se coucha d'elle-même en position disciplinaire, offrant sa croupe à la punition.
- eh bien, c'était un peu laborieux, avouez que ce n'était pas bien compliqué, vous voilà en bonne position, un peu plus de rapidité vous aurait évité une deuxième fessée.
Elle corrigea un peu la posture de la jeune femme pour que son derrière soit bien à portée de sa main. Puis Caroline comprit que sa correction allait commencer, l'air frais sur ses cuisses, sa jupe retroussée faisant apparaître sa petite culotte en coton bleu clair, ses fesses rondes tendues sous le fin tissu, elle imaginait le spectacle qu'elle offrait, ses rondeurs qui la complexait un peu et qui faisait rire sa mère quand quelques fois elle les lui claquait
- tu as une belle paire de fesses Caroline, se serait dommage de les priver d'une petite fessée.
C'était très vexant mais, c'était sa mère, là pour la première fois elle exposait son intimité à une étrangère, ce fut un moment horrible quand elle sentit sa culotte descendre, Florence prenait son temps, elle savait la honte provoquée par cet instant, la mise à l'air des fesses pour une adulte surtout dans cette position humiliante était très importante pour le résultat d'une bonne fessée. De son côté Caroline qui était très pudique était au comble de la honte de présenter ainsi ses parties intimes, elle serrait ses cuisses mais la culotte descendait inexorablement.
Elle ferma les yeux, mais la brûlure de la première claque la surprit, cela n'avait rien à voir avec celle donnée par sa mère quand elle la fessait sous le coup de la colère. L'avalanche de claques qui s'abattaient sur ses fesses étaient intolérable, elle ne put retenir ses cris et ses supplications mais c'était en vain, madame Costa était une redoutable fesseuse et Caroline s'en rendait compte, sa croupe n'était plus qu'une boule de feu. La fessée lui parut interminable, quand enfin elle cessa, madame Costa la garda dans cette position humiliante le temps que ses pleurs se calment puis comme elle le faisait après chaque fessée elle conduisit Caroline en la tenant par l'oreille au coin de la pièce à côté de Monique qui ne bougeait pas.
- voilà deux belles paires de fesses, vous allez rester la dix minutes et tâchez de ne pas bouger sinon vous revenez faire un séjour sur mes genoux.
Caroline avait l'impression de faire un mauvais rêve mais la brûlure qui embrasait sa croupe la ramenait à la réalité. Elle était bien une mauvaise élève punie par son institutrice.
Après les 10 minutes passées à exposer leurs derrières écarlates, elles purent revenir à leur table mais sans remonter leur culotte et c'est donc cul nu sur la paille de la chaise qu'elles se mirent à leur pénitence.
- vous allez me recopier cette dictée 20 fois et sans faute cette fois-ci et vous vous appliquez pour l'écriture. Si vous n'avez pas fini, vous reviendrez demain.
Évidemment la tâche était trop longue et la sanction tomba.
- bien, je vous attends toutes les deux demain à dix heures. Vous pouvez vous reculottez.

Caroline se fit une joie de recouvrir ses fesses mais sa satisfaction fut de courte durée. Florence lui prit la main et s'asseyant sur une chaise elle lui annonça
- j'espère que tu n'as pas oublié que je te dois une deuxième fessée pour ta désobéissance.
Avant qu'elle n'ait pu protester, Caroline se retrouva à nouveau couchée sur les genoux de son institutrice, la jupe à nouveau troussée et la culotte sous les fesses. La brûlure qu'elle ressentit n'avait rien à voir avec ce qu'elle connaissait, elle cria mais la règle plate maniée avec vigueur par madame Costa ne s'arrêtait pas et en quelques secondes sa croupe était à nouveau cuisante. Quand elle se releva des larmes coulaient sur ses joues aussi rouges que ses fesses. Elle dut tenir sa jupe retroussée pour exposer son derrière écarlate. Madame Costa remplissait les carnets de correspondance,
- Monique tu me ramènes ton carnet signé demain matin, je pense qu'Elodie va s'occuper de tes fesses ce soir, quant à toi Caroline il va falloir que tu expliques à ta maman que j'ai été obligée de t'administrer une fessée et tu me ramèneras aussi ton carnet signé.
Caroline toujours fesses à l'air était atterrée, comment expliquer ça à sa mère, en plus ça risquait de lui donner des idées et une autre fessée était probable.

