LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
CUISANT RETOUR A LA MAISON POUR RODOLPHE .
Mais au final, Bettina, un peu désemparée, avait lâché son
puni, le laissant rouler lourdement sur le sol. Il se releva aussitôt pour
échapper à la douleur supplémentaire des graviers écorchant ses fesses à vif.
Elle insista en désignant Rodolphe toujours à genoux, déculotté, devant
elle. .
– « Mais ...et lui ? Je n'ai pas fini... Il n'a pas eu sa
fessée ! »
Walter se leva en titubant et en s’accrochant à la table
qu’il fit vaciller. L'ivresse le désinhibait
complètement.
C'était seulement quand il en avait un coup dans le nez qu'il osait tenir tête
à sa femme, qui, habituellement, prenait toujours le dessus sur lui.
– « Nom de Dieu de nom de Dieu Bettina...Tu vas arrêter
oui ? Tu ne t'es pas encore assez amusée avec leur fesses ?
– Mais Walter, qu'est-ce qu'il te prend ? Je n'en n'ai
même pas encore terminé avec celles de Robin ! ?
– Les fessées, ça suffit pour aujourd'hui... j'ai
dit ! »
Il se retourne vers Robin et Rodolphe, pas mécontents de
son intervention imprévue, surtout
Rodolphe évidemment.
– « Et vous, foutez-moi le camp en vitesse et que je vous
revois plus, bande de petits salopards ! »
Rodolphe se leva péniblement , les genoux endoloris, et
tenta de se reculotter en passant devant Walter pour courir vers le portail.
Mais celui-ci, lui botta le derrière encore déculotté ce qui eut pour effet de lui faire perdre
l’équilibre qu’il rétablit de justesse en s’accrochant in extremis à la table.
Quant à Rodolphe, le coup de pied le fit s’étaler de tout son long dans l’allée
de gravier. Il repartit en courant, le nez abîmé, en essayant de se reculotter
comme il le pouvait, et disparut dans la rue sans demander son reste.
Walter continuait à jurer en récupérant sa bouteille qui
avait roulé par terre. Robin, était
pétrifié et ne savait que faire. Il tenait à pleines mains, ses fesses
écarlates et cuisantes qui lui faisaient atrocement mal. Et encore, sa fessée
avait été interrompue.
Finalement, Gladys, excédée par cette scène inattendue, se
leva, remis son mari sur pied du même coup et lui expédia une grande claque sur les
fesses en déclarant.
– « Bon..., Edouard tu remontes ton pantalon, Robin, toi
aussi, tu te reculottes, et on rentre ! »
Elle prit Robin par le bras. Comme il hésitait à se
reculotter, elle le fit à sa place, sans ménagement.
– « Ce serait dommage que tu ne profites pas, le plus longtemps
possible, de l'effet d'une si bonne fessée ! »
Dit-elle en lui ajustant son slip le plus serré
possible sur les fesses, ce qui le fit hurler de douleur.
– « Comme ça, tu vas bien sentir la cuisson de tes
fesses pour te rappeler la belle grosse déculottée que tu viens de prendre
!! »
Elle l’entraîna vers le portail sans attendre son mari. En
passant devant Bettina qui, sidérée, hésitait encore, en bas des marches, à
rentrer chez elle, elle lui dit.
– « Bonsoir Bettina, à demain. Et bravo pour cette
solide fessée, rondement menée du début jusqu'à la fin. Dommage qu'elle n'ait pas duré plus longtemps. La prochaine
fois...»
Bettina tournant son index sur sa tempe en désignant son
mari d’un signe de tête, et ouvrit les bras en signe de lassitude et
d’incompréhension. Elle lui lança sur le trottoir.
« Et n’oubliez pas ...ce que je vous ai dit... pour le
Gingembre...Gladys. Vous verrez... C'est très efficace ! »
Bettina pouvait bien raconter ce qu’elle
voulait, Robin s'en fichait pas mal. Il n’arrivait pas à s’arrêter de
sangloter. Il sentait ses fesses frotter
l'une contre l'autre au rythme de la marche. Elles lui semblaient peser une
tonne et répandaient une chaleur intense qui se propageait comme un incendie.
