samedi 16 mai 2020

Fini la liberté - chapitre 1


Jonas, un nouvel auteur publiant dans ce blog et j'espère pour longtemps. C'est le premier chapitre. Il y en a quatre d'écrits. N'hésitez pas à faire savoir à Jonas, dans vos commentaires, si vous souhaitez lire le cinquième, puis le sixième... JLG

Lorsque l'on sonne à la porte, Jérôme, passe timidement sa tête à travers la porte après l'insistance de la personne derrière la porte. C'est sa propriétaire Madame Lepand qui lui rend une visite surprise.
- Bonjour jeune homme comment allez-vous ? Puis je entrer, s'il vous plait ?
- C'est que ... Je ... je... je viens de me lever bredouille Jérôme.

Cela fait à peine un mois qu'il vient d'aménager dans ce petit studio, juste en dessous de l'appartement de sa propriétaire. A vingt-quatre ans, après avoir navigué entre plusieurs études, il s'est rabattu sur un BTS dans une école de cette petite ville de province. Il a obtenu la location de cet appartement grâce à une relation de ses parents. Ces derniers sont dépités par les échecs à répétition de leur progéniture.
- Je vous en prie ouvrez - moi cette porte, j'ai 2 ou 3 choses à voir avec vous
Jérôme hésite encore un instant mais devant l'insistance de Madame Lepand il doit se résoudre à la laisser entrer.
- Mon Dieu ! Mais quel capharnaüm ! Comment faites-vous pour vivre dans un tel fourbi ?
Madame Lepand, sans se préoccuper qu'elle soit chez Jérôme, visite la salle de bain puis la kitchenette. Elle a bien du mal à se frayer un chemin entre les vêtements sales, les boites de pizzas, canettes de soda, bouteilles de bière, et autres détritus qui jonchent le sol. La douche est remplie de bouteilles alignées, idem pour le lavabo. Les WC sont recouverts de traces jaunâtres et même marron, l'évier de la cuisine est dans le même état avec la vaisselle qui s'y entasse.
- Non seulement l'appartement est sens dessus-dessous mais il est aussi crasseux. Pourtant dans le contrat de location il est scrupuleusement stipulé que vous devez entretenir parfaitement l'appartement .
Jérôme fâché d'avoir été réveillé et dérangé de bon matin et honteux de l'état de son lieu d'habitation tente de protester
- Mais vous pensez que cela se fait de débarquer comme ça chez les gens ? Je vous ai payé le loyer du mois donc vous n’avez rien à faire là !
- J'ai le droit de venir vérifier l'état de mon appartement et le respect du contrat jeune homme !
- Bon allez oust, laissez-moi tranquille maintenant
- En plus de saccager mon appartement, tu te permets de me manquer de respect !
Martine Lepand, bien décidé à punir l'impudent, saisit le bras de Jérôme, et l'entraîne avec force et conviction près de son lit. Elle lui claque une première fois les cuisses, Malgré ses tentatives de résistance, Jérôme ne parvient pas à l'arrêter. Il faut dire qu'il n'est pas aidé par son gabarit. Il mesure à peine un mètre cinquante-cinq pour quarante-cinq kilos. Un vrai poids plume. Il sait très bien où veut en venir sa propriétaire. Il a connu longtemps ce genre de situation avec sa propre mère, mais à vingt-quatre ans il n'est pas disposé à se laisser faire par cette quasi inconnue.
Sans grandes difficultés, de sa main libre, elle descend son boxer à hauteur des genoux. Elle s'assied sur le lit, et force le jeune garçon à s'agenouiller. Elle s'appuie sur lui l'obligeant à se courber. Une première claque rebondit sur son postérieur, puis une seconde et une troisième. Jérôme tente vainement de se protéger les fesses avec sa main libre. Cependant le rappel à l'ordre de Madame Lepand la lui fait vite retirer.
Madame Lepand est surprise de la réaction de son jeune locataire. En effet même s'il se crispe à chaque claque, étonnamment il se laisse maintenant corriger. Jérôme lui-même se demande pourquoi il réagit ainsi. D'un côté il rage de ce que lui fait subir sa bâilleuse, de l'autre il a l'impression d'être redevenu un enfant et son cerveau lui ordonne de se soumettre à l'autorité de l'adulte qui le punit.
Cependant il n'est pas au bout de ses peines. En effet Martine Lepand n'étant pas une adepte de la fessée manuelle, elle se saisit d'une ceinture qui traînait sur le lit et après l'avoir repliée elle s'adresse à son résident.
- Je ne peux accepter que tu me parles comme tu as osé le faire. Je ne peux laisser passer une telle effronterie et je vais me charger de te faire passer l'envie de recommencer de t'adresser ainsi à un adulte.
- Madame je vous promets que...
- Silence !
La fessée reprend de plus belle mais cette fois avec la ceinture. Elle la lève assez haut et elle l'abat en plein milieu des fesses. Une trace rouge vient barrer l'arrière de train de Jérôme qui étouffe un cri. Il a maintenant enfoui sa tête dans sa couette et a placé ses mains par réflexe sur le sommet de son crâne. Comme quand sa mère le corrigeait il y'a quelques années. Les coups s'enchaînent sur ses fesses et ses cuisses. Madame Lepand semble être une spécialiste.
Très vite Jérôme crie, suffoque et pleure à chaudes larmes. Cependant cela n'émeut en rien sa correctrice. Elle poursuit ce qu'elle semble considérer comme un devoir. A chaque coup porté, Jérôme bouge légèrement de manière incontrôlable tant la douleur est forte mais il reste fermement maintenu. Ses fesses sont désormais marquées de traces rouge foncé. Cela satisfait pleinement Madame Lepand.