Enfin reculottée, elle retrouva Sylvie au bar, celle-ci en voyant ses yeux rougis ne put s'empêcher de sourire.
- voilà une jeune femme qui n'a pas dû être très sage, on a les fesses un peu cuisantes non ?
À ce moment-là, c’étaient surtout les joues de Caroline qui était rouges, elle essaya d'éluder les questions, mais elle finit par raconter son après-midi cuisante.
- eh bien c'est du joli, et je suppose que tu as un carnet à signer, comment va tu expliquer ça à ta mère ?
Caroline lui fit part de son désarroi. Sylvie la regarda avec un sourire moqueur.
- mademoiselle va encore montrer ses fesses... Bon je peux te proposer quelques choses, tu vas appeler ta mère et tu lui dis que tu couches chez une copine ce soir, comme ça tu viens à la maison et c'est moi qui te signerai ton carnet.
Caroline folle de joie l'embrassa et quelques instants plus tard elles étaient chez Sylvie. A peine entrée, Sylvie demanda à voir le carnet.
- deux fessées, une pour un zéro en dictée et une autre pour désobéissance, je ne te félicite pas.
Caroline baissa la tête comme une élève prise en faute.
- tu connais le principe, une fessée à l'école, une fessée à la maison, si je compte bien ça fait deux fessées ce soir.
Caroline se mit à protester.
- mais tu n'as pas le droit, tu m'avais dit....
- je ne t'ai rien dit du tout, je t'ai proposé de remplacer ta mère, mais si tu préfères lui expliquer que tu voulais assister à une fessée donnée à une adulte et que c'est toi qui l’as reçue, libre à toi.
Caroline était à nouveau piégée, elle fit un petit signe de la tête pour acquiescer.
- j'aime mieux ça, je devrais te donner une fessée supplémentaire pour ce petit caprice mais comme c'est la première fois je passe l'éponge, tu vas venir bien gentiment me présenter tes fesses.
Elle s'était assise sur le canapé et elle indiquait ses cuisses, Caroline savait qu'elle n'avait pas le choix, elle se retrouva à nouveau dans cette position enfantine. Sylvie comme chaque fois qu'elle découvrait une nouvelle paire de fesses prit son temps, elle déculotta la jeune femme doucement, mettant progressivement à jour la belle paire de fesses de Caroline, deux hémisphères bien joufflus, serrés par la crainte et encore bien coloré par la fessée à la règle. Elle les caressa doucement.
- tu sais que tu as des fesses à fessée ma chérie, ça va être un vrai plaisir de les faire danser, mais desserre-moi ça, aller écarte un peu tes cuisses, voilà
Sous les petites claques de Sylvie, Caroline s'était décontractée et sa raie fessière s'était ouverte, elle savait qu'elle offrait un spectacle certainement très intéressant pour sa maîtresse, elle ferma les yeux honteuse. La première claque la surprit, Sylvie avait commencé doucement mais rapidement le rythme et l'intensité augmenta et comme elle l'avait prévu les fesses de Caroline se mirent à danser. Tout à sa douleur, elle avait perdu toute pudeur et elle exposait largement son intimité.
La fessée terminée, Sylvie la conduisit au coin.
- tu connais le principe, le nez contre le mur et les mains sur la tête.