Les élastiques de ce satané slip à fessée, hyper serré, lui rentraient dans le
derrière et en accroissaient la douleur. Il voulait vite rentrer, être loin de
cette redoutable Bettina qui tapait si fort. Il rageait contre elle, contre
Rodolphe qui avait réussi à s’en tirer avec un coup de pied dans le derrière et
une égratignure sur le nez ! Alors que lui ,en supplément d’une terrible
fessée, il avait eu le postérieur écorché par sa chute sur le gravier. Il
courait derrière sa mère dont le magnifique fessier, étroitement moulé dans sa
courte jupe de tailleur, se dandinait devant lui.
Ils arrivèrent rapidement à la
maison. Edouard les avait rattrapés et au moment où Gladys ouvrait la porte
d’entrée, elle le fit passer devant et lui décocha une retentissante claque sur
les fesses à travers son pantalon qui le propulsa à l’intérieur. Il la regarda
en grimaçant. Était-ce le préliminaire d’une
nouvelle fessée ou simplement une bonne claque de rappel à l’ordre.
Probablement les deux.
Encore contrariée de la manière dont la journée
a tourné court, elle exprime toute sa frustration dans une colère
contenue, qu'en général, elle passe à la moindre occasion, sur la première
paire de fesses à portée de main. Celles d'Edouard sont en première ligne. A peine entrée dans la maison elle le
sermonne déjà
– « Tu as aimé regarder la fessée que
Bettina a flanqué à Robin... Alors je suis sûre que tu vas adorer celle qui te
pend au derrière d'ici la fin de la soirée. Tu y as échappé cet après-midi, mais un conseil... Tiens-toi à carreaux ! »
Elle s'est débarrassée de son sac, de sa veste
de tailleur qu'elle balance sur le fauteuil du vestibule et se dirige vers le
salon en claquant du talon. Edouard la suit à petits pas et y pénètre derrière
elle en pleurnichant à moitié.
–
Mais... mais chérie, pourquoi ? J'ai été obéissant toute la journée..., J'ai
fait tout ce que tu désirais... je suis resté les fesses en l'air pendant tout
l'après-midi, comme tu voulais... Je n'ai encore rien fait pour mériter une...
– C'est justement le pire qui puisse
t'arriver... Continuer à ne rien faire !.... D'ailleurs tu vas commencer
par filer mettre la table ! Tout de suite... et dépêche-toi, ou gare à tes
fesses !!
– Tout de suite Chérie... J'y vais tout de
suite ! »
Dire qu'il se précipite est encore en dessous
de la vérité. Il a toutes les raison de redouter
les excès de mauvaise humeur de sa femme, sachant, que dans ces cas-là, ses fesses lui font office
de défouloir. Elle est prête à saisir le moindre prétexte, quitte à en inventer
un, pour le coller sur ses genoux ou dans une toute autre position et lui
flanquer la sévère déculottée qui fait du bien !
Pour tout dire Robin s'en fichait et suivait de
loin une conversation très habituelle qui ne le concernait pas. Il avait eu sa
dose, et se préoccupait davantage de l'atroce cuisson de ses
fesses, que de l'avenir immédiat de celles de son beau-père.
A peine entré, il avait foncé aux toilettes comme pour
satisfaire un besoin pressant. Le verrou bien tiré, il se déculotta avec
précaution et beaucoup de difficultés. Son derrière, naturellement volumineux,
encore gonflé par la fessée, était devenu beaucoup trop serré dans un de ces
slips de nylon que sa mère lui faisait déjà porter très ajusté . Il prit du
papier toilette le trempa dans l’eau froide et se tamponna douloureusement les
fesses ... Cela lui faisait du bien mais il remarquait des petites traces de sang
résultant de l’écorchure des graviers. Il renouvela l’opération plusieurs fois
puis repris du papier sec pour se sécher au mieux. Il sortit en faisant
semblant de se masser le ventre comme s'il avait eu une colique.
Gladys, dont la mauvaise humeur n’avait fait
qu’augmenter s'était servi un de ses «''Pur malt'' préférés, Glenfidish douze
ans d'âge, qu'elle sirotait dans le canapé en grignotant des petits gâteaux
salés. Il n'était pas certain que cela suffise à la détendre. Elle reprit une
gorgée de Whisky et, voyant Robin sortir des toilettes lui dit .