La correction terminée, elle le conduit en le tirant par son épaisse tignasse au piquet. Tel un petit enfant, Jérôme sanglote abondamment.
- Depuis combien de temps n'as-tu pas pris de douche ? l'interroge Madame Lepand
- Je ne sais pas ? Une semaine environ... pleurniche Jérôme
Elle lui assène alors 5 grosses claques sur les cuisses déjà meurtries ce qui arrache des cris à son locataire.
- Colle ton nez contre le mur et ne t'avise pas de bouger d'une oreille, lui ordonne sa logeuse.
Jérôme tente de remonter son boxer mais c'est de nouveau 3 grosses claques qui le rappellent à l'ordre
- Qui t'a dit de remonter ta culotte ? Je t'interdis de bouger.
Jérôme croise alors instinctivement ses mains sur sa tête et s'exécute entre 2 sanglots.
Pendant ce temps, après un court moment à observer son puni, Madame Lepand prend son téléphone et appelle la mère de Jérôme.
- Bonjour Madame, Je suis Madame Lepand, la propriétaire du studio de votre fils... Oui, voilà c'est ça... Non, rien de grave, je tenais juste à vous informer, puisque c'est vous qui payer encore son loyer, que j'ai rendu visite ce matin l'appartement et que je l'ai trouvé dans un état déplorable. Rempli de crasse et de détritus et je vous passe les détails, l’odeur... Oui effectivement je confirme, il manque cruellement de maturité.... En plus il s'est montré très effronté et j'ai dû lui donner une fessée... Effectivement... Ah je comprends mieux sa réaction... Oui vous avez certainement arrêté trop tôt... Et lui donner son indépendance était une erreur je le crois aussi... Je ne peux pas continuer à lui louer mon studio, j'en suis navré... Effectivement c'est ce qui était stipulé dans le contrat... Cependant je veux bien le loger et m'occuper de son éducation... Evidement il faut qu'il accepte... Au non, ça ne me dérange pas au contraire vous savez. Cela me désole de voir un jeune garçon gâcher sa vie... je vous tiendrai au courant... Aurevoir chère Madame.
Pendant ce temps, Jérôme ne sait pas où se mettre. S'il pouvait il rentrerait sous terre. Il enfonce son nez contre le mur.
Une fois l'appel terminé, Martine Lepand appelle son locataire.
- Jérôme approche et laisse tes mains où elles sont. Nul besoin de te cacher. Tu n'es pas fait différemment des autres garçons.
Le déplacement de Jérôme n'est pas simple, son boxer entravant ses jambes. Il ne peut se déplacer qu'à petits pas. Il traverse le studio dans cette tenue.
- Mon garçon comme tu l'as entendu j'ai prévenu ta mère de ce qui se passait. Je ne peux tolérer que le studio qui m 'appartient soit dans un tel état. Il est évident que malgré tes 24 ans tu n'es pas capable de vivre seul. Il est aussi évident que malgré tes 24 ans tu n'es encore qu'un petit garçon. Par conséquent soit tu acceptes de venir vivre chez moi et sous mon autorité absolue soit tu quittes ce studio et tu vas je ne sais où. En tous cas, pas chez tes parents. Je peux te le dire, ta maman viens de me le confirmer. Elle te coupe d'ores et déjà les vivres. Si je te prends en charge je te prendrai en charge également financièrement cela ne pose pas de problème tant que tu soumettras à mon autorité. Suis-je claire ?
- Mais ...
- Il n'y a pas de mais ! Tu as 30 secondes pour prendre ta décision.
Jérôme se met immédiatement à pleurer comme un gamin. Si son cœur lui dit de refuser, il comprend très vite qu'il n' a pas trop le choix. A contrecœur il décide de suivre Madame Lepand.
- Oui Madame, je vais vous obéir
- Approche, ordonne Martine Lepand. Elle lui retire son boxer. Elle le prend par le poignet et l'emmène chez elle, vêtu de son simple tee-shirt . Auparavant elle n'a pris que la mousse à raser et les rasoirs jetables de son locataire ainsi que son portefeuille et son téléphone portable. Le reste étant, pour elle, trop sale et ou inutilisable.
- Mais je ne peux pas sortir comme ça supplie Jérôme
- Allons bon. Tu n'as rien d'autre à te mettre toute façon. Et puis ne fait donc pas de chichi et avance.