Quelques instants plus tard, son sang se glaça, elle entendit la porte s'ouvrir et une voix étrangère et masculine. Mais Sylvie annonça la couleur immédiatement.
- ça s’est bien passé à l'institut mon chéri, bon tu me poses ton carnet sur la table et tu vas dans la chambre, je t'appelle bientôt.
Sylvie avait rapidement recadré Gérard, Caroline morte de honte d'exposer ses fesses avait appuyé un peu plus son visage dans le coin pour éviter d'être reconnue.
- rassure toi, Gérard a vu tes fesses mais tu auras l'occasion de voir les siennes. Il te reste encore un quart d'heure à exposer tes jolies fesses toutes rouges.
Elle parcouru rapidement la liste des punitions que son mari avait reçues chez madame Rose, elle souriait en imaginant son mari à près de 60 ans pleurant comme un gamin allongé sur les genoux d'Aurélie qui avait à peine 20 ans. Elle l'appela.
- alors que penses-tu de mon petit cadeau, un forfait vilain garnement, ça réchauffe les fesses, tu vas me montrer ça.
Elle dégrafa le pantalon de Gérard et rapidement le bascula en travers de ses cuisses, puis elle le déculotta largement faisant apparaître un fessier rougeoyant, marqué par des lignes plus sombre signe de l'application de la règle plate. Elle prenait son temps pour parfaire l'humiliation du monsieur redevenu un gamin sur les genoux de sa maman, ses doigts écartait les deux fesses, les palpait, testait leurs chaleur.
- ça fait quel effet de se faire corriger par Aurélie ? Elle est sévère, je vais la féliciter, le résultat est parfait, ton petit derrière est bien rouge. Mais tu le sais fessée à l'institut égal fessée à la maison.
Gérard protesta pour la forme.
- oh, non Sylvie, pardon pas la fessée ça brûle, aïe, aïe.
La main de Sylvie avait commencé à claquer les deux fesses tendues et rapidement le bruit d'une bonne fessée retenti dans la pièce.
Caroline toujours en pénitence les fesses à l'air dans son coin était un peu rassurée, elle exposait ses fesses certes mais le monsieur recevait lui une correction en public, si elle n'en avait pas la vue du moins avait-elle le son. La punition fut de courte durée, les nombreuses fessées reçues au cours de l'après-midi avaient rendu le fessier très sensible et Sylvie tenait à garder son terrain de jeux en parfait état. Tenu par une oreille Gérard regagna l'autre coin de la pièce.
Sylvie libéra Caroline, celle-ci fut également autorisée à se reculotter, ce qu'elle fit avec soulagement. Elle regarda avec un peu de perversité le monsieur dans le coin, le pantalon aux chevilles, la culotte à mi-cuisse, exposant une paire de fesses d'un rouge éclatant. Sylvie avait dit juste, c'était maintenant à son tour d'admirer le résultat d'une bonne déculottée...