– « C'est dommage que Patricia n'ait pas pu assister à ta
fessée. Je suis certaine qu'elle se serait régalée. En tout cas... Tu vois,
Robin, où cela nous mène tes bêtises ! »
Tout en
faisant attention à ne pas avoir l’air de contester la légitimité de la
correction reçue, il glissa.
– « Oh oui Maman ! ....mais Bettina, elle
tape dur ....Elle fesse fort... et longtemps ....j’ai tout le derrière en
feu... ça fait vraiment mal.
– Comme si tu n'étais pas habitué...La fessée
c’est fait pour ça ! Et pour qu'une fessée soit bien cuisante, il faut
taper fort ! Très fort ! Tu crois qu'il n'a pas mal au derrière, Edouard, quand je lui flanque une fessée?. »
Il répond presque compatissant, mais sans
exprimer la totalité de sa pensée.
– Oh si maman ! -- Et il complète plutôt en abordant
ce qui lui est resté en travers de la gorge -- Oui ,mais c’est pas juste,
Rodolphe lui il a rien reçu ...et tout ça c’est de sa faute ...à lui ! »
Gladys coupa court en dégustant une nouvelle
gorgée de Whisky. Elle fit crisser ses bas nylon sur ses cuisses en croisant
les jambes.
– « Pour moi ce qui compte c'est qu'elle
t'en as mis une bonne, comme tu
l'as méritée. Et ne t’en fais pas, quand sa mère va voir que ses fesses sont
toujours intactes, elle va les lui assaisonner, bien comme il faut. Et telle que je connais Clarisse, elle va lui
en claquer une sévère !
– En attendant, maman, c'est moi qui ai tout
pris ! »
Gladys ne lui fait pas de concession.
– « Cela t’apprendra à mieux choisir tes
copains ...et pas des faux jetons comme ton ami Rodolphe ! Ça
n'arriverait pas si vous faisiez moins d'âneries ! Et puis tu m'énerves...
Arrête de gémir sans arrêt ou je te flanque une nouvelle fessée pour te donner
une bonne raison de te plaindre !
– Oh non, maman, pas encore une
fessée !.
– Alors, monte dans ta
chambre ! Tu as du travail à finir ! Aller ! File et ne descends pas avant le
dîner : je t’appellerai ! »
Robin ne se le fait pas dire deux fois, il
monte l’escalier, mais moins vite qu’à l’ordinaire. : Cette magistrale
déculottée lui a coupé les jambes, et le frottement de son slip, ultra serré
sur ses fesses toujours en feu, s’accentuait en montant les marches. Il
s'enferme dans sa chambre, ouvre sa fenêtre et trempe son mouchoir dans un peu
d’eau restée dans la soucoupe d’un pot de fleurs, Puis, se déculotte et se met
à plat ventre avec son mouchoir mouillé étalé sur les fesses ....
Et il se mit à penser encore à Rodolphe .
Certes il aurait sans doute une fessée ce soir ....et certainement une bonne,
mais ce qui le mettait en rage c'était de
l’imaginer déjà le lundi suivant se vantant à Ste Marie, avec sa logique
spéciale et imparable ( selon lui)
« Ah ! t’aurais vu ça comme je l’ai eu la
Bettina ! Je lui ai pas dit ce que j’ai pas dit et ....Ah, ah, ah ! elle m’a cru ...Ah, ah, ah ! »
Robin se dit que contrairement à ce que pensait
sa mère, il était peut-être pas aussi bête que ça le Rodolphe. En tout cas il
avait gagné du temps ...et c’est lui qui avait reçu la fessée de Bettina... Et
une sacrée fessée !
– « Non mais
Rodolphe...qu'est-ce que tu me fais là ?