Arrivé dans son vaste appartement, Madame Lepand entraîne Jérôme dans la salle de bain. Elle lui retire son tee-shirt et il se retrouve totalement nu. Elle lui remplit le lavabo d'eau bien chaude et lui ordonne maintenant de se raser parfaitement. Une fois terminé, elle lui tend une brosse à dents garnie de dentifrice. Elle a rempli un gobelet d'eau.
- Allez brosse-toi les dents... Applique-toi... va bien au fond. Frotte correctement de bas en haut... Crache... Allez rebrosse bien... Fais des mouvements rotatifs, n'oublie pas les gencives... Ce n'est pas grave si cela saigne un peu...Allez rince-toi la bouche. Madame Lepand dispense longuement ses consignes et conseils. Cela prend plus de trois minutes.
- Bon, avant la douche tu vas aller faire pipi. Elle conduit son jeune pensionnaire jusqu'aux toilettes en face de la salle de bain.
- Non ! Tu fais assis. Je n'ai pas que les toilettes soient arrosées. Quand je vois dans quel état étaient les tiennes. Tu me préviens quand tu as terminé.
Jérôme n'a pas le temps de se manifester. A peine a-t-il terminé d'uriner que sa logeuse se saisit de feuilles de papier toilette et lui essuie le pénis et le relève.
- J'aurais pu le faire tout seul proteste Jérôme.
Une claque atterrit sur sa cuisse gauche. " Vu l'état de tes caleçons et de ton hygiène corporelle déplorable, ça m'étonnerait . Allez ! Avance ! A la douche !
Honteux, et tel automate le jeune garçon obtempère.
- Monte dans la baignoire. Mets-toi à genoux et les mains dans le dos. Tiens-toi bien droit. Je ne tiens pas à m'abimer le dos en te lavant. Vu que tu ne sembles pas trouver nécessaire de te laver et de le faire correctement, c'est moi qui me chargerai dorénavant.
Madame Lepand entame la toilette de son pupille. Elle règle la température de l'eau et le mouille rapidement puis elle commence par lui laver les cheveux avec un shampoing aux œufs. Cela ne ravit guère Jérôme qui préfèrerait un produit plus "fun". Il tente de garder sa tête droite car elle la lui lave avec vigueur.
Après un bon moment elle se rince les mains et passe un gant un gant sous l’eau puis elle l’enduit de savon de Marseille. Avec la même grande attention, d'abord le visage. Elle lui fait basculer la tête à droite et à gauche pour frotter derrière les oreilles . Elle descend dans le cou, son torse puis son dos et ses bras. Elle insiste bien partout surtout sous les aisselles.
- Allez, debout ! Madame Lepand ré-enduit le gant de savon. Jérôme se laisse laver comme un petit garçon docile. Elle lui frotte les cuisses et les jambes. Il sent la douleur sur ses cuisses au passage du gant. Ensuite elle lui savonne le sexe. Elle le lui décalotte et insiste avec le gant. Elle le retourne et l'oblige à se pencher pour bien lui laver les fesses. Elle n'hésite pas à rentrer le gant dans sa raie et Il doit ensuite s' assoir pour qu'elle puisse lui laver les pieds.
Jérôme est ensuite obligé de se remettre à genoux pour son rinçage. Une fois terminé, Sa tutrice s'empare d'une serviette et le sèche en l'essuyant vigoureusement. Elle le conduit ensuite dans ce qui sera sa chambre.
- Tu m'attends là sans bouger. Jérôme en profite pour observer ce qui est désormais le lieu où il va passer une bonne partie de ses journées. L'endroit est comme le reste de l'appartement. Austère . A sa gauche il y a une commode et un lit d'une personne. A sa droite une coiffeuse avec une chaise et une petite penderie.
A son retour Madame Lepand s'assoit sur la chaise et enjoint à Jérôme de s'approcher. Elle lui enfile d'abord un tricot de corps débardeur blanc puis une chemise vichy qu'elle boutonne elle-même. Une bonne claque sur les fesses remet Jérôme à sa place quand il veut le faire lui-même.
- C'est moi qui t'habille et moi seule. Allez, vas t’asseoir sur le lit.
Madame Lepand enfile alors une paire de chaussettes grises à Jérôme puis elle l'oblige à se relever et lui fait enfiler un slip classique blanc puis un short gris et enfin elle lui enfile un cardigan bleu marine à boutons.
- C'est un peu court, c'était à mon fils. Ce n'est pas grave, nous irons faire des courses cette après-midi et je te ferai une garde-robe complète. Enfile ces pantoufles et assieds-toi que je te coiffe.
Martine Lepand munie d'une brosse et d'un peigne arrange les cheveux de son pupille correctement. Elle s'applique à faire une coiffure classique avec une raie sur la gauche. Une fois cette tache achevée, elle conduit Jérôme dans son bureau situé près du salon.