Le repas ne fut pas très animé, les deux punis étaient un peu gênés d'avoir eu à montrer leur intimité, seul Sylvie parlait et riait en parlant de culotte baissée et de croupe écarlate.
Gérard fut privé de télé et envoyé au lit, ce qui soulagea Caroline, elle se doutait que Sylvie n'en avait pas fini avec ses fesses et elle ne souhaitait pas qu'il la voie en position disciplinaire la culotte descendue.
Sa nouvelle maîtresse s'était absentée, mais quand elle revint Caroline eut un petit frisson, elle tenait dans la main une brosse à cheveux. La jeune femme connaissait l'usage détourné de cet instrument mais sa mère ne l'avait jamais utilisé sur ses fesses.
Posément Sylvie plaça une chaise au milieu de la pièce, ça sentait la fessée magistrale, ses fesses se contractèrent sous sa jupe, la cuisson avait disparu. D'un petit signe Sylvie lui indiqua qu'il était temps de se mettre en position. La suite fut malheureusement très classique pour Caroline, elle en était à son quatrième déculottage, sa petite culotte en coton fut descendue aux genoux pour bien dégager la surface à punir.
La brûlure de la brosse était terrible et rapidement Caroline ne put retenir ses cris puis ses pleurs, ses jambes battaient l'air frénétiquement, maintenue fermement à la taille c'était la seule partie de son corps en mouvement mis à part bien sur ses belles fesses rebondies qui s'ouvraient et se refermaient offrant à Sylvie tous les trésors de son intimité. Elle la fit se relever mais ne la conduisit pas au coin, sa culotte était arrivée sur ses chevilles, elle la lui remonta à mi-cuisse et lui demanda de tenir sa jupe retroussée pour qu'on voit bien ces jolies fesses lui dit-elle.
Caroline les fesses brûlantes ne se souciait pas trop d'être plantée au milieu de la pièce culotte baissée et jupe retroussée.
Sylvie ne la laissa pas trop longtemps dans cette position gênante, assise sur le canapé, elle la coucha à nouveau sur ses genoux, Caroline protesta
- non, non, pardon, plus la fessée, s'il vous plaît..
Sylvie la rassura en riant.
- mais non, rassure-toi ma petite chérie, c'est fini le pan pan cucul, mais tu as bien chaud aux fesses, je vais vérifier ta température.
A ces mots la jeune femme se crispa, elle n'allait quand même pas lui prendre la température comme à une gamine. Eh bien si, les doigts de Sylvie écartaient les deux fesses joufflues.
- tu vas bien vite me desserrer tes fesses ma chérie sinon ma brosse va encore agir.
Vaincue par la menace, Caroline laissa sa maîtresse débusquer son anus, elle était morte de honte, passe encore de recevoir la fessée déculottée comme une vilaine fille, mais la prise de température "dans les fesses", elle ne croyait pas ça possible. Elle sentit l'instrument pénétrer, dans ses souvenirs d'enfant ce n'était pas douloureux mais très humiliant et c'était le cas. Comme à son habitude, Sylvie fit pénétrer très profondément le thermomètre de façon qu'il tienne bien en place. Puis elle tapota les fesses écarlates de sa nouvelle fillette.
- voilà, il est bien en place, tu vas me le garder pendant toute la durée de ma série, ça te fera le plus grand bien et te rappellera à l'obéissance. Caroline était bien installée, le buste reposant sur le canapé, les jambes également, elle exposait ses fesses rougies, la raie fessière serrée sur le petit bout de verre. Sa honte se dissipa peu à peu, de temps en temps, Sylvie passait la main sur ses rondeurs comme pour en apprécier la chaleur et la fermeté.
- c'est bien, tu es sage, il n'y a rien de mieux après une bonne fessée qu'une petite séance de thermomètre sur les genoux de Tati Sylvie.
Au bout de cinquante minutes, elle lui retira l'instrument punitif et la conduisit à sa chambre. Elle lui tendit une nuisette.
- tiens, vilaine fille, enlève ta culotte et mets-moi ça pour la nuit.

Au réveil, elle trouva Sylvie en train de préparer le petit déjeuner, Gérard arriva en même temps qu'elle, la maîtresse les arrêta tous les deux.
- avant de vous asseoir, vous allez me montrer vos fesses, allez on se tourne.
En rougissant ils obéirent, Sylvie baissa la culotte de pyjama de son mari et retroussa la chemise de nuit de Caroline, les deux paires de fesses étaient encore rosées des fessées précédentes.
- c'est bien, ces fesses sont en parfait état, si vous n'êtes pas sage, elles pourront recevoir de nouvelles fessées. Vous pouvez les cacher.
Caroline avait rendez-vous à 10h chez madame Costa, Sylvie la fit se doucher rapidement et comme elle n'avait amené aucune affaire, elle lui prêta une culotte propre, Caroline avait une bonne paire de fesses, elle faisait du 40, Sylvie quant à elle était plus fine, la culotte taille 38, masquait difficilement les rondeurs de la jeune femme, elle rentrait un peu dans la raie fessière et la base des fesses était bien visible ce qui fit rire Sylvie.
- tu as un joli popotin ma chérie, il va falloir que je te prenne un rendez-vous chez madame Rose, elle a un très bon traitement pour la cellulite.
Caroline rougit, elle était un peu complexée et devoir s'habiller devant Sylvie était un peu humiliant pour elle, ce qui était un peu curieux car Sylvie connaissait parfaitement son anatomie postérieure.
Elle se rendit compte qu'en moins de 24h son statut avait changé, elle était passée du stade d'amie à celui moins enviable de jeune fille punie qui peut à tout moment montrer ses fesses.