Tu n'essayerais pas de te défiler par hasard ? Veux-tu venir ici... tout de
suite ! »
Clarisse, en train de feuilleter le catalogue
d'instruments de discipline de la maison Delaniaires, interpelle son fils du
canapé du salon. Elle a entendu la porte d'entrée se refermer et l'a stoppé net
dans son élan, alors qu'il s'apprêtait à monter l'escalier pour aller
directement dans sa chambre... Il resta quelques secondes immobile, en arrêt
dans le vestibule. Il était coincé. Impossible d' échapper à sa mère
qui visiblement l'attendait. Il a beau connaître ses réactions par cœur, il réalise
qu'il vient, encore, de commettre une erreur. Le ton de sa voix indique qu'elle
est déjà contrariée. Comment a-t-il été assez idiot pour
penser l'éviter ? Elle
insiste .
– Rodolphe !... Tu entends ce que je te
dis ? Ramène tes fesses par ici !
Je suis curieuse de voir comment Bettina te les a soignées ! »
Rodolphe apparaît dans le salon, essayant de
masquer son angoisse. Il s'approche de sa mère, mais pas trop, prenant bien
soin de rester de face, laissant la table basse entre elle et lui. Il est
toujours en slip, sans pantalon, les mains sagement croisées dans le dos. Elle
pose sa revue à côté d'elle et le toise du regard avec sourire faussement
affectueux.
– « Et bien mon chéri, qu'est-ce qu'il t'arrive ? On
n'oubliait de venir dire bonsoir à sa maman ?
– Euh... non... non...maman... je voulais
juste... aller... aller... Euuuh, enfiler un pantalon.
– Ah bon ? Tu as décidé ça tout seul, sans
que je t'y autorise... Tu ne te sens pas à l'aise comme ça, le derrière bien au
chaud dans ton slip après une bonne fessée ?
– Euuuh, si maman... si... bien sûr que
si !
– Parce que mon grand garçon... Il s'est pris
sa fessée cet après-midi ! N'est-ce pas … et une bonne
j'espère ! Hein...? Il paraît qu'elle fesse bien Bettina ?
– Ah ben oui maman... Elle... Elle a commencé par Robin. Ah une
sacrée fessée... Euuh sacrément dure en plus ! Et... t'aurais vu ça …
comment ça claquait fort. ! Et... Et
–
Oui... mais Robin...Je m'en fiche ! Et toi ?
–
Ah ben moi aussi, maman... mais pas
pareil que lui. A genoux ! ...sur les cailloux... euuh non... le gravier... avec des
cailloux...
–
Comment ça à genoux ?
–
Si maman, devant elle, sur le graviers plein de cailloux...à genoux... Avec un ''x'' au pluriel. Ça je sais... Comme
chou, hibou, joujou, pou... je sais ! »
Partagée
entre le rire et la colère, Clarisse regarde son fils faire son numéro.
– « Mais Rodolphe !...qu'est-ce que
tu racontes ? C'est pas possible, Walter t'a fait boire ? Tu as fumé
de la ciboulette ou quoi ? C'est la fessée qui te monte à la tête ? Qu'est-ce que c'est que cette histoire de
cailloux ? Tu te fiches de moi ?
–
Non, maman... je te jure, c'est mes genoux... regarde... Ils sont tout écorchés
à cause des cailloux du gravier... ! »
Curieusement,
Rodolphe, parti dans ses explications absurdes, ne se rend pas compte que sa
tentative de diversion ne peut pas fonctionner avec sa mère. Bien au contraire
il la met de plus en plus en colère.
–
« Mais je m'en moque moi de tes genoux ! Ce sont tes fesses qui
m'intéressent ! Tes fesses, tu m'entends ? Alors tourne toi que je
vois le résultat de la raclée que t'a mise Bettina cet après-midi !
–
Ah oui... Mais... Mais c'est quand je me tourne aussi que ça me fait
mal... ! »
Cette
fois ci, Clarisse, furieuse, se lève d'un bond , saisit sa progéniture par les
cheveux et le force à se mettre à genoux sur la table basse... Le derrière en
l'air, bien en vue ; Elle pousse un rugissement.
–
« Mais ! Mais Rodolphe... Tu
n'as rien ! C'est quoi cette histoire ? Tes fesses sont intactes...