Elle prend place dans un fauteuil imposant, directorial :
- Tu te tiens droit les bras le long du corps et tu m'écoutes.
Devant cette situation nouvelle, Jérôme continue de se soumettre à sa logeuse. Il ne supporte pas cette infantilisation mais il ne peut se résoudre à désobéir à Madame Lepand. L'autorité naturelle qu'elle dégage ne l'y aide pas.
- Mon garçon je vais te dicter les règles de cette maison et celles qui régiront ta vie dorénavant. Je n'attends de toi aucun commentaire. Parlons d'abord de ton téléphone portable que voici. Il va atterrir dans le tiroir de ce bureau fermé à clé. Tu en es privé pour deux semaines. Cela te fera peut-être réfléchir à ta façon de répondre à un adulte et à ce qu'est l'hygiène ! Une fois la punition levée, tu pourras le récupérer. Cependant j'exige d'en connaitre le code PIN et ceux de déverrouillage. Tu pourras le prendre lorsque tu sortiras mais dès ton retour à la maison, il devra être posé sur le buffet de la cuisine. Tu pourras bien entendu le consulter mais seulement avec mon autorisation. D'autre part j'exige également de connaître les codes de tes réseaux sociaux.
Concernant ton hygiène et ton apparence maintenant. Comme je te l'ai dit, après ce que j'ai constaté, Je me chargerai moi-même de te laver. J'attends de toi que tu laisses faire et que tu obéisses. Tu seras douché tous les matins sans faute après le petit déjeuner et tous les soirs vers dix-sept heures trente à ton retour de l'école. Même heure pour les jours où tu n'auras pas classe.
Pour ce qui est de ton apparence, j'exige que tu restes parfaitement coiffé toute la journée. Il est hors de question que tu cherches une autre apparence. Concernant tes vêtements, C'est moi qui t'habillerai tous les jours. Les petits garçons de bonne famille comme toi doivent porter des culottes courtes. Nous en achèterons tout à l'heure. Je te ferai porter des pantalons longs pour aller en cours. Il est toutefois hors de question que ce soient des jeans ou des survêtements. Nous jetterons d'ailleurs tes guenilles. Nous nous procurerons des pantalons dignes d'un jeune homme bien élevé. D'autre part si ton comportement n'est pas satisfaisant il est fort probable que la culotte courte soit de rigueur pour aller en classe.
Jérôme tente de protester. Il ne supporte pas l'idée d'être humilié de la sorte. De ce fait sa logeuse se lève et vient lui donner une paire de gifles, puis elle le courbe sous son bras et lui administre 4 claques sur chaque cuisse.