Sylvie l'accompagna chez madame Costa, elles y retrouvèrent Monique accompagnée elle aussi par Elodie, Caroline était un peu gênée d'être dans la posture de la mauvaise élève devant cette jeune femme à l'air autoritaire qui avait le même âge qu'elle.
- bien voilà nos deux chipies, j'espère que vos carnets sont signés et que vos "mamans" se sont bien occupées de vos fesses.
Les deux mamans en question acquiescèrent.
- quand une punie revient en retenue le dimanche, je commence toujours par une bonne fessée, si vous voulez rester mesdames.
Une fesseuse aime donner la fessée mais assister à une correction n'était pas pour leur déplaire. Elles s'installèrent sur deux chaises et s'apprêtait à assister à ce spectacle claquant du dimanche matin quand Florence se ravisa.
- mais j'y pense, que diriez-vous d'administrer chacune une fessée, une fessée déculottée appliquée par une personne étrangère est toujours plus efficace, Sylvie vous allez fesser Monique et Elodie se chargera de Caroline.
Celle-ci piqua un fard, c'était déjà dur de recevoir une fessée déculottée en public mais se la faire administrer par Elodie était encore plus humiliant. Monique, quant à elle, avait tellement l'habitude d'être déculottée par de nombreuses personnes que la situation ne la choquait pas et l'âge de Sylvie correspondait plus à celui d'une fesseuse.
- allez mesdames en position,
Caroline et Monique se présentèrent chacune devant leur maîtresse. Elodie avec un petit sourire moqueur saisi la main de Caroline et la fit basculer en travers de ses genoux, elle retroussa la jupe et fit apparaître la croupe de Caroline qui débordait largement de la culotte trop petite.
- oh mais que voilà une belle paire de fesses, ce serait dommage de les priver de la fessée, un derrière comme ça c'est parfait pour une bonne déculottée maison.
Caroline était morte de honte, déjà que de se retrouver en position disciplinaire à son âge n'était pas très agréable mais les commentaires sur ses rondeurs finissaient de l'humilier, surtout qu'Elodie continuait.
- bon, cette culotte ne cache pas grand-chose de votre anatomie mademoiselle, mais je veux quand même voir de plus près votre fessier, voilà, cul nu mais c'est parfait ma main va se régaler, détendez-vous.
Pendant qu'Elodie mettait à nu les belles fesses de Caroline, Sylvie n'était pas restée inerte, Monique avait rejoint ses cuisses et elle exposait elle aussi son derrière moulé dans sa culotte blanche. Elle avait l'habitude maintenant, elle savait que chaque fesseuse avait une technique différente pour le déculottage. Sylvie aimait prendre son temps pour baisser une culotte, elle savait que c'était le moment fatidique, pour la punie qui était à ce moment-là complètement à la merci de sa maîtresse et pour la fesseuse qui découvrait un nouveau terrain de jeu. Monique avait de belles fesses bien musclées, rondes à souhait, entretenues par des fessées régulières. Les deux punies étaient maintenant prêtes pour la fessée, celle-ci commença, elle fut pétaradante, les deux fesseuse adaptaient leur rythme, les deux dames couchées sur les genoux n'étaient pas en reste, elles effectuaient une magnifique danse des fesses.
Caroline découvrait une nouvelle fesseuse, c'était la troisième depuis hier et elle aussi était une experte, les fessées de sa mère étaient vraiment des caresses à côté des corrections qu'elle avait reçue depuis vingt-quatre heures. Maintenant elle n'était plus une jeune femme mais simplement une gamine punie, l'humiliation était accentuée par l'âge d'Elodie, sa nouvelle maîtresse avait le même âge qu'elle. A présent elle pleurait à chaudes larmes tout en tortillant son derrière de façon très expressive ce qui entraîna des remarques sarcastique d'Elodie.
- cessez de gigoter comme ça mademoiselle, vous en montrez vraiment beaucoup, votre intimité n'a plus de secret pour nous. Et oui ça brûle, mais c'est fait pour ça la fessée et puis avec une telle paire de fesses, il leur en faut des claques... Alors on désobéira encore, ah oui, elles disent toutes ça, je serai sage et le lendemain, il faut recommencer à les déculotter, et bien je crois que cette fois ci vous allez comprendre.
Pendant toute cette tirade la main d'Elodie n'avait pas cessé de claquer la croupe de Caroline. Puis s'adressant à Sylvie qui n'était pas en reste
- savez-vous comment on appelle un si beau derrière, un joufflu, c'est très exactement le cas du fessier de mademoiselle, oui un beau joufflu bien rouge...
Madame Costa jugeant la couleur des fesses satisfaisants arrêta les deux fesseuses.
- c'est bien mesdames, je crois que ces deux donzelles ont compris qu'il va falloir bien travailler ce matin.
Les punies furent relevées et conduites chacune tenue par l'oreille au coin avec interdiction de se toucher les fesses. Les deux paires de fesses étaient colorées de la même façon, on aurait dit quatre tomates bien mûres, elles se serraient convulsivement pour essayer d'atténuer la cuisson.
- elles vont rester au coin pendant un quart d’heure, exposer ses fesses après la fessée est un très bon exercice de modestie. Vous pourrez venir les chercher à midi.
Les deux maîtresses prirent congé non sans avoir recommandé chacune à leur punie d'être bien sage.


Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.

Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invités

Et celui-ci comporte un épisode précédent

Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 14
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1

Et il y a une suite...

... la semaine prochaine, c'est assez probable.

Et toujours les commentaires

Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.

6 commentaires:

  1. Bonjour Sylvie ,bravo très beau récit femme ou homme adulte traité comme des écoliers ou écolières huuummm ont en redemande et quand ont le vit en réel c'est le top

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  2. Amis de la poésie et de la fessée réalité... Bonjour!

    Oui, c'est amusant de voir comment l'auteure( Sylvie) se met elle même en scène, entourée de personnages réels qui trimballent leurs fesses . déculottées dans ces crépitants récits. Monique, une amie,) Gérard, le mari qui s'en prend des sévères et la petite nouvelle Caroline, assidue au courrier des lectrices, et curieuse d'assister à l'administration d'une fessée.
    Du coup la voilà mise en scène dans la fiction réalité de Sylvie qui ne rate pas une occasion d'enrichir sa collection de paires de fesses à claquer. ET ça claque, à fesses rebattues!
    Pas déçue du voyage, l'ingénue mutine, elle aurait dû s'en douter, entre les mains de ces fesseuses aguerries, pour une première expérience, elle finit par s'en prendre plein les fesses! A l'intérieur comme à l'extérieur puisqu'elle se retrouve avec un thermomètre dans le derrière... la petite gâterie préférée de madame Sylvie!
    Comme d'hab' on ne s'ennuie pas une seconde. Les fessées claquent à tous les paragraphes et il y en a beaucoup, les petites culottes n'arrêtent pas de descendre et de remonter, les derrières reluisent... En plus de ça, on déconfine... On ne va tout de même pas se plaindre.
    Cordialement
    Ramina

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  3. Merci ramina, vos commentaires sont toujours un enchantement
    Sylvie

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  4. Moi aussi Sylvie j'adore vos récits et mises en scènes où les crépitantes fessées sont légion pour notre plus grand plaisir.

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