,Aucune trace de fessée... A peine quelques marques de celle que je t'ai mise
ce midi avant de partir chez Bettina ! Mais… qu'est-ce… qui…s'est…pas… sé ? »
S’écrie-t-elle,
en ponctuant rageusement chaque syllabe de grandes claques sur ses fesses. Son
slip est tellement tendu dessus qu'elles retentissement pratiquement autant que
si elles étaient déculottées. En fait c'est une véritable fessée qui commence,
pendant que le jeune homme essaye d'expliquer.
–
« Aïe ! … C'est Walter maman ! Ouille !... C'est Walter !!
Il a flanqué tout le monde... dehors... Roaiiiie !!! moins fort
maman ! Il a picolé avec Edouard et... »
Clarisse
le maintient à genoux sur la table en lui appuyant d'une main sur les reins, et
de l'autre, le fesse à toute volée.
– Et alors ? Ça explique quoi, hein ? Ah
tu as réussi à échapper à ta fessée cet après-midi, et bien tu vas me déguster celle-là
à la place... Tu ne vas pas perdre au change... loin de là !
–
C'est pas ma faute maman. !! .. C'est Bettina. !.. elle n'a pas eu le
temps de...
–
C'est Bettina, bien sûr... Et bien maintenant c'est maman qui va s'occuper de
tes fesses mon petit chéri ! Et elle a tout son temps maman !
–
« C’est pas ma faaaaute aiiiie ! S'il te plaît... non... pas la
fessée !!
–
Mais bien sûr que si mon chéri. La grosse fessée même ! Tu l'as méritée
et tu vas l'avoir ! Ça va te rappeler au bon souvenir de la main de maman
et te faire regretter celle de Bettina !
–
Noooon, maman ! Pitié !... je t'en prie... tu fais mal !!
–
Evidemment que je fais mal !..Et puis maintenant ça suffit, fessée
déculottée ! Allez sur mes genoux ! »
Elle le saisit par une oreille, le fait
descendre de la table, et le traîne jusqu'au tabouret à fessée où elle
s'assied. Elle retrousse sa jupe et le flanque immédiatement à plat ventre en
travers de ses cuisses, le ventre pesant douloureusement sur ses
jarretelles. Cette fois ci, ça y est, il sait que ça va tomber.
Connaissant la cuisante force de frappe de sa mère, il sent que la déculottée
risque de claquer aussi fort, sinon plus, que celle qu'il aurait dû recevoir de
Bettina. Et il se trouve maintenant en configuration, fessée à la maison, avec
l'obligation de se soumettre à l'humiliant rituel que sa mère lui impose à
chaque séance.
Celle-ci semble avoir retrouvé son calme. En apparence
seulement, elle nourrit toujours, à l'intérieur, une colère froide contenue,
qui n'attendant que le moment de s'extérioriser sur son postérieur.
– « Soulève ton ventre, et arrondis ton
derrière, tendu au maximum, pour bien
sentir le nylon glisser sur tes fesses pendant que je te déculotte. Et qu'est-ce qu'on dit à maman pendant qu'elle
prépare ta fessée ? ;
– Merci maman de me déculotter pour que je sente bien ta main claquer
sur mes fesses... »
– C'est bien! Et je te garantis que tu vas la sentir... sur
tes fesses ! Prépare-toi à recevoir, grand format, la raclée que tu n'as pas eu cet
après-midi !
Pendant, qu'il sent son slip, libérer ses grosses fesses en
glissant lentement jusqu’au milieu de ses cuisses, il essaye encore, sans
conviction, de se défendre.
– « Mais Maman, je te promets, je ne dirai plus jamais
du mal de Bettina... ni de personne … je te le jure... Pas la fessée... s'il te
plaît !
– C'est trop tard mon chéri. Fallait y penser avant... Des
promesses tu en fais tous les jours. Et, en plus, tu as osé te moquer de moi, avec ton baratin
sans queue ni tête !
– Non, Maman , je te jure...
– C'est ça... Je vais t'en fiche moi des, hiboux, cailloux,
choux, genoux !!! C'est pas des ‘'X'' qu'elles vont prendre tes fesses au
pluriel, mais des claques ! »
Rodolphe n’a plus le
temps de répondre quoi que ce soit : les claques sonores et cuisantes pleuvent
sur ses fesses. Clarisse n’y va pas de main morte. Pleine de vigueur, elle
l’apostrophe tout en fessant.