Reprenons ! Parlons maintenant de tes horaires. Le matin, tu n'es pas autorisé à te lever tant que je ne suis pas venu te chercher. Au réveil, après être passé aux toilettes, nous prendrons le petit déjeuner et une fois que tu auras débarrassé la table et passé un coup de balai, je te donnerai ta douche et t'habillerai. Ensuite je te conduirai à l'école et ce que ça te convienne ou pas. Le midi tu déjeuneras à l'école. Je te préparerai ce qu'on appelle "une gamelle". Hors de question que tu déjeunes n'importe quoi au resto U ou autres. Je sais qu'il y a une salle de disponible et qu'elle est équipée pour, dans ton école.
Le soir, à la fin de tes cours, tu rentreras directement à la maison. Il faut dix minutes de marche entre ici et l'école. Je t'accorde donc 15 minutes pour faire ce trajet. Tout retard sera sanctionné d'une fessée entre autres. Ce sera ensuite douche, repas, brossage des dents, travail scolaire et couché à 20 heures. Les jours où il n'y aura pas classe je me chargerai de t'occuper entre tes révisions, des corvées et éventuellement tes loisirs. Tu te coucheras à vingt heures trente quand il n'y aura pas classe le lendemain. Le mercredi après-midi, je veux que tu fasses du sport. Je vais t'inscrire à la gymnastique. Je connais la présidente du club qui est aussi l'une des coach.
Lorsque nous serons à la maison ou quand tu seras avec moi tu me demanderas pour aller aux toilettes et je t'accompagnerai. C'est moi qui m'occuperai de te nettoyer. Si tu dois y aller à l'école arrange-toi pour rester propre et ne pas tâcher tes slips.
Il est bien entendu évident que j'exige la plus grande politesse de ta part et ce en tout temps. J'exige le plus grand respect lorsque tu t'adresses aux adultes et à ce titre j'exige que dorénavant, vu que je vais être ta tutrice tu m'appelles " ma Tante " quand tu t'adresseras à moi. Il va de soi que tu respecteras les formules de politesse. "Oui ma Tante" "Non ma tante" etc. Pour les autres adultes se sera évidemment bonjour Monsieur, merci Madame etc.
Tu te doutes bien que pour les repas, je requiers que tu observes les règles de bienséance. A savoir t'asseoir droit face à ton assiette , les mains posées sur la table, sans t'avachir, manger de tout et finir toujours ton assiette. On ne parle jamais la bouche pleine. On ne met jamais son couteau à la bouche. On s'essuie la bouche dès qu'on sent que cela est nécessaire, ou avant de boire en tapotant ses lèvres et non en les frottant.
Quand nous serons amenés à sortir, tu te tiendras à ma droite et tu me donneras la main pour traverser. Tu ne mets jamais les mains dans les poches même si tu dois être seul.
Bien entendu d'autres règles seront surement amenées à apparaître nous en reparlerons le moment venu. D'autant que je rencontrerai lundi matin, Madame Mercier la directrice de ton école, que je connais.
A la fin de cette tirade, Jérôme est dépité. Il a envie de fuir en courant. Cependant il est aussi rassuré que quelqu'un ait la bonté de le reprendre en mains.


Une suite à cet épisode ?

La voici, c'est la chapitre 2.

Allons-y pour les commentaires

Alors ? Qu'en pensez-vous ? Les commentaires, les appréciations, les critiques, les propositions, les encouragements... sont tous bienvenus.
Vous voulez les lui adresser directement ? Pas de problème ! Voici son adresse courriel : Jonas
Dans tous les cas, il vous répondra.

11 commentaires:

  1. Bon début , la liberté peut être néfaste , si on ne sais pas l'utiliser à bon escient .Ce jeune homme va l'apprendre à ses dépends , et pense que cela risque de se corser , pour ses semaines à venir .

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  2. Bonjour Jonas,
    Une sacrée reprise en main pour Jérôme. Il y a des jeunes qui ne savent pas être propre. Tout dépend de la façon dont les parents les ont élevés, gâtés pourris ou non. La conséquence se voit à l'âge adulte...
    Amitié.
    Elena.

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  3. Bonjour Jonas,
    Bienvenu au club des "Jérôme"!
    Avec un "J" ou un "G", voilà un prénom qui semble prédestiner ses porteurs à des recadrages en règle et des reprises en main pas piquées des lanières! Ou comment transformer un garçon en pleine dérive des incontinents du laisser aller, en jeune homme de bonne famille propre sur lui et bien élevé...
    C'est bien de cela qu'il s'agit et ce que madame Lepand se donne comme objectif. Martine a de la poigne et du pain sur la planche... à fesser!
    D'ailleurs ça commence à fond les ballons d'eau chaude, par un ravalement du sol au plafond en nu intégral. Avec Détartrage de la tuyauterie avant et récurage de l'arrière boutique... Brosse à dent mode d'emploi...
    En deuxième partie, programme complet et hyper détaillé, des festivités éducatives qui attendent le jeune crapouilleux, fâché avec le nettoyage à sec et les bonnes manières. La liste des mesures donne une idée de l'étendue des dégats et du chantier des contraintes de remise à niveau. Le brave garçon est "dépité". Le mot semble faible par rapport aux exigences de sa logeuse ...
    Décidément les logeuses endossent volontiers le rôle ingrat de ré-éducatrices après les faillites parentales. Après madame Leblanc ( Fabien) Madame Tolbois ( Chambre chez l'habitant) (voir récits de JLG ). Variation intéressante sur le thème avec madame Lepand...
    Attendons la suite avec l'entrée en scène madame Mercier, la directrice de l'école, qui ne devrait pas décevoir.
    Cordialement
    Ramina

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    1. Bonjour Messieurs,

      Voilà, ma foi, une histoire qui débute sur les chapeaux... de fesses !
      En effet, les "Jé" et "Gé"...rôme attirent les foudres des femmes de leur entourage ! Encore une fois, la jeunesse est jugée immature. Bref, ces dames (aux mains fermes ?) se mettent en devoir de remettre ces garnements dans le droit chemin. mais la tâche s'avère ardue. Tout n'est pas gagné d'avance.
      Courage, champion !
      Amicalement. Peter Pan.

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  4. Excellent début de récit.
    Apparemment, ce genre d'éducation était partagé...
    Bruno

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  5. Bonjour, Jonas. Et bonjour à tous,

    Il a trouvé à qui parler, ce garçon! Et voilà tout un tas de réglementations au milieu desquelles il ne peut que se perdre au début. D'autant qu'il n'a dû les écouter que d'une oreille, tout stressé qu'il était. Et voilà de nouvelles corrections en perspective.

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  6. Bonjour dans le 2eme récit est ce que Jérôme aura une érection sur les genoux de sa logeuse pédant la fessée ??

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  7. Elle a bien raison de le lavé , si il n'ai pas capable de le faire tout seul et de lui donne des fessée même a 24 ans si il ce conduit comme un petit garçon

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  8. Très beau récit que je redécouvre, dommage qu'il ne figure pas dans liste des auteurs invités, ce serait plus aisé à retrouver. Merci d'avance à JLG s'il peut y remédier.
    Bien sympathiquement .

    Serge

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  9. Jérôme n'avait pas a faire des tentatives de résistance , il mérité largement d'être puni avec une fessée , il n'a pas respecte l’appartement de Madame Lepand c'est toute ta fait normal qu'il soit puni . Si j'aurais été dans la même situation que Jérôme est que j'aurais mis l'appartement dans le même état j'aurais accepté de recevoir une fessée je n'aurai imposer aucune résistance à ma punition je me laisserai fessée même a 24 ans

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  10. Elle a eu parfaitement raison de lui donner une fessee : moi j’habite encore chez mes parents à 35 ans . Il y’a quinze jours j’ai fait un peut près la même chose. Ma chambre on ne pouvait pratiquement plus mettre un pied devant l’autre pourtant mon père me dit plusieurs fois de ranger ma chambre ce que j’ai refusé de faire alors que mes parents il m’avait dit que je devais encore obéir temps je vivrai seul le toit . Mon père m’a dit je vais te donner une bonne fessee il m’a entièrement déshabiller . Je lui été demandé si je pouvait téléphone à me ami pour le dire que j’allais sévèrement puni avec une bonne fessee et que j’allais être privé de sortie. Ça faisait plus de quinze jours qu’il me demande de ranger m’a chambre. La fessee que j’ai reçu été vraiment méritée je l’es vraiment chercher. Je suis toujours privé de sortie de voir mes amis

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