– « Tes fesses Rodolphe ! Tes
fesses !...Présente les bien !!! Mieux que ça ! Je veux une
fessée qui claque
sec ! »
Au point où il en est, le malheureux fait de son mieux.
Dans la grande glace du salon placée là à cet effet, il aperçoit à travers ses
larmes, ses fesses déculottées, bien rebondies qui recommencent à rougir
sérieusement. Il sent sa mère furieuse. C'est une véritable avalanche de
claques qui s’abat sur son postérieur. Une fois de plus, elle lui administre
une fessée méthodique. Il sent sa main, infatigable, claquer plusieurs fois de
suite au même endroit au centre de son postérieur, puis, sur la partie la plus
joufflue, pour tomber également à plusieurs reprises sur le bas du fessier,
faire un tour rapide sur les côtés de ses fesses et sur le haut de ses
cuisses. Elle tape aussi, dans la raie écartée et recommence à claquer
plusieurs fois de suite sur la partie la plus rebondie de chaque fesse, et
recommence un tour complet du derrière et du haut des cuisses . Puis le rythme
ralentit . Sa main reste comme collée là où elle s’est abattue n’épargnant pas un seul millimètre carré ....puis
le rythme s’accélère encore plus.
--« Alors... C’est bon la fessée ? Hein, dis que c’est bon !
– Oh non Maman c’est pas bon, ça ...ça fait mal !
– Ah c’est pas bon,
ça ne claque pas assez fort alors ?
– Si Maman !
Non !... Si, si c’est bon !
– Qu'est ce qui est bon mon chéri ?
– C’est bon .Maman... La fessée... Sur mon gros
derrière !
– Ah tu reconnais
que tu la mérites alors ?
– Ouiiiii Maman ...Aiiiie !! .je la mérite...la fessée
....la bonne fessée …Aiiiiie !
– Alors, tiens ! tiens ! tiens puisque tu la mérites
....C’est comme ça, quand on mérite la fessée !
Vaincu, le pauvre garçon a abandonné toute espoir de
dignité et pleure maintenant comme une Madeleine, avalant les larmes qui lui
coulent dans la bouche. Dans la glace, il voit son fessier devenu une nouvelle
fois rouge écarlate. Mais il sait qu'il a obligation de présenter à sa mère un postérieur toujours
parfaitement réceptif. Les fesses en l’air, il pousse sur son derrière en feu
pour le maintenir tendu, bien arrondi , en regardant avec terreur la main qui
s'abat dessus sans relâche. La déculottée est très sévère. Il sanglote sans retenue avec l'impression
que ses fesses sont en train de doubler de volume. En plus, il sait que sa mère
ne va rien lui épargner. Il va lui infliger, à coup sûr, la friction au Dolpic
qui va faire durer la cuisson des heures durant. Elle semble d'ailleurs
considérer la punition suffisante, et met un terme à la fessée d'un cuisant
aller et retour sur chaque fesse. Elle le fait se remettre à genoux sur la
table basse et, comme il le redoutait.
– « Tu restes bien en position, la séance n'est pas
terminée! »
Il la voit partir en direction de la salle de bain et
revenir avec le tube de Dolpic. Il en trépigne sur sa chaise.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 31
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerBien vu, le reflet dans la glace ! La fessée est double dans le sens propre et figuré. La mère Clarisse jubile !!! Gladys, Bettina... mais c'est "la grande lessive" de printemps ! On lave son linge sale en famille ! Au battoir manuel ! Pas de Cajoline assouplissant ! Super Croix 73 !!! Rires.
Amicalement. Peter Pan.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerOui, merci, sauf qu'à bien y regarder, le reflet est tronqué. J'ai juste inversé l'image en atténuant les contrastes... Mais bon, c'est l'effet doublon qui compte. La fessée et son reflet!
Amusante "la grande lessive de printemps!" et c'est sûr qu'avec des fessées aussi assouplissantes, pas besoin de cajoline; l'ami Rodolphe se fait suffisamment cajoler le derrière.
Ce sera bientôt le retour de celui de l'impertinente Géraldine...
Amicalement
Ramina